Corrosion influencée par les micro-organismes : influence du biofilm sur la corrosion des aciers, techniques et résultats recents

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Corrosion influencée par les micro-organismes : influence du biofilm sur la corrosion des aciers, techniques et résultats recents"

Transcription

1 Corrosi influcée par les micro-organismes : influce du biofilm la corrosi s aciers, techniques et résultats rects F. Feugeas, J. Magnin, A. Cornet, J. Rame To cite this versi: F. Feugeas, J. Magnin, A. Cornet, J. Rame. Corrosi influcée par les micro-organismes : influce du biofilm la corrosi s aciers, techniques et résultats rects. Jrnal Physique III, EDP Scices, 1997, 7 (3), pp /jp3: jpa HAL Id: jpa Submitted 1 Jan 1997 HAL is a multi-disciplinary op access archive for the posit and disseminati of scitific research documts, whether they are published or not. The documts may come from teaching and research institutis in France or abroad, or from public or private research cters. L archive verte pluridisciplinaire HAL, est stinée dépôt et à la diffusi documts scitifiques nive recherche, publiés n, émanant s établissemts d seignemt et recherche français étrangers, s laboratoires publics privés.

2 influc4e par les micro-organismes : influce du Corrosi la corrosi s aciers, techniques et r4sultats r4cts biofilm Yh Other face and interface chemical processes PACS +n Other areas of geral interest to physicists PACS La Corrosi InflucAe par les Micro-organismes ICI M biocorrosi, phanomane R4sum4. AtudiA puis le dabut du siacle, est respsable la dagradati d' grand nombre d'vrages m4talliques. Cette Atu a pr but faire le point s cnaissances la cor- influcae microbiologiquemt divers types d'aciers carbe, d'aciers inoxydables, rosi sdas et d'aciers rev@tus La C.I.M. n'apparait qu' prasce d' biofilm. La d'assemblages this ctury, is respsible for the gradati of many metallic equipmts This study is a ofresults aling with M-I-C several types of steels as; carb steels, stainless steels, review steels and covered steels M I C. occurs ly weld presce of a biofilm The first part of in La Corrosi InflucAe Microbiologiquemt (C.I.M.) biocorrosi est phanomane Alec- dissoluti d' matal qui tche ttes [es industries off peuvt se daveloppetrochimique s micro-organismes et notammt s bactaries. Elle a fait l'objet nombreuses Les Editis Physique 1997 J. Phi-s III FYance 7 (1997) MARCH 1997, PAGE 631 F. Feugeas (~.*), J-P- Magnin (~), A. Cornet (~) et J-J- Rame (~) (~) ENSAIS, Laboratoire MAtallurgie, Corrosi et MatArix, 24 blevard la Victoire, Strasbrg Cex, France (~) LEPMI, Laboratoire d'ilectrochimie et Physico-Chimie s MatArix et s Interfaces, Domaine Universitaire, l130 rue la Piscine, BP 75, Saint Martin D'HAres, France (Regu le 13 favrier 1996, ravisa le 19 noiembre 1996, acceptd le 5 ddcembre 1996) PACS Tt Bibliographies partie cette dtu dacrit les facteurs physico-chimiques impliquas dans la formati premiare biofilm, ces moys d'4tus ainsi que s acti dans le processus biocorrosi. La se- du c partie est csacrae h la scripti s biocorrosi class4s fcti la nature s m4tx et s milieux lesquels ils st ctact. La rnibre partie ce documt passe revue les pnncipx macanismes biocorrosi dacrits Abstract. Microbiologically Influced Corrosi (M.I.C studied since the beginning of this study scribes chemical and physical factors involved in its velopmt, technical methods for studying biofilms, and its ctributi in the corrosi process. The secd part is voted to the study of M I C es linked with metal nature and differt aques virmts and the last part reviews the mainly mecanisms of biocorrosi. 1. Introducti revues [1-11] La premiare (tape la biocorrosi csiste obligatoiremt la formati (*) Auteur quel doit Atre adress4e la correspdance

3 n'est pas tjrs associ4 h la pr4sce d' biofilm [12-14]. biocorrosi [es aciers inoxydables, s premiers industriels d4crit remte d6but s Sur ann4es 70. Des fuites st apparues x droits s sdures quelques mois apras la mise r6servoirs d'e r4alis4s nuances 304L et 316L [15]. Il semble que l'importance service facteurs biologiques dans la corrosi s aciers inoxydables soit e noti racte. Les s s utilisatis milieux s4vares, ils t cnu s d4veloppemts importants pr s pr milieu naturel. C'est effet le la cstructi nud4aire qui a largemt applicatis appel h ces aciers pr la r4alisati certains r4sex De nombreuses publicatis fait s problames particuliers C-I-M- rctras dans ce secteur [3,16-21j. Becp traitt stagnante [32] La plupart s matarix matalliques st susceptibles d'atre affect4s par d'e biocorrosi et, historiquemt, ce fut dans le du plomb [33] que [es micro-organismes la l'exemple plus dlreux biodagradati Atant sans c dte la carie dtaire [15]. Ccemant le le point s cnaissances la Corrosi Influc par les Micro-organismes (C.I.M. s aciers carbe et inoxydables ainsi que s assemblages sdas acier biocorrosi) inoxydable. La biocorrosi est phanomane Alectrochimique dissoluti d' matal. Les raactis Alectrochimiques s'effectut h l'interface matal/matariel biologique, ce mier formant e struc- particuliare le biofilm. Le biofilm cceme e agragati d'organismes indapdants ture fctinellemt, ganaral s micro-organismes. I interd4pdants micro-organismes, associas les Substances Extra-PolymAriques IS-E-P ). L'hAtArogAn4it4 biologique du biofilm st e h4taroganaita dans s acti corrosive par rapport matal notammt lorsqu'il induit gradit dans la cctrati oxygane h l'interface matal/biofilm [37]. apparjit 632 JOURNAL DE PHYSIQUE III N 3 d' biofilm la face matallique. Cepdant l'inverse n'est pas vrai processus cet (tat fait st h rechercher, n pas dans le daveloppemt d' phanomane raiss mais dans [es applicatis nvelles ces aciers. En effet, h l'origine mis point nve, d'tres secteurs industriels st cfrtas h s problame C-I-M- Parmi ceux-ci peut citer l'industrie du patrole [22-24] ; l'industne la fabricati la phte h papier [25, 26], l'industrie alimtaire [27], [es industries macaniques travers la ctaminati s fluis cpe [28], [es exploitants l'aartique pr [es problames s raservoirs carburant [15], [es industriels traitemt s ex [29, 30]. Certaines installatis semblt plus particuliaremt expos4es. C'est le par exemple s Achangeurs chaleur [15,31], s r4sex incdie lorsque ceux-ci restt ctact furt mis cse pr la premiare fois. Les matx ne st pas [es seuls ccemas, [es aciers inoxydables, certain nombre particuliaremt spectaculaires st dacrits datail dans la littarature [18,23,25,28-30,34-36]. La pr4ste Atu a pr but faire 2. Biofilm et corrosi milieu vivant ces La iremiare (tape la biocorrosi csiste obligatoiremt la formati ce biofilm la face matallique. Il est cepdant important noter que l'inverse n'est pas vrai h biofilm ne correspd pas tjrs e biocorrosi. Il n'y a pas corralati tre corrosi

4 biofilm la face d' acier inoxydable type 316 et n'observt ce rupture du la cche passive recvrant l'acier. De mame, dans le d' acier inoxydable 304 [12], Pseudomas fluorescs forme rapimt biofilm ( 48 heures), cstitua bactaries et s substances extra-polymariques. Les zes n recvertes par [es bactaries le st par e cche iforme d'oxys Auce corrosi n'apparait ni pr4sce Pseudomas ni additinant Desulfombr~o vulgar~s P. aerugmosa forme milieu synthatique biofilm acier 304 [41]. Cepdant pr#sce Nacl, e corrosi par "~iqfirati",apparait, fait que la nature du milieu est paramatre important dans la biocorrosi. indiquant intergranulaire apparait le matari. FORMATION Du BIOFILM. La formati du biofilm, s hataroganaita (temporelle, 2.I. le vir s bactaries t AtA trait4s dans nombreuses revues [37, 43j structurale), et le daveloppemt d' biofilm, phanomane biologique, nacessite e (tape L'Atablissemt d'adh4si s micro-organismes h e interface correspdant h phanomane praalable [37, 43]. phy.sicochimique thaories [es m4canismes d'adhasi existt sel la discipline scitifique DiffArtes sel l'approche physico-chimique s collois [46]. La sec (tape serait e phase irra- correspdant h e adhasi ferme s bactaries la face et apparaitrait apras versible heures. Les polymares (S.E.P.) serait impliqu4s dans cette sec (tape. plusieurs colisati progressme la face cette (tape peut apparaitre h s temps Une sel le milieu et le matari quelques heures dans l'e mer pr l'acier variables Il n'y a pas distributi iforme du biofilm h la face du matari [51]. Les [52]. isolas du biofilm peuvt repraster plusieurs ctaines types Pope micro-organismes al. [16] datermint que 60 % s micro~organismes produist s acis organiques, et % st aptes h raduire [es nitrates et nott la prasce bactaries thermophiles 60 C) dans s biofilms d6veloppas s Achangeurs chajeur acier inoxydable (45 Les facteurs influqant l'adhasi s micro-organismes [es faces t AtA 304L. ddveloppemt du biofilm mature dans le sa formati milieux aqueux Le mer, e dce), le biofilm peut comporter s protozoaires, s bernacles, s (e N 3 CORROSION INFLUENCEE PAR LES MICRO~ORGANISMES 633 et biomasse, tre corrosi et type csortium bactari tre corrosi et nombre bactaries cstituant le biofilm [38-40]. iiila et al. [13] cstatt la formati et l'avoluti Lee et Characklis [42] t nota l'avoluti d' biofilm D. sulfur~cans acier dx 1018) dans systame h flux ctinu anaarobie, n'abtissant pas h e corrosi (AISI En pr4sce d'oxygane disss, fer dissdus particules FeS, e corrosi l'acier. [44]. Cepdant, le processus d'adhasi s'effectuerait sel processus ux impliqu4e [45]. La premiare (tape serait e phase raversible, csistant e attracti instan- (tapes tanae s bactanes la face. Elle est dacrite comme e adhasi minimale secdaire Quatre (tapes successives physicochimique puis biologiques intervint dans la formati du biofilm Une modificati l'atat la face matallique due h e adsorpti chimique molacules organiques :les organismes ne st pas directemt inipliqu4s darts cette (tape. AISI 304 [47-49], quelques jrs pr l'acier AISI 316 [48, 50], 7 jrs pr inoxydable acier dx dans systame circulati d'e [51j h quelques mois dans l'e dce racapitulas par Little et al. [53]. Une synthise S-E-P- par [es bactaries abtissant h e structure h multi-atages. algues...

5 facteurs [54] 1018) dans raacteur h flux ctinu semca s B-S-R. [42, 58] h faible dabit (AISI lh~~), l'4paisseur du biofilm est 5 ~tm h fort dabit (0,75 lh~~) le biofilm atteint (0,04 [59j. Prtant I'(tat face divers aciers tosdas (304, 316, 316L, 317LX, biofilm AL6XN, AL6XNt) a At4 AtudiA dans e e potable microbiologiquemt ctamin4e AL6X, L'attachemt bactari s'effectue hasard mais la colisati est favorisae par [es [60j. les colies microbines se d4veloppt plus rapimt (4-12 heures) la irragularitas cstatt que le polissage la face diminue la ssibilita h la C-I-M- par rapport teurs la face brute, tandis que le grattage matallique la face (nature la brosse incnue) h le biofilm est composa rasidus inorganiques et d'organismes aarobies (Pseudomas, que Flavobacter~um, Bacillus) ainsi que d'organismes ana4robies (Desulfombr~o, De- Aerobacter, sulfatomaculum, Clostndium). La richesse du milieu circulant (e dce, e polluae) est la gmte la colisati s faces matalliques et gmte fait le biofilm [49]. il du biofilm n'est pas directemt liae h la nature du substrat (acier, bois, pierre, L'Apaisseur [37j. La nature et la compositi du biofilm 4volut dans le temps et sel la plastique) du matal [56j De Mele et al. [56j t compara la colisati d'e face d'acier compositi 634 JOURNAL DE PHYSIQUE III N FACTEURS IMPLIQULS DANS LA FORMATION Du BIOFILM. La premiare (tape la formati du biofilm, l'adhasi s micro-organismes substrat, est smise h plusieurs la tsi superficielle du matal plus la tsi face du soli gmte, plus la colisati gmte [55] la toxicita la face la colisati la face d' alliage CuNi par e bactane Thermus sp. est tras lte, suite h e adaptati s bactaries h la toxicita thermophile Cu et / du Ni h l'opposa cette colisati est tras rapi l'acier inoxydable du 316L [29]. Il y a e diffarce colisati sel la nature du matari [50, 55, 56] s facteurs provant s cditis daveloppemt cellulaire tels que la cctrati nutrimts [es produits extra-cellulaires st diffarts sel [es cditis croissance s facteurs provant s cditis virnemtales [57] ph, temparature, is, vitesse d'aclemt du flui... Par exemple la bactarie Pseudomas lorsqu'elle se trve dans pipeline forme biofilm d'e Apaisseur 150 ~tm, alors qu' r4acteur cette Apaisseur n'est que 50 ~tm [37]. Dans tre, l'apaisseur du biofilm est fcti du dabit lors la corrosi d' acier dx e Apaisseur 1000 ~tm. Cepdant ce corr61ati directe tre Apaisseur du biofilm et corrosi n'a pu Atre Atablie absce fer ferreux. La rugosita la face ne semble pas Atre facteur impliqua dans la formati du Ze AffectAe Thermiquemt (ZAT), puis dans la ze liais et la ze fdue. Les cette ssibilita. gmte [61j, lors la biocorrosi d' acier inoxydable 304L milieu papetier, note Tatnal cse la multitu s micro-organismes rctr4s dans le biofilm Le ctu polluant d'e e mer intervit comme facteur dans la formati du biofilm verre et d' alliage CuNife e mer naturelle. Au bt 15 jrs, le inoxydable, ayant pris place l'acier et le verre est cstitua protozoaires, diatomaes et biofilm nombreuses bact4ries. Quatre semaines plus tard, s bernas iso14es se fixt, signe d' I l'opposa et bt quinze yrs, le matari CuNife, le biofilm est "macrofling". composa bactaries isolaes type Vibr~o algmolyt~cus et bactaries type iquemt Gram positif n idtifiaes. Au bt quatre semaines, s diatomaes iso14es et s algues

6 compositi du biofilm st attribuaes h la nature toxique du cuivre, prast dans l'alliage. la morphologie du biofilm change s hge [62j. Agostini et Yng (1990) Atudiant la La d'aciers dans systame d'injecti d'e, nott qu' bt 2 h 4 semaines, biocorrosi existe biofilm iforme composa d'e populati mixte et prastant plusieurs morpho- il Au bt huit semaines, e forme filamteuse pr4domine. logies. fixati cellulaire ne semble pas Atre influcae par le dap6t calco-magn4si obtu lors La la polarisati cathodique d' acier inoxydable 316L immerga dans l'e mer la du biofilm est favsae alors qu' formati mer, la formati du dap6t synthatique, e favorisae est calco-magnasi La formati d' biofilm Pseudomas fluorescs et Desulfombr~o vulgar~s [64j que celui form4 l'absce bactaries. Les S-E-P-, part leur nature polymires catiomques (polysacchar~s) : le role d'e rasine Achangeuse d'is et ce fait, intervint dans la capture jt matalliques prasts soluti. d'is Elles protagt le biofilm ctre [es produits chimiques (biocis), [es virus, [es amibes, [es antibiotiques [58]. Une Atu ccemant l'influce d' traitemt par NaCIO NaCIO+NaBr N 3 CORROSION INFLUENCEE PAR LES MICRO-ORGANISMES 635 se st fixaes le biofilm. Auce berna n'est ravalae. Ces diffarces dans l'4voluti et milieu synthatique semca ts ux Vibr~o natriegis [63j cepdant dans le milieu acier dx (C1020 SAE) milieu synthatique interfare la formati du film d'oxy Ce film est disctinu, moins adhart h la face et semble Atre moins protecteur passivant AcTioN Du BIOFILM D'aprAs Vila et al. [49] l'acti du biofilm est faire obstacle transport s espaces chimiques nacessaires h la passivati la face matallique d'trainer le datachemt la cche passive lorsque le biofilm se datache craer s cellules d'aarati diffartielle modifier [es cditis diffusi l'oxygane agissant comme barriare diffusielle csommant l'oxygane. intervint dans la fixati initiale s cellules et dans la formati du biofilm Ainsi s cellules libres Klebsiellae marina, fixt [es catis matalliques sel l'ordre ~ln > Cu > Ni > Fe [65]. Des cellules libres Klebsiella aerogies [66; 67] fixt sel l'ordre Cd, Mn > Co > Ni prasce s S-E-P- l'ordre est Cd > Co > Ni > Mn. Une bactarie type "Pseudomas" S-E-P- fixe le Cu [68] alors que Thermus sp. S-E-P fixe Mn, Cd [69]. Enfin Pedomicrobium mangamcum et P, ferrugmeum, bactaries, daposant du Cu, et du manganbse e dce e mer, fixt Mn [70]. fer Des cctratis Alev4es fer, aluminium, manganase et silicium et faibles cctratis chlorure st ctues dans le biofilm forma Achangeur chaleur (Savanah River Plant) [16]. Les teurs matx trvas dans [es biofilms varit sel leur nature Tatnal [61, 71] trve peu pas Mn~+, S~~ et Cl~ dans le biofilm forma h la face d' acier L Par ces propr~atds fizatr~ces mdtz, les S-E-P- ant la capac~ta d'influcer la distributi et la prdsce s matx d l'mterface mdtal corrodd~biofilm. [72] la formati d' biofilm (csortium cinq bactaries Pseudomas, Erwmiae, B-S-R Bacillus) milieu circulant acier dx (C1020) mtre que [es, Ac~tobacter, bact4nes ana4robies, peuvt se reproduire dans biofilm aarobie et st capables B.S.R., pdant 26 heures h ces traitemts. vivre

7 matallique En rais la richesse la flore et la compositi l'e mer, il existe l'effet s mathos dasinfecti biofilm Les bactaries Klebsiella pneumomae Kp1 t plus, seule la face du biofilm est analysae : [es bactaries ss-jactes, notammt celles se biofilm [es csortiums bactaris, [es S-E-P-, [es produits corrosi st observables La figure I mtre ~ biofilm acier carbe plga dans la nappe phraatique cpe. Strasbrg observa ME-B-, la figure 2 mtre e cpe observae M-E-T- ce biofilm, distingue s bactaries et s produits corrosi [52j. Aldrich et al. [79] mame matho e qui leur permet d'observer par M-E-B- et M-E-T- s colies daveloppa t 636 JOURNAL DE PHYSIQUE III N #volution Du BIOFILM. En milieu complexe (ex. e mer), l'4tablissemt du biofilm microbi (microfling) est la premiare (tape la colisati la face e sec (tape, le macrofling, qui csiste e fixati d'organismes macroscopiques tels que [es mollusques, huitres, bernas, etc. [57]. &IOYENS D'LTUDES Du BIOFILM. La caractarisati du biofilm et s bactaries peut 2.5. faire grhce h s techniques d'observati du biofilm, s mathos caractarisati s se et s mises Avidce l'activit4 matabolique. Un certain nombre ces micro-organismes leur utilisati et leurs limites t At4 racapitulas par Pope [73]. mathos, l~tu du l~iofilm. La microscopie optique cplae s techniques biochimiques immologiques est crammt utilisae pr la datecti micro-organismes [38-40, 74j. Les techniques d'apifluorescce permettt la numarati s bactaries. Une matho numarati directe s bactaries viables (D.V.C a 4tA utilisae par Yu et al. [75j pr (valuer forma biofilm s Achantills acier inoxydable. Leur matho a permis la num4rati s bactaries viables dans le biofilm, l'effet s biocis [es bactaries planctiques a AtA ainsi mis Avidce. la rapartiti h la face d' Achantill, la cinatique formati du biofilm L'observati, habituellemt suivis par la technique la Microscopie (lectrique h Balayage (M.E B. st 51, 55, 76-78j. Les bact#ries, [es S-E-P- ainsi que [es produits corrosi et [es produits n [48, cstituant le biofilm peuvt ainsi Atre observas. Il n'est cepdant pas possible biologiques d'idtifier [es bactanes, la forme celles-ci n'atant pas caractanstique leur gre. De trvant h l'interface matal/biofilm ne st pas observables. La Microscopie (lectrique h Transmissi (M.E.T.) permet l'analyse profur du Desulfombrio sulfuricans pras piqfires matal nature n(n pracisae plga mois dans milieu synthatique semca. Costert et al. [80], grici x observatis par M-E-T t cstata l'ineflicacita s biocis h tuer [es bactaries sessiles (notammt [es, bactaries sulfato-raductrices B.S.R.) dans u~l biofilm Apais qui cstitue e barriare protectrice [es bactanes situaes profur dans celui-ci. pr microscopie cfocale est e technique optique plus plus utilisae car elle permet La d'observer le biofilm sans le datruire. L'image du biofilm Apaisseur obtue a permis h Cos- et al. [81j mettre Avidce l'existce micro-i10ts bactaris dt [es propriatas tert dapdantes la structure du biofilm, ses propriatas diffusi et l'activita phy- st s organismes voisins. La prasce canx permettant e circulati flui siologique s micro-i10ts bactaris a Agalemt AtA damtrae. tr La technique Microscopie h Force Atomique (A.F M.) nacessite peu praparati s Achantills biologiques et permet l'observati s bactaries et leurs exopolymares dans leur (tat hydrata. Steele et al [82j t utilisa cette technique pr observer la corrosi d'aciers (316) inoxydables daveloppemt biofilms formas h partir cultures Pseudomas liae Desulfimbrio gigas pures mixtes et d' csortium praleva cduite e et aeruginosa fte ctant l'e potable. La corrosi la plus importante a AtA observae ss forme piqfires prasce du csortium.

8 Fig. 2 Cpe du mime biofilm (MET) II pm = N 3 CORROSION INFLUENCEE PAR LES IIICRO-ORGANISMES 637 t. 'i ~ ~ ~ Fig I. Biofilm acier carbe (MEB) (10 pm = 3 cm). [Biofilm carb steel (SEM) (10 pm = 3 cm).] ~K ~ e I cm). [Secti of the same biofilm ITEM) II pm = I cm).]

9 par l'analyse l'anergie dispersive s rays X cplae h l'observati M-E B. Moosavie dap0ts calcaire, d'oxys et d'hydroxys ferreux. Atre datect4e mais l'idtificati et la quantificati s bactaries ne st pas possibles. peut technique. utilisae par Nivs et al [83j, leur a permis d'analyser la formati et I'(tat Cette l'gmtati l'absorbance s protaines et s polysaccharis dans l' 4vanescte. (M.B.C.Q.), extramemt ssible h la masse, h la dsita et h la viscosit4 du biofilm Quartz [40, j. form4 cette t AtA dacrits par Tuovin et Cragnolino [85j, Tatnal [86 ( s BSR)j technique Soracco et al [38j qui t daveloppa milieu pr la culture commtas que ainsi mathos datecti immologique utilisant s anticorps dirigas ctre e espace Les [88] s composants la membrane bactarine cp14e s techniques bactarine st faciles h mettre ceuvre et dnt s rasultats plus pracis que [es mathos techniques culture ss raserve s risques raactis croisaes d'tres organismes Aldmts 638 JOURNAL DE PHYSIQUE III N 3 Les produits corrosi peuvt Atre analys4s et cartograph14s h la face du mat4ri et al [39] cstatt, grhce h l'analyse par diffracti X. la pr4sce trois films corrosi acier dx plga e mer naturelle. Le premier, ctact le matal, est film adhart et fin sulfures fer, le film intermadiaire n adhart est cstitua mackinawite et d'oxys fer; [es produits corrosi la face st malange Le biofilm peut Atre analysa d'e maniare n structive par Spectrom4trie Infrarge h TransformAe Frier (S.I.T.F.) : la prasce bactaries et S-E P fixaes substrat du biofilm pdant 6 jrs substrat germanium plga milieu synth4tique semca par s Clobacter cresctus. White et al. [40j t suivi la formati d' biofilm bactari (Hafma, Desulfombrio gigas, Bacillus) substrat germanium meant La formati d' biofilm peut 4galemt Atre suivie grhce h e Microbalance h Cristal Caractdrisati s bact4ries. La caract4risati s micro-organismes pr4sts dans le biofilm peut s'effectuer sel s mathos cultures, datecti immologique et s mathos lipidiques. culture bactaries spacifiques h partir d' Achantill est la matho la plus rapandue La idtifier et quantifier [es organismes prasts dans biofilm. L'emploi et [es limites pr bactaries et datect4 10 h 100 fois plus bactaries productrices d'acis (B.PA.) et B-S-R- utilisant le milieu spacifique datecti ces bactaries. Il ft cnaitre le ty.pe qu' pr choisir milieu culture a(aquat salectif dc peu favorable h la croissance bactaries d'tres organismes mame salectinas ce qui peut traina e ss-estimati du nombre bactanes [73j. D'aprAs Mittelman [87], s organismes provant d'virnemts extr@mes l'e ultra-pure) st raputas difliciles h cultiver et [es plaques num4rati standard (comme dnert pas rasultats pracis. ne colorati vitale [84j permettt d'idtifier et compter [es bactaries vivantes et mortes. Ces prasts dans le milieu d'analyse [63,84j. Les mathos lipidiques permettt recnaitre s types bactaries spacifiques dans biofilms complexes grhce h l'analyse s compositis lipidiques cstituant e signature s chaque type bactarie [40,89,90j Cepdant, le profil lipidique dvoluant fc- chimique ti s cditis culture, ces mathos semblt diflicilemt adaptables h l'idtificati rtine s bactanes m situ. D'tres techniques d'analyse chimique s cstituants cellulaires st stinaes h dner e estimati du nombre d'organismes prasts dans Achantill comme le dosage s acis nudaiques (A.D.N et AR-N-j et l'adanosine tri phosphate (A.T.P.). Il ne semble malheureusemt pas que ces AlAmts soit prasts quantita cstante d'e bactarie h

10 prasts dans le biofilm suspsi peut Atre mise Avidce par micro-organismes techniques plusieurs datecti produits mataboliques pr4stant s caractaristiques spacifiques du type La qui [es d'organismes produits comme l'i sulfure, indicateur sulfato-raducti bactarine. a la producti d' H2S par d'tres espaces influt la cctrati effective matalliques sulfures dans le milieu [73, 84j. d'is La prasce d'organismes viables par la r4ducti substrat tel que du 2-p-iodoph4nyl-3-p- chlorure (I.N.T.) formazan [73j. nitrophanyl-5-phanyl-tatrazolium d'4lamts isotopiques (~~ C ~~S [84, 91]. La prasce micro-organismes L'incorporati l'activita sulfato-raductrice B-S-R- dans l'e mer artificielle ana4robiose et sans incorporant ~~SO(~. Associant s mees chimiques et s observatis M-E-B., sulfates teurs cclut que l'activit4 s bactaries je role plus important C.I.M. que leur [es croissance bactarine sein biofilms et t compara [es rasultats cette m4tho technique d'incorporati du ~~P. Des diffarces significatives dans [es vitesses synthase la phospholipis h l'int4rieur s biofilms form4s du verre et plg4s dans e riviare s 3 1 TECHNIQUES D'LTUDES DE LA C. I-M.. L'utilisati et (es limites s techniques Alectrochimiques pr Atudier la C-I-M- t AtA r4capitu14es par Mansfeld et Little [94j, Dexter m4canisme n'est dairemt et d4finitivemt admis pr expliquer l'anoblissemt s aciers dans l'e mer. Il apparait dc utile combiner s mees pottiel inoxydables celles Ecorr et la rdsmtance polarisati (Rp) pr le suivi d'oxydati-rdducti N 3 CORROSION INFLUENCEE PAR LES MICRO-ORGANISMES 639 l'tre et tre ux espaces diffartes De plus, le tx ces AlAmts peut csidarablemt varier fcti I'(tat physiologique s bactaries [73j l~tu l'activitd mdtal~olique s micro-orgismes. L'activitA m4tabolique s Cette technique ne permet pas e daterminati quantitative du nombre l'activita s B-S-R-, mais seulemt e (valuati qualitative. La formati pracipitas sulfures actifs dans s pr4lavemts m situ [92j a 4t4 mise 4vidce par la mee mataboliquemt la producti sulfures marquas et d'acatates marquas. Moosm~i et al. [39j t mea nombre. Freeman et al. [93] t incorpor4 du ~H thymidine pr daterminer [es vitesses AtA mises Avidce, ces diff4rces st liaes x saiss. L'utilisati du ~H thymidine t cvit pas lorsqu'il y a s bactaries sulfato-raductrices dans [es biofilms, c'est prquoi ne [es teurs pracist l'incorporati du ~~P pr meer la croissance s B-S-R- dans [es biofilms. 3. C.I.M. s aciers et al. [95], Tuovin et Gragnolino [84] Un certain nombre ces techniques st n structives du biofilm, ce qui permet d'observer l'avoluti s rasultats fcti du d4ve- celui-ci. Dans la majorita s Atus, l'avoluti du pottiel circuit vert loppemt est suivie fcti du temps. La colisati d'e face matallique par s bac- Ecorr traine e modificati Ecorr. Ce pottiel gmte pr [es aciers inoxydables taries e mer [48,49, ], mais s Avoluti est diffarte pr [es mames types d'aciers e dce [105;106] oh e diminuti Ecorr est d'abord registrae. Pr [es aciers Franklin et al. [74] ainsi que Buchanan et al. [107] t cstata e diminuti carbe, corralae l'appariti piqfires. La simple mee Ecorr ne fmit pas suflisam- Ecorr mt d'informatis pr e bne compr4hsi s macanismes corrosi [94] et c la corrosi [13, 83,108-ill]. Spectroscopie d'lmpadance ilectrochimique (S.I.E.) a trva s applicatis int4res- La stes C-I-M- et permet daterminer la vitesse moyne corrosi corralae la

11 jt role plus important que [es B-S-R- dans la corrosi tuyx ferro-oxydantes D'aprAs Dowling et al. [90], dans systame mixte B.S.R.-bactAries n B-S-R- la terras. plus rapi la propagati s piqfires ce qui suggare que l'activita microbine participe h propagati. mettre 4vidce le daclchemt la corrosi bactarine et l'influce la Pr Dmas et al. [l17] mettt Avidce l'oxydati l'hydrogane cathodique par s bacta- hydroganases positives (Hase+) comparant le crant galvanique fcti du temps ries dble cellule formae d'acier K55 (Vallrec) pr4sce B.S.R. Hase+ puis Hase~. d'e 3 2. C-I M. EN MILIEU INDUSTRIEL patroliares, chimiques et nudaaires. De multiples C-I-M- t AtA rapertorias industries intervir s bact4ries [6,14, 77, ]. La corrosi ces aciers peut apparaitre faisant sel [es quelques mois [126] quelques annaes [129] Elle s'effectue soit par e type piqfirati ss ddpbt Tatnal [71] propose le macanisme suivant pr expliquer corrosi observae dans, et tr, joints d'4tanchaita tubes acier inoxydable la 640 JOURNAL DE PHYSIQUE III N 3 formati biofilms [40, l12, l13]. Kasahara et Kajiyama [l14] mtrt que [es bactaries B-S-R-, gmte la vitesse corrosi l'acier dx AISI 1020 par rapport h prasce obtue s bactaries n sulfato-raductrices. celle Un biofilm est caractarisa par e hataroganaita biologique qui se traduit pr le matal par e hataroganaita chimique du milieu corrosif local [lls] ce qui traine ss-jact s cples galvaniques locx. Ces cples st d4tectables par cartographie in4vitablemt s crants h l'ai d'e micro-alectro vibrante S-V-E-T- (Scanning Vibrating Electro Franklin et al. [75] dacrivt cette technique qu'ils emploit pr mettre (vidce Technique). l'appanti s piqfires acier carbe milieu starile inocula s bactaries du type Pseudomas vivantes mortes. Le biofilm maintit virnemt tr s piqfires et empache [es Avtuels is inhibiteurs corrosi prasts dans agressif flui vir ctact le matal. Les bactaries vivantes traint e gmtati le cette et du nombre bactaries la corrosi d' acier dx (XC38) dans milieu temparature ctant s Desulfovibrio vulgakis, Colin [l16] utilise la technique la dble cellule. D'tres techniques Alectrochimiques comme la voltamparomatrie h balayage lt, struc- du biofilm, t largemt AtA utilisaes pr l'atu la C-I M. [l18-124]. Le pottiel tives "piqfirati" Epiq est svt d4term1n4 prasce et absce bactanes prasce leurs produits m4taboliques [14,125] Aciers revatus. Un ique corrosi microbine d'acier revatu (galvanis4) est [71j. Les bact4ries isolaes mises cse appartint grpe s Thiobacilles et signala B-S-R- s Aciers carl~e (Tab. I). L'acier carbe est d'utilisati crante dans [es ss forme tnels [26], soit par piqfirati [13,64,129]. Les produits qui se piqfirati [es sites corrosi st diverses natures goethite (FeOOH), lepicrocite dapost (FeOOH), magnatite (Fe304) et sulfure fer FeS [127] Aciers inoxj.dal~les la sdrie AISI 300. La corrosi observae [es aciers inoxydables la sarie AISI 300 est type mtergranulaire [130] la corrosi d' axe acier 303 apparait x joints zes riches MnS. Le macanisme proposa csiste e formati cellules grains, cctrati diffartielle d'a4rati diffartielle dt l'activita est Alectriques gmtae par l'acti s micro-organismes

12 presis4e (REP) bact4ries produisant s Achangeur chaleur acis bactaries aarobies n API gra 5 canalisati gaz (CH) Clostridia [14] dx AISI 1018 systame d'injecti d'e B S-R. [64] chimique) champigns (hy.phes) (industrie que lorsque le temps n'existt ST3 raservoir d'e Bacillus putrificus [6] Galliella, bactane oxydant le fer. Les dap0ts csistt hydroxy.s ferriques riches 304 tube vitesse d'aclemt du flui importante (1,5 h 1,8 s~~) malgra [133]. e m d' an d'activita, [es micro-organismes oxydant le fer et le manganase st bt Au 3.2.~ Aciers inoxydal~les la s6rie AISI 800. Des perforatis dans s tubes d'4chan- chaleur ctrales nudaaires acier inoxydable super stanitique AISI 800 t geurs cstataes [136]. L'initiati la corrosi localisae requiare la combinais d' pottiel At4 composants sulfato-raduits produits par [es B-S-R- Ces cditis peuvt Atre Atablies par N 3 CORROSION INFLUENCEE PAR LES MICRO-ORGANISMES 641 Table I. DijfArts types d'aciers carbe ssibles d e C-I-M [Differt types of carb steels susceptible to M-I-C-j Acier Industrie BactAries RAf. carbe raacteur nudaaire h e B-S-R. [26] carbe r4servoir B-S-R- (Desulfombrio) [127] idtifiaes carbe E26 canalisati dans e productrice NH) [129] ctrale nuclaaire LX42 0,2 % C02) et Butyr~bacteria accumulati d'e dans [es zes corrodaes Pseudomas sp. SAE 1009 tube d'4changeur Pseudomas sp. [126] chaleur et pipelines pas B-S R sajr est lg (> 10 ii AISI 304L. La premiare (tape cceme la fixati s bactaries type Pseudomas suivie par la fixati s bactdries type Sphaerotilus, oxydant [es is ferreux. L'activitA (csommati d'oxygane) s ux types bactaris abtit h la craati respiratoire zes oh existt s cditis d'anaarobiose. Dans ces zes peuvt se fixer et se [es B-S R. abtissant h e corrosi. Ce type piqfirati trva ss davelopper dap0ts se retrve lors la corrosi d' acier inoxy.dable 304L, 316, 316L par s Al~+, Si, K, S~~, Ca~+ et Cl~ [35,131,132]. Un C-I-iia AtA observa la cse cavernes dans le matari, cavernes recvertes dapots riches Fe, Mn et Cl. relativemt AlevA et d'e cctrati suflisante d' activateur tel que [es chlorures [es

13 (e rivibre Caroline 304 L 4changeur chaleur 50 % s bactanes st [16] industne nuclaaire productrices d'acis organiques 60 % s bactanes t e 304 L tr refroidissemt Pseudomas [71] (ph 6-7, C) Flobacterium pipelines pas bactanes sulfato-raductrices 642 'JOURNAL DE PHYSIQUE III N 3 Table II. Dijfdrts types d'aciers moxydables la sine AISI 300 ssibles e C-I-M- [Differt types of stainless steels (AISI 300) susceptible to M-I-C-j Acier Industrie BactAnes R4f. 303 usme papier (axe d' Pseudomas, bacilles, [122] cylindre) flavobactaries, champigns, BSR 304 dchangeur chaleur Galhella [71j du Nord) 304 cdseur bactaries sulfato-raductnces [134j tres bactanes 304 tube cdseur bactaries ferro-manganiques [133] e forte vitesse d'aclemt. activita nitrate raductase PrAsce bactanes thermophiles (45 C) Sphaerotilus Desulfombno 304 L clarificateur d'usine h papier. Pseudomas ill] circuit s ex blanches Aerobacter Bacillus Desulfombrio Desulfatomaculum Clostndmm 304 L e dce et stagnante Galhella [131j 304 L tube dans systbme d'e Galhella 316 Achangeur chaleur et Pseudomas sp. [129] champigns (hyphes) n'existt que lorsque le temps sajr est lg I> lo1) 321 Circuit refroidissemt bactaries sulfato-raductrices [135j machine h papier

14 organiques (acis formique, succinique et ac4tique), srce C-I-M- se daveloppe sel le ss laminage la plaque d'acier- Il se forme s dap6ts r- tr cavernes; ayant ttes [es caract4ristiques l'acti s bactaries gehtres ferro-manganiques. I l'excepti ces ux, multiples C I M. d'acier sd4s ayant lieu nive s sdures ccemt [es sembles sd4s suivants :. AISI 304/AISI 308 [29,71,131],. AISI 316L/AISI 308 [15, ]. micro-organismes impliquas st du type oxydant le manganase [62], Galhella [15,131, Les Sirocapsa [15], type BSR [38], productrice d'acis [38] produisant s is 132], [129]. NH) seul C-I-M- mettant cse e seule espace bactarine est r4v41a par Stoecker Un se d4veloppt e cctrati plus forte nive s sdures et dans [es d4p6ts La corrosi est type intergranulaire. ZAT- Mn02 (37 %) [74], Fe+Mn+Cl~ (quelques ctaines mg l~~ [15]. La piqfirati cavemeuse N 3 CORROSION INFLUENCEE PAR LES MICRO-ORGANISMES 643 recvremt partiel du m4tal. Des sites anodiques st localisas ss [es d4p0ts adharts oh petites crevasses peuvt Atre anaarobiose et permettre le daveloppemt s B-S-R-, la cctrati chlorures et e acidificati locale. Les ragis adjactes l'gmtati exposaes h l'oxygane permettt d'gmter le pottiel corrosi s tubes h e valeur plus AlevAe oh la corrosi localisae peut Atre initiae Aciers mo.xydal~les la sloe AISI 900. Un industriel a AtA ravala [31,137,138] et cceme la biocorrosi d' acier 904L h hte teur Mo (4,5 %) intervant dans 4changeur chaleur Les micro-organismes impliquas appartint grpe s B-S-R- Ces bactaries st la cse piqfires et cavernes h initiati intergranulaire situaes tte la face l'acier. Au laboratoire, la bact#rie Desulfatomaculum sp., isolae le site, produit s acis Aciers sdas. Les aciers inoxydables sd#s st ssibles h la C-I M. et prastt particularita ccemant le lieu d'attaque la corrosi. Ce lieu se situe sp4cifiquemt e dans la ze liais dans la Ze AflectAe Thermiquemt (Z.A.T.) [26, 29, 38, 62, l10, 129,131,132]. Deux ne suivt pas cette ragle Le premier [61, 72] fait mti d'e piqfirati tte la lgueur d' tube acier 304 distribuant l'air dans bassin traitemt d'e usae- Cette corrosi inoxy.dable est apparue apras 6 mois service et ne se localise pas iquemt nive s sdures- Les micro-organismes impliquas dans le biofilm st type BSR, Sphaerotdus et d'tres types n idtifias. Le secd [34] ccerne 4changeur chaleur ( acier inoxydable 316). La C-I-M-. AISI 304L/AISI 308 [15,61,129],. AISI 316 /AISI 308 [71], et Pope [29]. Intervant dans raservoir ( acier inoxydable AISI 304) ctant l'e d4minaralis4e h e temp4rature C, il est dfi h l'acti Bacillus sp. De nombreux Ce type corrosi intergranulaire est rare, la majorit4 est type cavemeuse localis4e ss s d4p0ts [71,130,131]. Dans ces d6p0ts, observe fortes cctratis m4tx

15 svt dans la ze fdue la sdure suit l'interface matal base-ze apparait fdue. Borstein [139] examine la corrosi par piqfires fcti la microstructure s sdures, la teur ferrite et la ssibilisati la Z-iT d'aciers inoxydables L /308 et De ces Atus il ressort la ssibilisati h la corrosi intergranulaire (pracipitati carbures chrome) que facteur fm.sant la C-I-M dans la ZA.T. Ctrairemt s sembles est semble soit joint, soit sda, recuit et dacapa, ne subit pas la C-I-M- [140- sd4s, l43] C-I-M- EN EAU DE MER Aciers inoxj-dal~les Le milieu marin est milieu complexe tant dans sa compositi biologique que dans ses caractaristiques physiques. Ces paramatres intervint chimique d'aciers tels que Sand~vik 560 et Avesta 254SMO [96], AISI 316L, AISI 904L, HR16 et types (ctant 4,7 % et 5,85 % Mo) [91], AISI 304 [99], et divers m4tx et alliages HR13 Cu, Ti et Cu70N130 [49] Al, corrosi Alectrochimique et la formati du biofilm st ux AvAnemts dapdants- La h celle observae dans e e mer st4rilis4e (biofilm abst). suparieure la majorita s Atus, l'avoluti du pottiel est suivie fcti du temps. La Dans du biofilm formati la face d'acier inoxy.dable abtit h e gmtati du pottiel d'aband (anoblissemt du matal) [48, 50, 96,98,100,101,104j La pr4sce s micro- aflecte la cin4tique r4ducti l'oxygane soit initialisant e corrosi organismes soit acc414rant e corrosi dajh praste [48, 97]. La stabilisati du pottiel localisae [es types d'aciers inoxydables, cette stabilisati est prac4dae soit par e diminuti, soit par du pottiel d"aband tre le dabut l'immersi et sa stabilisati s'eflectue dans e +100 mv h +400 mv [48, 49~ 97,100,104]. gamme 4tu racte Mansfeld et al. [144] n'abtit pas mame r4sultat ils Atudit le Une Alectrochimique (par suivi Ecorr et par S-I-E-) d'aciers inoxydables (304, 316; comportemt dans e e met naturelle ss ux cditis soleillemt normal A16X) soleillemt raduit (diminuti l'activita s algues, organismes producteurs et Leurs rasultats apras 120 jrs d'immersi indiqut peu difl4rces dans d'oxygane) 644 JOURNAL DE PHYSIQUE III N 3 La corrosi ces sembles sdas dans e e stagnante abtit h la formati GL/308. dap0ts, pras, s sdures, dap0ts dus h l'acti bactarie du type Galhella. que chace s phases (stanite ferrite) la sdure peut Atre attaquae que la quantita ferrite n'est pas critare favorable h la C I-Mqu'e prasce chlorure est assoc14e h la piqfirati faq corral4e [es ph4nomanes corrosi biologique s aciers milieu marin. De ce fait, ce corr41ati directe tre la corrosi milieu naturel et celle milieu n'est raalisable- La corrosi d'acier e mer naturelle est sup4rieure h celle synthatique milieu Nacl [96] e mer artificielle [99]. observae Une comparais est possible tre la corrosi e mer naturelle et celle e mer transportae laboratoire et rve14e [49]. Ces observatis st raaliss divers Scotto et al. [97, 98] t mtra que la corrosi dans l'e mer (biofilm prast) est tras d'aband s'eflectue apras d41ai 5 h 10 yrs d'immersi dans le milieu marin- Sel e gmtati progressive du pottiel d'aband initial [48, 49, 96, 99,103j. La variati le suivi Ecorr sel [es cditis d'soleillemt et qu'c s aciers n'est corrod4-

16 Q cm~~). Cepdant l'anoblissemt la face d' acier 304 immerga ss s cditis (10~ normales existe le pottiel passe -171 mv (temps 0) h +78 mv ( bt 30 j), [48, 49, 96, 99, 103]. pracadtes cses invoquaes pr expliquer l'anoblissemt Ecorr e mer st, soit Les thermodynamique (acidificati locale et/ gmtati la pressi partielle d'origine soit d'origine cinatique (catalyse la raacti raducti l'oxygane par s d'oxygane), Il sera nacessaire d'associer plusieurs Atus paramatres ph interfacial, micro~organismes)- d'oxygane, S-I-E-, suivi Ecorr pr comprdre tel phanomane- pressi du substrat ph l'ordre 8 [121]. pras colisati microbine l'acier inoxydable AISI 316 plga dans e soluti h 3,5 $lo La Nacl l'e mer artificielle peut craer s cditis initiant s processus corro- [122]. La prasce micro-organismes 4tablit s zes locales anodiques et cathodiques, si rdgis ddprvues d'oxygane 4tant anodiques par rapport x faces altr. Le ph [es fois le processus corrosi init14, [es cditis vint d4favorables h d4veloppemt Une bact4ri ph has, cctrati dlev is matalliques et diflicultd transport acti du biofilm le film passif d' acier inoxydable 254 SMO plga e mer ctre la corrosi. Cette polarisati cduit h prot4ga d4p0t CaC03 et Mg(OH)2 [es raactis suivantes sel + 2H20 + 4e~ ~ 40H~ e~ ~ H2 + 20H~ 2H20 N 3 CORROSION INFLUENCtE PAR LES MICRO-ORGANISMES 645 Auce corrosi locale n'est observ4e MEB et la rasistance polarisati reste AlevAe la diflarce +250 mv est comprise dans la gamme +100 / mv obtue lors s Atus eflets la formati du biofilm l'gmtati s crants raducti d'oxygane Les observas s aciers inoxydables stanitiques polarisas cathodiquemt par cplage st e ano fer, e mer artificielle. Cette gmtati traine e alcalinisati ces zes d4croit jusqu'h e valeur voisine I pr s pottiels anodiques 41ev4s, du fait l'hy.drolyse s is m4talliques M+~ + xh20 ~ M(OH))~~~~+ + xh+. s nutrimts h travers [es produits corrosi. L'eflet du biofilm la cinatique la rdacti rdducti l'oxygane provit d'e naturelle et artificielle, similaire h celle obtue par e baisse ph [123j Aciers carl~e. Les principx facteurs aflectant la C-I-M- s aciers carbe milieu synthatique, semc6 par malange bactaries aarobies et B-S-R-, t At4 ddterminds par la mdthodologie s plans d'expdrices [145]- Le principal facteur est la prdci~ CaC03 agissant soit comme barnare protectrice, soit comme tamp. pitati e mer synthdtique, [es bactdries Serratia marcescs (bactdrie anadrobie) et Pseudo- En mas sp. 9 (bactdne adrobie), immobiliss h la face mdtallique dans gel d'agar, inhibt la corrosi d' acier dx le pottiel Ecorr diminue et Rp gmte. Il y a passivati l'acier dx par formati d'oxy Fe304 diminuti la vitesse rdacti rdducti Cepdant smis h e e mer naturelle, l'eflet inhibiteur s bactdries cathodique corrosi disparait (gmtati Rp) [146]. la Un acier dx smis h e tsi -850 mv par rapport h l'dlectro Cu /CUS04 est dit + OH~ ++ H20 + CO(~ HCO[ + CO(~ Ca~+ CaC03 ++ Mg~+ + 20H~ ++ Mg(OH)2.

17 pyrite. protecti cathodique peut ssi privoir la ganarati et l'adsorpti d'hydrogane La sdures 316/E308 est 4tud14e sel leur [tat face par Dowling et al. [109]. rasistances polarisati, obtues par VoltampAromAtrie Cydique Petite Amplitu Les lors du polissage- disparait par observati microscope optique, 41ectrique et analyse E-D-S., la corrosi L'4tu d' acier to-sd4 E308 [76] par e sche bact4nne, productnce d'aci ac4tique, chlorures, qui cst directemt la structi du film passif et la formati piqfires attaque pr4f4rtielle la phase stanitique est observae- Une d' traitemt thermique acier inoxydable AISI 304 (difl4rts temps L'influce recuit h hte temp4rature) [es comportemts 41ectrochimique et m4tallurgique lors malange bactari (Bacillus, Pseudomas, Acinetobacter) indiqut que le pottiel par corrosi (Ecorr) varie fcti du temps [140]. La phase dacroissance pottiel Avoluti du pottiel ne se retrve pas lors la corrosi d' semble sda Cette par la bactarie A6F [107]. (tudiant l'eflet la face la C-I-M-, Buchanan 316/ JOURNAL DE PHYSIQUE III N 3 formati ces d4p0ts durant la corrosi d'acier dx est dtud14e par Elbeik et al. [147j La Tran Thi Tuyet [148]- Ce pottiel doit Atre abaissd h e valeur -950 mv/cu/cus04 et pr inhiber l'acti s B-S-R- I ce pottiel, l'acier est protdgd dans virnemt sulfures S~~. La polarisati cathodique imposae h l'acier inhibe directemt la formati du biofilm mais n'inhibe pas l'activitd s B-S-R- Hamilt [149j indique qu'ce corrdlati directe ne peut Atre dtablie tre la perte masse d' acier protdgd cathodiquemt e mer et le nombre B-S.R., la rdducti du ~~S, [es produits corrosi S~~- Cepdant la formati d' film fin adhdrt (FeS2) est assoc14e bas nive corrosi. La corrosi apparait que si il y a pyrite rupture du film pyrite. I l'opposd, film volumineux d'oxys ferreux et disctinuita sulfure ferreux type mackinawite est assoc14 h ht nive corrosi. En cclusi, la protecti cathodique d' acier dx gan4rerait la formati d' film fin et adh4rt faces m4talliques [150]. Cette adsorpti est accrue acier prot4g4 cathodiquemt, [es d' biofilm B.S-R- elle traine e gmtati la vitesse propagati recvert s fises. Une synergie existe tre [es eflets du pottiel cathodique et ceux s bact4nes Aciers sd4s. La corrosi e mer recstitu4e sdures toganes 316L et SpectromAtne d'lmpadance tlectrochimique (S-I E-), indiqut qu'e sdure (V.C-P.A-) brute se corro moins vite qu'e sdure homogane polie (grains 600), ceci est homogane dfi probablemt h l'existce d'e forte cctrati superficielle oxy chrome qui milieu synthatique a permis d'atablir macanisme corrosi faisant intervir la formati cellules d'a4rati difl4rtielle, induisant e acidificati et e cctrati locale la corrosi milieu S~~ + Cl~ ctant n D- uulgans a At4 4tud14e par De Mele et al- [lsl]- Le traitemt thermique aflecte le gra ssibilisati l'acier (gr4 ssibilisati d' acier n trait4 < h celui d' acier trait4 pdant 20 min < h celui d' acier trait4 pdant 4 h). L'gmtati la ssibilisati gmte la corrosi l'acier milieu chlorure et sulfur4, par suite d'e diminuti du pottiel piqfire. L'acti s chlorures et s sulfures est accrue pr4sce s bact4ries. Un biofilm et synergique film iforme (ctant s sulfures) se formt h la face mdtallique et observe e n localis4e ss ces dap6ts. corrosi Atus r4alisaes laboratoire la corrosi t.ubes sd4s 304L/308L et 316L/312 Des 125 mv h 250 mv) est attribuae h e dispariti totale l'oxygane suite h l'activita (chute bact4rine. La phase croissance du pottiel cceme la repassivati la respiratoire face sdae.

18 immadiate- I l'opposa, cette corrosi ne dabute qu'apras 30 heures d'immersi dans le la sdure polie- moindre susceptibilit6 h la corrosi d' acier sda et poli (par rapport h e sdure Cette est cfirmae par Dowling et al- [109]. (tudiant la corrosi e mer artificielle brute) sdas 316L/308 h I'(tat brut poli ([es oxys st absts la face), ils d'aciers Influce du macrofling. La formati du biofilm acier dx ss polarisati cathodique est accrue e tropicale (baie Mandapan, In) e pdrio jrs), le pottiel reste cstant et ce formati biofilm n'est dacelable [103ji (35 l'opposd, dans le d' acier inoxydable (type AISI 304 AISI 316) et pr e par piqfires) gmte [152] Lors d'e pdrio d'immersi crte, le pottiel diminue et biofilm est meable (3,13 g cm~~) [103]. et al. [153] corralt la localisati s sites corrosi h la prdsce d'organismes Griffin 316, 430 et 446) immergds pdant trois ans dans le golfe du Texas. I l'excepti l'acier 304, A1019, pr ts [es tres alliages, il existe e corralati tre [es piqfires et [es sites dx limite fixati s bemacles. Ces petites faces frnisst e rdgi oh gradit la peut s'dtablir et initier ainsi e corrosi localis- d'oxygane L'aci produit perce la coquille du berna ctre (ze la plus fine) et diffuse le phs canx radix. Ceci cr e cellule d'aarati diflartielle tre ces canx et la lg mdtallique n recverte par le berna. La diminuti la cctrati oxygane face h e ze ana4robie favorable daveloppemt s B-S-R- abtit Un nve macanisme C-I.M. acier dx durant [es (tapes putrdfacti e s thiobacilles et la sec cceme l'oxydati s sulfures par l'oxygane sulfo-oxydante du S, composa fortemt corrosif pr l'acier- Ces sfres peuvt Atre oxydas fmissant N 3 CORROSION INFLUENCtE PAR LES MICRO-ORGANISMES 647 et al t suivi le pottiel corrosi fcti du temps et fcti ux cditis face brute polie (grains 600) La corrosi l'semble sd6 brut est iforme et par mee la rdsistance polarisati par S-I-E- qu'e sdure polie est moins mtrt, h la C-I-M- qu'e sdure brute. Cette corrosi se traduit visuellemt par susceptible rgehtre existant iquemt [es Z-A-T- ddp0t I'(tat face intervit comme facteur primordial dans [es phdnomanes C-I-M- Ainsi, s aciers sdds mdtal d'apport difl4rt du m4tal base. an [152]- Cet accroissemt est attribu4 h e modificati s cditis d'alcalinitd interfaciale. Le nombre d'organismes (tels que [es bemas) gmte et a pr eflet d'inhiber csiddrablemt la corrosi l'acier doiix [152]- Pr s temps d'immersi plus crts incubati lgue ( an), le nombre bemas gmte et la corrosi (par crevasses et manns h la face plusieurs mdtx (aluminium, acier dx A1019, aciers inoxydables AISI fixati s bernacles h la face mdtallique- Ces piqfires st localisaes bord juste h Un mdcanisme corrosi apparaissant h la mort s bernas type Balanus acier AISI 304 est proposd par Eashwar et al- [154j- Lors du ddcas s bemacles, la chair inoxydable l'animal se ddcompose par putrdfacti e producti sulfure par s bact4ries adrobies type Thiobacillus- Le ddveloppemt bactdri est accompagnd d'e baisse du mer associe ux (tapes la premiare ccerne l'acidificati l'e mer par l'acti aci sulfurique par [es Thiobacilles [155]. 4. Mdcanismes corrosi Un grand nombre d'essais eflectuas laboratoire s sches bactarines pures t Atd rdalisds dans le but mettre dvidce s mdcanismes biocorrosi qui st prdstds dans ce chapitre-

19 648 JOURNAL DE PHYSIQUE III N 3 Les itus laboratoire ec s soitches pures ne reflitt pas les cditis rlles du fait : celles s bactdries rctrs dans la nature cditis ddveloppemt s bactdries le substrat n'est pas le facteur limitant, s milieu culture est synthdtique et [es cditis st optimis4es pr la croissance le pluri-cultures. Ces sches bactdrines, isols d' pipeline st Bacillus, Hafnia, Eubacte~ corrosi maximal milieu adrobie est obtue pr l'associati Bacillits + D- gi gas tx Bacillus + Ha fma > Baclllus > st4nle)- Des mees la rdsistance polarisati Rp (> e corrdlati tre l'activitd du biofilm, estimae grice h sa producti d'acis gras mtrt et la vitesse moyne corrosi estim grhce h Rp- volatils. (> Eubacterium > stdrile). Le pottiel corrosi dans [es ux est abaissd par corrosi formati du biofilm- Ce biofilm csiste e prdcolisati la face par Eitbacteriitm la fluorescs et l'acier SAE1020, ce rnier est rapimt colisd par [es bactdries ( P- heures) formati d' biofilm cstitud bactdnes et produits corrosi (hd- 5 Fe203). Ss ce ddp0t, e corrosi intergranulaire se daveloppe [12]- Le film d'oxy matite Atre moins protecteur que celui forma absce bactaries il est disctinu et moins semble Le pottiel corrosi diminue. En pluri-culture (P. fluorescs et D- uulgans), adh4rt. s bactdries interfare la formati du film d'oxy et D. uulgaris accroit l'in- l'adhdsi piqfirati, associd h e diminuti s pottiels corrosi et piqfirati. tsitd phdnomane synergique tre D. uulgaris et P. flitorescs gmte dc la corrosi Le 4.2. M(TABOLISME DIRECT DU FILM PASSIF. En milieu aqueux, l'acier dx se recvre 4,I. EFFET DES sches PUKES ET SYNERGIE ENTRE sches. Une liste ragles base pr eflectuer s expdrices biocorrosi est d4tail14e par Tatnal [156] et Stoecker [157] la puret4 s sches [es caract4ristiques physiologiques, biochimiques diflart bactdrine la prasce simultan4e plusieurs espaces bactdrines et leur interacti possible dans le biofilm. White et al. [158] t dtudi4 ce rnier point comparant la C-I-M- obtue acier dx (AISI A1020) milieu adrobie et anadrobie salin semcd s mo-sches et s mum et D- sulfuricans et D- gigas. Le biofilm, dans leurs cditis expdrimtales, se forme heures et la C-I-M- s pluri-cultures est tras sup4rieure h celle s mocultures. Le En milieu anadrobie, l'associati Eubacterium+D. sul furicans cse le plus fort tx Bacdlits suivie d'e colisati par [es B-S-R Un tel phanomane synergique est Agalemt mis Avidce par Saravia et al. [64] Deux sches bactarines st iso14es d'e dmulsi huile-e (utilisae comme lubrifiant industrie m4tallurgique) Pseudomas fluorescs et D- uitlgans- Lors d'e mise ctact l'acier. En milieu synthatique (Postgate Cl additina Nacl, Vibno algmolyticits forme l'acier dx AISI A1020 biofilm assoc14 h s produits corrosi amorphes (probablemt s Une piqfirati est observae ss [es colies bact4rines- Une baisse la valeur oxys). est obtue. En additinant s B-S-R- (type incnu). cette diminuti Ecorr est Ecorr accrue. V. algmolyticus attaquerait le film passif d'oxy la face m4tallique ainsi exposae serait alors smise h l'activita s bact4ries BSR- d'e cche d'oxy ferrique, formant ainsi e cche amorphe et cristalline. Certaines bact4- ries st aptes h ser la structure ce film. Ainsi e sche Pse~domas, Pseudomas sp. (isolat 200) [159,160], bact4rie ana4robie, est capable, pr4sce molacule h bas poids

20 PRoDucTioN D'ACIDES- De nombreuses bactaries synthatist s acis organiques 4.3. acatique, succinique.. -) qui peuvt intervir dans la biocorrosi. (lactique, soluble, [es is fernques obtus par oxydati bactarine st la cse la corrosi. La T. ferrooxidans et dans milieu ache fer disss est probablemt due h prdsce oxydante s is ferriques- l'acti mdtallique. Cette bactdrie gmte ssi la corrosi d' acier inoxydable AISI 316 e mer synth4tique a4r6e et ss polarisati cathodique (-900 mv/cu/cus04) En superst4nitique AL6XN se recvre d' film passif CaC03 Mis prdsce l'acier type Acetobacter aceti, cet acier est rapimt colisa par [es bact4ries [166j. bactdries le substrat (Athanol), elles produist l'aci acatique qui d4stabilise le film M4tabolisant tamp du milieu correspd maximum corrosi [167] pvoir attaque aci d' acier carbe (type incnu) est mise 4vidce par Pope Une al. [168j lors la corrosi par e pluri-culture bact4ries ana4robies (sporogane, et positif, iso14es d' pipeline oh existe e C-I-M-) du type Clostndium acetobutyhcum, Gram N 3 CORROSION INFLUENCtE PAR LES MICRO-ORGANISMES 649 molaculaire (lactate), raduire [es nitrates nitrites et [es is ferriques is ferreux- Cette rniare raducti datruit le film passif et la corrosi s'accroit- Thiobacillus ferrooxidans, bact4rie acidophile, totrophe et oxydant le fer ferreux fer n'intervit pas dans la corrosi directe l'acier superst4nitique AL6XN, ni d' ferrique carbe [161] dans milieu ne ctant pas fer disss- En prdsce fer ferreux acier corrosi observ par Bdno et al- [162j d' acier dx lors d'e incubati lgue Une bact4rie thermophile (60-70 C), Thermits sp, initialemt iso14e du nickel [163] est respsable producti matabolites acis (isobutyrique et isovalarique) dt la quantit4 et la la d4pdt s substrats dispiiles nature la formati cellules d'aarati diflartielle la craati d' crant galvanique tre [es mdtx chdlatds par [es S.E.P. et le substrat par daveloppemt d' biofilm [164] Cette producti aci se retrve lors la corrosi d' acier carbe (52684 h % C) par la bactarie Escherichia cob milieu nitrate. Il ft remarquer qu'c 0,42 industrielle par cette bactarie n'a 6t4 mis 4vidce [165j. La pr4sce s nitrates corrosi abtit h la formati d' film protecteur ife203. Ce film est attaqu4 par [es acis sacr6t4s par E, cob. et induit e gmtati du crant corrosi. passif colisati par A. aceti d' acier inoxydable AISI 304 traine e diminuti du c- La par csommati d'oxygane par [es bactaries et dacroit ainsi la dispibilita l'oxygane rant la r4ducti cathodique Ceci est la cse la n-iformita du ph h la face m4- pr l'gmtati du ph ne s'eflectuant pas, le pracipit4 CaC03 ne peut se raaliser- tallique eflet peut-atre ctre-balanca par la capacita tamp l'alectrolyte, I Cet minimum C- bifermtans, C- butyricum, C- felseum. Ces bactaries formt biofilm et sacratt s (acdtique et d'tres n ddterminds). Cette attaque aci se traduit par e piqfirati acis forme tnel, associ h s inclusis MnS ctues dans l'acier- Ces inclusis ss formt e ze cathodique, la ze anodique [es trant Atant smise h l'attaque aci. bact4ries marines, adrobies et n sulfato-raductrices, Vibrio natriegs et V. angmllarum Les corrodt acier inoxydable type AISI 304 milieu marin synthatique [83]. Le mdcanisme corrosi proposa repose s piles cctrati qui dilfart dans leur

21 tal recvert- Par dtu par Spectrophotomdtrie Infra-Rge cplae h s observatis M-E-B-, microscope h dpifluorescce et h s mees dlectrochimiques, e corrdlati secd m4canisme corrosi est propos4 dans lequel la sdcrdti d'exopolysaccharis Un h du Ca(OH)2 crae s sites micro-anaarobies oh localemt [es cellules ganarerait assoc14s acis organiques- s ux macanismes st lids h la formati du biofilm (12 h bactaries isolaes, 24 h micro- Ces L'gmtati la dsita crant (calculae h partir s valeurs exparimtales colies) Rp et s ptes s droites Tafel) correspd h la synthase matariel extra-cellulaire 4.4. PRoDucTioN DE sulfures. Les bactaries produisant s sulfures appartint revues et livres [169,170]- Les bact4ries du grpe s B-S-R- oxydt certains compos4s plusieurs organiques (h bas poids mo14culaire tels que lactate, 4thanol, glyc4rol-.-) l'hydrogane S-R-, sf pr Desulfatomaculum nigrificans (50 C). De plus, cette rniare praste B caractaristique former s spores, rdsistantes h l'oxygane et h e tempdrature la bactdries du grpe B-S-R- st anadrobies: elles se daveloppt absce d'oxygane Les r4sistt plusieurs jrs dans e soluti oxyg4n4e- mais pdtroliers 36 sches dt seulemt 10 t pu Atre idtifis- 5. CoRRosioN PAR LES B-S-R. Les bactdries produisant s sulfures st [es principales 4 s corrosi dans l'industrie pdtrolibre et t fait l'objet nombreuses respsables [22, 172j. revues [106] Atudie le comportemt corrosi d'aciers inoxydables stdnitiques et ferri- Fer (AISI 316L et 430 Ti) prdsce B-S-R par plusieurs techniques dlectrochimiques tiques h s analyses chimiques et microbiologiques s milieux- Les expdrices st faites cpls 650 JOURNAL DE PHYSIQUE III N 3 activitd cathodique, le mdtal n recvert vant relativemt plus anodique que le md- tre crant corrosi et appariti S-E-Pa dtd obtue- associa h du Ca(OH)2 ( bt s 72 h). Auce fixati m4tallique n'est observ4e dans cet exudat- grpe s bact4ries sulfato-r4ductrices (B.S-R.) Classificati s B-S-R- Le grpe s bactaries sulfato-r4ductrices fait l'objet mo16culaire tt raduisant s compos4s sfras (sulfate, thiosulfate,-..)- Cette raducti abtit h la formati sulfure. Ce grpe n'est pas homogane La forme s micro-organismes est trbs variable : r, ovale, filamteuse-.. La temparature croissance est l'ordre 20 C h 40 C pr la majorit4 s 80 C. La toldrance h fortes cctratis Nacl est facteur distinctif tre [es B-S-R- se ddveloppt e dce, d'tres st s bactdries moddrdmt halophiles Certaines ne se ddveloppt qu' e mer (10-30 g Nacl/1)- et plupart s B-S-R st capables d'oxyr l'hydrogane molaculaire ma sy.stame La (hydrogdnase) dt le mdtabolisme et le role dans la corrosi t 4tA rdca- zymatique pituld par Pankania [170]. Le grpe s B-S-R- est core largemt incnu Magot et al- [171] t isola s sites Desulfombrio uulgans et Desulfibrio gigas dans trois milieux diflarts ctant s

22 et s sulfates. La baisse du pottiel corrosi Ecorr est corralae l'gmtati lactates cctrati sulfures- Ecorr dapd tt la cctrati sulfures du milieu plut0t que t dtd mis dvidce grlce h la mee du crant ddbitd par e pile biologique (XC38) ux compartimts dt l' ctit s Desulfombrio uulgaris [l16]. cstitu L'immersi d' acier dx (K55 Vallrec) [173j dans e culture Desulfombrio - traine dans premier temps e ddcroissance Ecorr (dissoluti d' film sulfuricans forma prdalablemt h l'air) puis accroissemt ce pottiel- L'anoblissemt d'oxy tras adh4rt FeS, issu l'activita m4tabolique s bactaries (raacti tre protecteur, sulfures m#taboliques et [es is ferreux pr4sts soluti), lequel d4p0t noir, [es producti FeS- Le facteur ddterminant du tx corrosi semble Atre la cctrati et Robins [109,175] t dtudid le comportemt divers aciers inoxydables (AISI Ringas 316, 316L, 409, Sandwik 1802, acier SX3Cr12) lors d'e culture soit D sulfcans, 304L, initiale du film protecteur FeS). Au bt 4 mqis culture semi-ctinue, formati M.E.B. rdvble e corrosi par piqfire associ h e corrosi intergranulaire. l'observati Salvarezza et Vila [176]. Le ddveloppemt bact4ri abtit h e diminuti Ecorr et pottiel piqfirati- du h l'air d' acier smis praalablemt h e corrosi marine prdsce L'expositi D- uulgaris gmte faq drastique le tx corrosi [177]. Cette gmtati la corrosi n'est pas iforme et se traduit par s piqfires situ4es -sss du dap0t faiblemt adhdrt forma tubercules Fegss (mackinawite). I l'oppos4, [es zes n la r4acti pr4c4dte par csommati bact4rine l'hydrogane d4placemt n'a pas 4t4 prv6 exp4rimtalemt ceci la piqfirati par [es is thiosulfates, qui appar t lorsque le rapport [SO(~] + /[S20(~] est compris tre 10 et 30 et qui existe lorsque la cctrati [Cl~] est nulle. Les is S20(~ st "agressifs" rais leur nature anio- chlorure nique ils migrt dans [es piqfires [es is Cl~ et SO(~ tandis que les sulfures N 3 CORROSION INFLUENCtE PAR LES MICRO-ORGANISMES 651 du nombre B-S-R leur gre core du temps d'incubati dans le milieu. Le dddchemt la corrosi bactdrine et l'influce la tempdrature et du nombre bactdries sulfato-rdductrices dans milieu synthdtique la corrosi d' acier dx du matal est relati l'activit4 s bact4ries- Le matal se recvre d' film base n-adhdrt mackinawite FeS, prd place [5]. Si ce film irrdgulier, d4tache, il y a corrosi se rapi du mdtal situd sss [174]. Cette corrosi l'acier cduit principalemt h la fer ferreux disss. Plus la cctrati fer disss gmte, plus la corrosi croit. soit D- uulgaris ( milieu lactate + sulfate d'ammium, permettant d'dviter ainsi la L'acti s bactdries produisant s sulfures abtit h la rupture du film passif s aciers Les matdrix [es moins allids st ceux qui subisst le moins d'attaque corrosive. inoxydables. Desulfombrio milieu marin acier dx (SAE 1020) a dta dtudi par L'acti corrod4es st recvertes d' d4p0t fortemt adhart Fegss. Newman et al. [178] ft la revue s processus inorganiques relatifs h la corrosi d'aciers carbe et d'aciers inoxydables Dans le d'aciers carbe, la corrosi est accrue rais d'e rdacti cathodique tras rapi (2H+ + 2e~ ~ H~) Deux raiss h cette accroissemt, le produit la corrosi FeS est e tras bne catho. Dans le la corrosi d'aciers inoxydables, ux cses st citaes st ss forme H2S n charga x valeurs acis du ph pras s piqfires [179]

23 -300 / 350 mv/sce. La raacti cathodique associae h la piqfirati ne peut Atre la producti d'hydrogane et, correspd h la raducti polysulfures dc Expdrimtalemt, Newman et al- [178] cfirmt et / mtrt que. dans le corrosi par D. uulgaris d' acier carbe Ecorr gmte (anoblissemt la face) apras e diminuti initiale prdsce chlorure est ndcessaire et que le rapport [Cl~j /[tres isj doit la d'is (gal h I mame lorsque la cctrati H2S est 500 l~~ mg sup4rieur Atre st proposds et schdmatiquemt rdcapitulds la figure 3 ils ft intervir plusieurs aciers accepteurs d'alectrs H+ [180], H~S [181], S [182], Fe2P [183], 02 [178]. Le mier SO(~, S20(~, SO(~) et la ragulati du ph virnemtal par [es B-S R- st [es principx (S, respsables la corrosi. L'activitd mdtabolique s B-S-R- (raducti s sulfates) (ph 6,7). neutre approche Alectrochimique fdamtale prant compte [es modificatis du milieu Une est h noter que certaines s bactaries produisant s sulfures (ex- Desulfombrio sulfuricans) Il st aptes h r6duire [es is ferriques (Fe203 cnstallin) is ferreux [185]. Dans s darts [es processus corrosi. 652 JOURNAL DE PHYSIQUE III N 3 dans le s systames d'extracti gaz et patrole, la cctrati Nacl est 20 %, la temparature AlevAe (200 C), le C02 PrAst, le ph a e valeur 3 et l'oxygane est abst. La prasce H2S traine e piqfirati h e tsi prdsts dans [es srces gaz et pdtrole, H2S-, le film FeS initial prdste e acti passivante remarquable dans le corrosi absce chlorure, gros tubercules hdmisph4riques pr4stt ss leur face s piqfires, dans le corrosi prdsce chlorure, la corrosi est plus iforme et aflecte l'adh4rce s produits corrosi la pr4cipitati FeS le film FeS est nature poreuse et possa ainsi e forte capacita lors d'exparices d'impadancematrie la vitesse corrosi et l'gmtati Ecorr st dues h l'gmtati du crant la rdacti cathodique (2H+ + 2e~ ~ H2), Provant accroissemt d'e gmtati la face spacifique FeS. dans le la corrosi d'aciers inoxydables (Fe~l5Cr-10Ni) l'initiati la corrosi est fortemt improbable l'absce la rdacti cathodique rdducti l'oxygane. Plusieurs mdcanismes d'acti s bactdries produisant s sulfures lors la corrosi s m6canisme est proposa par Crolet et al. [184] dans lequel le matabolisme s composas sfras abtit h la formati sulfures, qui peuvt Atre oxydds par s traces d'oxygane diflusant h travers le biofilm- Cette oxydati abtit h la synthase d'is thiosulfate. La dismutati s is thiosulfate, qui ne repraste pas la raalita s raactis biochimiques, produit s is H+, diminuant ainsi localemt iformamt le ph h e valeur 5,4. Ceci traine la formati d'e cellule galvanique stable e ano acidifiae (ph 5,4) et e catho [02]) Produites par [es processus microbis la corrosi l'acier dx et s aciers (ph, est dnae par Buchanan et Stansburry [120]. inoxydables cditis n limitantes hydrogane, cette bact4rie est capable raduire simultanamt [es is sulfates et [es is ferriques- Cepdant cette activita n'a pu Atre mise Avidce

24 N 3 CORROSION INFLUENCEE PAR LES MICRO-ORGANISMES 653 Haw ~ 1 co ~ ~ ~ i+ ~ 2 Fe ~~o ~ 2e' catjjo Ano catjjo Ano ~~~ scwcemoe ~~~ suurcemoe 'Utt XYd $p H ~i ~ ~ Fe~ ~ c~o Amw An~& Mkwhme 5 Mdcw&me 6 ' ' ' ~~~j~~~~'~~~~ 3 DilfArts macanismes d'acti s BSR (H2ase = zyme hydroganase, BSR bactaries Fig. sulfato-rdductices)- [Dilfert mechanisms of SRB acti (H2ase, SRB).] J ~~, suurce moe ~ase ~sr BSR H %- HS~ h's $~ + 1/2H ~ ~~ FeS Fe ~ G' ~ Mdcmhme I Mdcw&me Xing et Miller (180) 1974 Costello (181) SO) SO~ CC~ co~ ~~ ~~~ $~ ~$~ OS * Fe~~ Fe~' ~~~ S' 2~. Fe ~~~' ~~ ~ Catl' Ano& Mdcwkme Ivers n(183) M*~~~~~.Fk2P=mmpmd«~/dphospha~(origin?) 198J ScMschl (182) datta~mer4 ~su~am mjtattque awwkdjydifkspru~carmvm SO( lacwte m m moe So (, U2 HS SO ( BSR ~("'l'y~~'~ ~~ Cl dismu~ti HS' ~~ FeS /~~ Fe~~ H~ S~i~~~ ~$~~~~~ HO ~ ~' ~ llllllllllll/ 2e ~~~ phdiminuei5,4 catjjo 1991 Newnwn (178) 1993 Crolet (183)

25 factants se forme h la face d' acier type C1020. Cette Amulsi est associae h e phase exptielle croissance- Cette p4rio cduit h e forte csommati d'oxygane, h e producti biomasse et h e forte producti biofactants. En milieu starile, l'acier est recvert d'e cche passive. Les relatis tre oxydati l'hexad6- BACTLRIES MLTHANOGLNES. Au laboratoire, s bactaries mathanoganes (anaarobies 4.7. utilist comme srce d'41ectrs soit du fer pur, soit le fer l'acier dx pr la strictes) raducti du C02 CH4 [187]. Cepdant le d4veloppemt bact4n est moms rapi [188, 189]. macanique bactaries, Rummococcus albus [190], Clostridmm acetobutyhcum [191,192] pro- DiflArtes l'hydrogane lors leur mdtabolisme. En ctact e face mdtallique (respectivemduist du palladium et acier dx), e quantitd d'hydrogane produit est adsorb d'hydrogane, la prdsce sulfure, et la diffusi l'hydrogane dans le biofilm. et Sphaerotilus st s bactdries qui oxydt [es is ferreux is ferriques et cst e corrosi ss ddp0t. Un modale gdndral pr le ddveloppemt la C-I-M- est proposd par et Morris [24] Ces is ferriques prdcipitt ss forme Fe(OH)~ (Fe203, Fe(OH)3.) Pope s nodules tubercules h la face l'acier- Cepdant ts les is fernques ne formant pas ce st s oxydants capables raagir ss [es nodules tubercules Les prdcipitt chlorures panatrt dans la ze anodique dissoluti du fer par migrati is diffusi. Difldrtes dquipes t mis point s systames permettant veiller [es installatis sus- subir la C-I-M- Ce chapitre ne pr4td pas Atre exhstif vers le ddnombremt ceptibles ts [es systames existants, seuls quelques exemples st citas- 654 JOURNAL DE PHYSIQUE III N PRoDucTioN D'AGENTS SURFACTANTS. Rhodococcus sp. H13 A, bact4rie Gram na- aarobie obligatoire, oxy [es alcanes (hydrocarbures) et secrate divers produits extracellulairegatif, (biofactants), acis gras, alcool gras, glycolipis-.. [186]. En milieu hexad4cane, e Amulsi stable compos4e bactanes, d'haxad4cane et bio- corrosi l'acier (meae par S-I E-). Le maximum corrosi est obtu s cellules cane et [es m6canismes corrosi ne st pas core stabiles pr [es teurs, la corrosi biologique par cette bact4rie est ctro14e par e mo14cule oxydante tre que l'oxygane ces substrats. Les bactaries impliqu#es st Methanococcus thermohthotrophicum (64 C), Methanosarcina barkeri (37 C), Methanobactum thermototrophicum (64 C). Un macanisme dapolarisati cathodique est proposa et csiste e oxydati l'hydrogane- Cet hydrogane est issu la raducti s prots assoc14e h l'oxydati du fer matallique PRODUCTION D'HYDROG(NE. L'tr d'hydrogbne atomique dans m#tat abtit h e perte ductilitd, h la craati ctraintes, fises et corrosi ss ctrainte le mdtal. Le rapport H2 adsorba/ H2 produit dans le biofilm est incnu et ddpd la par dvtuelle d'tres bactdnes produisant l'hydrogane, bactdries csommatrices pr4sce 4.9. PRoDucTioN DE DLPOT D'HYDROXYDE FERRIQUE. Les bactanes du type Galliella 5. Suivi site Kashara et al. [193] prastt e applicati csistant h combiner s techniques Alectro- comme l'registremt Ecorr, la polarisati linaaire et s mees d'impadance chimiques ctr01e ctinu d'installati. Licina et al- [194] dacrivt systame permettant suivre le daveloppemt biofilms dans s circuits refroidissemt d'e. Celui-ci est basa la mee l'eflet dapolarisant

26 L'influce du milieu vivant la ddgradati matdrix tels que [es aciers et [es assem- sdds est bi e r4alit4 regard s rasultats d4jh acquis dans ce domaine par blages dquipes recherche. difldrtes [es micro-organismes. par cditis corrosi influcs par [es micro-organismes st tras difliciles h moddliser Les laboratoire. De nombreuses mdthos d'investigati existt. mais certaines prdstt d'agir directemt le milieu vivant, et d'interf4rer le phdnomane 4tud14- l'incv4nit pr leur sti h ce travail. [1] Ivers W-P-, Adu. Appl. Microbial. 32 (1987) [3j Licina G-J. and Cubicciotti D., J. Metal. 41 (1989) [4] Licina G.J., Mater. Perform. 28 (1989) [5] McNeil M-B- and Little B-J-, Corrosi 46 (1990) [6] Seed L-J-, Corros. Rev. 9 (1990) [7] Breske T.C., Cantos- Austral. 16 (1991) N 3 CORROSION INFLUENCEE PAR LES MICRO-ORGANISMES 655 biofilms la r4acti cathodique s m4tx passivables- s et al- [195] prdcist la mise place d'dchantills mdtalliques dans [es instal- Freeman latis. Ces dchantills raguliaremt prdlevds et examinds permettt suivre l'dvoluti du biofilm et d'dvaluer [es eflets s traitemts biocis appliquds h l'installati- Les essais eflectuds s pipelines t mtrd que l'observati s biofilms immddiatemt apras leur est plus riche d'informatis que [es analyses fluis circulants. prdlavemt Mansfeld et Little [94] [es dquipemts s raflineries, industries chimiques et tres D'aprAs installatis industrielles st crammt protagds la corrosi et la C-I-M- grhce h s ctr01e ctinu dlectrochimiques telles que la technique polarisati lindaire- techniques ddtails exacts s mdcanismes corrosi prdsce micro-organismes ne st pas Les mais l'expdrice s ingdnieurs corrosi permet ddterminer [es nivex oh maitrisds, problame cofiteux corrosi apparait le suivi site la corrosi, [es techniques dlectrochimiques paraisst ndcessaires, Pr n suflisantes pr la C-I-M ctr01e direct du biofilm s dchantills judi- mais cieusemt placds dans [es installatis semble le compldmt important x mees dlectrochimiques. 6. Cclusi Le biofilm est l'dldmt nacessaire dans le dddchemt du processus corrosi influcd Le biofilm est 414mt complexe et [es chances progresser dans l'interpr4tati s m4canisnies la C.I-lvf, d4pdt l'am41iorati s cnaissances la physico-chimie celui-ci. Remerciemts Les teurs remercit l'lnstitut Sdure, (lectricitd France et [es dtablissemts R. Gross Bibliographie King R-A- and Miller J-D -A-, An tline of 150 man years of microbial corrosi studies [2j UMIST, Corrosi /88, Paper 368 (NACE, Hst, 1988) pp at

27 [8] Ibars J R-, Moro D-A- and Ranninger C-, Microbiologia 8 (1992) Corrosi Publicatis Ser. N 9, Metals U-K- (Ed- ), Ashgate Pub- Co- (1992)- of Kobrin G-, A practical manual microbiologically influced corrosi, Kobrin G-, Ed. [11] Internatial, Hst, 1993)- (NACE Ortiz C-, Guiamet P-S- and Vila H A., Int- Bioter. 26 (1990) [12] to the study of the interacti betwe biofling and passive layers mild approach and stainless st6el in cooling water, Corrosi/90, Paper 124 (NACE, Hst, steel [15] Kobrin G-, Mater. Perform. 15 (1976) [16] Pope D-H-, Soracco R-T- and lvil E-W-, Mater. Perform. 21 (1982) Trding of the extt of damage to stainless Steel Pipe welds affected by mi- induced corrosi (MIC) related to strgth reserve factor, Corrosi /89, crobiologically 515 (NACE, Hst, 1989) pp Paper Brnstuhl A-M-, Doherty P-E-, King P-S- and Dstail T-G-, The effects of Biofling [l9] the corrosi of nickel heat exchanger alloys at Ontario Hydro, Microbially. Influced 4 (Duke Power Inco Alloys Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) pp. Chap [20] Sinha U P, Wolfram J-H- and Rogers R-D Microbially influced corrosi of stainless in nuclear power plants, Microbially Influced Corrosi and Bioteriorati, steels Dowling, M-W- Mittelman and J-C Danko, Eds., Chap. 4 (Duke Power Inco Alloys N-J- Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) pp Strss S-D-, Pumps Compressors Values Piping (August, 1991) [21] Ivers W-P- and Ols G-J-, Problems related to sulfate-reducing bacteria in the pe- [22j troleum industry, Atlas R-M Petroleum Microbiology (Mac Millan, New York, 1984) pp. Hart R-A-, Whitaker J-M-, Hughes D M- and Templet M-P-, Mater. Perform. (September, [23j ) [24j Pope D-H- and Morris E-A-, Mater. Perform. (ilay, 1995) Lapointe M-, Stitt O.; Laliberte L M., Belanger L. and Cltier R D., Pulp Paper Can [25] (1979) Envirmtal Degradati in Nuclear Power Systems Water Reactors, Symposium Theus and J-R- Weeks, Eds. (The Metallurgical Society, 1988) pp G-J- [27] Butters J-, Process Engineering (February, 1990) [28] Thorpe P-M-, Appita 35 (1982) 505-sll. Scott P-J-B- and Davies M-, Microbiologically influced corrosi of high molybdium [31j stainless steel, Corrosi /89, Paper 186 (NACE, Hst, 1989) pp stitic Rly G-, Analyse avarie corrosi d' circuit incdie, RT/IS 25100, commicati [32j (1989) perselle 656 JOURNAL DE PHYSIQUE III N 3 Little B., Wagner and Mansfeld F-, Electrochem. Acta 37 (1992) [9] Microbiological gradati of materials and methods of protecti, European Ferati [10] ; [13] Vila H-A-, Mele M-F-L-, Silva R A Bianchi F- and Gzales Cananles C-, A practical pp. I-1?- 1990) Lee W- and Characklis W-G-, Corrosi 49 (1993) [14], [17] Lam K-W Meadow A-C- and Dtovich D-F-, CIM Bulletin 77 (1984) [18] Poole A-B -, Corrosi and Bioteriorati, N J Dowling, M-W- Mittelman and J-C- Danko, Eds., -, Pope D., Microbiologically influced corrosi in the nuclear power industry : e [26] methods of tecti; ctrol, and prevti, Proceedings 3rd Internatial histories, Stoecker J-G- and Pope D-H-, Mater. Perform. 25 (1986) [29] Zamanzah M. and O'Cnor K-, Mater. Perform. (September, 1989) [30j

28 Tiller A-K-, Aspects of Microbial corrosi, Corrosi Processes, R-N- Parkins, Ed-, [33j 3 (Applied Scice Publishers, Ld and New York, 1982) lls-156. Chap Kobrin G-, Reflexis microbiologically induced corrosi of stainless steels, Proceedings [34j of the Internatial Cferce in Biologically Induced Corrosi, Gaithersburg Maryland, Juin 1985, Dexter S-C-, Ed- (NACE 8, Hst Texas, 1986) pp of sacrifial anos, Microbially Influced Corrosi and Bioteriorati, performance Dowling, M.lV. Mittelman and J-C- Danko, Eds-, Chap. 3 (Duke Power Inco Alloys N-J- White D-, Jack R. and Dowling N-, The microbiology of MIC, Microbially Influced [40] and Bioteriorati, N-J- Dowling, M-W- Mittelman and J-C Danko, Eds., Corrosi Chap. I (Duke Power Inco Alloys Internatial, Inc, Tnessee Eastman, 1990) Lee W-C- and Characklis W-G-, Corrosi of mild steel r an anaerobic biofilm, [42] /90, Paper 126 (NACE, Hst, 1990) pp Corrosi Dexter S-C-, Sullivan S-C-, Wiliams J- and Wats S-W-, Appl- Microbiol- 30 (1975) [48j ) Dlan R-, Muia R- and Gibb D-, Sulphate Reducing Bacterial colizati of mild [slj [53j Little B-J-, Wagner P-, 3laki J-S-, Walch M- and Mitchell R-, J Adhesi 20 (1986) 187. Duddridge J-E- and Pritchard A-M, Microbio- Corros- Pro- Cf- (Met- Soc- Ld, [54] pp ) N 3 CORROSION INFLUENCEE PAR LES MICRO-ORGANISMES 657 Borstein S-W- and Lindsay P-B-, Mater. Perform. 27 (1988) [35j Borstein S-W-, Microbiologically influced corrosi failures of stitic stainless [36j steel welds, Corrosi /88, Paper 78 (NACE, Hst, 1988) pp I-11 Hamilt W-A-, Biofilms: Microbial interactis and metabolic activities (Ecology of [37] commities, Cambridge University Press, 1987) Microbial Soracco R-J-, Pope D-H-, Eggers ill- and Eflinger T-N-, Microbiologically influced [38] investigatis in electric power gerating statis, Corrosi /88, Paper 83 corrosi Hst, 1988) pp (NACE, Moosavi A-, Pirrie R- and Hamilt W., Effect of Sulphate Reducing Bacteria activity [39] Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) Morales J-, Esparza P-, GzalAs S., Salvarezza R- and Ar4valo M-P-, Corros So. 34 [41] (1993) Costert J-W- and Lappin-Scott H-M-, AS M News 55 (1989) [43j Busscher H-J- and Weerkamp A-H-, FEMS Microbial. Rev. 46 (1987) [44j Marshall K-C-, Stt R- and Mitchell R-, J- G- Microbiol. 68 (1971) [45j van Loosdrecht M-C-M-, Lyklema J-, Nor W- and Zehnr A-J-, Microbiol- Ecol. 17 [46j (1989) Brankevich G-, Mele ii-f- and Vila H-A-, Rev. Iber Corros Prot 17 (1986) [47j Vila H-A-; Mele M-F-L- and Brankevich G-, Corrosi 44 (1988) [49j Lemaitre C-, Hemanz G-, Beranger G. and Gueznec J-, Mater. Techn- (D4cembre, [50j steel in recirculating cooling water, Microbially Influced Corrosi and Bioteriora- N J Dowling, M-W- Mittelman and J-C Danko, Eds-, Chap 2 (Duke Power Inco ti, Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) Alloys Feugeas F-, Ehret G- and Cornet A., Microscopy of biofilms formed mild steel and [52j steel in grnd water, Smis h Corrosi. stainless, [55] Ch J-R-, Chy S-D Lew S-I-, Huang C-J-, Fang C-S- and Tse W-S-, Appl- Surf So. (1988) /34 Mele M-F-L-, Brankevitch G- and Vila H-A-, British Corrosi 24 (1989) [56j Little B-J- and De Palma J-R-, 7keatise Mat. So. Technoi. 28 (1988j 89-l19- [57j Costert J W and Lash E-S-, Mater. Perform. 40 (1984) [58j

29 pp, pp Geesey G-G-, Mittleman M-W-, Iwaoka T- and Grifliths P-R-, Mater. Perform. 25 (1986) [68j pp ) Tatnall R-E-, Mater. Perform. 20 (1981) [7l] Pope D-, Discussi of methods for the tecti of microorganisms involved in microbiologycaly [73] influced corrosi, Proceedings of the Internatial Cferce in Biologically Franklin M-, White D- and Isaacs S-, Effect of bacterial biofilms carb stell pit [74] in phosphate ctaining medium, Microbially Influced Corrosi and Bio- propagati N-J- Dowling, M-W- Mittelman and J-C- Danko, Eds, Chap. 3 (Duke teriorati, Inco Alloys Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) Power Horaceck G-, Biocorrosi in the oilfield I- Experimtal methods velopmt Scanning [75j microscopy technique, Corrosi/86, Paper 86 (Nace, Hst, 1988) pp. I-G- electr Zhang X-, Joy C- and Buchanan R-A-, Electr microscopy study of microbially influced [76j corrosi, Microbeam Analysis, Russell PE-, Ed- (San Francisco Press, Inc, San [77j Zahio W-M and Ganc~arczyk J-J-, Water Enmr. Res. 66 (1994) Aldrich H., Choate A., Mc Dowell L-, Bo P-, Chynoweth D., Pope D. and Yang J-, [78] of microbial corrosi of pipeline steel in a mol system, Microbially In- Microscopy Corrosi and Bioteriorati, Dowling N-J-, Mittelman M-W, Danko J-C, fluced Chap. 5 (Duke Power Inco Alloys Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) Eds-, [791 Costert J-W-, Geesey G-G- and Jes P-A-, Mater. Perform. 27 (1988) [8l] Steele A-, Goddard D-T- and Beech I-B-, Int- Bioter- Biograd. (1994) JOURNAL DE PHYSIQUE III N 3, [59j Soleitner B-, Fietcher A- and Woschitz D J- Biotechnol- 6 (1987) Walsh D, and Seagae L-W-, Microbiologically influced corrosi of stainless steel weldmts- [60j attachmt and film evaluati, Corrosi /92, Paper 165 (NACE, Hst, 1992) Tatnall Mater. Perform. (September, 1981) [61j R-E-, R-A- and Yng R-D-, A history: Agostini investigatis of microbially influced e [62j corrosi in a West Texas waterflood, Corrosi/90, Paper l19 (Nace, Hst, 1990) Gueznec J-, Antoine E- and Cte M-, Matdr~x et Techniques (Avril, 1992) [63j De Saravia S-G-G-, Guiamet P-S-, Mele M-F.L- and Vila H-A-, Corrosi 47 (1991) [64j Ford T-E-, Maki J-S 'and Mitchell R-, The role of binding bacterial exopolymers in [65j processes, Corrosi /87, Paper 380 (Nace, Hst, 1987) pp corrosi Brown M-J- and Lester J-N-, Water Res. 16 (1982) [66] Brown M-J- and Lester J-N-, Water Res. 16 (1982) [67] Little B., Wagner P-A and Jacobus J-, Mater. Perform 8 (1988) [69j Black J.P-, Ford T-E- and Mitchell R-, Corrosi behavior of metal-binding exopolymers [70j from ir and manganese-positing bacteria, Corrosi /88, Paper 94 (Nace, Hst, Franklin M-J-, Nivs D-E-, Vass A-A-, Mittleman M-W-, Jack R-F-, Dowling N-J-E- and [72] D-C-, Corrosi( 47 (1991) White Induced Corrosi, Gaithersburg Maryland, Juin 1985, S-C Dexter, Ed- (Nace 8, Hst Texas, 1986) pp Francisco, 1989) pp Costert J-W-, Lewandowski Z-, DeBeer D-, Caldwell D-, Korber D. and James G-, J- [80] 176 (1994) Bacterial.

30 N-J- Dowling, M-W- Mittelman and J-C Danko, Eds., Chap. 5 (Duke Bioteriorati, Inco Alloys Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) Power Tatnal R-E-, Stant K-M and Ebersole R C-, Methods of testing for the presce of [85] reducing bacteria, Corrosi /88, Paper 88 (Nace, Hst, 1988) pp sulfate Mittelman M-W-, Bacterial growth and biofling ctrol in purified water systems, [86] and biocorrosi in industrial water systems, H-C- Flemming, G- Geesey, Eds- Biofling Influced Corrosi and Bioteriorati, N-J- Dowling, M W- Mittelman Microbially J C- Danko, Eds-, Chap 5 (Duke Power Inco Alloys Internatial, Inc., Tnessee and Eastman, 1990) [88] Yu F P-, Pyle B-H- and Mcfeters G-A-, J- Microbial. Meth. 17 (1993) White D-, Nivs D-, Nichols P-, Mikell A-, Kerger D-, Hs J-, Geesey G- and Clarke [89] Role of aerobic bacteria and their extracellular polymers in the facilitati of cor- C., use of Frier Transforming Infrared spectroscopy and "signature" phospholipid rosi: acid analysis, Proceedings of the Internatial Cferce in Biologically Induced fatty Gaithersburg Maryland, Juin 1985, S-C- Dexter, Ed- (Nace 8, Hst Texas, Corrosi, pp ) Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) 1-12 Hamilt W-A- and Maxwell S., Biological and corrosi activities of sulphate reducing [91] within natural biofilms, Proceedings of the Internatial Cferce in Biologi- bacteria Induced Corrosi, Gaithersburg Maryland, Juin 1985, S-C- Dexter, Ed. (NACE cally Hst Texas, 1986) pp , [92] Freeman C- and Lock M-A-, Water. Res. 29 (1995) [96] Johns R- and Bardal F-, Corrosi 41 (1985) N 3 CORROSION INFLUENCEE PAR LES MICRO-ORGANISMES 659 Nivs Chambers J- and White D-, N structive motoring of microbial biofilms [82] D., solid interface using line liquid vices, Microbially Influced Corrosi and at Nivs D-E-, Nichols PID., Hs J-M-, Geesey G-G- and White D-C-, Corrosi 42 [83] (1986) Tuovin O H- and Cragnolino G., A review of microbiological electrochemical techniques [84] the study of corrosi induced by sulfate reducing bacteria, Corrosi Motoring in in Industrial Plants Using Nstructive Testing and Electrochemical Methods, ASTM STP 908, lvforaii G-C-, Labine P-, Eds- (Philalphia, 1986) pp Verlag Berlin, 1990) pp (Springer Tatnall R- and Horacek G., New perspectives testing for sulphate reducing bacteria, [87] Dowling N-, Brooks S-, Phelps T- and White D-. Synergistic corrosi of pipeline steel [90] obligately anaerobic bacteria, Microbially Influced Corrosi and Bioteriorati, by N-J- Dowling, M-W- Mittelman and J-C- Danko, Eds-, Chap. 3 (Duke Power Inco Alloys Phelps T-, Dowling N- and White D., Techniques for assessing microbial activities associated [93] with microbially influced corrosi, Microbially Influced Corrosi and Bioteriorati, N-J- Dowling, M-W- Mittelman and J-C Danko, Eds-, Chap 5 (Duke Power Inco Alloys Internatial, Inc Tnessee Eastnian, 1990) , Mansfeld F- and Little B-, Corros- So. 32 (1991) [94] Dexter S-C-, Duquette D J-, Siebert O-W- and Vila H-A-, Corrosi 47 (1991) [95] [97] Scotto V-, Di Cintio R and Marcaro G, Corros- So. 25 (1985) Scotto V-, Alabiso G- and Marcaro G-, Bioelectrochem- Bioerg. 16 (1986) [98] Gallagher P-, Malpas R-E- and She E-B-, Br. Corr- J. 23 (1988) [99j Dexter S-C-, Corrosi 45 (1989) [100j Mansfeld F-, Little; B and Dexter S-C-, Corrosi 45 (1989) [101j

31 tubular flow system, Microbially Influced Corrosi and Bioteriorati, N-J- ratory M-W- Mittelman and J-C- Danko, Eds-, Chap. 3 (Duke Power Inco Alloys Dowling, Borstein S-W-, Influce of welding variables microbiologically influced corrosi [105j stitic stainless steel weldmts, Corrosi /89, Paper 183 (Nace, Hst, 1989) of pp, Fer D-, Chemical and electrochemical aspects of the corrosi of stainless steel in the [l06j of sulphate reducing bacteria, Microbially Influced Corrosi and Biotorati, presce N-J- Dowling, M-W- Mittelman and J-C- Danko, Eds-, Chap. 5 (Duke Power [107] Buchanan R-, Zhang X-, Li P-, Stansbury E-, Dowling N., Hall T. and Lindberg A-, Effects M-W- Mittelman and J-C- Danko, Eds-, Chap. 3 (Duke Power Inco Alloys Dowling, Inc., Tnessee Eastman, 1990) Internatial, 187 (Nace, Hst, 1989) pp. I-1? Paper Zhang X-, Buchanan R, Stansbury E- and Dowling N-, Electrochemical respses of [l10j 1989) pp Hst, Webster B-, Kelly R- and Newman R-, The electrochemistry of SRB corrosi in sti- [lllj stainless steel, Microbially Influced Corrosi and Bioteriorati, N-J- Dowling, tic Mittelman and J C- Danko, Eds-, Chap. 2 (Duke Power Inco Alloys Internatial, M-W and Bioteriorati, N-J- Dowling, M-W- Mittelman and J-C- Danko, Eds-, Corrosi 3 (Duke Power Inco Alloys Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) Chap. Franklin N-J-, Nivs D-E, Guckert J-B- and White D-C-, Corrosi 47 (1991) [l13] Kasahara K- and Kajiyama F-, Electrochemical aspects of microbiologically influced [l14] M-W- Mittelman and J-C- Danko, Eds-, Chap. 2 (Duke Power Inco Alloys Dowling, Inc., Tnessee Eastman, 1990) IntematiaJ, Crolet J-, Du mdcanisme gdndral x mdcanismes particuliers la corrosi localis, [lls] h l'dcole d'tomne du CNRS, La corrosi localis, 26 sept- 2 oct-, Commicati Ed-, Bruxelles Luxembrg, 1985)- Europdnes, Dmas S-, Massiani Y- and Crsier J-, Corros- Sm. 28 (1988) [l1?] [ll8j Pankhania I-, Moosavi N. and Hamilt W-, J- G- Microbiol- 132 (1986) JOURNAL DE PHYSIQUE III N 3 Bbzid-Rollet N-, Gueznec J, Cte M- and Prieur D-, Experimtal biofilms [102j sulphate reducing and fermtative bacteria stainless steel in a labo- ctaining Inc., Tnessee Eastman, 1990) Internatial, Subramanian G-, Chandrasakaran P-, Eashwar M- and Guruviah S-, Bull. Electrochem [103j 6 (1990) Grs R., Johans B-, Gartland P-O-, Fiskdal L-, Vintermyr I-, Told R- and [104j G-, Corrosi 47 (1991) Hag Inco Alloys Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) face cditis susceptibility to microbially influced corrosi stainless steel weldmts and carb steel, Microbially Influced Corrosi and Bioteriorati, N-J Stern i~- and Geary A., J- Electrochem. Sac. 104 (1957) 56. [l08] Dowling J-, Franklin M-, White D-, Lee C- and Ldin C., The effect of microbiologically [109] influced corrosi stainless steel weldmts in artificial sea water, Corrosi/89, stmctural materials to microbially influced corrosi, Corrosi /89, Paper 512 (Nace, Tnessee Eastman, 1990) Inc., Ferrante V. and Fer D-, Microbially influced corrosi of steels ctaining molyb- [l12] dum and chromium: a biological and electrochemical study, Microbially Influced corrosi buried pipes, Microbially Influced Corrosi and Bioteriorati, N-J- Banyuls--mer (1992)-, [l16] Colin F Mise point mdthos mee l'activitd microbiologique et corrosive s bactdries sulfato-rdductrices, Rapport EUR 9701 FR (Commissi s CommtAs

32 related to microbially influced corrosi, Microbially Influced Corrosi and Bio- N-J- Dowling, M-W- Mittelman and J-C- Danko, Eds-, Chap. I (Duke Power teriorati, Alloys Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) Inco Mollica A-, Vtura G- and Traverso E., On the mechanism of corrosi induced by [l21] growth biofilm the active /passive alloys in seawater, Microbially Influced Corrosi Power Inco Alloys Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) (Duke Lewandowski Z-, Lee W-, Characklis W- and Little B-, ph at polarized metal faces: [122j meaemt and implicatis for MIC, Microbially Influced Corrosi and theory, N-J- Dowling, M-W- Mittelman and J-C- Danko, Eds., Chap. 2 (Duke Bioteriorati, Hull Plate, Industrial Corrosi 2 (1987) ship's Berge M- and Calle M-, Corrosi of treated water piping [l28j electric ergy producti in European Symposium Corrosi, Deteriorati of buildings CSTB Cefracor plants, pp (1990) Ld K-C and Stastny T-M-, Sulfate reducing bacteria in oil and gas producti, [l29j /85, Paper 296 (Nace, Hst, 1985) pp Corrosi Tiller A-K-, Int- Bioter. 24 (1988) [l30j Borstein S.W- and Lindsay P-B [131j and cducting microbiologically influced Planning failures analyses, Corrosi /87, Paper 381 (Nace, Hst, 1987) pp corrosi Puckorius P-R-, Mater. Perform. 12 (1983) [134j Thorpe P-H-, Prep. Pap- Annu- Cf- Australas- Corros- Assoc. Corros. Autalas. 18 [135j (1978) Gdr T., Cleland R- and Lavoie P-, The role of chlori and SRB in rpositcor- [136j of alloy 800 in fresch water, Microbially Influced Corrosi and Bioteriorati, rosi Dowling, M-W- Mittelman and J-C- Danko, Eds-, Chap. 2 (Duke Power Inco Alloys N-J- welds?, Corrosi /91, Paper 286 (Nace, Hst, 1991) pp [142] Borstein S-W-, Mater. Perform. 30 (1991) N 3 CORROSION INFLUENCEE PAR LES MICRO-ORGANISMES 661 Ringas C- and Robins F-P-A-, Corrosi 44 (1987) [l19j Buchanan R- and Stansbury E-, Fdamtal of cpled electrochemical reactis as [120j and Bioteriorati, N-J- Dowling, M-W- Mittelman and J-C- Danko, Eds, Chap. 2 Power Inco Alloys Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) Salvago G, Taccani G. and Fumagalli G-, Electrochemical approach to biofilms mitoring, [123j Microbially Influced Corrosi and Bioteriorati, N-J Dowling, M-W- Mittelman and J-C- Danko, Eds., Chap. 5 (Duke Power Inco Alloys Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) 1-8- Moro D., De Mele M-, Ibars J- and Vila H-, Corros- Sci. 47 (1991) 2-9 [l24j Moro D., Ibars J-, Ranninger C- and Vila H-, Corrosi 48 (1992) [125] Lbubyanova V-I-, Emets G-P- and Norokha Y-M-, Zacsh- Met. 21 (1985) [126] Campbell S-A-, Scannel R-A- and Walsh F-C-, Microbially-assisted pitting corrosi of [127j -, Borstein S-W- and Lindsay P-B-, Mater. Perform (April, 1994) [132j Kobrin G, Mater. Perform. (April, 1995) [133j Inc., Tnessee Eastman, 1990) 1-8. Internatial, Scott P-J-B- and Davies M-, Mater. Perform. 5 (1989) [137], [138] Scott P-J B-, Goldie J- and Davies M Mater. Perform. 30 (1991) Borstein S-W-, Mater. Perform 27 (1988) [139] Borstein S-W- and White D-C-, Influce of welding variables microbiologically in- [140] fluced corrosi of stitic stainless steel weldmts, Corrosi /89, Paper 183 (Nace, 1989) pp Hst, Borstein S-W-, Why does microbially influced corrosi occur prefertially at [l4lj

33 Keams J-R- and Borstein S-W-, Microbially influced corrosi testing of weld [143j alloys for nuclear power plant service water systems, Corrosi /91, Paper 279 stainless Biofling and Biocorrosi, Stuggart, September 13-14, 1990, H--C- Fleming Industrial G-G- Geesey, Eds- (Spnnger-Verlag, 1991) pp and Eashwar M-, Subramanian G. and Chandrasekaran P-, India Bull. Electroch. 6 (1990) [152] (1992) Eashwar M-, Chandrasekaran P, Subramanian G. and Balakishman K-, Corrosi 49 [l55] 108-l13- (1993) Tatnall R-E-, Experimtal methods in biocorrosi, Proceedings of the Internatial [l56] Biologically Induced Corrosi Je 1985 Gaithesburg Maryland, Cferce Dexter, Ed., Natial Associati of Corrosi Engineers Hst Texas (1986) S-C- pp Vass A-A- and Isaacs H-S-, Microbiology influced corrosi of carb steels, M-W-, /90, Paper 103 (Nace, Hst, 1990) pp Corrosi 1-6- pp Bdno A., v Holy A. and Baecker A-A-W-, Int- Bioter. 25 (1989) [l62] Little B-, Wagner P-, Gerchakov S-M-, Walch M- and Mitchell R., Corrosi 42 (1986) [163] JOURNAL DE PHYSIQUE III N 3 Hst, 1991) pp. I-1?- (Nace, Mansfeld F-, Tsai R-, Shih H-, Little B-, Ray R- and Wagner P-, Corros. Sci. 33 (1992) [144j Pg C -G- and Park J-K-, Corrosi 50 (1994) [145j Hemanz G., Kucera V-, Thierry D., Pers A. and Hermanss M-, Corrosi 50 [146j (1994) Elbeik S., Tseg A-C-C- and Mackay A L-, Corros Sci. 26 (1986) [147j Tran Thi Tuj-et M-, (tu la corrosi d'aciers cstructi navale milieu d'e [148] mer, ThAse Doctorat INPG (1990) Hamilt W A-, Sulphate-reducing bacteria and their role in biocorrosi, Biofling and [149] in industrial water systems, Proceedings of the Internatial Workshop biocorrosi Robins M-J- and Kilgall P-J-, Corrosi so (1994) [l50] Mele M-F-L-, Moro D-A-, Ibars J-R- and Vila H-A-, Corrosi 47 (1991) [lsl] Griffin R-B-, Cornwell L-R-, Seitz W- and Estes E-, Mater. Perform. 28 (1989) [153] Eashwar M., Subramanian G-, Chandrasekaran P- and Balakrishnan K-, Corrosi 48 [154] Stoecker J-G-, Mater. Perform. 23 (1984) [157] White D-C-, Jack R-F-, Dowling N-J-E-, Franklin M-J-, Nivs D-E-, Brooks S-, Mittelman [158j, [l59j Obuekwe C-O-, Westlake D-W-S-, Plambeck J-A- and Cook F-D Corrosi 37 (1981) Westlake D-W-S, Semple K-M- and Obuekwe C-O, Corrosi by ferric ir-reducing [160j isolated from oil producti systems, Biologically induced corrosi, Procee- bacteria of the Internatial Cferce Biologically Induced Corrosi, Gaithesburg dings Je 1985, S-C- Dexter, Ed- (Natial Associati of Corrosi Engi- Maryland, neers Hst Texas 1986) pp Little B-J- and Wagner P-A-, An electrochemical evaluati of microbiologically induced [161] by two ir-oxidizing bacteria, Corrosi /86, Paper 122 (Nace, Hst, 1986) corrosi Ford T-E-, Walch M- and Mitchell R-, Mater. Perform. 26 (1987) [164] Asht S-A-, Miller D-A- and King R-A-, Br- Corr- J- 8 (1973) [165] Little B-, Wagner P- and Duquette D-, Corrosi 44 (1988) [l66j Lewandowski Z-, Lee W-C-, Characklis W-G- and Little B-, Corrosi 45 (1989) [167j

34 Pope D-H-, Zintel T-P-, Kuruvilla A-K- and Siebert O-W-, Organic corrosi of carb [168j a mechanism of microbiologically influced corrosi, Corrosi/88, Paper 79 steel: Hst, 1988) pp (Nace, Hamilt W-A-, Ann- Rev. Microbial. 39 (1985) [l69j Coleman M-L-, Hedrick D B-, Lovley D-R-, White D-C- and Pye K-, Nature 361 (1993) [l85] Dowling N-J-E-, Bull J-, White D-C- and Finnerty W-R-, Biocorrosi of carb steel [186] an alkane-utilizing microorganism, Corrosi /91, Paper 276 (Nace, Hst, 1991) by pp [189] Edyvean R-G-J-, Marine Technol- Soc- J 243 (1990) 5-9. Walch M- and Mitchell R-, Microbial influce hy.drog uptake by metals, Proceedings [190] of the Internatial Cferce in Biologically Induced Corrosi, Gaithersburg Paper 18 (Nace, Hst, 1989) pp Corrosi/89, Walch M-, Ford T-E- and Mitchell R., Corrosi 45 (1989) [l92j N 3 CORROSION INFLUENCEE PAR LES MICRO-ORGANISMES 663 Institut of Materials, 1993) pp (The Hamilt ~V-A-, Mecanisms of microbial corrosi, Proc- Inst. Pet., Ld (1987) pp. [172] Pankhania I-P., Biofhngl (1988) [170j Magot M, Tardy C-, Cmette P-, Hurtevt C- and Crolet J-L-, Idtificati of sul- [171j reducing bacteria from producti water of varis oil fiels, Progress in the rstandinphate and prevti of corrosi, Barcele, J-M- Costa and A-D- Mercer, Eds- I-11- Dmas S., Crsier J- and Crsier J-P-, Mdtx Corrosi Industr~e 1 (1988) [l73j King R-A-, Miller J-D-A- and Wakerkey D-S-, British Corr- J- 8 (1973) [174j Ringas C- and Robins F-P-A-, Corrosi 44 (1988) [175j Salvarezza R-C- and Vila H-A-, Corrosi 36 (1980) [176j Hardy J-A- and Bown J-L-, Corrosi 40 (1984) [177j Newman R C., Webster B J- and Kelly R-G-, ISIJ Internatial 31 (1991) [178j [179j Newman R-C-, Wg W-P-, Ezuber H- and Garner A Corrosi 45 (1989) , [180j King R-A- and Miller J-D A Nature 233 (1971) , Costello J-A-, S- A J- So. 70 (1974) [181j Schaschl E-, Mater. Perform. 19 (1980) [182j Ivers W.P-, Mater. Perform. 23 (1984) [l83j Crolet J-L-, Dmas S- and Magot M-, ph regulati by sulfate reducing bacteria, [184j Corrosi /93, Paper 303 (Nace, Hst, 1993) pp Daniels L-, Belay N-, Rajagopal B-S- and Weimer P-J-, Scice 237 (1987) [187] Ford T- and Mitchell R-, Marine Technol- Soc- J. 24 (1990) [188] ' Juin 1985, S-C- Dexter, Ed- (Nace 8, Hst Texas, 1986) pp Maryland, Ford T-E- and Mitchell G-J-, Hydrog embrittlemt: a microbiological perspective, [191j Kasahara K- and Kajiyama F., Biologically Induced Corrosi, Proc- Int- Cf- NACE [193j (1986) Licina G-, An electrochemical method for mitoring the velopmt of biofilms in cooling [194j water, Microbially Influced Corrosi and Bioteriorati, N J Dowling, M W Mittelman and J-C- Danko, Eds-, Chap. 5 (Duke Power Inco Alloys Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) Freeman E-B-, Detecti and ctrol of bacterial corrosi sing internal corrosi [195j Microbially Influced Corrosi and Bioteriorati, N-J- Dowling, M-W- motors, Mittelman and J-C- Danko, Eds-, Chap. 6 (Duke Power Inco Alloys Internatial, Inc., Tnessee Eastman, 1990) 9-18-

La voix en images : comment l évaluation objectivée par logiciel permet d optimiser la prise en charge vocale

La voix en images : comment l évaluation objectivée par logiciel permet d optimiser la prise en charge vocale La voix en images : comment l évaluation objectivée par logiciel permet d optimiser la prise en charge vocale Stéphanie Perriere To cite this version: Stéphanie Perriere. La voix en images : comment l

Plus en détail

Système de diffusion d information pour encourager les PME-PMI à améliorer leurs performances environnementales

Système de diffusion d information pour encourager les PME-PMI à améliorer leurs performances environnementales Système de diffusion d information pour encourager les PME-PMI à améliorer leurs performances environnementales Natacha Gondran To cite this version: Natacha Gondran. Système de diffusion d information

Plus en détail

Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile

Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile W. Lermantoff To cite this version: W. Lermantoff. Sur le grossissement

Plus en détail

statique J. Bertrand To cite this version: HAL Id: jpa-00237017 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237017

statique J. Bertrand To cite this version: HAL Id: jpa-00237017 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237017 Quelques théorèmes généraux relatifs à l électricité statique J. Bertrand To cite this version: J. Bertrand. Quelques théorèmes généraux relatifs à l électricité statique. J. Phys. Theor. Appl., 1874,

Plus en détail

AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales

AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER To cite this version: Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER. AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales.

Plus en détail

L indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne

L indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne L indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne Sophie Morlaix To cite this version: Sophie Morlaix. L indice de SEN, outil de mesure de l équité

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

Les Champs Magnétiques

Les Champs Magnétiques Les Champs Magnétiques Guillaume Laurent To cite this version: Guillaume Laurent. Les Champs Magnétiques. École thématique. Assistants de prévention, Paris, France. 2014, pp.31. HAL Id:

Plus en détail

Sur la transformation de l électricité statique en électricité dynamique

Sur la transformation de l électricité statique en électricité dynamique Sur la transformation de l électricité statique en électricité dynamique E. Bichat To cite this version: E. Bichat. Sur la transformation de l électricité statique en électricité dynamique. J. Phys. Theor.

Plus en détail

Budget Constrained Resource Allocation for Non-Deterministic Workflows on a IaaS Cloud

Budget Constrained Resource Allocation for Non-Deterministic Workflows on a IaaS Cloud Budget Constrained Resource Allocation for Non-Deterministic Workflows on a IaaS Cloud Eddy Caron, Frédéric Desprez, Adrian Muresan, Frédéric Suter To cite this version: Eddy Caron, Frédéric Desprez, Adrian

Plus en détail

LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES

LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES CONGRÈS MATÉRIAUX 2014 Colloque 6 «Corrosion, vieillissement, durabilité, endommagement» LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES Une méthode non destructive pour contrôler le vieillissement et l endommagement

Plus en détail

Sylvain Meille. Étude du comportement mécanique du plâtre pris en relation avec sa microstructure.

Sylvain Meille. Étude du comportement mécanique du plâtre pris en relation avec sa microstructure. Étude du comportement mécanique du plâtre pris en relation avec sa microstructure Sylvain Meille To cite this version: Sylvain Meille. Étude du comportement mécanique du plâtre pris en relation avec sa

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la

Plus en détail

Jessica Dubois. To cite this version: HAL Id: jpa-00205545 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205545

Jessica Dubois. To cite this version: HAL Id: jpa-00205545 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205545 Mesures de la charge électrique de gouttelettes d eau ou de solutions salines au cours de processus d évaporation, ou de condensation de vapeur d eau sur elles Jessica Dubois To cite this version: Jessica

Plus en détail

Viandes, poissons et crustacés

Viandes, poissons et crustacés 4C la Tannerie BP 30 055 St Julien-lès-Metz F - 57072 METZ Cedex 3 url : www.techlab.fr e-mail : techlab@techlab.fr Tél. 03 87 75 54 29 Fax 03 87 36 23 90 Viandes, poissons et crustacés Caractéristiques

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

Peut-on perdre sa dignité?

Peut-on perdre sa dignité? Peut-on perdre sa dignité? Eric Delassus To cite this version: Eric Delassus. Peut-on perdre sa dignité?. 2013. HAL Id: hal-00796705 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00796705 Submitted

Plus en détail

Qu est-ce que l acier inoxydable? Fe Cr > 10,5% C < 1,2%

Qu est-ce que l acier inoxydable? Fe Cr > 10,5% C < 1,2% Cr > 10,5% C < 1,2% Qu est-ce que l acier inoxydable? Alliage de fer comportant 10,5 % de chrome et 1,2 % de carbone nécessaires pour garantir la formation d une couche de surface auto-régénérante (couche

Plus en détail

N 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3

N 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3 Du côté de la Recherche > Managemen t de projet : p1 L intégration des systèmes de management Qualité -Sécurité- Environnement : résultats d une étude empirique au Maroc Le co ntex te d es p roj et s a

Plus en détail

Demande chimique en oxygène

Demande chimique en oxygène Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse

Plus en détail

Catalogue professionnel Ä. Ç Licence d exploitation du logiciel Ä MERCATOS Ç DÑveloppement SEEG NTIC Edition

Catalogue professionnel Ä. Ç Licence d exploitation du logiciel Ä MERCATOS Ç DÑveloppement SEEG NTIC Edition Catalogue professionnel Ä. Ç Licence d exploitation du logiciel Ä MERCATOS Ç DÑveloppement SEEG NTIC Edition PROPOSITION COMMERCIALE - LICENCE D EXPLOITATION (rayer toutes les mentions inutiles avant signature

Plus en détail

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol. LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

Famille continue de courbes terminales du spiral réglant pouvant être construites par points et par tangentes

Famille continue de courbes terminales du spiral réglant pouvant être construites par points et par tangentes Famille continue de courbes terminales du spiral réglant pouvant être construites par points et par tangentes M. Aubert To cite this version: M. Aubert. Famille continue de courbes terminales du spiral

Plus en détail

Le modäle conceptuel de donnåes (MCD)

Le modäle conceptuel de donnåes (MCD) BTS Informatique de Gestion 1 Äre annåe DAIGL (ModÅlisation) Chapitre 1 Page 1 / 14 LycÄe Jean Rostand CHANTILLY Jean-Marie Cardoni Cours DAIGL (analyse) (1 Äre annåe) BTS INFORMATIQUE DE GESTION 1 Condition

Plus en détail

Concours d accås en 4 Äme annåe du Programme Grande Ecole Examen Type Epreuve de spåcialitå Finance (Master Finance) DurÅe : 3H

Concours d accås en 4 Äme annåe du Programme Grande Ecole Examen Type Epreuve de spåcialitå Finance (Master Finance) DurÅe : 3H Concours d accås en 4 Äme annåe du Programme Grande Ecole Examen Type Epreuve de spåcialitå Finance (Master Finance) DurÅe : 3H Partie I : Gestion financiäre Cas nå 1 Une sociätä späcialisäe dans la production

Plus en détail

Recommandations pour le contrôle par méthode électrique des défauts des revêtements organiques appliqués sur acier en usine ou sur site de pose

Recommandations pour le contrôle par méthode électrique des défauts des revêtements organiques appliqués sur acier en usine ou sur site de pose RECOMMANDATION PCRA 003 Octobre 2003 Rev.0 Commission Protection Cathodique et Revêtements Associés Recommandations pour le contrôle par méthode électrique des défauts des revêtements organiques appliqués

Plus en détail

Les intermédiaires privés dans les finances royales espagnoles sous Philippe V et Ferdinand VI

Les intermédiaires privés dans les finances royales espagnoles sous Philippe V et Ferdinand VI Les intermédiaires privés dans les finances royales espagnoles sous Philippe V et Ferdinand VI Jean-Pierre Dedieu To cite this version: Jean-Pierre Dedieu. Les intermédiaires privés dans les finances royales

Plus en détail

Dr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch

Dr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch 1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément

Plus en détail

contributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores

contributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Les multiples contributions de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Jean-Charles Flores est spécialiste de l électronique organique au sein de la société BASF

Plus en détail

Exemple PLS avec SAS

Exemple PLS avec SAS Exemple PLS avec SAS This example, from Umetrics (1995), demonstrates different ways to examine a PLS model. The data come from the field of drug discovery. New drugs are developed from chemicals that

Plus en détail

GUIDE D UTILISATION. Centrale-sirène-transmetteur 371-21F. www.daitem.com. www.proxeo.fr

GUIDE D UTILISATION. Centrale-sirène-transmetteur 371-21F. www.daitem.com. www.proxeo.fr GUIDE D UTILISATION Centrale-sirène-transmetteur 7-F www.daitem.com Guide d utilisation QUELQUES PRECAUTIONS Ne laissez pas votre télécommande apparente. Gardez une télécommande de secrs dans un endroit

Plus en détail

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -, Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

Statuts CITEC Suisse

Statuts CITEC Suisse Statuts CITEC Suisse I. Nom, siäge, buts Art. 1 Art. 2 Nom et siäge Sous le nom de CITEC Suisse (dånommåe ci-apräs association), est crååe une sociåtå dans le sens du Code civil suisse. L'association a

Plus en détail

Étude des formes de pratiques de la gymnastique sportive enseignées en EPS à l école primaire

Étude des formes de pratiques de la gymnastique sportive enseignées en EPS à l école primaire Étude des formes de pratiques de la gymnastique sportive enseignées en EPS à l école primaire Stéphanie Demonchaux To cite this version: Stéphanie Demonchaux. Étude des formes de pratiques de la gymnastique

Plus en détail

ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard

ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation

Plus en détail

T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?

T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de

Plus en détail

République Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005

République Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005 République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l énergie et des Mines Direction des systèmes d information, des analyses économiques et de la documentation Résultat du Secteur de l Energie

Plus en détail

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.

Plus en détail

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:

Plus en détail

Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments

Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments .Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)

Plus en détail

OBSERVATOIRE des Vacances et des Loisirs des Enfants et des jeunes

OBSERVATOIRE des Vacances et des Loisirs des Enfants et des jeunes OBSERVATOIRE des Vacances et des Loisirs des Enfants et des jeunes LES STAGIAIRES BAFA DU FINISTERE Octobre 2008 EnquÄte råalisåe pour La Direction DÅpartementale de la Jeunesse et des Sports du FinistÇre

Plus en détail

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

(51) Int Cl.: B23P 19/00 (2006.01) B23P 19/04 (2006.01) F01L 1/053 (2006.01)

(51) Int Cl.: B23P 19/00 (2006.01) B23P 19/04 (2006.01) F01L 1/053 (2006.01) (19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 1 886 760 A1 (43) Date de publication: 13.02.2008 Bulletin 2008/07 (21) Numéro de dépôt: 0711197.6 (1) Int Cl.: B23P 19/00 (2006.01) B23P 19/04 (2006.01) F01L

Plus en détail

Qu est ce qu un gaz comprimé?

Qu est ce qu un gaz comprimé? Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz

Plus en détail

Jean-Luc Archimbaud. Sensibilisation à la sécurité informatique.

Jean-Luc Archimbaud. Sensibilisation à la sécurité informatique. Sensibilisation à la sécurité informatique Jean-Luc Archimbaud To cite this version: Jean-Luc Archimbaud. Sensibilisation à la sécurité informatique. lieux en France, 1997, pp.17. École

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

On peut être «lourd» et agile!

On peut être «lourd» et agile! éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,

Plus en détail

Principe de la corrosion galvanique :

Principe de la corrosion galvanique : Préconisations d installation d un ballon d ECS face à la corrosion galvanique Des questions reviennent fréquemment sur le forum de l APPER concernant la corrosion, les couples galvaniques, les cuves ballons

Plus en détail

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 CODEX STAN 212-1999 Page 1 de 5 NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 1. CHAMP D'APPLICATION ET DESCRIPTION La présente norme vise les sucres énumérés ci-après destinés à la consommation humaine

Plus en détail

Technique RSR. 27.6.08 /DCo

Technique RSR. 27.6.08 /DCo La : -35 collaborateurs -120 applications métiers -2 services de piquet -1 service desk commun avec la TSR -Un parc véhicule -Un parc de matériel extérieur -Une très forte diversité d outil et de connaissances

Plus en détail

Hepatex CR. Le panneau à flux laminaire de référence

Hepatex CR. Le panneau à flux laminaire de référence Hepatex CR Le panneau à flux laminaire de référence Hepatex CR Le panneau à flux laminaire de référence APPLICATIONS Conditionnement de l'air Energie Salle Propre Industriel Données clés u Efficacité de

Plus en détail

DOSSIER TECHNIQUE céréales : désherbage

DOSSIER TECHNIQUE céréales : désherbage DOSSIER TECHNIQUE céréales : désherbage Contact : Pôle Végétal et Entreprise 61 allée de Brienne - BP 7044-31069 Tlse cedex 7 Tél : 05 61 10 43 13 - Fax : 05 61 10 42 52 www.haute-garonne.chambagri.fr

Plus en détail

Dessin assisté par ordinateur en lycée professionnel

Dessin assisté par ordinateur en lycée professionnel Dessin assisté par ordinateur en lycée professionnel Bernard Dauga To cite this version: Bernard Dauga. Dessin assisté par ordinateur en lycée professionnel. Bulletin de l EPI (Enseignement Public et Informatique),

Plus en détail

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour

Plus en détail

CommunautÄ de commune de ROUGEMONT (25)

CommunautÄ de commune de ROUGEMONT (25) CommunautÄ de commune de ROUGEMONT (25) Reconstruction du båtiment VESTIAIRES TRIBUNES DU STADE DE ROUGEMONT Architecte : IngÄnierie GÄnÄrale : Bureau d Etudes Fluides : Pierre LELU 18, rue des Vignes

Plus en détail

A. Conditions de pråparation et d organisation des travaux du Conseil d Administration

A. Conditions de pråparation et d organisation des travaux du Conseil d Administration RAPPORT DU PRESIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LES CONDITIONS DE PREPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL D ADMINISTRATION ET SUR LES PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE MISES EN PLACE PAR

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

COUR D'APPEL DE LYON. 6Äme Chambre. ARRET DU 22 Mai 2014 APPELANTS : M. Bernard COTTIER. nå le 18 Octobre 1950

COUR D'APPEL DE LYON. 6Äme Chambre. ARRET DU 22 Mai 2014 APPELANTS : M. Bernard COTTIER. nå le 18 Octobre 1950 COUR D'APPEL DE LYON 6Äme Chambre ARRET DU 22 Mai 2014 APPELANTS : M. Bernard COTTIER nå le 18 Octobre 1950 ReprÅsentÅ par la SELARL VITAL-DURAND ET ASSOCIES, avocats au barreau de LYON Compagnie d'assurances

Plus en détail

pouchard tubes pouchard tubes C A T A L O G U E G E N E R A L Pouchard Tubes Pantin Pouchard Tubes Lyon Pouchard Tubes Nantes PANTIN

pouchard tubes pouchard tubes C A T A L O G U E G E N E R A L Pouchard Tubes Pantin Pouchard Tubes Lyon Pouchard Tubes Nantes PANTIN pouchard tubes pouchard tubes PANTIN Pouchard Tubes Pantin 1 à 15, rue du Cheval Blanc 93698 Pantin Cédex France Tél. 33 (0) 1 49 42 75 75 Fax 33 (0) 1 48 91 71 00 14, rue Jules Auffret 93500 Pantin 157,

Plus en détail

Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français

Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français Badreddine Hamma To cite this version: Badreddine Hamma. Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français. Revue française de linguistique appliquée,

Plus en détail

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX

Plus en détail

' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska,

' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska, J. Phys. IVFrance 11 (2001) O EDP Sciences, Les Ulis Limites des solutions solides dans le système binaire CdBr2-AgBr A. Wojakowska, A. Gorniak and W. ~awel' Laboratoire d'analyse Thermique, Département

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel 10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences

Plus en détail

GI.BI.DI. BENELUX NV. Paddegatstraat 51 B-1880 Kapelle o/d Bos

GI.BI.DI. BENELUX NV. Paddegatstraat 51 B-1880 Kapelle o/d Bos Paddegatstraat 51 B-1880 Kapelle o/d Bos Installateur: (Nom, adresse, téléphone) GUIDE UNAC N. 4 POUR LA MOTORISATION DE PORTES SECTIONNELLES POUR GARAGES CONFORMEMENT A LA DIRECTIVE MACHINES 98/37/CE

Plus en détail

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine

Plus en détail

2 C est quoi la chimie?

2 C est quoi la chimie? PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

MONTREAL CARPORT TOIT PLAT, UNE VOITURE. L 298 x l 500 x H env. 260

MONTREAL CARPORT TOIT PLAT, UNE VOITURE. L 298 x l 500 x H env. 260 MONTREAL CARPORT TOIT PLAT, UNE VOITURE L 298 x l 500 x H env. 260 Conserver soigneusement cette notice. R f. 47370 Charge de neige 100 kg/m2 R f. 47380 Hauteur d'acc s env. 235 cm R f. 47390 1 Po s. NÇ

Plus en détail

'INFORMATIONS STATISTIQUES

'INFORMATIONS STATISTIQUES COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE DU CHARBON ET DE L'ACIER HAUTE AUTORIT~ SOMMAIRE des articles publiés dans les 'INFORMATIONS STATISTIQUES jusqu'à la...date du mo1s décembre 1956 -. LIBRARY COP\' Luxembourg. Mai

Plus en détail

La plate-forme Caractérisation CIM PACA

La plate-forme Caractérisation CIM PACA La plate-forme Caractérisation CIM PACA Un partenaire de choix pour la caractérisation chimique de vos matériaux Partenaires: Qui sommes-nous? La plate-forme Caractérisation CIM PACA est une association

Plus en détail

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage 2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits

Plus en détail

:SPECIMEN SPECIMEN SUPPLÉMENT AU DIPLÔME (ANNEXE DESCRIPTIVE AU DIPLÔME)

:SPECIMEN SPECIMEN SUPPLÉMENT AU DIPLÔME (ANNEXE DESCRIPTIVE AU DIPLÔME) ########### : La présente annexe descriptive au diplôme (supplément au Université de La Rochelle diplôme) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l Europe et l UNESCO/CEPES.

Plus en détail

agissant en son nom personnel et en qualitå d'administrateur lågal de la personne et des biens de ses enfants mineurs :

agissant en son nom personnel et en qualitå d'administrateur lågal de la personne et des biens de ses enfants mineurs : COUR D'APPEL DE LYON 6Äme Chambre ARRET DU 28 FÅvrier 2012 APPELANTS : M. Jean B. nå le 08 AoÇt 1939 repråsentå par la SCP L. DE M. ET L. assistå de la SELARL P. & ASSOCIES, avocats au barreau de LYON,

Plus en détail

SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène

SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles

Plus en détail

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un

Plus en détail

C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2

C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2 C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.

Plus en détail

ASSURANCE DOMMAGES-OUVRAGE TOUS RISQUES CHANTIER CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES VALANT CAHIER DES CHARGES

ASSURANCE DOMMAGES-OUVRAGE TOUS RISQUES CHANTIER CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES VALANT CAHIER DES CHARGES ASSURANCE DOMMAGES-OUVRAGE ET TOUS RISQUES CHANTIER CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES VALANT CAHIER DES CHARGES Pouvoir Adjudicateur : EPSoMS Intercommunal Georges Couthon & Nicolas Roussel 5-7 rue Pierre

Plus en détail

100 % gratuit. inédit. www.bimedia.com.fr

100 % gratuit. inédit. www.bimedia.com.fr é z s r séc abac 100 % gra b é a r f sps a grâc à www.bma.cm.fr l p m c f s l c x f! U sps p r c r a s VwM, l acr a sr l marché la ésrllac, a éé sélcé par Bma pr pmsr mps rél la sécré r p. Grâc à la chlg

Plus en détail

Commission juridique et technique

Commission juridique et technique Autorité internationale des fonds marins ISBA/9/LTC/3 Commission juridique et technique Distr. limitée 29 avril 2003 Français Original: anglais Neuvième session Kingston, Jamaïque 28 juillet-8 août 2003

Plus en détail

CONCLUSION. 31 mars 2015 Laurène Chochois Helpdesk REACH&CLP Luxembourg

CONCLUSION. 31 mars 2015 Laurène Chochois Helpdesk REACH&CLP Luxembourg CONCLUSION 31 mars 2015 Laurène Chochois Helpdesk REACH&CLP Luxembourg REACH ET CLP Informations complémentaires (1/5) European chemicals agency : http://echa.europa.eu/ Guide d application : http://guidance.echa.europa.eu/

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

PROGRAMMATION MOTRICE ET STRATÉGIES COGNITIVES DANS UNE TÂCHE DE SYNCHRONISATION

PROGRAMMATION MOTRICE ET STRATÉGIES COGNITIVES DANS UNE TÂCHE DE SYNCHRONISATION PROGRAMMATION MOTRICE ET STRATÉGIES COGNITIVES DANS UNE TÂCHE DE SYNCHRONISATION Catherine Auxiette, C. Gerard To cite this version: Catherine Auxiette, C. Gerard. PROGRAMMATION MOTRICE ET STRATÉGIES COG-

Plus en détail

Lot 4: Validation industrielle. Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010

Lot 4: Validation industrielle. Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010 Lot 4: Validation industrielle Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010 Partenaires Lot 1 Modèle du processus métier L4.1 Modèles PSM Lot 2 Guide d implantation L4.2 Développement & Recette prototype Lot

Plus en détail

Les liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans

Les liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans Les liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans l infrarouge à 3µ G. Bosschieter, J. Errera To cite this version: G. Bosschieter, J. Errera. Les liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans

Plus en détail

Circuits intégrés micro-ondes

Circuits intégrés micro-ondes Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors

Plus en détail

Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive.

Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Lucas DEMBINSKI Christian CODDET, Cécile LANGLADE Université de Technologie de Belfort-Montbéliard

Plus en détail

Ce document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel.

Ce document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté,

Plus en détail

1. Introduction... Page 3. 2. Les principaux atouts du WCC... Page 4. 3. SpÄcificitÄ du catalogue en ligne... Page 5. 4. SpÄcificitÄ du WCC...

1. Introduction... Page 3. 2. Les principaux atouts du WCC... Page 4. 3. SpÄcificitÄ du catalogue en ligne... Page 5. 4. SpÄcificitÄ du WCC... Sommaire 1. Introduction... Page 3 2. Les principaux atouts du WCC... Page 4 3. SpÄcificitÄ du catalogue en ligne... Page 5 4. SpÄcificitÄ du WCC... Page 6 5. DÄmonstration... Page 7 6. Tarification...

Plus en détail

rf( 1 f(x)x dx = O. ) U concours externe de recrutement de professeurs agreg6s composition d analyse

rf( 1 f(x)x dx = O. ) U concours externe de recrutement de professeurs agreg6s composition d analyse page 8 AGREGATIN de MATHEMATIQUES: 1991 1/5 externeanalyse concours externe de recrutement de professeurs agreg6s composition d analyse NTATINS ET DGFINITINS Dans tout le problème, R+ désigne l intervalle

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

SYSTÈMES DE CONFÉRENCE. Système de conférence analogique CDS 4000 04. Système de conférence numérique DCS 6000 06

SYSTÈMES DE CONFÉRENCE. Système de conférence analogique CDS 4000 04. Système de conférence numérique DCS 6000 06 Système de conférence analogique CDS 4000 04 Système de conférence numérique DCS 6000 06 DIS, Danish Interpretation Systems, fait partie des fabricants les plus réputés de systèmes de conférences. DIS

Plus en détail

Un exemple d étude de cas

Un exemple d étude de cas Un exemple d'étude de cas 1 Un exemple d étude de cas INTRODUCTION Le cas de la Boulangerie Lépine ltée nous permet d exposer ici un type d étude de cas. Le processus utilisé est identique à celui qui

Plus en détail

SELLE Masse d'eau AR51

SELLE Masse d'eau AR51 SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution

Plus en détail

Livret de formules. Calcul Professionnel Boulangère-Pâtissière-Confiseuse AFP Boulanger-Pâtissier-Confiseur AFP

Livret de formules. Calcul Professionnel Boulangère-Pâtissière-Confiseuse AFP Boulanger-Pâtissier-Confiseur AFP Version 2: 13.11.2014 Livret de formules Calcul Professionnel Boulangère-Pâtissière-Confiseuse AFP Boulanger-Pâtissier-Confiseur AFP Economie d entreprise Boulangère-Pâtissière-Confiseuse CFC Boulanger-Pâtissier-Confiseur

Plus en détail

Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ

Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ LE JUS E FRUIT 35(0,Ê5(3$57,(%LRFKLPLHSRLQWV L'analyse d'un jus de fruit révèle la présence d'un composé

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail