PRISE DE POIDS LORS D UN CANCER DU SEIN: QUEL EST L ACCOMAPAGNEMENT IDÉAL?

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1 PRISE DE POIDS LORS D UN CANCER DU SEIN: QUEL EST L ACCOMAPAGNEMENT IDÉAL? PLAN DE L EXPOSÉ 1. INTRODUCTION 1.1 ÉPIDÉMIOLOGIE 1.2 FACTEURS ENTRAÎNANT UNE PRISE DE POIDS 2. RISQUES LIÉS AU SURPOIDS ET À L OBÉSITÉ 2.1 RISQUES 2.2 MÉCANISMES 3. RÔLES DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE 4. FACTEURS PSYCHOLOGIQUES 5. RECOMMANDATIONS 6. EN PRATIQUE 7. CONCLUSION 1

2 1. INTRODUCTION 1.1 ÉPIDÉMIOLOGIE nouveaux cas par an en Belgique - 1 femme sur 9: cancer le plus fréquent chez la femme (OMS) %: pas de facteurs de risque 1.2 FACTEURS ENTRAÎNANT UNE PRISE DE POIDS - Annonce du diagnostic: stress, anxiété - Arrêt du travail et de l activité physique: ennui, manque d activité, modification du comportement alimentaire - Traitements Radiothérapie: fatigue baisse de l activité physique Chimiothérapie: -corticostéroïdes -ménopause chimio-induite: lipogénèse abdominale Hormonothérapie: -modifications hormonales: baisse du métabolisme -regain d appétit -douleurs articulaires: baisse de l AP 2

3 2. RISQUES LIÉS AU SURPOIDS ET À L OBÉSITÉ 2.1 RISQUES - Récidive - Second cancer - Mortalité liée au cancer initial - Mortalité toutes causes confondues 2.2 MÉCANISMES - Tissu graisseux taux oestrogènes, insuline, IGF-1 prolifération et survie de le cellule tumorale - Tissu graisseux adipokines: inflammation inversément associée à la survie du cancer du sein, prolifération cellulaire, production oestrogènes - Hyperinsulinémie: promoteur de croissance WCRF: niveau de preuves limité empêche l élaboration de recommandations spécifiques American Association for Cancer: prise de poids chez femmes traitées pour un cancer du sein (Amy L Gross 2015) Institut National du Cancer (France): femme diagnostiquée en surcharge de poids lors diagnostic risque majoré de 30 % de mortalité (Protani et Al 2010) 3

4 3. RÔLES DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE Selon Fong & al en 2013 et Mistra & al en Moindre fatigabilité et amélioration de la qualité du sommeil -Effet positif sur la dépression et l anxiété des patientes -Amélioration de la qualité de vie en général -Ralentissement de l de la masse grasse et de la masse maigre (endurance) - de la masse grasse et du tour de taille - de la masse maigre (endurance et musculation) - de la densité osseuse (renforcement musculaire) - risque de récidive du cancer (World Cancer Research Fund) Institut National du Cancer Prévention: diminution du risque de 3 % en post ménopause Action: - poids - adiposité abdominale - taux hormones et facteurs croissance (ins IGF-1) - taux œstrogène - SHBG Bénéfices: - qualité de vie (image corps, bien être) - sensation fatigue - risque mortalité globale: 18 % pré diagnostic/41 % post diagnostic - risque décès: 34 % post diagnostic - récidive: 24 % post diagnostic 4

5 Maximum de bénéfices et maintien à long terme - AP adaptée à l état général de la patiente - AP adaptée aux effets de la maladie et des traitements - AP qui plaît - Plan RAVIVA (fondation contre le cancer) Etude à Erasme sur l AP: Michel Lamotte et Institut J Bordet -Bénéfices : physiologiques et qualité de vie -44 femmes -3 mois -effets sur la fatigue, l insomnie, le poids, tour de taille et tour de hanche Quoi et comment? -être modérément actif: marche rapide de 30 min par jour -limiter les habitudes sédentaires - pas forcément un sport mais les transports, les tâches ménagères, le travail manuel et les activités récréatives 5

6 4. FACTEURS PSYCHOLOGIQUES Sentiments et émotions liés à un comportement alimentaire inadapté Besoin de réconfort recherché dans les aliments Aides proposées variées: - individuelles - groupes de parole - famille, amis (surtout à la fin des traitements): «c est fini», - chaque intervenant de l équipe multidisciplinaire 5. RECOMMANDATIONS SFNEP: si IMC >25: prise en charge nutritionnelle - éviter toute prise de poids supplémentaire - suivre un programme de réduction pondérale (conseils ANSES 2012) - adapter le régime alimentaire en privilégiant les aliments à faible densité énergétique et en limitant les aliments gras et sucrés - augmenter l AP 6

7 RÉSEAU NACRE: - prévenir la prise de poids dès l annonce du diagnostic par une alimentation adaptée et la pratique d une AP adaptée RECOMMANDATIONS EN PRÉVENTION D UN CANCER: Le respect des conseils alimentaires préventifs peut contribuer à prévenir un nouveau cancer, risque de rechute ou d autres maladies chroniques (Fondation contre le cancer) Maintien d un poids sain: «être aussi mince que possible» -IMC: 18,5-25 (< 70 ans) IMC: ( > 70 ans) Etre physiquement actif Alimentation: - consommation diminuée de graisses (surtout saturées) (Étude WHI) - consommation augmentée d aliments contenant des fibres - consommation augmentée de soja (12 g de P soja= 400 ml boisson) - alimentation équilibrée 7

8 ALCOOL - limiter la quantité et la fréquence de consommation (métaanalyse de Key: addition de 10 g d éthanol augmente le risque de 10%) - OMS: consommation de 50 g alcool au quotidien augmente de 50 % le risque - Société Canadienne Cancer: - alcool taux oestrogènes et réduit certains éléments nutritifs - Conseil: 1 verre par jour / si risque élevé de cancer: zéro ou à l occasion (Seitz et Al: 2012) -Mécanismes: acétaldhéhyde/ radicaux libres produits/ déficits nutritionnels (folates)/ hormones stéroïdes -Effets controversés du resvératrol -TOUTES les boissons alcoolisées 8

9 6. EN PRATIQUE Détecter la dénutrition IMC: 18,5-25: -maintien d un poids stable -ALEQ -maintien d une AP régulière ou commencer une AP IMC: 25 30: perte de 3 à 5 kg IMC > 30: perte de 10 % du poids - conseils diététiques personnalisés - pratique d une AP régulière ALEQ Limiter les graisses et les graisses saturées. Conseiller les acides gras oméga-3 Limiter les aliments à densité énergétique élevée: snacks sucrés, 5 portions de fruits et légumes: 2 portions fruits et 3 de légumes, variés, de saison Eviter les aliments raffinés et préférer les céréales complètes Limiter la viande rouge: bœuf, veau, porc, agneau, chèvre: < 500 g / semaine charcuteries comprises) Alterner avec des viandes blanches, du poisson, des œufs et des alternatives végétariennes Limiter les charcuteries grasses et salées Limiter les boissons sucrées: sodas, jus de fruits Limiter la quantité d alcool et la fréquence de consommation: maximum 1 verre par jour (10 g éthanol) 9

10 Travailler sur le comportement alimentaire - «se faire plaisir» pour éviter la frustration surconsommation - gestion des émotions - acceptation de son corps -apprendre à manger en pleine conscience, en mode dégustation -limiter les comportements inadéquats: autres activités en mangeant, pensées négatives Ateliers diététiques d éducation thérapeutique 7. CONCLUSION L accompagnement de la patiente en surcharge de poids qui a un cancer du sein doit se faire de façon multidisciplinaire. La diététicienne donnera des conseils personnalisés et tiendra compte de l histoire de la patiente, de ses traitements et de ses soucis personnels. La prise en charge se fera dès l annonce du diagnostic. La fréquence des consultations se décidera ensemble avec la patiente. Des recettes, des semaines de menu seront proposées si la patiente les souhaite. 10

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