Rapport d étude Le Lab SalonsCE

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1 Rapport d étude Le Lab SalonsCE 09 décembre 2013 Equipe CSA : Département qualitatif Isabelle Lachaud Directrice du Département isabelle.gulphe-lachaud@csa.eu +33 (0) Aude Creuze Directrice d études aude.creuze@csa.eu +33 (0)

2 Titre du projet Sommaire Introduction Le C.E. : représentations, rôles et attentes La thématique Mobilité / Transport La thématique Logement Conclusions 2

3 Introduction Titre du projet 3

4 Rappel du contexte et des objectifs de l étude Le CE aujourd hui instance INCONTOURNABLE, référent INDISPENSABLE, RECONNU pour son rôle socio-culturel, ATTENDU sur sa mission économique Une étude en miroir pour éclairer le «marché des CE» doit renforcer son action en la rendant plus visible et plus efficiente. Dans cet objectif d éclairer le marché des CE, SalonsCE a souhaité conduire une étude afin : 1 D identifier les ATTENTES PRIORITAIRES DES SALARIES en matière de qualité de vie au travail et mettre en lumière les MARCHES PORTEURS 2 D identifier et de tester des SOLUTIONS NOUVELLES pour les CE sur les grands sujets identifiés prioritaires par les salariés 4

5 Rappel du dispositif global Une approche quantitative pour MESURER Une approche qualitative pour FAIRE EMERGER DES PISTES PROSPECTIVES 1 2 Donner un poids et hiérarchiser les différentes attentes des salariés (dans et en dehors de l entreprise) : du point de vue des salariés et des élus de CE. Mesurer les écarts entre la vision de ces 2 publics. Terrain réalisé du 24 Octobre au 5 novembre 2013 Faire réagir sur des éléments de conclusion de la phase quantitative, creuser les marchés porteurs Dégager des pistes de réflexion prospective sur les solutions attendues (dans le domaine des services) Faire réagir les élus CE sur les solutions imaginées par les salariés Terrain réalisé du 14 au 25 novembre 2013 Ce rapport présente les résultats du volet qualitatif 5

6 Rappel de la méthodologie qualitative Afin de répondre aux objectifs fixés, nous avons réalisé dans un premier temps Les salariés 2 réunions de groupe auprès de salariés, à Paris 1 groupe de salariés cadres 1 groupe de salariés non cadres Lors du recrutement des salariés, nous avons veillé à panacher le profil des personnes recrutées en fonction de leur fréquence de recours au CE (régulier / occasionnel), tous ayant eu recours à leur Comité d Entreprise au moins 1 fois au cours des 12 derniers mois / de la taille de leur entreprise (ex. 50 à 99 / 100 à 249 / 250 à 500 / 500 et plus) et du secteur d activité (services / commerce / industrie). Puis, dans un second temps Les élus du CE 2 réunions de groupe auprès d Elus du CE, à Paris Au sein de chaque groupe, nous avons panaché les profils selon l ancienneté dans le mandat, le nombre de mandats effectués (premier mandat ou renouvellement), le fait d être syndiqué ou non et la taille de leur entreprise (ex. 50 à 99 / 100 à 249 / 250 à 500 / 500 et plus) ainsi que le secteur d activité (services / commerce / industrie) 6

7 Titre du projet 7 1 Le C.E. : représentations, rôle et attentes

8 REPRESENTATIONS ET ATTRIBUTIONS 8

9 Parmi les fonctions attribuées au CE, les aspects culturels et sociaux se distinguent nettement * Salariés Une mission culturelle et d aide aux loisirs Une mission sociale Rôle du CE Un rôle économique et politique Dans les limites de ce qu autorise une exploration qualitative* 9

10 Les missions culturelles et les loisirs sont les plus présentes à l esprit Salariés Un rôle jugé prioritaire, structurant les discours Plusieurs domaines d intervention sont évoqués et constituent les références les plus immédiates lorsqu il s agit de définir le rôle du CE Organisation de voyages subventionnés «J ai pu découvrir plein de pays que je n aurais pas visités s il n y avait pas eu les prix du CE (Non Cadres) «les colonies de vacances», «le sport pour les enfants» (Cadres) Offres de loisirs et activités sportives LES MISSIONS LES PLUS PRESENTES A L ESPRIT : «organiser des loisirs et du bien-être» Activités culturelles à tarifs préférentiels «Aide pour le cinéma» (Non Cadres) «théâtre» «sorties» (Cadres), «Location de vidéos» (Cadres) «l Arbre de Noël» (Non Cadres et Cadres) Organisation d événements festifs Qu il s agisse des Cadres ou des Employés, la perception du CE se structure en premier lieu autour de la notion «d avantages» pour les salariés 10

11 Aux yeux des salariés, le rôle social reste le cœur de mission «historique» du CE Salariés Un rôle social intervenant à deux niveaux L amélioration de la qualité de vie au quotidien, concernant l ensemble des salariés Elle recouvre un ensemble de prestations / avantages dont, parmi les plus cités : Des chèques cadeaux, chèques vacances voire cadeaux en nature : «Les bons cadeaux à Noël», «De vrais cadeaux, pour les fêtes» (Non Cadre) «Des aides pour les vacances» (Cadres) Une conciergerie d entreprise et des services affiliés : «On a une conciergerie depuis un an, le boulanger y passe tous les jours, on peut faire laver sa voiture, il y a un pressing, une crèche...», «La conciergerie avec, par exemple, un contrat négocié avec un serrurier, et un jour j ai été bien contente de pouvoir l appeler» (Non Cadres) Des primes ponctuelles : «Des primes pour les rentrées scolaires des enfants» (Cadres) L aide ponctuelle / exceptionnelle Le plus souvent délivrée en fonction de critères socioéconomiques, elle est octroyée sur étude de dossiers et avec remise de justificatifs : Une aide au logement / 1% logement (cité par les deux cibles mais dont les ressorts restent souvent méconnus) «C est seulement à l achat je crois» «Non, je crois que ça dépend des entreprises» (Non Cadres), «Je pensais que c était un autre service qui s occupait du logement, j ai été étonnée que ce soit le CE» (Cadres) Des aides financières exceptionnelles (sans toutefois que les critères d obtention soient clairement connus) : «je crois qu il existe des aides financières quand on est en situation difficile», «on n est pas forcément au courant de ce qu on peut avoir» (Non cadres) Un rôle social largement valorisé, incluant aussi bien la sphère professionnelle que la sphère privée. Toutefois, une connaissance des attributions du CE restant parcellaire. 11

12 le rôle économique et politique du CE n apparait qu en arrière plan Salariés Les missions économiques / politiques du CE ne sont que faiblement évoquées par les salariés Par exemple, le droit d information et de consultation sur les actions économiques importantes, la possibilité de désigner un expert comptable pour contrôler les comptes de l entreprise, etc. ne sont que peu (voire pas) restituées lors des groupes Seul le rôle de «protection des salariés» est mentionné (surtout par les Cadres), mais la connaissance du champ d intervention du CE reste limitée à de grands domaines et empreints de confusions et d interrogations. «Ils sont un tampon entre Direction et salariés» (Cadres), «Ils protègent un peu les salariés, quand il y a des licenciements, ils interviennent» (Cadres), «Mais ce n est pas leur rôle non? Je crois que c est plutôt le rôle des Organisations Syndicales» (Cadres), «Ils peuvent apporter une aide aux salariés s il y a un conflit interne, avec l employeur ou un autre salarié» (Non Cadres) Un rôle, des droits / prérogatives qui sont largement méconnus des salariés 12

13 Pour les élus, des priorités qui sont, pour la plupart, inversées par rapport aux perceptions des salariés Elus CE Une mission économique et politique Une mission d information et de défense des salariés Rôle du CE Une mission sociale Une mission culturelle et d aide aux loisirs 13

14 Les ELUS mettent avant tout l accent sur leur rôle économique et politique et sur la défense des salariés Elus CE La mission de représentation / de défense des salariés structure les discours : Des consultations relatives aux droits des salariés : un espace de parole pour les salariés Une participation à la promotion de l égalité des droits et des chances «Le CE est là pour faire valoir les droits des salariés», «Il les représente», «Il les accompagne», «Il les protège», «On est impliqués dans le bilan social, l égalité Homme /Femme», «le CE est là pour négocier aussi» Les Elus mettent également en avant leur rôle économique (vigilance, contrôle, ) et leur rôle d information (droit d alerte, ) «Le CE est là pour s informer sur la position économique de l entreprise», «On prend connaissance de l activité économique de l entreprise.», «On informe les salariés sur leurs droits et leurs obligation», «Les salariés sont beaucoup en attente d information», «Relayer l info dans l entreprise», «Sur le plan économique, le CE peut solliciter un expert, s il y a des dysfonctionnements, pour voir si les performances de l entreprise lui permettent de licencier» Un rôle jugé prédominant, dont les Elus retirent une forme de fierté. 14

15 Sans la dédaigner pour autant, les ELUS jugent leur mission sociale et culturelle plus secondaire Elus CE En parallèle, aux yeux des élus rencontrés, les activités sociales et culturelles font partie de la «routine» obligatoire du CE, attendue par les salariés «Il y a la billetterie», «Les activités sociales, comme les voyages, les spectacles», «les chèques cadeaux, le ciné» L aide d urgence / l aide sociale fait également partie des actions que le CE peut être amené à entreprendre A noter que le discours des Elus à ce sujet s avère ambigu : les dispositions légales leur interdisant d accorder des prêts, il leur est difficile de reconnaître avoir recours à ce type d aide exceptionnelle (ce qui semble pourtant être le cas dans certaines circonstances) ou d en parler ouvertement. Ceci peut notamment expliquer le fait que les salariés se disent mal informés sur ces sujets, reprochant au CE un manque de transparence, voire de faire de la rétention d information. «On n a jamais eu le droit de prêter de l argent, car on n est pas une banque», «On ne peut pas prêter mais bon, on le fait pour des recours ultimes» Une mission sociale et culturelle que les élus ont tendance à mettre au second plan même s ils reconnaissent qu elle reste prioritaire aux yeux des salariés «c est ce qu ils attendent avant tout, chèque cadeaux, cinéma, voyages» 15

16 EN BILAN Les perceptions croisée Elus / Salariés Elus CE Salariés Au final, on constate un hiatus entre la perception que les Salariés ont du C.E. et de ses attributions et les missions dont se prévalent les membres du CE. Le risque perçu étant que les «non-dits» et les défaillances perçues de la communication entretiennent une forme d incompréhension mutuelle, «polluant» les relations entre salariés et Elus du C.E. 16

17 ATTENTES / SUGGESTIONS D EVOLUTIONS 17

18 Pour les salariés, des perceptions contrastées quant aux évolutions connues par les Comités d Entreprise L introduction de nouveaux services est venu contribuer au confort et à la qualité de vie des salariés, telles que les conciergeries. «Depuis un an et demi on a une conciergerie, pour laver la voiture, la garde des enfants, des choses comme ça» (Non Cadres) Salariés Toutefois, pour la plupart, il y a eu une perte d avantages au fil des années, en lien avec la «crise économique» «Dans mon entreprise on a tout perdu, on avait plein de choses, mais il y a eu des restrictions de personnels» «on était en Régie, on est passés dans le privé et on a perdu des avantages» (Non Cadres) Et, dans certaines entreprises, les salariés estiment qu il y a eu une meilleure prise en compte des besoins des salariés «En fonction des demandes, ils ont commencé à se développer, à nous offrir des services qui nous conviennent mieux» (Cadres) Et des «avantages» (tarifs préférentiels / négociés) qui sont souvent jugés peu concurrentiels, notamment au regard des nouvelles offres qui fleurissent sur le Web (ex. site comme Groupon, Last Minute, ) «Avec les sites comme Groupon, ce que propose le CE n est plus forcément intéressant» (Cadres) «Il y a des comparatifs sur Internet, donc les tarifs négociés, on peut trouver moins cher en cherchant» (Non Cadres) Des évolutions qui, aux yeux des salariés, dépendent généralement du degré d implication de la part des Elus et de leur capacité à se mobilier ou pas. «Chez nous ils font toujours les mêmes choses, tout dépend de la volonté de changer ou pas, des gens qui sont au CE» (Non Cadres), «Dans une entreprise que je connais, les gens sont vraiment impliqués, mais pas chez nous» (Non Cadres) 18

19 Les élus, quant à eux, ont une vision beaucoup plus négative sur les évolutions, qu ils estiment, pour la plupart, «subir» Elus CE Des dispositions légales perçues comme plus strictes, avec des contrôles des comptes plus fréquents Des exigences jugées croissantes de la part des salariés avec une forme d ingratitude perçue en retour Des restrictions budgétaires qui grèvent leur budget Au final, des Elus qui apparaissent assez désabusés et qui expriment un certain manque de motivation face à l innovation et à toute nouvelle initiative, d autant plus qu ils estiment que le «retour sur investissement» est faible et leurs efforts sont rarement reconnus en interne «On n a plus forcément envie d organiser des voyages, car certains vont dire que ce sont toujours les mêmes qui partent, sans parler du temps qu on y passe...» 19

20 Des attentes multiples de la part des salariés Salariés Les attentes des salariés se structurent principalement autour de trois grands pôles : La posture des Elus et leur implication vis-à-vis des salariés Les modalités de fonctionnement du CE Les services : amélioration de l existant et proposition de nouveautés 20

21 Des attentes multiples de la part des salariés Salariés La posture des Elus et leur implication vis-à-vis des salariés Les modalités de fonctionnement du CE Les salariés souhaiteraient que les Elus soient plus à l écoute de leurs besoins et attentes Pour ce faire, ils évoquent l instauration de boîtes à idées, d enquêtes internes... et qu ils prennent davantage en compte l intérêt général, de manière équitable, sans chercher à privilégier des intérêts particuliers. Une implication qui serait destinée à l ensemble des salariés, en permettant notamment l accessibilité aux loisirs pour le plus grand nombre «Il faudrait pour les voyages que ça puisse concerner plus de monde, car il faut quand même payer et souvent ça reste cher et pour un certain niveau de revenus» (Non Cadres), «Plus penser au petit personnel, établir des quotients» (Non Cadres) Une optimisation de la communication est attendue, notamment à travers Un descriptif exhaustif des différentes missions du CE Une information sur le volet social (aides financières possibles, aides au logement, conditions...) et sur l intégralité des services proposés par le CE. Les cadres ont également évoqué la nécessité de remédier aux lourdeurs administratives et à l aspect procédurier, notamment avec un recours plus systématique aux NTIC : Utilisation plus systématique d Internet, rechargement en ligne (cartes de cinéma...), impression possible des bons d achat / de réduction, accords avec les partenaires sur l obtention des avantages sur simple présentation du badge professionnel, etc. «Si on veut un avantage, comme des tickets de ciné, il faut se déplacer sur le site, sinon il y a des frais de recommandé ; il faudrait pouvoir recharger sa carte de ciné à distance», «Qu on puisse tout imprimer en ligne, j attends des billets en ce moment, si je pouvais imprimer en ligne ce serait moins galère» (Cadres) 21

22 Des attentes multiples de la part des salariés Les services Salariés Une amélioration des services existants... A travers des réductions et des tarifs préférentiels plus avantageux (l émergence des sites comparatifs et des plateformes d achats groupés ayant contribué à rendre les offres du CE moins attractives aux yeux des salariés) «On a l impression qu il n y a pas de subvention, si je prends une carte de 5 entrées pour le ciné, ça revient au même», «Pour aller à Disney, j ai moins cher à la FNAC», «Pour des spectacles, c est moins cher sur Billet Réduc» (Cadres), «Il faudrait des chèques cadeaux plus conséquents» «être mieux subventionnés»... Et un renouvellement : A travers une offre culturelle plus diversifiée, collant à l actualité (spectacles, théâtres, concerts, expositions...) (+ cadres) «Pour les expos, parfois il n y a rien» (Cadres) Des attentes relatives à la mobilité ont également émergé spontanément (+ Non Cadres), à travers l évocation de subventions pour les déplacements (loisirs) «On a plein de catalogues pour les vacances mais sur l essence ou les billets il n y a rien, il faudrait une vraie remise à la SNCF ou sur les péages» (Non Cadres) bons carburants «Des chèques essence» «ça devrait être mis en place comme les chèques restau car on est de plus en plus obligés d utiliser son auto», «Ceux qui ne partent pas en vacances pourraient en bénéficier le weekend» (Non Cadres) subventions pour le paiement des péages Des suggestions développées en infra 22

23 Du côté des élus, les attentes perçues de la part des salariés sont surtout circonscrites à l obtention d avantages matériels Elus CE Aux yeux des élus rencontrés, les attentes des salariés concernent essentiellement le domaine culturel et les loisirs, avec un focus sur l organisation de voyages à tarifs concurrentiels «Ils demandent des subventions pour les sports», «Plus de chèques cadeaux, chèques vacances», «Ils voudraient plus de voyages, plus de sorties, plus de tout» Or, les Elus estiment ne pas avoir les moyens d accéder aux demandes des salariés, notamment en raison de contraintes budgétaires. «Ils veulent plus de volumes, plus de possibilité, mais on ne peut pas, c est une question de budget, on ne peut pas satisfaire toutes les demandes», «On ne peut pas avoir une participation dans les clubs de sports, hormis les activités des enfants pendant les vacances, on n a pas assez d argent», «Je n ai que pour 50 personnes», «On essaie de faire des voyages mais on ne peut pas en faire tous les ans» Des Elus qui restituent partiellement les attentes des salariés et qui ont tendance à se concentrer uniquement sur le domaine de la culture et des loisirs, n étant pas toujours conscients des attentes relatives à la communication, la réactivité, l écoute. A noter que les thématiques Logement et Mobilité ne seront évoquées que sur relance. 23

24 2. En bilan Sur la posture des cibles Titre du projet 24

25 Une perception du Comité d Entreprise très ambivalente (1/5) Le CE est avant tout perçu comme une instance ayant vocation à œuvrer dans l intérêt des salariés : Salariés Aux yeux des salariés, l existence d un CE au sein d une entreprise est censée leur garantir l attribution de certains cadeaux / avantages en nature et ce, indépendamment de leur statut / situation sociale : «C est une structure de l entreprise qui favorise le pouvoir d achat» «Comme un complément de salaire» (Non Cadres), «C est un ensemble d avantages pour les salariés» «Plus le CE est généreux, mieux c est» (Cadres) Le CE est également défini comme une instance à vocation sociale, visant à aider les salariés en difficulté, tant sur le plan : économique «c est une aide en cas de problème» (Non Cadres) psychologique «c est une assistante sociale, on peut aller parler de ses problèmes» (Non Cadres) politique «ils sont le tampon entre la Direction et les salariés» (Cadres) 25

26 Une perception du Comité d Entreprise très ambivalente (2/5) Toutefois, la plupart des salariés s estime relativement conscient des limites budgétaires auxquelles les CE sont assujettis dans le cadre de leurs fonctions (un principe de réalité intégré et une forme d auto-responsabilisation) Salariés Dans un contexte de «crise économique», la plupart des salariés se disent confrontés à des restrictions budgétaires imposées au sein de leur entreprise et en déduisent que le budget des CE est également impacté par ces «coupes» «Ils n ont pas des enveloppes énormes» (Non Cadres), «Chez nous des gens ont été licenciés, la masse salariale est donc réduite, et le budget du CE aussi.» (Non Cadres) De ce fait, les salariés auront tendance, lors des groupes, à exclure les suggestions d aides / contributions du CE leur paraissant disproportionnées par rapport aux possibilités financières supposées dont ils disposent. (Ainsi, comme nous le verrons plus loin, les suggestions de financements importants seront écartées, même si le service en soi génère de l attrait) «On a perdu 1000 personnes l an dernier chez Renault, je suis désolée mais depuis 9 ans, on perd 200 personnes par an, et le budget du CE dépend du nombre de salariés, alors offrir un crédit aux salariés, non, je ne vois pas ça.» (Non Cadres), «Un CE a une enveloppe définie par an» (Non Cadres) 26

27 Une perception du Comité d Entreprise très ambivalente (3/5) En parallèle, de nombreuses critiques émergent fortement dans les discours Salariés Les salariés expriment une certaine défiance à l égard des Elus Un sentiment partagé que les membres du CE ont une démarche intéressée et ce, à divers titres : Une propension perçue à vouloir se «servir en premier lieu», sans nécessairement être à l écoute des besoins des salariés. «Bien sûr quand ils proposent des voyages, ils sont présents aussi, et si on hésite entre Asie et Amérique, la personne du CE va privilégier les pays qu elle aime bien!» «Ils ne nous demandent pas notre avis» «Ils sont à leur LEUR écoute et pensent surtout à eux, c est le ressentiment que j ai à leur égard» (Non Cadres) Une attribution parfois jugée discrétionnaire des avantages et aides financières, en vertu de «copinage» et de liens privilégiés que les membres du CE peuvent avoir avec certains salariés. «C est souvent toujours pour les mêmes personnes» «Il y a du piston, par exemple pour le logement» «c est à la tête du client» (Cadres) Enfin, un statut de «salarié protégé» qui peut engendrer de la suspicion sur les motivations réelles des membres du CE «Ca peut être la défense des salariés, mais il ne faut pas oublier que c est un emploi protégé aussi...» (Non Cadres) 27

28 Une perception du Comité d Entreprise très ambivalente (4/5) De surcroît, aux yeux des salariés, le fonctionnement du CE est souvent sujet à des dysfonctionnements : Pour tous, le sentiment d une opacité relative aux avantages et surtout aux aides financières et une communication souvent jugée minimale, voire une suspicion de rétention d informations «Si on ne va pas chercher les infos on ne va pas nous les donner», «Il y a une rétention d informations, dès qu il faut donner de l argent» (Non Cadres) Salariés Pour les Cadres : une instance jugée procédurière dans l attribution des aides sociales / financières : une obligation pour les salariés de produire de nombreux justificatifs, un temps conséquent nécessaire au traitement des demandes / à l obtention des aides... «C est administratif», «Très lourd», «La Sécu» «L URSS», «Il faut toujours se justifier» (Cadres) Pour les Non Cadres : le sentiment d un manque d équité et d accessibilité aux offres, avec des avantages auxquels ils estiment ne pas toujours avoir accès «Les voyages, il faut quand même les financer, ce sont toujours les mêmes qui partent, car c est pour une certaine classe sociale, ceux qui ont un certain niveau de salaire», «Les voyages ont lieu à certaines périodes, et nous les serveurs, les plongeurs, on ne peut pas y aller, à Noël par exemple!» (Non Cadres) 28

29 Une perception du Comité d Entreprise très ambivalente (5/5) Salariés Un organe interne dont l existence est valorisée par les salariés : un atout perçu au sein d une entreprise «C est bien d en avoir un dans l entreprise» (Cadres), «C est un plus, la cerise sur le gâteau» (Non Cadres) Néanmoins, la plupart des salariés expriment un assez faible niveau de satisfaction vis-à-vis de leur CE : Une image qui apparait ternie par une communication et un fonctionnement parfois jugés déficients Une perception d iniquité, de favoritisme dans l attribution des aides. De la défiance qui est parfois exprimée à l égard des salariés Elus (ces derniers apparaissant comme intéressés dans leur démarche) Enfin, des salariés qui ont conscience des limites budgétaires auxquelles sont confrontés les CE. 29

30 Pour les ELUS : des difficultés ressenties au quotidien dans l exercice de leurs fonctions (1/4) Elus CE Des difficultés exprimées pour gérer les relations avec les salariés et pour satisfaire leurs demandes Les Elus se disent confrontés à des exigences croissantes de la part des salariés, en termes d avantages concrets sur le plan financier A leurs yeux, les difficultés économiques ont généré un phénomène de quête incessante de cadeaux, avantages, primes, subventions, etc., autant d avantages considérés comme des compléments de salaire. Et ils estiment que les salariés «en veulent toujours plus», s inscrivant dans des postures «d éternels insatisfaits» «Ils ne sont jamais satisfaits, ils ont toujours des idées du genre «ça serait mieux que»» «Les salariés en demandent toujours plus», «Il y a plus d individualisme, ils s intéressent moins aux activités et plus aux chèques cadeaux, à la consommation, l argent que l on donne pour les naissances...», «On se sent harcelés» «Ils ne sont jamais contents» De surcroit, les Elus estiment que les salariés sont de plus en plus en attente de services individualisés, voire personnalisés, d où des difficultés pour concilier l intérêt du groupe et les demandes individuelles. Par ailleurs, le contexte socio-économique amène de plus en plus les Elus à gérer des situations de détresse matérielle et psychologique, auxquelles ils estiment ne pas être suffisamment préparés et qui les dépassent souvent, voire les perturbent. «Il y a des situations dramatiques, ils viennent m en parler, mais je me dis parfois que je n ai pas envie d entendre ça, ce n est pas mon rôle, je ne suis pas formée à ça, je ne suis pas assistante sociale», «On n en sort pas indemnes», «On ressent de la fatigue morale» 30

31 Pour les ELUS : des difficultés ressenties au quotidien dans l exercice de leurs fonctions (2/4) Elus CE Des contraintes budgétaires jugées accrues Des budgets soumis à restriction, avec lesquels les Elus doivent composer et au sujet desquels ils doivent faire face aux récriminations de certains salariés acceptant mal la perte d avantages «On ne doit pas dépasser 150 euros sur les bons cadeaux sinon on paye l Urssaff» «On n a plus assez d argent pour être performants.» «On vient de manger un contrôle d Ursaff, les chèques vacances pas de soucis mais les chèques d achat on est limité à 154 euros.» Et un cadre légal ayant entraîné un contrôle accru des comptes du C.E. d où une nécessaire vigilance de la part des Elus «Les comptes ont changé, on a des comptes à rendre à la Direction et aux salariés», «L Accord National Interprofessionnel a été voté, il y a eu des abus, ils sont beaucoup plus rigoureux» 31

32 Pour les ELUS : des difficultés ressenties au quotidien dans l exercice de leurs fonctions (3/4) Elus CE Un contexte général engendrant une certaine réserve de la part des Elus Les Elus rencontrés ont, pour la plupart, tendance à fonctionner de manière assez routinière, laissant peu de place à l innovation, à la recherche et à la proposition de nouvelles offres. Ils estiment que cela est notamment dû à : un manque de temps et à un nombre d heures de délégation restreint (qu ils n arrivent pas toujours à utiliser en raison de leur charge de travail), un budget limité et contrôlé de près la législation en vigueur Tant d éléments qui ne leur permettent pas toujours de s investir pleinement ou comme ils le voudraient dans leurs fonctions et qui peuvent s avérer décourageants De surcroît, les Elus expriment une certaine frustration liée à l attitude des salariés souvent qualifiée «d ingrate» et ressentent un manque de reconnaissance par rapport à l investissement fourni. «Dans le cadre de nos activités on avait instauré un prêt et des cautions pour les travaux. C était remboursable sur douze mois. On a eu un contrôle de l Ursaff, qui a dit qu on ne pouvait pas se substituer aux banques en proposant un prêt à intérêt zéro, qu on devait mettre un pourcentage d intérêt», «Chez nous, on a essayé de mettre en place des places de théâtre, mais ça n intéressait personne.», «On a mis en place du covoiturage, mais personne n accrochait» Pour toutes ces raisons, les attentes exprimées par les salariés ont souvent été accueillies avec tiédeur et circonspection, les freins perçus prenant le pas sur les atouts / avantages des propositions. 32

33 Pour les ELUS : des difficultés ressenties au quotidien dans l exercice de leurs fonctions (4/4) Elus CE La plupart des Elus ont exprimé une forme de mal-être et des difficultés pour assumer leur fonction, avec cependant des disparités liées à la taille des entreprises, à la masse salariale et aux moyens dont dispose le CE, les Elus des petites structures verbalisant plus fortement les limites de leur fonction. Il existe également une tendance à fonctionner à travers ce qui relève des habitudes, dans une certaine routine (où l on perpétue les services / offres existants ) et à se méfier de l introduction de nouveautés (crainte de la complexité de mise en place, du temps nécessaire, des implications budgétaires, de la conformité sur le plan légal,...). A noter également que, lors de la phase de recrutement, nous avons eu beaucoup de mal à mobiliser les Elus sur ce sujet. En effet, ils sont nombreux à avoir préféré décliner notre invitation. 33

34 Titre du projet 34 2 La thématique Mobilité / Transports Pour rappel, les deux thématiques ont été présentés dans des ordres de passage différents afin d éviter tout biais

35 APPROCHE DES SALARIES 35

36 Aux yeux des salariés, les CE se positionnent encore peu sur les questions inhérentes à la Mobilité et au Transport Quatre domaines d intervention ont été recensés, perçus comme relevant clairement du CE : Salariés Les tarifs préférentiels / négociés sur la location automobile «On a des tarifs préférentiels chez Hertz ou Ucar», «Sur présentation de notre badge on a 15% de réduction» (Cadres) Des partenariats / tarifs négociés avec des garagistes pour l entretien Des subventions / remboursement de voyages (billets SNCF) La mise en place d un système de co-voiturage (3 entreprises) «Le CE a mis en place un truc sur notre site de société, mais ce sont pas eux qui gèrent, on se débrouille entre salariés» (Non cadres) «Je peux faire emmener ma voiture chez un garagiste par le biais de la conciergerie. Ce sont des tarifs plus intéressants» (Non Cadres) «Si je pars en vacances, on peut me rembourser le train» (Cadres) Des domaines qui apparaissent, à date, encore peu investis par les CE 36

37 Aux yeux des salariés, les CE se positionnent encore peu sur les questions inhérentes à la Mobilité et au Transport Salariés D autres aides à la mobilité sont proposées, mais ne sont pas spontanément attribuées au CE ou sont considérées comme relevant plus d une décision de l employeur ou d une obligation légale : Le remboursement de l abonnement Navigo - A concurrence de 50% : une disposition légale, ne relevant pas du CE. - A la marge : un remboursement supérieur de la part de certaines sociétés «Chez nous c est 100% le Navigo» (Cadres) Le prêt de véhicules de fonction et / ou la prise en charge des frais de carburant par l entreprise (+ cadres) «J ai une voiture de fonction avec une carte essence. Pour 30 par mois je peux aussi l utiliser le weekend», «Ce n est pas le CE qui s occupe des voitures de fonction.» (Cadres) Le cas des navettes de société : Un service qui n est pas spontanément attribué au CE et dont on suppose qu il est décidé / géré par l entreprise. A noter toutefois que l implication du CE sur ce sujet semble légitime ( cf. infra) «C est important, on gagne énormément de temps» «mais je n aime pas leurs bus de tourisme, on ne peut pas y travailler avec l ordinateur» (Cadres) 37

38 Une thématique pourtant très investie par les salariés : un axe jugé primordial pour l amélioration de la qualité de vie Salariés Si les questions inhérentes à la Mobilité et au Transport sont perçues comme étant peu traitées par les Comités d Entreprise, elle apparaissent toutefois comme des sujets de préoccupation au quotidien Que ce soit pour les transports en commun Le stress / L inconfort : «Courir dans le métro» «serrés dans les transports» (Non Cadres) Les aléas (grèves, incidents, retards,...) : «Je me dis toujours, que va-t-il se passer dans le RER aujourd hui» (Non Cadres) ou les déplacements en véhicule personnel: Le coût du carburant, de l entretien, des assurances, des frais de stationnement : «Les parkings sont un problème surtout à Paris» (Cadres), «L entretien c est un budget» (Non Cadres) La pollution : «On est dedans toute l année et on respire la pollution» (Non Cadres) Les difficultés de stationnement : «Il n y a jamais de place dans Paris», «ma société n a pas de parking (Cadres) Les dangers de la circulation / les risques d accidents corporels et physiques : «Peur de se faire écraser, j habite à 1 km de mon travail mais je ne peux y aller ni à pied ni à vélo car c est trop dangereux, je me suis fait renverser, donc je prends ma voiture» (Non Cadres) Ou encore, de manière plus générale et ce, quel que soit le mode de transport La durée / le temps de transport : «Trop de temps perdu» «J habite dans l Oise, je travaille à Rueil, ça me fait 2 heures de voiture matin et soir. En transport ce serait 3 à 4 heures» (Non Cadres) Les difficultés de circulation / embouteillages : «Je me suis retrouvé un jour bloqué 45 mn Place de Clichy» (Non Cadres) 38

39 Une thématique pourtant très investie par les salariés : un axe jugé primordial pour l amélioration de la qualité de vie Salariés Au final, un vécu sur le plan des transports et de la mobilité qui a des incidences aussi bien sur le plan de la santé : fatigue, stress de la conduite aux heures de pointe / liée aux aléas des transports en communs / à l insécurité professionnel : retards occasionnés par les aléas des déplacements pendulaires financier : coût du carburant, de l entretien... environnemental (particulièrement présents à l esprit des Non-Cadres) : émissions polluantes, consommation d énergie non renouvelable, congestion urbaine... 39

40 Les salariés expriment des attentes multiples en matières de solutions / services sur cette thématique, pouvant être proposés par les CE Des solutions / services jugés légitimes, pertinents de la part d un CE Salariés Organisation /Facilitation des déplacements pendulaires «Coup de pouce» financier Navettes de ramassage «Bons Carburant» Covoiturage Aide au financement du péage Aide à l entretien du véhicule Aide au permis de conduire Attentes spontanées communes aux cadres et aux non-cadres (plus prégnantes chez ces derniers) Attentes plus présentes de la part des Non Cadres, souvent sur relance auprès des Cadres. Dans une moindre mesure, sur suggestion pour les deux cibles 40

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