LE GENOU AIGU TRAUMATIQUE. Dr. Sylvie BESCH Dr. Mireille PEYRE
|
|
- Anne-Marie Marceau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LE GENOU AIGU TRAUMATIQUE Dr. Sylvie BESCH Dr. Mireille PEYRE
2 PANORAMA LESIONNEL Os Fémur Tibia Rotule Péroné Ligaments Tendons Pivot central Ligaments périphériques Tendon rotulien Tendon quadricipital
3 PHYSIOPATHOLOGIE 4 mécanismes traumatiques Compression axiale (chute d un lieu élevé) Choc direct Torsion Contraction musculaire brutale contrariée
4 MÉCANISMES TRAUMATIQUES Compression axiale Lésions ostéochondrales +/- ligament Contraction musculaire contrariée Lésions de l appareil extenseur 0 à 30 de flexion Tendon rotulien Âge < 40 ans 90 de flexion Age > 60 ans Tendon quadricipital
5 MÉCANISMES TRAUMATIQUES Choc direct Localisation, intensité, degré de flexion conditionnent les lésions Choc antérieur rotule, extrémité sup tibia, extrémité inf fémur, formations capsulo-ligamentaires postérieures Choc latéral bascule frontale lésions capsuloligamentaires +/- complexes +/- associées à des lésions osseuses
6 MÉCANISMES TRAUMATIQUES Torsion Lésions capsulo-ligamentaires +++ VFE éléments internes +/- LCA VRI LCA +/- éléments externes
7 DEMARCHE DIAGNOSTIQUE Interrogatoire Examen clinique Bilan radiologique de débrouillage approfondi
8 DEMARCHE DIAGNOSTIQUE Interrogatoire Mécanisme SF: douleurs, craquement, blocage, instabilité Terrain
9 DEMARCHE DIAGNOSTIQUE Examen clinique Local Recherche des signes de gravité Régional Déformation Gonflement Laxité Déficit d extension active Recherche de lésions associées
10 DEMARCHE DIAGNOSTIQUE Bilan radiologique de débrouillage Face Profil Fémoro-patellaire à 30 de flexion
11 LES DIAGNOSTICS FACILES Impotence fonctionnelle + aspect clinique bilan radiographique = diagnostic Fractures: extrémité inférieure du fémur extrémité supérieure du tibia rotule Luxations non réduites fémoro-tibiales fémoro-patellaires
12 DIAGNOSTIC FACILE Fracture extrémité inférieure fémur Mécanisme : AVP sujet jeune / chute sujet âgé Trait : souvent complexe sus et intercondylien Traitement : chirurgical congruence articulaire axe membre Complications : pseudarthrose raideur articulaire
13 DIAGNOSTIC FACILE Fracture extrémité supérieure du tibia DIAGNOSTIC FACILE SI DEPLACEMENT +++ Mécanisme : AVP chute choc direct Trait : souvent complexe scanner Traitement : chirurgical congruence articulaire axe membre Complications: pseudarthrose raideur articulaire
14 DIAGNOSTIC FACILE Fracture de la rotule DIAGNOSTIC FACILE SI DEPLACEMENT +++ Mécanisme : choc direct Trait : vertical horizontal multifragmentaire déplacé - non déplacé Traitement : chirurgical si déplacé orthopédique si non déplacé Complications : arthrose raideur articulaire
15 DIAGNOSTIC FACILE Luxations fémoro -tibiales Mécanisme : choc direct / rotatoire Déplacement : sagittal / latéral Lésions ligamentaires multiples constantes Le risque : les lésions vasculaires associées artériographie systématique Traitement : réduction en urgence puis chirurgical : vasculaire avant orthopédique
16 DIAGNOSTIC FACILE Luxations fémoro - patellaires Mécanisme : choc direct / VFE (dysplasie loco-régionale) Déplacement : externe >>> interne Radio: arrachement aileron rotulien fracture ostéochondrale berge ext trochlée Traitement : réduction en urgence orthopédique : 1er épisode, fracture = 0 chirurgical : nième épisode, fracture +
17 LES PIEGES Impotence fonctionnelle prise pour une sidération rupture appareil extenseur Arrachements osseux lésion du pivot central Gros genou +/- mobile luxation spontanément réduite lésion du pivot central fracture non / peu déplacée
18 LES PIEGES Fractures peu déplacées Topo : plateaux tibiaux condyles fémoraux Mécanisme : choc direct - rotation Signes fonctionnels : douleurs - gros genou
19 LES PIEGES Fractures peu déplacées Examen : mobilité limitée et douloureuse tests de laxité douloureux palpation : topographie dépendante Radio : 3/4 +/- scanner Traitement : chir / ortho selon déplacement
20 LES PIEGES Rupture appareil extenseur Mécanisme : contraction brutale contrariée de l appareil extenseur Signes fonctionnels : lâchage du genou Examen : déficit d extension active palpation : hiatus tendineux
21 LES PIEGES Rupture appareil extenseur Radio : rotule trop haute ou trop basse Traitement : le plus souvent chirurgical Si diagnostic tardif, geste chirurgical plus difficile résultats fonctionnels plus aléatoires
22 LES PIEGES Luxation fémoro patellaire réduite Eléments d orientation Examen : hémarthrose hypermobilité transversale de la rotule Smillie + douleur palpation bord int rotule, aileron Radio : # berge ext trochlée arrachement bord int. rotule
23 LES PIEGES Les lésions ligamentaires Méconnaissance des lésions isolées du pivot central Méconnaissance des lésions du pivot central en cas d atteinte périphérique associée (LLI) Méconnaissance des lésions du PAPE Incidences thérapeutiques ++++
24 LES PIEGES Lésion du LCA Fréquence +++ Interrogatoire : Mécanisme : FVE RI forcée Instabilité post traumatique Epanchement articulaire différé Examen : Lachman Ressaut rotatoire
25 LES PIEGES Lésion du LCA Radio : Fracture de Segond Arrachement massif des épines tibiales
26 LES PIEGES Lésion du LCP Interrogatoire : Mécanisme : choc direct (AVP) - mvt complexe Epanchement articulaire différé Examen : Avalement de la TTA «Pseudo Lachman» Faux tiroir antérieur (réduction tiroir post)
27 LES PIEGES Luxations péronéo tibiales supérieures Lésion rare Formes : ant trauma cheville en inversion réduction facile - immobilisation post trauma direct réduction instable risque SPE
28 LES PIEGES Que faire en cas de doute? (malgré un bon examen clinique) Traitement d attente : mise au repos de l articulation Orthèse - Décharge Glaçage - Bas de contention - Antalgiques Nouvel examen à J3 J8 / IRM
29 DIAGNOSTICS DIFFICILES Fractures Ostéochondrales Isolées Mécanisme par choc direct Importance de l imagerie pour le diagnostic Arthroscopie thérapeutique
30 Eventail thérapeutique Lésion isolée du LCA Objectif principal retrouver la stabilité
31 Eventail thérapeutique Différents Moyens Tt fonctionnel compensation Tt orthopédique cicatrisation Tt chirurgical reconstruction
32 Traitement conservateur difficultés sémantiques Giove (1983) : abstention immobilisation rééducation Point commun pas de chirurgie sur le LCA
33 Traitement conservateur Pas d unanimité sur les soins post - traumatiques immédiats ponction? appui soulagé? attelle? résine?
34 Traitement conservateur L immobilisation fait l objet de controverses Cicatrisation possible du LCA?
35 Traitement conservateur le dogme de la non cicatrisation des lésions du LCA n est plus aussi absolu
36 Traitement orthopédique *orthèse inguino - talonnière cal fibreux I *orthèse inguino-malléolaire et rééducation en secteur protégé cal fibreux II
37 Rééducation : principes * coopération du malade * récupération Q * renforcement IJ * reprogrammation neuro-musculaire
38 Rééducation : principes Reprogrammation neuro-musculaire focalisée sur les ischio - jambiers * en position assise puis debout * bi puis monopodale
39 focalisée assis puis debout bi puis monopodal
40 Rééducation principes Réadaptation physique progressive Auto-entretien prolongé
41 Choix Thérapeutique bilan lésionnel contexte socio - professionnel contexte sportif âge
42 Orientation thérapeutique Avis chirurgical d emblée * Lésions du PAPE * Laxités pluri-directionnelles * Les rares anses de seau méniscales de la phase aigue
43 .. Mais il ne s agit plus d une lésion isolée du LCA
44 Orientation thérapeutique les signes d examen Lésion partielle du LCA? Lésions méniscales associées?
45 Fréquence des lésions méniscales Indelicato (1985) : n = 44 77% Barrack (1989) : n = 72 72% Anderson (1993) : n = 40 67% Saragaglia (1988) : MI = 35% ME = 65% Cipolla (1995) : MI = 29% ME = 61%
46 Choix Thérapeutique * bilan lésionnel * contexte socio - professionnel * contexte sportif * âge
47 Orientation thérapeutique données socio-économiques Les métiers à risques les conditions sociales
48 Choix Thérapeutique * bilan lésionnel * contexte socio - professionnel * contexte sportif * âge
49 Orientation thérapeutique sport pratiqué Sport pivot et/ou pivot-contact? Niveau de pratique? Motivations? profil du sportif
50 Orientation thérapeutique profil sportif *Sportif motivé, bon niveau, pivot chirurgical *Sportif de loisir, sans pivot conservateur
51 Orientation thérapeutique profil sportif Chaque situation devra être étudiée au cas par cas
52 Choix Thérapeutique * bilan lésionnel * contexte socio - professionnel * contexte sportif * âge
53 Orientation thérapeutique l âge A chaque âge ses désirs et ses contraintes
54 Orientation thérapeutique âge : maturité osseuse incomplète Restriction sportive inapplicable En cas d accidents d instabilité, risques méniscaux et cartilagineux identiques à ceux de l adulte
55 Orientation thérapeutique âge : maturité osseuse incomplète.plutôt traitement chirurgical MAIS risque pour les cartilages de croissance +++
56 Orientation thérapeutique âge : maturité osseuse incomplète.traitement conservateur d attente
57 Orientation thérapeutique âge : les ans Sujets actifs, sportifs et désirant le rester chirurgie à priori. au moment adéquat MAIS..Tt conservateur d attente
58 Orientation thérapeutique âge : > 35 ans Chirurgie toujours possible MAIS moins sportif, moins motivé, moins disponible Tt conservateur
59 Orientation thérapeutique résultats actuels du traitement conservateur Réparation secondaire souvent due à une gêne sportive Gêne quotidienne très rare Si instabilité persistante, chirurgie possible
60 Indications thérapeutiques A qui proposer un traitement conservateur?
61 Pas de règles strictes mais conjugaison de données médicales et générales profil thérapeutique de chaque patient
62 Traitement conservateur Indications * sportif peu motivé, acceptant de modifier ses activités * absence de professions à risques * certains contextes socio - professionnels * âge > 35 ans
63 Une règle absolue en cas de traitement conservateur surveillance clinique régulière
64 Savoir conseiller à temps la chirurgie * si apparition d une instabilité * et/ou aggravation de la laxité
65 La pathologie du LCA est une galaxie de cas particuliers ( J.Y. DUPONT JTS 1992 )
Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical
Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal
Plus en détailREEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE
REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE Eric HALLARD, Kinésithérapeute La rupture du LCAE est de plus en plus fréquente
Plus en détailPROTHÈSE TOTALE DE GENOU
Dr Alain CAZENAVE chirurgien orthopédiste traumatologie sportive 52 rue du Dr calot 62600 BERCK/mer FRANCE tel: 03 21 89 20 44 site web : www.orthopale.org PROTHÈSE TOTALE DE GENOU QUELQUES GÉNÉRALITÉS
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailGenou non traumatique
Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec
Plus en détailTraumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara
Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie
Plus en détailAu programme. Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond
Au programme Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond Club La Foulée 5 août 2004 Dre Mireille Belzile La lombo-sciatalgie Inflammation du périoste au site d insertion des muscles du mollet Erreur
Plus en détailLa main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab
La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailC es interventions étaient effectuées à ciel
LCA RÉÉDUCATION APRÈS LIGAMENTOPLASTIE À la fin des années 70 et au début des années 80, les plasties du LCA pouvaient être intra-articulaires, extra-articulaires ou mixtes, le transplant était naturel
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailGuide de prise en charge après reconstruction du Ligament Croisé Antérieur (LCA) du genou
Guide de prise en charge après reconstruction du Ligament Croisé Antérieur (LCA) du genou 1 Objet Ce guide a pour objectif d orienter la prise en charge du patient en physiothérapie après sa chirurgie
Plus en détailPrise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale
Prise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale Ould Ouali.A, Amari.A, Lyazidi.O, Benbetka.L, Lakrouf.F, Rachedi.M MPR-HMUS-Staoueli 3eme congrès de la
Plus en détailLes anomalies des pieds des bébés
Les anomalies des pieds des bébés Pierre Mary Consultation d orthopédie pédiatrique Service d orthopédie et de chirurgie réparatrice de l enfant Hôpital Jean Verdier Hôpital Trousseau Comment étudier un
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailMIDDLETON. P (*), BOUSSATON. M (**), POTEL. J.F (**), ROULLAND. R (***), PUIG. P.L (*), TROUVE. P (*), SAVALLI. L (*)
REEDUCATION DES ENTORSES DU GENOU Knee sprain's rehabilitation MIDDLETON. P (*), BOUSSATON. M (**), POTEL. J.F (**), ROULLAND. R (***), PUIG. P.L (*), TROUVE. P (*), SAVALLI. L (*) (*) MEDECINS REEDUCATEURS
Plus en détailBiomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied
Les Entretiens de Bichat Podologie 2013 Biomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied C. Cazeau* * Clinique Geoffroy saint-hilaire, 59 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris,
Plus en détailLES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION
LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION Parfois sous estimées, les orthèses de compression contention augmentent le niveau de vigilance par leur mécanisme de «rappel à l ordre», préviennent les récidives
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailLa signification des mots signalés par un astérisque* est exposée dans un glossaire situé en fin de fiche. I DÉFINITION DE LA NUISANCE ET DU RISQUE
Fiche de sécurité H2 F 19 02 Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics Tour Amboise 204, rond-point du Pont de Sèvres 92516 BOULOGNE-BILLANCOURT CEDEX Tél. : 01 46 09 27
Plus en détailIMAGERIE DES LESIONS MUSCULO SQUELETTIQUES DU FOOTBALLEUR PROFESSIONNEL
Journées Françaises de Radiologie Paris, Octobre 2008 IMAGERIE DES LESIONS MUSCULO SQUELETTIQUES DU FOOTBALLEUR PROFESSIONNEL M SAID*, S BEN YAHIA**, R ATALLAH*, R ELA BED*, M ALLEGUE, K ELABED*, J DAHMENE**,F
Plus en détailLes luxations et instabilités de l'épaule Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Les luxations et instabilités de l'épaule Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 anatomie descriptive et fonctionnelle de la scapulo-humérale
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES
LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES DE L EPAULE CHEZ DES TECHNICIENNES DE LABORATOIRE L. MERIGOT, F. MARTIN, Avec la participation des Drs G. DALIVOUST, G. GAZAZIAN 26 Janvier 2010 1 SOMMAIRE 1. Introduction
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile
, le programme de retour à domicile Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer le suivi post hospitalisation Optimiser le retour à domicile et
Plus en détailINFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU
INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU Votre état nécessite la réalisation d'une ostéotomie au niveau du genou. Cette fiche est destinée à vous en expliquer les grands principes, le but et les bénéfices
Plus en détailExemple 1: Entorse cheville. ÉVALUATION INITIALE: entorse cheville
DPPS 4.0 RAPPORT EXEMPLES Les rapports que vous trouvez ci-joints ont étés élaborés en utilisant certains protocoles d exemple que vous trouvez dans le dossier C:\Delos\User\Trials\Dossier Général. On
Plus en détailFiche pathologie n 1 : Tendinopathie
Fiche pathologie n 1 : Tendinopathie Fiches pathologies du danseur Inflammation d un tendon ou des structures avoisinantes résultant d une surcharge de travail ou d une contrainte anormale. 4 stades (du
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailINTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX
INTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX F. COLAS, R. CARLIER, C. LE BRETON, D. SAFA, D. MOMPOINT, F. ROFFI, E. M. KOCHEIDA, S. MOKHTARI, S. M KAOUAR, C. VALLÉE HÔPITAL RAYMOND
Plus en détailCRITERES DE REPRISE DU SPORT APRÈS LIGAMENTOPLASTIE DU LCA
CRITERES DE REPRISE DU SPORT APRÈS LIGAMENTOPLASTIE DU LCA Thierry ALLAIRE Antoine ALLAIRE Rupture du LCA Il y a 20 ans: Catastrophe Reprise de la compétition 1 an KJ (gold standard) Rupture du LCA Banalisation
Plus en détailBULLOCK Loïc (Promosport Health Center) Licencié en Kinésithérapie Ulg. Master Kinésithérapie Sportive (Paris 1 INSEP)
BULLOCK Loïc (Promosport Health Center) Licencié en Kinésithérapie Ulg Master Kinésithérapie Sportive (Paris 1 INSEP) Equipe basket Féminine Valenciennes 2006 DEJASSE Frédéric (Promosport Health Center)
Plus en détailProtocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires
1 Protocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires Dans la grande majorité des cas, les syndromes fémoro-patellaires (SFP) guérissent avec un traitement médical bien conduit. Pour être efficace,
Plus en détailMarche normale et marche pathologique
Marche normale et marche pathologique Pr. JM Viton, Dr. L. Bensoussan, Dr. V. de Bovis Milhe, Dr. H. Collado, Pr. A. Delarque Faculté de Médecine, Université de la Méditerranée, Fédération de Médecine
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailA.V.C. Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur. d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES
Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur A.V.C. Gamme innovante d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES Pour une réhabilitation motrice facilitée SYSTÈME DE RÉGLAGE BLOCABLE LIBERTÉ
Plus en détailK I N é S I T H é R A P I E & D B C
KINéSITHéRAPIE & DBC KINéSITHéRAPIE & DBC Informations T (+352) 23 666-810 kine@mondorf.lu Rééducation Individuelle Le service de de Mondorf Domaine Thermal propose une gamme complète de traitements individuels
Plus en détailProtocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL
Delivered by Protocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL Docteur Artem Rogalev et Spok APPLICATEURS - PARAMETRES MACHINE CERA-MAX C 15 : Grâce à sa composition en poudre
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailUniversité Paris-VI. Orthopédie. Questions d internat
Université Paris-VI Orthopédie Questions d internat 2000 Christophe Castelain Michel Christofilis Marc Jayankura (ccapitie@free.fr) Camille Samaha Samy Zouaouy Mise à jour : 12 septembre 2000 2/252 Orthopédie
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailFRACTURE-LUXATION DE LACHEVILLE (A propos de 61 cas)
UNIVERSITE SIDI MOHAMMED BEN ABDELLAH FACULTE DE MEDECINE ET DE PHARMACIE FES UNIVERSITESIDI MOHAMMED BEN ABDELLAH FES Année 2010 Thèse N 010/ 10 FRACTURE-LUXATION DE LACHEVILLE (A propos de 61 cas) THESE
Plus en détailInstitut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010
C. Gable - DUHAM 2010 Les orthèses provisoires en pathologie traumatique LES FRACTURES DIGITALES LA MAIN COMPLEXE LES ENTORSES DIGITALES Institut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010 Colette Gable,
Plus en détailCOMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE
COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de
Plus en détailProthèse Totale de Genou
Hôpital de Martigny Prothèse Totale de Genou Informations patients 2 Impressum Editeur: Hôpital du Valais (RSV), Direction générale, Communication, 1950 Sion Auteur: Hôpital de Martigny, Service d orthopédie
Plus en détailChirurgie de la gonarthrose
.. 14-326-A-10 Chirurgie de la gonarthrose G. Bellier, P. Djian Le traitement de la gonarthrose n est pas univoque. Il nécessite une prise en charge globale du patient et doit tenir compte des demandes
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailw w w. m e d i c u s. c a
www.medicus.ca En appelant la colonne vertébrale «arbre de vie» ou «fleuve sacré qui irrigue tout le corps», les Anciens voyaient juste. De tout temps considéré comme fragile, cet axe du corps se révèle
Plus en détailTraumatologie en odontostomatologie du sport
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2002, 45-4 95 Traumatologie en odontostomatologie du sport Alain GARUET * Au XX e siècle le sport a été àla fois un facteur de paix, de distraction et de divertissement.
Plus en détail"Modélisation interactive d'un genou humain"
Stage M2 PRO IICAO, du 1er avril au 31 septembre 2008 "Modélisation interactive d'un genou humain" Vincent Vansuyt Sous la tutelle de François Faure et François Boux de Casson Dans l'équipe Evasion, laboratoire
Plus en détailFRACTURES OUVERTES DE JAMBE STRATEGIE DE PRISE EN CHARGE
FRACTURES OUVERTES DE JAMBE STRATEGIE DE PRISE EN CHARGE PR R. BENBAKOUCHE ORTHOPEDIE CHU BAB EL OUED GENERALITES - DEFINITION C'est une fracture diaphysaire et métaphysodiaphysaire, extra articulaire,
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailCONSENSUS sur la REEDUCATION du GENOU après LIGAMENTOPLASTIE du CROISE ANTERIEUR
CONSENSUS sur la REEDUCATION du GENOU après LIGAMENTOPLASTIE du CROISE ANTERIEUR Ce consensus a été obtenu à partir de plus de 30 protocoles de rééducation établis par des établissements de rééducation
Plus en détail1 ère Edition, septembre 2010. La Rhumatologie au Quotidien Dr RALANDISON D. Stéphane Page 1
Dr RALANDISON D. Stéphane 1 ère Edition, septembre 2010 La Rhumatologie au Quotidien Dr RALANDISON D. Stéphane Page 1 C l i q u e z s u r l e s l i e n s S o m m a i r e R é s u m é d e s c h a p i t r
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailMIEUX VIVRE AVEC SON HEMIPLEGIE
Comment aider un hémiplégique COMMENT AIDER UNE PERSONNE HÉMIPLÉGIQUE... - La sortie du lit - Le transfert - Au fauteuil - La marche en deux temps Chaque personne a gardé des capacités et des possibilités
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailProcessus de réparation osseuse : conséquences sur le délai de mise en contrainte
Processus de réparation osseuse : conséquences sur le délai de mise en contrainte Yann Macé 1 La consolidation osseuse est un processus qui aboutit à la réparation du tissu osseux après une fracture, une
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailSOMMAIRE LE COU P.4 L EPAULE / LE BRAS / LE POIGNET / LA MAIN P.6 LE TRONC P.12 LE GENOU P.16 LA CHEVILLE P.20 LE PIED P.22
SOMMAIRE LE COU P.4 - Collier cervical souple, semi rigide ou rigide L EPAULE / LE BRAS / LE POIGNET / LA MAIN P.6 - La clavicule, l immobilisation d épaule - Coudière, soutien du bras - Immobilisation
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailRÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME CORPORELS
RÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME DES DOMMAges CORPORELS 2010 RÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME DES DOMMAges CORPORELS 2010 Le document a été préparé par la Direction des services médicaux en collaboration avec
Plus en détailChirurgie articulaire secondaire Pr. Philippe PELISSIER
Pr. Philippe PELISSIER Service de Chirurgie Plastique Centre F.X. Michelet CHU de Bordeaux www.e-plastic.fr Introduction Kinésithérapie Dénervation Arthrolyse - Artholyse chirurgicale - Artholyse + ligamentotaxis
Plus en détailD re Francine Borduas, médecin de famille, Québec D r Richard Blanchet, médecin de famille, expert en médecine du sport, Québec D r David Dixon,
Conflits d intérêts Comité d élaboration D re Francine Borduas, médecin de famille, Québec D r Richard Blanchet, médecin de famille, expert en médecine du sport, Québec D r David Dixon, médecin de famille,
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailRisques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire
Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire Mireille Loizeau Cours DIUST Paris Descartes-20 janvier 2015 1 Définition et facteurs de risque 2 Définition Contraintes bio-mécaniques,
Plus en détailGamme PHENIX Portable. Toute l électrothérapie dans un portable
Gamme PHENIX Portable Toute l électrothérapie dans un portable PHYSIO PHYSIOSTIM URO Les exclusivités de la gamme PHENIX Portable PHYSIO PHYSIOSTIM URO Les PHENIX Portable sont les seuls appareils portables
Plus en détailGROUPE CLINIQUE DU MAIL
DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la
Plus en détailProjet de recherche. Patrick Gendron, B. Sc. Pht Clinique de médecine du sport CHUM et Université de Montréal patrick.gendron.1@icloud.
Projet de recherche Retour au jeu chez des athlètes ayant subi une lésion des ischio-jambiers : valeur prédictive des mesures de l intégrité musculaire obtenue par échographie et des mesures cliniques
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailFONCTION DU POUCE. Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE
FONCTION DU POUCE Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE L iconographie est notamment issue des ouvrages de Mr Netter et Kapandji. LA COLONNE DU POUCE Constituée
Plus en détailLa reprise de la vie active
Prothèse de hanche Les conseils de votre chirurgien La reprise de la vie active Vous êtes aujourd hui porteur d une prothèse de hanche ; elle va vous permettre de reprendre vos activités sans gène ni douleur.
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailGUIDE D'INTERVENTION POST-RECONSTRUCTION DU LIGAMENT CROISÉ ANTÉRIEUR INTERVENTIONS EN PHYSIOTHÉRAPIE
GUIDE D'INTERVENTION POST-RECONSTRUCTION DU LIGAMENT CROISÉ ANTÉRIEUR INTERVENTIONS EN PHYSIOTHÉRAPIE DOCUMENT RÉALISÉ PAR : CAROLE BOUCHER, PHT (HÔTEL-DIEU DE QUÉBEC, CHUQ) PASCALE BOUDREAULT, PHT (HÔPITAL
Plus en détailGénéralités sur fractures, luxation et entorses
Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques
Plus en détailChirurgie du pied. réponses à vos questions. Vous allez être opéré(e) d un hallux valgus. collection
Chirurgie du pied Vous allez être opéré(e) d un hallux valgus réponses à vos questions Avec la collaboration du Dr Olivier BONIFACE Chirurgie du pied et de la cheville collection Réalisé avec le soutien
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailRAPPORT DE STAGE S ANNEE SCOLAIRE 2010-2011 B 3EME 5 CABINET DE MASSEUR KINESITHERAPEUTE. MONSIEUR Edouard CHEVALIER
S ANNEE SCOLAIRE 2010-2011 B 3EME 5 RAPPORT DE STAGE CABINET DE MASSEUR KINESITHERAPEUTE MONSIEUR Edouard CHEVALIER 42 Ter Rue Gambetta 58600 FOURCHAMBAULT Collège PAUL LANGEVIN 9, rue Dufaud 58600 FOURCHAMBAULT
Plus en détailE-MAG Active BILATÉRAL JUSQU'À 100 KG OU UNILATÉRAL JUSQU'À 85 KG. Information produit
E-MAG Active BILATÉRAL JUSQU'À 100 KG OU UNILATÉRAL JUSQU'À 85 KG Information produit 2 Ottobock E-MAG Active E-MAG Active L'E-MAG Active est une innovation technologique ouvrant de toutes nouvelles perspectives
Plus en détailL exercice à la retraite. Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal
L exercice à la retraite Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal Buts de la conférence Vous renseigner sur les changements du corps qui avance en âge, avec emphase sur le système
Plus en détailPrise en Charge de la Fracture du Col du Fémur. Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE
Prise en Charge de la Fracture du Col du Fémur Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE Épidémiologie «Problème médical, social et économique» Incidence : France : 50/100 000 hab. Augmente
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailPLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR
Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ Vous pouvez faire confiance aux systèmes CR et DR de Carestream pour leur qualité de prise d images. Maintenant
Plus en détailModifications par rapport à la Version 1.56 / Release 22.07.2013:
Modifications par rapport à la Version 1.56 / Release 22.07.2013: Nouvelles décisions: Numéro 14001 : Supplément à la valeur intrinsèque de la position tarifaire 00.1325 1/37 Numéro 03033 Facturation des
Plus en détail