Gastrites J-F FLEJOU. Et le cardia: 3 fois rien
|
|
- Agathe Rochon
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Gastrites J-F FLEJOU Et le cardia: 3 fois rien
2
3 Analyse des biopsies gastriques Lésions élémentaires - 1 Mucus de surface : microorganismes (Helicobacter) Epithelium :- surface : érosions, mucosécrétion, irrégularités - cryptes : allongement, régénération (hyperplasie) - glandes : atrophie - inflammation intra-épithéliale : PN, LIE - métaplasie :. antropylorique (fundus) - Dysplasie. intestinale (antre, fundus, cardia) complète (I), incomplète (II, III) - Modifications des cellules endocrines (ECL fundus)
4 Métaplasie intestinale Incomplète Complète
5 Analyse des biopsies gastriques Lésions élémentaires - 2 Chorion : - infiltrat inflammatoire. composition (PNN, PNE, Lympho-plasmo, follicules lymphoïdes...). topographie (superficiel, diffus). intensité (semi-quantitatif) - granulomes? - fibrose - fibres musculaires lisses - lésions vasculaires
6 GASTRITE?? Emprunté à Bob Genta
7 Gastrites : affections inflammatoires de la muqueuse gastrique, dont le diagnostic est histologique. Cette définition a été rendue nécessaire par l absence de corrélation entre les symptômes, les lésions endoscopiques et les lésions histologiques. Gastropathies : autres affections au cours desquelles les lésions vasculaires (et épithéliales) de la muqueuse sont prédominantes.
8 Biopsies gastriques pour le diagnostic des gastrites Diagnostic : - topographie -étiologie - stade évolutif Nombre et siège des biopsies : - 2 antre + 2 fundus (+ 1 angle, +/- 2 cardia??) - dans des flacons repérés, fixés dans le formol Colorations : - HE(S) - coloration H pylori (Giemsa, Cresyl violet...) - (colorations du mucus: PAS, bleu alcian). cellules en bague à chaton. type de la métaplasie intestinale
9 «Gastropathies» «Chimique, réactionnelle, réactive» - aiguë - chronique Congestives - gastropathie de l hypertension portale - ectasie vasculaire antrale (GAVE, Watermelon stomach) Hypertrophiques - maladie de Ménétrier - gastropathie du syndrome de Zollinger-Ellison
10 Gastropathies (gastrites) chimiques Aiguë : «gastrite érosive, ou ulcéro-nécrotico-hémorragique» - causes : alcool, Médicaments (AINS, stéroïdes, fer, chimioth.) drogues (cocaïne, crack) caustiques radiothérapie Bas débit (choc) Stress (grand trauma, neurochir, brûlés, sepsis, post-op ) - Physiopathologie : effet toxique direct, aggravé par acide, pepsine, sels biliaires, effet anticox des AINS, radicaux libres - histologie : gravité variable, évolution très rapide érosion, régénération (pseudo-dysplasique), hémorragie.
11 Gastrite ulcéro-nécrotique (gastropathie chimique aiguë)
12 Gastropathies (gastrites) chimiques Chronique - gastrite du moignon - gastropathie chimique chronique sur estomac entier (Dixon). système de Sydney : gastrite réactive. causes : AINS, reflux biliaire,?. histologie : prédominance antrale hyperplasie fovéolaire paucité inflammatoire oedème, congestion hyperplasie des fibres musculaires lisses
13 «Gastrite» de reflux biliaire du moignon de gastrectomie
14 «Gastrite» chimique sur estomac entier
15 Gastrites aiguës infectieuses Bactériennes : - Helicobacter pylori (et H. heilmannii) - phlegmoneuses (Strepto, Staphylo, E coli...) - emphysémateuses (anaérobies) Virales : -CMV - Herpes Fungiques Parasitaires
16 Les gastrites aiguës infectieuses Bactérienne: phlegmoneuse ou purulente Rare Nécrose, régénération épithéliale, abcès cryptiques, infiltration dense de PNN Streptocoque, staphylocoque, E.coli, H. pylori Virale: CMV et herpès Infection herpétique exceptionnelle, avec infection généralisée ulcérations, vésicules inclusions intranucléaires caractéristiques Fungique et parasitaire le diagnostic dépend de l identification de l agent pathogène en cause; granulomes possibles
17
18
19 Gastrites granulomateuses Infectieuses : - tuberculose - H. pylori (?) - syphilis - parasitoses (anisakis...) - mycoses Non infectieuses : - maladie de Crohn avec granulomes (sans granulomes : gastrite focale active) - sarcoïdose - corps étrangers -tumeurs -vascularite - idiopathique (H. pylori?)
20
21
22 Gastrite focale active
23 Gastrites chroniques non granulomateuses fréquence Gastrite àhelicobacter pylori Gastrite àhelicobacter heilmannii + Gastrite auto-immune ++ Gastrite lymphocytaire + Gastrite collagène exceptionnelle Gastrite à éosinophiles très rare Gastrite de reflux, plutôt gastropathie +++
24 Principe des classifications des gastrites chroniques Histologiques (gastrite chronique atrophique) : Cheli (internationale), Whitehead (superficielle, atrophique L/M/S) Etiopathogéniques et topographiques : Strickland, Glass, Kekki, Correa «Globales» : histologiques, étiologiques, topographiques : Wyatt & Dixon, Stolte, système de Sydney, système «OLGA»
25
26 Helicobacter pylori - rappel 1983 : Warren et Marshall (prix Nobel 2005) : Campylobacter pyloridis Puis Campylobacter pylori, puis Helicobacter pylori Hôte spécifique (homme), dans un site spécifique (estomac), au voisinage de cellules spécifiques (cellules mucosécrétantes gastriques) Morphologie caractéristique, à la base du diagnostic Rôle reconnu dans les gastrites, les ulcères gastro-duodénaux, les cancers de l estomac (adénocarcinome, lymphome)? Rôle protecteur contre le RGO, rôle dans des maladies extradigestives? Traitement : IPP + 2 antibiotiques (1 semaine : 70-80% succès)
27
28
29 Helicobacter pylori - diagnostic Méthodes directes (biopsies) Accès Sens. Spéc. Coût Valeur ajoutée Histologie /- lésions associées Cytologie ? - Culture /- antibiogramme PCR ? - Test uréase rapidité
30 Helicobacter pylori - diagnostic Méthodes indirectes (sans biopsies) Accès Sens. Spéc. Coût Valeur ajoutée Test resp /- non invasif ELISA Salives, selles -???
31 Classification des gastrites basée sur la répartition de l inflammation et de l atrophie : le système de Sydney H pylori +++
32 Aspect histologique de la gastrite chronique à H pylori Helicobacter pylori Polynucléaires (activité) Lymphocytes et plasmocytes Follicules lymphoïdes Lésions épithéliales en surface Hyperplasie des cryptes +/- Atrophie +/- Métaplasie intestinale
33
34 Evaluation semi-quantitative des lésionsl
35 Système de Sydney : échelle visuelle analogique H. pylori Neutrophiles Cellules mononucléées Genta RM
36 Atrophie antrale Atrophie fundique Métaplasie intestinale Genta RM
37 Pourquoi une classification des gastrites basée sur la répartition de l inflammation et de l atrophie? UG Cancer UD Genta RM
38
39 OLGA system, Rugge et al, Gastroenterology 2005
40 Evolution des lésions après traitement Activité : disparition en quelques heures Infiltrat mononucléé : quelques mois Atrophie et métaplasie :? La tendance est contre une disparition L atrophie légère avant traitement (sans métaplasie) est-elle une atrophie? Réversion de la cancérogenèse??
41 Evolution des lésions sous traitement (IPP+++) H pylori «remonte» dans l estomac : Fausse éradication sur des biopsies antrales, avec gastrite apparemment inactive Persistance de signes d activité et de nombreuses bactéries dans le fundus csq: conseiller de faire des biopsies dans l antre et le fundus pour vérifier l éradication
42 Gastrite à Helicobacter Heilmannii Rare (<1% des gastrites chroniques) contage à partir animaux domestiques?? rarement aiguë (érosive +++) généralement chronique, morphologie proche de H. pylori, souvent moins active et moins atrophique complications identiques à H. pylori traitement idem
43 Helicobacter Heilmannii
44 Gastrite auto-immune Type A, localisée au corps de l estomac. Associée à la présence d auto-anticorps anti-cellules pariétales Aspect histologique - fundus : infiltrat mononucléé, destruction progressive des glandes (atrophie, métaplasie) pylori) - antre normal ou «réactif» (très rarement gastrite à H Evolution vers anémie de Biermer : 15-20% Complications néoplasiques exo- et endocrines (ECLomes)
45
46 Gastrite lymphocytaire : une des quelques causes de gastrite nona-nonb 1.5 4% des gastrites chroniques 1% des biopsies de patients dyspeptiques souvent chez l adulte clinique : variable ++, de asymptomatique à gastropathie exsudative sévère endoscopie gastrite varioliforme, très évocatrice peut être normale «gastrite» non specifique gastrite hypertrophique Le diagnostic est histologique
47 Gastrite lymphocytaire Définition : purement histologique infiltration de l épithélium de surface gastrique par des lymphocytes intra-épithéliaux T (CD8 +) limite diagnostique > 20 / 100 cellules épithéliales (30 pour certains auteurs) muqueuse normale ou gastrite à H. pylori : 2-10 / 100
48 - érosion focale en surface - Nombreux lymphocytes intra-épithéliaux (LIE) - Inflammation de la lamina propria (superficielle) - pas d Helicobacter pylori
49 anti-cd3 Fundus Antrum
50 Une forme exceptionnelle de gastrite chronique de cause inconnue Gastrite collagène
51 Gastropathies à gros plis ou hypertrophiques : évoqué en endoscopie et EE Les gastropathies hypertrophiques: - Maladie de Ménétrier (et autres entités proches): clinique (œdème, diarrhée) + biologie (hypoprotidémie) + endoscopique (gros plis) + histologique (hyperplasie cryptes) - Syndrome de Zollinger-Ellison: Gastrinome, hyperplasie glandes fundiques Les diagnostics différentiels devant des gros plis gastriques - Linite - Lymphome du Malt - Gastrites aiguë ou chronique, mastocytose
52 Maladie de Ménétrier - Maladie rare - Manifestations cliniques: Douleurs épigastriques Diarrhée, amaigrissement Hémorragies - Biologie: exsudation protéique Hypoprotidémie Anémie
53 Imagerie : L épaississement pariétal vu parfois au scanner est un signe très peu spécifique. L écho-endoscopie est l examen de choix pour apprécier l épaississement pariétal aux dépens de la muqueuse.
54
55 Macroscopie Gros plis cérébriformes fundiques ou diffus
56
57
58
59 Histologie : - muqueuse épaissie aux dépens des cryptes qui sont longues et tortueuses, kystisées en profondeur - couche glandulaire atrophique, souvent remplacée par les cryptes kystisées, sans cellule pariétale - chorion abondant, oedémateux et congestif avec un infiltrat inflammatoire modéré - fibres musculaires lisses provenant de la musculaire muqueuse pénétrant le chorion
60
61
62
63
64 La pathogénie de la maladie de Ménétrier Rôle de l'helicobacter pylori - induction d une réponse immunitaire locale? - régression des anomalies histologiques après traitement de l'infection - MAIS taux faible (30%) d'infection par Helicobacter pylori Rôle du CMV - rapporté comme agent causal de la maladie dans plusieurs cas chez l enfant Rôle du «transforming growth factor-α» (TGF-α) - de l expression du TGF-α par les cellules de la surface gastrique - souris transgéniques: aspect comparable à la maladie de Ménétrier - amélioration clinique après traitement par anticorps monoclonal* *Burdick et al, NEJM 2000, 343:
65 Ménétrier et cancer: ulcération de la grosse tubérosité sur replis
66 Diagnostic différentiel Macroscopie: épaississement des plis gastriques tumeurs (linite +++ à côté, lymphome) inflammation (gastrite granulomateuse,à éosinophiles,mastocytose) éliminées sur le contexte clinique et l histologie Histologie: hyperplasie fovéolaire (biopsie gastrique superficielle) gastropathie de reflux, berge d'ulcère, anastomose de gastroentérostomie, polype hyperplasique (polypose). corréler au données anamnestiques, cliniques et endoscopiques La gastrite lymphocytaire: peut seule augmenter la hauteur des plis gastriques peut histologiquement s associer à des aspects de maladie de Ménétrier : gastrite lymphocytaire hypertrophique* *Wolfsen et al, Gastroenterology 1993, 104:
67 Résumé Ménétrier Le diagnostic de la maladie de Ménétrier repose sur un faisceau d arguments cliniques, biologiques et histologiques (a) douleurs, oedèmes, diarrhée (b) fuite gastrique de protéines, anémie (c) gros plis à l endoscopie: biopsies à l anse diathermique (d) hypertrophie de la muqueuse aux dépens des cryptes kystiques en profondeur Sa pathogénie reste discutée (rôle de Hp? du TGF-α?) Son traitement est symptomatique (renutrition); éradication d Hp et antisécrétoires; la gastrectomie totale ou partielle est rarement nécessaire; anticorps anti-rc TGF-α?
68 Zollinger Ellison Muqueuse épaissie Augmentation de la hauteur glandulaire Cryptes raccourcies Hyperplasie de la muqueuse aux dépens des glandes fundiques
69 Gastropathies hypertrophiques Cryptes Glandes Inflammation Topographie Ménétrier, kystes variable fundus +/-antre Zoll.-Ellison 0 fundus Diagnostic différentiel : autres causes d épaississement des plis gastriques : polypose hyperplasique, linite, lymphome, gastrite lymphocytaire, muqueuse normale...
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailJanvier 2003 PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES RECOMMANDATIONS DE LA
Janvier 2003 RECOMMANDATIONS DE LA PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES L. BEAUGERIE (Paris) Avec la collaboration de : G. GAY (Nancy), B. NAPOLEON (Lyon), T. PONCHON (Lyon), J. BOYER
Plus en détailDERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailA Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger
Apport de la cytoponction ganglionnaire dans le diagnostic des lymphomes A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Introduction Large
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailLes marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives
Les marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives Michèle d Herbomez DIU de Chirurgie Endocrinienne Lille 2009 Bilan biologique participe au Diagnostic Pronostic Suivi Trois types de marqueurs:
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailLettre circulaire aux Gastro-Entérologues
Pôle Santé Prévention Régulation R.P.S. CL/EF Troyes, le 4 décembre 2008. Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues PRISE EN CHARGE DE L EXPLORATION INTESTINALE PAR VIDEOCAPSULE INGEREE Docteur, La décision
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailHépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques
Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détaild anatomo-pathologiste
Le métierm d anatomo-pathologiste Paul P. de SAINT-MAUR Université Paris 6 -Hôpital Saint-Antoine Le 19 Novembre 2002 Le métier m d anatomopathologisted Qu est est-ce qu un un anatomo-pathologiste? Comment
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailCirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Pré-Requis : Cirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005) Clinique : o Diagnostic d'une ascite PCEM2 o Insuffisance hépatocellulaire PCEM2
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailM2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum. Coordination : Pr Hahnloser
M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum Coordination : Pr Hahnloser Pathologie Dr. Maryse Fiche Cancers colo-rectaux Précurseurs : Images et figures : Robbins 8è Edition Objectifs d apprentissage : SCLO
Plus en détailRenseignements médicaux et questionnaire sur les capacités fonctionnelles pour l assurance de soins de longue durée
Renseignements médicaux et questionnaire sur les capacités fonctionnelles pour l assurance de soins de longue durée Avant de remplir le présent questionnaire, passez en revue les questions de la section
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailLe syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique
Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre
Plus en détailUn nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD
Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD J Boursier, A Guillet, S Michalak, Y Gallois, F Oberti, I Fouchard-Hubert,
Plus en détailPROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détailII - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE
II - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE I. ÉPIDÉMIOLOGIE En France, le diabète de type 1 touche 0,38 % de la population totale et environ 10 % des diabétiques.
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailDYSPEPSIE. Département de médecine communautaire, de premier recours et des urgences Service de médecine de premier recours
Département de médecine communautaire, de premier recours et des urgences Service de médecine de premier recours DYSPEPSIE Y.Michel 1, M.Girardin 2 1 Service de Médecine de Premier Recours, HUG 2 Service
Plus en détailDégénérescence maculaire liée à l âge
Dégénérescence maculaire liée à l âge LUC-09-02/10-6087 - 1 - Dégénérescence maculaire liée à l âge Sommaire 1. Introduction 2. Qu est-ce que la dégénérescence maculaire liée à l âge? 3. Forme sèche et
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailLA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE
Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire
Plus en détailDéficit immunitaire commun variable Common variable immunodeficiency
Réanimation (2008) 17, 393 398 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com journal homepage: http://france.elsevier.com/direct/reaurg/ MISE AU POINT Déficit immunitaire commun variable Common variable
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailMoyens et objectifs de l anatomie pathologique en médecine. Collège Français des Pathologistes (CoPath)
Moyens et objectifs de l anatomie pathologique en médecine Collège Français des Pathologistes (CoPath) Date de création du document 2011_2012 Sommaire 1 Historique... 3 2 Place de l'anatomie pathologique
Plus en détailComprendre les lymphomes non hodgkiniens
France Lymphome Espoir Comprendre les lymphomes non hodgkiniens Un guide d information pour les patients et leurs proches En partenariat avec Edition septembre 2011 Préambule La première édition datant
Plus en détail«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès»
2006-2007 Premier Prix : «La voie d abord postérieure mini-invasive modifiée de la hanche» Dr. Chbani Idrissi Badr Deuxième Prix «Éradication de l helicobacter pylori: quelle trithérapie en première intention?»
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailConduite à tenir devant des troubles digestifs au retour du voyage. Laurent Beaugerie Hôpital Saint-Antoine, Paris
Conduite à tenir devant des troubles digestifs au retour du voyage Laurent Beaugerie Hôpital Saint-Antoine, Paris Troubles digestifs au retour de voyage Diarrhée (> 2 selles/j de consistance anormale)
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailCroissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies
Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 8 sur 87 A00 8/87 Indicateurs globaux Index global m.= m.=,9 s.=0,. Evaluation générale de cette unité m.=. Sciences médicales de base m.=,. Compétences cliniques m.=,7.
Plus en détailN o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20
RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailPrise en charge du. Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil
Prise en charge du nouveau-né de mère m HIV Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil GROSSESSE Chez une femme infecté par le VIH,la grossesse est a risque = prise en charge multidisciplinaire
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailMALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN :
DOSSIER 13 MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN : ENTRE SOUFFRANCE ET TABOU Souvent dissimulées par les malades, parfois encore ignorées par la médecine de ville, les maladies inflammatoires chroniques
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détail