Introduction. II. Aire de répartition des requins
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- Xavier Meloche
- il y a 8 ans
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1 Premiers résultats des observations acoustiques effectuées sur les requins bouledogue et tigre entre le 2 décembre 2011 et le 2 décembre 2012 sur la côte ouest de la Réunion Introduction Ces premiers résultats ont été obtenus à partir de 39 requins marqués essentiellement dans la partie nord de la zone d étude (Saint-Paul, Saint-Gilles et ) et de 35 sites d observation distribués sur la côte ouest de La Réunion entre le Port et Etang-Salé (figure 1A et 1B). L analyse du nombre de détections a été privilégiée car plus rapide. Elle ne permet pas de rendre compte en détails des comportements mais donne une bonne image de la distribution spatiale des requins dans la zone. Rappelons qu un requin est détecté une fois par minute dès lors qu il rentre dans la zone de détection d une station. Un requin qui reste une heure par jour autour d une station sera donc détecté 60 fois. Un grand nombre de détections sur une seule station et sur une durée courte indique que l animal est immobile ou en nage lente. A l inverse peu de détections sur une durée courte mais sur plusieurs stations indique un individu en exploration et potentiellement en quête de nourriture. Le nombre important de détections n est donc pas obligatoirement synonyme de plus grand danger. C est pour cette raison qu il est primordial de recouper ces résultats avec ceux qui seront obtenus à partir de l analyse des temps de résidence. Les résultat de cette analyse seront donnés fin janvier 2013 et permettront de confirmer ou d infirmer les résultats préliminaires décrits ci-dessous. I. Nombre et variabilité des requins observés Sur les 39 requins marqués, 22 ont été détectés (avec au moins 3 détections) au cours de l année, 13 requins bouledogue et 9 requins tigre. Deux requins bouledogue femelle fournissent l essentiel des données de détections (75%). Ces deux requins ont été détectés sur l ensemble du réseau de stations d écoute. Les marques acoustiques sont légèrement plus puissantes mais comme c est le cas de 6 autres requins dont le nombre de détections est pourtant faible. Ces deux requins ne sont plus détectés dans le réseau depuis le 18 octobre. Ils ont pu être pêchés ou ont migrés hors de la zone d observation voire hors de eaux côtières réunionnaises. A l heure actuelle aucune cause certaine ne peut être avancée pour expliquer cette dominance et cette récente disparition. Les hypothèses sont nombreuses et seront étudiées avec attention au cours de ces prochains mois. II. Aire de répartition des requins Le nombre de requins différents détectés par station au cours de l année d observation est indiqué dans le tableau 1 et figure 2. Ce tableau et cette figure montrent que les requins se répartissent sur l ensemble des stations d écoute entre Le Port et Etang-Salé. Ils ont été
2 systématiquement détectés par les nouvelles stations rajoutées au cours de l année laissant supposer que la limite de leur aire de répartition n a toujours pas été atteinte. III. Nombre total moyen de détections par jour d observation et par site Le nombre total moyen de détections enregistrées au cours de l année d étude, par jour d observation et par site, est faible. Il varie selon le site et l espèce entre 1 et 55 (figure 3). Ce nombre de détection est plus important pour le requin bouledogue que pour le requin tigre (figure 4). Les plus grands nombres moyens de détections de requins bouledogue, par jour d observation, sont observés en face du port de Saint-Gilles, sur les sites de Cap, Large Saint-Gilles et, pour les sites situés à des profondeurs comprises entre 40 et 60 m, et uniquement sur le site des Roches-noires pour les sites situés à des profondeurs comprises entre 10 et 20 mètres près de la côte (figure 4). Les plus grands nombres moyens de détections de requins tigre par jour d observation, sont observés, en proportion beaucoup plus faible que les bouledogues, sur les sites de Saint-Gilles et de Saint-Leu à des profondeurs comprises entre 40 et 60 m (figure 4). Ce nombre de détections est un chiffre moyen sur l année qui ne permet pas de saisir toutes les nuances des observations. Il existe notamment pour chaque individu observé de longues périodes d absence (parfois de plusieurs mois). Cette périodicité sera étudiée ultérieurement. La distribution spatiale des requins après le 18/04/2012, date du dernier relevé et de l agrandissement du réseau vers le sud, montre que les requins explorent toute la zone d observation mais que l aire devant Saint-Gilles reste la zone principale de détection (figure 5). IV. Rythme nycthéméral Le requin bouledogue est globalement sur l ensemble des stations, davantage détecté le jour que la nuit et inversement pour le requin tigre (figure 6). Cette tendance générale cache des variations entre stations (cf figure 8) et entre individus qui sont à l étude. Cette tendance provient principalement des variations jour/nuit observées sur la zone la plus riche (celle au large de Saint-Gilles). V. Conclusion et analyse préliminaire Cette analyse rudimentaire doit être complétée par une étude plus poussée, des temps de résidence et des déplacements, qui permettra de confirmer ces premiers résultats et de mieux rendre compte des comportements. Elle indique néanmoins la faible présence de requins très près des côtes sauf aux Roches-noires. Elle confirme que les requins tigre et bouledogue ne sont pas inféodés à une frange restreinte du littoral car ils sont détectés sur toute la côte ouest étudiée. Elle montre que les requins tigres sont très peu détectés et occuperaient une aire plus au large que la zone couverte par le réseau de stations d écoute. Elle montre que la zone au large du Port de Saint-Gilles (regroupant les stations, «Large Saint-Gilles» et «Cap aigrettes») est la zone principale d observation des requins bouledogue marqués. Cette zone pourrait être une zone ou partie d une zone naturelle de repos «dortoir» pour les requins bouledogues. En effet, un grand nombre de détections sur une seul station et sur une durée courte indique que l animal est immobile ou en nage lente.
3 L analyse comparative des détections de requins bouledogue enregistrées sur la zone au large du Port de Saint-Gilles et sur le site de Roches-Noires confirme cette tendance mais permet également de distinguer ces deux zones. Les détections sur ces deux zones s influencent au cours de l année (figure 7) néanmoins, celles enregistrées aux Roches-noires sont moins nombreuses et plus sporadiques qu au large. De même le nombre moyen de détections par heure (figure 8) est plus fort, le jour sur la zone au large de Saint-Gilles et la nuit aux Roches-Noires (avec une inversion des tendances des deux courbes un peu avant le crépuscule). L évolution du nombre de détections sur le site des Roches-Noires ne suit donc pas la variabilité globale observée au cours du nycthémère pour le requin bouledogue (cf figure 6). Ce site serait donc davantage une zone d exploration nocturne qu un site de repos diurne. Des zones de repos ont déjà été décrites dans la littérature et identifiées chez d autres espèces de requin et correspondent à un comportement normal. Une zone de repos est une zone où les requins ne chassent pas mais se reposent ou s y réfugient. Elle dépend notamment des caractéristiques de température et de courant qui peuvent varier au cours du temps et donc modifier la carte de répartition des requins selon les conditions environnementales. D autres zones de repos sont suspectées plus au sud. Cette hypothèse sera à confirmer et à approfondir au cours du programme notamment à partir des observations de suivi acoustique actif de requins. Fait à Saint-Denis le 28 décembre 2012 Marc Soria Coordonnateur du programme CHARC
4 A Pointe des Galets Le Port Large Saint-Paul Cheminé 2 Canot Cap (BR) Brisant (BR) Saint-Gilles L'ermitage La les bains Trois Bassin Surf Pointe des Pointe des Châteaux Saint-Leu Figure 1A. Carte de la partie nord-ouest de la zone d étude indiquant (rond rouge) l emplacement et le nom des stations d écoute déployées au cours de la période d observation (du 2/12/11 au 2/12/12). (+ = Bouée de la Réserve ; + = Position DCP)
5 Pointe au sel Nord Pointe au Sel Cap Eglise Requins Etang-salé Saint-Louis Etang du Gol Cap Long Pointe du diable Saint-Pierre Pointe du Parc B Figure 1B. Carte de la partie sud-ouest de la zone d étude indiquant (rond rouge) l emplacement et le nom des stations d écoute déployées au cours de la période d observation (du 2/12/11 au 2/12/12). (+ = Bouée de la Réserve ; + = Position DCP)
6 Lieu Nb de requins bouledogue différents détectés Nb de requins tigre différents détectés Large Tour de Bouée Cap des IRD Trois Bassin Surf 1 0 Surf Pointe au sel Nord Total 13 9 Tableau 1. Nombre total de requins (bouledogue à gauche et tigre à droite) différents détectés (avec au moins 3 détections) par station au cours de l année d observation. 12 Nb de requins bouledogue différents détectés Large Tour de Bouée 2 Cap des IRD Trois Bassin Surf Surf 2 Pointe au sel Nord Station d'écoute Figure 2. Nombre différents de requins bouledogue détectés par chaque station (site) pendant un an d observation. Les requins occupent l ensemble de la zone. Ils ont été systématiquement détectés par les nouvelles stations rajoutées au cours de l année laissant supposer que la limite de leur aire de répartition n a pas été atteinte.
7 TOTAL REQUINS MARQUES Ho ulographe Large Tour de Bouée (poste secours) 2 Cap des IRD Surf Trois Bassin Surf 2 Pointe au sel No rd TOTAL REQUINS MARQUES sans les deux principaux requins détectés Large Tour de Bouée (poste secours) 2 Cap des IRD Surf Trois Bassin Surf 2 Pointe au sel Nord Figure 3. Nombre total moyen de détections par jour d observation pour chaque site (attention l échelle du nombre moyen de détections n est pas la même pour les deux graphes). Le graphe du haut concerne les 22 requins détectés, celui du bas donne les résultats sans les deux requins bouledogues les plus fréquemment détectés. La forme des graphes est similaire montrant une dominance du secteur au large de Saint-Gilles. Rappel : un requin est détecté une fois par minute dès lors qu il rentre dans la zone de détection d une station. Un requin qui reste une heure par jour autour d une station sera donc détecté 60 fois.
8 REQUIN TIGRE REQUIN BOULEDOGUE Large Tour de Bouée (poste secours) 2 Cap des IRD Surf Trois Bassin Surf 2 Pointe au sel Nord Large Tour de Bouée (poste secours) 2 Cap des IRD Surf Trois Bassin Surf 2 Pointe au sel Nord Figure 4. Nombre total moyen de détections par jour d observation pour chaque site pour les requins tigre (à gauche) et bouledogue (à droite). (attention l échelle du nombre moyen de détections n est pas la même pour les deux graphes). Ce nombre de détections est un chiffre moyen sur l année qui ne permet pas de rendre compte de toutes les nuances des observations. Il existe notamment pour chaque individu observé et pour chaque site des périodes d absence (parfois longues de plusieurs mois). TOTAL Avant le 19/04/2012 TOTAL APRES le 18/04/2012 Large Tour de Bouée (PS) 2 Cap des Bouée (PS) IRD Surf Trois Bassin Surf 2 Cap des Pointe au sel Nord Figure 5. Nombre total moyen de détections par jour d observation pour chaque site avant le relevé du 18 avril (à gauche) et après le 18 avril jusqu au 2 décembre.
9 Figure 6. Evolution du nombre total de détections cumulées sur l ensemble des stations, par heure, au cours du nycthémère pour chaque espèce ( = requin tigre, ordonnée de gauche ; = requin bouledogue, ordonnée de droite). Rappelons qu un grand nombre de détections sur une seule station et sur une durée courte indique que l animal est immobile ou en nage lente. A l inverse peu de détections sur une durée courte mais sur plusieurs stations indique un individu en exploration et potentiellement en quête de nourriture. Le nombre important de détections n est donc pas obligatoirement synonyme de plus grand danger potentiel.
10 Zone Large Saint-Gilles Roches-Noires Nombre total moyen de détections par station 14/12/11 21/12/11 28/12/11 04/01/12 12/01/12 19/01/12 26/01/12 02/02/12 09/02/12 06/03/12 13/03/12 20/03/12 27/03/12 03/04/12 10/04/12 17/04/12 28/04/12 08/05/12 15/05/12 22/05/12 29/05/12 05/06/12 12/06/12 19/06/12 26/06/12 04/07/12 11/07/12 18/07/12 25/07/12 01/08/12 08/08/12 16/08/12 23/08/12 30/08/12 06/09/12 13/09/12 20/09/12 27/09/12 08/10/12 22/10/12 03/11/12 17/11/12 24/11/12 Figure 7. Evolution du nombre total moyen de détections par station et par jour au cours de la période d observation (02/12/11 au 02/12/12), des requins bouledogue, sur la zone au large de Saint-Gilles (regroupe les stations :, «Large Saint-Gilles» et «Cap aigrettes», carré bleu) et sur le site des Roches-Noires (rond noir),.
11 JOUR Zone Large Saint-Gilles Roches-Noires NUIT Indice de présence Heure de la journée Figure 8. Evolution au cours du nycthémère du nombre total moyen de détections par heure et par station rapportée à la durée d'observation de chaque station, des requins bouledogue, sur la zone au large du Port de Saint-Gilles qui regroupe les stations :, «Large Saint-Gilles» et «Cap aigrettes» ( ) et sur le site des Roches-Noires ( ). Rappelons qu un grand nombre de détections sur une seule station et sur une durée courte indique que l animal est immobile ou en nage lente. A l inverse peu de détections sur une durée courte mais sur plusieurs stations indique un individu en exploration et potentiellement en quête de nourriture. Le nombre important de détections n est donc pas obligatoirement synonyme de plus grand danger potentiel.
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