Gérontechnologies, âge et handicap
|
|
- Joseph Audet
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Forum des professions de la gérontologie et du handicap âge et handicap Matin : 10 h h 30 En partenariat avec la Société française de gériatrie et de gérontologie, l IUP Ville et santé (Bobigny), l Institut universitaire professionnel de gérontologie Yves-Mémin (Paris 13 e ) et la Fédération nationale de gérontologie Introduction Les enjeux de la gérontechnologie PR ALAIN FRANCO, chef du département de médecine gériatrique, CHU de Grenoble Bien vieillir à domicile : habitat service Modérateurs MICHEL STEERS, professeur à l IUP Ville et santé, Bobigny DR PIERRE LUTZLER, professeur à l IUP Ville et santé, gériatre au CH d Embrun Nouvelles technologies et domicile, les enjeux MICHEL STEERS, professeur à l IUP Ville et santé, Bobigny De la télésurveillance à la plate-forme multiservice LUC ALLARD, directeur général adjoint, ACDM Concept Résidensemble GAËTAN LAZZARA, directeur délégué Habitat Marseille Provence, Marseille Âge d or services : de l accompagnement dans les déplacements à la demande de coordination des autres services FABRICE PROVIN, directeur délégué, Âge d or services, Troyes Discutants ALAIN ROZENKIER, directeur de recherche, Caisse nationale d assurance vieillesse, Paris MICHÈLE BARON, présidente, Fédération française des associations d infirmes moteurs cérébraux DR ARVIEU, Alliance, ville d Issy-les-Moulineaux Présidence PR ALAIN FRANCO, chef du département de médecine gériatrique, CHU de Grenoble GENEVIÈVE LAROQUE, présidente de la Fondation nationale de gérontologie Réseau informatique et CLIC Modérateurs MICHÈLE SEREZAT, France Télécom DR PASCAL COUTURIER, CHU Grenoble Réseau informatique et centres locaux d information et de coordination DR MICHEL MAZEIRAT, CH La Souterraine Point de vue d un opérateur GÉRARD LEBRUN, France Telecom Point de vue d un fournisseur de logiciels EMMANUEL PENETRAT, directeur technique et commercial, DICSIT Discutants AGNÈS LORTHIOIR, coordinatrice du CLIC de Lagny-Marne-la-Vallée, directrice de l Association de services et de soins à domicile de la région de Lagny GÉRARD GAMICHON, adjoint au chef de service de l aide sociale générale, conseil général de la Marne Conclusion GENEVIÈVE LAROQUE, présidente de la Fondation nationale de gérontologie Résumé de l intervention publié dans cette édition. 28 N Mars - Avril 2003
2 R e v u e h o s p i t a l i è r e d e F r a n c e 26 mars âge et handicap mercredi En librairie Actualités Jeudi 27 mars Mardi 25 mars Sommaire Programme Les enjeux de la gérontechnologie Alain FRANCO, professeur de médecine interne et gériatrie, CHU de Grenoble Le vieillissement peut être accompagné d un handicap. L Europe et le monde vieillissent. On compte en France presque un million de personnes présentant un handicap physique et/ou mental et une dépendance à autrui. La technologie représente une réponse parmi d autres (sanitaire, sociale, psychologique, économique, politique, etc.) visant à compenser le handicap en allégeant le travail des aidants. Elle permet aux personnes concernées de réduire le risque d exclusion et de retrouver autant que possible une autonomie. Le champ de la technologie appliquée au vieillissement, ou gérontechnologie, est extrêmement vaste. Les applications les plus connues sont l assistance sensorielle (vision, audition), l assistance au déplacement (lit, fauteuil, transport en commun) et à la communication (passive, interactive, thérapeutique, télémédecine). On pourrait y ajouter l assistance à la nutrition, à l hygiène ou au soin. Les disciplines technologiques concernées sont très diverses et les programmes toujours multidisciplinaires. Bien que les modalités d implémentation et de financement demeurent complexes, la collaboration entre techniciens, aidants, soignants, gestionnaires et décideurs contribue à la promotion rapide de systèmes ou de services basés sur la gérontechnologie. N Mars - Avril
3 Bien vieillir à domicile : habitat service Forum des professions de la gérontologie et du handicap De la télésurveillance à la plate-forme multiservice Luc ALLARD, directeur général adjoint, ACDM Concept >> La prolifération de nouveaux moyens de communication et les nouvelles solutions de traitement de l information bouleversent les lieux de vie. Le logement, devenu espace de vie intelligent, doit non seulement être adapté La Fondation nationale de gérontologie Créée en 1967 par les pouvoirs publics et la protection sociale, la Fondation nationale de gérontologie (FNG) constitue un lieu de recherche, d information et de rencontre pour l ensemble des acteurs concernés par la révolution de la longévité. Elle conduit des études et recherches dans les diverses disciplines des sciences biomédicales ou humaines et sociales. Elle valorise la recherche par la constitution d une base de données sur les chercheurs. Elle anime des groupes de travail permanents : droits et libertés des personnes âgées dépendantes, grandir c est vieillir, vieillir c est grandir Son centre de documentation, à la disposition des chercheurs et des professionnels, participe à la Banque de données de la santé publique et anime le réseau national documentaire de la Fondation nationale de gérontologie et du Centre de liaison, d étude, d information et de recherche sur les problèmes des personnes âgées (FNG-CLEIRPPA). Il diffuse un Bulletin documentaire bibliographique bimestriel. La FNG publie une revue thématique trimestrielle pluridisciplinaire Gérontologie et société, ainsi que les actes de colloques ou rencontres résultant de ses travaux. Elle propose des évaluations qualitatives des structures gérontologiques et assure des formations méthodologiques et pratiques destinées aux professionnels médicaux et sociaux : dépendance (AGGIR), profils de soins (PATHOS), démarche globale (RAI), fonctions cognitives (PEC), stimulation cognitive (PAC), modules spécialisés. Ses responsables participent à de nombreux organismes nationaux et internationaux. FNG 49, rue Mirabeau Paris Tél.: Fax : fondation.fng@wanadoo.fr Site: Réseau informatique et CLIC Réseau informatique et centres locaux d information et de coordination Michel MAZEIRAT, praticien hospitalier, Centre hospitalier de La Souterraine (Creuse) Les centres locaux d'information et de coordination (CLIC) ont été créés pour mieux coordonner les aides aux personnes âgées, qui peuvent bénéficier d'un important panel de services à domicile. Ces dispositifs d'aide ne peuvent être efficaces que s'ils sont complémentaires, afin de couvrir l'ensemble des besoins que ces personnes ne peuvent assumer seules : une tâche délicate lorsque quatre ou cinq intervenants se succèdent ou interviennent auprès de la personne. Amenés à devenir les animateurs de réseaux de professionnels à domicile, les CLIC doivent disposer d'outils adaptés. Dans un réseau, l'information de chacun des membres est fondamentale. La qualité des échanges d'informations est essentielle car elle crée la qualité du réseau, et donc la qualité du service rendu aux personnes. aux personnes qui y vivent, à leurs situations et besoins, mais aussi être prêt à accueillir ces nouveaux systèmes conçus pour soulager le quotidien et atteindre un niveau supérieur de services. En disposant de logements équipés de ces nouveaux outils de communication, les habitants peuvent recevoir ces services à l intérieur du logement et communiquer vers l extérieur. Réaliser un habitat service pour les personnes âgées à l'horizon 2010 suppose une bonne appréhension des technologies de communication émergentes et de leurs évolutions futures. Aujourd'hui, les réseaux se classent en deux types d approche: du bâtiment vers l extérieur (via une plateforme de téléservices) ou interne au bâtiment (pour les équipements communs). Le phénomène Internet, le protocole TCP- IP et leurs très probables rapides évolutions vont accélérer le processus de convergence entre télécoms, informatique et audiovisuel. La variété de l'habitat pour personnes âgées se conjugue avec la large palette des services offerts. Effectués par des intervenants du secteur médical et social, ces services doivent être coordonnés et adaptés aux besoins des personnes âgées selon les tranches d'âge, la nature et les niveaux de handicap. Dans ce cadre, la plate-forme de téléservices devient le point fédérateur des services à l habitat et d interconnexion entre acteurs et occupants. Les CLIC se sont dotés, dès leur création, de logiciels leur permettant de garder une trace de leur activité. Mais paradoxalement, aucune offre adaptée à un fonctionnement en réseau n'a encore émergé. Nous avons décidé de travailler à la conception d'un système d'information adapté à un réseau de professionnels et partant de notre expérience. Prenant appui sur un logiciel leader dans ce domaine, et sur le savoir-faire d'un grand opérateur de télécommunications, ce travail est le fruit d'une collaboration étroite avec le directeur technique de la société éditrice (DICSIT) et le responsable du service commercial concerné par le projet à France Télécom. Son objectif est d'envisager la dimension technique, pour parvenir à la commercialisation d'un produit adapté et d'un coût abordable pour de telles structures, dont les moyens financiers sont particulièrement limités. 30 N Mars - Avril 2003
4 R e v u e h o s p i t a l i è r e d e F r a n c e 26 mars âge et handicap mercredi Mardi En librairie Actualités Jeudi Sommaire Programme âge et handicap Après-midi : 14h30 17h00 En partenariat avec la Société française de gériatrie et de gérontologie, l IUP Ville et santé (Bobigny), l Institut universitaire professionnel de gérontologie Yves-Mémin (Paris 13 e ) et la Fédération nationale de gérontologie Technologies de l information au service des soins gériatriques Modérateur JEAN-MICHEL HOTE, secrétaire général, Fédération nationale de gérontologie Information des structures gériatriques PHILIPPE CASTETS, directeur du système d information, CHU de Grenoble La prescription médicale informatisée PR JOËL BELMIN, professeur des universités, chef de service, hôpital Charles-Foix, Ivry-sur-Seine PHILIPPE FOLIO médecin, Revue de gériatrie Télésurveillance à domicile et soutien intergénérations PR ANDRÉ BONNIN, professeur au centre Béclère, faculté de médecine, Paris 6, membre de l Académie de médecine DR MARIE-MADELEINE BERNARD, Montréal Télémédecine en hospitalisation à domicile : VISADOM DR LYDIE NICOLAS, département médecine gériatrique, CHU de Grenoble Liberté «à la carte» pour les personnes sujettes à l errance JEAN-CLAUDE GABUS, directeur de la Fondation suisse pour les téléthèses, Neuchâtel (Suisse) Actimétrie FRANÇOIS STEEKESTE, INSERM, Toulouse Résumé de l intervention publié dans cette édition. Présidence PR JOËL BELMIN, professeur des universités, chef de service, hôpital Charles-Foix, Ivry-sur-Seine GÉRARD CORNET, consultant, Bobigny Attentes et réalisations au centre hospitalier d Embrun PHILIPPE SIMONET, directeur DR MARC BANDITTINI, chef de service médecine d urgence DR MICHEL POVEDA, chef de service soins de suite et réadaptation DR CATHERINE VERNIER-CHANTEUR, chef de service radiologie Discutants CHRISTIANE IVERSEN, fondation Favier, Bry-sur-Marne PAUL MALOISEL, membre du CNRPA, Paris Partage des connaissances et technologies Développement de la formation gérontechnologique GÉRARD CORNET consultant, Bobigny DR PIERRE LUTZLER, professeur à l IUP de Bobigny, gériatre, CH d Embrun Le potentiel de l université virtuelle et son application à la formation gérontechnologique et gériatrique des communautés d usagers PR ALBERT-CLAUDE BENHAMOU, chargé de mission pour le développement de l Université virtuelle francophone (Éducation nationale, Recherche), CHU Pitié-Salpêtrière, Paris Discutants LAURENT WAJS, Institut national pour la retraite active, Paris PR ALAIN FRANCO, chef du département médecine gériatrique, CHU de Grenoble Conclusion PR PIERRE CORNILLOT, professeur émérite de l Université 25 mars 27 mars N Mars - Avril
5 Forum des professions de la gérontologie et du handicap Technologies de l'information au service des soins gériatriques La prescription médicale informatisée Joël BELMIN, professeur des universités, chef de service, hôpital Charles-Foix, Ivry-sur-Seine Philippe FOLIO, médecin, Revue de gériatrie La prescription médicale est un axe majeur du fonctionnement d un service hospitalier et doit respecter certains impératifs : ordonnances individuelles et nominatives, rédaction d une nouvelle ordonnance en cas de modification du traitement, mention de l identité complète, du sexe et du poids du patient, bonne lisibilité. La prescription médicale en gériatrie a de plus certaines particularités : durées de séjour plus longues, polymédication plus fréquente, densité médicale plus faible, plus grand risque d effets indésirables des médicaments. Devant cette problématique, nous avons développé et mis en place dans un service hospitalier de gériatrie un logiciel de prescription informatisée, initialement dans le but d améliorer la qualité formelle des ordonnances et pour faciliter la production de nouvelles ordonnances en cas de modification de traitement ou pour renouvellement. Ce système très bien accepté par les utilisateurs a complètement atteint ses objectifs (Medjahed S et al., «Prescription informatisée dans un service hospitalier de gériatrie : amélioration de la qualité formelle des ordonnances médicales», Presse Med, 1998 ; 27 : 808-9). Dans un second temps, nous avons développé un système d aide au prescripteur basé sur la détection des médicaments dit inappropriés en gériatrie. En effet, des experts nordaméricains ont établi une liste de médicaments dont l utilisation de première intention n est pas recommandée chez les personnes âgées. Cette liste, longue et difficile à mémoriser, a été adaptée à la pharmacopée française et sert dans le logiciel à déclencher une alerte en cas de prescription d une spécialité Télésurveillance à domicile et soutien intergénérations Pr. André BONNIN, centre Béclère, faculté de médecine, Paris Dr Marie-Madeleine BERNARD, Montréal Un accès en temps réel à un service personnalisé de visioconférence est fourni aux personnes âgées confinées à la maison. Cette station de visioconférence est adaptée aux utilisateurs, même octogénaires. Elle est connectée à des centres de soins et autres organismes (garderies préscolaires, écoles, universités et centre d'hébergement pour immigrants). Parallèlement à la télésurveillance, les utilisateurs participent à des programmes récréatifs, linguistiques, éducatifs et à des échanges culturels, en relation avec des étudiants. Méthode et instrumentation Deux modules de visioconférence ont été conçus par la société PACE 2000 avec prise de brevet. Le goniomètre 1, associé à la visioconférence, permet d effectuer des mesures à l hôpital comme à domicile. L'unité PACE 2000 mesure, quant à elle, automatiquement l'angle d'amplitude du mouvement articulaire. Ces mesures, ainsi que de la liste. Ce système en cours d évaluation pourrait être capable de diminuer la fréquence des effets indésirables des médicaments chez les sujets âgés hospitalisés. la méthode utilisée, sont répertoriées dans une banque de données qui peut servir aux réévaluations rétrospectives et aux mesures prospectives centralisées lors d'études multicentriques internationales. Pratiquées en quelques minutes, elles sont répétées après chirurgie orthopédique trois fois par semaine pendant le premier mois de télésurveillance, puis à distance, lors du suivi à long terme des exercices de téléphysiothérapie. Résultats Le module à domicile est facilement accepté par les personnes âgées qui l utilisent pour communiquer avec de jeunes étudiants, ce qui améliore l'assiduité aux suivis médicaux. Dans une population vieillissante, dont la demande de services à domicile constitue le secteur en plus forte croissance, réhabilitation et télésurveillance à domicile seront très répandues dans les années à venir. 1. Instrument de mesure de la flexion du genou. 32 N Mars - Avril 2003
6 R e v u e h o s p i t a l i è r e d e F r a n c e 26 mars âge et handicap mercredi En librairie Actualités Jeudi 27 mars Mardi 25 mars Sommaire Programme Télémédecine en hospitalisation à domicile : ViSaDom Lydie NICOLAS, praticien hospitalier, département médecine gériatrique, CHU de Grenoble Peu d expériences relatent l application en télémédecine de la visiophonie utilisée au domicile. Le réseau Hospitalisation à domicile (HAD) de Grenoble, qui assure des soins pluriprofessionnels et coordonnés auprès de patients (33 % de personnes âgées), a participé à un programme de recherche dénommé ViSaDom, en partenariat avec France Télécom R&D et le Laboratoire interuniversitaire de gérontologie. L appareil de visiophonie, équipé d une caméra pilotable depuis le siège de l HAD, offre en plus d un échange oral une communication visuelle (se voir, montrer des documents, prendre des photos) entre domicile et service hospitalier. Les communications sont ponctuelles, le malade initie ou répond à un appel. L étude porte sur trente-deux patients. Seize constituent le groupe télémédecine, l autre moitié le groupe témoin. L évaluation médicale a pour objectif de déterminer l intérêt du système ViSaDom dans la prise en charge du patient. Elle s appuie sur la mesure répétée de la dépendance fonctionnelle, de l état d anxiété et de l état général du patient à travers différents indices : Karnofsky, Katz et Hospital Anxiety Depression Scale (HADS). Trois cents soixante-dix communications sont dénombrées pour les seize patients du groupe télémédecine. Ces communications consistent en transmission d informations médicales et logistiques, aide à l éducation du patient, travail coopératif entre soignant au domicile et médecin au siège de l HAD. L action coordonnée de prise de décision médicale infirmière/médecin ne s exerce plus en différé par rapport au soin mais à distance, en temps réel, comme le ferait un médecin au lit du patient. Les scores d anxiété à l échelle HADS sont significativement plus élevés chez les témoins. Cette expérimentation confirme la faisabilité et l acceptabilité de la visiophonie par les patients, leur entourage et les professionnels. L optimisation des soins, une coordination en temps réel, l aide apportée dans l éducation et la réassurance du patient en sont les principaux apports. N Mars - Avril
7 Forum des professions de la gérontologie et du handicap Technologies de l'information au service des soins gériatriques Liberté «à la carte» pour les personnes sujettes à l errance Jean-Claude GABUS, directeur, Fondation suisse pour les téléthèses (FST), Neuchâtel, Suisse Une part importante de la population âgée souffre de la maladie d'alzheimer. Parmi les troubles liés à la démence, la désorientation peut entraîner le confinement des personnes désorientées dans des espaces fermés. Le projet en développement consiste à réaliser et à évaluer un système technique permettant de maintenir les lieux de soins sélectivement ouverts, de la chambre aux alentours de l hôpital. Pour la personne désorientée, les objectifs sont multiples: > Améliorer la qualité de vie. > Déterminer quel espace la personne est en mesure de gérer. > Évaluer si ses capacités sont suffisantes pour un transfert en établissement ouvert ou un retour à domicile éventuel. > Faciliter la vie commune dans une structure d'hébergement. Le système retenu? Le port d un badge par les résidants, le personnel et les visiteurs. Ce badge peut être identifié par des détecteurs installés devant les différentes portes d accès (portes extérieures, portes d ascenseur, portes des sous-unités de soins, portes des chambres). D une portée de 0,5 m à 3 mètres, sa précision peut aller jusqu à 30 centimètres. Si la personne a un accès autorisé, la porte s ouvrira. Le système gère diverses situations, telles que les déplacements accompagnés ou non d un membre du personnel, ou des familles. La Fondation suisse pour les téléthèses (FST) a réalisé ce projet dans le cadre du Centre de psychiatrie gériatrique (CPG) de l'hôpital psychiatrique cantonal de Perreux (Neuchâtel, Suisse). Il est le développement d un projet financé par le Fonds national suisse de la recherche scientifique. Entre 1992 et 1994, la Fondation suisse pour les téléthèses a eu la possibilité de réaliser un prototype de ce projet et, en collaboration avec le Centre de psychiatrie gériatrique, de l évaluer partiellement. C est sur la base de cette expérimentation que, depuis 2001, l hôpital bénéficie de ce système. Attentes et réalisations au centre hospitalier d Embrun Philippe SIMONET, directeur Dr Catherine VERNIER-CHANTEUR, chef de service radiologie Dr Michel POVEDA, président de CME, chef de service soins de suite et réadaptation Dr Marc BANDITTINI, chef de service des urgences Le centre hospitalier d Embrun, situé au cœur du département des Hautes-Alpes, est un établissement de 257 lits qui exerce une part importante de son activité en gériatrie : 93 lits en soins de longue durée, 83 en maison d accueil pour personnes âgées dépendantes, 14 en soins de suite et de rééducation gériatrique, une consultation mémoire. L introduction des nouvelles technologies est intervenue à l instigation d un médecin urgentiste. Dès 1998, le service des urgences transmettait, par liaison Internet, des clichés radiologiques aux chirurgiens des établissements voisins. Ces transmissions s effectuaient grâce à l utilisation d un matériel simple et peu coûteux. Après une période expérimentale de plusieurs mois, les médecins ont souhaité pérenniser ce dispositif. Ces transmissions ont permis de limiter les déplacements de patients et de mieux programmer les interventions chirurgicales non urgentes. La Fondation suisse pour les téléthèses a pour objectif de mettre la technologie au service des personnes souffrant d un handicap. En Suisse, ce ne sont pas moins de sept mille personnes handicapées qui, quotidiennement, utilisent ses services. L acquisition en 2001 d un matériel de visioconférence multisite a permis de développer d autres activités: > staffs médicaux avec d autres établissements ; > réunions pluridisciplinaires, à l instar de celles conduites par l unité mobile de soins palliatifs, qui intervient sur plusieurs établissements du département ; > formation continue médicale avec l université de Marseille, dans le cadre d un «réseau vieillissement cérébral». Cette formation est ouverte aux médecins généralistes du département. La stratégie de développement des nouvelles technologies de communication est un des axes du projet d établissement approuvé en janvier Des médecins et le directeur du centre hospitalier interviendront en visioconférence pour évoquer ces réalisations, et exprimer leurs attentes en matière de nouvelles technologies. 34 N Mars - Avril 2003
8 R e v u e h o s p i t a l i è r e d e F r a n c e Partage des connaissances et technologies Développement de la formation gérontechnologique Gérard CORNET, consultant, Bobigny Pierre LUTZLER, gériatre, centre hospitalier d Embrun En 1999 en France, 94,3% des personnes âgées de plus de 60 ans et 64 % des plus de 90 ans vivaient à domicile. La majorité d entre elles sont des personnes dépendantes. Le maintien de la santé et de l autonomie des personnes âgées à domicile est une priorité des politiques publiques, d autant plus forte que le nombre des personnes âgées de plus de 85 ans, particulièrement exposées au risque de dépendance, augmentera fortement à partir de L utilisation des nouvelles technologies de communication au service de la prévention sanitaire, du suivi des pathologies chroniques à domicile, de la prévention de l isolement, de la sécurité et du maintien de l autonomie et du confort dans la vie quotidienne, offre un vaste champ de potentialités pour aider à concevoir et à organiser un «habitat service» répondant aux besoins des communautés d intérêts concernées, usagers, aidants, soignants, financeurs. L utilisation de ces nouvelles technologies ne va toutefois pas de soi : elle nécessite une approche pluridisciplinaire réunissant techniciens concepteurs, sociologues, psychologues, ergonomes, soignants et aidants, économistes, dans un processus qui place l usager au cœur de la démarche et de l évaluation itérative des réponses. Le besoin de professionnels et d aidants mieux qualifiés pour accompagner la mutation technologique de l environnement et du soin, dans un contexte durable de vieillissement massif de la population, est une nécessité économique, sanitaire et sociale. La formation professionnelle gérontechnologique mise en oeuvre dans le cadre du diplôme universitaire «Ingénierie du vieillissement» propose cet échange pluridisciplinaire. Elle ne vise pas à remplacer le contact humain dont les personnes âgées ont besoin, mais à le relayer et à l optimiser, en permettant à l usager de conserver un maximum d autonomie, grâce à des produits et services pertinents, fiables, accessibles et faciles à utiliser. Modulaire, orientée vers l élaboration de projets professionnels, cette formation professionnelle a vocation à devenir interuniversitaire et à s élargir à la francophonie. 26 mars âge et handicap mercredi Sommaire Programme Mardi 25 mars En librairie Actualités Jeudi 27 mars N Mars - Avril
L approche éthique en gérontechnologie
Colloque européen L art de vieillir chez soi Guéret 29 septembre Technologies et vieillissement: Jusqu où ne pas aller trop loin? L approche éthique en gérontechnologie Gérard Cornet; Alain Franco, Vincent
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailLa santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services
1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailRésidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailPROJET DE TÉLÉMEDECINE
PROJET DE TÉLÉMEDECINE ISIFC 2 ème année Année universitaire 2011-2012 LA TÉLÉSURVEILLANCE Louis ACHA Rafaël MINACORI ISIFC Génie biomédical 23,rue Alain SAVARY 25000 Besançon Cedex Tél : 03 81 66 66 90
Plus en détailCréation d une plateforme mutualisée de soins associée à une offre touristique
Pôle Santé Méditerranée Création d une plateforme mutualisée de soins associée à une offre touristique Marseille, le 12 juillet 2011 Fruit d une réflexion et d une vision partagée, le Pôle Santé Méditerranée
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailDr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)
Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailNOUVELLES TECHNOLOGIES
NOUVELLES TECHNOLOGIES INTERET DANS LA PRISE EN CHARGE DES PERSONNES AGEES DEPENDANTES OU A RISQUE DE PERTE D AUTONOMIE Dr V. CRESSOT Pôle de Gérontologie clinique CHU de Bordeaux 1 INTRODUCTION Augmentation
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détail2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé
Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,
Plus en détailLivret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil)
Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil) Centre de Rééducation et de Réadaptation Fonctionnelles PASTEUR «Tout faire pour la personne, ne rien faire à sa place»
Plus en détailLe service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux
Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Plan Vulnérabilité et fragilité de la personne âgée Filière de
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailPrésentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS
Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Programme de la journée 10h30 10h50 11h30 12h00 12h30 Etat des lieux 2008 des centres de ressources en éducation
Plus en détailTIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire
TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire Telecom Bretagne, Institut Telecom M@rsouin, CREM Myriam.legoff@telecom-bretagne.eu
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailHospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires et Affections respiratoires Livret de séjour
CENTRE HOSPITALIER de BOURG-EN-BRESSE CS 90401 900 route de Paris 01012 BOURG-EN-BRESSE CEDEX 04 74 45 44 08 Hospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires
Plus en détailPanorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé
Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé D après les données du Contrat d étude prospective des Industries de Santé 2012 les chiffres clés u Près de 200 000 salariés,
Plus en détailCliquez pour modifier le style du titre. Emergence de projets
Cliquez pour modifier le style du titre Emergence de projets Cliquez pour modifier le style du titre Projet ADR-Prism Axe TIC&Santé : gestion des connaissances Description de la proposition L objectif
Plus en détailUN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE
UN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE 5 objectifs, 20 recommandations, 45 mesures pour atténuer l impact du choc démographique gériatrique sur le fonctionnement des hôpitaux dans les 15 ans à venir Rapport rédigé
Plus en détailZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013
ZOOM ETUDES Les études paramédicales Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 L enseignement supérieur français - santé Études de médecine, pharmacie et odontologie : Universités en partenariat
Plus en détailJoël Belmin Université Pierre et Marie Curie Paris, France
Joël Belmin Université Pierre et Marie Curie Paris, France Claude Jeandel, UM1, Montpellier Marcel Spector, UNF3S, Paris Albert-Claude Benhamou, UNF3S, Paris Système interuniversitaire Transdisciplinaire
Plus en détailLa Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique
+ La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique 15 ème Conférence des Fédérations Hospitalières des Antilles et de la Guyane Y. MARIE-SAINTE Directeur 28/04/2011 V1.0 + #
Plus en détailHospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Plus en détailLa Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire
La Mutualité Française Rhône dans le Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire Des valeurs qui font la différence Edito La Mutualité Française Responsabilité CHACUN
Plus en détailVersion synthétique des rapports de certification. Méthodologie. (Janvier 2010)
Version synthétique des rapports de certification Méthodologie (Janvier 2010) RAPPEL DU CONTEXTE 2 RAPPEL DU CONTEXTE La HAS en quelques mots La Haute Autorité de santé (HAS) est une autorité publique
Plus en détailCapteurs pour la santé et l autonomie. Nouvelles approches technologiques. pour le suivi sur les lieux de vie
Capteurs pour la santé et l autonomie Nouvelles approches technologiques pour le suivi sur les lieux de vie Santé : nécessité de nouvelles approches Le nouveau contexte créé par les technologies de l information
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailMUTUELLE DE NATIXIS. l adhésion du salarié au régime est obligatoire, comme par le passé, celle de ses ayants-droit éventuels est facultative ;
MUTUELLE DE NATIXIS Résumé des garanties du contrat obligatoire de complémentaire santé de la Mutuelle de Natixis «Régime unifié» des salariés mis en place le 1 er juillet 2010 Concerne les salariés de
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailPlan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012
Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailContribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours
Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé Tours Débat régional du 13 février 2014 Chantier n 1 du programme Gaspar : développer les conventionnements tiers payant
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailTrophées du Grand Age Lundi 2 Mai au Casino de Paris 18h00
Dépendance, Vieillissement de la population, Alzheimer, Maisons de retraite, Maintien à domicile, Gérontechnologies, Aide aux aidants. Organisés par le site Gérontechnologie.net et MarcDumasConseil, les
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détail1 Les principales définitions
Dispositions Générales Complémentaire Santé 1 Les principales définitions Vous Désigne le souscripteur, l'adhérent ou l'assuré. Nous Désigne la société d'assurance mentionnées aux dispositions personnelles.
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.
Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011
Plus en détailACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES
OBSERVATOIRE REGIONAL DE LA SANTE Poitou-Charentes ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES Enquête auprès des établissements de Poitou-Charentes Etude commanditée
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailLe processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins?
Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Laurent QUENEC HDU Descriptif : Le métier de cadre de santé est en constante évolution : le cadre est aujourd
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détailCONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,
Plus en détail2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.
2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT
Plus en détailPACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation
PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailNouvelles Technologies d investigation de surveillance du patient dont Télétransmission
Plateforme Médicalisée 24/7 de Services Santé et Télémédecine M.D Jean-Michel Souclier H2AD propose des solutions entièrement sécurisées permettant le maintien et le retour àdomiciledes personnes fragiles:
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailSOINS ET ACCOMPAGNEMENTS. Professionnels de la psychiatrie. www.psycom.org
SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS Professionnels de la psychiatrie www.psycom.org Professionnels de la psychiatrie SOMMAIRE Organisation des soins psychiatriques Professionnels de la psychiatrie Psychiatre et pédopsychiatre
Plus en détailSTAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE
FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012
Plus en détaildans la Loire... I ACCUEILS DE JOUR
DES PROFESSIONNELS DU CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE proches de chez vous Roanne 31-33 rue Alexandre Raffin 42300 Roanne Autonomie 53 rue de la République 42600 Montbrison 23 rue d'arcole 42000 Montbrison
Plus en détailOFFRE RÉSERVÉE AUX entreprises, TPE/PME et indépendants. Le guide. santé. www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN!
OFFRE RÉSERVÉE AUX entreprises, TPE/PME et indépendants Le guide santé www.menagesprevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN! On a toujours du mal à s y retrouver dans les principes de s de santé. Et si on
Plus en détailFORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques
FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES Promouvoir les soins pharmaceutiques PRÉSENTATION DE LA FORMATION Contexte Le métier du pharmacien est en pleine évolution. Un concept qui va
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailVotre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française
Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SANTÉ ET DES DROITS DES FEMMES SANTÉ
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SANTÉ ET DES DROITS DES FEMMES _ SANTÉ Professions de santé Arrêté du 23 septembre 2014 relatif à la création d une annexe «Supplément au diplôme» pour les formations
Plus en détailLutin Laboratoire des Usages en Technologies
Lutin Laboratoire des Usages en Technologies d Information Numérique (à la Cité des Sciences) Offres à destination des entreprises (club d entreprises) Le principe de la plate-forme RNRT Le laboratoire
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailINAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence
Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des
Plus en détailProgrammes offerts en partenariat dans les établissements universitaires du Québec
Programmes offerts en partenariat dans les établissements universitaires du Québec 16 juin 2015 PROGRAMMES OFFERTS EN PARTENARIAT DANS LES ÉTABLISSEMENTS UNIVERSITAIRES DU QUÉBEC BCI AVANT-PROPOS Le présent
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailMaltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA
Maltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA et HABEO) 1 RAPPEL Vieillesse ne signifie pas : - DEPENDANCE
Plus en détail1- LA CHARTE DU PATIENT HOSPITALISÉ...19 2- DROIT À L INFORMATION DU MALADE...20 3- PERSONNE DE CONFIANCE...20 4- RÉCLAMATIONS ET CONCILIATION...
T U L L E I - PRÉSENTATION....2 II - PLAN....3 III - POUR NOUS JOINDRE....4 IV - PRÉSENTATION DU PERSONNEL.....5 V - PRÉSENTATION DUSERVICE... 10 VI - PRÉPARER SON HOSPITALISATION INFORMATIONS PRATIQUES....17
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailRéf. Ifremer N 12/2 212 838. Surveillance et gardiennage du Centre Ifremer de Bretagne. Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP)
Réf. Ifremer N 12/2 212 838 Surveillance et gardiennage du Centre Ifremer de Bretagne Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) 1. OBJET...3 2. RESPONSABLES HABILITES...3 3. DEFINITION DES PRESTATIONS
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailMettre en place de plateformes inter-opérables mutualisées d informations et de services.
7 points pour garantir un bel avenir de la e-santé en France... by Morgan - Dimanche, janvier 30, 2011 http://www.jaibobola.fr/2011/01/avenir-de-la-e-sante-en-france.html La Recherche et le développement
Plus en détailCHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES
CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement
Plus en détailLiège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085
Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013
Plus en détail