Augmentation de la productivité laitière

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1 Augmentation de la productivité laitière Expérience de l EARL Genest (Mayenne) Trajectoire : Optimiser l efficience alimentaire du troupeau laitier

2 2 En cohérence avec le contexte territorial et les filières La coopérative a pour objectif d accompagner les agriculteurs pour produire mieux, tout en maintenant la production pour les besoins alimentaires d une population toujours croissante et en limitant l empreinte carbone. Ainsi une Commission Développement Durable a été créée pour travailler sur toutes les thématiques économiques, sociétales, environnementales mais aussi expérimentales. Lieu de réflexion au sein de la coopérative, elle reflète la cohérence des problématiques «métiers» de la coopérative et celles des productions agricoles. Ainsi, la CAM propose à ses adhérents des solutions pour améliorer leurs pratiques avec des outils d aide à la décision. Pour la production d énergie, elle a créé un service dédié pour le photovoltaïque et la production d eau chaude solaire. La CAM a mis en place un ensemble de services visant à aider les adhérents à mieux prendre en compte les problématiques environnementales dans leur travail, tout en atteignant leurs objectifs techniques et économiques. Ainsi, le dossier GE+, travaillé par un groupe de jeunes agriculteurs (CAM Avenir) a été déclaré éligible à la préfiguration des nouveaux GIEE. Michel Foucher Président du conseil d administration La démarche GE+ appliquée à l EARL Genest entre 2009 et 2013 ÉTAPE DE RÉFLEXION STRATÉGIQUE PRÉALABLE MISE EN PLACE DES SOLUTIONS D AMÉLIORATION BILAN DES PERFORMANCES

3 EARL Genest (Mayenne) Fiche d identité de l exploitation (2012) : Représentant GE+ pour l EARL : Pierre Genest 76 vaches laitières en SCL (société civile laitière) : l/an de lait standard produit 65 ha de SAU (80 % SFP, les autres surfaces fourragères sont apportées par la SCL) 1,5 UTH pour la production agricole Température moyenne minimale : 7,3 C Température moyenne maximale : 16,2 C Précipitations : 633 mm Types de sol : diversifiés (sableux, argileux) Focus sur l élevage laitier (2012) : Productivité laitière : l lait / VL / an Troupeau mixte (prim holstein, normandes, jersiaises) Intervalle vêlage-vêlage : 464 jours Âge au premier vêlage : 33 mois Système fumier + aire raclée Ration des VL : herbe (60 %), ensilage de maïs, mélange légumineuses-céréales en grains, concentré de production. La stratégie de l EARL Genest Conduire l élevage en prenant en compte le revenu et l environnement. Produire un lait économe en ressources : valoriser au mieux le potentiel des terres et des animaux, utiliser le minimum d intrants et le plus efficacement possible. Ne pas accroître la charge de travail. Donner une image valorisante du lait et de l élevage. Participer aux besoins de la population locale au travers de la production alimentaire mais aussi de la production d énergie (photovoltaïque). L objectif est de produire un lait économe, en se basant sur des analyses objectives du potentiel de mes terres et de mes animaux. Pierre Genest Représentant GE+ pour l EARL 3

4 Étape de réflexion stratégique préalable Réflexion initiale : une productivité laitière faible et une dépendance alimentaire forte Exploration des solutions simulation 1 AUGMENTATION DE LA PRODUCTIVITÉ LAITIÈRE DE LITRES PAR VACHE Situation de départ : modélisation avec PerfAgro P3 (2009) Impacts attendus sur les performances de l exploitation Marge économique + 25 % Productivité laitière litres/vache/an Consommations d énergie - 11 % 4 Surface en herbe 100 % de la SFP Émissions de GES - 12 % Maïs ensilage importé Alimentation (aliments produits + aliments achetés + distribution) 290 t MS* 61 % des consommations d énergie par litre de lait Potentiel nourricier (protéines totales) - 1 % *MS : matière sèche Impacts attendus sur le système PROBLÉMATIQUE Optimiser l alimentation des vaches laitières. DEUX PISTES DE PROGRÈS 1. AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ LAITIÈRE 2. INTENSIFIER LES PRAIRIES ET INTRODUIRE DES CULTURES DE VENTE Frais Importations de maïs Nombre d élevage ensilage et de paille litière d animaux * *Dans une hypothèse de maîtrise des risques sanitaires du troupeau.

5 Exploration des solutions simulation 2 INTRODUCTION DE CULTURES VENDUES ET VALORISABLES EN ALIMENTATION ANIMALE (ORGE DE PRINTEMPS, MÉLANGE LÉGUMINEUSES-CÉRÉALES RÉCOLTÉ EN GRAINS) Impacts attendus sur les performances de l exploitation Marge économique + 1 % Consommations d énergie - 8 % Émissions de GES identiques Potentiel nourricier (protéines totales) + 10 % Impacts attendus sur le système Vente Achats d aliments Coûts de cultures du bétail de récolte * ** *Légère baisse. ** Moins de récoltes coûteuses comme ensilage et enrubannage. Une réflexion complémentaire pour optimiser les apports d aliments Situation de départ : pour exprimer pleinement le potentiel de production des vaches laitières l exploitation recourt à des aliments importés pour fournir l énergie et les protéines aux animaux. Afin de réduire les charges, maximiser l efficacité alimentaire est donc nécessaire. Problématique : ajuster la complémentation au plus près des besoins des animaux. Piste de progrès : investissement dans un DAC pour ajuster la complémentation aux besoins et utilisation d un outil de la coopérative pour le suivi de l efficience alimentaire. 5 Résultats obtenus avec

6 Mise en place des solutions d amélioration Un déploiement progressif Paroles d éleveur / / / /2013 modification des rations vaches laitières modification des rations génisses de renouvellement Réflexion initiale Évolution de l assolement (ha) ha de maïs grain + 5 ha de colza prévisionnel mélange légumineusescéréales triticale colza orge de printemps maïs grain Grâce à une ration bien équilibrée entre fourrages et concentrés, je valorise le potentiel des animaux «Sur mon exploitation, à l hiver 2012/2013, nous avons fait des essais comparatifs entre différentes rations. Ils ont révélé que le mélange ensilage d herbe-ensilage de maïs avec un complément adapté était très efficace comme ration hivernale. À l été 2013, un pâturage bien maîtrisé et une complémentation au DAC bien choisie ont donné d excellents résultats. J ai même réduit de huit hectares la surface de pâturage par rapport aux années précédentes et pu faire plus de foin. Ces essais ont permis de trouver l optimum alimentaire annuel pour assurer une bonne régularité de la production.» Apporter la quantité de concentré la plus adaptée «J ai aussi testé la répartition du troupeau en deux lots, en fonction du niveau de production des vaches et donc de leurs besoins, en distribuant

7 deux rations différentes. Cela m a permis de réduire la quantité de concentrés distribués par UGB. Je fais des analyses de fourrages depuis longtemps pour pouvoir adapter au mieux la complémentation. J ai investi dans un DAC en janvier 2013 pour poursuivre dans ce sens.» Gérer les variations de la quantité de lait dans le tank en fonction du stade du pâturage «Ces variations sont lissées grâce à la complémentation au DAC, mais cela reste à confirmer sur le long terme.» Être économe tout en exprimant le potentiel des terres «C est l herbe qui pousse le mieux sur mes terres. En plus de l épandage des effluents liquides, je fertilise en moyenne les prairies avec 35 à 40 unités d azote minéral par ha. J obtiens un rendement de 7,5 TMS/ha toutes coupes et pâture confondues. Le pâturage tournant me permet de valoriser le maximum d herbe : je l organise en divisant mes parcelles en plusieurs paddocks. Je passe du temps à observer la pousse de l herbe dans les prairies et à bouger les clôtures pour faire passer le troupeau d une parcelle à l autre en fonction de la hauteur d herbe. Les refus sont récoltés en foin.» Éviter au maximum les pertes «J utilise des conservateurs dans les ensilages (herbe et maïs). J ai récemment investi dans des murs amovibles pour améliorer la qualité de conservation des fourrages. J évite ainsi les pertes de 10 à 15 % du total que je constatais sur l ancien silo taupinière.» Libérer des surfaces pour augmenter les cultures de vente «La marge à l hectare des cultures de vente est modeste, mais c est du surplus : avant, je produisais la même quantité de lait sur la même surface, mais sans les cultures.» Maîtriser la charge de travail «La diversification des cultures reste modeste et j ai donc recours à une entreprise de travaux agricoles pour le semis, le travail du sol, la pulvérisation et la récolte.» Mettre en place des cultures pouvant être vendues ou consommées par le troupeau «Pour sécuriser mes besoins, j ai mis en place en 2013 des cultures de vente qui peuvent être également valorisables en alimentation animale en cas de stock insuffisant : colza, pouvant être pâturé à l automne, ou céréales, pouvant être récoltées immatures ou encore mélangées dans la ration.» 7

8 Bilan des performances Évolution du coût des concentrés, marge brute et production atelier lait (base 100 en 2011) Évolution des quantités d'herbe consommées par type de valorisation (tonnes de MS) Production de lait totale Coût total des concentrés Marge brute atelier lait Autre, dont pâturage (t MS) Enrubannage (t MS) Ensilage (t MS) Foin (t MS) Après une augmentation de 8 % de la marge de l atelier lait sur l année 2012, celle-ci a retrouvé en 2013 son niveau de En effet, la mauvaise qualité du maïs ensilage récolté fin 2012, a entraîné une hausse des achats de concentrés en hiver et une consommation précoce d ensilage d herbe. Un rééquilibrage grâce à une bonne maîtrise du pâturage au printemps a permis de limiter les pertes, mais pour juguler les charges alimentaires, l éleveur a préféré réduire la production sur la fin de la campagne. À noter qu en 2013, la marge des cultures de vente vient compléter la marge de l exploitation. La consommation d herbe de l exploitation est stable au global, à surface de prairie réduite (-8 ha) en lien avec l introduction de nouvelles cultures destinées à la vente ou à l autoconsommation. En 2013, une augmentation des quantités de foin produites (et consommées) est permise par la meilleure gestion du pâturage au printemps (surveillance de la pousse de l herbe et pâturage tournant).

9 Bilan des performances Consommations d'énergie atelier lait (MJ/litre de lait standard) Émissions de GES atelier lait (kg eqco2/litre lait standard) 3,5 3 2,5 Autres consommations d'énergie 1,2 1 Autres émissions de GES 2 0,8 1,5 1 0, Consommations d'énergie liées à l'alimentation (aliments produits et achetés + distribution) 0,6 0,4 0, Emissions liées aux aliments achetés Emissions liées aux fourrages produits 9 Les consommations d énergie par litre de lait restent stables entre 2011 et 2013 (-4 %). L évolution des consommations d énergie est principalement liée à la diminution du poste alimentation (-8 %) grâce à la baisse des concentrés achetés. Cette forte baisse compense l augmentation d énergie nécessaire pour produire les fourrages. L éleveur a su rester sobre pour les produire : -25 % de consommation d énergie par tms d herbe entre 2011 et Les émissions de GES augmentent de près de 10 %. Le poste «alimentation» explique près de 70 % de cette hausse. L impact GES des fourrages importés (ensilage de maïs acheté à l extérieur) augmente car la quantité consommée est plus importante en 2013 (pour compenser la mauvaise valeur alimentaire, l éleveur a distribué plus de quantité aux animaux). L augmentation des GES par litre de lait est aussi liée à une baisse de la quantité produite par vache en fin de campagne.

10 L éleveur 10 Le dispositif GE+ m a permis de mieux comprendre et m approprier les postes d impact énergie/ges de mon exploitation. La prise en compte de la globalité de l exploitation m a beaucoup plu, c est un bon outil de réflexion «du sol à l assiette». J ai eu la confirmation de l intérêt de poursuivre dans certaines voies. Chez moi, la valori sation de l herbe a du sens et il n y a pas d intérêt à diversifier à outrance mais il faut plutôt optimiser la gestion des prairies et des fourrages et aliments importés. L observation de la pousse de l herbe, les analyses de fourrage et le suivi précis que permet le DAC en fournissant à chaque animal les compléments selon ses besoins, sont des outils intéressants pour atteindre cet objectif. Ce n est pas simple tout le temps car on est soumis à des aléas de toute sorte. On le voit sur 2013 : entre un mauvais maïs et un cours élevé pour les aliments j ai dû faire des choix qui ont provoqué une détérioration des indicateurs. Mais le suivi que nous faisons avec l équipe GE+ va me permettre d affiner le pilotage de l exploitation agricole et d améliorer mon efficacité. Pierre Genest

11 Le technicien Situation 2010 Les orientations issues des études sur l exploitation de Pierre Genest avec la démarche GE+ ont pu être initiées au travers de services proposés par la CAM et ses partenaires. Le travail nécessaire sur l alimentation du troupeau a nécessité l intervention d un nutritionniste «bovins» et l utilisation d un logiciel expert (Chorus) de rationnement alimentaire. Un protocole d études, avec l analyse exhaustive des fourrages produits sur l exploitation (Laboratoire Qualiane), et la connaissance précise du troupeau a permis de valider les modifications à apporter. Par ailleurs des expérimentations sur l efficacité alimentaire (essais sur les aliments complémentaires) ont été réalisées en partenariat avec une firme service. Au travers d un outil informatique de calcul de l efficacité alimentaire (Navilait), les résultats obtenus ont confirmé les hypothèses retenues dans la démarche GE+. Ainsi grâce à la valorisation des fourrages produits, la productivité laitière par vache a augmenté en tendance, en diminuant la production de gaz à effet de serre (sauf fin 2013 comme expliqué précédemment). Il est important que la CAM puisse proposer des outils d aide à la décision pour accompagner objectivement l agriculteur dans ses choix. Olivier Hollemaert Responsable Qualité et Laboratoire de la CAM Situation 2012 L Earl Genest consomme autant d énergie primaire que 9 personnes et émet autant de GES que 63 personnes L Earl Genest consomme autant d énergie primaire que 0** personne et émet autant de GES que 61 personnes... mais elle peut nourrir 901 personnes*.... mais il peut nourrir 959 personnes*. * Sur la base des protéines animales produites par l exploitation. ** Production d électricité liée au photovoltaïque incluse (correspondant à la consommation de 8 personnes). 11

12 12 Ajuster les rations aux besoins des animaux Alexis Férard (ingénieur au pôle Fourrage, ARVALIS - Institut du Végétal) Différentes solutions existent pour ajuster les rations aux besoins des animaux. En apportant des précisions sur la valeur alimentaire du fourrage de base d une ration, l analyse de fourrage permet de choisir la complémentation la plus adaptée à la qualité du fourrage ainsi que la quantité à apporter pour atteindre la production souhaitée. Au sein d un troupeau les besoins de chaque animal varient en particulier selon le stade de lactation. Pour conserver un niveau de performance élevée, les rations sont souvent ajustées pour permettre aux vaches à plus forts besoins d exprimer presque leur plein potentiel. Les vaches à plus faibles besoins reçoivent alors une alimentation trop riche et leur état d engraissement augmente. La constitution de lots d animaux permet de gérer les apports de concentrés lot par lot : pour un niveau de production identique, la quantité globale de concentrés distribuée diminue. Le système de distribution automatisé (DAC) permet un raisonnement à l animal. Les systèmes de couplage DAC enre-

13 gistrement des données de traite/stade de lactation permettent un pilotage automatisé d une distribution correspondant à la seule quantité nécessaire à chaque animal. La méthode Herbo-LIS, une méthode pour bien gérer le pâturage Pascale Pelletier (ingénieur régional Fourrages, Régions Centre et Limousin, ARVALIS - Institut du Végétal) La bonne gestion du pâturage permet de réduire les coûts alimentaires pendant quelques mois. Avec la méthode Herbo-LIS mise au point par ARVALIS, l exploitation des prairies par les vaches laitières se raisonne en trois phases : en début de campagne (février) : la prévision de l exploitation des prairies pâturées prépare l organisation générale du pâturage en fonction du parcellaire, des surfaces accessibles en ares par vache, des besoins du troupeau et des stocks fourragers. Le découpage de la surface en un nombre suffisant de paddocks (8 à 10 au printemps), la prévision de la quantité de maïs à distribuer en complément du pâturage se planifient sur un calendrier prévisionnel de pâturage ; au cours du pâturage de printemps, l ajustement de la conduite se fait en fonction des conditions climatiques influençant la pousse de l herbe. L herbomètre, qui mesure une hauteur d herbe compressée par le poids du plateau et indirectement le rendement, facilite la conduite du pâturage : la totalité de l herbe disponible sur les parcelles de pâturage est quantifiée et traduite en «jours d avance» de pâturage. Des ajustements dans la destination des parcelles (fauche ou pâturage) sont décidés en fonction du nombre de jours d avance. La hauteur d herbe d une parcelle à l entrée des animaux permet de prévoir la durée approximative du pâturage sur cette parcelle. La hauteur d herbe à la sortie permet d adapter le pâturage aux performances attendues ; en fin de campagne : un bilan du déroulé de la campagne est réalisé grâce à l analyse de l état des parcelles, de la production de lait et des ingestions à l auge. De ces constats pourront être tirés des enseignements et des modifications pour les années suivantes. 13

14 14 La gestion du pâturage sur la ferme expérimentale de Derval Marc Fougère (Directeur de la ferme expérimentale de Derval CA de Loire-Atlantique) L introduction d herbe pâturée dans la ration permet de réduire les consommations de concentrés tout en maintenant, voire en améliorant la production laitière. À la ferme expérimentale de Derval, dans l expérimentation robot et pâturage, les vaches sortent au pâturage tous les ans. Au printemps, avec une ration moitié ensilage de maïs moitié herbe pâturée, on constate une augmentation de la production laitière d environ 1 à 1,5 kg de lait tout en diminuant la quantité de concentré distribuée. Le coût alimentaire en hiver oscille entre 140 et 150 les litres alors qu au printemps, avec une part d herbe pâturée dans la ration, on obtient plutôt 100 pour litres. Avec une ration 100 % herbe pâturée le coût atteint 60 les litres. Dès qu une exploitation dispose d ares d herbe accessibles, l introduction du pâturage dans la ration permet de diminuer les charges en aliments et donc d améliorer la rentabilité de l exploitation.

15 POUR ALLER PLUS LOIN : Chambres d Agriculture de Bretagne et Pays de Loire : Guide «Produire avec de l herbe du sol à l animal» (avril 2011). Institut de l Élevage : chapitre «En élevage bovin laitier, maîtriser son coût alimentaire : quelles solutions?» (B. Rouillé) du dossier «Faire face à la flambée des prix des matières premières» (septembre 2012) ; «Guide pratique de l'alimentation du troupeau bovin laitier» (2010) Fourrages n 198, pages : «Outils et indicateurs pour calculer et concilier ingestion des vaches laitières et valorisation de l herbe au pâturage» (R. Delagarde, 2009). 15

16 + Un GE rignon nergie positive projet de La responsabilité du ministère de l'agriculture de l'agroalimentaire et de la forêt ne saurait être engagée. Conception et réalisation : Edita sarl, Tours syledita@gmail.com webedita.fr FÉVRIER 2014

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