Les politiques de l emploi

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1 Les politiques de l emploi Séance n 4 - Le politiques et dépenses publiques face au sous-emploi - La question de l insertion professionnelle - Les politiques en matière d emploi des jeunes Les politiques et dépenses publiques face au sous-emploi Les politiques de lutte contre le chômage Les politiques libérales - Actions favorisant la baisse du coût du travail - Déréglementation de l emploi salarié - Flexibilisation des emplois - Palliatifs à l asymétrie d information - Limitation du pouvoir syndical Moins d État et plus de concurrence pour «laisser faire» le marché. Les politiques keynésiennes - Relance par l État de la demande effective - Action prioritaire en faveur de l investissement - Incitations à des anticipations optimistes - Action volontariste contracyclique Les politiques «pragmatiques» - Analyse de Malinvaud (théorie du déséquilibre) - Mixte d outils libéraux et keynésien La RTT et l ARTT comme politiques anti-chômage Politiques conjoncturelles pour pallier «les imperfections» du marché.

2 Les dépenses pour l emploi (1) L UE distingue trois grands types de dépenses dans le cadre des PMT (Politiques pour le marché du travail). Les services relatifs au marché du travail (1) Les mesures correspondant à des «dépenses actives» (2 à 7) 2. Formation professionnelle 3. Rotation dans l emploi et partage de l emploi 4. Incitations à l emploi 5. Emploi protégé et réadaptation 6. Création directe d emploi 7. Aide à la création d entreprise Les soutiens correspondant à des «dépenses passives» (8 & 9) 8. Maintien et soutien du revenu en cas d absence d emploi 9. Préretraite Les dépenses PMT en 2013 Millions d % Services % Mesures % Formation professionnelle % Rotation dans l emploi et partage de l emploi Incitations à l emploi 585 Emploi protégé et réadaptation Création directe d emploi Aide à la création d entreprise 952 Soutiens ,3% Maintien et soutien du revenu en cas d absence d emploi ,1% Préretraite 69 TOTAL DES DEPENSES Données de la Dares Les dépenses pour l emploi (2) Elles comprennent des dépenses ciblées ou générales en faveur de l emploi et du marché du travail classées en 4 catégories. Les mesures générales d exonération Allègements généraux bas salaires et aménagements et réduction du temps de travail Heures supplémentaires et rachat de RTT Aides à l embauche dans les TPE Les incitations financières à l emploi Les mesures en faveur de l emploi dans certaines zones géographiques Les mesures en faveur de l emploi dans certains secteurs

3 Les dépenses ciblées ou générales en faveur de l emploi et du marché du travail en 2012 Millions d % Les mesures générales d exonération % Allègements généraux bas salaires et ARTT Heures supplémentaires et rachat de RTT 570 Aides à l embauche dans les TPE 33 Les incitations financières à l emploi % Les mesures en faveur de l emploi dans certaines zones géographiques % Les mesures en faveur de l emploi dans certains secteurs % TOTAL dont dépenses fiscales % dont exonérations % Master Données 1 de AIPT la Dares La question de l insertion professionnelle La situation des ans en France en % 8 % Rappel : taux de chômage des ans = 23,4% (Insee) 21 % 56 % Études initiales 1 Cumul études initiales et emploi Emploi 7 % Chômage (au sens du BIT) Inactivité Source : ministère de l Éducation nationale

4 Le sur-chômage des moins de 25 ans en France Taux de chômage des ac.fs de moins de 25 ans Taux de chômage de l'ensemble des ac.fs Source : données des enquêtes emploi de l Insee Le sur-chômage des moins de 25 ans dans les pays de l OCDE Taux de chômage dans les pays de l OCDE des et des 25 ans et + (en ) En pourcentage de la population active par classe d ge T T Variation des taux de chômage dans l UE des de 25 ans et des ans (de 2003 à 2014) Taux de chômage des ac.fs de moins de 25 ans Taux de chômage de l'ensemble des ac.fs / / OCDE Europe États-Unis Japon Source : OCDE, D après des données d Eurostat Taux de chômage et niveau de diplôme Le taux de chômage des actifs en 2014 selon le diplôme le plus élevé et le genre Hommes Femmes Ensemble Brevet des collègues, CEP ou sans diplôme 17,4 14,9 16,2 Baccalauréat, CAP, BEP 10,0 10,6 10,3 Bac + 2 6,3 5,7 6,0 Diplôme supérieur à Bac + 2 6,3 6,6 6,5 Ensemble 10,2 9,6 9,9 Le taux de chômage des débutants en 2014 selon le diplôme le plus élevé Niveaux et ancienneté des sorties de formation initiale Enseignement supérieur Bac, CAP-BEP et équivalents Brevet, CEP et sans diplôme Ensemble - depuis 1 à 4 ans 11,5 24,1 53,0 20,1 - depuis 5 à 10 ans 7,0 15,2 34,0 12,8 - depuis 11 ans et plus 4,6 7,9 13,3 7,9 Source : données des enquêtes emploi de l Insee

5 Évolution de la situation d emploi des jeunes de la «génération 2004» ( ) 100 Inactivité en % Formation - études En 7 ans, le taux de chômage passe de 24,5% à 10% Chômage En 7 ans, les EDD passent de 40% à 13% Emploi à durée déterminée 50 Emploi à durée indéterminée En 7 ans, les EDI passent de 24% à 71% 0 nov.04 nov.05 nov.06 nov.- nov.- nov.- nov.- nov Source : Insee, d après des données du Céreq La «Génération 2004» définie et étudiée par le Céreq désigne les personnes ayant quitté la formation initiale en fin d année , quel que soit leur diplôme le plus élevé. L enquête du Céreq a consisté à suivre une cohorte représentative de la Génération Évolution de la situation d emploi de la «génération 2004» selon le niveau de diplôme 36% 36% 13% CHÔ EDD EDI 26% 21% CHÔ EDD 11% 5% 40% 22% 82% EDI 44% 30% Source : Insee, d après des données du Céreq La notion d insertion professionnelle «Un processus par lequel des individus n ayant jamais appartenu à la population active, accèdent à une position stabilisée dans le système d emploi» Vernières M., L insertion professionnelle, analyses et débats, éd. Economica, 1997 Un processus parfois long. Un processus souvent heurté. Un processus qui ne se limite pas à l obtention d un premier emploi.

6 Les politiques en matière d emploi des jeunes Les diagnostics L inexpérience Les diagnostics L inexpérience Le coût excessif «Il faudrait qu on puisse entrer dans l entreprise avec un salaire adapté un peu moins élevé que le Smic de façon transitoire et temporaire.» (Pierre Gattaz, 15 avril 2014)

7 Les diagnostics L inexpérience Le coût excessif La formation déficiente «On observe encore une véritable inadéquation entre la formation initiale des jeunes diplômés et les offres des entreprises sur le marché du travail. Si elle porte parfois sur les savoirs et les compétences, cette inadéquation concerne aussi les savoir faire. Semblant résulter d un fort cloisonnement entre l université et le monde du travail, elle explique la longue attente entre l acquisition du diplôme et l insertion durable dans l entreprise, ainsi que la diversité des étapes, souvent laborieuses, de l entrée sur le marché du travail.» (Sénateur Emorine, 2006) Les politiques spécifiques et leurs effets Face aux manques d expérience, de compétences, et/ou de productivité, les politiques publiques recourent à : - des incitations financières à l embauche et des dispositifs dérogatoires aux normes de l emploi qui instituent les jeunes en catégorie d actifs à part ; - des tentatives de rapprocher les modalités et les contenus de formation des attentes des employeurs pour professionnaliser les cursus et les diplômes ; Ces politiques sont répétées sous des formes variables depuis 1977 sans efficacité indiscutable et au risque d effets néfastes, dont la stigmatisation des jeunes au sein du système d emploi.

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