Logiciels de base, 1ère partie (N. Tounsi) Logiciels de Base. 1ère partie: Introduction. Cours 1ère année informatique, semestre 1.



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1. Systèmes Informatiques Logiciels de Base 1ère partie: Introduction Cours 1ère année informatique, semestre 1. Najib Tounsi Ensemble de moyens matériels et logiciels nécessaires au traitement automatique de l'information. Il convient de rajouter aussi les moyens humains nécessaires au bon fonctionnement du système. 1.1 Matériel Classiquement, on trouve: Fig-1. Composants d'un ordinateur NB. Un ordinateur est généralement connecté à un réseau. L'unité centrale (UC) contient les éléments suivants: Fig-2. Composants de l'unité Centrale 1 of 19

où CPU (Central Processing Unit) est l'unité de traitement et calcul (on dit aussi processeur), la mémoire est l'unité qui contient les données et les instructions à exécuter, et le bus le moyen de transport des données et des adresses entre les deux autres unités. 1.2. Logiciels Les logiciels se composent d'abord du système d'exploitation et d'autres logiciels d'applications. 2. Système d'exploitation Fig-3. Les logiciels contenus dans un ordinateur Le système d'exploitation (Operating System) permet d'utiliser le matériel de façon optimum et de faciliter le travail de l'utilisateur. C'est un ensemble de programmes intégrés exécutants un ensemble de tâches reliées. On peut y voir deux couches: 2.1. Le Noyau Fig-3-bis. les couches d'un OS La première couche de ces programmes est le noyau. Il s'occupe de la gestion de la mémoire la gestion des échanges avec l'extérieur (entrées/sorties disques et periphériques, échanges réseaux etc.) la gestion des travaux: allocation du processeur, etc. Cf. Cours Systèmes d'exploitation, semestre 2. Une deuxième couche de programmes est constituée de logiciels de base. 2.2. Logiciels de Base 2 of 19

(Voir aussi 2e Partie) Les logiciels de base sont des programmes de service pour un environnement de programmation de base. Un premier ensemble de tels programmes est constitué de: un éditeur de texte pour saisir des programmes. un ou plusieurs compilateurs (traducteurs) de langages de haut niveaux ou à défaut, un langage d'assemblage. un éditeur de lien et le chargeur associé. Ces derniers assurent le "montage" final et le chargement d'un programme en vue de son exécution. En effet, un ordinateur doit permettre d'écrire et d'exécuter des programmes avant tout... Un deuxième ensemble est formé des utilitaires tels que: des éditeurs de textes plus évolués (vi, emacs, edit, notepad...) des services de fichiers (format, copy ) des programmes de communications (e.g. mail, chat...) des programmes pour réseaux (ftp, telnet, http...) enfin un programme essentiel est l'interprète de commandes. C'est lui qui assure le dialogue ou l'interface avec l'utilisateur. On l' appelle aussi Shell. Par exemple, bash sous UNIX, command.com ou cmd.exe sous DOS et Windows. On reviendra plus tard sur ces programmes. (2e Partie) 3. Logiciels d'application Ce sont essentiellement les logiciels qui ne sont pas systématiquement livrés par le vendeur de l'ordinateur, et qui dépendent d'une installation donnée chez un utilisateur. On trouve d'abords les logiciels généraux (ou progiciels) tels que: les gestionnaires de base de données, e.g. Access, MySQL, Ingres, Oracle les traitements de textes évolués (e.g.. LaTEX, Word, ) les outils internet (navigateurs, outils mail, WebApps)... Ensuite, on trouve les applications spécifiques à une organisation particulière, e.g. la gestion de stock pour une usine, la paie du personnel pour une entreprise, la facturation pour une compagnie etc 4. Différents Types de Systèmes 4.1. Systèmes mono-programmés Avec ces systèmes un seul programme peut être exécuté à un moment donné. On dit aussi système mono-tâche. C'est le cas par exemple des premiers PCs. Un seul utilisateur peut utiliser le système qui exécute un programme à la fois. L'inconvénient de ces systèmes c'est qu'il faut attendre qu'un tâche se termine avant d'en lancer une autre, même si la première n'utilise pas le processeur, e.g. attend un événement donné. 3 of 19

4.2. Systèmes multiprogrammés Un système multiprogrammé (ou multitâche) est un système qui permet à plus d'un programme d'être exécutés "à la fois". C'est le cas de tous les systèmes actuels. L'avantage de ces systèmes c'est qu'ils optimisent le temps du processeur. Un deuxième programme d'être exécuté même si un programme précédent n'est pas terminé. C'est le cas par exemple quand ce dernier effectue une entrée/sortie (attente d'une saisie, écriture sur disque ou impression). Un système multitâche peut permettre à plusieurs utilisateurs de travailler simultanément. On dit système multi-utilisateurs dans ce cas. Il y a différentes techniques de partage de l'uc entre les différentes tâches et utilisateurs. (cf. par exemple [1] ) 4.3 Autres types de systèmes Systèmes temps réel: ils sont faits pour les ordinateurs qui doivent donner des résultats (faire les calculs) dans un délai déterminé, en général très court. C'est le cas par exemple des ordinateurs qui contrôlent des appareils industriels et doivent donc réagir à temps. Systèmes embarqués (embedded systems): conçus pour fonctionner sur de petites machines (les systèmes informatiques embarqués) comme les ordinateurs de voitures par exemples. Ces systèmes sont très compacts et peuvent fonctionner avec des ressources limités. Systèmes distribués: Ils permettent le partage des ressources entre plusieurs ordinateurs. Le développement des réseaux d'ordinateurs qui peuvent communiquer les uns avec les autres a donné lieu à l'informatique distribuée. Un utilisateur d'un simple PC peut se servir de services et de ressources plus conséquentes qui existent sur un autre ordinateur. 5. Différents modes d'interactions Il y a principalement deux modes d'interaction avec l'ordinateur. Le mode commande où on tape une commande au clavier et l'ordinateur l'exécute affiche le résultat à l'écran, et le mode graphique où on utilise un pointeur (avec souris ou touchpad) pour manipuler des objets graphiques et cliquer sur des icônes dans des fenêtres pour activer des tâches. 5.1. Mode commande Dit aussi mode ligne commande (ou terminal tty), fonctionne sur un écran où on n'affiche que des caractères. La figure 4, montre un écran terminal de 24 ligne de 80 caractères, avec un prompt '$'. Ici, c'est un terminal de type UNIX disponible sur MacOS. 4 of 19

Fig-4, Un terminal de 24 lignes de 80 caractères La figure suivante (figure 4 bis) montre le même type de fenêtre mode commande, sous Windows. Programme du DOS (prompt caractéristique C:\>). Fig-4-bis, Un terminal de 24 lignes de 80 caractères sous DOS La figure suivante (figure 4-ter) montre le même terminal que la figure 4 ci-dessus, après avoir tapé quelques commandes (lignes précédées du signe $), dont on voit le résultat. 5 of 19

Fig-4-ter, Quelques lignes commandes avec résultat Les commandes montrées dans figure 4-ter sont: ls, qui liste les fichiers qui se trouvent sous le répertoire courant. Ici, on montre le fichier de nom hello.c. cat hello.c, qui demande d'afficher ce fichier qui est donc un programme C. cc -o hello hello.c, qui demande de compiler le source hello.c vers le fichier exécutable hello. hello, la commande (en fait l'exécutable créé juste avant) qui exécute le programme C. L interprète de commande Shell Il y a un programme essentiel à un système d'exploitation et qui réalise ce mode. Ce programme interactif est connu sous le nom générique de Shell, Un Shell est en fait un interprète de commande. Il reçoit la ligne commande que l'utilisateur tape et demande au système d'exploitation de l'exécuter. Sous Unix, il y a les interprètes de commandes sh (Bourne Shell), bash (Bourne Again Shell), csh (C-shell), ksh (Korn Shell) etc. Sous Windows et DOS, l'interprète de commande est le programme cmd.exe. 5.2. Mode Graphique Dit aussi parfois GUI (Graphical User Interface). Dans ce mode on dialogue avec le système opératoire de façon plus ergonomique avec une souris (ou autre) qui pointe dans des zones à l'écran ou sur des figures qui représentent des objets informatiques ou des tâches à activer en appuyant sur un bouton de la souris. En fait, dans ce mode chaque applications ou programme s'exécute dans une fenêtre sur 6 of 19

laquelle l'utilisateur peut agir an pointant avec la souris sur des images (icônes) ou zone d'écran. Figure 5. La fenêtre la plus simple et la plus immédiate correspond à l'explorateur de fichiers qui permet la navigation dans le systèmes de fichiers de l'ordinateur, dossiers et documents. Sous Mac OS c'est le Finder, et sous Windows, c'est l'explorateur Explorer. Sous Linux, il y'en a plusieurs: Konqueror (Dolphin maintenant), Krusader, Commander etc. [2] Fig-5, Fenêtre de Finder, l'explorateur de fichier du mode graphique MacOS 5.3. Caractéristiques du modes graphique: Dans cette figure on voit plusieurs choses, dont principalement: 1. 2. 3. La ligne menu qui se trouve généralement en haut (File, Edit,...). Le contenu et les fonctionnalités de cette ligne dépend de l'application, mais il y a des menus invariants d'une application à l'autre. La fenêtre proprement dite dont le contenu dépend de l'application aussi, mais avec des invariants communs à toutes le fenêtres. Les boutons de commande de fermeture/agrandissement/réduction de la fenêtre. La ligne Menu La ligne menu d'une fenêtre est fonction de l'application ouverte. Elle contient les menus de sélection de fonctionnalités liées à l'application. 7 of 19

Fig-7, Ligne menu d'une fenêtre (en haut) Fig-7-bis, Menu File déroulé On y trouve en général (Fig 7, 7-bis) L'option "Fichier" (File) qui gère entre autres les fonctionnalités: nouvelle fenêtre (^N), ouverture (^O) / sauvegarde (^S) / impression (^P) de fichiers données de l'application etc. L'option "Edition" (Edit) avec les fameux couper (^X) / copier (^C) /coller (^V) L'option "Aide" (Help) pour les aides relatives à l'application. Les sélections se font avec la souris et le bouton gauche. Une sélection peut se faire aussi par une combinaison de touches dite "raccourci clavier", de type ^O (lire contrôle O), c'est à dire appuyer en même temps sur la touche ctrl et sur une lettre. NB. Si une application a été internationalisée, sa ligne menu est localisable (si l'os est multilingue). Fig-7-ter (a) Menu précédent en Arabe Fig-7-ter (b) idem Noter la directionnalité des items du menu. Pas forcément de droite à gauche, i.e. menu ouverte... à gauche. La question est مساعدة plutôt à droite et ملف Le contenu d'une fenêtre. Le contenu d'une fenêtre est alors dépendant de l'application. Par exemple une fenêtre de navigation sur Internet, une feuille de calcul Excel, un jeu, une application bancaire etc. 8 of 19

Une fenêtre peut avoir parfois son propre menu en haut (figure 8). Ses éléments peuvent être matérialisés par des icônes, du texte ou les deux à la fois, comme ici. Parfois aussi des éléments de sélection en bas (ligne dite statut, figure 8-bis). Fig-8, Menu Back et Forward... du navigateur Mozilla, en plus du menu File...Help en haut. Fig-8-bis, ligne statut du navigateur Mozilla. Ici, l'icône mail pointé. 5.4 Jouer avec la souris Pointer: Ramener le pointeur de la souris vers un endroit particulier: sur une icône ou sur un texte. Dans le cas d'un texte un trait verticale symbolise le curseur. Cliquer: appuyer et lâcher le bouton de la souris. Ou un des boutons. Sélectionner: cliquer une fois sur le bouton (droit) de la souris une fois point. Sélectionner un texte: Appuyer et garder le doigt appuyé tout en déplaçant la souris sur le texte choisi. Double clic: cliquer rapidement deux fois. Vitesse de double clic ajustable par configuration de la souris. Couper/Copier/Coller (Cut/Copy/Paste) (^X/^C/^V) du menu Edit: Permet de déplacer (Couper) ou dupliquer (Copier) un objet d'un endroit à un autre. Ce que l'on sélectionne avec la souris est mis dans une zone mémoire appelée presse-papier (clipboard) dès qu'on choisit Couper ou Copier. Dans le premier cas, l'objet sélectionné est supprimé de sa place. Coller permet de restituer le presse-papier à l'endroit désigné par la souris. On peut ainsi: Recopier ou déplacer un texte d'un endroit à un autre dans un même document ou 9 of 19

entre deux documents. (Si le document source n'est pas à soi, attention aux droits d'auteurs...) Sélectionner une image et l'insérer dans un document. (Même remarque.) Dupliquer ou déplacer un fichier d'un répertoire à un autre entre les fenêtres correspondantes. etc. Glisser et déposer (Drag and drop): Technique favorite des GUIs. Consiste à sélectionner un objet et garder le doigt appuyé sur le bouton tout en déplaçant la souris (Drag). Dès qu'on lâche le bouton, l'objet sélectionné est déposé dans la nouvelle zone pointée par la souris (Drop). Un objet est ainsi déplacé d'une zone à une autre. NB. On peut sélectionner un texte avec le clavier en appuyant sur shift et sur la flèche du déplacement du curseur. Avec ^X/^C/^V on peut le couper/copier/coller. 6- Equivalence entre les deux modes Normalement ce qu'on peut faire dans un mode on peut le faire dans l'autre. Si le mode commande est plus laborieux (plus barbare), le mode graphique, avec souris, boutons et menus, est plus convivial. Par contre, le mode commande est lui plus puissant pour certaines opérations surtout quand elles sont répétitives. Le Shell constitue un environnement de programmations très avancé où on peut combiner et varier les commandes pour des tâches très élaborées. Il faut ajouter que le mode commande est plutôt fait pour un travail de programmeur système qui a besoin de dialoguer de façon très proche des possibilités d'un OS. 6.1. Exemples de commandes Voici quelques commandes classiques correspondant à des manipulations de base en mode graphique Windows ou MacOS. Voir table ci-dessous. Gestion des dossier/documents (commandes Unix cd, mkdir, rmdir, cp, mv, rm, cat..., Windows/DOS cd, md, rd, copy, rename, del, type...), Recherche de fichier (commande Unix find) Lancement d'application avec ou sans paramètres emacs hello.c édition (ou création) d'un fichier source C hello.c avec l'éditeur de textes emacs cc -o hello hello.c compilation vers un exécutable hello du programme hello.c hello commande hello, i.e. lancement pour exécution du programme précédent Pour avoir de l'aide en mode graphique, on utilise le menu 'Aide' de l'explorateur du fichier (pour ce qui concerne le système d'exploitation) ou de l'application concernée. En mode commande on dispose de la commande help pour Windows et man pour les OS à base de Unix. Cette dernière commande (qui évoque un manuel utilisateur) est prévue pour toutes les commandes Unix. man ls, affiche l'aide pour la commande Unix ls. Par extension certains logiciels (ou nouvelles commandes) affichent leur aide de la même façon. man curl affiche l'aide de la commande curl (qui transfert une adresse Web (URI)). Sinon, l'option -h permet d'obtenir la manière d'utiliser un programme. curl -h affiche 10 of 19

l'aide sur cette commande curl. Fonction UNIX DOS Créer répertoire mkdir nomrépertoire md nomrépertoire Aller vers un répertoire cd nomrépertoire cd nomrépertoire Afficher le nom du répertoire courant Remonter d'un répertoire cd.. cd.. pwd Retirer répertoire (vide) rmdir nomrépertoire rd nomrépertoire Copier un fichier vers un un autre Renommer un fichier cp fichier-1 fichier-2 mv fichier-1 fichier-2 pwd copy fichier-1 fichier-2 rename fichier-1 fichier-2 Afficher un fichier cat fichier ou more fichier type fichier Effacer un fichier rm fichier del fichier Demander l'aide sur une commande man nomcommande help nomcommande Lister les fichiers d'un répertoire ls ou ls -l dir Table-1, Liste des commandes Unix et leur équivalent Dos 6.2. Configuration des Variables d'environnement dans les deux cas. Les variables d'environnement sont des variables systèmes qui contiennent des choix de configuration ou préférences utilisateur. Par exemple, la variable USER qui contient le nom de l'utilisateur ou la variable SHELL qui contient le nom de l'interprète de commande. Une variable d'environnement intéressante est la variable PATH. Elle contient la liste des répertoires qui contiennent les fichiers binaires qu'on peut exécuter. Exemple, C:\;C: \System;C:\Programe file\bin sous Windows (séparateur ;), ou /usr/bin:/bin:/usr /sbin:/sbin:/usr/local/bin sous Unix (séparateur :). Plus précisément, quand on tape le nom d'une commande, celle-ci est cherchée dans les répertoires indiqués par la variable d'environnement PATH. Quand on rajoute un logiciel au système et qu'on veuille l'exécuter en tapant simplement son nom, on doit modifier cette variable et rajouter le chemin d'accès vers le répertoire où le nouveau logiciel a été placé. Sous Windows par exemple, les commandes de compilation cc ou javac ne sont pas accessibles directement. Il faut modifier la variable d'environnement PATH pour le répertoire correspondant. En mode graphique cf. TP En mode commande En mode commande, on peut modifier la variable d'environnement PATH par 11 of 19

set PATH = %PATH%;C:\Programe file\jdk7.1\bin sous Windows pour rajouter le chemin d'accès C:\Programe file\jdk7.1\bin à la valeur de PATH, ou sous UNIX par PATH=$PATH:/usr/local/mysql/bin export PATH pour rajouter le chemin /usr/local/mysql/bin à la variable PATH. 6.3. Mode commande vs. mode graphique Le mode ligne commande bien que plus laborieux est parfois plus puissant. Surtout pour un travail de programmeur système. L'ensemble des outils (commandes) et leur combinaisons sont parfois très efficaces. Il est parfois très utile de lancer des commandes par lots; chose plus simple en mode commande. Surtout pour les traitements répétitifs. Par exemple traiter un ensemble de fichiers par une ligne commande de forme plus ou moins complexe. (chercher avec find les fichiers a.out, core, *.bak, *~ etc. pour les effacer ou les archiver). La commande suivante cherche les fichiers d'extension.o du répertoire utilisateur pour les effacer. find $HOME -name "*.o" -exec rm {} \; Le mécanisme de script du mode GUI permet aussi de faire le même genre de tâche. Le mode commande s'impose aussi quand on se connecte à distance (telnet) à un ordinateur dans un réseau. On a alors un Shell et on doit taper des commandes. 7. Virtualisation Une machine virtuelle (VM) est un ordinateur fictif complètement à base de logiciel. Les machines virtuelles peuvent refléter un ordinateur imaginaire ou imiter l'architecture et les fonctions d'un véritable ordinateur existant dans le monde informatique. Une machine virtuelle est donc une implémentation logicielle d'une machine (c'est à dire un ordinateur) qui exécute les programmes comme une machine physique. Voir références [3] 8- Système de Fichiers Un ordinateur stocke ses informations dans des fichiers sur disque. On appelle système de fichiers l'ensemble des moyens pour stocker et retrouver ces informations. Cela revient principalement à mettre les informations dans des unités séparées, les nommer et désigner leur emplacement. Une telle unité d'information est appelée fichier (File). L'organisation logique des ces unités et l'ensemble des règles qui les gouvernent s'appelle un système de fichiers (File System) ou système de gestion de fichiers SGF.. 8.1. Fichiers/ répertoires La plupart des systèmes de fichiers structurent leurs fichiers en une collections hiérarchisée de répertoires (directory). Un répertoire est alors une collection de fichiers. 12 of 19

Un répertoire peut contenir d'autres (sous) répertoires, et ainsi de suite. On a alors une structure d'arbre où les nœuds sont des répertoires et les feuilles des fichiers. Figure-9 montre un tel arbre avec la racine en haut et les feuilles vers le bas. Fig-9, Structure d'arbre de fichiers et répertoires. Dans cette figure, on voit un répertoire appelé MonDossier qui contient deux sous-répertoires Autre et Prog et un fichier README.txt. Le sous répertoire Autre contient trois fichiers, index.html, lettre.doc et mail.txt et le sous répertoire Prog contient les fichiers hello.c et tp1.java. Le sous répertoire Dossier1 contient quant à lui un seul fichier courrier.txt. On peut noter qu'un répertoire est en fait un fichier spécial contenant l'information "liste de fichiers ou sous-répertoires" Avec l'explorateur des fichiers en mode graphique on visualise mieux cette structure d'arbre grâce au décalage de gauche à droite. Les répertoire sont marqués par l'icône triangle gris. Fig-9-bis, Structure d'arbre de fichiers et répertoires vue par l'explorateur de fichiers. En mode graphique, les répertoires sont matérialisés généralement par une icône dossier (folder) et les fichiers par un icône document, dont le graphique reflète le type de contenu et l'outil de création de document (figure 9-ter). Exemple, le dessin correspondant à Mozilla pour le document HTML index.html. Voir ci-après la discussion sur les types de 13 of 19

fichiers. 8.2. Types de fichiers Fig-9-ter, Icônes dossiers et documents. On peut classer les fichiers selon plusieurs dimensions. Nous en avons choisi deux ici: fichier texte vs. fichier binaire, fichier données vs. fichier programme. Fichier texte ou fichier binaire Un fichier texte est un fichier qui contient un texte lisible ou plus généralement un texte visualisable sur écran ou imprimable. Un fichier binaire est un fichier qui contient des données codés dans un format que seul un logiciel peut comprendre ou interpréter. En d'autres termes, un fichier binaire n'est pas affichable par un simple éditeur. Exemples de fichiers textes Un fichier tapé par un éditeur de texte (emacs, textedit, blocnote etc.). On le tape sur un clavier donc c'est un texte lisible. Cela va d'un simple poème à un fichier source C ou HTML. Extension.txt pour un texte général. Fichier source C tapé dans un environnement de programmation tel que DevC++. Extension.c ou.cpp Fichier HTML crée sous un éditeur HTML (extension.html) etc. On peut distinguer dans cette classe les fichiers dits texte brut (plain text), où le texte ne porte aucune information autre que ce qu'il dit. Il n'y a pas de style de type texte gras ou italique ou la notion de paragraphe (à part le saut de ligne ou les espaces de décalage). Exemple de tel texte (poème Achwaq, mis en musique et chanté par Riad Sounbati. Texte Mustapha AbdouRahman) ou bien هتف الصبح و غنى بنشيد.. راي ع اللحن شجي النغمات.كالم نى ت قبل كالحلم السعيد.. في خيال كابتسام الزهرات Syntax Uniform Resource Identifiers (URI): Generic Status of this Memo This document specifies an Internet standards track protocol for the Internet community, and requests discussion and suggestions for improvements. Par contre, un texte riche (rich text) est un texte qui porte des balises de formatage comme la couleur des caractères, le style gras ou italique, la division en paragraphe etc. 14 of 19

Ces balises ne font évidemment pas partie de l'objet du texte. Exemple (en HTML ici) : Ceci est une texte <br /> en <strong> gras </strong> où <br /> signifie aller à la ligne, et <strong> et </strong> entourent un texte à rendre en caractères gras. Il faut bien sur que le logiciel qui ouvre un tel texte puisse interpréter ces balises pour rendre le format.. Ici ce serait un navigateur Web. Sinon le texte sera affiché tel qu'il est créé, avec les balises apparentes. Fichier données ou fichier programme Dans cette classification, un fichier contient soit des données (texte ou binaires!) soit un code (texte ou binaire!) à exécuter. Un fichier texte est une donnée pour un éditeur. Un fichier source C est une donnée pour le compilateur C. L'éditeur de texte ou le compilateur sont eux-mêmes contenu dans des fichiers qui sont donc des fichiers programme (reconnaissables sous Windows à l'extension caractéristique.exe, comme gcc.exe pour le compilateur GNU C++). Cette distinction est importante dans le cas où, dans une ligne commande comme $ gcc hello.c le premier mot à apparaître est celui d'un fichier programme à exécuter (le compilateur GNU gcc), et le mot suivant serait le nom d'un fichier donné comme entrée à la commande (le source hello.c). Le tableau suivant montre des exemples de fichiers dans différents cas. Les noms de fichiers sont supposés suggérer leur contenu... Fichier Texte Binaire Données Programme lettre.txt hello.c index.html hello.py... hello.py macom.bat... lettre.doc article.pdf fichier client.dbf dans une BD... Emacs Firefox hello.exe... A noter: Hello.py est un programme écrit dans le langage python et doit être traité par le logiciel (interpréteur) de même nom. Le même fichier apparaît aussi dans la case fichier programme, car on peut, moyennant quelques réglages [*], taper le nom de fichier comme commande pour l'exécuter. $ python hello.py 15 of 19

$ hello.py Les fichiers binaires dont les noms ont pour extension.doc ou.pdf contiennent un texte à lire, mais uniquement grâce à leur logiciels respectifs, M$ word et Adobe ou un logiciel spécialisé (appelé viewer). Ils ne sont donc pas directement affichables à l'écran (commandes DOS type ou commande Unix cat) ou ouvrables par Blocnote, Textedit etc. Voir Figure-10, ci-après. macom.bat ici, illustre un fichier de type batch qui contient un ensemble de commandes. Au lieu de taper plusieurs fois et d'exécuter une à une les mêmes commandes, on les groupe dans un fichier pour être exécutées en un seul trait et à le demande. Un tel fichier doit avoir.bat comme extension pour être reconnu comme tel sous Windows/DOS. Sous Unix on leur donne parfois l'extension.sh pour les distinguer. (a) vu par un éditeur de texte (b) vu par un viewer Fig-10, un fichier PDF vu en mode texte (a) et en mode original (b). Autres classifications Fichier système ou fichier utilisateur Fichier système: Les fichiers systèmes sont ceux fournis avec l'ordinateur (OS et autres logiciels de bases) et qui sont nécessaires à son bon fonctionnement, ainsi que les fichiers données qu'ils créent ou utilisent. Ils sont en générale placés dans une zone bien précise pour être protégés des utilisateurs. Les répertoires /bin, /usr/bin, /etc, /var sont des exemple de répertoires contenant les fichiers du système UNIX. De même pour C:\System de Windows. Fichier utilisateur: Ce sont certains fichiers supplémentaires fournis avec l'ordinateur tels que les applications utilisateur-final (e.g. Office), les jeux, et tout fichier données ou programme rajouté ou téléchargé par l'utilisateur lui-même. Cette distinction est surtout utile pour protéger les zones systèmes et pour pouvoir sauvegarder et restaurer les parties du disques utiles à l'utilisateur. Fichier spécial ou fichier régulier Un fichier régulier est un fichier normal comme ceux dont on vient juste de parler jusqu'à 16 of 19

maintenant. Un fichier spécial est par exemple un répertoire, un alias (lien vers un fichier), un "canal" de communication entre client et serveur, un dispositif d'entrée/sortie, etc. Cette distinction est visible sous UNIX avec la commande ls -l d'information sur les fichiers. La ligne information d'un fichier régulier n'a aucune lettre spécifique en début de ligne et commence par un tirait '-'. $ ls -l total 8 -rw-r--r-- 1 Najib staff 7 Nov 17 17:48 myfile drwxr-xr-x 2 Najib staff 68 Nov 17 17:49 mydirectory prw-r--r-- 1 Najib staff 20 Nov 17 17:49 tube lrwxr-xr-x 1 Najib staff 6 Nov 17 17:49 alias -> myfile 8.3 Informations sur les fichiers Un Système d'exploitation mémorise pour un fichier un certain nombre d'informations. Ce sont principalement le nom du fichier, sa taille en octets, la date de création et/ou de modification, le nom du l'utilisateur propriétaire du fichier et les droits d'accès. On peut voir ces informations avec la commande DOS dir /P ou la commande Unix ls -l (voir juste ci-dessus), si on est en mode commandes. En mode graphique sous Windows, c'est la rubrique propriétés du menu contextuel (bouton droit de la souris) quand on sélectionne le fichier. La figure suivante donne un aperçu des informations générales sur un fichier texte sous Mac OS (menu info de Finder ou ^I), Fig-11, Informations générales sur un fichier sous MacOS. et dont voici le résultat de la commande ls -l -rw-r--r-- 1 Najib staff 58 Oct 23 17:07 hello.c 17 of 19

avec dans l'ordre, le droit d'accès, l'auteur, la taille, la date de modification et le nom de fichier. Mais l'information a plus importante pour un fichier (une autre façon de les classer, soit-dit en passant) c'est la nature de son contenu qui détermine la façon de le traiter et le type d'applications qui peuvent l'ouvrir, quand on clique sur le fichier (Open with dans la fig-11). En général l'extension dans le nom d'un fichier (.txt,.html,.pdf,.c etc.) est un bon indicateur du type de contenu. Mais ce n'est pas toujours significatif car l'extension est modifiable à volonté. Quoique certains logiciels exigent une extension bien déterminée sinon il n'ouvrent pas le fichier (e.g. extension.c pour certains compilateurs C). En générale, et avant d'ouvrir un fichier, les applications en analysent le contenu pour essayer de reconnaître s'il correspond bien à ce qu'elles attendent et que le fichier est donc ouvrable. Sous Unix, la commande file donne le type de contenu d'un fichier indépendamment du nom. $ file * Pile.class: compiled Java class data, version 50.0 (Java 1.6) bonjour.doc:... Name of Creating Application: Microsoft Macintosh Word... bonjour.docx: Zip archive data, at least v2.0 to extract hello.c: ASCII c program text index.html: HTML document text lettre.txt: ASCII text mail.doc: UTF-8 Unicode text tp1.java: ASCII Java program text Noter les deux fichiers.doc reconnus l'un comme fichier M$Word et l'autre comme simple texte Unicode. Noter que.docx, n'est pas encore reconnu, et que hello.c et lettre.txt sont reconnus comme des fichiers texte, et qu'en plus, l'un est un code source C. La relation entre un type de fichier et le logiciel qui le traite n'est pas bijective. Un même fichier peut être ouvert par plusieurs applications (heureusement!), e.g. un texte.txt est lisible par Blocnote, Wordpad ou firefox, et une même application peut ouvrir plusieurs types de fichier, e.g. Firefox peut lire des fichiers simple texte, HTML, source C etc. En fait quand ce n'est pas HTML, Firefox se contente d'afficher le contenu brut d'un fichier. Mais alors, comment déterminer par quelle application un ficher doit préférablement être ouvert? En fait, il y a un choix par défaut fixé par le système. Par exemple, les fichiers.doc sont ouvrables par M$Word. Mais on peut, en manipulant les options et les propriétés d'un fichier fixer un autre choix, par exemple OpenOffice qui est un équivalent de M$Office. Dans la figure-11 ci-dessus, en déroulant l'option "open with", on peut sélectionner une autre application pour traiter un fichier. Voir Figure-11-bis. 18 of 19

(a) Emacs est choisie par défaut (b) Autres choix possibles. Xcode sélectionné Fig-11-bis, On peut changer d'application pour ouvrir un fichier hello.c avec Xcode sous MacOS Voir Logiciels De Base, 2e partie (logicielsdebase-2.pdf). Pour en savoir plus [1] http://en.wikipedia.org/wiki/operating_system#multi-tasking_vs._single-tasking [2] http://www.techrepublic.com/blog/10things/10-linux-file-managers-worthchecking-out/993 [3] http://fr.wikipedia.org/wiki/machine_virtuelle, http://fr.wikipedia.org /wiki/machine_virtuelle#virtualisation, http://en.wikipedia.org /wiki/platform_virtualization#concept Auteur: Najib Tounsi Date: Oct. 2013 19 of 19