DIAGNOSTIC DEMARCHE ACCOMPAGNEMENT ASL



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DIAGNOSTIC DEMARCHE ACCOMPAGNEMENT ASL EI Groupe Accompagnement Conseil 22 rue des Chasseurs 34 076 Montpellier Cedex 03 Tél. : 04 67 602 623 Fax : 04 67 04 89 82 http://www.groupe-ei.fr/ Fonds Européen d Intégration Dossier suivi par le GIP Montpellier : Jean-Marc TABOURET Intervenants EI GROUPE: Pascal LAMBERT / Mélanie THEAULT Diffusion : Externe Date : 23 Janvier 2012 Version 1

SOMMAIRE INTRODUCTION Page 1 PARTIE 1 Analyse quantitative >> Répartition des bénéficiaires accueillis par association >> Pyramide des âges >> Provenance >> Accès à l éducation PARTIE 2 Analyse qualitative >> Volet Direction >> Volet Administratif >> Analyse linguistique >> Ancienneté dans le dispositif >> Nombre d intervenants >> Volet Pédagogique : Analyse des pratiques pédagogiques Page 2 à 9 Page 10 à 17 PARTIE 3 Les éléments é de structuration de la plateforme >> Cadre méthodologique >> Pré-cahier des charges d accompagnement : premières pistes Page 18 à 21 CONCLUSION Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 Janvier 2012

INTRODUCTION Situation géographique des associations Le diagnostic des associations du quartier des Cévennes et Petit Bard porte sur les associations implantées depuis de nombreuses années au sein de l arrondissement Nord de la ville de Montpellier. L étude a été menée auprès de quatre associations : ACLE (Association des Cévennes pour l insertion, les Loisirs et l Education) créée en 1994 (Association Vivre Ensemble en Citoyens) fondée en 1999 créée en 1993 SECOURS POPULAIRE fondée en 1945 EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 1

PARTIE 1 Analyse quantitative >> Répartition des bénéficiaires accueillis par association >> Pyramide des âges >> Provenance >> Accès à l éducation >> Analyse linguistique >> Ancienneté dans le dispositif >> Nombre d intervenants EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 2

PARTIE 1 Analyse quantitative Répartition des bénéficiaires accueillis par association: 17% 83% Répartition des bénéficiaires par association Répartition des bénéficiaires par sexe ACLE SECOURS POPULAIRE Bénéficiaires 2011 Hommes Femmes TOTAL % GLOBAL Bénéficiaires ALPHA Bénéficiaires FLE 24 44 68 37 31 20% 35,29% 64,71% 100,00% 55,00% 45,00% 29 100 129 66 63 38% 22,48% 77,52% 100,00% 51,16% 48,84% 4 112 116 116 0 34% 3,45% 96,55% 100,00% 100,00% 0 29 29 29 0 8% 0,00% 100,00% 100,00% 100,00% TOTAL 57 285 342 248 94 Moyenne 17% 83% 73% 27% Commentaires relatifs aux graphiques présentés : Le public accueilli par les structures représente 342 bénéficiaires sur l année 2011 dont 285 femmes (83%). 90% des effectifs sont répartis sur 3 associations (, et ACLE). Les groupes sont principalement constitués de femmes. Depuis la fin de l année 2010, on remarque une tendance à la mixité dans les groupes de bénéficiaires. Pour 3/4 des bénéficiaires, les ateliers suivis sont davantage orientés vers les ateliers dits «d alphabétisation». Répartition des bénéficiaires par type de formation suivie Bénéficiaires ALPHA Bénéficiaires FLE EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 3

PARTIE 1 Analyse quantitative Pyramide des âges : ACLE SECOURS POPULAIRE Moins de 18 ans Age 19-25 ans 26-35 ans 36-45 ans 46-55 ans 56 et plus 1 10 23 20 12 2 1,5% 14,7% 33,8% 29,4% 17,6% 2,9% 1 13 40 33 18 24 0,8% 10,1% 31,0% 25,6% 14,0% 18,6% 0 12 17 25 34 28 0,0% 10,3% 14,7% 21,6% 29,3% 24,1% 0 0 2 8 8 11 0,0% 0,0% 6,9% 27,6% 27,6% 37,9% TOTAL 2 35 82 86 72 65 % 1% 10% 24% 25% 21% 19% Commentaires : La population accueillie par les associations ACLE et est plus jeune avec plus des ¾ âgés de moins de 45 ans. Tandis que pour et le SECOURS POPULAIRE, la population est davantage «sénior». Âges des bénéficiaires par association 50% Commentaires : Pyramide des âges Sur la pyramide des âges cicontre, la tranche d âge du public accueilli est comprise entre 25 et 45 ans pour 50% de l effectif. EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 4

PARTIE 1 Analyse quantitative Provenance : ACLE SECOURS POPULAIRE Maroc Tunisie Algérie Afrique autre Provenance Asie Europe Autres TOTAL 44 1 0 5 2 14 2 64,71% 1,47% 0,00% 7% 3% 20,59% 2,94% 52 2 8 4 13 27 23 40,31% 1,55% 6,20% 3% 10% 20,93% 17,83% 106 0 4 2 0 0 4 91,38% 0,00% 3,45% 2% 0% 0,00% 3,45% 29 0 0 0 0 0 0 100,00% 0,00% 0,00% 0% 0% 0,00% 0,00% TOTAL 231 3 12 11 15 41 29 % 68% 1% 4% 3% 4% 12% 8% 68 129 116 29 342 Provenance des bénéficiaires Commentaires : Avec 68% des effectifs, l origine marocaine est majoritaire dans les publics accompagnés par les associations des quartiers des Cévennes et du Petit Bard. On remarque une plus grande mixité de provenance dans les associations et ACLE avec des publics en provenance d Afrique, d Algérie, de Tunisie, ou encore d Asie. Pour l association, les pays mentionnés comme «Autres» représentent des bénéficiaires d Amérique Latine (Brésil, Mexique) et du Moyen- Orient (Iran, Israël et Syrie). Zoom sur les bénéficiaires en provenance du Maroc Maroc EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 5

PARTIE 1 Analyse quantitative Accès à l éducation: Scolarisation par association Commentaires : Près de la moitié des bénéficiaires au sein des quatre associations n a pas été scolarisée. 62% des bénéficiaires ALPHA n ont reçu aucune scolarisation tandis que 64% des bénéficiaires du FLE ont suivi des études universitaires. Le taux de public non scolarisé est de seulement 23% pour l association et 26% pour ACLE. Il s élève à plus de 86% pour l association SECOURS POPULAIRE. Le taux de public de niveau universitaire est significatif notamment pour et ACLE. Scolarisation de la population globale Scolarisation bénéficiaires ALPHA Scolarisation bénéficiaires FLE ACLE SECOURS POPULAIRE Scolarisation à l'étranger Sans Primaire Secondaire Universitaire 18 12 25 13 26,5% 17,6% 36,8% 19,1% 30 19 30 50 23,3% 14,7% 23,3% 38,8% 80 20 15 1 69,0% 17,2% 12,9% 0,9% 25 4 0 0 86,2% 13,8% 0,0% 0,0% TOTAL 153 55 70 64 % 45% 16% 20% 19% EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 6

PARTIE 1 Analyse quantitative Analyse linguistique : Ensemble des publics Niveaux (estimation) Oral Niveaux (estimation) Ecrit ACLE SECOURS POPULAIRE A1.1 A1 A2 B1 B2 A1.1 A1 A2 B1 B2 10 15 7 30 6 7 19 2 35 5 14,71% 22,06% 10,29% 44,12% 8,82% 10,29% 27,94% 2,94% 51,47% 7,35% 10 13 37 39 30 14 16 42 39 18 7,75% 10,08% 28,68% 30,23% 23,26% 10,85% 12,40% 32,56% 30,23% 13,95% 25 52 17 22 0 50 27 17 22 0 21,55% 44,83% 14,66% 18,97% 0,00% 43,10% 23,28% 14,66% 18,97% 0,00% 27 1 1 0 0 28 0 1 0 0 23,28% 0,86% 0,86% 0,00% 0,00% 24,14% 0,00% 0,86% 0,00% 0,00% TOTAL 72 81 62 91 36 99 62 62 96 23 Moyenne 21% 24% 18% 27% 11% 29% 18% 18% 28% 7% Niveau linguistique public «ALPHA» Niveau linguistique public «FLE» Commentaires : Il est à noter que les dénominations ALPHA et FLE pour les groupes de niveaux correspondent à des usages qui ne sont pas en rapport avec les niveaux effectifs. La question des niveaux de langue des publics est une notion centrale dans la détermination du projet des associations. EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 7

PARTIE 1 Analyse quantitative Ancienneté dans le dispositif : ACLE Ancienneté dans l'accompagnement SECOURS POPULAIRE ACLE SECOURS POPULAIRE Moins de 6 mois 6 à 12 mois 12 à 24 mois 24 à 36 mois Plus de trois ans 6 7 2 49 4 8,8% 10,3% 2,9% 72,1% 5,9% 20 16 21 20 52 15,5% 12,4% 16,3% 15,5% 40,3% 30 18 14 11 43 25,9% 15,5% 12,1% 9,5% 37,1% 2 4 18 5 0 6,9% 13,8% 62,1% 17,2% 0,0% TOTAL 58 45 55 85 99 % 17% 13% 16% 25% 29% Commentaires : NOTA : Ces données sont pour la majorité d entre elles, extraites à partir des documents transmis par les associations. De manière générale, on constate une certaine installation des publics dans l accompagnement, puisque près du tiers des bénéficiaires est accompagnés depuis plus de 3 ans. Des dispositifs attractifs démarrent pour près de 20% des publics accompagnés, ce qui témoigne une attractivité des offres proposées. EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 8

PARTIE 1 Analyse quantitative Nombre d intervenants : Bénéficiaires par associations Commentaires : Le taux d encadrement est donné à titre indicatif, c est un indicateur de capacité de prestations. Il peut être plus finement analysé en fonction des heures de face à face réalisée. Intervenants par associations Synthèse des équipes ASL Responsable de l activité linguistique Bénévole Salarié Taux encadrement TOTAL ACLE 1 3 3 14,3% 42,9% 42,9% 3 20 5 SECOURS POPULAIRE 12,0% 80,0% 20,0% 0 16 0 0,0% 100,0% 0,0% 1 5 1 14,3% 71,4% 14,3% TOTAL 4 32 5 % 10% 78% 12% 11,33 7 5,16 25 8,06 16 4,14 7 8,34 41 EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 9

PARTIE 2 Analyse qualitative >> Volet Direction >> Volet Administratif >> Volet Pédagogique : Analyse des pratiques pédagogiques Conception des actions Evaluation et positionnement des publics Conduite des actions Evaluation des acquis et de la progression logiques de parcours Coordination pédagogique Accompagnement et intégration des publics EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 10

PARTIE 2 Analyse qualitative Le volet direction : Axes d améliorations : Des attentes centrées sur les méthodologies de travail, la mise en commun de moyens (méthodologiques, techniques et humains) et la mise en place d indicateurs. Des projets associatifs centrés sur l ancrage territorial, l enseignement linguistique, l insertion et le lien social en particulier des publics féminins. Des outils et une organisation RH en termes d accueil des intervenants et de structuration organisationnelle. Des éléments jugés perfectibles sur le plan de l encadrement et du suivi des équipes de bénévoles et sur le plan de la coordination pédagogique. Un travail en réseau avec Pôle Emploi et les Missions locales. Des locaux dédiés dans chaque quartier. Des financements hétérogènes, des difficultés de pérennisation. Des ambitions d amélioration continue, de développement de l offre, de professionnalisation et de travail en réseau. Des indicateurs d évaluation du projet à formaliser. Il serait pertinent de définir et d affiner les critères d évaluation des projets associatifs afin de favoriser la mesure de l atteinte des objectifs. D autre part, une telle démarche d objectivation permettra de mieux associer et fédérer les équipes dans le sens du projet de la structure, et d en renforcer la lisibilité par les partenaires institutionnels. Les outils restent à formaliser pour l ensemble des associations. Points forts : Des attentes ciblées et portées par les Directions des associations Une démarche d amélioration des pratiques tant au niveau organisationnel que pédagogique. Des outils de communication et d information vers les publics, disparates et inégalement utilisés. EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 11

PARTIE 2 Analyse qualitative Le volet administratif : Axe d amélioration : L accueil des publics est territorialisé, cependant il s appuie sur des outils disparates en termes de positionnement. Il est également irrégulièrement formalisé et tracé. Outils, moyens et méthodologies à structurer et rationnaliser selon une évaluation des besoins. L orientation du public vers d autres structures en fonction des projets individuels est pratiquée de manière inégale sans réelle procédure. La constitution des groupes s effectue selon une estimation du niveau de langue et se classe en 2 familles (Alpha et FLE) D une façon générale, les associations utilisent peu d outils administratifs et ont un très faible recours à l informatique. Les outils et moyens de communication vers les publics, vers les partenaires (autres structures) et vers les institutionnels sont très faiblement développés. Des difficultés matérielles, organisationnelles et techniques sont multiples et exprimées de façon récurrente. Points forts : Volonté de se remettre en question, Volonté exprimée de mutualiser des moyens et des outils. EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 12

PARTIE 2 Analyse qualitative Le volet pédagogique : Analyse des pratiques pédagogiques Axe d amélioration : CONCEPTION DES ACTIONS La conception des outils pédagogiques et des séquences est le plus souvent laissée à l appréciation du bénévole. Les méthodes pédagogiques basées sur l apprentissage de l écrit et les techniques «scolaires» d apprentissage sont présentes. Les méthodes pédagogiques favorisant l apprentissage de l oral sont mises en œuvre, mais ne sont pas spécifiquement valorisées et souffrent généralement d un déficit d outils et de moyens pédagogiques. 1. Découverte des espaces sociaux Découverte des espaces sociaux : quelques initiatives en termes de pédagogie actionnelle et contextualisée, cependant ces ateliers ne sont pas toujours planifiés à l avance. 2. Outils et supports utilisés Les outils et supports utilisés sont différenciés selon les bénévoles, l utilisation d outils ciblant l apprentissage de l oral (vidéo, enregistrement audio) et la contextualisation (didactisation de documents authentiques) sont peu existants. 3. Rôle de la coordination pédagogique dans la conception La coordination pédagogique n est pas présente dans le cadrage de la conception des actions. Son rôle est plus cantonné dans l organisation logistique, la planification et la structuration des groupes. Un cadrage pédagogique à préciser : la conception des actions de formation et d apprentissage manque d encadrement et de structuration. Une dimension de coordination du volet conception est à faire émerger en lien avec la mise à disposition d outils appropriés. Le périmètre de cette mission est celui de la coordination pédagogique. Des travaux collectifs (inter-structure) pourraient être conduits sur ce volet. Points forts : Bien que les réponses ne soient pas toujours structurées, la prise en compte des besoins d autonomie des publics liés à la maitrise de la langue est effective. EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 13

PARTIE 2 Analyse qualitative Le volet pédagogique : Analyse des pratiques pédagogiques Axe d amélioration : EVALUATION ET POSITIONNEMENT DES PUBLICS L évaluation est pratiquée par toutes les structures. Elle est conduite en entrée de parcours (Evaluation prédictive), en cours de parcours (Evaluation formative) et en fin de parcours (Evaluation sommative). L évaluation en début de parcours repose principalement sur un entretien avec un référent de la structure, elle concerne essentiellement le niveau de langue. Concernant l évaluation en cours de parcours : elle est pratiquée par les bénévoles dans le cadre du suivi des parcours d apprentissage, elle est peu structurée, rarement planifiée à l avance et rarement tracée. L évaluation de fin de parcours est conduite pour mesurer les acquis et, le cas échéant, envisager la progression vers un groupe de niveau supérieur. Cependant, l évolution d un groupe à l autre et les logiques de parcours et de progression des publics au sein des structures demeurent peu lisibles. (cf. page 16 : EVALUATION DES ACQUIS ET DE LA PROGRESSION, LOGIQUES DE PARCOURS) Le CECRL (Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues) est connu et il y est fait référence dans le cadre de l évaluation. Le positionnement des bénéficiaires n est pas très outillé, il s effectue le plus souvent de manière informelle et porte sur le niveau de langue. Le positionnement selon les objectifs recherchés par le bénéficiaire (poursuivre un projet universitaire, être avec des pairs, progresser au travail, accomplir les démarches administratives, accompagner la scolarité des enfants ) est quasiment toujours identifié, bien que pas toujours tracé. Il n est pas pour autant suivi d un parcours d apprentissage adapté précisément aux objectifs d autonomie recherchée : les groupes demeurent constitués selon les niveaux, pas selon des objectifs précis. Les outils de l évaluation : selon les différentes phases et fonctions de l évaluation, celle-ci gagnerait à être instrumentée, structurée à l aide d outils dédiés et tracés. L objet de l évaluation : elle reste centrée sur le niveau de langue et pourrait intégrer une mesure de l autonomie des publics afin de constituer un déterminant de composition de groupes à apprentissage objectivé sur des attendus actionnels. Points forts : Des repères structurants sont présents en termes d identification des phases d évaluation et de maîtrise du CECRL (Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues). EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 14

PARTIE 2 Analyse qualitative Le volet pédagogique (suite) : Analyse des pratiques pédagogiques CONDUITE DES ACTIONS 1. Des formats divers Les groupes sont constitués et planifiés à l année. Le nombre d heures d apprentissage est très variable selon les groupes et les opérateurs : cela varie de 2 heures hebdomadaires à 12 heures. La durée des regroupements est en moyenne de 2h à 3h. Les effectifs des groupes sont variables et fluctuants (ils varient de 5 à 25 personnes). Les groupes sont constitués selon les niveaux de langue. Le fonctionnement et la dynamique des groupes sont impactés par l absentéisme. 2. Construction des progressions pédagogiques Les progressions pédagogiques sont établies pour l année. Le séquençage pédagogique est pratiqué sur des cycles plutôt mensuels ou trimestriels. Selon les structures, des séquences spécifiques liées à la découverte d espaces sociaux particuliers ou ciblant certains aspects de la vie sociale ou familiale sont mises en œuvre. Cependant, ces séquences ne sont généralement pas connues à l avance par les bénéficiaires. 3. Méthodes pédagogiques Selon les groupes et les niveaux, les principales méthodes pédagogiques coexistent. Les bénévoles pratiquent majoritairement des méthodes didactiques expositives pour l apprentissage de l écrit. Des méthodes participatives directives sont mises en œuvre pour encadrer les productions de contenus oraux et écrits par les apprenants. Les méthodes actives, où prédominent la simulation et la pédagogie de la découverte sont mises en œuvre pour forger les apprentissages des pratiques de la langue visant à la maîtrise de l interaction en situation d autonomie. Ces dernières demeurent peu présentes et souffrent d un manque de moyens pédagogiques et techniques. 4. Individualisation L individualisation est pratiquée de façon généralisée en raison des disparités de niveaux et d objectifs d apprentissage. Axe d amélioration : Un travail sur les pratiques pédagogiques favorisant les spécificités de l action pourraient venir renforcer le professionnalisme des bénévoles sur les aspects relatifs : - à l endragogie - à la pédagogie actionnelle et à la structuration de dispositifs de simulation ou de découverte -au renforcement de la maitrise les méthodes d apprentissages de l oral (en particulier des situations d interaction à l oral) Une réflexion sur la structuration des groupes basée sur les objectifs d apprentissage ou sur les besoins d autonomie plutôt que selon les niveaux de langue pourrait permettre de mieux cibler les contenus pédagogiques. Points forts : Coexistence d une pluralité de méthodes pédagogiques : les équipes de bénévoles sont familiarisées avec la mise en œuvre des différentes méthodes pédagogiques. Une professionnalisation en cours : une part importante des équipes a suivi une formation de professionnalisation conduite par le cabinet ECRIMED dans le cadre de sa mission nationale de professionnalisation des formateurs. Les structures ont la volonté de déployer et renforcer cette professionnalisation au cours des prochains mois. EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 15

PARTIE 2 Analyse qualitative Le volet pédagogique (suite) : Analyse des pratiques pédagogiques Axe d amélioration : EVALUATION DES ACQUIS ET DE LA PROGRESSION, LOGIQUES DE PARCOURS La progression des apprenants en termes d acquisition de compétences linguistiques est suivie par les bénévoles en charge des ateliers. Ces progressions se traduisent par la mise en place de parcours internes aux structures qui se caractérisent par des changements de groupes de niveau. Les évolutions et changements de groupe s effectuent sur un rythme annuel. Les ateliers constituent un maillon dans un parcours identifié par les acteurs de l action sociale du territoire. Les associations travaillent en réseaux avec des acteurs en amont et en aval. Des dispositifs de prescriptions d orientation vers les structures existent de la part du Pôle emploi et des MLI. Des prescriptions en aval des parcours d apprentissage au sein des ASL (Ateliers Sociolinguistique) émergent. Les objectifs d apprentissage sont plutôt centrés sur les aspects linguistiques (maîtrise de la langue écrite)i il sont très rarement exprimés en termes de progression dans l autonomie. L individualisation est très peu pratiquée par manque d outils et de coordination. Cependant, le suivi de la progression des apprenants manque de structure et d outils ce qui la rend peu lisible à l interne comme à l externe. Des attestation de suivi sont remises sur demande, aucune certification de compétences ou diplôme de langue n est délivré par les associations. Un nécessaire outillage du suivi de l évaluation, de la progression des apprenants et la généralisation (normalisation) des pratiques d évaluation (atteinte des objectifs d apprentissage) serait bénéfique à une meilleure mesure de l efficience des dispositifs déployés par les associations et en offrirait une meilleure lisibilité interne et externe. Le renforcement des logiques de parcours basé sur l accompagnement et l orientation vers d autres acteurs est à développer. Points forts : Le travail en réseau est émergent. La lisibilité des associations par les acteurs institutionnels est effective et peut donc être renforcée. EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 16

PARTIE 2 Analyse qualitative Le volet pédagogique (suite) : Analyse des pratiques pédagogiques Axe d amélioration : COORDINATION PEDAGOGIQUE La coordination pédagogique n est pas généralisée et lorsqu elle est pratiquée, est rendue difficile à gérer par les horaires disparates des intervenants bénévoles. Centrée sur le calibrage des moyens matériels (disponibilités de salles ) et la gestion des plannings (planification des bénévoles, gestion des indisponibilités des remplacements ), elle visite peu les aspects pédagogiques et l ingénierie des dispositifs. Les réunions de bénévoles et les temps d échange et de régulation des pratiques sont peu présents. La coordination pédagogique est d une manière générale limitée par les moyens des structures. Le financement de temps de coordination, des moyens techniques et matériels nécessaires à sa mise en œuvre est un frein majeur. Au delà du frein matériel, se pose le problème de l inscription des pratiques pédagogiques des bénévoles dans une dynamique de coordination. La mission d intervenant bénévole est souvent mise en œuvre «par plaisir», aussi la coordination pédagogique doit elle être instaurée sans pour autant être stigmatisante en termes de contraintes. La structuration de la coordination pédagogique est un point prégnant de la professionnalisation des structures. D une façon générale, la coordination pédagogique est un puissant levier d efficience et de bon fonctionnement des structures. Elle permet d améliorer les pratiques et la qualité des apprentissages en favorisant l échange et la dynamique d amélioration. Elle constitue un fort levier de mobilisation et professionnalisation des bénévoles. Points forts : Existence d une coordination pédagogique et volonté de la renforcer et de la déployer. Les réunions pédagogiques sont pratiquées de manière aléatoire, elles sont également contraintes par les plannings de disponibilité des intervenants. EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 17

PARTIE 3 Les éléments de structuration de la plateforme >> Cadre méthodologique >> Pré-cahier des charges d accompagnement : premières pistes EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 18

PARTIE 3 La Plateforme Cadre méthodologique METHODOLOGI ETHODOLOGIE EN AMONT : UN DIAGNOSTIC DES PRATIQUES Un travail d entretiens avec les acteurs (direction, encadrement, intervenants) a permis de construire une représentation fidèle des éléments caractéristiques descriptifs des structures, de leur fonctionnement administratif et organisationnel et de leurs pratiques professionnelles. Un travail concomitant de collecte documentaire a été conduit afin d asseoir l analyse sur des éléments concrets et opérationnels. METHODOLOGIE DE PRODUCTION DU DIAGNOSTIC : UNE APPROCHE PARTAGEE Un travail collégial sous forme de «réunions techniques» a été mené avec les quatre associations et le GIP. La centralisation et la collecte des données ont abouti à l élaboration d un diagnostic qualitatif et quantitatif, présenté et validé par les associations. RECUEIL DES PRATIQUES A DEVELOPPER DANS LE CADRE D UNE PLATEFORME COMMUNE L analyse concertée des pratiques a permis de poser les premières pistes en termes de besoin en accompagnement qui sont livrées ci-après. Pré-cahier des charges d accompagnement : premières pistes ACCUEIL ET CONNAISSANCE DES PUBLICS Les outils liés à l accueil (dossier d accueil et éléments connexes) des bénéficiaires sont à développer dans une logique de valorisation de parcours. Ces documents sont également à utiliser pour bénéficier d une meilleure connaissance des publics à des fins internes (identification plus fine des besoins, meilleur accompagnement, individualisation des apprentissages) et externes (traitement statistique, mise en lisibilité de l action auprès des partenaires et des institutionnels). EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 19

PARTIE 3 La Plateforme STRUCTURATION DES GROUPES Une analyse est à mener collégialement dans la perspective d élaborer des groupes structurés non pas uniquement sur le niveau de langue mais en fonction des objectifs d autonomie visés par les apprenants. Ceci alimentera une réflexion autour des objectifs d apprentissage et de la construction des progressions d apprentissage. PROFESSIONNALISATION DES INTERVENANTS Une formation des bénévoles va être déployée courant Février ou Mars 2012. Le Cabinet ECRIMED a été sollicité dans le cadre de sa mission nationale de formation des acteurs. Il a établi une proposition de deux journées de formation intitulée «Développement de la compétence de communication en français sur la base du cadre de référence pour les langues». Le contenu de la formation s articule autour de l analyse et l échange de pratiques, la progression des apprenants, la structuration d une unité didactique et la fixation des objectifs pédagogiques, actionnels et langagiers. METHODES PEDAGOGIQUES ET INDIVIDUALISATION Une réflexion autour de la structuration d atelier mettant en œuvre des méthodes pédagogiques actionnelles est à conduire. La création d une banque de situations (environ vingt situations) est envisagée. Elle ciblerait les principales situations de contexte de la vie courante (gestion administrative, accès aux soins, accès au droit, relation à l école ) Un travail relatif à la mise en place des outils permettant la mise en œuvre de l individualisation est également jugé opportun. SUPPORTS PEDAGOGIQUES Une volonté de multiplier la variété des supports permettant une meilleure didactisation des apprentissages de l oral (support vidéo, audio, outils pédagogiques dédiés ) et leur contextualisation est exprimée. Cette orientation sous-tend la recherche des outils existants en sollicitant les centres ressources (CEREGARD et ASMOUNE) et la mise en place matérielle, technique et pédagogique de ces outils, notamment l accompagnement des équipes d intervenants. EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 20

PARTIE 3 La Plateforme EVALU VALUATION ATION DES ACQUIS Un accompagnement à la mise en place d outils d évaluation des acquis est jugé utile dans le but de mieux structurer les logiques de parcours et d offrir à l interne et à l externe une meilleure lisibilité de l action. COORDINATION PEDAGOGIQUE La structuration méthodologique et opérationnelle de la coordination pédagogique est une nécessité. Dans une logique de structuration territoriale, d homogénéité des pratiques et d économie d échelle, une mutualisation inter-associations d un certain nombre de volets de la coordination peut être envisagée. LOGIQUE DE PARCOURS Une meilleure lisibilité de l offre, voire sa structuration, accompagnée d une mise en lisibilité de celle-ci par les acteurs et partenaires institutionnels locaux est un axe fort du besoin en accompagnement. COMMUNICATION INTERNE ET EXTERNE L élaboration d une politique de communication permettant l identification de l offre «ASL» par les acteurs de la prescription tout comme l identification par les acteurs de l insertion socioprofessionnelle des publics accompagnés est également perçue comme un enjeu important. EI Groupe Diagnostic accompagnement ASL Mise à jour 23 janvier 2012 Page 21