Lettre d information aux éleveurs des Bouches-du-Rhône N 56 Mai 2013 P 2 Edito par Rémy Benson P 3 > 5 Actualités Procédure - Loup // Retour sur la foire du 13 avril // Nouveau contact pour la FDO 13 P 6 > 8 Elevage des chevrettes P 9 Prix de l agneau : la pression continue P 10 Besnoitiose bovine : à surveiller! P 11 Annonces P 12 Agenda LA CHAMBRE D AGRICULTURE PARTENAIRE DE VOS PROJETS
2 Chers Eleveurs, Après une Assemblée Générale de la FDO 13 réussie, et pouvant faire encore mieux l année prochaine, notre syndicat s est quelque peu réorganisé avec une équipe toujours plus motivée. Pour ma part, ayant de nouvelles responsabilités au sein de la Chambre d Agriculture des Bouches-du-Rhône, je souhaite lier davantage nos deux instances pour relever nouveaux challenges pour l élevage, comme par exemple l installation et bien sûr la préoccupation des cédants mais aussi l aide à l acquisition de foncier pour les éleveurs. Les enjeux sont nombreux et de taille pour l élevage qui dans le contexte actuel arrive dans un tournant décisif. Ensemble faisons donc avancer notre filière. Professionnellement, Rémy Benson Co-Président de la Fédération Départementale Ovine 13 Syndicat des éleveurs de Mérinos d Arles
Procédure dans le département des Bouches-du-Rhône de déclaration d'attaque et de dommages causés par le loup aux troupeaux - Communiqué de la DDTM 13 En cas d attaque présumée d un troupeau par un prédateur, un constat doit être établi par des agents de l ONCFS dans un délai maximum de 72 heures, à compter de la date supposée de l agression. L éleveur doit déclarer l attaque auprès de la DDTM. A cet effet, deux numéros de téléphone sont mis en place : pour les heures ouvrables, contacter le secrétariat du Service Environnement de la DDTM au 04 91 28 40 20. En cas de non réponse, ne pas laisser de message mais joindre la permanence au 06 15 46 28 13 pour les heures non ouvrables, contacter le cadre de permanence de la DDTM au 06 15 46 28 13 ou laisser un message avec vos coordonnées. La DDTM se chargera de transmettre la déclaration auprès des agents habilités à faire les constatations. Un délai légal de 48 heures est fixé entre la déclaration de l'éleveur et la réalisation du constat. Mesures de protection : les zones d éligibilité aux mesures de protection ont été étendues aux communes suivantes : Cercle 1 : Jouques, Puyloubier, Vauvenargues. Cerle 2 : Beaurecueil, Châteauneuf-Le-Rouge, Meyrargues, Peyrolles, Rousset, Saint-Augustin-sur-Bayon, Saint-Marc-Jaumegarde, Saint-Paul-lès-Durance, Trets. Les éleveurs qui pâturent dans ces communes sont éligibles aux mesures de protection (achat et entretien de chiens de protection, achat de clôtures ). Des aides aux investissements collectifs peuvent également être octroyées. Contact à la DDTM : Michèle Dheilly au 04 91 28 40 06 michele.dheilly@bouches-du-rhone.gouv.fr 3
Retour sur la foire du 13 avril Le 13 avril dernier, la FDO 13 organisait la première réédition de la foire d Arles. Cette foire, se déroulait traditionnellement en mai et n avait plus eu lieu depuis plus de 25 ans. Fort de ce constat le syndicat, historiquement lié à la commune d Arles décide en 2012 de travailler à la relance d un évènement ovin qui rapprocherait à la fois professionnels et grand public. Pari réussi! L inauguration de la foire a eu lieu le 12 avril en présence de M. Schiavetti, Maire d Arles et de M. Le sous-préfet. Cela a été l occasion de présenter le programme de la journée du lendemain mais aussi de rappeler au Sous-préfet quelques dossiers syndicaux pour lesquels la FDO souhaitait de réelles avancées dès 2013. Ce dernier a donc annoncé qu il recevrait les responsables professionnels très prochainement. C est ensuite sous le beau temps revenu que la foire s est annoncée dès 6h du matin pour les exposants et les éleveurs. Plus de 500 animaux à la vente étaient présents toute la journée : béliers, agnelles, agneaux mais aussi ânes. 4
Côté exposants, tous ont répondu présent permettant aux nombreux visiteurs d approcher de plus près le métier de l élevage. Côté animations, la démonstration de tonte, de chien de troupeau et la dégustation d agneau ont rencontré un vif succès. Au niveau des stands, notons que le tissage de la laine et la malle pédagogique de la transhumance ont séduit les plus jeunes comme les grands. Pour les professionnels, outre le matériel agricole et les fournitures d élevage, la coopérative Prov alp a proposé une démonstration d échographies sur brebis. M. Laurent Cabiron quant à lui nous a présenté ses plus belles sonnailles. De nombreux partenaires étaient également présents (Maison de la Transhumance, Chambre d Agriculture, Bergers du Soleil, ) et ont permis le succès de cette journée. Les visiteurs présents ont pu se restaurer sur le stand des Jeunes Agriculteurs qui proposaient des grillades de viande d agneau. Cette foire, a donc regroupé à la fois les éleveurs autour de la vente d animaux et du matériel professionnel mais aussi le grand public autour des produits et du métier de l élevage. La FDO souhaite remercier tous ceux qui ont participé à l organisation de cette foire et qui ont contribué à rendre cette journée vivante. Nous vous donnons donc rendez-vous l année prochaine en espérant que cette foire mobilisera encore plus d éleveurs. Nouveau contact pour la FDO 13 Depuis le mois de juin 2012 l animatrice de la FDO 13 est joignable sur les n de téléphone suivants : à St Martin de Crau (coopérative Prov alp) au 04 90 47 99 54 à Salon de Provence au 04 90 17 06 68 et un nouveau numéro de portable au 06 71 76 31 92 5
Caprins Elevage des chevrettes Du sevrage à la saillie Entre le sevrage et l âge de 4 mois, la croissance doit rester élevée, de l ordre de 150g/j. Elle diminue ensuite pour atteindre environ 110g/j jusqu à la mise à la reproduction. Les besoins au niveau énergétique, protéique et minéral sont les suivants : Âge (mois) Poids (kg) Gain de poids (g/j) UFL PDI (g/j) Ca (g/j) P (g/j) Capacité d ingestion (kg MS/j) 2 11,5 165 0,48 65 2,3 1,4 < 0,90 4 20,7 140 0,62 62 2,2 2,5 1,04 7 30,0 70 0,69 50 1,7 2,3 1,19 Après le sevrage, la nature des rations et le niveau d ingestation des aliments sont déterminants pour bien préparer la chevrette à sa carrière future. Les habitudes alimentaires se prennent dans les premiers mois de la vie de l animal. L objectif de l alimentation à cette période est de se rapprocher du type de ration distribué aux chèvres laitières. On cherche à développer le rumen au maximum, de sorte que, durant la première lactation, la capacité d ingestion soit élevée, ce qui permet de couvrir plus facilement les besoins des animaux, sans avoir recours à des quantités importantes de concentrés. La ration de base est constituée de foin de qualité. Elle est donnée à volonté et complétée par un apport de 300 à 400 g de concentrés (mélange de céréales, aliment complet, ). Cette ration est distribuée en deux repas par jour. L éleveur doit veiller à enlever les refus et à garder les auges propres afin d améliorer le confort des animaux. Il est également possible de distribuer du foin de légumineuses. Dans ce cas, la complémentation en concentrés est à base de céréales. La quantité de matière sèche ingérée augmente du sevrage à la saillie en fonction de l âge et du poids de la chevrette, de 0.9 kg de MS à trois mois à 1.2 kg de MS à sept mois. Il faut donc prévoir une distribution de foin de 1.3 kg à 1.5 kg par jour. La capacité d ingestion étant limitée, la quantité de concentrés doit être restreinte, afin de développer le rumen. Les jeunes chevrettes peuvent être mises à pâturer dès 4 mois. Il est préférable de leur réserver une parcelle et d éviter de les mélanger au troupeau adulte, principalement pour des raisons de maîtrise du parasitisme. Cela n est pas obligatoire dans le cas d une utilisation de parcours où le risque d infestation parasitaire est beaucoup plus faible. 6
L objectif premier est l apprentissage de la pâture (découverte des variations des conditions climatiques, des clôtures électriques, l apprentissage de la clôture électrique doit se faire dès la première sortie. Elle doit donc être bien électrifiée. Dans le cas de l utilisation de prairies de graminées ou naturelles, il faut compter environ 2 semaines avant d observer une ingestion significative. Dans le cas de prairies de légumineuses, il faut compter au moins 1 mois. Dans tous les cas, une distribution journalière de fourrage à l auge est nécessaire. Elle permet de s assurer que les objectifs d ingestion sont atteints et que la croissance des chevrettes est assurée. Si les conditions, d un bon pâturage ne sont pas réunies, il est préférable de sortir les chevrettes plus tard, vers 8 ou 10 mois, ou lors de la première lactation. La priorité est d obtenir une croissance optimale et un poids suffisant à la saillie. Lors des distributions de fourrage en complément de pâturage, un ajustement journalier est nécessaire. Il est effectué en tenant compte du taux de refus et du temps de présence dans les parcelles. A titre d exemple, pour une durée de pâturage de 4 heures / j, la quantité de foin à distribuer diminue progressivement de 1.4kg à 0.7kg, voire 0.4kg quand les conditions sont favorables (herbe de bonne qualité, conditions climatiques clémentes).
Elevage des chevrettes (suite) La mise à la reproduction Dès lors qu une chevrette atteint le poids minimum de 30kg, elle peut être mise à la saillie. Sinon, il faut attendre quelques semaines supplémentaires. Cet objectif est en général atteint à l âge de 7 à 8 mois. En respectant les recommandations, les chevrettes ont un poids moyen supérieur à 34kg, aujourd hui considéré comme le poids idéal. Des animaux ayant un poids élevé à cette étape avec une bonne capacité d ingestion exprimeront plus facilement leur potentiel génétique dès leur première lactation. Si la croissance optimale n a pas été obtenue lors de la phase lactée et autour du sevrage, l animal vieillit et la croissance à tendance à ralentir. Il devient alors plus difficile d obtenir le poids souhaité, ce qui remet en cause la possibilité de mettre l animal à la reproduction dès la première année. La reproduction est réalisée soit en monte libre soit par insémination artificielle (en général moins pratiquée lors de la première année). Dans le cas d une saillie naturelle, un bouc du même âge est utilisé pour une raison de poids. Il n est pas souhaitable que le mâle utilisé pèse 2 à 3 fois plus que la chevrette. Il faut prévoir 1 bouc pour 20 chevrettes et il est toujours préférable d avoir un bouc de secours, au cas où le bouc retenu soit finalement défaillant. Lors de l élevage des jeunes, il est impératif de séparer les mâles des chevrettes le plus tôt possible (dans les semaines qui suivent le sevrage) afin d éviter des saillies précoces. Les mâles produisent des semences fertiles à partir de 5 mois et les chevrettes sont pubères à partir de 6 mois. La préparation des boucs démarre deux mois avant les premières saillies. Les apports alimentaires doivent être augmentés à raison de 100 à 200g de concentrés supplémentaires par rapport aux lots des femelles, sachant que pendant la période des saillies, les boucs s alimentent mal et vont puiser largement dans leurs réserves. Pour les mâles comme pour les femelles, un apport vitaminique (AD3E) est fortement conseillé, en particulier dans les rations à base de foin et de céréales. Extrait de l ouvrage collectif de l institut de l élevage : L élevage des chèvres 8
Prix de l agneau : la pression continue Le week-end du 23 mars, les éleveurs ovins français se mobilisaient pour défendre et promouvoir l agneau français dans les grandes surfaces. Plusieurs villes françaises ont joué le jeu : Toulouse, Poitiers, Lyon, Valence, Rouen, Montargis, Dijon. Chez nous c est à Plan de Campagne qu une vingtaine d éleveurs se sont retrouvés à Géant Casino, au Leclerc et à Carnivor. Des échanges parfois vigoureux, toujours intéressants, ont eu lieu avec les responsables de magasins et de rayons. Les consommateurs se sont montrés très sensibles aux arguments des éleveurs, parfois surpris d'apprendre l'origine et les caractéristiques de la viande qu'ils étaient sur le point d'acheter, souvent inquiets Mobilisation suite aux derniers scandales autour de la viande, toujours demandeurs de plus d'informations sur les produits en rayons. Aujourd'hui, les responsables professionnels restent vigilants et vont poursuivre la surveillance des pratiques des GMS pour ne pas les laisser écouler leurs stocks d'agneaux néo-zélandais en cassant encore les prix. Les opérations d'information, dans l'intérêt des consommateurs, vont donc se poursuivre dans les semaines à venir, pour que l'agneau français identifié et de qualité ne subisse pas la concurrence déloyale de l'import. Face à cette demande des éleveurs et des consommateurs, les pouvoirs publics doivent prendre les mesures qui s'imposent et nous permettre d'apposer immédiatement sur nos agneaux la mention VOF (Viande Ovine Française). 9
Bovins La Besnoitiose, maladie parasitaire à transmission vectorielle touchant exclusivement les bovins est apparue en région PACA au début des années 2000 où elle est rapidement devenue un problème sanitaire majeur. La multiplication des foyers à l échelle nationale et européenne en fait aujourd hui un sujet de premier plan. Besnoitiose bovine : à surveiller! Qu est-ce que la Besnoitiose? Cette maladie est due à Besnoitia besnoiti, parasite proche de ceux responsables de la Toxoplasmose et de la Néosporose. Bien que son cycle complet soit complexe et face intervenir plusieurs espèces, la diffusion de la maladie entre bovins semble exclusivement due au transport mécanique du parasite par les insectes piqueurs (taons et stomoxes en particulier). Une fois introduits dans l organisme, les parasites se multiplient dans les cellules constituant les vaisseaux sanguins et colonisent peu à peu une grande partie des organes du bovin. Si la majorité des animaux infestés ne développent pas de signes cliniques, ils sont porteurs de parasites et donc source de contamination pour le reste du troupeau. Après une période d incubation de 6 à 10 jours les animaux plus sensibles vont développer des signes cliniques en 3 phases, leurs intensités et leurs durées sont très variables d un individu à l autre ; certaines pouvant même passer inaperçues. Les cas les plus graves peuvent entrainer la mort de l animal ou nécessiter son euthanasie. Il n existe pas de traitement permettant de guérir de la Besnoitiose, l administration de sulfamides à dose élevée sous contrôle vétérinaire permet si elle est réalisée de façon précoce de ralentir l évolution de la maladie afin de préparer l animal pour un abattage dans les mois qui suivent. Afin de limiter les pertes économiques liées à la mortalité il est donc important de diagnostiquer la maladie au plus tôt, c'est-à-dire lors de la phase fébrile. Attention, si l apparition des signes cliniques présente une saisonnalité liée à la dynamique des populations de vecteurs (recrudescence des cas en été et automne), l expérience montre que des cas peuvent survenir toute l année. En cas de doute sur votre cheptel, contactez votre vétérinaire sanitaire et le GDS pour demander un diagnostic de vos animaux. 10
AVRIL-MAI Offres d emploi berger avec chien + véhicule expérience 14 ans cherche emploi Eric Lafon 06 42 52 92 72 berger avec chien et véhicule cherche emploi à partir de juin, 10 ans d expérience Mathieu Erny 06 30 86 35 41 berger avec 4x4 cherche emploi Jean-Paul 06 28 39 64 15 berger cherche garde de printemps, 2 chiens + 4x4 Walker 06 81 36 78 37 berger avec 2 chiens cherche emploi 06 47 68 55 27 couple de bergers cherche estive 3 ans d expérience Mr Denys 06 33 37 46 08 cherche emploi d aide berger, véhicule, disponible à partir de juillet Barbara 06 70 42 98 08 cherche emploi en élevage caprin ou ovin. Disponible de suite Bach laetitia 06 11 56 64 15 Recherches cherche à placer 450 brebis Christophe Dossetto 06 72 71 32 68 cherche à placer en estive env.25 brebis Guillaume 06 82 65 25 13 Chiens place chiot mâle berger d Anatolie 2 mois 06 23 58 01 72 vends berger allemand dressé et pucé 06 50 18 73 06 cherche femelle beauceron pour travail sur chèvres Gérard Lambert 04 94 49 58 38 vends chiots "berger des Pyrénées" non vaccinés (1 marron, 1 noir) 100 Baculard Pierre 04 13 39 09 05 / 06 70 30 39 14 Pour déposer vos annonces, contactez le : 04 42 23 86 46 11
56 Treizelevagemai13_BAT 24/04/13 08:32 Page12 Agenda Les 04 et 05 mai 2013 : Fête des bergères et de la Transhumance d'eyguières Exposition, projection et conférence par la Maison de la Transhumance. Défilé du troupeau de brebis le dimanche. Renseignements : OT d'eyguières : 04 90 59 82 44 Les 11 et 12 mai 2013 : Du 17 au 20 mai : 30e fête de la transhumance de St Rémy de Provence Fête du printemps de Saint-Martin-de-Crau La Fête du Printemps commémore le départ en transhumance des troupeaux cravens vers les Alpes. Le traditionnel défilé du troupeau de 3000 brebis est mené uniquement par les bergères et éleveuses des alentours. Renseignements : 04 90 47 98 40 Les 17 et 18 mai 2013 : Fête de la Crau de Fos-sur-Mer La fête de la Crau, c'est plus de 250 intervenants, une foire artisanale et antiquaires brocanteurs, et de nombreuses animations. Le défilé du troupeau de 1000 brebis de M. Tavan est toujours un succès. Renseignements : OT 04 42 47 71 96 Chambre d'agriculture Maison des Agriculteurs 22, Av. Henri Pontier 13626 Aix-en-Provence Bovin 13 // Syndicat Caprin // FDO Avenue de Céret 13310 St-Martin-de-Crau Le 17 mai : 21h salle de Congrès Alplium table ronde sur la transhumance Le 18 mai 18h30 - Ciné Palace : projection du film Hiver Nomade - transhumance hivernale au cœur de la Suisse suivie d un débat. Le 19 mai de 18h à 20h salle Henri Rolland : présentation des réalisations du programme la Routo - produits et métiers de la transhumance : malle pédagogique, film, outils du berger Le 20 mai : Défilé du troupeau de 3500 brebis à 11h sur le tour de ville. Exposition des affiches des 30 dernières années de la fête. Concours de peinture sur le thème du mouton et de la transhumance organisé par la Maison de la Transhumance et ouvert à tous. Renseignements : 04 90 17 06 68 04 42 23 06 11 04 42 63 16 98 04 42 23 86 35 04 26 03 12 83 04 42 23 86 45 04 26 03 12 83 04 90 47 99 54 04 90 47 99 59 accueil@bouches-du-rhone.chambagri.fr www.agri13.fr s.attias@bouches-du-rhone.chambagri.fr www.bovin13.com c.vanderstein@bouches-du-rhone.chambagri.fr elodie.fdo13@yahoo.fr Pour recevoir la lettre, vous devez adhérer à l une des trois structures (FDO 13, BOVIN 13 ou le Syndicat Caprin) ou souscrire à un abonnement pour les personnes hors département ou non professionnelles. Pour tous renseignements : 04 42 23 86 46 Co-directeurs de publication : Claude ROSSIGNOL, Rémy BENSON, Luc FALCOT, Marie Pierre CALLET, Elodie PORRACCHIA. Structures : Chambre d'agriculture des Bouches-du-Rhône, Syndicat Caprin des Bouches du Rhône, Fédération Départementale Ovine 13, Association BOVIN 13. Rédacteurs : Fanny SAUGUET, Cyril VANDERSTEIN, Elodie CHAUVET, Sébastien ATTIAS. Photos : Syndicat caprin, Maison de la Transhumance, BOVIN 13, H. Hôte / Agence Caméléon, Fotolia, Laure Eon, CORAM - F. Berthet. Conception graphique et impression : Studio B - www.studiob-design.fr - 04 90 96 39 04. Tirage : 600 ex.