Un nouveau guide pour faciliter l accès aux services de santé et aux services sociaux

Documents pareils
APRHQ Rapport annuel de la présidence Année Montréal, Québec 19 octobre 2011

Planification stratégique

Centre Hospitalier Restigouche 63, promenade Gallant Campbellton (Nouveau-Brunswick)

Mme Françoise Charbonneau, commissaire, est absente.

Contact Personnel. Personal Contact. Chers partenaires,

Compétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire

Assemblée publique annuelle novembre 2011 Trois-Rivières, QC. allocutions de

Fiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles

Modèle de curriculum vitae thématique. Pierre Dupont 3700 rue Berri Montréal (Québec)

Nos clients une réussite!

ÉTUDE DE CAS L heure des choix a sonné pour les Résidences Enharmonie de l Office municipal d habitation de Montréal (OMHM)

Syndicat des interprètes professionnels (CSQ)

COUP DE POUCE POUR L ENVIRONNEMENT

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire -

Bureau d assurance voyage inc.

Programme Transit. Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle

Adopté à l unanimité des conseillers

École Le Petit Prince

Une pandémie d influenza...

SOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL

Information, réseautage et concertation. Services administratifs

Une galaxie près de chacun de nous

Un guichet unique auquel confier l ensemble de vos communications

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?

Activités de développement professionnel Groupes de discussion Colloques et rendez-vous Webinaires Le Cercle

PLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES

Guide sur les VALEURS. Angélike et Delphine

Politique de déplacement des bénéficiaires La présente politique inclut entre autres les deux documents suivants :

AU VOLANT DE MA SANTÉ

COMPTE-RENDU DE LA CONSULTATION PUBLIQUE ARRONDISSEMENT DE BROMPTON RÉVISION DU SCHÉMA DE COUVERTURE DE RISQUES EN SÉCURITÉ INCENDIE

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé

N.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4

Génération 2.0. Félicitations! Journée des professionnelles

L expérience patient : lorsque le rationnel rencontre l émotion Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska

COLLABORATEURS CLINIQUES

PROCÈS-VERBAL DE LA RÉUNION DU CONSEIL D ADMINISTRATION STADE OLYMPIQUE - SALLE HOCHELAGA MERCREDI 14 MAI 2014 À 15 HEURES

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES

PROJET DE LOI 10 : LES IMPACTS POSSIBLES SUR VOTRE SITUATION PROFESSIONNELLE

UN SERVICE À VOTRE IMAGE

Vos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents?

Devenir un gestionnaire de personnes

INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

ÉCOLE-DES-COEURS-VAILLANTS CONSEIL D ÉTABLISSEMENT Mardi, le 18 novembre 2014 École Cœur-Vaillant

COMMISSAIRES-PARENTS

Le premier Coup de Gueule de la saison A la recherche des équipements du volleyeur marquettois.

Qu est-ce qu un programme de dons?

DEVIS D ÉVALUATION. Efficacité du système d assurance qualité du Collège Shawinigan. Automne 2013

FINANCEMENT DIRECT RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX

Madame Nathalie Ouellet, OMA, directrice générale et Madame Rita Parent, OMA, greffière assistent également à cette assemblée.

7h00 à 18h $ Pour tous. Maximum de 5 heures de garde 7.00$

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en

PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien

Une école adaptée à tous ses élèves

DEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT

Chez soi avant tout : De l hôpital à la maison

Allocution de Mme Françoise Bertrand Présidente directrice générale Fédération des chambres de commerce du Québec

Province de Québec Municipalité de Saint-Philippe. Sont absents Monsieur Gaétan Brosseau, maire Monsieur le conseiller Benoit Bissonnette

Au nom de toute la grande équipe de l école des Cœurs-Vaillants, nous vous souhaitons une bonne année scolaire

Info Sein BULLETIN. Bulletin numéro 8 Avril Contenu. Les 15 ans du PQDCS :

PROCÈS-VERBAL DE LA RÉUNION DU CONSEIL D ÉCOLE DU 11 JANVIER, 2011

Des solutions efficaces, économiques, écologiques. Les professionnels de la mobilité durable

Ministère de la Santé et des Services sociaux

«Intervention face aux comportements agressifs» PHOTO

MÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE

B U L L E T I N D I N F O R M A T I O N

Projet de loi n o 20

Si vous avez des questions, n hésitez pas à communiquer avec nous au ou à explore@upei.ca.

Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement

il n y a pas d avertisseur de fumée sans feu Les avertisseurs de fumée sont-ils vraiment efficaces? «Oui : ils diminuent

Rapport du vice-président responsable de la prévention, de la réparation, du régime de retraite et des assurances pour l année 2014.

UNE EXPÉRIENCE INOUBLIABLE!

Une vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref...

Le contrôle de la qualité des services

INSPECTION PROFESSIONNELLE

PROCÈS-VERBAL DU 10 AVRIL 2015 SÉANCE ORDINAIRE

Étude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile

La politique marseillaise en faveur des Seniors

Guide pour la poursuite des études

L expérience-employé et l expérience-client : Un tandem indissociable au service de la performance organisationnelle

Préparation d un Plan de mesures d urgence

REPUBLIQUE FRANÇAISE. REGLEMENT DES SERVICES PERISCOLAIRES 2013/2014 (RESTAURANT SCOLAIRE et GARDERIE et CENTRE D ANIMATION)

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à :

Monsieur le président, mesdames et messieurs les commissaires, bonjour.

La situation financière des Canadiens

PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation

Cadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7

Quand arrive la retraite

Planification des soins de longue durée Lorsqu il n est plus possible de recevoir des soins à domicile

RAPPORT ADMINISTRATIF 2014

DÉCOUVREZ NOS SERVICES!

PRÉSENCES : Marcellin Hudon, Jocelyne Rouleau et François Vermette,

Commentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel

Le Complément. Le nouveau journal des complémentaires. Dossiers. Novembre Année scolaire Pour un développement global des jeunes

LE COMPLICE BULLETIN DE LIAISON L AUTRE AVENUE, ORGANISME DE JUSTICE ALTERNATIVE. Johanne Gagnon pour l équipe de L Autre Avenue.

Le traitement des questions économiques dans les médias. Le point de vue de Marie-Agnès Thellier, MBA Directrice Affaires Le Journal de Montréal

Quels sont, pour le soignant, les enjeux soulevés lorsqu il donne un soin à un allophone? Enjeu de communication

PRÉPARER LA RELÈVE DANS LE MONDE DE L ÉVALUATION: LE CONCOURS DE SIMULATION DU POINT DE VUE DES COMMANDITAIRES

Transcription:

Février An n é e 2008, n o 2 À lire : Dîners-conférences : la gestion du stress au travail, page 3 De saines habitudes de vie chaque jour, c est la santé! page 3 Premier bilan positif pour le service de gestion de cas, pages 4-5 Groupe de ressourcement aux familles et aux proches du résident ou d une personne en perte d autonomie, page 5 Info Fondation, page 7 Vaccination antigrippale : à vous la parole! page 8 Et plus encore! Un nouveau guide pour faciliter l accès aux services de santé et aux services sociaux Vous avez fort probablement déjà reçu par la poste la pratique brochure Accès-santé : votre porte d entrée aux services. En effet, 42 660 exemplaires ont été récemment distribués dans la MRC de Drummond. À l intérieur de ce nouveau guide, on retrouve les numéros de téléphone à composer pour obtenir les services suivants : médicaux, infirmiers, de soutien à domicile, de santé mentale, des droits des usagers et des plaintes, etc. Les informations sont également réparties selon diverses clientèles : enfants, jeunes, parents, familles, aînés, personnes ayant des déficiences ou des dépendances, et personnes en situation de crise. Cet outil de communication est le fruit du travail conjoint de l Agence de santé et de services sociaux de la Mauricie et du Centre-du-Québec, des huit centres de santé et de services sociaux (CSSS) et des établissements à vocation régionale. L objectif de ce guide est de faciliter les démarches des citoyens qui souhaitent accéder à un service lorsque survient un problème de santé. Agissant comme porte d entrée aux services, tous les CSSS accueillent avec satisfaction l arrivée de cette brochure qui s avérera très utile pour orienter la clientèle au bon endroit. Des copies additionnelles du guide sont disponibles dans chacune des installations du CSSS Drummond. Une version électronique est aussi accessible sur notre site internet au www.csssdrummond.qc.ca ou sur celui de l Agence au www.agencesss04.gouv.qc.ca. L Opération Tonnerre en textes et en photos, page 6 Février 2008 1

Arrivée et départ Nomination de M. Alex Adam-Smith La Direction générale annonce la nomination de M. Alex Adam-Smith au poste de chef de service hygiène et salubrité et déchets biomédicaux. Cette nomination fait suite à la démission de M. Luc Parenteau qui occupait cette fonction de façon intérimaire Le Club des 25 ans du CSSS Drummond recherche un représentant du CLSC Drummond Le Club des 25 ans du CSSS Drummond est à la recherche d un employé oeuvrant à l installation «CLSC Drummond» pour siéger au sein de son comité exécutif. Jusqu à tout récemment, M me Manon Angers occupait cette fonction. Toutefois, en prenant sa retraite, elle a aussi choisi de mettre fin à son engagement au comité. Nous profitons de l occasion pour la remercier bien sincèrement de son dévouement. Le travail du comité exécutif du Club des 25 ans du CSSS Drummond consiste principalement à préparer les deux activités annuelles du Club, soit le souper d intronisation des nouveaux membres et le brunch automnal. Cinq ou six rencontres sont nécessaires pour les préparatifs relatifs à ces deux événements. Vous avez le goût de vous impliquer pour aider le Club des 25 ans dans sa mission de saluer l excellence du travail accompli par ses membres? Contactez M. Roger Bérard, président du Club des 25 ans, au 819 478-3516, ou M me Guylaine Leclerc, conseillère en communication au CSSS Drummond, au 819 478-6464, poste 2323. depuis un an. En effet, ce dernier a exprimé le souhait de reprendre son poste de préposé aux bénéficiaires à l unité d intervention brève. M. Adam-Smith est titulaire d un baccalauréat en administration des affaires de l Université Laval, profil ressources humaines et marketing, obtenu en 2006. Il a travaillé comme technicien en administration au Centre de santé et de services sociaux de Trois-Rivières. Antérieurement, entre 2003 et 2006, il a été affecté au service d entretien ménager et à la buanderie, toujours au CSSSTR. Par sa formation et par son expérience, M. Adam-Smith possède les compétences requises pour mener à bien le mandat qui lui est confié. Nous lui souhai- Présence d esprit et professionnalisme Toutes nos félicitations à MM. Claude Rodier, infirmier auxiliaire, Alain Rose, préposé aux bénéficiaires, Stéphane Letarte, infirmier chef d équipe, et Philippe Lemieux, préposé aux bénéficiaires, qui ont agi avec beaucoup de présence d esprit et de professionnalisme lors d une récente situation d urgence mettant en danger la vie d un résident. La direction du CSSS Drummond est très fière de l intervention de ces employés et de toute l équipe de soirée du 2 e Nord Côté du Centre d hébergement Frederick-George-Heriot. Contribution à Centraide tons la bienvenue et l assurons de notre entière collaboration. Nous en profitons pour remercier bien sincèrement M. Parenteau pour l excellent travail accompli au cours de la dernière année, pour son engagement et pour sa grande implication. Démission de M. Serge Bouchard À l occasion de sa séance ordinaire du 30 janvier, le conseil d administration du CSSS a accepté la démission d un de ses membres, M. Serge Bouchard. Ce dernier occupait également la présidence du comité des usagers. Le conseil d administration attend la recommandation du comité des usagers pour procéder à la nomination du successeur de M. Bouchard. C est avec joie que le CSSS Drummond a procédé à la remise du chèque de 4398 $ à Centraide, somme amassée auprès des membres du personnel et de l équipe médicale lors de la campagne de l automne dernier. Sur la photo : M. Jean-Pierre Demers, chef de service santé mentale 1 re ligne et président de la campagne 2007 au CSSS Drummond, M me Annie Jean, directrice générale de Centraide, M. Nagui Habashi, directeur général du CSSS, et M me Sylvie Dionne, chef du Service des salaires et représentante du Comité Centraide au CSSS Drummond. 2 Février 2008

Dîners-conférences La gestion du stress au travail par Nicole Doucet, présidente du conseil multidisciplinaire Dans la dernière édition de +, nous vous avons présenté les objectifs du conseil multidisciplinaire pour l année 2008. L un de ceux-ci consiste à organiser des dîners-conférences portant sur différents sujets d actualité qui touchent l exercice professionnel des membres. Nous sommes donc heureux de vous annoncer la tenue d un première série de dîners-conférences dans les installations du CSSS Drummond. Le sujet abordé sera la gestion du stress au travail. La pénurie de main-d œuvre, la charge de travail, la forte demande de services et la difficulté sans cesse croissante de conjuguer volume de travail et respect des exigences croissantes des ordres professionnels sont autant de facteurs qui font pression sur nous quotidiennement. Pour l occasion, nous avons fait appel à M. Alain Ouellet. Celui-ci, qui jouit d une Mars est le mois de la campagne sur les saines habitudes de vie du Programme 0.5.30 combinaison prévention. Saviezvous qu en vous préoccupant de trois habitudes de vie, vous pouvez prévenir, éviter ou retarder le développement de maladies aigues ou chroniques? Les trois habitudes de vie reconnues pour avoir un impact déterminant sur la santé et le bien-être sont : 1. 2. 3. Vivre sans fumée (0 tabagisme); Déguster des fruits et des légumes tous les jours (minimum 5 fruits et légumes par jour); Être actif (minimum 30 minutes d activité physique par jour). excellente réputation, est compétent en ce domaine et connaît bien la réalité de notre milieu. Étant donné que le sujet est vaste, que nous sommes limités dans le temps et que nous sommes conscients que M. Ouellet devra restreindre le contenu, nous sommes déjà à explorer avec lui la possibilité de tenir une deuxième série d activités du même genre. Celle-ci se voudrait une suite logique, car à la lumière des échanges et des commentaires qui enrichiront nos premières rencontres, il serait sûrement très intéressant d approfondir certaines facettes de ce sujet et de nous outiller davantage sur les façons de gérer le stress et de s en prémunir. De saines habitudes de vie chaque jour, c est la santé! par M me Patsy Munger, pour l Équipe des saines habitudes de vie «0 tabagisme», cela veut dire de ne pas fumer et de promouvoir un environnement sans fumée. En fait, c est ne pas respirer la fumée, la vôtre ou celle des autres. Cela concerne la fumée de cigarette, de cigare, de pipe, etc. La personne qui arrête de fumer se libère d un esclavage, économise de l argent et se donne du souffle pour profiter de la vie. De plus, elle retrouve le plaisir de sentir et de goûter. «5 fruits et légumes», c est manger, chaque jour, au moins 5 portions de fruits et de légumes. Une portion de légume ou un fruit équivaut à une portion de la grosseur d une balle de tennis ou à une demitasse. Il est bon de varier les fruits et les légumes que vous vous mettez sous la dent. En plus d ajouter de la couleur et du goût à la vie, les légumes et les fruits aident le corps à bien fonctionner. «30 minutes d activité physique», c est une activité qui vous fait bouger au travail, dans vos déplacements, à la maison ou dans vos loisirs. Monter un escalier, pédaler, passer l aspirateur, danser, stationner son véhicule le plus loin possible Cette deuxième série de dîners-conférences pourrait avoir lieu en avril prochain. Le tout reste cependant à confirmer. Au moment de distribuer ce bulletin, un premier dîner-conférence aura déjà eu lieu, et ce, au CLSC Drummond. Les prochains rendez-vous sont les suivants : Le mercredi 20 février, à midi, à la salle Claude Lambert (2412) de l Hôpital Sainte-Croix; Le mardi 26 février, à midi, à la salle E-03 du Centre d hébergement Frederick-George-Heriot. L entrée est gratuite. Vous êtes toutefois prié d apporter votre lunch. Afin d accorder le maximum de temps possible à la conférence, bien vouloir vous présenter à l heure indiquée, soit à midi. Nous vous attendons en grand nombre. Au plaisir de vous y rencontrer! Des études confirment qu en adoptant de bonnes habitudes de vie, non seulement on améliore notre qualité de vie, mais on réduit également les risques de développer certains types de cancers, certaines maladies cardiovasculaires ou pulmonaires ainsi que le diabète et la dépression. sont autant d activités physiques qui contribueront à vous garder en forme. Cumuler chaque jour au moins 30 minutes d activité physique effectuée à une intensité modérée peut être payant. La bonne nouvelle : dès que vous commencez à bouger, vous retirez des bénéfices pour votre santé. La clé : la régularité. Cependant, pour en retirer le maximum de bénéfices, il est souhaitable d être actif régulièrement au fil des semaines, des mois, des années. Réduisez un peu vos activités si vous n avez pas d autres choix, mais évitez de tout lâcher. Adopter de saines habitudes de vie, c est un moyen de développer des réflexes «santé». Vous avez le pouvoir de prendre soin de votre santé! Février 2008 3

Premier bilan positif pour le service de la gestion de cas par Robert J. Borris, chef du secteur soutien à domicile, Antoine Boulanger, travailleur social et professionnel gestionnaire de cas, et Manon Bélanger, conseillère par intérim au suivi systématique de la clientèle Les 18 et 21 décembre dernier, une soixantaine d intervenants étaient invités à une rencontre d information et d échange portant sur les résultats d un sondage réalisé au printemps 2007. Le sondage visait à évaluer la première année d activité du service de la gestion de cas implanté au CSSS Drummond. Avant de vous livrer les principaux résultats de ce sondage, vous nous permettrez de faire une brève présentation de ce service. La gestion de cas est un service de coordination de services pour les personnes en perte d autonomie de 65 ans et plus présentant un niveau de vulnérabilité important. Les intervenants qui offrent ce service sont appelés des «gestionnaires de cas». Leur rôle consiste à favoriser l intégration des services aux personnes âgées vulnérables et à leurs proches en mettant en place des interventions d évaluation, de coordination de services et de mobilisation des ressources tout au long du continuum gériatrique, en plus d offrir des services psychosociaux lorsque nécessaires. Il est important de souligner que les intervenants sociaux du soutien à domicile agissant comme gestionnaires de cas offrent également des services d aide psychosociale aux autres clientèles habituelles de ce secteur. La gestion de cas a connu ses premières heures d existence au CSSS Drummond au mois de janvier 2006. Dans sa première phase d implantation, les gestionnaires de cas se sont tout d abord intégrés aux équipes de soutien à domicile et au service ambulatoire gériatrique. Progressivement, le service s est déployé dans d autres secteurs. Aujourd hui, les gestionnaires de cas sont actifs dans plusieurs autres secteurs d activités du CSSS : Unité de réadaptation fonctionnelle intensive (URFI), Équipe santé vieillissement (ESV) et Unité de courte durée gériatrique (UCDG). Pour en revenir au sondage, une soixantaine d intervenants et de professionnels de différents secteurs du continuum de service en gériatrie y ont répondu. La compilation et l analyse des résultats ont fait ressortir plusieurs éléments et constats fort intéressants et constructifs : La majorité des professionnels affirment connaître le service de la gestion de cas. La majorité des partenaires ont exprimé avoir de la facilité à entrer en contact avec les gestionnaires de cas. Une perception positive de la collaboration entre les gestionnaires de cas et les professionnels/ partenaires du continuum est notée. Un certain nombre de partenaires ont exprimé avoir de la difficulté à faire la différence entre le rôle de gestionnaire de cas et le rôle de l intervenant psychosocial régulier. La gestion de cas est considérée par la majorité des professionnels comme un atout pour le client avec un apport positif sur la qualité des services. Cependant, certains intervenants perçoivent que l organisation actuelle ne permettrait pas de donner un meilleur service au client (augmentation des délais, éloignement de l intervention sociale du centre hospitalier, augmentation de la charge de travail des gestionnaires de cas). Un nombre assez important d intervenants ont exprimé que la gestion de cas a apporté des changements dans la façon de travailler : plus de changements d horaire, plus de déplacements, plus de liaisons avec les partenaires, impression d aller au plus urgent, interventions à distance. Malgré tout, la majorité des gens sondés se sont dits à l aise avec les adaptations et les changements à faire. La photo nous montre l équipe des gestionnaires de cas. De gauche à droite : M. Robert J. Borris (chef de secteur), M me Michelle Desrosiers, M me Sophie Carignan, M me Cynthia Rousseau (TPO), M me Isabelle Painchaud (TPO), M me Julie Désilets (TPO), M. Richard Gaillard (TPO), M me Geneviève Dumais (service d accueil), M me Isabelle St-Onge et M. Éric Boulanger. Complètement à l avant, M. Antoine Boulanger. Absents sur la photo : M. Charles Pruneau (équipe d évaluation) et M me Nicole Letarte. La plupart des intervenants mentionnent être encore en période d adaptation à l égard de cette nouvelle pratique. Les gestionnaires de cas disent mieux connaître les ressources du continuum depuis l arrivée de la gestion de cas. Globalement, nous remarquons qu il se dégage trois constats principaux : La communication est un enjeu important et majeur pour l efficacité de ce service. La volonté de collaborer entre les professionnels et les services est manifeste. L adaptation des professionnels se situe davantage sur l aspect organisationnel de la pratique. En lien avec ces constats, de même que plusieurs autres commentaires recueillis auprès des intervenants, différentes actions ont déjà été amorcées et d autres sont à venir pour favoriser une amélioration continue de ce service. suite à la page 5 4 Février 2008

Premier bilan positif... (suite de la page 4) Actions déjà amorcées La création et la révision de certains outils de travail; Le déploiement du Sic Plus dans d autres installations du CSSS; La révision et la mise à jour constante des procédures d intervention; La gestion rapide des situations ambiguës ou problématiques; L augmentation de la fréquence des rencontres d équipe avec les gestionnaires de cas; La poursuite des rencontres régulières du comité de coordination; Le remplacement des intervenants lors d une absence. Actions à venir L amélioration ou l identification des canaux de communication; L élaboration du fonctionnement avec les secteurs de l hôpital où la gestion de cas n est pas encore déployée; La consolidation de la gestion dans les secteurs déployés; La réorganisation du soutien à domicile. En ce qui concerne le processus de repérage de la clientèle admissible, la situation continue d évoluer de façon satisfaisante. À l heure actuelle, plus de 200 personnes bénéficient de ce service. Depuis le début, plus de 300 personnes et familles ont profité de l intervention des gestionnaires de cas. En conclusion, il est important de mentionner que, jusqu à maintenant, beaucoup d efforts ont été investis dans le déploiement de ce service. Plus que jamais, nous sommes centrés sur le besoin du client. Malgré tout, nous sommes encore dans une étape d intégration et de consolidation de cette pratique. Il reste beaucoup de travail et d ajustements. Le comité de coordination, qui encadre et stimule le développement du service sur une base continue, tient à remercier tous les intervenants et les collaborateurs qui, quotidiennement, mettent des énergies et des efforts à faire grandir efficacement ce service afin qu il puisse répondre aux besoins des personnes en perte d autonomie dans la communauté. GROUPE DE RESSOURCEMENT AUX FAMILLES ET AUX PROCHES DU RÉSIDENT OU D UNE PERSONNE EN PERTE D AUTONOMIE INVITATION Rencontres pour la session Hiver 2008, à la salle de formation E-03, au sous-sol du Centre d hébergement Frederick-George- Heriot, de 19 h à 21 h, aux dates suivantes : 28 février 27 mars 17 avril «Adopter une approche gagnante pour faire valoir son point de vue!» La soirée vise à outiller les familles dans leurs échanges avec le personnel soignant et porte sur la façon d exprimer clairement leurs préoccupations, insatisfactions et attentes sans blesser l autre et sans générer de conflits. Au cours de la rencontre, nous parlerons des outils de communication ainsi que d une démarche de résolution de problèmes. Le thème vise donc à rendre les familles plus à l aise dans leur relation avec le personnel et leur proche dans certaines situations délicates. Responsables : M me Louise Chassé, intervenante sociale M me Sylvie Boucher, intervenante sociale «Que reste-t-il de nos amours? Que reste-t-il de nos beaux jours?» Notre invitée, M me Louise Boudreau, ergothérapeute en soins de longue durée au CSSS Drummond, travaille depuis plusieurs années auprès de la clientèle atteinte de la maladie d Alzheimer. Elle abordera l approche préconisée dans certaines situations : Mon proche ne reconnaît plus son environnement physique et veut retourner à la maison. Quoi dire? Mon proche croit que je suis sa mère alors que je suis sa fille. Que se passet-il et que penser? Plusieurs thèmes de réflexion seront ainsi abordés par notre invitée lors de la soirée. Responsable : M me Anne Martel, travailleuse sociale «J ai le goût de mourir. Qu en penses-tu?» Votre proche vous exprime son souhait de quitter ce monde dans le cadre de sa perte d autonomie. Que se passe-t-il pour lui? Désarroi ou sérénité? Comment réagissez-vous? Venez réfléchir avec nous sur ce sujet touchant les réalités éthiques et émotionnelles. Responsables : M me Anne Martel, travailleuse sociale M me Sylvie Plasse, psychologue Pour toute information, veuillez contacter le secrétariat du Programme personnes en perte d autonomie, au 819 477-0527, poste 508. Au plaisir de vous y rencontrer! Les responsables du groupe, Anne Martel, Sylvie Plasse, Nancy Langlois, travailleuse sociale psychologue technicienne en travail social Février 2008 5

Alerte à la bombe simulée à l Hôpital Sainte-Croix L Opération Tonnerre du 6 février dernier en textes et en photos 1 Le Centre d opérations d urgence se déploie. À notre demande, un caméraman de la firme Cogeco filme tout l exercice. Cela nous sera utile à des fins de formation du personnel. L exercice Code noir, tenu le 6 février dernier, a nécessité beaucoup de créativité et d énergie de la part des artisans de l opération et des participants. Nous vous présentons certains faits saillants de la préparation et du déroulement de l exercice. Une telle simulation est la meilleure façon de s assurer que chacun connaît bien son rôle et les actions efficaces à poser dans toute situation d urgence qui risque de compromettre la sécurité des personnes. Un événement de cette envergure ne peut se réaliser qu avec l étroite collaboration de partenaires tels que la Sûreté du Québec, le Service des incendies de Drummondville, les services ambulanciers, le 911 et le Service d intervention d urgence du Centre du Québec (SIUCQ). Le CSSS Drummond remercie tous ces intervenants pour leur ouverture et leur coopération. La direction adresse également ses remerciements aux artisans de cette opération, spécialement M. Alain Croteau, nouveau chef de brigade, et M. Normand Blanchette, qui a occupé cette même fonction pendant plu- 4 sieurs années, de même qu au personnel qui a eu un rôle à jouer dans cette mise en scène. Félicitations à tous les membres de l organisation pour leur implication et leur intérêt en ce qui concerne la sécurité des usagers, des visiteurs et de leurs collègues de travail. 6 La bombe a explosé et le feu est maîtrisé dans les minutes qui suivent. 7 2 On procède à la fouille à partir du sous-sol. Les pompiers se préparent à intervenir. 5 Deux membres de notre brigade d intervention d urgence, MM. Raynald Lemire et Réal Trépanier, se préparent à intervenir. 8 3 La Sûreté du Québec est mobilisée. Pendant que tout se déroule à l intérieur du centre, une personne (François Jutras) a un malaise dans le stationnement. Son fils (Brian Jutras) appelle à l aide. Les ambulanciers et le D r Martin Sanfaçon (SIUCQ) lui portent secours. M. Normand Blanchette, chef de brigade actuel, et M. Alain Croteau, futur chef de brigade, devant le fameux colis suspect qu ils avaient eux-mêmes fabriqué. 6 Février 2008

Info Fondation par Louise Pinard, directrice générale Une année 2007 digne de mention! Sur les traces de l année 2006, l année 2007 fut une année digne de mention pour la Fondation Sainte-Croix. Sans vouloir dévoiler prématurément nos résultats financiers, nous pouvons déjà affirmer que 2007 aura été une excellente année, tant au chapitre de nos revenus que des contributions versées par la Fondation à l Hôpital Sainte-Croix. Nous vous ferons bientôt part d excellentes nouvelles à cet égard. Mais, au-delà des dons, la Fondation Sainte-Croix est fière des partenariats qui se sont concrétisés en 2007. Premier regroupement d employés à s associer à la Fondation Sainte-Croix, les employés du Groupe Soucy ont, jusqu à ce jour, établi toute une œuvre philanthropique. En effet, les fonds amassés depuis le début du partenariat ont permis de contribuer à l achat de nouveaux équipements de pointe sélectionnés selon une liste de priorités établie par la direction du centre hospitalier. De plus, à la suite d une première édition couronnée de succès, les employés du Groupe Soucy et la Fondation Sainte- Croix ont décidé d unir leurs efforts pour l organisation d un seul et unique tournoi : la Classique Soucy. Tous se souviendront également de la journée familiale sous le thème, les couleurs et le son de la Nouvelle-Orléans. C est grâce à la collaboration de précieux partenaires, dont M. André Lemaire des Habitations André Lemaire et le Village québécois d antan, que le succès de cette activité a été rendu possible. Et ce n est pas tout! La fin de 2007 a été marquée par un événement historique. En effet, la Fondation Sainte-Croix et la Fondation Frederick-George-Heriot ont procédé à la signature d un protocole d entente de fusion. Depuis le 1 er janvier 2008, la Fondation Sainte-Croix / Heriot oeuvre pour l ensemble du CSSS Drummond, prônant ainsi une meilleure accessibilité et une continuité des services à la population. À la fois «nouvelle» et «chevronnée», la Fondation Sainte-Croix / Heriot promet d affirmer son leadership en ce qui a trait à la réalisation de projets chers à l ensemble de la communauté, tout comme elle s engage à faire sienne ses priorités les plus criantes. Dans un contexte économique où la présence des fondations devient de plus en plus cruciale, la Fondation Sainte-Croix et la Fondation Frederick-George-Heriot ont choisi de faire route ensemble afin de jouer un rôle complémentaire essentiel au bien-être de chacun. Par ailleurs, la Fondation continuera d axer ses actions vers sa pérennité, notamment par l entremise de son Programme de dotation et dons planifiés. On se souviendra qu en 2004, la Caisse populaire Desjardins de Drummondville a créé un fonds de dotation de 250 000 $ (50 000 $ par an pendant 5 ans), dont les produits seront dédiés à l unité des soins palliatifs de l Hôpital Sainte-Croix. Dans le cadre de ce programme, le premier cocktail des membres du Club Héritage en décembre dernier a été l occasion pour les détenteurs de fonds de dotation de se rencontrer, d échanger et d effectuer une visite de l hôpital dans des secteurs ciblés. Par l entremise de plusieurs activités de nature philanthropique, nos donateurs nous démontrent qu ils ont compris que la technologie médicale se développe rapidement et que les coûts qui y sont reliés font en sorte que des investissements importants sont toujours à prévoir. La Fondation Sainte-Croix / Heriot est fière de constituer le lien entre le CSSS Drummond et les généreux donateurs. Il faut toujours se rappeler qu en nous appuyant, c est d abord et avant tout au CSSS que la collectivité manifeste son attachement. Elle reconnaît ainsi la qualité des soins et des services reçus à Drummondville. Le mot «merci», bien qu il soit toujours trop court pour exprimer notre gratitude, demeure de mise. Je trace donc un bilan positif de cette année à la direction générale de la Fondation. Mon travail m amène à côtoyer des gens ayant à cœur la qualité des soins dispensés dans leur communauté, à partager avec les membres du conseil d administration leur expertise, à rencontrer des bénévoles donnant volontiers de leur temps, et ce, dans le but avoué de faire progresser la Fondation. Cette mise en commun des ressources me fait réaliser que j occupe un poste enrichissant et concrétise ma passion pour le développement philanthropique à Drummondville. Spectacle-bénéfice 2008 de la Fondation Sainte-Croix / Heriot Vous savez certainement que la Fondation se prépare actuellement pour son spectacle-bénéfice qui sera présenté les 13 et 14 novembre 2008. Alors, si vous êtes intéressé à offrir de votre temps sur la scène (chant, danse, chorale, humour) ou à l arrière-scène (maquillage, décor, couture), vous n avez qu à contacter M me Chareyne Lupien, au 819 478-6467, ou à vous présenter au bureau de la Fondation. Nous tenons à remercier très sincèrement tous les membres de l organisation du CSSS Drummond pour leur ouverture d esprit à l égard de ce projet. Nous voulons tout mettre en œuvre pour leur faire vivre, une fois de plus, une expérience artistique inoubliable. Février 2008 7

Caisse d économie du personnel du Réseau de la santé Centre de service CSSS Drummond 570, rue Heriot Drummondville (Québec) J2B 1C1 Téléphone : 819 478-6495 Télécopieur : 819 472-4779 Conseils REER Date limite pour cotiser : 29 février Dans le cadre de l entente sur l équité salariale, certains employés et retraités du réseau de la santé et des services sociaux ont reçu un paiement d une rétroactivité salariale pour la période de 2001 à 2007. Si vous êtes l une des 360 000 personnes touchées au Québec, vous vous demandez sûrement : M. Serge Dussault, directeur Quel impact fiscal aura cette rétroactivité? Comment le contrer ou le minimiser? Est-il trop tard? N hésitez pas! Venez en discuter avec votre conseiller de la caisse ou téléphonez-nous au 819 478-6495. Une équipe spécialisée en finances pour vous offrir toute l expertise, tous les moyens, toute une retraite! Le Bulletin d information du Centre de santé et de services sociaux Drummond Coordination et rédaction Guylaine Leclerc, conseillère en communication Conception et mise en page Communication Jean Dufresne Collaboration à la rédaction Jean Dufresne Le personnel du CSSS Drummond Révision linguistique Audrey Senneville Impression Imprimerie Lemire Publié 10 fois l an à 1000 exemplaires Disponible en version électronique au www.csssdrummond.qc.ca Vaccination antigrippale : à vous la parole! Nous cherchons actuellement des personnes convaincues des bienfaits de la vaccination antigrippale dans le but de recueillir leur témoignage. Nous souhaitons ainsi préparer notre campagne de promotion de la vaccination 2008 auprès du personnel et des médecins. Vous avez une opinion favorable au sujet de la vaccination? Vous avez une bonne raison de vous faire vacciner? Vous croyez que ce geste est important pour vous et pour les personnes que vous côtoyez? Nous souhaitons vous entendre! Veuillez remplir le coupon ci-joint et le retourner avant le 28 février au Service de santé et sécurité au travail, au Centre d hébergement Frederick-George-Heriot, à l attention de M me Sylvie Houle. Nom : Service : Téléphone : Je me fais vacciner parce que : Voici mon idée de thème (slogan) pour la campagne 2008 : 8 Février 2008