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Transcription:

Fiche de cadrage d évaluation MAP Intitulé de l évaluation : le partenariat de l éducation nationale et de l enseignement supérieur avec le monde économique pour l insertion professionnelle des jeunes Ministère et direction concernés : Ministère de l éducation nationale, de l enseignement supérieur et de la recherche. DGESCO et DGESIP (DGRI à confirmer) Date : 25 aout 2014 Contact SGMAP : Olivier PICAVET Action publique évaluée Présentation sommaire des objectifs de l action publique évaluée : Les relations entre l école et le monde économique sont aujourd hui marquées par la multiplicité des partenariats : sans que ce recensement soit exhaustif puisqu il ne prend pas en compte les initiatives académiques, on dénombre dans l enseignement scolaire 33 accords-cadres et 24 conventions de coopération. Les partenaires de l école sont ainsi nombreux et divers : grands groupes, fondations d entreprise, associations, opérateurs de l Etat, organisations ou branches professionnelles. C est dans ce cadre que sont mises en place la semaine école-entreprise, la semaine de l industrie à l école ou des initiatives reconnues comme les mini-entreprises, les classes en entreprise, Passeport avenir, Capital filles etc. Dans l enseignement supérieur, des conventions et accords-cadres ont été passés avec 15 branches. Pour engager les réseaux d établissements (CPU et CDEFI), mettre en synergie les efforts fournis et donner de la cohérence entre le niveau national et le niveau local, un protocole de collaboration a par ailleurs été signé le 29 novembre 2013 entre le MESR, les deux réseaux d établissements, toutes les branches partenaires et les fédérations interprofessionnelles (MEDEF et CGPME). Ces conventions et accords de partenariat sont intéressants dans leur principe mais ne comprennent ni objectifs ni indicateurs. Ils sont souvent reconduits sans analyse de leurs résultats. Alors que devrait remonter les analyses des partenariats déclinés en académie.certains partenariats avec des entreprises peuvent poser des difficultés éthiques (pourquoi cette entreprise et pas une autre ; contenus discutables ; absence d objectifs chiffrés et d indicateurs). Les relations entre l Ecole et le monde professionnel se caractérisent ainsi par une absence de doctrine et par une multitude d initiatives souvent intéressantes, mais dispersées et dont l efficience n est pas établie. En définitive, peu d élèves et d étudiants sont concernés et leur insertion professionnelle ne semble guère améliorée. Ainsi, il est nécessaire d évaluer cette politique partenariale alors qu ont été créés depuis un an deux instances de dialogue et de prospective en matière de relations de l Ecole avec le monde économique- le Conseil National Education- Economie et le Comité Sup emploi- et que leur rapprochement est en cours. En outre, cette évaluation est d autant plus opportune que devra être expérimenté avant la fin de l année 2014 le «parcours individuel d information, d orientation et de découverte du monde économique et professionnel 1» (PIIODMEP) pour tous les élèves de la 5 ème à la terminale, avant sa généralisation à la rentrée 2015 : pour lui donner un contenu concret, le ministère devra être en capacité de reconnaitre les bonnes pratiques académiques et de les faire changer d échelle. 1 Instauré par la loi de refondation de l école du 8 juillet 2013, le parcours poursuit un triple objectif : - développer la compétence à s orienter afin de permettre à chaque élève d élaborer son projet d orientation scolaire et professionnelle ; - donner des repères pour mieux appréhender le monde économique et professionnel ; - développer l esprit d entreprendre. 1

Assiette financière (répartition État, Sécurité sociale, collectivités locales, autres, en M ) : montant global :, dont : dépenses budgétaires : dépenses fiscales : dépenses sociales : autres (précisez) : Principaux acteurs (en gras, membres pressentis du CoPil) : administrations centrales : DGESCO, DGESIP, SAAM administrations déconcentrées : Académie de Rouen (rectrice à confirmer) opérateurs de l État : collectivités territoriales : région (ARF?) partenaires sociaux : Représentants des élèves et des étudiants autres (précisez) :, CNEE, Comité Sup Emploi (formation dédiée),pq, corps d inspection des minsitères concernés (IGAENR, IGEN,IGAS, IGF), ANDRH, Représentants du monde économique dont des signataires de convention (associations, fondations, entreprises, branches professionnelles) ; Cadrage de l évaluation 2

Périmètre de l évaluation (missions / actions / dispositifs / etc.) : L évaluation fera un état des lieux des partenariats aujourd hui existants aux niveaux national et académique, en examinant l efficacité, la qualité et l efficience. Des focus par établissements viendront illustrer cette analyse. Pour mener à bien ce diagnostic, pourront être utilisés les travaux de recensement des actions actuellement réalisés par le Conseil national Éducation- Économie et pour le Comité Sup Emploi, dans le cadre du protocole de coopération et des trois référentiels de formation dans l enseignement supérieur. Compte tenu de l ampleur et de la variété des actions concernées, l analyse pourra être resserrée sur deux domaines prioritaires de la politique éducative : 1. dans la mise en œuvre des parcours d information et d orientation et du développement de l esprit d initiative à travers : a- les conventions de coopération ; b- les interventions de professionnels extérieurs ; 2. dans la formation professionnelle initiale à travers l accompagnement collectif (parrainage de classe) et individuel (tutorat, stage, période de formation en milieu professionnel) ; dans la formation continue s agissant des relations des établissements d enseignement supérieur avec le monde économique. Les relations école-entreprise se construisent aussi en fonction de la qualité des rapports entre les enseignants et les entreprises. La question de l immersion des enseignants en entreprises (stage) pourra être traitée de manière transversale (à travers les missions des acteurs de l éducation nationale au niveau central et académique, la formation initiale et continue, la rationalisation des coûts de prise en charge). Des recommandations sont attendues en matière d objectifs et d indicateurs à fixer pour des relations partenariales participant d une meilleure insertion professionnelle, différée ou immédiate, des élèves et des étudiants. La gouvernance de ces relations partenariales sera regardée, au niveau national et dans les académies, et des modalités nouvelles d organisation pourront être proposées le cas échéant. Les questions éthiques seront également traitées avec une attention particulière aux dispositions qui pourraient être prises pour faciliter le changement d échelle des initiatives reconnues comme pertinentes (outils : label, charte éthique, guide, autres?). Enquête : recensement des accords, études et entretiens (focus group) des bénéficiaires (élèves, étudiants, enseignants), des partenaires économiques et des agents chargés de la mise en oeuvre 3

Principaux objectifs de l évaluation : Globalement, les objectifs sont : -état des lieux (recensement et diagnostic) des relations partenariales avec le monde économique au regard de l objectif final d insertion professionnelle et des objectifs intermédiaires (orientation davantage choisie, développement de l esprit d initiative et d entreprendre ) -évaluer les différents interlocuteurs et leurs missions pour optimiser la gouvernance et la déclinaison des partenariats dans les académies et gagner en cohérence et lisibilité : Au niveau national : articulation entre différentes structures, échelons, (mission du partenariat avec le monde professionnel, bureau des actions éducatives, bureau de la politique d éducation prioritaire et des dispositifs d accompagnement, bureau des usages numériques et des ressources pédagogiques, centre d études et de recherches sur les partenariats avec les entreprises et les professions, ) ; Au niveau des académies et des établissements. - réorienter, prioriser, reconnaitre ce qui marche pour le développer et évaluer les besoins des acteurs du monde de l éducation et de l économie dans la mise en œuvre de ces partenaraits (outils, formation etc.) afin d améliorer les résultats qualitatif et quantitatif (amorçer un changement d échelle). Par critère d évaluation, les objectifs sont (oui/non) : améliorer l utilité / la pertinence : oui améliorer l efficacité / le service rendu : oui réduire les coûts / renforcer l efficience : oui améliorer la cohérence / la gouvernance : oui autres (précisez) : Résultats attendus de l évaluation : utilisation de l évaluation (contribution à l écriture / examen d un projet de loi, documentation d un article du PLF, préparation d une réorganisation / évolution d un ou de plusieurs dispositifs existants, lancement d un programme d expérimentation, etc.) : état des lieux de la mise en œuvre des partenariats, redéfinition des missions des interlocuteurs académiques (préparation réorganisation), outils d accompagnement (guide, label, charte éthique etc.), hypothèses privilégiées de transformation / réforme : Impact financier indicatif de l évaluation : ordre de grandeur des économies potentielles attendues (M ) : à compléter par les services échéance de réalisation (court, moyen ou long terme) : moyen terme Impact potentiel de projets ou de réformes en cours ou à venir sur l évaluation (projets de loi, assises, conférences, étatgénéraux, etc.) : Points de sortie de la grande conférence sociale (feuille de route du Gouvernement : meilleure corrélation entre les diplômes et les besoins en compétence du marché du travail, mise en œuvre du PIIODMEP, aide à l orientation, relance de l apprentissage).un bilan en sera fait en 2015 Mise en œuvre de l évaluation Données / études / rapports existants utilisables par l évaluateur : pas de rapports récents des inspections générales 4

Coordonnateur pressenti (noms et fonctions actuelles) : coordonnateur (directeur d administration centrale, personnalité qualifiée, autre ; et motiver le choix) : Personnalité qualifiée : Christiane Demontès assisté de : cellule de consultants internes (le cas échéant) Responsable opérationnel pressenti et composition envisagée de l équipe d évaluation (inspections, travaux internes au ministère, experts, autres) : responsable opérationnel : équipe d évaluation : IGEN, IGAENR, SAAM, IGAS, IGF, appui SGMAP (prestataire privé) sur des séquences d évaluation (Un soutien SGMAP en production ou pour définir une consultation est-il nécessaire? Y a-t-il une plus-value à mobiliser un / des chercheur(s)? Distinguer les appuis temporaires des appuis permanents.) Calendrier de l évaluation : date prévue de lancement : octobre durée prévisonnelle des travaux : 6 mois calendrier d utilisation des conclusions : 1 mois dates prévisionnelles de tenu des comités de pilotage : l équipe d évaluation définira les étapes intermédiaires. Risques liés au déroulement de cette évaluation, aux moyens qu elle mobilisera et à la mise en œuvre ultérieure des scénarios 5