Rencontre des correspondants André Renaudin Directeur général 27 mai 2014 10 OCTOBRE 2014 18 6 septembre 2014 Biarritz, le 19 octobre 2014 1 1
Un Groupe d envergure, fort de son histoire 1 er GPS 4 histoires 1 er acteur de la retraite complémentaire 2 e assureur de personnes (hors groupes bancaires) 27 Md de collecte Près de 5 Md de fonds propres Près de 11 000 collaborateurs 2
Un Groupe bien structuré Association sommitale AG2R LA MONDIALE RÉUNICA * Membres de l Association sommitale SGAM AG2R LA MONDIALE AG2R Prévoyance * La Mondiale * RÉUNICA Retraite Cadres * AG.MUT * AG2R retraite Agirc * RÉUNICA Retraite salariés * AG2R retraite Arrco * Prima Prado Epargne RÉUNICA Prévoyance * ARPÈGE Prévoyance * ViaSanté et 16 mutuelles RÉUNICA Mutuelle * MUTA Santé * Arial assurance La Mondiale Participations LMP LMEP Périmètre Agirc-Arrco Périmètre Sgam GIE AG2R Réunica GIE La Mondiale Groupe 3
Le pôle mutualiste à fin 2014 (après fusions) interprofessionnelles nationales professionnelles nationales professionnelles régionales (Lyon) mutuelles d entreprise (Paris) (Angoulême) interprofessionnelles régionales Mutualis Prado Mutuelle 4
Top Argus 2013 des structures de regroupement (projection) Rang Groupements Cot 2012 (M ) Nombre de personnes protégées 1 Harmonie Mutuelles (LII) 2 943,2 4 641 030 2 Istya (UMG) 2 896,0 4 533 009 3 Eovi Union (LI) 922,0 1 657 435 4 AG.Mut (LII) 756,0 1 254 376 5 Couleurs Mutuelle (UMG) 647,0 1 785 000 6 Radiance Groupe Humanis (LII) 603,5 1 063 714 7 Unalis (UMG) 408,0 NC 8 Solimut (UMG) 381,0 760 000 9 Groupe intériale (UMG) 333,4 526 314 5
Un Groupe bien organisé : le projet de réorganisation managériale * Directeur général : André Renaudin Directeur général adjoint Jean-Marc Robinet Risques opérationnels Contrôle Plan d entreprise Cabinet et secrétariat COMEX Audit Conciliation Déontologie Relations institutionnelles Sophie de Saint Etienne Retraite complémentair e JL Berquet Systèmes d informations JC Combey Assurance de personnes Ph.Dabat Finance/ Gestion d actifs/ Assurance vie S.de Forges Relation Client/ Digital Patrick Monteil Secrétariat général Yvon Breton Ressources humaines Paule Arcangeli B. Liger-Belair P. Chaumeny FM Geslin * Dans le respect des procédures légales et sociales nécessaires N. Garier 6
Un Groupe riche de 10 600 collaborateurs : 6,8 % des effectifs des entreprises d assurances Nord- 1 334 -Pas-de-Calais Picardie 45 Luxembourg 148 Ile-de-France Bretagne Pays de Loire Normandie 64 Ile-de-France 3 665 Champagne Ardenne 176 Lorraine Alsace 570 7 600 AG2R LA MONDIALE 2 500 RÉUNICA + Systalians 430 VIASANTE 80 MMJ 365 Limousin Poitou- Charentes Vendée 224 Centre Touraine 1 100 Loire Auvergne 172 Bourgogne Franche-Comté Rhône 312 77 Alpes 331 Aquitaine 365 Midi Pyrénées 471 314 PACA Corse Monaco 14 Languedoc Roussillon 711 Dom-Tom-Pom 159 7
Un Groupe complet (données 2013) Cotisations : 27 Md Retraite complémentaire Agirc-Arrco Prévoyance Santé Retraite supplémentaire Assurance vie Épargne 16,4 Md 1,4Md 2,1 Md 1,8 Md 4,9 Md 25,0% 7,7% 6,0% 13,8% 4,0% 61,8% 5,2% 8,0% 6,7% 18,4% 1 13,6% 20,9% 17,5% 48,2% 3 4 1 7 par rapport au marché au sein du groupe au sein du périmètre assuranciel du Groupe classement France +Luxembourg Données 2013, sauf parts de marché pour la retraite complémentaire : données 2012 8
L important, c est le podium! 9
Le contexte d une ambition stratégique Politique Montée des régulations? Développement du concurrentiel? Délégation vers l économie sociale? Technologique Économique Généralisation du numérique? (big data)? Développement du profilage de masse Accroissement de la distribution directe? Déflation? Stagnation du pouvoir d achat? Rendement faible du capital? Réduction des déficits publics et sociaux? Vieillissement de la population Accroissement des inégalités? Développement des pratiques solidaires? Sociétale 10
Les fondements de la directive Solvabilité 2 en trois piliers Solvabilité 2 Pilier 1 Exigences quantitatives Pilier 2 Exigences qualitatives Pilier 3 Publication de l information Exigences de fonds propres Gouvernance, gestion des risques et contrôle interne Exigence de publication et d information Provisions techniques Contrôle des modèles internes Dispositifs de reporting et d alerte Exigence de reporting au superviseur Placements en valeur de marché Supervision par les autorités de tutelle Principe de cohérence entre information des annexes comptables / exigence pilier III/ reporting au superviseur 11
Calendrier réglementaire européen 2013 11 mars 22 mai 2014 Février 2015 au plus tard : fin de la période d objection du niveau 2 31 mars 2015 : fin de la période de transposition de la directive Solvabilité 2 1 er avril 2015 : début de certaines procédures d approbation (modèles internes ) Courant 2015 : séquences d adoption par la Commission des textes de niveau 3 1 er janvier 2016 : entrée en application du régime Solvabilité 2 2015 Source : ACPR, conférence du 5 janvier 2014 12
La Loi relative à l économie sociale et solidaire Loi du 31 juillet 2014 Article 51 : introduit la faculté pour les organismes assureurs de réaliser des opérations collectives en coassurance «inter-codes» En conséquence, alignement des dispositions applicables à chacun des organismes assureurs 13
Les certificats paritaires et mutualistes Caractéristiques : les certificats n offrent pas de droit de vote ; ils n offrent pas de droit sur l actif ; Loi du 31 juillet 2014 Article 36 : possibilité offerte à tous les organismes d assurance à forme mutuelle ou paritaire, et les structures de groupe imposant une solidarité financière (GPP, Sgam, UMG et UGM) d'émettre des certificats paritaires la souscription est limitée aux sociétaires, adhérents ou clients de l émetteur ou aux entreprises appartenant au même groupe, ainsi qu aux organismes pouvant eux-mêmes en émettre ; les titulaires de certificats ne peuvent les céder qu à l émetteur et dans des conditions précises ; la rémunération variable est décidée par l Assemblée générale et plafonnée pour les titulaires ; les titres sont potentiellement assimilables aux fonds propres de qualité maximale, améliorant ainsi la situation prudentielle des mutuelles ; l ACPR doit nécessairement approuver préalablement les programmes d émissions et de rachats ; Un devoir de conseil est impératif lors de la vente des certificats afin de garantir un niveau de protection maximal des sociétaires et adhérents ; le montant total des certificats émis pourrait représenter jusqu à 20 points de couverture des exigences de solvabilité pour les entreprises concernées qui en feraient usage. 14
Les taux d emprunts français à leur plus bas historique OAT 10 ans (en %) 12,0 11,9% le 19 octobre 1987 10,0 Une baisse constante depuis 30 ans 8,0 6,0 4,0 2,0 1,21% le 14 octobre 2014 0,0 1987 1990 1993 1996 1999 2002 2005 2008 2011 2014 15
Zoom assurance vie Contrat urocroissance Nouveau type de fonds intégrable aux contrats d assurance vie épargne et retraite Epargne valorisée en fonction de la valeur de marché des actifs du fonds Garantie en capital au terme uniquement (8 ans minimum) Allocation d actifs plus dynamique pour une espérance de rendement meilleure que celle d un fonds en euros Transferts possibles sans perte d antériorité fiscale, si 10% minimum du fonds euro est transféré Contrat Vie Génération Contrat exclusivement investi en unités de compte Au moins 1/3 de la cotisation investie dans des actifs relevant : de l économie sociale et solidaire des ETI - PME du logement social ou intermédiaire Abattement de 20% sur les capitaux transmis par décès avant l application de l abattement vie de 152 500 par bénéficiaire Transferts possibles sans perte d antériorité fiscale jusqu au 31 décembre 2015 16
Le défi de la longévité Vers une nouvelle réforme des retraites? Quels impacts en prévoyance? Dépendance et santé : quel impact du vieillissement de la population? 17
Zoom santé : point sur les différentes strates de couverture santé d un salarié du secteur privé AUJOURD HUI DEMAIN Surcomplémentaire individuelle Surcomplémentaire facultative d entreprise Accord de branche / Contrat d entreprise ou Contrat individuel Complémentaire obligatoire (Ani) Sécurité sociale Sécurité sociale Sécurité sociale 18
Le défi de la technologie Technologie : quels impacts sur nos métiers? Réussir le virage numérique dans la distribution de l assurance Poids d internet dans la distribution des affaires nouvelles en assurance vie (FFSA) Pour décrypter un génome, il fallait investir : 100 millions de dollars début 2000 10 000 dollars en 2010 1 000 dollars annoncés en janvier 2014 L assuré en saura bientôt bien plus que son assureur : quelles conséquences? 19
Le nouveau Plan d entreprise 2015-2017 : Vers un nouveau groupe 20
Centre d'etudes et d'information sur l'épargne, la retraite et la prévoyance 21
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