NOTE D INFORMATION & TARIFS 2007 Le cabinet Brice MONFROY 04 76 75 77 34 E-mail : brice.monfroy@wanadoo.fr Site Internet : www.architecte-urbaniste.com tarifs et champs d investigation en matière d expertise Immobilière : Diagnostic de Performance Energétique Arrêté n SOCU0611881A Recherche de matériaux contenant de l amiante décret n 96-97 & décret n 97-855 Etat parasitaire relatif à la présence de termites décret n 2000-613 & arrêté du 10 août 2000 Arrêté préfectoral n 2002-10137 Constat des Risques d Exposition au plomb (C.R.E.P.) Articles L 1334-5 et L 1334-6 du code de la santé publique Relevé de surface loi n 96-1107 & décret n 97-532
Diagnostic de Performance Energétique Arrêté n SOCU0611881A Ces diagnostics réalisés par des professionnels permettront d'identifier les consommations prévisionnelles d'énergie des logements et des bâtiments mis en vente. La lecture du diagnostic de performance énergétique sera facilitée par une estimation chiffrée en euros et par l'utilisation de la double étiquette suivante : - une étiquette pour connaître la consommation d'énergie (comme pour l'électroménager et désormais les voitures) - une étiquette pour connaître l'impact de ces consommations sur l'effet de serre. Cette estimation des consommations d'énergie sera établie sur la base d'un diagnostic effectué selon une méthode approuvée par le ministère ou bien sur la base des consommations constatées sur 3 années. Outre cette estimation, le diagnostic comprendra également des recommandations techniques qui permettront au propriétaire de repérer les travaux les plus efficaces pour économiser l'énergie. Bien entendu, les consommations réelles des bâtiments dépendront très directement des conditions d'usage et de la température effective de chauffage ; ces estimations ne pourront ainsi constituer une garantie contractuelle, mais elles permettront une comparaison objective de la qualité des logements et bâtiments mis en vente. La réalisation de ces diagnostics de performance énergétique est obligatoire à l'occasion de la vente de chaque logement ou bâtiment en France métropolitaine à compter du 1er novembre 2006. Les résultats de ces diagnostics doivent être tenus à disposition, par le vendeur, de tout candidat acquéreur qui en fait la demande, dès la mise en vente du bâtiment ou de la partie du bâtiment. La fourniture de cette étiquette énergie sera étendue aux livraisons de bâtiments neufs et aux bâtiments et logements loués à compter du 1er juillet 2007. Les propriétaires pourront aussi, en dehors d'une vente, faire réaliser un tel diagnostic de performance énergétique pour avoir une expertise d'ensemble de leur bien et bénéficier de recommandations de travaux d'économie d'énergie. Cette réforme s'inscrit dans un ensemble de mesures qui visent à la fois à limiter l'impact de la hausse des coûts de l'énergie sur le porte-monnaie des français et aussi à préserver l'environnement : - baisse de la TVA applicable aux factures de chauffage urbain - exigences renforcées de performance énergétique pour les bâtiments neufs depuis le 1er septembre 2006 et dans les bâtiments existants à partir de 2007 - incitation aux architectures bioclimatiques et au recours aux énergies renouvelables - possibilité de choisir des logements avec le label Haute Performance Énergétique et demain avec un label Basse consommation équivalents aux meilleurs labels allemand ou suisse permettant de mettre au point les technologies du futur et la réalisation de bâtiments très économes en énergie
Recherche de matériaux contenant de l amiante décret n 96-97 & décret n 97-855 Depuis le 1 er septembre 2002, le décret 2002-839 du 3 mai 2002 impose la recherche d amiante à tout LES IMMEUBLES BATIS SANS EXCEPTION dont le permis de construire à été délivré avant le 1 er juillet 1997. Pour information, les maisons individuelles sont concernées par ce décret. Depuis le décret n 2001-840 du 13 septembre 2001 la recherche d amiante a été étendu à tout type de matériaux dans les cas suivants : - I.G.H. (Immeuble de Grande Hauteur), au plus tard le 31/12/2003. - E.R.P. (Etablissement Recevant du Public), au plus tard le 31/12/2003. - Immeubles de bureaux, industriels ou agricoles, au plus tard le 31/12/2005. - Les locaux de travail et les parties à usage commun des immeubles collectifs d habitation, au plus tard le 31/12/2005. Pour tous ces cas, un DOSSIER TECHNIQUE AMIANTE devra être rédigé par un technicien qualifié de la construction et tenu à jour ANNUELLEMENT (en cas de présence d amiante). Les propriétaires de ces immeubles produisent, au plus tard à la date de toute promesse de vente ou d achat, un constat précisant la présence ou, le cas échéant, l absence de matériaux et produits contenant de l amiante. L Article L.1334-7 du code de la santé publique : En l absence de l état annexé, aucune clause d exonération de la garantie des vices cachés ne peut être stipulé à raison des vices constitués par la présence d amiante dans ces éléments de construction. Exemple de matériaux recherchés
CONSTAT MENTIONNANT LA PRESENCE OU LE CAS ECHEANT L'ABSENCE DE PRODUITS OU MATERIAUX CONTENANT DE L'AMIANTE Le constat annexé à toute promesse unilatérale de vente ou d'achat et à tout acte de vente précise l'absence ou la présence d'amiante dans les matériaux et produits suivants : COMPOSANT DE LA PARTIE DU COMPOSANT A VERIFIER OU A SONDER CONSTRUCTION 1. Parois verticales intérieures et enduits Murs et poteaux Cloisons, gaines et coffres verticaux 2. Planchers, plafonds et faux plafonds Flocages, enduits projetés, revêtement durs des murs (plaques menuiserie, amiante-ciment) et entourages de poteaux (carton, amiante-ciment, matériau sandwich, carton + plâtre) Flocages, enduits projetés, panneaux de cloisons Plafonds, gaines et coffres Flocages, enduits projetés, panneaux collés ou vissés verticaux, poutres et charpentes Faux plafonds Planchers Panneaux Dalles de sol 3. Conduits, canalisations et équipements Conduits de fluides (air, eau, autres fluides..) Clapets/volets coupe-feu Portes coupe-feu Vide-ordures 4. Ascenseur, monte-charge Trémies Conduits, calorifuges, enveloppes de calorifuges Clapets, volets, rebouchage Joints (tresses, bandes) Conduits Flocages Le constat devra indiquer la localisation et l'état de conservation des matériaux et produits. Pour les maisons individuelles et les parties privatives des immeubles soumis au statut de la copropriété, les vendeurs feront réaliser ce constat. Pour les parties communes des immeubles soumis au statut de la copropriété, le constat sera constitué par la fiche récapitulative du dossier technique "amiante". SANCTIONS PENALES Contrairement à la plupart des prescriptions du décret du 7 février 1996, cette disposition n'est pas assortie de sanctions pénales. Le défaut de production de l'état/constat sera sanctionné par l'impossibilité de s'exonérer de la garantie des vices cachés. Rappel : Le défaut de constitution du dossier technique amiante et de la fiche récapitulative peut être sanctionné par : - une amende de 1.500 euros maximum si le propriétaire est une personne physique (Code pénal : art. L. 131-13) ; - une amende de 7.500 euros maximum si le propriétaire est une personne morale (Code pénal : art. L. 131-14).
SCHEMA D INTERVENTION SUIVANT LA NORME NF X 46-020 DANS LE CAS DE RECHERCHE DE PRODUITS ET MATERIAUX CONTENANT DE L'AMIANTE LE RAPPORT/REDACTION VISITE DES LIEUX ENTRETIEN PREALABLE Devis + Plan d'intervention + Plan de Prévention REPERAGE VISUEL CROQUIS des lieux Signature du propriétaire + Remise de tout doc concernant le bâtiment METHODOLOGIE de repérage Repérage par matériaux reporté sur le croquis Flocage/Faux plafond Calorifugeage Etat de conservation N=1 N=2 N=3 grilles arrêté du 7/2/1996 et circulaire du 26/4/1996 Autres matériaux Bon état Etat dégradé tableau arrêté du 22/08/2002 REPORTER LES PRELEVEMENTS D'ECHANTILLONS SUR LE CROQUIS Envoi des échantillons dans un laboratoire agréé Résultats du laboratoire destruction de l'archive après réception des résultats 2eme schéma/croquis où seront indiqués les matériaux et produits contenant de l'amiante Remplir tableau Annexes : Grille/croquis/photos Prélèvement en double archivage chez l'opérateur CONCLUSION PRECONISATIONS RAPPEL DES OBLIGATIONS REGLEMENTAIRES
Etat parasitaire relatif à la présence de termites décret n 2000-613 & arrêté du 10 août 2000 Arrêté préfectoral n 2002-10137 du 1 octobre 2002 Depuis le 1 er octobre 2002, le décret 2000-613 du 3 juillet 2000 impose un état parasitaire à tout LES IMMEUBLES BATIS SANS EXCEPTION en cas de vente dans une commune touchée par l infestation. Ce constat annexé à tout acte de vente précise l'absence ou la présence d activité au moment du contrôle : COMMUNES TOUCHEES PAR LES TERMITES DANS L ISERE Arrêté préfectoral n 2002-10137 en date du 1 octobre 2002 Biviers St Nazaires les Eymes St Ismier Villard Bonnot Corenc Montbonnot Le Versoud st Martin St Martin St Jean le Vinoux Meylan La Domène le Vieux Tronche Seyssinet Grenoble St Martin d'heres Poisat Gières Murianette Venon St Martin d'uriage Revel La loi n 99-471 du 8 juin 1999 vise à protéger les acquéreurs et propriétaires d'immeubles contre les termites et autres insectes xylophages. Elle définit les conditions d organisation de la prévention et la lutte contre ces insectes. Cette loi, ainsi que ses premiers textes d'application (décret du 3 juillet 2000, arrêté du 10 août 2000) sont destinés à permettre la protection des acquéreurs et propriétaires d'immeubles contre les termites. Elle a donné de nouveaux pouvoirs aux maires et aux préfets afin de coordonner les actions de lutte. Pour les habitants et les professionnels, elle impose également de nouvelles obligations. Les experts sont soumis à des obligations d indépendance et d impartialité, la loi du 8 juin 1999 interdit à une entreprise de traitement contre les termites de faire un diagnostic ou une expertise de la présence des termites. Seul un expert compétent peut établir l'état parasitaire précisant qu'un immeuble est infesté ou pas par les termites (cette pièce permet l'information en cas de vente d'un immeuble, et sert à justifier de la recherche de termites lorsqu elle est imposée).
Exemple de dégât occasionné sur le bois par les termites
Constat des Risques d Exposition au plomb (C.R.E.P.) Articles L 1334-5 et L 1334-6 du code de la santé publique Un Etat des Risques d'accessibilité au Plomb doit désormais être annexé à toute promesse unilatérale de vente ou d'achat et à tout contrat réalisant ou constatant la vente d'un immeuble d'habitation construit avant 1948 et situé dans une zone à risque d'exposition au plomb délimitée par la préfecture. Cet état doit avoir été établi depuis moins d'un an à la date de la promesse de vente ou d'achat ou du contrat susvisé. (Code de la santé publique, article L 32-5, alinéa1er). La réalisation d un Constat des Risques d Exposition au Plomb (C.R.E.P.) dans les parties communes est de la responsabilité du syndicat des copropriétaires. Le copropriétaire vendeur ne peut obliger les autres copropriétaires à effectuer un CREP néanmoins les syndics ont une obligation de conseil auprès du syndicat des copropriétaires. A ce titre, il est de leur devoir et sous leur responsabilité de conseiller les copropriétaires à réaliser un ERAP, sur les parties communes, en invoquant le problème sanitaire lié à la présence de revêtements au plomb dégradé, et de le tenir à jour régulièrement. Le CREP dans les parties communes, permet d éviter : La recherche en responsabilité : Les risques d intoxication : - du copropriétaire - du syndic de copropriété - des occupants et autres copropriétaires - des intervenant dans les programmes de maintenance Recherche de revêtements pouvant contenir du plomb. Ce diagnostic est effectué à l analyseur portable à fluorescence X. Gage de précision et de fiabilité dans l expertise ; ce mode de contrôle permet de réaliser un grand nombre de mesures afin de détecter les traces de plombs dans les revêtements.
Relevé de surface loi n 96-1107 & décret n 97-532 «Art. 46. - Toute promesse unilatérale de vente ou d achat, tout contrat réalisant ou constatant la vente d un lot ou d une fraction de lot mentionne la superficie de la partie privative de ce lot ou de cette fraction de lot. La nullité de l acte peu être invoquée sur le fondement de l absence de toute mention de superficie. Schéma de principe du relevé d'état des surfaces conformément à la Loi n 96-1107 du 18 décembre 1996 et au décret 97-532 du 23 mai 1997 portant sur la définition de la superficie privative d'un lot de copropriété. Mesures effectuées par Laser de classe 2, gage de fiabilité et de précision
Certificat d habitabilité décret n 91-1111 Dans le cadre de prêts aidés (types PAS, PC, 1%), il sera demandé un certificat d habitabilité. Il s agit d un état des lieux établissant la conformité du logement aux normes minimales d'habitabilité (confort et surface). Ce certificat est effectué par un professionnel du bâtiment (architecte, bureau d étude ). L'octroi des prêts PAS- pour l'achat de logements anciens avec des travaux d'amélioration à réaliser,- ou pour effectuer des travaux,de même que les aides à l'amélioration de l'habitat ou l'attribution de l'allocation logement sont subordonnés à la mise aux normes minimales d'habitabilité de ces habitations, si elles ne répondent pas déjà conditions de confort, de salubrité ou d'équipements requises. Exemple d informations données dans le certificat d habitabilité
Diagnostic technique dans le cadre d une mise en copropriété Loi SRU articles 74 et 80 Article 74 «Sous-section 2 «Règles générales de division «Art. L. 111-6-2. - Toute mise en copropriété d'un immeuble construit depuis plus de quinze ans est précédée d'un diagnostic technique portant constat de l'état apparent de la solidité du clos et du couvert et de celui de l'état des conduites et canalisations collectives ainsi que des équipements communs et de sécurité.» Article 80 «Art. 46-1. - Le diagnostic technique préalable à la mise en copropriété d'un immeuble construit depuis plus de quinze ans prévu à l'article L. 111-6-2 du code de la construction et de l'habitation est porté à la connaissance de tout acquéreur par le notaire lors de la première vente des lots issus de la division et lors de toute nouvelle mutation réalisée dans un délai de trois ans à compter de la date du diagnostic.»
Grille de Tarifs TTC 2007 Prix nets déplacements compris* (* agglomération Grenobloise) Appartement uros TTC St/T1 T2 T3 T4 T5 T6 Métré (C) 50 60 70 80 90 90 Amiante (A) 60 60 70 80 90 90 DPE (E) 100 120 140 160 180 190 Termite (T) 50 60 70 80 90 90 Plomb (Pb) 100 120 140 160 180 190 2 expertises Total - 30 Total - 40 Total - 50 Total - 60 Total - 70 Total - 80 3 expertises Total - 50 Total - 60 Total - 70 Total - 80 Total - 90 Total - 100 C+A+DPE C+T+DPE A+T+DPE A+Pb+DPE C+Pb+DPE P+T+DPE 160 150 160 210 200 200 170 170 170 230 230 230 190 190 190 260 260 260 210 210 210 290 290 290 220 220 220 230 230 230 340 340 340 4 expertises Total - 70 Total - 80 Total - 90 Total - 100 Total - 110 Total - 120 C+A+T+DPE C+A+Pb+DPE C+T+Pb+DPE A+Pb+T+DPE 180 220 220 230 210 270 270 270 240 270 350 350 350 300 390 390 390 320 430 430 430 5 expertises Total - 90 Total - 100 Total - 110 Total - 120 Total - 130 Total - 140 C+A+T+DPE+Pb 260 360 400 440 480 Maison uros TTC T3 T4 T5 T6 Métré 90 100 110 120 Amiante 90 100 110 110 DPE 160 180 190 200 Termite 120 140 160 180 Plomb 160 180 190 200 2 expertises Total - 50 Total - 60 Total - 70 Total - 80 3 expertises Total -70 Total - 80 Total - 100 Total - 120 C+A+DPE A+T+DPE A+Pb+DPE P+T+DPE 270 300 340 370 300 340 380 420 360 390 440 370 390 460 4 expertises Total - 150 Total - 170 Total -190 Total - 210 C+A+T+DPE 350 380 400 A+Pb+T+DPE 380 430 460 480 5 expertises Total - 150 Total - 170 Total -190 Total - 210 C+A+T+DPE+Pb 470 530 570 600 PRELEVEMENT et ANALYSE en laboratoire : Echantillons susceptibles de contenir de l amiante : Méthode MOLP ou META : 50 PRELEVEMENT et ANALYSE en laboratoire : Plombs dans écailles/poussières : 33 Parties communes Dossier Technique Amiante : NOUS CONSULTER Surfaces au-delà de 300m² Locaux industriels NOUS CONSULTER