EXPERIENCE PROFESSIONNELLE ET ENSEIGNEMENT

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "EXPERIENCE PROFESSIONNELLE ET ENSEIGNEMENT"

Transcription

1 DIAGNE Souleymane Astou Bureau J214 DOMAINE DE RECHERCHE Economie institutionnelle, du développement et internationale CURSUS UNIVERSITAIRE 2006 : Doctorant en Sciences Economiques, Université Paris XIII 2006 : Master Expertise Statistique en Traitement de Données Éco, Univ Metz, mention AB 2005 : DEA, Économie Internationale et Régulation, Université Paris XIII, mention AB 2004 : Maîtrise Sciences Économiques, Université Paul Verlaine Metz 2003 : Licence Sciences Économiques, Université Paul Verlaine Metz 2002 : DEUG II Sciences Économiques, Université Paul Verlaine Metz 2001 : DEUG I Sciences Économiques, Université Paul Verlaine Metz, mention AB 2000 : Bac S Lycée de Bambey (Sénégal) EXPERIENCE PROFESSIONNELLE ET ENSEIGNEMENT Octobre 05 Janvier 2007 : Chargé de Travaux Dirigés à la Faculté de Droit, Economie et Administration, Université Paul Verlaine Metz : 2006/2007 : Méthodologie Economique et sociale (L1 AES) Analyse Economique des Politiques Sociales (L2 économie) 2005/2006 : Méthodologie Economique (L1 économie) Macroéconomie Ouverte (L2 économie) Juillet Octobre 2006 : Stage à l Organisation de Coopération et de Développement Economique (OCDE). Dans le cadre de la 6 éme édition du rapport sur les Perspectives de l Economie Africaine (PEA), ma mission : Recherche sur la littérature existante sur l accès à l eau en Afrique- Identifier les expériences innovantes de développement des infrastructures d eau et sanitaires (en Afrique et ailleurs) Déterminer les indicateurs statistiques pertinents Faire des revues sur les 30 pays couverts dans les PEA. 1

2 Université de paris XIII Ecole doctorale Droit Economie CEPN CNRS UMR n 7115 Sous la direction du professeur Dominique PLIHON Présentée par Souleymane Astou DIAGNE Problématique de recherche «L impact des institutions sur le développement économique : Etude comparative entre l Afrique Subsaharienne et l Asie du sud-est de 1960 à aujourd hui.» 2

3 En 1960, l Afrique subsaharienne avait relativement le même niveau de développement que l Asie du sud est. Comparaison Afrique / Asie PIB/H 4000,0 3500,0 3000,0 2500,0 2000,0 1500,0 1000,0 500,0 0, Année AFRIQUE ASIE La problématique de la thèse va consister à vérifier dans le cadre d'une comparaison entre l'afrique sub-saharienne et les NPIA si le rôle des institutions peut expliquer la divergence des trajectoires observées sur longue période. Un des aspects secondaires consisterait à comprendre pourquoi certains pays africain dans la trajectoire de croissance ressemblait au dynamisme des pays asiatique a été stopper dans les années Apercu général Expliquer les énormes écarts de revenus moyens entre pays riches et pays pauvres est l une des questions les plus fondamentales de l économie du développement. D où vient ce vaste fossé et que faire pour le réduire? Il ne paraît pas étonnant, à première vue que l analyse économique ne parvient pas à répondre à une question aussi complexe. Cependant, trois théories peuvent nous aider à répondre à cette question. La première, ancienne et bien connue, attribue un rôle dominant à la géographie. La géographie est le déterminant principal du climat et des dotations en ressources naturelles et peut aussi jouer un rôle essentiel dans la morbidité, les frais de transport et le degré de diffusion de nouvelles technologies en provenance de régions plus avancées. Par conséquent, elle influe notablement sur la productivité agricole et la qualité des ressources humaines. Une deuxième théorie insiste sur le rôle du commerce international comme moteur de la croissance de la productivité et du revenu. Cette théorie de l intégration donne à la participation et aux obstacles à la participation à l économie mondiale un rôle prépondérant dans la promotion de la convergence économique entre les régions pauvres et les régions riches. Bien entendu, le débat sur la mondialisation concerne dans une large mesure les mérites de cette théorie de l intégration. Enfin, une troisième théorie met l accent sur les institutions en particulier le rôle des droits de propriété et l état de droit. Ce qui importe, selon cette théorie, ce sont les règles du jeu d une société, telles qu elles sont définies par les normes de conduite explicites et implicites en vigueur et leur capacité d encourager un comportement économique souhaitable. Cette théorie, associée peut-être le plus étroitement à Douglass North. Cette troisième théorie attire particulièrement notre attention et d ailleurs dans les années 90, la grande avancée de l'économie du développement a été la reconnaissance du rôle crucial des institutions dans le bon fonctionnement d'une économie. L importance donnée au renforcement des institutions, plutôt qu à l application de politiques «correctes», indique que la clé de la 3

4 réussite repose sur l aptitude à tenir compte de la situation locale. Cette approche constitue un renouveau théorique assez pertinent dans les nouvelles théories de la croissance. Le terme institution est défini de différentes manières. North en fait un concept très large désignant les règles formelles et informelles qui réagissent les interactions humaines. La définition de Schotter est beaucoup plus précise : " une régularité de comportement social accepté par l'ensemble des membres d'une société, qui détermine le comportement à adopter dans des situations spécifiques récurrentes et dont le contrôle est assuré aussi bien par les dits membres que par une autorité extérieure". La difficulté majeure des gouvernants (autorités nationales ou instituions internationales), c est de formuler des politiques, et d orienter la mise en place d institutions, de manière à stimuler le développement économique. Cependant il existe deux types d institutions : formelles et informelles. Les institutions formelles consistent en règles consignées par le droit par l Etat, en règles codifiées et adoptées par les institutions privées et en organisations publiques et privées opérant en vertu de la législation publique. Elles peuvent être les entreprises régies par le droit des sociétés. Les institutions informelles, qui opèrent souvent en marge du système juridique officiel, expriment des codes de comportements sociaux non écrits. Elles sont très présentes dans les pays en développement. Idéalement, les institutions formelles et informelles doivent se compléter, leur combinaison permet de ne réduire plus fortement les coûts de transactions qu aucune d entre elles ne pourrait le faire isolément. Le rôle des institutions peut être synthétisé en trois rôles : - Les institutions acheminent l information sur la situation des marchés, les biens et les participants. La bonne circulation de l information aide les entreprises à trouver des partenaires, des activités fortement rentables et à évaluer leur cote de crédit. L information sur les entreprises aide les gouvernements à bien réglementer les marchés. Les institutions peuvent influer sur la nature de la production, la collecte, l analyse, la vérification et la diffusion des données et de connaissances intéressant les participants, au sein du marché. - Les institutions définissent la nature du droit de propriété, des contrats et en assurant le respect, en fixant qui obtient quoi et quand. Le fait de connaître les droits qu on détient sur des actifs et des revenus et de pouvoir protéger ces droits, y compris dans le secteur privé vis-à-vis de l Etat, est fondamental pour le développement des marchés financiers. Des institutions comme la constitution d un pays ou son système judiciaire peuvent réduire le risque de différends et de contribuer à assurer le respect des contrats. - Les institutions accroissent la concurrence sur les marchés, en effet la concurrence incite les individus à faire mieux, favorisant l égalité des chances. Sur les marchés concurrentiels, les ressources ont davantage tendance à se porter sur un projet pour ses mérites. L existence d une certaine concurrence stimule aussi l innovation et la croissance économique, toute chose égale par ailleurs. Les coûts de transactions liés à l acquisition de l information se trouvent réduites. Au vu de nombreuses études économiques réalisées ces dernières années, la qualité institutionnelle explique en partie les écarts de développement entre certains pays. Ainsi comment mesurer la qualité institutionnelle? Comment est mesurée la qualité institutionnelle? Il existe une multitude de typologies des institutions. Cependant dans le cadre de notre analyse, nous pouvons distinguer quatre types d institutions : Les institutions de réglementation des marchés, qui s occupent des effets externes, des économies d échelles et des informations imparfaites. Ce sont par exemple les organismes de réglementation des services financiers. Les institutions de stabilisation des marchés, qui garantissent une inflation faible, réduisent au minimum l instabilité macroéconomique et évitent les crises financières. Ce sont par exemple les banques centrales, les régimes de changes et les règles budgétaires. Les institutions de légitimation des marchés, qui fournissent une protection et une assurance sociale, organisent la redistribution et gèrent les conflits. Ce sont par exemple les systèmes de 4

5 retraites, les dispositifs d assurances chômage et autres fonds sociaux. * Les institutions de responsabilisation, sont celles qui contrôlent les abus de pouvoir des agents de l État sont en général solides. Ces institutions sont soit créées par l État lui-même (par exemple les auditeurs généraux, l appareil judiciaire ou législatif), soit extérieures aux structures étatiques formelles (comme les médias et les groupes de la société civile). * Les institutions de participation : ces institutions (associations, syndicats,..) ont une singularité, elles sont créées par, la société civile, l Etat, des professionnels, des lobbies ou des labels. Leur rôle est d apporter une expertise sur des questions où elles ont une expérience non négligeable, de réclamer une transparence sur la gestion de l Etat ou des organismes concernés, de conseils et de tracer les lignes à ne pas franchir par les autorités. Autrement dit elles sont avant-gardistes et constituent très souvent, sur certains domaines, un contre pouvoir essentiel face aux dérives des Etats. Le rapport entre l Etat et ces institutions n est que souvent consultatif. Le débat sur le rôle des institutions dans le développement économique s est dangereusement simplifié. Selon certains, le vague concept d «institutions» est devenu, de façon presque tautologique, l objectif intermédiaire de toute réforme économique. En cas de dysfonctionnement d une économie, ses institutions sont nécessairement en tort. En fait, selon de récents articles écrits par des économistes comme Daron Acemoglu, Simon Johnson et James Robinson; Dani Rodrik, Arvind Subramanian et Francesco Trebbi;William Easterly et Ross Levine, le niveau de développement économique d un pays s explique presque intégralement par ses institutions; les ressources, la géographie physique, la politique économique, la géopolitique et les autres aspects de la structure sociale interne, tels que les rôles assignés à chacun des sexes et les inégalités entre groupes ethniques, ont peu d effet, voire aucun. Certes, une explication reposant sur un facteur unique peut paraître séduisante dans un cas aussi important que le développement économique, et celle reposant uniquement sur les institutions est particulièrement tentante pour deux raisons supplémentaires. Premièrement, elle explique les revenus élevés aux États-Unis, en Europe et au Japon par des institutions sociales prétendument supérieures; elle soutient même que, lorsque les revenus augmentent dans d autres régions, c est essentiellement grâce aux messages occidentaux sur la liberté, les droits de propriété et le marché qui y sont propagés par d intrépides missionnaires résolus à développer l économie. Deuxièmement, le monde riche n a guère, voire aucune, responsabilité financière vis-à-vis des plus démunis, car les développements ratés résultent de défaillances des institutions, et non d un manque de ressources. Malheureusement, les faits n étayent tout simplement pas ces conclusions. Les institutions sont certes importantes, mais elles ne constituent pas le seul facteur à prendre en compte. De nos jours, les obstacles au développement économique dans les pays les plus pauvres sont bien plus complexes que des carences institutionnelles. Plutôt que de se concentrer sur l amélioration des institutions en Afrique subsaharienne, il serait judicieux de se consacrer davantage à la lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, à la gestion de l épuisement des éléments nutritifs des sols et à la construction de routes supplémentaires qui permettraient aux populations isolées d accéder aux marchés régionaux et aux zones portuaires. En d autres termes, l Afrique subsaharienne et les autres régions qui cherchent aujourd hui à assurer leur développement économique ont besoin de bien plus que de discours sur la «bonne gouvernance» et de «bonnes institutions». Elles ont besoin d interventions directes, soutenues par une aide accrue des bailleurs de fonds, pour faire face aux maladies, à leur isolement géographique, à leur faible productivité technologique et à leur manque de ressources, qui les acculent à la pauvreté. Une bonne gouvernance et des institutions saines permettraient, sans aucun doute, à de telles interventions de produire plus d effets. Par ailleurs, ces dernières décennies, la Chine a souffert d une grave pollution atmosphérique qui nuisait à la santé de millions de personnes, le Cameroun a subi une déforestation qui entamait les moyens de subsistance des collectivités locales en mettant en péril la biodiversité, et la Malaisie a été déchirée par des conflits ethniques et socioéconomiques. Dans les trois cas, il fallait réunir les 5

6 parties concernées pour concilier des intérêts très éloignés de manière à pouvoir envisager avec sérénité l avenir à long terme. C est précisément ce à quoi peuvent servir les institutions. Dans son Rapport sur le développement dans le monde 2003, sous-titré Développement durable dans un monde dynamique, la Banque mondiale avance l idée que, bien souvent, les politiques qu il conviendrait d appliquer sont connues, mais qu elles ne le sont pas pour des raisons qui tiennent à la distribution des richesses et aux carences institutionnelles. Il appartient donc aux dirigeants politiques de concentrer leurs efforts sur les institutions (règles et organisations, formelles et informelles) pour amener les pouvoirs publics, les organisations non gouvernementales (ONG) et le secteur privé à gérer ensemble un vaste patrimoine, composé non seulement des ressources humaines et du capital matériel, mais aussi du patrimoine environnemental (eau douce et stocks de poissons, par exemple) et social (telle la confiance). Si les groupes sociaux peuvent envisager l avenir avec sérénité, un lien pourra s établir entre la réduction de la pauvreté et les institutions, qui pourront alors oeuvrer au développement durable. Un grand nombre des institutions indispensables à une croissance forte des revenus et à la création de richesses contribuent à la préservation du patrimoine social et environnemental, mais le développement durable s appuie aussi sur des fondements institutionnels plus larges, à savoir un meilleur accès à l information et à la connaissance et la capacité de former des partenariats plus étendus. Sans ces éléments, la société risque de se fragmenter et l environnement de se dégrader, ce qui, à terme, compromettra la croissance des revenus et le bien-être général. Références Bibliographiques AMABLE Bruno, Les cinq capitalismes : Diversité des Systèmes Economiques et Sociaux dans la mondialisation, 2005 Aoki Masahiko, Fondements d une analyse institutionnelle comparée, 2006 Daron Acemoglu Simon Johnson James Robinson, Institutions as the Fundamental Cause of Long-Run Growth, 2004 Daron Acemoglu, Simon Johnson, and James Robinson, Understanding Prosperity and Poverty: Geography, Institutions and the Reversal of Fortune, 2003 ARON, J. (2000), Growth and Institutions: A Review of the Evidence, World Bank Research Observer BARRO, R. (1991), Economic Growth in a Cross Section of Countries, Quarterly Journal of Economics BECK, T., G. CLARKE, A. GROFF, P. KEEFER and P. WALSH (2002), New Tools and New Tests in Comparative Political Economy: The Database of Political Institutions, Regulation and Competition Policy, Development Research Group, World Bank, Washington, D.C BOYER Robert, La théorie de la régulation, La découverte, 2002 Chavance B. L économie Institutionnelle, La découverte, 2007 CLAGUE, C. (1997), Institutions and Economic Development, John Hopkins University Press, Baltimore CAMPOS, N. and J.B. NUGENT (1998), Institutions and Growth: Can Human Capital Be a Link, Crozet Yves, Abdelmalki Lahsen, Dufourt Daniel, Sandretto René, Les grandes questions de l économie internationale, 2éme édition, Nathan, DOLLAR, D. and A. KRAY (2002), Institutions, Trade, and Growth, Paper prepared for the Carnegie-Rochester Conference Series on Public Policy. 6

7 EASTERLY, W. (2001), Can Institutions Resolve Ethnic Conflict, Economic Development and Cultural Change, Johannes Jütting, Institutions and development: a critical review, Technical paper, n 210, Paris, OCDE, July 2003 GAVIRIA, A., U. PANIZZA, J. SEDDON and E. STEIN (2000), Political Institutions and Growth Collapses, Working Paper, No. 419, Research Department, Inter-American Development Bank, Washington, D.C. Hali Edison, qualité des institutions et résultats économiques, Finances&Développement, juin 2003 ; Hellman Joel et Kaufmann Daniel, la captation de l Etat dans les économies en transition : un défi à relever, HENISZ, W.J. (2000), The Institutional Environment for Economic Growth, Economics and Politics KNACK, S. and P. KEEFER (1995), Institutions and Economic Performance: Cross Country Tests Using Alternative Institutional Measures, Economics and Politics Jenny Minier, Institutions and parameter heterogeneity, 2007 MENARD Claude, Le processus de développement économique, 2003 MAURO, P. (1995), Corruption and Growth, Quarterly Journal of Economics, NORTH, D.C. (1990), Institutions, Institutional Change and Economic Performance, Cambridge University Press, Cambridge. LA PORTA, R., F. LOPEZ-DE-SILANES, A. SHLEIFER and R. VISHNY (1998), The Quality of Government, Harvard Institute of Economic Research Working Papers 1847, Harvard Institute of Economic Research, Cambridge, MA. PLATTEAU, J.-P. (2000), Institutions, Social Norms, and Economic Development, Harwood Academic Publishers, Amsterdam. RODRICK, D. (1999), Institutions for High Quality Growth: What They Are and How They Affect Growth, Paper prepared for the International Monetary Fund Conference on Second-Generation Reforms, Washington, D.C., 8-9 November RODRIK, D, A. SUBRAMANIAN and F. TREBBI (2002), Institutions Rule: The Primacy of Institutions over Integration and Geography in Economic Development, IMF Working Paper, WP/02/189, International Monetary Fund, Washington, D.C. Rodrik D, Where Did All the Growth Go? External Social Conflict, and Growth Collapses, Journal of Economic Growth, Rodrik D et Subramanian Arvin, la primauté des institutions, Finances&Développement, juin Rodrik D, Goodbye Washington consensus, Hello Washington Confusion? 2006 SACHS, J. (2003), Institutions Don t Rule: Direct Effects of Geography on Per Capita Income, NBER Working Paper, No. w9490, February. SACHS, J. (1989) Social Conflict and Populist Policies in Latin America, NBER Working Paper No. 2897, National Bureau of Economic Research, Cambridge. Schotter A, The Economics Theory of Social Institutions, Cambridge University Press, New-York,

8 Silvio Borner, Frank Bodmer et Markus Kobler, LE RÔLE DES FACTEURS POLITIQUES DANS LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE, OCDE 2004 WILLIAMSON, O.E. (2000), The New Institutional Economics: Taking Stock, Looking Ahead, The Journal of Economic Literature WORLD BANK (2002), World Development Report 2002: Building Institutions for Markets, Oxford University Press, Oxford. Williamson J et Kuczynski Pedro-Pablo, eds, After the Washington Consensus: Restarting Growth and Reform in Latin America,

LES INÉGALITÉS s accroissent dans

LES INÉGALITÉS s accroissent dans EMPLOI Le POUVOIR et le PEUPLE Florence Jaumotte et Carolina Osorio Buitron LES INÉGALITÉS s accroissent dans de nombreux pays avancés depuis les années 80, essentiellement par suite de la concentration

Plus en détail

United Nations, World Population Prospects, CD ROM; The 2008 Revision.

United Nations, World Population Prospects, CD ROM; The 2008 Revision. SOURCES SOURCE Data Sources Population : Labour Force: Production: Social Indicators: United Nations, World Population Prospects, CD ROM; The 2008 Revision. International Labour Organisation (ILO). LaborStat

Plus en détail

Le Baromètre Semestriel d Inclusion Bancaire et Financière en Tunisie (Evolution des Indices d Inclusion au 2ème Semestre 2013)

Le Baromètre Semestriel d Inclusion Bancaire et Financière en Tunisie (Evolution des Indices d Inclusion au 2ème Semestre 2013) Le Baromètre Semestriel d Inclusion Bancaire et Financière en Tunisie (Evolution des Indices d Inclusion au 2ème Semestre 213) 1. Exposé des motifs et référentiels internationaux. La circularité des concepts

Plus en détail

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour

Plus en détail

POL 4470-40 Introduction à l'économie politique des relations internationales Travaux pratiques (un des trois TP au choix à faire en équipe)

POL 4470-40 Introduction à l'économie politique des relations internationales Travaux pratiques (un des trois TP au choix à faire en équipe) Université du Québec à Montréal Département de science politique Session Automne 2008 POL 4470-40 Introduction à l'économie politique des relations internationales Travaux pratiques (un des trois TP au

Plus en détail

La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux

La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux OCP Policy Center Seminar series La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux Pierre-Richard Agénor, Hallsworth Professor, University of Manchester and Senior Fellow, OCP

Plus en détail

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

Document 1.2: Définition de l indicateur d ouverture (OPENNESS) de Sachs et Warner,1995

Document 1.2: Définition de l indicateur d ouverture (OPENNESS) de Sachs et Warner,1995 PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE SESSION 6 : RENNES, 1314 MARS 2008 Atelier : Ouverture et croissance Animé par Akiko SuwaEisenmann (EEP) L objectif de cet atelier est d examiner les données de plusieurs

Plus en détail

L importance des investissements publics pour l économie. Analyse thématique Finances locales

L importance des investissements publics pour l économie. Analyse thématique Finances locales L importance des investissements publics pour l économie Analyse thématique Finances locales Belfius Research Mars 2015 Introduction En septembre 2014, les normes SEC 2010 1 ont été appliquées intégralement

Plus en détail

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir

Plus en détail

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités

Plus en détail

INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------

INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Etudes internationales de l Université Paris-Sud Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des diplômes

Plus en détail

résumé un développement riche en emplois

résumé un développement riche en emplois ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE

Plus en détail

Synthèse n 16, Février 2012. Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire

Synthèse n 16, Février 2012. Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire Synthèse n 16, Février 2012 Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire ----------- 1. Les investissements nécessaires à la transition vers un modèle de croissance durable

Plus en détail

Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable

Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable Turin, Italie Contexte Le Centre international de formation de l Organisation internationale du Travail (CIF-OIT)

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Philosophie, psychanalyse de l Université Paul-Valéry Montpellier 3 Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations

Plus en détail

La finance, facteur d inégalités

La finance, facteur d inégalités La finance, facteur d inégalités Olivier GODECHOT Cette étude montre que, contrairement aux idées reçues, les PDG et des superstars du sport ou du divertissement ne sont pas les premiers responsables de

Plus en détail

Capital in the twenty- First Century

Capital in the twenty- First Century Capital in the twenty- First Century 21 2013 9 2014 3 19 20 20 21 Capital in the twenty-first Century 20 19 18 20 80~90 World top income Database 1/4 1/4 XVi 20 90 2000 2010 / / 90% 100% 20 90 1/3~1/2

Plus en détail

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources

Plus en détail

Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance?

Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 mars 2015 à 13:38 Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance? Notions : PIB, IDH, investissement, progrès technique, croissance endogène, productivité

Plus en détail

LA CHINE ET L AFRIQUE DE L OUEST

LA CHINE ET L AFRIQUE DE L OUEST LA CHINE ET L AFRIQUE DE L OUEST Professeure : Yumiko Yamamoto Année universitaire 2015/2016 : Semestre d automne SÉANCES ET PROGRAMMES Séance 1. Introduction à la Chine et l Afrique de l Ouest 1ère Partie.

Plus en détail

Le Marketing au service des IMF

Le Marketing au service des IMF Le Marketing au service des IMF BIM n 06-20 février 2002 Pierre DAUBERT Nous parlions récemment des outils d étude de marché et de la clientèle créés par MicroSave-Africa, qui s inscrit dans la tendance

Plus en détail

APPEL A COMMUNICATIONS

APPEL A COMMUNICATIONS APPEL A COMMUNICATIONS Colloque régional UEMOA-CRDI sur Intégration régionale et stratégies régionales de réduction de la pauvreté 8-10 décembre 2009, Ouagadougou, Burkina Faso Délai de soumission de résumé

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

solutions Investir dans des Plan stratégique 2015-2020

solutions Investir dans des Plan stratégique 2015-2020 International Development Research Centre Centre de recherches pour le développement international Investir dans des solutions Plan stratégique 2015-2020 LE MOT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL Je suis très fier

Plus en détail

La question sociale globale et les migrations. Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010

La question sociale globale et les migrations. Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010 La question sociale globale et les migrations Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010 1. Nous connaissons un moment sans précédent de victoire contre la pauvreté 2.

Plus en détail

Les Entretiens Jacques Cartier. Session 1 : De la naissance du connectivisme à la satisfaction des besoins éducatifs

Les Entretiens Jacques Cartier. Session 1 : De la naissance du connectivisme à la satisfaction des besoins éducatifs Les Entretiens Jacques Cartier Colloque 1 : Cours massifs et ouverts en ligne adaptés aux besoins du 21ème siècle. Un défi pour l enseignement supérieur des pays du nord et du sud. Session 1 : De la naissance

Plus en détail

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme

Plus en détail

75 007 Paris Bâtiment F, Bureau 101 B

75 007 Paris Bâtiment F, Bureau 101 B FROUTÉ PHILIPPE Né le 13/04/1980 27 ans Célibataire Adresse Personnelle Adresse Professionnelle 29, rue Rousselet Université de Paris X Nanterre 75 007 Paris Bâtiment F, Bureau 101 B Tél : + 33 (0)1.56.58.29.23

Plus en détail

Comment va la vie en France?

Comment va la vie en France? Comment va la vie en France? L Initiative du vivre mieux, lancée en 2011, se concentre sur les aspects de la vie qui importent aux gens et qui ont un impact sur leur qualité de vie. L Initiative comprend

Plus en détail

Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010

Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010 Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement

Plus en détail

MASTER ECONOMIE APPLIQUEE

MASTER ECONOMIE APPLIQUEE Le Master Economie Appliquée est destiné à des étudiants ayant reçu une formation universitaire solide en économie, statistiques, mathématiques et économétrie. Ce Master propose un cursus sur deux années

Plus en détail

Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne. Résumé

Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne. Résumé Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Résumé 1 Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Au cours de la dernière décennie,

Plus en détail

PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée.

PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. Il y a trois approches possibles du produit intérieur brut : Optique de la production Optique

Plus en détail

MASTER EN MANAGEMENT DES ORGANISATIONS MASTER MADO

MASTER EN MANAGEMENT DES ORGANISATIONS MASTER MADO MASTER EN MANAGEMENT DES ORGANISATIONS MASTER MADO Diplôme délivré par l Université de Toulouse 2 Contacts : Gilbert de Terssac : detersac@univ-tlse2.fr Michel Catlla : catlla@univ-tlse2.fr Trinh Anh Tung

Plus en détail

Perspectives. Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud. Ediab Ali. que monétaire

Perspectives. Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud. Ediab Ali. que monétaire ARTICLE & ETUDE Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud Ediab Ali Le concept de la politi- Économiste que monétaire La politique monétaire est une des plus importants piliers

Plus en détail

Le FMI et son rôle en Afrique

Le FMI et son rôle en Afrique Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle

Plus en détail

Pour fin de la présente analyse, nous nous référerons au secteur Finances et assurances (SCIAN numéro : 52).

Pour fin de la présente analyse, nous nous référerons au secteur Finances et assurances (SCIAN numéro : 52). GROUPE DE TRAVAIL L industrie des services financiers à Montréal Définition de l industrie Pour fin de la présente analyse, nous nous référerons au secteur Finances et assurances (SCIAN numéro : 52). Ce

Plus en détail

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus

Plus en détail

Les relations commerciales entre les pays méditerranéens

Les relations commerciales entre les pays méditerranéens Les relations commerciales entre les pays méditerranéens Giorgia Giovannetti Directrice du volet «Développement» du Programme de gouvernance mondiale Centre d études Robert Schuman Institut universitaire

Plus en détail

Micro crédit-bail et l'expérience de la Grameen Bank

Micro crédit-bail et l'expérience de la Grameen Bank Micro crédit-bail et l'expérience de la Grameen Bank BIM n 114-3 avril 2001 Karin BARLET Le crédit-bail ou leasing est une opération simple, pratiquée depuis longtemps dans de nombreux pays. Aujourd hui

Plus en détail

L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)

L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE

Plus en détail

L implantation des banques marocaines en Afrique

L implantation des banques marocaines en Afrique L implantation des banques marocaines en Afrique L intégration de l économie marocaine à l économie mondiale est désormais une évidence qui fait l unanimité, le dynamisme de cette intégration a été rendu

Plus en détail

Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009

Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq

Plus en détail

Énergie et Mondialisation

Énergie et Mondialisation Énergie et Mondialisation Il est fréquent d affirmer que de nombreuses questions énergétiques ou environnementales ne peuvent être posées correctement qu au niveau mondial. Résolument ancré dans le réseau

Plus en détail

Modélisation de la réforme des pensions

Modélisation de la réforme des pensions Modèle PROST de la Banque Mondiale Modélisation de la réforme des pensions Mécanisme de simulation des options de réforme des retraites, de la Banque Mondiale L es politiques de pension d aujourd hui peuvent

Plus en détail

L évolution du marché des prêts consortiaux en Amérique du Nord

L évolution du marché des prêts consortiaux en Amérique du Nord L évolution du marché des prêts consortiaux en Amérique du Nord Jim Armstrong L e crédit consortial, qui se situe à la confluence des services bancaires commerciaux et des services bancaires d investissement,

Plus en détail

Ameth Saloum NDIAYE. Colloque régional UEMOA-CRDI 2009 1

Ameth Saloum NDIAYE. Colloque régional UEMOA-CRDI 2009 1 Ameth Saloum NDIAYE CEPOD, Ministère de l Economie et des Finances, Sénégal Colloque régional UEMOA-CRDI, Ouagadougou, Burkina Faso, 8-10 décembre 2009 1 Problématique et justification Objectifs du papier

Plus en détail

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010 75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en

Plus en détail

Ressources pour le lycée général et technologique

Ressources pour le lycée général et technologique Ressources pour le lycée général et technologique éduscol Sciences économiques et sociales - Terminale ES Enseignement de spécialité Economie approfondie Thème n 1 : Economie et démographie Fiche 1.2 :

Plus en détail

WS32 Institutions du secteur financier

WS32 Institutions du secteur financier WS32 Institutions du secteur financier Session 1 La vision chinoise Modernisation du système financier chinois : fusion de différentes activités bancaires et financières, accès des ménages au marché des

Plus en détail

Le choix stratégique des canaux de communication

Le choix stratégique des canaux de communication Le choix stratégique des canaux de communication Une analyse des attitudes des entreprises du domaine Business to Business (B2B) face à différentes combinaisons de médias Introduction La fragmentation

Plus en détail

Quepeut-ondiredelavolatilitédel euro?

Quepeut-ondiredelavolatilitédel euro? Virginie Coudert avril 2000 Quepeut-ondiredelavolatilitédel euro? Contribution au rapport du CNCT 2000 La création de l'euro et la disparition des monnaies sous-jacentes ont profondément modifié la structure

Plus en détail

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement

Plus en détail

CADRE JURIDIQUE INTERNATIONAL POUR LA DÉVELOPPEMENT DE PROGRAMMES CONTRE LA CORRUPTION

CADRE JURIDIQUE INTERNATIONAL POUR LA DÉVELOPPEMENT DE PROGRAMMES CONTRE LA CORRUPTION CADRE JURIDIQUE INTERNATIONAL POUR LA DÉVELOPPEMENT DE PROGRAMMES CONTRE LA CORRUPTION International Legal Framework for Development of Anti-Corruption Programs 1 AUGMENTATION DES ACCORDS CONTRE LA CORRUPTION

Plus en détail

CURRICULUM VITAE. Célibataire

CURRICULUM VITAE. Célibataire CURRICULUM VITAE MOIZEAU Fabien Adresse domicile : 25 rue Saint-Rome 31000 Toulouse Tél :05-61-21-96-45 33 ans Célibataire Adresse professionnelle : GREMAQ, Université des sciences sociales Toulouse 1

Plus en détail

Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues

Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.

Plus en détail

Rôle et stratégie de la Banque Africaine de Développement dans la promotion de l intégration financière régionale en Afrique

Rôle et stratégie de la Banque Africaine de Développement dans la promotion de l intégration financière régionale en Afrique GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT Rôle et stratégie de la Banque Africaine de Développement dans la promotion de l intégration financière régionale en Afrique Gabriel Mougani Economiste financier

Plus en détail

CANDIDAT JAPONAIS AU POSTE DE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL

CANDIDAT JAPONAIS AU POSTE DE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL CANDIDAT JAPONAIS AU POSTE DE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL Dr. Sawako TAKEUCHI Docteur es Ingénierie, l Université de Tokyo et Docteur es Sciences économiques Ancien conseiller du Premier Ministre du Japon sur la

Plus en détail

L accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation?

L accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation? L accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation? Edouard VIDON Direction des Analyses macroéconomiques et de la Prévision Service des Études macroéconomiques et

Plus en détail

Renforcement des systèmes de santé

Renforcement des systèmes de santé SOIXANTE-QUATRIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A64/13 Point 13.4 de l ordre du jour provisoire 7 avril 2011 Renforcement des systèmes de santé Tendances et défis actuels Rapport du Secrétariat POUR

Plus en détail

Curriculum Vitae détaillé

Curriculum Vitae détaillé Curriculum Vitae détaillé Situation personnelle Nom Patronymique : HURLIN Prénom : Christophe Date et lieu de naissance : né le 06 mars 1973 à Montluçon (03) Adresse personnelle : 4bis Avenue Jean Zay

Plus en détail

Résumé. La transformation du système de crédit du Brésil. Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil?

Résumé. La transformation du système de crédit du Brésil. Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil? Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil? Résumé de recherche : Affectation de crédit pour l'investissement, la stabilité et la croissance : Leçons tirées

Plus en détail

Déclaration du Capital naturel

Déclaration du Capital naturel Déclaration du Capital naturel Une déclaration du secteur financier démontrant notre engagement au sommet de Rio +20 pour tendre vers l intégration des considérations liées au capital naturel dans les

Plus en détail

Forum international sur les paiements pour services liés aux écosystèmes des forêts tropicales

Forum international sur les paiements pour services liés aux écosystèmes des forêts tropicales Forum international sur les paiements pour services liés aux écosystèmes des forêts tropicales San José (Costa Rica) - Du 7 au 10 avril 2014 Messages principaux, résumé et recommandations 1 1 Le présent

Plus en détail

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS. Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente

Plus en détail

Avancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe. Cécile Lapenu, Cerise

Avancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe. Cécile Lapenu, Cerise Avancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe Cécile Lapenu, Cerise Septembre 2008 1 Cécile Lapenu, CERISE Dans le secteur de la microfinance, les performances

Plus en détail

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse

Plus en détail

Comment les pauvres gèrent-ils le risque?

Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Le présent dossier donne un aperçu de la manière dont les ménages pauvres gèrent les risques. Fondé sur les recherches effectuées via les journaux financiers dont

Plus en détail

Canada-Inde Profil et perspective

Canada-Inde Profil et perspective Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information

Plus en détail

Le financement de l apprentissage informel

Le financement de l apprentissage informel Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur

Plus en détail

Taxer la finance. Toby Sanger

Taxer la finance. Toby Sanger Taxer la finance Toby Sanger La crise financière et économique a entraîné une réévaluation du rôle, de la régle - mentation et de l imposition du secteur financier dans le monde, qui aurait dû être faite

Plus en détail

Capital social et performances économiques : une analyse basée sur le fonctionnement d une économie informelle

Capital social et performances économiques : une analyse basée sur le fonctionnement d une économie informelle LAMETA Working Paper 2004-08 Capital social et performances économiques : une analyse basée sur le fonctionnement d une économie informelle Joëlle Fopoussi Résumé : L économie informelle actuelle nous

Plus en détail

Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique

Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Ce bref portrait statistique porte sur l Afrique de l Ouest, région qui regroupe ici les quinze pays membres de la CEDEAO (Communauté Economique

Plus en détail

Nous sommes interrogés sur la nature de la crise que nous rencontrons

Nous sommes interrogés sur la nature de la crise que nous rencontrons 75 L enjeu : intervenir sur le partage de plus en plus inégalitaire de la richesse produite Économiste, Fondation Copernic Nous sommes interrogés sur la nature de la crise que nous rencontrons depuis 2007-2008

Plus en détail

Le capital-investissement en Afrique

Le capital-investissement en Afrique Neuvième Forum pour le développement de l'afrique Le capital-investissement en Afrique Document de travail Neuvième Forum pour le développement de l'afrique Des finan cements innovants pour l a transformation

Plus en détail

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève *** Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention

Plus en détail

BIEN QU ELLE demeure un sujet sensible et mal compris,

BIEN QU ELLE demeure un sujet sensible et mal compris, L ABC DEL ÉCONOMIE 10 idées reçues sur la gouvernance et la corruption Daniel Kaufmann BIEN QU ELLE demeure un sujet sensible et mal compris, la gouvernance reçoit aujourd hui une attention grandissante

Plus en détail

Cyril HÉDOIN 12bis Grande Rue 51430 TINQUEUX 28 ans

Cyril HÉDOIN 12bis Grande Rue 51430 TINQUEUX 28 ans cyril.hedoin@univreims.fr www.rationalitelimitee. wordpress.com Cyril HÉDOIN 12bis Grande Rue 51430 TINQUEUX 28 ans Tel : 03 26 91 87 20 Port : 06 26 96 75 28 Maître de conférences en sciences économiques

Plus en détail

Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix»

Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix» Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix» Résumé des résultats clés et réalisations Problématique Prévention des crises et consolidation de la paix : les défis Quelque 1,5 milliard

Plus en détail

- Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui

- Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui Plan du cours : - Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui - I. Les théories du commerce international - les avantages comparatifs (Ricardo) - les dotations de facteurs (HOS)

Plus en détail

PAUVRETE(S) ET DEVELOPPEMENT

PAUVRETE(S) ET DEVELOPPEMENT Comité mixte franco-marocain inter universitaire Action Intégrée (MA/02/62) PAUVRETE(S) ET DEVELOPPEMENT (le cas du Maroc) Premières approches Robert CHARVIN Professeur à la Faculté de Droit, des Sciences

Plus en détail

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités

Plus en détail

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat

Plus en détail

E/CN.6/2010/CRP.9. Compte-rendu de l animateur de la réunion. Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais

E/CN.6/2010/CRP.9. Compte-rendu de l animateur de la réunion. Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais Commission de la condition de la femme Cinquante-quatrième session 1 er -12 mars 2010 Point 3 a) de l ordre du jour Suivi de la quatrième Conférence

Plus en détail

POL 1100 (Méthodes de recherche en politique) Hiver 2012 Local B-0305 Lundi de 13h00-14h30

POL 1100 (Méthodes de recherche en politique) Hiver 2012 Local B-0305 Lundi de 13h00-14h30 Faculté des arts et des sciences Département de science politique POL 1100 (Méthodes de recherche en politique) Hiver 2012 Local B-0305 Lundi de 13h00-14h30 Professeur : Erick Lachapelle Bureau : C-3124

Plus en détail

Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines

Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière

Plus en détail

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques

Plus en détail

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds

Plus en détail

MEMBER OF GOPA CONSULTING GROUP

MEMBER OF GOPA CONSULTING GROUP MEMBER OF GOPA CONSULTING GROUP 2 Un bureau d ingénieursconseils privé indépendant Leader allemand du conseil en développement GOPA est un bureau d ingénieursconseils privé indépendant. En tant que prestataire

Plus en détail

Groupe de la Banque mondiale. Œuvrer pour un Monde sans pauvreté

Groupe de la Banque mondiale. Œuvrer pour un Monde sans pauvreté Groupe de la Banque mondiale Œuvrer pour un Monde sans pauvreté Les débutsd buts La Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement (BIRD) a été créé éée e en juillet 1944 à Bretton Woods,,

Plus en détail

Assemblée publique annuelle

Assemblée publique annuelle Assemblée publique annuelle Par Paul Cantor, président du Conseil Gordon J. Fyfe, président et chef de la direction Ottawa, le 28 octobre 2010 Paul Cantor Président du Conseil 2 Gordon J. Fyfe Président

Plus en détail

Quelle place pour l'adaptation et le financement dans l'accord post 2020? Alpha Oumar Kaloga Chargé de Mission CC &Development 14.04.

Quelle place pour l'adaptation et le financement dans l'accord post 2020? Alpha Oumar Kaloga Chargé de Mission CC &Development 14.04. Quelle place pour l'adaptation et le financement dans l'accord post 2020? Position du Groupe Africain Alpha Oumar Kaloga Chargé de Mission CC &Development 14.04.2015 Contexte... Emission actuelle nous

Plus en détail

Comité monétaire et financier international

Comité monétaire et financier international Comité monétaire et financier international Vingt-neuvième réunion Le 12 avril 2014 Déclaration de M. Akagha-Mba, Ministre de l Économie et de la Prospective, Gabon Représentant les pays suivants : Bénin,

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail