EXPERIENCE PROFESSIONNELLE ET ENSEIGNEMENT
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- Nicole Crépeau
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1 DIAGNE Souleymane Astou Bureau J214 DOMAINE DE RECHERCHE Economie institutionnelle, du développement et internationale CURSUS UNIVERSITAIRE 2006 : Doctorant en Sciences Economiques, Université Paris XIII 2006 : Master Expertise Statistique en Traitement de Données Éco, Univ Metz, mention AB 2005 : DEA, Économie Internationale et Régulation, Université Paris XIII, mention AB 2004 : Maîtrise Sciences Économiques, Université Paul Verlaine Metz 2003 : Licence Sciences Économiques, Université Paul Verlaine Metz 2002 : DEUG II Sciences Économiques, Université Paul Verlaine Metz 2001 : DEUG I Sciences Économiques, Université Paul Verlaine Metz, mention AB 2000 : Bac S Lycée de Bambey (Sénégal) EXPERIENCE PROFESSIONNELLE ET ENSEIGNEMENT Octobre 05 Janvier 2007 : Chargé de Travaux Dirigés à la Faculté de Droit, Economie et Administration, Université Paul Verlaine Metz : 2006/2007 : Méthodologie Economique et sociale (L1 AES) Analyse Economique des Politiques Sociales (L2 économie) 2005/2006 : Méthodologie Economique (L1 économie) Macroéconomie Ouverte (L2 économie) Juillet Octobre 2006 : Stage à l Organisation de Coopération et de Développement Economique (OCDE). Dans le cadre de la 6 éme édition du rapport sur les Perspectives de l Economie Africaine (PEA), ma mission : Recherche sur la littérature existante sur l accès à l eau en Afrique- Identifier les expériences innovantes de développement des infrastructures d eau et sanitaires (en Afrique et ailleurs) Déterminer les indicateurs statistiques pertinents Faire des revues sur les 30 pays couverts dans les PEA. 1
2 Université de paris XIII Ecole doctorale Droit Economie CEPN CNRS UMR n 7115 Sous la direction du professeur Dominique PLIHON Présentée par Souleymane Astou DIAGNE Problématique de recherche «L impact des institutions sur le développement économique : Etude comparative entre l Afrique Subsaharienne et l Asie du sud-est de 1960 à aujourd hui.» 2
3 En 1960, l Afrique subsaharienne avait relativement le même niveau de développement que l Asie du sud est. Comparaison Afrique / Asie PIB/H 4000,0 3500,0 3000,0 2500,0 2000,0 1500,0 1000,0 500,0 0, Année AFRIQUE ASIE La problématique de la thèse va consister à vérifier dans le cadre d'une comparaison entre l'afrique sub-saharienne et les NPIA si le rôle des institutions peut expliquer la divergence des trajectoires observées sur longue période. Un des aspects secondaires consisterait à comprendre pourquoi certains pays africain dans la trajectoire de croissance ressemblait au dynamisme des pays asiatique a été stopper dans les années Apercu général Expliquer les énormes écarts de revenus moyens entre pays riches et pays pauvres est l une des questions les plus fondamentales de l économie du développement. D où vient ce vaste fossé et que faire pour le réduire? Il ne paraît pas étonnant, à première vue que l analyse économique ne parvient pas à répondre à une question aussi complexe. Cependant, trois théories peuvent nous aider à répondre à cette question. La première, ancienne et bien connue, attribue un rôle dominant à la géographie. La géographie est le déterminant principal du climat et des dotations en ressources naturelles et peut aussi jouer un rôle essentiel dans la morbidité, les frais de transport et le degré de diffusion de nouvelles technologies en provenance de régions plus avancées. Par conséquent, elle influe notablement sur la productivité agricole et la qualité des ressources humaines. Une deuxième théorie insiste sur le rôle du commerce international comme moteur de la croissance de la productivité et du revenu. Cette théorie de l intégration donne à la participation et aux obstacles à la participation à l économie mondiale un rôle prépondérant dans la promotion de la convergence économique entre les régions pauvres et les régions riches. Bien entendu, le débat sur la mondialisation concerne dans une large mesure les mérites de cette théorie de l intégration. Enfin, une troisième théorie met l accent sur les institutions en particulier le rôle des droits de propriété et l état de droit. Ce qui importe, selon cette théorie, ce sont les règles du jeu d une société, telles qu elles sont définies par les normes de conduite explicites et implicites en vigueur et leur capacité d encourager un comportement économique souhaitable. Cette théorie, associée peut-être le plus étroitement à Douglass North. Cette troisième théorie attire particulièrement notre attention et d ailleurs dans les années 90, la grande avancée de l'économie du développement a été la reconnaissance du rôle crucial des institutions dans le bon fonctionnement d'une économie. L importance donnée au renforcement des institutions, plutôt qu à l application de politiques «correctes», indique que la clé de la 3
4 réussite repose sur l aptitude à tenir compte de la situation locale. Cette approche constitue un renouveau théorique assez pertinent dans les nouvelles théories de la croissance. Le terme institution est défini de différentes manières. North en fait un concept très large désignant les règles formelles et informelles qui réagissent les interactions humaines. La définition de Schotter est beaucoup plus précise : " une régularité de comportement social accepté par l'ensemble des membres d'une société, qui détermine le comportement à adopter dans des situations spécifiques récurrentes et dont le contrôle est assuré aussi bien par les dits membres que par une autorité extérieure". La difficulté majeure des gouvernants (autorités nationales ou instituions internationales), c est de formuler des politiques, et d orienter la mise en place d institutions, de manière à stimuler le développement économique. Cependant il existe deux types d institutions : formelles et informelles. Les institutions formelles consistent en règles consignées par le droit par l Etat, en règles codifiées et adoptées par les institutions privées et en organisations publiques et privées opérant en vertu de la législation publique. Elles peuvent être les entreprises régies par le droit des sociétés. Les institutions informelles, qui opèrent souvent en marge du système juridique officiel, expriment des codes de comportements sociaux non écrits. Elles sont très présentes dans les pays en développement. Idéalement, les institutions formelles et informelles doivent se compléter, leur combinaison permet de ne réduire plus fortement les coûts de transactions qu aucune d entre elles ne pourrait le faire isolément. Le rôle des institutions peut être synthétisé en trois rôles : - Les institutions acheminent l information sur la situation des marchés, les biens et les participants. La bonne circulation de l information aide les entreprises à trouver des partenaires, des activités fortement rentables et à évaluer leur cote de crédit. L information sur les entreprises aide les gouvernements à bien réglementer les marchés. Les institutions peuvent influer sur la nature de la production, la collecte, l analyse, la vérification et la diffusion des données et de connaissances intéressant les participants, au sein du marché. - Les institutions définissent la nature du droit de propriété, des contrats et en assurant le respect, en fixant qui obtient quoi et quand. Le fait de connaître les droits qu on détient sur des actifs et des revenus et de pouvoir protéger ces droits, y compris dans le secteur privé vis-à-vis de l Etat, est fondamental pour le développement des marchés financiers. Des institutions comme la constitution d un pays ou son système judiciaire peuvent réduire le risque de différends et de contribuer à assurer le respect des contrats. - Les institutions accroissent la concurrence sur les marchés, en effet la concurrence incite les individus à faire mieux, favorisant l égalité des chances. Sur les marchés concurrentiels, les ressources ont davantage tendance à se porter sur un projet pour ses mérites. L existence d une certaine concurrence stimule aussi l innovation et la croissance économique, toute chose égale par ailleurs. Les coûts de transactions liés à l acquisition de l information se trouvent réduites. Au vu de nombreuses études économiques réalisées ces dernières années, la qualité institutionnelle explique en partie les écarts de développement entre certains pays. Ainsi comment mesurer la qualité institutionnelle? Comment est mesurée la qualité institutionnelle? Il existe une multitude de typologies des institutions. Cependant dans le cadre de notre analyse, nous pouvons distinguer quatre types d institutions : Les institutions de réglementation des marchés, qui s occupent des effets externes, des économies d échelles et des informations imparfaites. Ce sont par exemple les organismes de réglementation des services financiers. Les institutions de stabilisation des marchés, qui garantissent une inflation faible, réduisent au minimum l instabilité macroéconomique et évitent les crises financières. Ce sont par exemple les banques centrales, les régimes de changes et les règles budgétaires. Les institutions de légitimation des marchés, qui fournissent une protection et une assurance sociale, organisent la redistribution et gèrent les conflits. Ce sont par exemple les systèmes de 4
5 retraites, les dispositifs d assurances chômage et autres fonds sociaux. * Les institutions de responsabilisation, sont celles qui contrôlent les abus de pouvoir des agents de l État sont en général solides. Ces institutions sont soit créées par l État lui-même (par exemple les auditeurs généraux, l appareil judiciaire ou législatif), soit extérieures aux structures étatiques formelles (comme les médias et les groupes de la société civile). * Les institutions de participation : ces institutions (associations, syndicats,..) ont une singularité, elles sont créées par, la société civile, l Etat, des professionnels, des lobbies ou des labels. Leur rôle est d apporter une expertise sur des questions où elles ont une expérience non négligeable, de réclamer une transparence sur la gestion de l Etat ou des organismes concernés, de conseils et de tracer les lignes à ne pas franchir par les autorités. Autrement dit elles sont avant-gardistes et constituent très souvent, sur certains domaines, un contre pouvoir essentiel face aux dérives des Etats. Le rapport entre l Etat et ces institutions n est que souvent consultatif. Le débat sur le rôle des institutions dans le développement économique s est dangereusement simplifié. Selon certains, le vague concept d «institutions» est devenu, de façon presque tautologique, l objectif intermédiaire de toute réforme économique. En cas de dysfonctionnement d une économie, ses institutions sont nécessairement en tort. En fait, selon de récents articles écrits par des économistes comme Daron Acemoglu, Simon Johnson et James Robinson; Dani Rodrik, Arvind Subramanian et Francesco Trebbi;William Easterly et Ross Levine, le niveau de développement économique d un pays s explique presque intégralement par ses institutions; les ressources, la géographie physique, la politique économique, la géopolitique et les autres aspects de la structure sociale interne, tels que les rôles assignés à chacun des sexes et les inégalités entre groupes ethniques, ont peu d effet, voire aucun. Certes, une explication reposant sur un facteur unique peut paraître séduisante dans un cas aussi important que le développement économique, et celle reposant uniquement sur les institutions est particulièrement tentante pour deux raisons supplémentaires. Premièrement, elle explique les revenus élevés aux États-Unis, en Europe et au Japon par des institutions sociales prétendument supérieures; elle soutient même que, lorsque les revenus augmentent dans d autres régions, c est essentiellement grâce aux messages occidentaux sur la liberté, les droits de propriété et le marché qui y sont propagés par d intrépides missionnaires résolus à développer l économie. Deuxièmement, le monde riche n a guère, voire aucune, responsabilité financière vis-à-vis des plus démunis, car les développements ratés résultent de défaillances des institutions, et non d un manque de ressources. Malheureusement, les faits n étayent tout simplement pas ces conclusions. Les institutions sont certes importantes, mais elles ne constituent pas le seul facteur à prendre en compte. De nos jours, les obstacles au développement économique dans les pays les plus pauvres sont bien plus complexes que des carences institutionnelles. Plutôt que de se concentrer sur l amélioration des institutions en Afrique subsaharienne, il serait judicieux de se consacrer davantage à la lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, à la gestion de l épuisement des éléments nutritifs des sols et à la construction de routes supplémentaires qui permettraient aux populations isolées d accéder aux marchés régionaux et aux zones portuaires. En d autres termes, l Afrique subsaharienne et les autres régions qui cherchent aujourd hui à assurer leur développement économique ont besoin de bien plus que de discours sur la «bonne gouvernance» et de «bonnes institutions». Elles ont besoin d interventions directes, soutenues par une aide accrue des bailleurs de fonds, pour faire face aux maladies, à leur isolement géographique, à leur faible productivité technologique et à leur manque de ressources, qui les acculent à la pauvreté. Une bonne gouvernance et des institutions saines permettraient, sans aucun doute, à de telles interventions de produire plus d effets. Par ailleurs, ces dernières décennies, la Chine a souffert d une grave pollution atmosphérique qui nuisait à la santé de millions de personnes, le Cameroun a subi une déforestation qui entamait les moyens de subsistance des collectivités locales en mettant en péril la biodiversité, et la Malaisie a été déchirée par des conflits ethniques et socioéconomiques. Dans les trois cas, il fallait réunir les 5
6 parties concernées pour concilier des intérêts très éloignés de manière à pouvoir envisager avec sérénité l avenir à long terme. C est précisément ce à quoi peuvent servir les institutions. Dans son Rapport sur le développement dans le monde 2003, sous-titré Développement durable dans un monde dynamique, la Banque mondiale avance l idée que, bien souvent, les politiques qu il conviendrait d appliquer sont connues, mais qu elles ne le sont pas pour des raisons qui tiennent à la distribution des richesses et aux carences institutionnelles. Il appartient donc aux dirigeants politiques de concentrer leurs efforts sur les institutions (règles et organisations, formelles et informelles) pour amener les pouvoirs publics, les organisations non gouvernementales (ONG) et le secteur privé à gérer ensemble un vaste patrimoine, composé non seulement des ressources humaines et du capital matériel, mais aussi du patrimoine environnemental (eau douce et stocks de poissons, par exemple) et social (telle la confiance). Si les groupes sociaux peuvent envisager l avenir avec sérénité, un lien pourra s établir entre la réduction de la pauvreté et les institutions, qui pourront alors oeuvrer au développement durable. Un grand nombre des institutions indispensables à une croissance forte des revenus et à la création de richesses contribuent à la préservation du patrimoine social et environnemental, mais le développement durable s appuie aussi sur des fondements institutionnels plus larges, à savoir un meilleur accès à l information et à la connaissance et la capacité de former des partenariats plus étendus. Sans ces éléments, la société risque de se fragmenter et l environnement de se dégrader, ce qui, à terme, compromettra la croissance des revenus et le bien-être général. Références Bibliographiques AMABLE Bruno, Les cinq capitalismes : Diversité des Systèmes Economiques et Sociaux dans la mondialisation, 2005 Aoki Masahiko, Fondements d une analyse institutionnelle comparée, 2006 Daron Acemoglu Simon Johnson James Robinson, Institutions as the Fundamental Cause of Long-Run Growth, 2004 Daron Acemoglu, Simon Johnson, and James Robinson, Understanding Prosperity and Poverty: Geography, Institutions and the Reversal of Fortune, 2003 ARON, J. (2000), Growth and Institutions: A Review of the Evidence, World Bank Research Observer BARRO, R. (1991), Economic Growth in a Cross Section of Countries, Quarterly Journal of Economics BECK, T., G. CLARKE, A. GROFF, P. KEEFER and P. WALSH (2002), New Tools and New Tests in Comparative Political Economy: The Database of Political Institutions, Regulation and Competition Policy, Development Research Group, World Bank, Washington, D.C BOYER Robert, La théorie de la régulation, La découverte, 2002 Chavance B. L économie Institutionnelle, La découverte, 2007 CLAGUE, C. (1997), Institutions and Economic Development, John Hopkins University Press, Baltimore CAMPOS, N. and J.B. NUGENT (1998), Institutions and Growth: Can Human Capital Be a Link, Crozet Yves, Abdelmalki Lahsen, Dufourt Daniel, Sandretto René, Les grandes questions de l économie internationale, 2éme édition, Nathan, DOLLAR, D. and A. KRAY (2002), Institutions, Trade, and Growth, Paper prepared for the Carnegie-Rochester Conference Series on Public Policy. 6
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