La «Télégestion énergétique» Optimiser, former, économiser
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- Claude Beaudry
- il y a 8 ans
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1 un bâtiment aujourd hui, pour la vie Vos systèmes CVAC sont-ils efficaces? En êtes-vous certains? La «Télégestion énergétique» Optimiser, former, économiser 10 octobre 2002 Pierre Chénier, ing. Chef PAIP-Construction Régie régionale de Montréal Michel Bellerose, ing. Président Télé-Gest inc.
2 Plan Origine de la décision La Télégestion énergétique : Quoi, Comment, Qui technique, Où sont les gains d efficacité, les économies? Évaluation, pronostic : SUCCÈS! De 0,24 M $ à 1,4 M $ à beaucoup plus Cela s applique à Vous!
3 Est Ouest Nord Centre- Est Centre- Nord Centre-Ouest Sud-Ouest RRMC : M $/année Énergie : 70 M $/année Enjeux? 10 M $/année, dans 6 ans
4
5 Valeurs!
6 1. DécisionD Expérience de la CHQ,, 10 CHSLD neufs Questions : Est-ce applicable aux établissements déjà construits, (âgés) différents, déjà centralisés ou non, déjà performants? Est-ce vraiment mesurable? Est-ce durable? Pour le savoir : Le faire!
7 1. DécisionD Considérations : Crédibilité des projets d E.É. Contraintes vécues des établissements : Manque de ressources, pas d $ pour investir ou pour projet trop risqué, etc. Programme de démonstration de l AEE Partage de risques : AEE, RRMC, CHQ 5 établissements (facile!) et un expert
8 1. DécisionD Avantages-coûts : OUI Optimisation des opérations, de l entretien Qualité, Confort, fiabilité, mise aux normes, Accès à des experts en systèmes mécaniques Formation opérateurs, appropriation (30 mois) Financement : apport AEE, CHQ, RRMC (VGQ) La PRI établissement 2 ans à 5 ans, durable
9 1. DécisionD Mesure : Rapport détaillé des économies Intérêt? OUI, Décision Appel d offres public, Qualité-Prix, Sélection firme Télé-Gest
10 La télégestion énergétique Optimiser, Former, Économiser
11 La télégestion énergétique Concept de base «Optimisation de l opération des systèmes CVAC à partir du système de centralisation des contrôles du bâtiment»
12 La télégestion énergétique 1. De quoi s agit-il? - Analyse exhaustive de l opération du bâtiment - Analyse de la facturation énergétique - Formation des opérateurs - Assistance à l opération des systèmes CVAC - Optimisation des systèmes mécaniques et - Optimisation de l opération des systèmes, suivi.
13 1. Analyse exhaustive des fonctions du bâtiment Prise de connaissance des plans, systèmes, problèmes, facturation, etc. Optimisation - Des horaires de fonctionnement - du taux d air frais - des séquences d opération - des points de consigne - de la gestion des évacuations Analyse de la facturation énergétique
14 1. Analyse exhaustive des fonctions du bâtiment Optimisation des horaires de fonctionnement : Pourquoi n arrête-t-on pas les systèmes CVAC? Problèmes de démarrage le matin Système arrête sur basse limite de température Inconfort, plaintes : Locaux trop froid ou trop chauds Humidité, odeurs, etc. Pourquoi ne pas solutionner les problèmes???
15 1. Analyse exhaustive des fonctions du bâtiment Optimisation du taux d air frais Quelle est la quantité d air frais optimum? - Codes, normes, etc. - Quelles sont les évacuations locales? - Quelle est l occupation du secteur? Comment est contrôlée l admission d air frais? - Ouverture des volets à un minimum de Le secteur est-il sous pression positive ou négative?
16 1. Analyse exhaustive des fonctions du bâtiment Optimisation des séquences d opération Comment les fonctions sont-elles programmées? - Taux d air frais - Température d alimentation - Humidité relative des locaux - Fonctions de démarrage optimum - Cycle de pré-chauffage ou de pré-refroidissement des locaux
17 1. Analyse exhaustive des fonctions du bâtiment Optimisation des points de consigne Humidité relative Température Systèmes double gaine et réchauffage terminal Boucles de chauffage et réchauffage terminal Gestion des évacuations L importance des évacuations d air Sont-elles requises en tout temps?
18
19 2. Analyse de la facturation énergétique Utiliser la tarification à son avantage : Tarif «M»: - Votre consommation mensuelle excède-t-elle kwh? - Consommez-vous aussi du gaz naturel? Chauffage de l air frais Chauffage de l eau chaude domestique Chauffage périmétrique
20 2. Analyse de la facturation énergétique Analyses d opportunités La dernière tranche de consommation est facturée à $/kWh (40% moins cher que gaz naturel) - Chauffage eau chaude domestique hors-pointe - Chauffage périmétrique hybride (gaz/électr.) - Gestion de la demande électrique - Pourquoi ne pas remplir les creux de consommation électrique???
21 3. Formation des opérateurs Quel est le rôle des opérateurs? Répondre aux plaintes des occupants Entretenir les systèmes (Changements de filtres, graissage, courroies, etc.) Opérer les systèmes tels qu ils ont été conçus Quels sont leurs besoins de formation? Comment opère vraiment leur bâtiment? Comment solutionner leurs problèmes d opération Formation en CVAC sur leurs systèmes
22 4. Assistance à l opération Formation par questions et expérimentation Qu arriverait-il si? Comment fait-on? Pourquoi? Détection des pannes et anomalies Branchement 3 fois/semaine Communications régulières concernant les pannes, les anomalies de fonctionnement et les améliorations
23 5. Suivi de la consommation Établir une courbe de consommation représentant l année de référence Établir une courbe cible de consommation Suivi de la consommation à partir de la facturation
24 5. Suivi de la consommation Télé-Gest Inc.
25 Le projet de démonstration : Description des bâtiments Nouveaux Bâtiments CHSLD Les Havres CHSLD Biermans Bâtiments récents déjà centralisés CHSLD Biermans CHSLD Triest CHSLD Les Havres Bâtiments non centralisés Résidences Mance-Décary (4) CLSC / CHSLD Pointe-aux-Trembles Institut Universitaire de Gériatrie de Montréal
26 CLSC / CHSLD Pointe-aux-Trembles Consommation: 1.1 GJ/m 2 (31% - que moyenne) Contrôles partiellement centralisés CHSLD : Chauffage électrique (Contrôleur de charges) CLSC : Chauffage au gaz, entièrement climatisé
27 CHSLD Pierre-Joseph Triest (278 lits) Consommation: 1.7 GJ/m 2 (5.5% - que moyenne) Contrôles entièrement centralisés (Staefa) Chauffage au gaz Bureaux climatisés partiellement
28 CHSLD Biermans (198 LITS) Consommation: 2.29 GJ/m 2 (42% + que moyenne) Contrôles entièrement centralisés (Automatrix) Chauffage au gaz Bureaux climatisés partiellement
29 CHSLD Les Havres Consommation: (Nouveau bâtiment) Contrôles entièrement centralisés (Automatrix) Chauffage au gaz Bureaux climatisés
30 CHSLD Mance Décary, Pavillon Auclair Consommation: 1.39 GJ/m 2 (14% - moyenne) Contrôles non centralisés Chauffage électrique Bureaux climatisés
31 CHSLD Mance Décary, Pavillon Des Seigneurs Consommation: 1.25 GJ/m 2 (22% - moyenne) Bureaux climatisés Chauffage électrique Contrôles non centralisés
32 CHSLD Mance Décary, Pavillon St-Henri Consommation: 1.7 GJ/m 2 (6%+ moyenne) Contrôles non centralisés Chauffage bi-énergie Bureaux climatisés
33 Institut Universitaire de Gériatrie de Montréal Consommation: 1.94 GJ/m 2 (23% - moyenne) Contrôles non centralisés Chauffage au gaz Presque entièrement climatisé
34 Le projet de démonstration : Buts Les économies sont-elles dues à la centralisation des contrôles ou à la gestion de l opération? La formation des opérateurs a-t-elle un impact sur la consommation? Y a-t-il d autres bénéfices reliées à la télégestion? La télégestion est-elle rentable?
35 Les économies sont-elles dues à la centralisation? Comparaison de bâtiments centralisés et non centralisés Pas de différence notoire dans la consommation Les plus grandes économies peuvent être effectuées dans les bâtiments centralisés
36 Les économies sont-elles dues à la centralisation? Lacunes des systèmes de centralisation Horaires de fonctionnement non programmées; Opérateurs se servent de la centralisation pour les Arrêt / départ et pour voir les alarmes; Informations partielles sur les graphiques des systèmes ne permettant pas une analyse de l opération. Peu de formation des opérateurs pour l opération du système de centralisation
37 La formation des opérateurs a-t-elle a un impact sur la consommation? Formation du personnel d opération Formation sur leur propre système avec des exemples concrets donne d excellents résultats En somme Les économies sont générées par la bonne gestion de l opération. Celles-ci sont possible si les systèmes sont centralisés et le personnel bien formé.
38 La formation des opérateurs a-t-elle a un impact sur la consommation? Formation en CVAC est essentielle Formation sur les principes de base de chauffage et climatisation Formation sur l opération des systèmes CVAC Si l opérateur n est pas compétent, il ne peut y avoir de bonne gestion de l opération
39 La formation du personnel a-t-elle un impact sur la consommation? Formation sur la centralisation Permet de faire des analyses et des commandes. Les analyses génèrent des ajustements qui génèrent des économies Les analyses permettent de détecter les pannes et les anomalies de fonctionnement
40 Y a-t-il d autres bénéfices? - Détection rapide des anomalies grâce au branchement fréquent par personnel expérimenté - Suivi de la facturation : minimum souscrit, facteur de puissance, sources alternatives, etc. - Communications fréquentes pour la formation avec les opérateurs ; dynamisme continu - Communications entre les opérateurs de divers bâtiments, favorise les échanges et l émulation
41 La télégestion est-elle rentable? Résultats actuels du projet pilote Réduction de 15% à 26% anticipée de la consommation Investissements en cours de $ pour efficacité énergétique dans les 8 bâtiments PRI < 2 ans volet 1, PRI < 5 ans développements
42 Cycle de vie économique et coût global Coût d acquisition «Coût de propriété» Opérations, énergie, entretien réparations, entretien sanitaire, sécurité, assurances, etc.
43 Systèmes intégrés, vulnérabilité aux maillons faibles
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45 Évaluation du projet par les participants Excellente école, formation en groupe et individuelle, spécificité, on apprend beaucoup On donne nos idées, ils donnent un avis, évaluent le coût et l autofinancement Très disponibles, «coatching» téléphonique efficace et adapté à chacun Les réunions en commun sont bénéfiques, l idée de l un se transpose ailleurs Respect des clients, décision établissement
46 Évaluation du projet par les participants Résultats tant qualitatifs qu économiques Investissements prévus de 245 k $, atteignent 1,4 M $ et seront plus élevés avec l addition du C.H. St.Mary. La méthode de sélection des contrôles centralisés à l IUGMet au C.h. St.Mary est le modèle retenu par la RRMC : % qualitatif (présélection et sélection) et % pour le Prix global : (achat + contrat d entretien + coût des pièces pour les 6 prochaines années) Deux autres établissements demandent à se joindre, (autres investissements $)
47 Conclusion
48 Merci, À vous de jouer!
49 Pierre Chénier, ing. Coordination des ressources matérielles Régie régionale de Montréal-Centre Téléphone (514) poste 5719 Michel Bellerose, ing. prés. Télé-Gest inc.
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