mem thème 1 Ecoles professionnelles de Fribourg - enseignement de la Culture Générale mise en mémoire Version
|
|
- Marianne Desjardins
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Ecoles professionnelles de Fribourg mem ecg mise en mémoire - enseignement de la Culture Générale Version thème 1
2 Thème 1 : De l école à l apprentissage Table des matières 1 Encadrement p. 3 2 Enseignement de la culture générale (ecg) p. 4 3 Les bases du droit p. 5 4 Les mesures de protection de l adulte et de l enfant p. 8 5 Les droits de l Homme et de l enfant p Généralités sur les contrats p Le contrat d apprentissage p Gestion du budget p Les assurances p L assurance accidents p L assurance maladie p La lettre commerciale p. 23 Obligatoire Facultatif Obligatoire Facultatif Obligatoire Facultatif Obligatoire Facultatif Obligatoire Facultatif Artisanal / Industriel / Agriculture - Formation en 3 ans Artisanal / Industriel / Agriculture - Formation en 3 ans Artisanal / Industriel - Formation en 4 ans Artisanal / Industriel - Formation en 4 ans Santé / Social Santé / Social Technique / EMF Technique / EMF Artistique Artistique 2
3 1 Encadrement Dans ce processus, l apprenti, le premier, s investit tout en sollicitant les partenaires engagés pour être encadré et aidé. La décision d entrer en apprentissage pour acquérir un métier invite l apprenti (*) à devenir sujet, acteur et interprète de sa propre formation et de sa propre vie dans un processus d une certaine durée, d étapes à franchir, d épreuves à traverser, d options à privilégier (*) Par simplification, il faut considérer sous l expression «apprenti» ou «apprenant», toute personne de sexe féminin ou masculin. Thème 1 : De l école à l apprentissage Rôle des partenaires : Le maître d apprentissage est tenu de former l apprenti selon le programme fixé dans le règlement d apprentissage L école professionnelle dispense les connaissances théoriques de base et l enseignement de la culture générale Dans le cadre de cours périodiques, des l instructeur cours interentreprises complète la formation pratique La commission d apprentissage veille au bon déroulement de la formation Le représentant légal suit, soutient et encourage le jeune dans sa formation 3
4 Thème 1 : De l école à l apprentissage 2 Enseignement de la culture générale (ecg) Deux domaines d apprentissage, 8 aspects, 3 perspectives transversales Développement durable Histoire Identité et socialisation Politique Société Droit Langue et communication Ethique Economie Egalité des sexes Culture Technologie Ecologie Un enseignement par thèmes Un enseignement qui tend vers une pédagogie active (autonomie et responsabilité de l apprenti) Des notes semestrielles 1 note de semestre pour le domaine «Société» (S) 1 note de semestre pour le domaine «Langue et communication» (LC) Une note de culture générale pour le certificat fédéral de capacité (CFC) a) Travail personnel (dossier et présentation orale), au demi-point 1/3 b) Examen écrit standardisé, au demi-point 1/3 c) Notes des semestres, au demi-point 1/3 4
5 3 Les bases du droit 3.1 Le rôle du droit La vie en société (en famille, au travail, à l école, dans les loisirs, etc.) présente deux caractéristiques particulières : l individu doit s intégrer à un groupe et se conformer à une certaine organisation. Aussi, pour le bon fonctionnement du groupe, il est souvent nécessaire d établir tout un ensemble de règles. Par exemple... : Certaines règles sont liées à l usage : Droit : Ensemble de règles régissant la vie en société. Elles sont définies et acceptées par la population et garanties par l Etat. Thème 1 : De l école à l apprentissage - une règle de jeu - un règlement de maison Certaines règles sont légales : - une norme de construction - un ensemble de lois - un code de la route - un contrat de vente 5
6 Thème 1 : De l école à l apprentissage 3.2 La réglementation de notre quotidien Pour régler les rapports entre les gens, notre société se donne des règles officielles (les lois) et prévoit des démarches (les procédures) pour résoudre les conflits. La constitution fédérale (Cst) énumère les droits fondamentaux du peuple :. art. 8 l égalité devant la loi. art. 15 la liberté de conscience et de croyance. art. 16 la liberté d opinion et d information. art. 23 la liberté d association. art. 24 la liberté d établissement. art. 27 la liberté économique Le code civil (CC) règle les rapports privés entre les personnes :. art. 11 et ss la protection de la personnalité. art. 60 et ss les associations. art. 90 et ss le mariage. art. 252 ss les parents (et les enfants). art. 457 ss les successions. art. 641 ss le droit de propriété Le code des obligations (CO) traite des sociétés commerciales et des contrats :. art. 187 ss la vente. art. ss 253 le bail. art. ss 305 le prêt. art. ss 319 le contrat de travail. art. 344 ss le contrat d apprentissage Le code pénal (CP) définit les différentes sortes d infractions (contraventions, délits et crimes) et la manière de les punir. Il existe évidemment une multitude d autres lois, de conventions, de règlements, de contrats Exemple : LCR, LAMAL, Loi sur le crédit à la consommation, Ordonnance fédérale sur la formation professionnelle, Ordonnances de formation, etc. Aussi, nul n est censé ignorer la loi. Donnez un exemple illustrant cette maxime : 6
7 3.3 Les droits civils La jouissance des droits civils CC art. 11 al.1 Toute personne a la jouissance des droits civils. CC art. 11 al.2 Chacun peut donc devenir sujet de droits et d obligations Une personne (dès la naissance, voire dès la conception et jusqu à la mort) est sujette, passive de droits : elle a droit à la vie, à l intégrité corporelle, elle peut hériter, être propriétaire, être protégée, être éduquée ; mais elle n a pas le droit de s engager L exercice des droits civils CC art. 12 Quiconque a l exercice des droits civils est capable d d acquérir et de s obliger Avoir l exercice des droits civils, c est pouvoir s engager, faire des contrats Thème 1 : De l école à l apprentissage Deux conditions sont nécessaires à l exercice des droits civils : 1. CC art. 13 et 14 Il faut avoir la majorité qui s acquiert à 18 ans révolus. 2. CC art. 13 Il faut avoir la capacité de discernement CC art. 17 Sont donc privés de l exercice des droits civils : - les mineurs - les incapables de discernement - les personnes sous curatelle de portée générale CC art. 16 Est capable de discernement, toute personne qui n est pas dépourvue de la capacité d agir raisonnablement à cause de son jeune âge, ou qui n en est pas privée par suite de maladie mentale, de faiblesse d esprit, d ivresse ou d autres causes semblables. 7
8 Thème 1 : De l école à l apprentissage 3.4 Les droits politiques Exercer ses droits civiques, c est participer activement à la vie politique :, voter, élire, être élu. auquels s ajoutent les droits d initiative et de référendum. Pour s impliquer dans la vie politique, il faut : Avoir l exercice des droits civils (18 ans révolus + capacité de discernement) Etre citoyen suisse Exemple : répondez par OUI ou NON. Ont-ils en Suisse? la jouissance l exercice des l exercice des des droits civils droits civils droits civiques a) un apprenti suisse de 16 ans oui non non b) une coiffeuse de 19 ans oui oui oui c) un ingénieur américain de 22 ans oui oui non d) une femme mariée oui oui oui e) un paraplégique majeur oui oui oui f) un kangourou savant non non non g) un adulte handicapé mental oui non non si fort handicap Remarque : Selon la Constitution fédérale, les cantons et les communes peuvent accorder le droit de vote à des personnes de nationalité étrangère. 4 Les mesures de protection de l adulte et de l enfant Certaines personnes ne sont pas ou plus en mesure de s occuper elles-mêmes de leurs affaires. Pour les protéger, l Etat organise leur prise en charge. 4.1 La tutelle d un mineur 8 Si un enfant perd ses parents dans un accident ou que ceux-ci sont incapables d assumer l autorité parentale, la justice choisit un, tuteur si possible parmi les membres de sa. famille La tutelle s éteint sans formalités à sa. majorité
9 4.2 La curatelle (personne majeure) Elle s applique à la personne concernée de manière ciblée. Il est possible de combiner plusieurs mesures de curatelle. La curatelle La curatelle de représentation La curatelle de La curatelle av. gestion du coopération de portée d accompagnement patrimone générale Description Pour qui? Prise en charge Assistance, conseil personnel, mesure légère et passagère de soutien. Pas de limitation de l exercice des droits civils. Mesures de soutien pour l administration et la gestion, lorsque la personne doit être représentée. Limitation ponctuelle de l exercice des droits civils. Sauvegarde des intérêts d une personne, soumission de certains actes au consentement du curateur (gestion des biens). Limitation partielle de l exercice des droits civils Sauvegarde des intérêts d une personne, soumission de certains actes au consentement du curateur (ex. demande d emprunt). Limitation partielle de l exercice des droits civils. Mesures de prise en charge totale. Perte de l exercice des droits civils et souvent civiques. Personne psychiquement affaiblie. Personnes psychiquement affaiblies ou plus aptes à gérer certaines choses (incapacité passagère de discernement ou absence). Incapacité à gérer son patrimoine. Personne psychiquement affaiblie. Personnes en état de faiblesse avec un besoin particulier de protection (incapacité durable de discernement) Volontaire Volontaire ou décidée par un juge Volontaire ou décidée par un juge Décidée par un juge Thème 1 : De l école à l apprentissage Concernant les personnes emprisonnées, les décisions se prennent au cas par cas. 4.3 Le placement à des fins d assistance Ce sont le plus souvent des mesures d internement, volontaires ou décidées par un juge, pour subir des ou soins une thérapie dans des. établissements médico-sociaux Ces mesures s appliquent le plus souvent à des personnes toxico-dépendantes, alcooliques, dépressives, souffrant de troubles psychiques ou de déficience mentale. 9
10 Thème 1 : De l école à l apprentissage 5 Les droits de l Homme et de l enfant 5.1 Les droits de l Homme Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits élémentaires de l Homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience humaine, l Assemblée générale des Nations Unies a adopté, le 10 décembre 1948, une déclaration proclamant l avènement d un monde où : Les êtres humains, nés égaux en dignité et en droit, seraient libres de vivre, de s exprimer et de croire, libérés de la terreur et de la misère, sans distinction de : 1 race 2 co uleur 3 se xe 4 la ngue 5 re ligion 6 op inion 7 origine sociale 8 origine nationale Tous les Etats signataires de la DECLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L HOMME s efforceront de développer le respect de ces droits et libertés en mettant en place des mesures propres à les faire connaître et à les appliquer. campus-virtuel.ch On peut distinguer trois types de droits de l Homme : A. Les droits civils et politiques protègent l individu en tant que tel. Exemples : le droit à la vie, à ne pas être soumis à la torture, la liberté d association ou religieuse B. Les droits économiques, sociaux et culturels, visant à garantir l octroi d un certain nombre de prestations économiques, sociales et culturelles. Exemples : Le droit au travail, le droit à la sécurité sociale, le droit à l éducation, la liberté syndicale C. Les droits dits «de la troisième génération», destinés à la population dans son ensemble. Ils ne figurent dans aucune convention internationale à caractère contraignant. Exemples : Le droit à un environnement sain, le droit au développement En Suisse, les droits de l Homme sont inclus dans la Constitution fédérale et dans les Constitutions cantonales. Le Tribunal fédéral s assure du respect des droits de l Homme par les autorités publiques suisses. 10
11 A l aide de la Constitution fédérale, complétez le tableau suivant : Droits de l Homme Constitution fédérale Art. 1 et 7 Egalité des droits Art. 8 Art. 13 Liberté d établissement Art. 24 Art. 18 Liberté de conscience Art. 15 Art. 19 Liberté d opinion et d information Art. 16 Art. 20 Liberté d association Art. 23 Art. 16 Droit au mariage Art. 14 Art. 17 Droit à la propriété Art. 26 Art. 26 Droit à l instruction Art. 19 La Constitution fédérale fait des droits de l Homme l un des objectifs de la politique extérieure de la Suisse. Toute personne qui estime qu un des droits qui lui sont garantis par la Cour européenne des droits de l Homme a été violé peut saisir cette dernière par une requête individuelle. Ce recours n est toutefois possible que lorsque toutes les voies de recours qu offre le droit national ont été utilisées. Thème 1 : De l école à l apprentissage 6 Généralités sur les contrats En principe, seules les personnes ayant l exercice des droits civils peuvent conclure des contrats. 6.1 Définition du contrat Le CO définit le contrat : Art. 1 al.1 Le contrat est parfait lorsque les parties ont réciproquement et de manière concordante manifesté leur volonté. Partie au contrat Obligation essentielle de l accord Partie au contrat Obligation essentielle de l accord DROITS DEVOIRS 11
12 Thème 1 : De l école à l apprentissage 6.2 Forme des contrats Art. 1 al.2 La manifestation de cet accord peut être ou expresse. tacite Art. 11 al.1 Un contrat doit obligatoirement être conclu sous une forme particulière s il y a une prescription de la loi. Contrat écrit Contrat oral Contrat tacite Contrat authentique Genres de contrat Prescription spéciale Forme (si OUI, préciser l article) a) Vente au comptant à un appareil automatique NON tacite b) Contrat d apprentissage OUI (art. 344a al.1) écrite c) Contrat de travail NON orale ou écrite d) Vente d immeuble OUI (art. 216 al.1) authentique 12
13 6.3 Nullité des contrats Un contrat peut être annulé pour diverses raisons. - S il porte sur un acte illicite Exemple : engager un tueur à gage - S il porte sur un acte impossible Exemple : un voyage sur Saturne - S il est contraire aux moeurs Exemple : payer son professeur pour obtenir son CFC - S il y a lésion (gène, inexpérience) Exemple : faire signer un contrat à une personne sous l emprise de l alcool - S il y a erreur essentielle Exemple : le client pense louer un téléphone, alors que le contrat prévoit l achat - En cas de dol (tromperie volontaire) Exemple : modifier le compteur d une voiture pour augmenter son prix - S il y a crainte fondée Exemple : menacer de mort sa fiancée si elle refuse de se marier 7 Le contrat d apprentissage campus-virtuel.ch Thème 1 : De l école à l apprentissage Le contrat d apprentissage est un contrat individuel de travail de caractère spécial (CO art. 344). Partie au contrat Le maître d apprentissage Obligation essentielle de l accord Former l apprenti conformément aux règles du métier DROITS DEVOIRS Partie au contrat L apprenti (si mineur, son représentant légal) Obligation essentielle de l accord Travailler au service du maître d apprentissage pour acquérir sa fomation 13
14 Thème 1 : De l école à l apprentissage 7.1 Forme du contrat CO art. 344 al. 1 La forme écrite est exigée. Sur une formule officielle Soumis à l approbation de l autorité cantonale. En trois exemplaires (apprenti, maître d apprentissage, autorité cantonale) 7.2 Contenu CO art. 344a al. 2 et 3 a) la nature (la profession) b) la durée (début et fin de l apprentissage) c) le salaire (à l heure ou au mois) d) le temps d essai (1 à 3 mois) e) l horaire de travail (nombre d heures par jour ou par semaine) f) les vacances (CO 345a al.3 : min. 5 semaines jusqu à 20 ans révolus) g) Autres clauses :. fourniture scolaires. contribution à certains frais (repas, déplacements ). paiement de primes d assurances. autres prestations des parties 7.3 La fin du contrat CO art. 344a Les accords qui portent atteinte à la libre décision de l apprenti quant à son activité professionnelle après l apprentissage sont nuls. CO art. 346 al.1 Pendant le temps d essai, le délai de résiliation est de 7 jours. Manières de rompre le contrat : résiliation d un commun accord résiliation pour de justes motifs (CO 346.2) retrait de l approbation de l autorité cantonale 14
15 7.4 Droits et obligations découlant des bases légales Les principales bases légales traitant de la formation professionnelle sont : - CO (Code des obligations) - LFPr (Loi sur la formation professionnelle) - LAA (Loi sur l assurance accident) - OFPr (Ordonnance sur la formation professionnelle) Bases légales CO 344a al. 4 CO 345a al.4 LAA 1a LAA 91a CO 345 CO 345a al.2 LFEPr 21/22 Contenu Avant que le temps d essai prenne fin, les parties peuvent exceptionnellement le prolonger jusqu à 6 mois. L apprenti doit être occupé à des travaux en rapport avec la profession. L employeur doit assurer l apprenti contre les. accidents L employeur doit payer les primes pour les accidents professionnels. L apprenti doit s efforcer d atteindre le but de l apprentissage. L employeur doit astreindre l apprenti à suivre l enseignement professionnel et lui accorder le temps nécessaire sans retenue de salaire. Thème 1 : De l école à l apprentissage LFPr 37/38 LFPr 41 al.1 LFPr 37/38 CO 346a CO 328 L apprenti est tenu de subir l examen de fin d apprentissage. L employeur ne peut pas exiger des émoluments au candidat qui passe l examen de fin d apprentissage. L examen final réussi donne droit au certificat fédéral de capacité. L employeur doit délivrer à l apprenti un certificat d apprentissage au terme de la formation. L employeur protège et respecte la personnalité du travailleur et veille à sa santé. 7.5 Autres bases légales L ordonnance de formation / le règlement d apprentissage définit: - le programme de formation dans l entreprise - le programme de formation à l école professionnelle - l organisation, les branches et matières de l examen final - l appréciation des branches et valeur des notes Les lois cantonales sur la formation professionnelle Le contrat d apprentissage 15
16 Thème 1 : De l école à l apprentissage 7.6 Les responsables de l application des lois Au niveau fédéral Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche (DEFR) Secrétariat d Etat à la formation, à la recherche et à l innovation (SEFRI) Au niveau cantonal Direction de l économie et de l emploi (DEE) Pour l IAG : Direction des institutions, de l agriculture et des forêts (DIAF) Service cantonal de la formation professionnelle (SFP) En cas de difficultés l apprenti peut contacter la commission d apprentissage : Adresse de la commission des : La commission d apprentissage formée de représentants des patrons et des travailleurs : - elle approuve les contrats - procède à la visite de chaque apprenti, dans la mesure du possible une fois par année, et établit un rapport de visite 16
17 8 Gestion du budget 8.1 La fiche de paie de l apprenti Le salaire de l apprenti doit être réglé au mois ou éventuellement à l heure, mais il ne doit pas être payé selon la quantité de travail fourni (à la tâche). Le salaire doit correspondre au montant fixé par le contrat d apprentissage et, sauf convention ou accord contraire, versé. à la fin du mois. Des conventions collectives ou un accord patronal fixent, parfois, des salaires minimums dans certaines professions. Complétez la fiche de salaire ci-dessous. Menuiserie Randin Collaborateur : 1620 Montetens Dominique Emond, App. 1ère année campus-virtuel.ch Thème 1 : De l école à l apprentissage Décompte de salaire pour : janvier 20.. Nbre heures Salaire horaire 3.00 Salaire de base Vacances 40 h Jour fériés 8 h Salaire brut ? Déductions Déductions dès le 1er janvier de l année des 18 ans AVS/AI/APG 5.15% 29.70? AC 1.10% 6.35? AANP 0.54% 3.10? APGM 0.30% 1.75? Total des déductions 40.90? Salaire net ? Indemnité repas 3 x Montant versé sur CCP ? Solde vacances/h
18 Thème 1 : De l école à l apprentissage 8.2 Le budget Un budget sert à énumérer les sorties et entrées d argent à venir, afin de les équilibrer. Il se fait habituellement au début de chaque exercice comptable (mois, trimestre, année...). Les charges mensuelles se divisent en 2 catégories : les frais fixes : ce sont les dépenses qui ont lieu de manière régulière pour un montant sensiblement identique (dépenses obligatoires ou liées à des contrats). Il s agit d apprendre à négocier, avec soi-même, voire avec les parents, l utilisation de l argent. L argent qui est mis au nom de l enfant, parfois dès la naissance, sur un compte épargne ou autre, lui appartient. Les parents ont le droit d utiliser les intérêts de cet argent uniquement pour l éducation, l entretien et la formation de leur enfant. Ils gèrent cet argent jusqu à sa majorité. les frais variables : ce sont les dépenses sur lesquelles vous pouvez influer. frais variables courants : ils sont indispensables. frais variables occasionnels : peuvent être reportés dans le temps ou annulés. Répartition des dépenses A l aide de la liste suivante, triez les différents frais relatifs au budget en trois colonnes. Cadeaux loyer impôts vacances épargne téléphone assurances nourriture chauffage vêtements abonnement de train Frais fixes loyer impôts téléphone assurances chauffage Frais variables courants occasionnels vêtements nourriture cadeaux vacances épargne abo. train 18
19 Budget-conseil Suisse Valeurs indicatives pour jeunes en formation Ces propositions concernent les jeunes en formation habitant chez leurs parents. En ce qui concerne les jeunes majeurs, bénéficiant d'une pension alimentaire, rente, bourse, d'autres bases de calcul seront consicérées. Pour ces situations nous recommandons une consultation personnalisée auprès de notre service "Budget conseils". Revenu mensuel net '000 13e salaire/gratification non compris Charges fixes Maladie/accident (assurance de base 1 / j.à 18 ans) 80 Maladie/accident (assurance de base 1 /19-25 ans ) 330 Frais de déplacement (transport public/vélo) A usage personnel Argent de poche Téléphone mobile Vêtements/chaussures Coiffeur/soins d'hygiène Matériel scolaire (sans les livres) PC (entretien/amortissement) Sport/musique (en partie éventl.) Thème 1 : De l école à l apprentissage Réserves Frais de santé (franchises/quote-part/dentiste) Dentiste/opticien/médicaments Impôts Camps/excursions Epargne (p. ex. vacances/leçons d'auto-école) Montant disponible pour: Des repas à l'extérieur 2 et/ou particip.aux frais de nourriture et de logement '000 1 réductions de primes (subventions) non considérées 2 Frais de repas à l'extérieur: jusqu'à frs. 10 par repas (Supplément pour travail de force frs. 5 par jours) Prise en charge par la personne ayant le droit de garde Code Civil art L'enfant a l'administration et la jouissance du produit de son travail et de ceux de ses biens que les père et mère lui remettent pour exercer une profession ou une industrie. 2 Lorsque l'enfant vit en ménage commun avec ses père et mère, ceux-ci peuvent exiger qu'il contribue équitablement à son entretien. 2013/
20 Thème 1 : De l école à l apprentissage 9 Les assurances 9.1 Généralités On peut classer les assurances en trois catégories : Assurances de personnes Assurances de choses Assurances du patrimoine Assurance-maladie Assurance-accident Assurance-vie AVS/AI Assurance-chômage 9.2 Glossaire Depuis toujours les hommes se sont groupés en communautés pour protéger leurs vies et leurs biens contre les dangers (risques). Ils forment des communautés de risques (aujourd hui on parle d assurances) qui, par leurs contributions, aident ceux qui subissent un dommage. Autrefois, c était surtout pour se protéger des forces de la nature. De nos jours, la technique, qui nous met plus à l abri des dangers naturels, est cependant source de nouveaux dangers (machines, trafic routier, etc). Assurance-incendie Assurance machine Casco véhicules Assurance-ménage Assurance responsabilité civile: - privée - véhicule à moteur - entreprise Assurance protection juridique Place chaque mot devant sa définition. Risque, franchise, sinistre, sous-assurance, prestation, prime, cotisation, dommage, valeur à neuf, double-assurance Risque : possibilité de survenance d un événement déterminé, qui occasionne un dommage ou déclenche un besoin. iconomix Franchise : partie du dommage sous forme d un pourcentage ou d un montant fixe que l assuré doit payer. Sinistre : c est l événement, lorsque le risque se réalise, qui oblige l assureur à exécuter les prestations prévues. Prestation : engagements de la compagnie d assurance en cas de réalisation du sinistre. Prime : le prix que le preneur d assurance doit payer pour pouvoir bénéficier de la couverture d assurance en cas de sinistre. Cotisation : la prime pour certains types d assurances (AVS, caisse maladie) Dommage : perte de fortune du lésé liée au sinistre. 20
21 9.3 Le contrat d assurance (ou Police d assurance) Partie au contrat L assureur Obligation essentielle de l accord verser des prestations en cas de sinistre DROITS DEVOIRS Partie au contrat L assuré Obligation essentielle de l accord payer des primes pour être couvert si le risque se réalise Thème 1 : De l école à l apprentissage 10 L assurance accidents campus-virtuel.ch Assurance Accidents Professionnels Payée par le maître d apprentissage Assurance Accidents Non Professionnels Payée par l apprenti* et retenue sur sa paie * selon les dispositions prises dans le contrat, l AANP peut éventuellement être prise en charge par le maître d apprentissage (LFPr 22.5) 21
22 Thème 1 : De l école à l apprentissage 10.1 Prestations de l assurance obligatoire en cas d accidents a) Prestations en nature et prise en charge des frais - Traitements médicaux Exemples : Traitements chez le médecin, (prise en charge à 100%) pharmaceutiques, hospitalisation en chambre commune - Moyens auxiliaires Exemples : Prothèse, fauteuil roulant - Dommages matériels Exemple : Réparation de lunettes - Frais de voyage, de transport, Exemple : Sauvetage par la Rega de sauvetage et frais funéraires b) Prestations en espèces - Indemnités journalières Exemple : 80% du salaire brut dès le 3ème jour Le salaire des 2 premiers jours est payé par l employeur (min. 80%) - Prestations en cas d invalidité Exemples : - Rente en cas d invalidité totale (ex : cécité) - Versement d un capital - Allocation pour impotent, lorsque l accidenté ne peut accomplir les actes ordinaires de la vie (se laver, cuisiner, se déplacer, etc.) sans l aide d autrui - Rentes de survivants Exemples : - Rente de veuve ou de veuf - Rente d orphelin simple - Rente d orphelin double 11 L assurance maladie campus-virtuel.ch L apprenti est en principe assuré dans le cadre familial de manière privée, mais parfois, par l intermédiaire de son maître d apprentissage, auprès d une caisse ou d une compagnie d assurance maladie à laquelle est rattachée l entreprise. 22 Une franchise minimale de 300* fr. est obligatoire ; d autres, plus élevées, sont possibles pour tendre à une diminution du montant des primes à payer. *Adultes et jeunes : frs Enfants : frs
23 11.1 Principales prestations de l assurance maladie de base - frais médicaux - frais pharmaceutiques et vaccins - frais d hospitalisation (en division générale d un hôpital figurant sur une liste établie) La prime de l assurance maladie varie en fonction de trois éléments : - L âge (enfant, jeune adulte, adulte) - Le domicile - La caisse maladie Comment faire baisser sa prime? - Hausse de la franchise - Résiliation d assurances complémentaires - Changement d assureur-maladie - Réduction des primes (subvention cantonale) - Modèle du médecin de famille, HMO - frais de soins à domicile - frais dentaires en cas de maladie grave - frais de réadaptation (moyens, appareils, chirurgie esthétique, soins en cure ) - frais d examens durant la grossesse Thème 1 : De l école à l apprentissage D autres prestations peuvent être assurées au moyen d assurances complémentaires. 12 La lettre commerciale 12.1 Abréviations courantes Mme = Madame M. = Monsieur MM. = Messieurs p.a. = Pour adresse Ch. = Chemin Rte = Route Av. = Avenue Bd = Boulevard 23
24 Thème 1 : De l école à l apprentissage 12.2 La mise en page de la lettre Une lettre de correspondance est toujorus préparée sur une feuille blanche non quadrillée et non perforée. Chaque rubrique possède une place bien précise. La composition du texte et l orthographe sont également importantes. Ci-dessous, voici un exemple de lettre d excuse. Objet de la lettre (*) Adresse de l expéditeur Robert Glacier Cours , bouchers Rte de la Glâne Fribourg Absence aux cours du lundi 28 août 20.. Ecole professionnelle artisanale et industrielle Derrière-les-Remparts Fribourg Fribourg, le 30 août 20.. Adresse du destinataire Lieu et date Marge de gauche = 3 cm Interpellation Madame, Monsieur, 1 : introduction Le 28 août dernier, je n ai pas pu assister aux cours professionnels. En effet, une grippe m a obligé à garder le lit durant 3 jours. Aussi, je vous demande de bien vouloir m excuser pour cette absence. 2 et 3 : développement Je vous remercie de votre compréhension et vous assure que je me renseignerai sur les matières vues en classe et les devoirs à accomplir à la maison. Je vous prie d agréer, Madame, Monsieur, mes meilleures salutations. R. Glacier Salutations (reprise de l interpellation) Le représentant légal : Jean Glacier Signatures Le maître d apprentissage : Beat Snuffler Annexe : attestation médicale Annexe 24 (*) L objet de la lettre est souligné lorsqu il est manuscrit, mais est seulement mis en caractères gras lorsque le texte est informatisé.
25 12.3 Autre exemple de lettre commerciale Jean Wengger SA Rue des Monts d Or Châtel-St-Denis Réclamation pour retard dans la livraison Lettre recommandée Elwé SA Meubles et machines de bureau Route de Moudon Echallens Châtel, le 18 septembre 20.. Thème 1 : De l école à l apprentissage Madame, Monsieur, Nous nous permettons de vous rappeler notre lettre du 10 août dernier concernant la commande de 10 meubles de bureau en acier réf. EK 180 G qui devaient nous parvenir le 4 courant. Or, nous sommes surpris de constater que le délai de livraison n a pas été observé. Nos agences régionales de Bulle et de Romont s ouvrant le 15 octobre, vous comprendrez sans doute notre inquiétude. Toutefois, nous sommes disposés à vous accorder un dernier délai jusqu au 30 septembre 20.. ; sinon, nous nous verrons dans l obligation d annuler notre ordre. Nous ne doutons pas que vous ferez votre possible pour nous donner satisfaction. Veuillez agréer, Madame, Monsieur, nos salutations les meilleures. E. Junod 25
26
27 Ecoles professionnelles de Fribourg mem ecg mise en mémoire - enseignement de la Culture Générale thème 2
28 Thème 2 : Consommacteur Table des matières 1 Besoins et biens p Les secteurs économiques p La formation des prix p Le niveau de vie et le pouvoir d achat p La publicité p Le contrat de vente (CO art ) p Les poursuites p Les moyens de paiement p Les conséquences de la consommation p. 40 Obligatoire Facultatif Obligatoire Facultatif Obligatoire Facultatif Obligatoire Facultatif Obligatoire Facultatif Artisanal / Industriel / Agriculture - Formation en 3 ans Artisanal / Industriel / Agriculture - Formation en 3 ans Artisanal / Industriel - Formation en 4 ans Artisanal / Industriel - Formation en 4 ans Santé / Social Santé / Social Technique / EMF Technique / EMF Artistique Artistique 28
29 1 Besoins et biens L activité économique sert à satisfaire les besoins des humains, par la production puis la consommation de biens ou de services. 1.1 Les besoins iconomix Par l apprentissage, le jeune devient davantage acteur du circuit économique. Il est dorénavant plus impliqué en tant que consommateur et, avec ses premiers salaires, appréciera ce plus de liberté. Aujourd hui, un environnement publicitaire stimule la consommation. La rareté de nos ressources ne nous permet pas de satisfaire l ensemble de nos besoins. Cet état de manque peut se hiérarchiser de la manière suivante : Besoins physiologiques Besoins psychologiques Besoins de luxe ou vitaux ou culturels / sociaux - se nourrir - s instruire - voyager - se vêtir - se divertir - avoir une Ferrari - se loger - se soigner - partir à Hawaï Thème 2 : Consommacteur Les besoins collectifs sont généralement financés par les taxes et les impôts. Par exemple : les transports publics, la fourniture d eau, la défense nationale, le réseau routier, etc. 1.2 Les biens matériels et les services Les biens matériels et les services (immatériels) permettent de satisfaire certains besoins. Les biens sont les objets (ou produits) et les services qui satisfont les besoins. Les biens de consommation : Les biens de production : Les services :. aliments. appareils ménagers. objets de loisirs. machines. usines. électricité. banques. transports. assurances Les biens sont limités. Certains ne sont pas des biens au sens économique mais des biens libres comme l air que l on respire. 29
30 2 Les secteurs économiques On distingue dans l économie trois secteurs économiques : Thème 2 : Consommacteur Primaire (agriculture, pêche, carrières, mines) matière première. Ce secteur en Suisse représente principalement l agriculture. Ce secteur est en déclin depuis le début des années 1900, et le nombre d entreprises agricoles fond à vue d œil. Secondaire (industrie, artisanat, bâtiment, électricité-gaz-eau) transformation. Ce secteur a été capital pour la Suisse pendant le siècle dernier. Il a permis de montrer l excellence suisse avec un travail innovant et de qualité. La main d œuvre dans ce secteur a cependant diminué fortement, notamment dans les industries textile et machines. On a moins de souci du côté de la pharmacie ou de l horlogerie, qui ont réussi à prendre un virage technologique convaincant. Tertiaire (commerces, tourisme, assurances, transports, banques, administration) Distribution et autres services. Ce secteur explose en Suisse et représente aujourd hui presque les trois quarts des emplois. 2.1 Répartition par secteurs A l aide des chiffres ci-dessous, tracez un graphique avec des courbes. 100% Année Primaire % Secondaire % Tertiaire % % Tertiaire 50% 30 25% Secondaire Primaire
31 Répartissez les professions par secteur Agence de tourisme, Industrie de la chimie, Banque, Vente de voiture, Agriculteur, Industrie mécanique, Commerce de détail, Assurance Secteur primaire Secteur secondaire Secteur tertiaire Agriculture 2.2 Les facteurs de production Industrie de la chimie Industrie mécanique La combinaison des facteurs de production : - le travail - le capital - le sol et les matières premières - le savoir-faire permet la production des différents biens et services. Agence de tourisme Banque Vente de voiture Commerce de détail Assurance Thème 2 : Consommacteur La productivité mesure l efficience de l emploi des facteurs de production. 3 La formation des prix iconomix L économie de marché est basée sur la liberté individuelle et la. propriété privée Pour approvisionner correctement les consommateurs et utiliser rationnellement les ressources, trois éléments sont essentiels :, le marché les prix et. la concurrence En Suisse, l Etat interient également ponctuellement dans la formation des prix. 3.1 Offre et demande Le marché est le lieu de rencontre entre la demande et l offre d un bien ou d un service. 31
32 Thème 2 : Consommacteur La demande est la quantité de biens ou de services que les consommateurs désirent consommer au cours d une période donnée en fonction d un prix. Elle dépend : de l utilité d un bien ou d un service des possibilités financières de l individu demandeur des conditions du marché Quand le prix augmente, la quantité demandée diminue. L offre est la quantité de biens ou de services que les vendeurs désirent mettre à disposition au cours d une période donnée en fonction d un prix. Elle dépend principalement de la comparaison des coûts de production et du prix de vente. Dans l économie de marché, l offre et la demande déterminent le prix d équilibre et la quantité d équilibre à un moment donné. 4 Le niveau de vie et le pouvoir d achat campus-virtuel.ch Dire d un pays que ses habitants sont riches ou pauvres en se basant uniquement sur son Produit Intérieur Brut (PIB) par habitant, c est oublier que les biens et services s acquièrent à des prix très différents d un pays à l autre, et que les salaires varient énormément. Ce qui importe finalement pour un individu n est pas le niveau de son salaire, mais bien ce qu il peut en faire, c est-à-dire le pouvoir d achat que celui-ci lui confère. 32 Le pouvoir d achat : C est la quantité de biens que les ménages peuvent se procurer avec un montant déterminé, par exemple 100 fr.
33 Lorsque les salaires augmentent plus rapidement que les prix, la population dispose de plus de moyens financiers et peut donc acheter davantage. Le pouvoir d achat s accroît. Inflation : croissance excessive de la masse monétaire sans augmentation simultanée et proportionnelle de la quantité de biens et de services offerts. Il en résulte une hausse des prix. L inflation engendre une perte du pouvoir d achat de la monnaie (le consommateur recevant une quantité inférieure de biens et de services pour le même montant). 4.1 L indice des prix à la consommation Les prix ont tendance à augmenter : les salaires sont généralement indexés de manière à ce que le pouvoir d achat ne diminue pas. C est-à-dire que les salaires augmentent proportionnellement à une valeur de référence qu on appelle l indice des prix à la consommation (IPC). Cet indice est calculé sur la base de l évolution des prix d un ensemble de 300 biens et services déterminé. Thème 2 : Consommacteur Salaires indexés, le pouvoir d achat reste stable. Salaires non indexés, le pouvoir d achat diminue. Source : Magazine du développement durable 2013 Migros L évolution du pouvoir d achat montre généralement une amélioration du niveau de vie, car s il y a plus de moyens, il y a éventuellement la possibilité d améliorer son confort privé, professionnel, etc. en achetant davantage ou de meilleure qualité. 33
34 5 La publicité campus-virtuel.ch Thème 2 : Consommacteur Définition Dans le domaine de la consommation, la publicité est une technique d information qui renseigne sur des produits ou des services par le moyen de mots, d, images de musique, etc. Elle oriente le public sur les offres du marché en suscitant son intérêt, son désir pour l inciter à acheter. 5.1 Quelques instruments de la publicité Objectifs d une campagne publicitaire : - faire connaître un produit, informer - faire essayer le produit - augmenter la cote (notoriété) du produit - fidéliser la clientèle Types de publicité - Informative : pour le lancement d un produit. On insiste sur le nom, les qualités du produit. - Persuasive : pour prouver que le produit est meilleur que ses concurrents. - De confirmation : pour rassurer le consommateur et l encourager à maintenir sa confiance en la marque. - De rappel : rappeler l existence d un produit en phase de maturité. 6 Le contrat de vente (CO art ) 6.1 Définition de la vente (CO art. 184 al.1) 34 La vente est un contrat par lequel le vendeur s oblige à livrer la chose à l acheteur et à lui en transférer la propriété, moyennant un prix que l acheteur s engage à lui payer.
35 Partie au contrat Vendeur Obligation essentielle de l accord Transférer la propriété DROITS DEVOIRS Partie au contrat Acheteur Obligation essentielle de l accord Payer le prix convenu Thème 2 : Consommacteur 6.2 Les types de contrat de vente (CO art. 187 al. 1) Vente mobilières : Vente immobilières : biens qui peuvent être déplacés ex: - livres - denrées alimentaires - télévision biens-fonds, droits inscrits au RF ex: - bâtiments - terrains - mines Vente mobilière Vente immobilière Forme Aucune forme obligatoire (sauf ventes particulières) Par acte authentique Propriété A la livraison (sauf s il y a réserve de propriété) Dès l inscription au Registre foncier Garantie 2 ans dès la livraison (1 an pour les objets d occasion vendus par des professionnels) 5 ans dès l inscription au RF 35
36 6.3 Les modes de paiement a) La vente au comptant Thème 2 : Consommacteur (CO art. 184 al.2) Le vendeur et l acheteur s acquittent simultanément de leurs obligations. (CO art. 184 al.1) La livraison de la chose, le de transfert la propriété et le du paiement prix convenu ont lieu en même temps. b) La vente à crédit L acheteur reçoit la marchandise avant de l avoir payée ; mais il doit s acquitter du prix dans le délai convenu. c) Le contrat de crédit à la consommation Ce contrat est soumis à la loi sur le crédit à la consommation (LCC). Cette loi règle de nouvelles possibilités d achat, comme par exemple un prêt à la banque, le leasing, mais également l achat avec paiement en plusieurs mensualités ou à l aide d une carte de crédit. Ce contrat doit porter sur un montant entre 500 et frs, et le nombre d acomptes doit être supérieur à quatre versements. Les contrats qui ne respectent pas ces normes sont possibles, mais ne tombent pas sous le joug de la LCC. Forme : écrite Délai de résiliation : 7 jours Intérêt maximal : 15% Réserve de propriété : possible, mais non obligatoire Autres indications essentielles du contrat : - objet de la vente - prix au comptant - intérêts - prix global - mensualités Si le droit de l acheteur de renoncer au contrat dans le délai prescrit ainsi que les points essentiels ne figurent pas dans le contrat, ce dernier est. nul Le pacte de réserve de propriété est un contrat en vertu duquel la chose reste propriété du vendeur jusqu au paiement du dernier acompte. Il doit être inscrit à l Office des Poursuites. 36
37 6.4 Forme - Aucune forme particulière pour les ventes mobilières (la forme écrite reste un moyen de preuve et est conseillée) - Ecrite pour les crédits à la consommation - Authentique + inscription au Registre foncier pour les ventes immobilières (CO art. 216, CC art. 656) 6.5 Droits et obligations du vendeur et de l acheteur Réactions de la part de l acheteur Non-respect de l obligation par le vendeur Obligations du vendeur Délai convenable Résiliation Dommages-intérêts Livrer la chose Retard dans la livraison ************* ************* Transférer la propriété Réduction du prix, résiliation, réparation remplacement Garantir la chose Défaut de la chose Réactions de la part du vendeur Non-respect de l obligation par l acheteur Obligations de l acheteur Exiger le paiement Résiliation Dommages-intérêts Accepter la chose Refus de recevoir Vérifier la chose ************* ************* Intérêts de retard Poursuites Payer le prix Retard de paiement Thème 2 : Consommacteur Vendeur (CO ) Acheteur (CO ) 37
38 7 Les poursuites campus-virtuel.ch Thème 2 : Consommacteur A tout âge se pose le problème de bien gérer ses finances : Argent mis de côté par les parents, argent de poche, argent gagné, salaire de l apprenti, revenu d une activité lucrative... Enfin chez soi! : nécessité d un budget personnel Loyer avec charges, alimentation et boissons, primes d assurance, cotisations, impôts, loisirs Mais aussi risques d endettement (causes) : Emprunts privés, dépassement du compte, cartes de crédit/de débit, le leasing et le petit crédit, les retards de paiements 7.1 La procedure de poursuite L objectif de la poursuite pour dettes est de faire recouvrer une créance par voie juridique. Si un débiteur ne remplit pas ses engagements, le créancier peut en exiger l exécution à l aide des organes officiels en introduisant une procédure de poursuite. Créancier Réquisition de poursuite Commandement de payer Délai d opposition de 10 jours Paiement Opposition Sans opposition Procédure de mainlevée Continuation de la poursuite Inventaire des biens Procès-verbal de saisie Vente aux enchères Calcul du minimum d existence Saisie de salaire Acte de défaut de biens Prescription : 20 ans 38 Paiement total Paiement partiel Pierre Aubort, «Vos droits face aux dettes», Fédération romande des Consommateurs
39 8 Les moyens de paiement 8.1 Le bulletin de versement (BV) BV sans numéro de référence : dans l exemple ci-dessous Boris doit payer à Robert Schneider SA pour la facture Nr 408. Thème 2 : Consommacteur Le récépissé, avec timbre et signature de la poste, prouve que Boris a payé sa facture. Le montant sera versé sur le compte de Robert Schneider SA qui recevra également la copie du présent coupon. BV avec numéro de référence (BVR) Pour éviter de conserver les récépissés, on peut utiliser un carnet jaune. Le bénéficiaire ne reçoit pas la copie du coupon, mais uniquement le numéro de référence. Il est donc nécessaire de savoir à qui on a envoyé quel bulletin. 39
40 8.2 e-banking (Internetbanking) L e-banking est l accès aux services bancaires depuis une interface interactive, par exemple un navigateur web. Sa disponibilité permet l accès aux comptes, d effectuer des transactions ou d obtenir des informations financières récentes. Thème 2 : Consommacteur Son accès s effectue généralement via un ordinateur ou un smartphone équipé d un accès internet. La connexion se fait par accès sécurisé. Pour les banques, les services de e-banking sont plus avantageux puisque le client gère lui-même son compte via l internet et renonce donc aux justificatifs sur un support papier. De plus, le nombre de guichets nécessaires (et donc d emplois) peut être diminué. Cette forme de paiements et de transactions bancaires prend un essor considérable auprès de la population suisse. Ce système est également avantageux pour le client qui peut diminuer ses frais bancaires. Le LSV (Système de recouvrement direct) Les banques, les assurances et autres commerces importants proposent à leur clientèle le système de recouvrement direct : il s agit de prendre directement sur le compte bancaire du client le montant à débiter pour payer une facture ou recouvrir une dette. 9 Les conséquences de la consommation campus-virtuel.ch Le monde industrialisé, consommateur, ne s est pas trop inquiété, a rejeté et rejette encore dans l environnement des quantités de déchets toxiques et polluants qui mettent en danger l équilibre écologique de notre planète et la survie des êtres humains. 9.1 Une importance capitale Les dangers qui menacent la Terre sont issus d évolutions réjouissantes en soi, comme la croissance économique et l augmentation du niveau de vie dont bénéficient de nombreux pays. Il n en reste pas moins que l industrialisation poussée et le développement des échanges dans le monde engendrent les problèmes environnementaux suivants: 40
41 la forte consommation et la disparition des énergies, fossiles comme le charbon et le pétrole l augmentation des transports de marchandises et l accroissement des risques dus aux produits dangereux l élimination et le recyclage des déchêts ménagers et industriels la pollution de l atmosphère et ses conséquences sur l effet de serre (équilibre de la température de la planète) et, sur la couche d ozone (protection contre les rayons ultraviolets) la pollution des eaux, aussi bien douces que marines Les catastrophes écologiques ne s arrêtent pas aux frontières. Produire toujours plus, consommer toujours davantage exigent de l ensemble des pays une stratégie mondiale pour prendre des mesures, fixer des normes et les faire appliquer. 9.2 Des remèdes pour un équilibre entre croissance et environnement Dans la recherche de solutions, il faut prendre en compte que, d une part, la pollution ne doit pas être stabilisée mais réduite et, d autre part, que de nombreuses régions de la planète sont encore extrêmement pauvres et ont impérieusement besoin d un développement économique. Scientifiques, groupes de pression, partis politiques et autres partenaires suggèrent diverses solutions : Thème 2 : Consommacteur une utilisation rationnelle des ressources = utiliser le mieux possible les ressources naturelles, les ressources humaines, les outils et les machines (les fac- teurs de production), économiser, éviter le gaspillage... les corrections techniques et le progrès technique = améliorer les systèmes, les produits existants, développer de nouveaux procédés, rechercher des produits de substitution, réutiliser les déchêts (recyclage)... les incitations économiques = donner un prix à la pollution pour dissuader, appliquer le principe du pollueur-payeur (taxe-poubelle)... les interdictions = interdire un produit, une méthode qui engendre des effets extrêmement négatifs (aérosols)... la sensibilisation = faire prendre conscience que l avenir dépendra du comportement de chaque individu. L humanité, confrontée à la menace du changement climatique, aux défis techniques que pose la croissance de la consommation d énergie et des autres ressources, ou encore aux déséquilibres sociaux qui s approfondissent, doit trouver les moyens de rendre le développement durable. 41
42 9.3 Le développement durable Le développement durable est un concept de durabilité axé sur l avenir et les ressources. Il englobe trois dimensions : Thème 2 : Consommacteur l économie comme par exemple, le financement du développement, la libéralisation du commerce international, l annulation de la dette publique des pays pauvres très endettés, etc. Le développement durable impose la mise en harmonie de la vision économique avec les impératifs environnementaux, éthiques et sociaux. Il a une double approche : dans l espace (chaque habitant de cette terre a le même droit humain aux ressources de la terre) et dans le temps (nous avons le droit d utiliser les ressources de la terre mais le devoir d en assurer pérennité pour les générations à venir). l écologie la consommation des ressources, la production de déchets et d émissions polluantes, la protection des espèces et des écosystèmes naturels. le social avec le droit des enfants, la situation des personnes âgées, les mouvements migratoires de masse et bien d autres différents problèmes démographiques. «Nous n héritons pas de la Terre de nos ancêtres, nous l empruntons à nos enfants». (Antoine de Saint-Exupéry) 42
mem thème 1 Ecoles professionnelles de Fribourg - enseignement de la Culture Générale mise en mémoire Version 3.0-2013
Ecoles professionnelles de Fribourg mem ecg mise en mémoire - enseignement de la Culture Générale Version 3.0-2013 thème 1 Thème 1 : De l école à l apprentissage Table des matières 1 Encadrement p. 3 2
Plus en détailMémento. de l assurance-accidents selon la loi fédérale sur l assuranceaccidents. GENERALI Assurances Générales SA, 1260 Nyon. Table des matières
Mémento de l assurance-accidents selon la loi fédérale sur l assuranceaccidents (LAA) GENERALI Assurances Générales SA, 1260 Nyon Table des matières Base légale de l assurance Page Personnes assurées 1.
Plus en détailMémento concernant l assurance-accidents obligatoire selon la LAA
Mémento concernant l assurance-accidents obligatoire selon la LAA Assurance Base légale de l assurance La loi fédérale sur l assurance-accidents (LAA) du 20 mars 1981 ainsi que les ordonnances qui s y
Plus en détailmem thème 1 Ecoles professionnelles de Fribourg - enseignement de la Culture Générale mise en mémoire Version 2.3-2012
Ecoles professionnelles de Fribourg mem ecg mise en mémoire - enseignement de la Culture Générale Version 2.3-2012 thème 1 Thème 1 : De l école à l apprentissage Table des matières 1 Encadrement p. 3 2
Plus en détailMémento LAA Guide pratique de l assurance-accidents
Mémento LAA Guide pratique de l assurance-accidents Vue d ensemble Bases légales de l assurance 1. Bases légales Personnes assurées 2. Personnes assurées obligatoirement 3. Personnes assurées à titre facultatif
Plus en détailPanorama des assurances sociales en Suisse
Panorama des assurances sociales en Suisse Assurances Prestations Personnes assurées Bases de calcul des prestations Incapacité de trav Assurance-vieillesse et survivants Assurance-invalidité (AVS/AI)
Plus en détailSécurité sociale. Votre couverture d assurance légale en Suisse. (Dernière mise à jour: janvier 2015) ASSURANCES SOCIALES EN SUISSE
sozialversicherungen der Schweiz ASSURANCES SOCIALES EN SUISSE Sécurité sociale. Votre couverture d assurance légale en Suisse. (Dernière mise à jour: janvier 2015) Prestations Assurance-vieillesse et
Plus en détailINFORMATION SUR LES ASSURANCES
Delémont, le 29 octobre 2014 INFORMATION SUR LES ASSURANCES Aux employés de l'etat Récapitulatif des différentes assurances sociales Les termes utilisés dans le présent document pour désigner des personnes
Plus en détail1. Nom de famille Indiquer aussi le nom de jeune fille pour les femmes mariées, veuves, divorcées ou séparées
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'emploi, des affaires sociales et de la santé Service des prestations complémentaires Route de Chêne 54 - Case postale 6375-1211 Genève 6 Téléphone : 022
Plus en détailAssurance-accidents obligatoire (LAA) Dispositions légales et possibilités de complément/
Assurance-accidents obligatoire (LAA) Dispositions légales et possibilités de complément/ Assurance-accidents obligatoire (LAA)/ L assurance-accidents obligatoire (LAA) assure employé et employeur contre
Plus en détailGarantir le minimum vital
1 er pilier, AVS/AI Garantir le minimum vital Par le biais de l AVS/AI, la prévoyance étatique couvre les besoins vitaux de toute la population. 1. Situation initiale La prévoyance vieillesse, survivants
Plus en détailÉconomie, connaiss.de base Réponse 1. Économie, connaiss.de base Question 1 Les assurances. Économie, connaiss.de base Réponse 2
Économie, connaiss.de base Question 1 Économie, connaiss.de base Réponse 1 Quel est le principe sur lequel se basent nombre d assurances? Expliquez ce principe. Le principe de solidarité. Un certain nombre
Plus en détailAssurance obligatoire des soins
Assurance obligatoire des soins selon la Loi fédérale sur l assurance-maladie (LAMal) Conditions d assurance Sanitas Corporate Private Care Edition de janvier 2009 (version 2013) Organisme d assurance:
Plus en détailInformation du jour La prévoyance sociale en Suisse
Information du jour La prévoyance sociale en Suisse Prestations Assurés/Ayants droit Base de calcul pour le montant des prestations pour guérison, soins, réadaptation AVS/AI Sont obligatoirement assurées
Plus en détaildu 23 mars 2001 (Etat le 10 décembre 2002)
Loi fédérale sur le crédit à la consommation (LCC) 221.214.1 du 23 mars 2001 (Etat le 10 décembre 2002) L Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu les art. 97 et 122 de la Constitution 1, vu le
Plus en détailGuide pratique genevois. Guide sur les successions
Guide pratique genevois Guide sur les successions Edition janvier 2011 Sommaire Sommaire Préambule 3 Compétence de la Justice de paix 4 Qui sont les héritiers? 5 Comment s acquiert la successions? 6 Quels
Plus en détailAssurances selon la LAMal
Assurances selon la LAMal Règlement Edition 01. 2015 Table des matières I Dispositions communes 1 Validité 2 Affiliation / admission 3 Suspension de la couverture-accidents 4 Effets juridiques de la signature
Plus en détailFrais de maladie et déductions aux impôts
Frais de maladie et déductions aux impôts 1 Pour les personnes malades ou souffrant de handicap, remplir une déclaration d impôt est souvent compliqué, beaucoup de frais sont en effet déductibles. Mais
Plus en détailLES ASSURANCES SOCIALES
LES ASSURANCES SOCIALES Généralités L'exercice d'une activité professionnelle implique l'obligation de s'acquitter de certaines assurances sociales. Cependant, la situation varie fortement selon qu'une
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailBOURSES SCOLAIRES 2014-2015
BOURSES SCOLAIRES 2014-2015 Dossiers à compléter et à déposer au service social du Consulat Général de France avant le 28 fevrier 2014 Pour tout renseignement complémentaire, contactez Mme DENIS Assistante
Plus en détailBerne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale
1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle
Plus en détailAssurances complémentaires collectives s-care/h-care
Assurances complémentaires collectives s-care/h-care selon la Loi fédérale sur le contrat d assurance (LCA) Conditions générales d assurance (CGA) Sanitas Corporate Private Care Edition de janvier 2005
Plus en détailConditions générales d assurance (CGA)
Compact Basic Assurance obligatoire des soins (assurance de base) selon la Loi fédérale sur l assurance-maladie (LAMal) Conditions générales d assurance (CGA) Edition de décembre 2013 Organisme d assurance:
Plus en détailCaisse (de pension) autonome Caisse autogérée (institution possédant sa propre organisation et sa propre administration).
Glossaire Âge LPP L année civile moins l année de naissance donne l âge LPP. Autorité de surveillance L autorité de surveillance est prévue par la LPP. Il doit s agir d une instance cantonale centrale
Plus en détailF I N D E M E S U R E : C O M P T E D E G E S T I O N D É F I N I T I F
F I N D E M E S U R E : C O M P T E D E G E S T I O N D É F I N I T I F La mesure de protection de la personne protégée a pris fin. En application de l'article 514 du Code civil, vous devez remettre un
Plus en détailAssurance-accidents complémentaire LCA Conditions générales d assurance (CGA)
Assurance-accidents complémentaire LCA Conditions générales d assurance (CGA) Edition 2014 Assurance-accidents complémentaire LCA Conditions générales d assurance (CGA) Edition 2014 Sympany Sommaire 1
Plus en détailToutes les rubriques doivent être renseignées. Si vous n'êtes pas concerné, portez la mention «néant».
Poste diplomatique ou consulaire F O R M U L A I R E D E D E M A N D E D E B O U R S E S S C O L A I R E S au bénéfice d'enfants français résidant avec leur famille à l'étranger. (en application des articles
Plus en détailVOUS ÊTES TUTEUR D UNE PERSONNE MAJEURE
VOUS ÊTES TUTEUR D UNE PERSONNE MAJEURE LES PREMIÈRES DÉMARCHES Devenir tuteur familial Une gestion prudente et avisée Vous venez d être nommé tuteur d un majeur à protéger La tutelle est un régime de
Plus en détailConvention de prévoyance
(à usage interne, laisser en blanc s.v.p.) N de compte prévoyance Original pour la Fondation Convention de prévoyance Conformément à l art. 82 LPP, le/la titulaire convient avec la Fondation de prévoyance
Plus en détailcrédit privé Transparent et avantageux
crédit privé Transparent et avantageux La pièce d identité doit impérativement contenir les informations suivantes: nom et prénom date de naissance nationalité et lieu d origine photo nº de la pièce d
Plus en détailPendant combien de temps faut-il conserver ses documents personnels?
Pendant combien de temps faut-il conserver ses documents personnels? Le délai de conservation des documents, indépendamment de leur format, varie selon leur nature. En matière civile, le délai de prescription
Plus en détailSalaires AVS et Suva. Valable dès le 1.1.2011. Publié en collaboration avec l Office fédéral des assurances sociales
Salaires AVS et Suva Valable dès le 1.1.2011 Publié en collaboration avec l Office fédéral des assurances sociales Les présentes directives facilitent la déclaration des salaires à l AVS et à la Suva ainsi
Plus en détailREQUÊTE EN REGLEMENT COLLECTIF DE DETTES. ( article 1675 /4 du Code judiciaire) Au Juge des Saisies près le Tribunal de 1 ère Instance de Bruxelles.
REQUÊTE EN REGLEMENT COLLECTIF DE DETTES ( article 1675 /4 du Code judiciaire) Au Juge des Saisies près le Tribunal de 1 ère Instance de Bruxelles A/ ONT L HONNEUR D EXPOSER : (* biffer les mentions inutiles)
Plus en détail1 Ce mémento fournit des informations sur les cotisations
2.09 Etat au 1 er janvier 2009 Statut des indépendants dans les assurances sociales suisses Généralités 1 Ce mémento fournit des informations sur les cotisations que doivent verser aux assurances sociales
Plus en détailL assurance des chefs d entreprise Protection à toute épreuve en cas d accident
L assurance des chefs d entreprise Protection à toute épreuve en cas d accident L assurance des chefs d entreprise offre aux indépendants et aux membres de leur famille travaillant dans l entreprise une
Plus en détailREPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE
REPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE DES PERSONNES AGEES ADRESSE AUX GOUVERNEMENTS PAR L'EXPERTE INDEPENDANTE SUR LA QUESTION DES DROITS DE L'HOMME ET L'EXTREME PAUVRETE (i)
Plus en détailOuverture d'un compte de libre passage selon art. 10 OLP
Copie pour la fondation de libre passage Freizügigkeitsstiftung der Migros Bank Ouverture d'un compte de libre passage selon art. 10 OLP L ouverture du compte sera effectuée après entrée de la prestation
Plus en détailLes dispositions à prendre en cours de fonction
TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction de Curateur dans le cadre d une curatelle dite renforcée (article 472 du code civil) Ces dispositions ne concernent
Plus en détail4.04 Etat au 1 er janvier 2013
4.04 Etat au 1 er janvier 2013 Rentes d invalidité de l'ai Généralités 1 Les personnes assurées qui, du fait d une atteinte à la santé, sont totalement ou partiellement empêchées de travailler ou d accomplir
Plus en détailRèglement J. Safra Sarasin Fondation de libre passage (SaraFlip)
Règlement J. Safra Sarasin Fondation de libre passage (SaraFlip) Mars 2014 Règlementt Le présent règlement se fonde sur l art. 2 des statuts de J. Safra Sarasin Fondation de libre passage (désignée ci-après
Plus en détailDigne de confiance. Règlement. Art. I. Dispositions générales Objet 1 Base 2 Formes particulières d assurance 3
Digne de confiance Édition 2012 Assurance obligatoire des soins Règlement Art. I. Dispositions générales Objet 1 Base 2 Formes particulières d assurance 3 II. III. IV. Rapport d assurance Personnes assurées,
Plus en détailREQUETE EN REGLEMENT COLLECTIF DE DETTES (Art. 1675/4 du Code judiciaire) Au Tribunal du travail de Liège,
REQUETE EN REGLEMENT COLLECTIF DE DETTES (Art. 1675/4 du Code judiciaire) Au Tribunal du travail de Liège, Division HUY Attention!!! : Merci de compléter la Requête lisiblement en majuscules et/ou biffer
Plus en détailwww Sécurité sociale en Suisse: www.ofsp.admin.ch > Thèmes > Aperçu > Données de base
Vivre et travailler en Suisse + Le système de sécurité sociale en Suisse + Le système social* Le système suisse de sécurité sociale est relativement complexe: chaque branche a ses particularités. Cela
Plus en détailÉconomie, connaiss.de base Réponse 1. Économie, connaiss.de base Question 1 Affaires bancaires. Économie, connaiss.
Économie, connaiss.de base Question 1 Économie, connaiss.de base Réponse 1 Quels sont les six types de banques les plus importants? les grandes banques les banques cantonales les banques régionales/caisses
Plus en détailMa banque. Les prêts hypothécaires BCJ
Les prêts hypothécaires BCJ Ma banque Simple et avantageux, les prêts hypothécaires BCJ. Vous pensez qu il est plus avantageux d acheter son logement que de continuer à payer un loyer à fonds perdus?
Plus en détaild apprentissage, ainsi qu à ceux qui effectuent occasionnellement des heures de baby-sitting.
Contrat-type de travail pour les jeunes gens au pair mineurs J 1 50.15 du 18 janvier 2000 (a) Entrée en vigueur : 1 er février 2000 Vu les articles 359 à 360 du Code des obligations (CO), 1, alinéa 1,
Plus en détailCaisse de pension et propriété du logement/
Encouragement à la propriété du logement (EPL) Caisse de pension et propriété du logement/ Versement anticipé et mise en gage des avoirs issus du 2 e pilier Table des matières Mobilisation des capitaux
Plus en détailG uide M éthodologique
MESURES DE PROTECTION DES MINEURS Suivez le guide!!! AVRIL 2015 G uide M éthodologique Document actualisé le 07 avril 2015 par Le Service en charge des Mesures de Protection des Mineurs de l UDAF de la
Plus en détailPlanification financière personnalisée pour :
Document 2.2 Planification financière personnalisée pour : Questionnaire n o 1 Profil de la situation financière personnelle et familiale Date : Lieu : Questionnaire n o 1 Profil de la situation personnelle
Plus en détailREQUÊTE EN REGLEMENT COLLECTIF DE DETTES. ( article 1675 /4 du Code judiciaire)
1 REQUÊTE EN REGLEMENT COLLECTIF DE DETTES ( article 1675 /4 du Code judiciaire) Au Juge du Tribunal du travail de Mons et de Charleroi Division Tournai A/ ONT L HONNEUR D EXPOSER : (* biffer les mentions
Plus en détailINFORMATIONS SUR LE DROIT DE LA FAMILLE
DIRECTION DES SERVICES ADMINISTRATIFS SERVICE POPULATION ET CITOYENNETE SECTEUR ETAT CIVIL INFORMATIONS SUR LE DROIT DE LA FAMILLE Annexe du décret n 2002 1556 du 23 décembre 2002 Ce document est destiné
Plus en détailCCNT Hôtellerie & Restauration
CCNT Hôtellerie & Restauration Expertise succincte concernant l application de la CCNT Hôtellerie & Restauration dans les institutions membres d INSOS Suisse Cette expertise a été réalisée et mise à disposition
Plus en détailLISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR A L APPUI DE VOTRE DEMANDE DE BOURSE
2015-1 - 1 Cette liste n'est pas exhaustive. L'Administration se réserve le droit de demander tout document complémentaire qui lui apparaîtrait nécessaire lors de l'instruction du dossier. Aucun document
Plus en détail«Prenez vos finances. «Comment vais-je arriver. en main.» à payer mes comptes?» Prendre soin de soi. À quoi s attendre. Que faire
Prendre soin de soi À quoi s attendre Que vous travailliez à l extérieur de la maison ou que vous soyez parent au foyer, le cancer du sein pourrait nuire à votre capacité de travailler, ce qui aura inévitablement
Plus en détailVIVRE ET TRAVAILLER EN SUISSE
VIVRE ET TRAVAILLER EN SUISSE + LE SYSTÈME DE SÉCURITÉ SOCIALE EN SUISSE + LE SYSTÈME SOCIAL Le système suisse de sécurité sociale est relativement complexe: chaque branche a ses particularités. Cela tient
Plus en détailCAMPAGNE BOURSIERE 2015/2016 PREMIERE COMMISSION LOCALE. DOSSIERS COMPLETS A DEPOSER AU PLUS TARD LE 25 SEPTEMBRE à 12H
1 CAMPAGNE BOURSIERE 2015/2016 PREMIERE COMMISSION LOCALE DOSSIERS COMPLETS A DEPOSER AU PLUS TARD LE 25 SEPTEMBRE à 12H CONDITIONS L obtention d une bourse scolaire est subordonnée aux conditions suivantes
Plus en détailCahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes)
1 Commune municipale Cahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes) I. GENERALITES 1. Bases légales, prescriptions
Plus en détailDocument d information n o 4 sur les pensions
Document d information n o 4 sur les pensions Épargnes privées de retraite Partie 4 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition,
Plus en détail4. L assurance maladie
L ASSURANCE MALADIE 73 4. L assurance maladie Comme l assurance maladie est obligatoire, toute personne domiciliée en Suisse doit être convenablement couverte. C est actuellement le cas, avec un très large
Plus en détailTRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS. Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur
TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur Ces dispositions ne concernent pas les renouvellements à l identique des mesures de tutelle. Par contre, si
Plus en détailVotre capital le plus précieux: Les collaborateurs de votre entreprise.
Votre capital le plus précieux: Les collaborateurs de votre entreprise. Guide de la prévoyance professionnelle (2 e pilier): Assurance accidents obligatoire selon la LAA Complément à l assurance accidents
Plus en détailOUI NON OUI NON. Célibataire Séparé-e de fait Célibataire Séparé-e de fait. Marié-e Séparé-e judiciairement Marié-e Séparé-e judiciairement
Date de réception (timbre) SERVICE SOCIAL LAUSANNE DEMANDE DU REVENU D INSERTION (RI) V11 N de dossier 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES Requérant-e Conjoint-e / Concubin-e / Partenaire Nom-s Prénom-s Sexe (M/F)
Plus en détailFORMULAIRE lll. (Règles 26 à 30) CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c.
(Règles 26 à 30) FORMULAIRE lll CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c. Partie: ÉTAT DES REVENUS, DÉPENSES ET BILAN Je, soussigné(e), domicilié(e)
Plus en détail2.09 Etat au 1 er janvier 2013
2.09 Etat au 1 er janvier 2013 Statut des indépendants dans les assurances sociales suisses Généralités 1 Ce mémento fournit des informations sur les cotisations que doivent verser aux assurances sociales
Plus en détailLes dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur
TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur Ces dispositions ne concernent pas les renouvellements à l identique des mesures de tutelle. Par contre, si
Plus en détailAssurance-maternité et adoption dans le canton de Genève
«Task Force LAMat» AMat Etat au 1 er janvier 2010 Assurance-maternité et adoption dans le canton de Genève Rapport avec le droit fédéral En date du 1 er juillet 2005, la législation fédérale sur les allocations
Plus en détailDécès et succession LE DECES
Décès et succession Des Services ou organismes accompagnent les personnes et familles à vivre leur deuil. Ci-dessous, nous nous limiterons à présenter quelques conseils et informations pratiques concernant
Plus en détail4.11. 2 L AI peut, à titre exceptionnel, prendre en charge les frais de. 3 Ces dispositions sont aussi valables pour les frontaliers
4.11 Etat au 1 er janvier 2008 Couverture d assurance en cas de mesures de réadaptation de l AI Couverture d assurance en cas de maladie 1 Toute personne domiciliée en Suisse est couverte par l assurance-maladie
Plus en détail01_15. Directive sur la poursuite contre un mineur
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département des finances Office des poursuites Direction générale 01_15. Directive sur la poursuite contre un mineur Modifications, contrôles, approbation Version Date Description,
Plus en détailLe SPC. un service de l'administration cantonale (DEAS) sa mission réside dans l'exécution d'une action administrative et financière
Le SPC un service de l'administration cantonale () sa mission réside dans l'exécution d'une action administrative et financière son efficacité sociale repose sur son organisation permettant le traitement
Plus en détailDemande de logement. Chez: Numéro postal: Localité: à son compte Pourcentage de l activité: % Motif si inférieur à 100%
Guichets ouverts de 11 à 15 heures 1. Demandeur Demanderesse Demande de logement Reservé à l administration Dossier No Date: social libre Domicile Rue: Chez: Numéro postal: Localité: Tél. privé: Tél. portable:
Plus en détailAIDES SOCIALES 2015 Cocher la case correspondante à l aide concernée
Pour tout renseignement, contacter le Centre de la Relation Clients : Tél. 01 44 90 13 33 Fax 01 44 90 20 15 Formulaire de contact accessible sur notre site Internet www.crpcen.fr AIDES SOCIALES 2015 Cocher
Plus en détailLES ASSURANCES SOCIALES
LES ASSURANCES SOCIALES Généralités L'exercice d'une activité professionnelle implique l'obligation de s'acquitter de certaines assurances sociales. Cependant, la situation varie fortement selon qu'une
Plus en détailLes assurances sociales et le travail à temps partiel
Les assurances sociales et le travail à temps partiel Informations utiles à toutes les personnes qui travaillent à temps partiel et assument la garde d enfants ou l assistance de parents. Informations
Plus en détailResponsabilité de l Autorité des marchés financiers
Nom du produit d assurance Assurance prêt vie et invalidité Type de produits d assurance Assurances vie et invalidité Coordonnées de l assureur Sherbrooke Vie, compagnie d assurance 716, rue Short, Sherbrooke
Plus en détailAssurances véhicules à moteur. Assurance occupants pourquoi est-elle nécessaire? Assurance accidents
Assurances véhicules à moteur 68 69 Assurance occupants pourquoi est-elle nécessaire? J entends des avis très contradictoires sur la nécessité de l assurance occupants d un véhicule à moteur. En Suisse,
Plus en détailExemple 1.2.3.4. Les deux types de protection au dernier décès Le coût de protection libéré au premier décès
10 Assurance vie Exemple Guylaine et Yves sont mariés depuis 30 ans. Ils ont eu quatre enfants et sont sept fois grands-parents. Ils aimeraient laisser une certaine somme à leur décès pour leurs descendants.
Plus en détailRÉGIME d assurance collective CSQ. À la disposition des membres des syndicats affiliés à la Centrale des syndicats du Québec
RÉGIME d assurance collective CSQ À la disposition des membres des syndicats affiliés à la Centrale des syndicats du Québec Contrat J9999 Janvier 2010 À tous les membres de la CSQ Cette «nouvelle» brochure
Plus en détailPromotions économiques régionales
Le fil rouge pour la création d entreprise Lausanne Région Association de la Région Cossonay - Aubonne - Morges Association de la Région du Gros-de-Vaud INTRODUCTION Ce livret, édité par les trois associations
Plus en détailDECISION FORMULAIRE UNIQUE DE DEMANDE D'AIDE FINANCIERE OU D'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL OU MEDICO-SOCIAL NATURE DE L AIDE SOLLICITÉE :
FORMULAIRE UNIQUE DE DEMANDE D'AIDE FINANCIERE OU D'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL OU MEDICO-SOCIAL NATURE DE L AIDE SOLLICITÉE : N dossier familial (IODAS) : Centre Médico-Social de Mende Travailleur Social Travailleur
Plus en détailRequête en réclamation d aliments (articles 205 et suivants du Code Civil)
présentée à Requête en réclamation d aliments (articles 205 et suivants du Code Civil) Monsieur ou Madame le Juge aux Affaires Familiales TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE 21 Place Saint Pierre 55 000 BAR-LE-DUC
Plus en détailDES MEUBLES INCORPORELS
Saisie-exécution sur rémunération -exécution sur rémunération est régie par les articles 880 CPC à 888 CPC. 1. COMPÉTENCE DE L AGENT DE L EXÉCUTION -exécution sur rémunération relève de la compétence des
Plus en détailDemande d aide juridictionnelle
1 Cerfa n 12467*02 Demande d aide juridictionnelle (Loi n 91-647 du 10 juillet 1991 et décret n 91-1266 du 19 décembre 1991) Vous-même : Avez-vous un contrat d assurance de protection juridique ou un autre
Plus en détailCotisations à l AVS, à l AI et aux APG
2.01 Cotisations Cotisations à l AVS, à l AI et aux APG Etat au 1 er janvier 2015 1 En bref Les personnes qui exercent une activité lucrative en Suisse paient des cotisations à l AVS, à l AI et aux APG
Plus en détailStatut des indépendants dans les assurances sociales suisses
2.09 Cotisations Statut des indépendants dans les assurances sociales suisses Etat au 1 er janvier 2015 1 En bref Ce mémento fournit des informations sur les cotisations que doivent verser aux assurances
Plus en détailL assurance-maladie pour les sportifs.
L assurance-maladie pour les sportifs. Offre pour la clientèle privée Aperçu 2012 vivacare, l assurance-maladie pour les sportifs. Les prestations proposées par vivacare sont spécialement conçues pour
Plus en détailContributions. Edition 2007
Contributions Contributions sur salaires et autres prestations que l'employeur doit payer aux caisses de compensation et aux assurances conformément aux réglementations légales et conventionnelles Edition
Plus en détailabri fiscal placement ou autre mécanisme financier qui vous permet de protéger une partie de vos gains de l impôt pendant une certaine période
Voici les définitions de quelques mots clés utilisés dans le cadre du programme Connaissances financières de base. Ces mots peuvent avoir des sens différents ou refléter des notions distinctes dans d autres
Plus en détailContrat d'engagement pour chef de chœur
Union Suisse des chorales Contrat d'engagement pour chef de chœur Entre (Chœur) Et (chef de chœur) 1. Madame / Monsieur assure la direction musicale de /du choeur 2. L année chorale commence en règle générale
Plus en détailLoi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs
Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs (Loi sur la surveillance de la révision, LSR) 221.302 du 16 décembre 2005 (Etat le 1 er septembre 2007) L Assemblée fédérale de la Confédération
Plus en détailASSURANCE-INVALIDITE Notions de bases
L Assurance-Invalidité (LAI) ASSURANCE-INVALIDITE Notions de bases 1. Quelques principes importants de l AI 2. La 5 ème révision de l AI (01.01.2008) service social 1 service social 2 L Assurance-Invalidité
Plus en détailLoi fédérale sur le transfert international des biens culturels
Loi fédérale sur le transfert international des biens culturels (Loi sur le transfert des biens culturels, LTBC) 444.1 du 20 juin 2003 (Etat le 1 er janvier 2012) L Assemblée fédérale de la Confédération
Plus en détailBUREAUX D ARCHITECTES
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de la solidarité et de l'emploi Office cantonal de l'inspection et des relations du travail Document REFLÉTANT LES CONDITIONS DE TRAVAIL ET PRESTATIONS SOCIALES
Plus en détailVous conseiller pour les démarches clés
Vous conseiller pour les démarches clés Les principales formalités DANS LES 48 H DANS LA SEMAINE DANS LE MOIS DANS LES 6 MOIS Faire la déclaration de décès au service de l Etat Civil de la mairie pour
Plus en détailEn avril 2006, un citoyen produit sa déclaration de revenus 2005. En septembre de la même année, il constate une erreur dans sa déclaration initiale et produit une déclaration amendée à laquelle il joint
Plus en détailLa Loi sur l aide aux personnes et aux familles
La Loi sur l aide aux personnes et aux familles (L.R.Q., chapitre A-13.1.1) Par : Olivia Dugré, étudiante en droit à l Université Laval Sous la supervision de Christian Loupret Avril 2012 TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailLegis. Votre protection juridique
Legis Votre protection juridique Legis, gamme d assurances de protection juridique mobilité, privée et médicale du Groupe Mutuel Assurances GMA SA, vous aide à défendre vos intérêts lorsque vous êtes confronté
Plus en détailLe bail commercial : les aspects importants à vérifier
Le bail commercial : les aspects importants à vérifier Le choix d un local commercial est une étape cruciale dans le développement d une entreprise. L endroit choisi peut sembler prometteur mais il faut
Plus en détailBELGIQUE. 1. Principes généraux.
BELGIQUE Les dépenses de protection sociale en Belgique représentent 27,5%PIB. Le système belge est de logique bismarckienne. La principale réforme récente concerne le risque maladie. 1. Principes généraux.
Plus en détail