LE GUIDE JARDINER. de manière ÉCOLOGIQUE
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- Jacques Paris
- il y a 8 ans
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1 LE GUIDE JARDINER de manière ÉCOLOGIQUE 1
2 SOMMAIRE JARDINER de manière ÉCOLOGIQUE UTILISEr DES traitements NON CHIMIQUES (pages 4 à 6) Les auxiliaires Le purin d ortie Le Bacillus thuringiensis Les huiles L eau savonneuse La décoction de prêle Les cendres désherber ÉCOLOGIQUEMENT (page 7) Le paillage Le désherbage manuel fertiliser NATURELLEMENT (page 8) Le sang desséché La corne broyée Le guano La poudre d os Le patenkali Les cendres économiser l eau (page 9) La récupération d eau de pluie La plantation d espèces adaptées au sec Le système d arrosage Le paillage Les amendements humiques Le binage LES ACTIONS menées par la VILLE DE NICE Zéro pesticide (pages 10 à 13) Le désherbage écologique La lutte biologique Économiser l eau (page 14) Les jardins secs La pelouse synthétique Le système d arrosage automatique à énergie solaire former les agents (page 15)
3 JARDINER de manière ÉCOLOGIQUE Il existe plusieurs gestes pour entretenir un jardin tout en respectant l environnement. On peut ainsi réduire voire arrêter les traitements chimiques, favoriser les engrais naturels ou encore économiser l eau d arrosage. UTILISER Des traitements NON CHIMIQUES Les produits phytosanitaires - qui soignent et protègent les plantes - ont passablement dégradé notre environnement. Leurs particules circulent facilement dans l eau et dans l air. Leurs composants chimiques possèdent souvent une forte rémanence et leur accumulation fait peser un risque pour notre santé comme sur celle des êtres vivants qui nous entourent. Il en résulte ainsi une altération de la biodiversité. La lutte biologique permet de traiter les plantes contre leurs ravageurs d une manière moins dangereuse pour l environnement. Elle permet de limiter la population de ces derniers à un seuil acceptable pour la culture. L emploi de prédateurs naturels ou de pièges se montre ainsi très efficace. Les traitements naturels : Il existe des insectes auxiliaires qui se nourrissent de pucerons : larves de coccinelles (1), syrphes (2) et chrysopes (3). Leur emploi permet de lutter biologiquement contre ces ennemis des cultures. Il faut également veiller à écarter les fourmis qui protègent les pucerons de leurs prédateurs. Le purin d ortie est un engrais riche en azote qui présente un caractère répulsif face aux pucerons ainsi qu aux acariens. Comment réaliser son purin d ortie? Macérer 1 kg d orties fraîches hachées dans 10 litres d eau, durant 1 à 2 semaines. Remuer tous les deux jours. Vous obtenez une solution applicable telle quelle ou diluée à 10%, contre les pucerons. Attention! Les insecticides naturels comme la roténone ou la pyréthrine se montrent efficaces contre les petits parasites mais sont également toxiques pour de nombreux auxiliaires et la faune environnante. C est pourquoi, l usage de la roténone et de la pyréthrine est aujourd hui interdit et des précautions encadrent l emploi de la pyréthrine. 4 5
4 désherber ÉCOLOGIQUEMENT Le Bacillus thuringiensis est un parasite efficace contre la chenille processionnaire (1). Une pulvérisation préventive sur les pins, mais aussi les cèdres, permet de protéger ces derniers d une invasion de chenilles nuisible à l arbre et dangereuse pour l homme et les animaux de compagnie. Les produits commerciaux contenant cette bactérie sont aussi utilisables contre d autres chenilles ravageuses de cultures. Les huiles, surtout d origine végétale (à base de colza par exemple) et sans additif, pulvérisées sur les végétaux infestés de cochenilles n ont pas ou peu d incidence négative sur l environnement. L eau savonneuse peut également servir à nettoyer localement les feuilles envahies de cochenilles (2), tandis que pulvérisée sur les pucerons, elle aide à s en débarrasser. La décoction de prêle (3), protège des maladies cryptogamiques (oïdium, mildiou, rouille, taches noires etc ) en arrosant le sol ou le terreau lors des plantations ou des repiquages. Après avoir laissé macérer 24 heures, 100 g de feuilles fraîches de prêle, dans 1 litre d eau, il faut faire bouillir la préparation 30 minutes, puis laisser refroidir et filtrer. Le stockage s effectuera à l ombre, dans un conteneur autre que métallique, pour éviter une oxydation de la préparation. Enfin, les cendres de feux de bois, disposées autour des plants sensibles, éloigneront limaces et escargots. Une réflexion doit être envisagée sur le désherbage. Est-il réellement nécessaire en toute circonstance? De nombreux espaces peuvent être laissés enherbés sans que cela porte préjudice au cadre de vie. Au contraire, la végétation adventice peut même, dans certains cas, favoriser des auxiliaires. Néanmoins, les «mauvaises herbes» sont souvent indésirables parce qu elles peuvent concurrencer les plantations dans leur besoin en eau ou nutriments. Des moyens naturels peuvent alors limiter leur prolifération. Le paillage Il consiste à recouvrir la surface du sol, au pied des plantations, pour empêcher la pousse des mauvaises herbes. A l origine, la paille était utilisée, notamment dans les champs de fraises. Effectué avec des éléments d origine végétale ou minérale, c est aussi un isolant thermique qui limite l évaporation de l eau du sol et permet de réduire les arrosages. Les paillis composés de résidus de tonte, écorces, copeaux de bois et autres éléments végétaux, améliorent la qualité du sol car en se dégradant ils favorisent les micro-organismes. Le matériel minéral tel que les galets, graviers ou sables ont une plus grande longévité. Cependant, il faut surveiller ces couvertures du sol qui peuvent abriter des organismes nuisibles tels que les escargots ou les limaces. Le désherbage manuel Il est évidemment très efficace et offre un contact direct avec son jardin. Il peut aussi se montrer un excellent exercice physique! Contrairement au désherbage thermique, il ne consomme pas d énergie non renouvelable, contraire à un développement durable. 6 7
5 FertilisER NATURELLEMENT économiser L eau Les engrais chimiques ont souvent été employés en surabondance et de trop fortes concentrations ont pollué nombre de sols agricoles jusqu aux nappes phréatiques. Il est cependant nécessaire de fertiliser le sol pour reconstituer ses réserves, surtout dans des potagers ou des massifs d ornement très gourmands et ce, à des stades précis de la culture. L incorporation au sol de compost ou de fumier apportent la matière organique nécessaire au développement des micro-organismes et favorisent la capacité de retenir l eau et constituent une nourriture pour les plantes. Ils peuvent être complétés par des engrais naturels. Le sang desséché apporte de l azote de manière rapide et durable. Il stimule l activité microbienne du sol et favorise la croissance des végétaux tout en soutenant la floraison et la coloration du feuillage. La corne broyée apporte également de l azote mais d une manière plus durable dans le temps car il est libéré de façon lente et progressive. Elle sera enfouie, au moment des plantations. La poudre d os et autre farine d arêtes de poisson, sont riches en phosphore. Le patenkali, d origine minérale, s utilise pour enrichir les sols pauvres en potasse et en magnésie. Les cendres se montrent utiles car elles renferment du phosphore, du magnésium et de la potasse, sous des formes plus ou moins solubles. Les changements climatiques annoncés doivent nous faire prendre conscience de la possible raréfaction de cette ressource indispensable. Il est ainsi intéressant de récupérer les eaux de pluies dans des réservoirs. En multipliant la pluviométrie locale en mm/m 2, par la surface en m 2 d une toiture, on peut estimer approximativement la quantité d eau qu il est possible de récolter en litres. Plantation d espèces adaptées au sec Il est préférable de réduire les surfaces engazonnées, gourmandes en eau, et de choisir les végétaux de son jardin parmi des espèces dites «xérophytes» (1), adaptées à la sécheresse. Ces dernières seront plantées à l automne pour bénéficier des pluies hivernales. Elles ne nécessiteront pratiquement plus d apport d eau à partir de la deuxième année. Système d arrosage Un apport d eau à bas débit et localisé permet d éviter les gaspillages, surtout s il est couplé à un système automatique muni de capteurs d humidité qui ne déclenchera l arrosage qu au moment opportun. L irrigation s opérera de préférence le soir ou le matin, pour éviter les pertes par évaporation, durant les périodes chaudes. Le paillage (2) du sol réduit l évaporation de l eau, tout en limitant l installation de mauvaises herbes. Après une analyse de sol, on peut aussi améliorer la capacité de rétention en eau de ce dernier par des amendements humiques (compost de feuilles). Enfin, les vieux jardiniers vous rappelleront qu «un bon binage (3) vaut deux arrosages». En effet, briser la croûte superficielle du sol permet une remontée capillaire de l eau profonde qui devient alors profitable aux racines. Le guano, issu des déjections d oiseaux marins, est riche en azote et en phosphore. Employé comme «coup de fouet» naturel, au départ de la végétation, ses oligo-éléments favorisent l équilibre minéral du sol. Attention! Les cendres sont également riches en calcium, elles ne conviennent donc pas aux plantes dites «de terre de bruyère»
6 LES ACTIONS menées par la VILLE DE NICE Zéro PESTICIDE La nature préservée, Nice ville verte Le désherbage écologique Dans le cadre du plan Ecophyto 2018, la Ville de Nice s est engagée à réduire l usage des pesticides. Aujourd hui : 70% des parcs, jardins et sites sportifs sont entretenus sans produits phyto sanitaires. pour les voiries niçoises, la part des herbicides dans le traitement a diminué de 70% et sera diminuée de 10% supplémentaires chaque année pour atteindre 90% en 2014 (supérieur aux objectifs de 50% fixés par le Grenelle de l Environnement). sur les 13 cimetières de la Ville de Nice et la Nécropole, 85% sont désherbés manuellement ou avec des machines adaptées tels que les réciprocators (1). pour réduire les surfaces à désherber des cimetières, les allées gravillonnées (2) ne donnant pas accès aux caveaux, sont traitées en dallage provenant de la récupération des façades de marbre du MAMAC et celles donnant accès aux caveaux sont équipées de couloir technique recouvert de dallettes en béton désactivé. des matériels de désherbage mécanique intégrant la prévention des troubles musculo-squelettiques sont également à l essai. la Maison de l Environnement organise au printemps dans son jardin potager des formations pour «Apprendre à jardiner naturellement». Chaque année, plus de 250 éco-jardiniers bénéficient de cette formation. Ces séances se déroulent le samedi matin et sont gratuites sur réservation. Un kit pédagogique est remis à chaque participant. les enfants (3) ne sont pas oubliés : de février à octobre, 3 mercredis par mois, la Maison de l Environnement leur propose d apprendre les gestes de l éco-jardinier. Objectif principal : la main verte! Le saviez-vous? 70% des parcs et jardins sont traités naturellement. Seuls les arbres peuvent faire l objet de traitements ponctuels contre certains ravageurs, des recherches sont en cours pour trouver des alternatives
7 La lutte biologique La direction des Sports et la direction des Espaces Verts ont mis en place des solutions nouvelles pour diminuer, voire stopper l usage des produits chimiques dans les jardins et plateaux sportifs. Elles consistent principalement à l emploi de larves de coccinelles (1) pour limiter les populations de pucerons ou encore de Bacillus thuringiensis contre les chenilles processionnaires. Les coccinelles (2) Les larves, qui se nourrissent des pucerons, sont déposées au printemps dans les massifs infestés : Promenade des Anglais Jardin des Arènes de Cimiez Jardin des Hoirs de Cessole (Maison de l Environnement) Jardin de la Légion d Honneur (Villa Masséna) Parc Phœnix Le personnel du complexe sportif de la Lauvette a été formé à la pose de larves de coccinelles. L expérience entreprise au sein de ce complexe sportif sera étendue aux sites Brancolar, Hairabedian, Forum et Tripode. Cette politique «zéro pesticide» s applique aussi dans les principaux grands jardins de la Ville de Nice (3). Pour connaître la liste complète des jardins «zéro pesticide», connectez-vous sur Bacillus thuringiensis Ce micro-organisme est déposé sur les pins ou cèdres à l aide d un pulvérisateur ou encore d un hélicoptère dans le cas de forêts. Il s agit d un parasite naturel utilisé pour lutter contre la chenille processionnaire (4) qui nuit à la santé des arbres, mais aussi des personnes, à cause de ses poils urticants. Des pièges (5) sont également installés autour des troncs dans les écoles, pour récolter les chenilles qui descendent des nids, avant qu elles n atteignent le sol. Le Bacillus thuringiensis est également employé à la pépinière municipale pour traiter les plantes produites dans les serres, contre les différentes chenilles qui attaquent leur feuillage. Dans ce cas, il s agit d une préparation d insecticide biologique où le bacille est associé à des pyréthrines. 2. Le saviez-vous? Grâce à une politique de gestion plus naturelle des espaces verts, les dépenses pour les produits phytosanitaires sont passées de près de annuel, à seulement 500 par an depuis
8 économiser l eau Des économies d eau sont également réalisées dans les espaces verts municipaux. 3. Jardins secs De nombreux aménagements récents combinent l utilisation de végétaux ne nécessitant pas ou peu d arrosage ainsi que des paillages minéraux (1). C est le cas notamment de rocailles dans les jardins ou encore d accompagnements de voirie. L emploi de pelouse synthétique (2), notamment dans les aires de jeux ou les lieux fortement ombragés où le gazon naturel a du mal à subsister, permet de supprimer tonte, arrosage, fertilisation et traitement. Des systèmes d arrosage automatique (3), fonctionnant à l énergie solaire, sont en cours d installation. Certains seront munis de capteurs de taux d humidité, au niveau du sol, et ne déclenchent l aspersion que lorsque les besoins en eau se font sentir. 2. former les agents 1. Le saviez-vous? La majeure partie de l eau utilisée pour l arrosage des espaces verts n est pas celle qui coule du robinet des habitations. Elle provient d un réseau différent et l eau est non traitée. Le coût de cette «eau brute» est dix fois moindre que celui de l eau potable. En 2011, 200 agents de la Ville de Nice ont suivi une formation pour être sensibilisés à l enjeu de la diminution d utilisation des produits phytosanitaires pour leur santé et la biodiversité du milieu récepteur. Cette formation a mis en valeur la nécessaire mobilisation des particuliers pour l entretien de leurs jardins ou de leurs balcons pour relayer l action menée par la Ville de Nice. La formation a ainsi abordé leur capacité à valoriser cette démarche auprès des citoyens
9 / Crédits photos : Gabriel ALZIAR, Racine SAP Draguignan, Thinkstock. Conception : Service Communication Nice Côte d Azur 05/2012. MAISON DE L ENVIRONNEMENT 31, avenue Castellane - Nice Bus : Lignes 4 et 7, arrêt Maison de l Environnement Tramway : arrêt Gorbella 16
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