Qu est-ce que «l intérêt supérieur de l enfant»?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Qu est-ce que «l intérêt supérieur de l enfant»?"

Transcription

1 Contexte Qu est-ce que «l intérêt supérieur de l enfant»? Préparé par Tara Collins et la sénatrice Landon Pearson L intérêt supérieur de l enfant est tellement important que le Comité des droits de l enfant le considère comme un principe directeur de la Convention relative aux droits de l enfant (CDE) des Nations Unies 1, c est-à-dire un des principes qui orientent l interprétation et la mise en œuvre de tous les articles de la CDE. Ils servent aussi à la résolution des éventuels conflits touchant cette mise en œuvre. À titre de principe directeur, l intérêt supérieur de l enfant s applique donc à toutes les questions relatives aux enfants. Cette notion paraît simple, mais elle est en fait complexe et exigeante. Autrefois, les adultes se référaient souvent à l intérêt supérieur pour justifier leurs décisions, mais sans vraiment tenir compte de la perspective de l enfant. Or, après l adoption de la CDE, cette approche restreinte n est plus acceptable. Il faut maintenant considérer le principe de l intérêt supérieur dans le cadre d une démarche fondée sur les droits. Aux fins de la Session extraordinaire consacrée à l enfant de l Assemblée générale des Nations Unies (prévue en mai 2002) et des négociations concernant le «projet de conclusions», le présent document expose le concept, tel qu il existe actuellement en droit international, et les conséquences qu il a dans la pratique. Historique de l «intérêt supérieur» La notion d intérêt supérieur de l enfant existe depuis assez longtemps en droit international 2. Elle est née avec la Déclaration des droits de l enfant de 1924, qui n évoque pas expressément l intérêt supérieur de l enfant, mais affirme que «l humanité se doit de donner à l enfant le meilleur d elle-même». C est là le premier document juridique reconnaissant que les adultes ont le devoir de faire ce qui est le mieux pour les enfants. La Déclaration des droits de l enfant de 1959 affirme que «l intérêt supérieur de l enfant doit être la considération déterminante» dans «l adoption de lois» relatives aux enfants. 1 Les quatre principes directeurs de la CDE sont : - la non-discrimination (Article 2); - l intérêt supérieur (Article 3); - le droit à la vie, à la survie et au développement (Article 6); - le droit de l enfant d exprimer librement son opinion, et que ces opinions soient dûment prises en considération (Article 12). 2 Ayotte, Wendy. «Separated Children and Adolescents Seeking Asylum-How Can We Consider Their Best Interests?» in Canada s Children, bulletin de la Ligue pour le bien-être des enfants du Canada, hiver 2001, p

2 Le principe de l intérêt supérieur est développé dans l Article 3 de la CDE. Le paragraphe 3(1) se lit comme suit : Dans toutes les décisions qui concernent les enfants, quelles soient le fait des institutions publiques ou privées de protection sociale, des tribunaux, des autorités administratives ou des organes législatifs, l intérêt supérieur de l enfant doit être une considération primordiale. Le texte actuel est plus faible que l article original, soumis par la Pologne en 1978 dans son projet de convention, qui se fondait sur la Déclaration de Dans la CDE, l intérêt supérieur de l enfant doit être «une» et non pas «la» considération primordiale. Cette formulation signifie qu il peut exister des conflits entre les droits et les intérêts au moment de prendre des décisions concernant les enfants et que leur intérêt supérieur peut ne pas être nécessairement la considération primordiale. On peut aussi interpréter la formulation plus floue de l article de la CDE comme se référant à des procédures qui concernent l enfant, mais dans lesquelles il n est ni ne doit être l acteur principal. Il peut s agir par exemple de procédures de divorce, qui certes concernent l enfant, mais qui sont fondées sur les souhaits des deux adultes en cause 3. Toutefois, dans les décisions touchant les enfants issus du mariage, le principe de l intérêt supérieur doit bien entendu entrer en jeu. Néanmoins, malgré le remplacement de «la» par «une», certains analystes estiment que l Article 3 fait peser le fardeau de la preuve sur les gouvernements, qui devraient démontrer pourquoi l intérêt supérieur ne constitue pas une priorité 4. L Article 21 de la CDE reconnaît et autorise les régimes d adoption dans lesquels l intérêt supérieur de l enfant est la considération primordiale. L expression intérêt supérieur se retrouve dans six autres articles de la CDE, à savoir ceux qui portent sur : la séparation des parents, 9(3); la responsabilité des parents, 18(1); l enfant qui est privé de son milieu familial, 20(1); l adoption, 21(a); la privation de liberté, 37(c); et les procédures judiciaires concernant des jeunes, 40(2)(b)(iii). Le principe de l intérêt supérieur est aussi pris en compte dans un certain nombre d autres ententes et instruments internationaux : deux articles de la Convention sur l élimination de toutes les formes de discrimination à l égard des femmes (CEDAW); la Déclaration concernant le placement familial et l adoption de 1986 de l ONU; les travaux du Comité des droits de l homme en ce qui concerne l interprétation du Pacte international relatif aux droits civils et politiques; la Charte africaine des droits et du bien-être de l enfant africain de 1990; et les travaux de la Commission européenne des droits de l homme 5. 3 Van Bueren, Geraldine. The International Law on the Rights of the Child, Dordrecht, Martinus Nijhoff, 1995, N. 100, p Alston in Ayotte, p CEDAW, articles 5(b) et 16(1)(d); Déclaration de l ONU, article 5; Comité des droits de l homme, Charte africaine des droits et du bien-être de l enfant africain, article 4(1); et Commission européenne des droits de l homme; cités dans Philip Alston et Bridget Gilmour-Walsh. The Best Interests of the Child: Towards a Synthesis of Children s Rights and Cultural Values, Florence, UNICEF, Innocenti Studies, 1996, p. 6. 2

3 Comprendre l «intérêt supérieur» L Article 3 comprend trois volets. Le paragraphe 3(1) demande que les gouvernements, de même que les institutions publiques ou privées de protection sociale déterminent l effet de leurs actions sur les enfants. Le paragraphe 3(2) oblige les États à assurer à l enfant la protection et les soins nécessaires à son bien-être en toutes circonstances, tout en respectant les droits et devoirs des parents. Le paragraphe 3(3) exige que des normes soient fixées par les «autorités compétentes» à l égard des institutions, services et établissements qui ont la charge des enfants et il oblige les États à veiller à ce que ces normes soient respectées. Malgré la clarté de ces éléments, certains estiment que l Article 3 est trop vague et qu il ne peut par conséquent pas servir de cadre pour déterminer l intérêt supérieur. De plus, le Comité des droits de l enfant n a pas encore précisé exactement comment il fallait déterminer l intérêt supérieur de l enfant. Il a néanmoins affirmé que les trois autres principes généraux de la CDE devaient correspondre à sa détermination dans des situations précises 6, affirmant que tous les articles appropriés de la Convention doivent être pris en considération. On trouvera plus bas des exemples précis à ce sujet. Le contexte international suppose un autre défi à l égard de l Article 3. L interprétation de l intérêt supérieur de l enfant peut changer considérablement d une culture à l autre, surtout dans des domaines comme la garde des enfants, l excision, le mariage des enfants, le mariage arrangé, le travail et l éducation 7 Il peut s ensuivre des conflits avec d autres droits de l enfant ou avec les droits des adultes. Toutefois, l intérêt supérieur, même interprété dans une perspective culturelle, ne peut pas aller à l encontre des autres articles de la CDE ni autoriser les pratiques traditionnelles dégradantes ou encore les châtiments violents 8. La CDE reconnaît à plusieurs endroits que les adultes, y compris les parents, les tuteurs et les enseignants, ont un intérêt ou une part à prendre dans les décisions concernant les enfants. Toutefois, le principe de l intérêt supérieur demande la participation de l enfant dans la mesure du possible, car il est impossible de connaître avec certitude cet intérêt supérieur à moins que la perspective de l enfant ne soit prise en compte. L Article 1 de la CDE donne à tous les enfants le droit d exprimer leurs opinions sur toute question les intéressant et de voir leurs opinions dûment prises en considération. Le point de vue de l enfant est essentiel aux décisions qui le touchent, mais cela ne signifie pas qu il a le dernier mot, car d autres considérations peuvent être jugées plus importantes que son opinion 9. Le fait qu un enfant ait le droit de participer à une décision ne signifie pas qu il puisse en imposer l issue. 6 Rachel Hodgkin et Peter Newell, Manuel d application de la Convention relative aux droits de l enfant, New York; Genève: UNICEF, Voir Alston et Gilmour-Walsh, p Hodgkin et Newell, p Nigel Thomas et Claire O Kane, «When children s wishes and feelings clash with their best interests.», in The International Journal of Children s Rights 6, , 1998, p

4 Le poids accordé à l opinion de l enfant doit être proportionné à sa faculté de comprendre ce qui lui est proposé 10. Cette capacité ne se mesure pas nécessairement en fonction de l âge ou du degré de maturité, car chaque enfant est différent, et chacun se développe à son propre rythme 11. Toutefois, il faut supposer que l enfant est compétent, plutôt que le contraire, car le principe de l intérêt supérieur fait peser le fardeau de la preuve sur ceux qui refusent à l enfant l exercice de ses droits 12. Habituellement, dans la pratique, les enfants demandent l aide des adultes pour prendre leurs décisions difficiles, de sorte que le principe de l intérêt supérieur suppose un partenariat. L enfant doit participer s il est en mesure de comprendre les conséquences de sa décision. Dans le cas contraire, le parent ne doit faire abstraction des désirs de l enfant que pour le protéger ou pour promouvoir son intérêt supérieur. Lorsque l enfant est compétent, le parent ne doit prévaloir sur lui que pour prévenir un préjudice grave 13. Toutes les décisions importantes doivent être assujetties à une réflexion et à une prise en compte des capacités, des perspectives et des autres aspects qui évoluent dans le temps chez l enfant 14. L «intérêt supérieur» dans la pratique La démarche fondée sur les droits et la notion de développement des capacités 15 sont deux éléments essentiels à la compréhension et à la mise en œuvre du principe de l intérêt supérieur. Ce dernier est généralement déterminé au cas par cas. Selon le principe, des efforts rigoureux doivent être déployés pour que l intérêt supérieur ne corresponde pas simplement à la perception qu en ont les adultes. Dans la pratique, le principe de l intérêt supérieur sert à mesurer et à juger certains éléments particuliers du droit, des politiques et des programmes, qui sont justifiés pour la protection des enfants et qui sont distincts de ceux des adultes. Il faut démontrer que ces éléments sont nécessaires à la protection du bien-être de l enfant, faute de quoi ils risquent d être jugés discriminatoires 16. Voici deux exemples différents des conséquences pratiques du principe de l intérêt supérieur. Le premier concerne l obligation qu ont les États parties d intégrer le principe de l intérêt supérieur dans tout plan d action destiné aux enfants ou, bien entendu, dans toute législation susceptible de toucher les enfants directement ou indirectement. Cela signifie que les enfants doivent être consultés au moment d élaborer les plans et les lois, et être entendus comme témoins lorsque les textes sont à l étude. Dans le cadre de sa Stratégie de réforme de la justice pour les 10 Scarman, cité dans Thomas et O Kane, p Voir le document thématique sur l évolution des capacités de l enfant publié par le bureau de la sénatrice Landon Pearson. 12 Van Bueren, p Gerison Lansdown (1995), cité dans Thomas et O Kane, p Van Bueren, p Ces deus questions font l objet de documents thématiques distincts publiés par le bureau de la sénatrice Landon Pearson. 16 Pour plus de détails, voir Save the Children, Children s Rights: Equal Rights? Diversity, Difference and the Issue of Discrimination, Londres, The International Save the Children Alliance, 2000, p

5 jeunes, le gouvernement canadien s est attaché à inclure des jeunes dans ses tables rondes sur les politiques. Plusieurs jeunes ont ainsi pu assister aux travaux du Comité concernant le projet de loi C-7, Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents, tant à la Chambre des communes qu au Sénat. Le deuxième exemple est plus spécifique et concerne les problèmes entourant la garde et le droit de visite des enfants, dans les cas de séparation et de divorce. Un certain nombre des témoins qui ont comparu devant le Comité (parlementaire) mixte spécial sur la garde et le droit de visite des enfants (1998), dont plusieurs jeunes, ont recommandé la prise en considération de la Convention, et particulièrement des articles 3, 9 et 12 concernant l intérêt supérieur de l enfant, le droit de l enfant de maintenir des relations avec des membres de sa famille et son droit d être entendu. Ainsi, lorsque le Comité a formulé ses recommandations concernant les facteurs que le juge doit considérer lorsqu il détermine l intérêt supérieur de l enfant, il a énuméré entre autres les éléments suivants : la solidité, la nature et la stabilité des relations qui existent entre l enfant et les personnes habilitées à exercer des responsabilités parentales à son égard ou à demander une ordonnance en ce sens (Articles 9 et 18 de la Convention); les points de vue de l enfant, lorsqu ils peuvent être raisonnablement définis (Articles 9 et 12); la capacité et la volonté de chaque demandeur d ordonnance de pourvoir à l éducation de l enfant, à son développement, aux nécessités de sa vie et à ses besoins spéciaux (Article 27); les liens culturels et la relation de l enfant (Articles 2 et 14); l importance et l avantage pour l enfant de la responsabilité parentale partagée, permettant aux deux parents de demeurer activement présents dans sa vie après la séparation (Articles 9.3 et 18); tout antécédent prouvé de violence familiale perpétrée par la partie réclamant une ordonnance parentale (Article 19); aucun des deux parents ne doit bénéficier d un traitement de faveur fondé uniquement sur son sexe (Article 2) 17. Tous les facteurs cités ici doivent être pris en compte. Toutefois, il ne s agit pas là d une liste exhaustive. Cet exemple sert à démontrer que la Convention constitue un excellent guide pour déterminer l intérêt supérieur de l enfant dans une situation donnée et que, parce que les droits sont indivisibles, tous les articles pertinents doivent être pris en considération. Le principe de l intérêt supérieur n est pas aussi vague que certains l ont soutenu. 17 Parlement du Canada, Comité spécial mixte sur la garde et le droit de visite des enfants, Pour l amour des enfants : Rapport du Comité mixte spécial sur la garde et le droit de visite des enfants, décembre 1998, p

6 Conclusion Le principe de l intérêt supérieur est important pour la participation et les suites qui seront données à la Session extraordinaire consacrée aux enfants. Il ne peut plus être utilisé dans les procédures pour soutenir certaines attitudes restreintes et paternalistes, comme ce fut le cas dans le passé. Comme le montre le présent document, le principe exige une démarche fondée sur les droits des enfants, qui fasse contrepoids à la démarche fondée sur les besoins ou encore à la perspective axée sur le service de l enfant 18. S il est vrai que le principe de l intérêt supérieur revient souvent dans les négociations concernant les droits et le bien-être des enfants à la Session extraordinaire, il n est ni clairement interprété ni correctement appliqué. Il faudra déployer des efforts considérables pour qu on lui accorde tout le poids qui lui revient. À tout le moins, les enfants doivent participer à la détermination de leur intérêt supérieur, car ils sont souvent plus conscients de ce qui importe dans leurs vies 19. Les personnes qui, par nature ou par idéologie, ont tendance à se montrer protectrices y voient des risques, mais la prise de risques, que ce soit par les adultes ou par les enfants, est inhérente au processus 20. Avril 2002 Bureau de l honorable Landon Pearson Représentante personnelle du premier ministre pour la Session extraordinaire de l ONU sur les enfants Conseillère auprès du ministre des Affaires étrangères pour les droits des enfants Le Sénat du Canada Bureau 210, édifice de l Est Ottawa (Ontario) K1A 0A4 Tél. : (613) ou Téléc. : (613) Courriel : pearsl@sen.parl.gc.ca Site Web : 18 Voir à ce sujet le document thématique sur la démarche fondée sur les droits publié par le bureau de la sénatrice Landon Pearson. 19 Yamamoto et al, in Thomas et O Kane, p Thomas t O Kane, p

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques

Plus en détail

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session

Plus en détail

CRC/C/GC/12. Convention relative aux droits de l enfant. Observation générale n o 12 (2009) Nations Unies. Le droit de l enfant d être entendu

CRC/C/GC/12. Convention relative aux droits de l enfant. Observation générale n o 12 (2009) Nations Unies. Le droit de l enfant d être entendu Nations Unies Convention relative aux droits de l enfant Distr. générale 20 juillet 2009 Français Original: anglais CRC/C/GC/12 Comité des droits de l enfant Cinquante et unième session Genève, 25 mai-12

Plus en détail

CRC/C/GC/14. Convention relative aux droits de l enfant

CRC/C/GC/14. Convention relative aux droits de l enfant Nations Unies Convention relative aux droits de l enfant Distr. générale 29 mai 2013 Français Original: anglais CRC/C/GC/14 Comité des droits de l enfant Observation générale n o 14 (2013) sur le droit

Plus en détail

Community Legal Information Association of PEI, Inc. Prince Edward Island, Inc. Vivre à deux

Community Legal Information Association of PEI, Inc. Prince Edward Island, Inc. Vivre à deux Community Legal Information Association of Prince Edward Island, Inc. Vivre à deux Introduction À l Île-du-Prince-Édouard, la définition d un conjoint comprend les conjoints de même sexe, les conjoints

Plus en détail

Le tribunal de la famille et de la jeunesse

Le tribunal de la famille et de la jeunesse Le tribunal de la famille et de la jeunesse Le tribunal de la famille et de la jeunesse (*) est opérationnel dans tout le pays depuis le 1 er septembre 2014. C est désormais ce tribunal qui est compétent

Plus en détail

POLITIQUES EN MATIÈRE DE GARDE D ENFANTS

POLITIQUES EN MATIÈRE DE GARDE D ENFANTS POLITIQUES EN MATIÈRE DE GARDE D ENFANTS Règlement 22(1) La demande de licence pour fournir et offrir des services de garderie familiale comporte les éléments suivants : (b.1) une copie du code de conduite

Plus en détail

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité

Plus en détail

LE DROIT À ADÉQUAT. Comment lutter pour vos droits

LE DROIT À ADÉQUAT. Comment lutter pour vos droits LE DROIT À UN LOGEMENT ADÉQUAT Comment lutter pour vos droits le Centre pour les droits à l égalité au logement (CERA) et le Centre de défense des droits sociaux LE DROIT À UN LOGEMENT ADÉQUAT Cette brochure

Plus en détail

Bulletin de Litige. Le nouveau Code de procédure civile : une approche favorisant la négociation entre les parties, la médiation et l arbitrage

Bulletin de Litige. Le nouveau Code de procédure civile : une approche favorisant la négociation entre les parties, la médiation et l arbitrage Mai 2014 Bulletin de Litige Le nouveau Code de procédure civile : une approche favorisant la négociation entre les parties, la médiation et l arbitrage Le projet de Loi numéro 28 instituant le nouveau

Plus en détail

Service public d éducation et d information juridiques du Nouveau-Brunswick

Service public d éducation et d information juridiques du Nouveau-Brunswick Droits et responsabilités Service public d éducation et d information juridiques du Nouveau-Brunswick Le Service public d éducation et d information juridiques du Nouveau- Brunswick (SPEIJ-NB) est un organisme

Plus en détail

J ai droit, tu as droit, il/elle a droit

J ai droit, tu as droit, il/elle a droit J ai droit, tu as droit, il/elle a droit Une introduction aux droits de l enfant Toutes les personnes ont des droits. Fille ou garçon de moins de 18 ans, tu possèdes, en plus, certains droits spécifiques.

Plus en détail

Avant-projet de loi. Loi modifiant le Code civil et d autres dispositions législatives en matière d adoption et d autorité parentale

Avant-projet de loi. Loi modifiant le Code civil et d autres dispositions législatives en matière d adoption et d autorité parentale PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Avant-projet de loi Loi modifiant le Code civil et d autres dispositions législatives en matière d adoption et d autorité parentale Déposé par Madame Kathleen

Plus en détail

L aide juridique au Nouveau-Brunswick. Fournir de l aide de nature juridique aux personnes à faible revenu

L aide juridique au Nouveau-Brunswick. Fournir de l aide de nature juridique aux personnes à faible revenu Fournir de l aide de nature juridique aux personnes à faible revenu La présente publication a été produite dans le cadre d une collaboration entre le Service public d éducation et d information juridiques

Plus en détail

CONSTRUIRE UNE EUROPE POUR ET AVEC LES ENFANTS. Lignes directrices du Comité des Ministres du Conseil de l Europe sur une justice adaptée aux enfants

CONSTRUIRE UNE EUROPE POUR ET AVEC LES ENFANTS. Lignes directrices du Comité des Ministres du Conseil de l Europe sur une justice adaptée aux enfants m o n o g r a p h i e 5 CONSTRUIRE UNE EUROPE POUR ET AVEC LES ENFANTS Lignes directrices du Comité des Ministres du Conseil de l Europe sur une justice adaptée aux enfants Lignes directrices du Comité

Plus en détail

QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION

QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION La Constitution est un ensemble de textes juridiques qui définit les différentes institutions composant l État et qui organise leurs relations. Elle peut comporter également

Plus en détail

Distr. GENERAL. HCR/GIP/02/02 Rev.1 Date: 8 juillet 2008. FRANÇAIS Original: ENGLISH

Distr. GENERAL. HCR/GIP/02/02 Rev.1 Date: 8 juillet 2008. FRANÇAIS Original: ENGLISH Distr. GENERAL HCR/GIP/02/02 Rev.1 Date: 8 juillet 2008 FRANÇAIS Original: ENGLISH PRINCIPES DIRECTEURS SUR LA PROTECTION INTERNATIONALE: «L appartenance à un certain groupe social» dans le cadre de l'article

Plus en détail

Une coalition d entreprises déclare que la Loi sur le droit d auteur doit s assortir d une exception au droit de reproduction

Une coalition d entreprises déclare que la Loi sur le droit d auteur doit s assortir d une exception au droit de reproduction Une coalition d entreprises déclare que la Loi sur le droit d auteur doit s assortir d une exception au droit de reproduction L ACR est membre de la Coalition sectorielle pour une réforme équilibrée du

Plus en détail

Inscrire un nouvel élève

Inscrire un nouvel élève Système d éducation publique de la Nouvelle-Écosse Inscrire un nouvel élève Dernière révision : 1. Aide-mémoire EST-CE QUE VOUS AVEZ?...4 2. Documents qu il est possible qu on exige au moment de l inscription...5

Plus en détail

L INSPECTION PRÉACHAT DANS LE DOMAINE IMMOBILIER ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION POUR UNE MEILLEURE PROTECTION

L INSPECTION PRÉACHAT DANS LE DOMAINE IMMOBILIER ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION POUR UNE MEILLEURE PROTECTION POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS DES ACHETEURS ET DES VENDEURS POUR UNE MEILLEURE PROTECTION IMMOBILIER DANS LE DOMAINE PRÉACHAT L INSPECTION L INSPECTION PRÉACHAT DANS

Plus en détail

RAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ

RAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ RAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ Instructions: 1. Le rapport doit être renvoyé au REFJ (exchanges@ejtn.eu) dans le mois suivant le stage. 2. Veuillez utiliser le formulaire ci-dessous pour rédiger votre rapport

Plus en détail

Berne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale

Berne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle

Plus en détail

RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI

RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI CRI(2011)37 RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI SUR LA LUTTE CONTRE L ANTI-TSIGANISME ET LES DISCRIMINATIONS ENVERS LES ROMS ADOPTÉE LE 24 JUIN 2011 Strasbourg, Septembre 2011 Publication

Plus en détail

CHAPITRE QUINZE POLITIQUE DE CONCURRENCE, MONOPOLES ET ENTREPRISES D ÉTAT

CHAPITRE QUINZE POLITIQUE DE CONCURRENCE, MONOPOLES ET ENTREPRISES D ÉTAT CHAPITRE QUINZE POLITIQUE DE CONCURRENCE, MONOPOLES ET ENTREPRISES D ÉTAT Article 15.1 : Droit et politique en matière de concurrence 1. Chacune des Parties adopte ou maintient des mesures prohibant les

Plus en détail

Article 1654 Le mariage est un contrat solennel entre deux personnes de sexe opposé qui souhaitent s unir et former une famille.

Article 1654 Le mariage est un contrat solennel entre deux personnes de sexe opposé qui souhaitent s unir et former une famille. Concours European Law Moot Court 2013-2014 Affaire M- 564/13, Spyridon et autres c. le Ministre de l Immigration et de la Naturalisation et le Directeur Général de la Santé 1. La Principauté de Brandoa

Plus en détail

La Loi sur l aide aux personnes et aux familles

La Loi sur l aide aux personnes et aux familles La Loi sur l aide aux personnes et aux familles (L.R.Q., chapitre A-13.1.1) Par : Olivia Dugré, étudiante en droit à l Université Laval Sous la supervision de Christian Loupret Avril 2012 TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes

L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes Les engagements de la Belgique La loi sur la coopération internationale de 1999 institue l égalité

Plus en détail

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise POUR Enrichir le QuEbec Mesures pour renforcer l action du Québec en matière d intégration des immigrants Affirmer les valeurs communes de la société québécoise Affirmer les valeurs communes de la société

Plus en détail

Projet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux

Projet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux Projet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux Allocution de Darren Hannah Vice-président intérimaire, Politiques et opérations

Plus en détail

Proposition d Assurance acheteur unique ou d Assurance frustration de contrat Remplir le présent formulaire et le présenter à EDC

Proposition d Assurance acheteur unique ou d Assurance frustration de contrat Remplir le présent formulaire et le présenter à EDC RÉSERVÉ À EDC : CI # : Proposition d Assurance acheteur unique ou d Assurance frustration de contrat Remplir le présent formulaire et le présenter à EDC 1 RENSEIGNEMENTS SUR LE CLIENT Nom légal de l entreprise

Plus en détail

41/128 Déclaration sur le droit au développement

41/128 Déclaration sur le droit au développement 41/128 Déclaration sur le droit au développement L'Assemblée générale, Ayant à l'esprit les buts et principes de la Charte des Nations Unies relatifs à la réalisation de la coopération internationale en

Plus en détail

REVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA

REVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA REVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA Chef Maureen Chapman Comité des Chefs sur les revendications Mémoire prébudgétaire au Comité permanent des finances

Plus en détail

Déclaration sur le droit au développement

Déclaration sur le droit au développement Déclaration sur le droit au développement Adoptée par l'assemblée générale des Nations Unies dans sa résolution 41/128 du 4 décembre 1986 L'Assemblée générale, Ayant à l'esprit les buts et principes de

Plus en détail

I. Une nouvelle loi anti-discrimination

I. Une nouvelle loi anti-discrimination Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre

Plus en détail

Avec les enfants pour les enfants

Avec les enfants pour les enfants Avec les enfants pour les enfants Guide pour les organisations non gouvernementales qui accompagnent des enfants et des adolescents dans la préparation de rapports sur la CIDE Avec les enfants pour les

Plus en détail

Négociations commerciales entre le Canada et l Union européenne 7. Les obstacles techniques au commerce et la coopération en matière de réglementation

Négociations commerciales entre le Canada et l Union européenne 7. Les obstacles techniques au commerce et la coopération en matière de réglementation Négociations commerciales entre le Canada et l Union européenne 7. Les obstacles techniques au commerce et la coopération en matière de réglementation Publication n o 2010-58-F Le 3 septembre 2010 Alexandre

Plus en détail

Questionnaire standard pour les nouveaux Etats adhérents Réponse de: [Etat] GUINEE Date de la réponse : [date] : Le 13 Février 2013

Questionnaire standard pour les nouveaux Etats adhérents Réponse de: [Etat] GUINEE Date de la réponse : [date] : Le 13 Février 2013 CONVENTION DE LA HAYE DU 25 OCTOBRE 1980 SUR LES ASPECTS CIVILS DE L ENLÈVEMENT INTERNATIONAL D ENFANTS Questionnaire standard pour les nouveaux Etats adhérents Réponse de: [Etat] GUINEE Date de la réponse

Plus en détail

DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division d appel Décision d appel

DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division d appel Décision d appel Citation : C. B. c. Commission de l assurance-emploi du Canada, 2013 TSSDA 7 Appel No : 2013-0063 ENTRE : C. B. et Appelante Commission de l assurance-emploi du Canada Intimée DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA

Plus en détail

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS Positionnement en vue de la session spéciale des (22 septembre 2014) 2 1. FACE À UN AVENIR INCERTAIN, LES GOUVERNEMENTS DOIVENT SE REMOBILISER

Plus en détail

Déclaration des droits sur Internet

Déclaration des droits sur Internet Déclaration des droits sur Internet 1 Préambule Internet a décisivement contribué à redéfinir l espace public et privé, à structurer les rapports entre les personnes et entre celles-ci et les institutions.

Plus en détail

utilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme,

utilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme, Documents de synthèse DS 2 20.12.09 IIEDH Observatoire de la diversité et des droits culturels Situation des droits culturels Argumentaire politique www.droitsculturels.org 1. Définition des droits culturels

Plus en détail

UNICEF/NYHQ2009-0870/SokoL. Principes Régissant les Entreprises dans le Domaine des Droits de l enfant

UNICEF/NYHQ2009-0870/SokoL. Principes Régissant les Entreprises dans le Domaine des Droits de l enfant UNICEF/NYHQ2009-0870/SokoL Principes Régissant les Entreprises dans le Domaine des Droits de l enfant 12345678910 UNICEF/NYHQ2008-1775/Pirozzi Introduction Les enfants de moins de 18 ans représentent près

Plus en détail

LE JUGEMENT SOMMAIRE À LA COUR FÉDÉRALE ET À LA COUR D APPEL FÉDÉRALE. Document de travail du sous-comité des Règles sur le jugement sommaire

LE JUGEMENT SOMMAIRE À LA COUR FÉDÉRALE ET À LA COUR D APPEL FÉDÉRALE. Document de travail du sous-comité des Règles sur le jugement sommaire 1 LE JUGEMENT SOMMAIRE À LA COUR FÉDÉRALE ET À LA COUR D APPEL FÉDÉRALE Document de travail du sous-comité des Règles sur le jugement sommaire I. INTRODUCTION Le jugement sommaire est conçu pour que soient

Plus en détail

TRAITÉ SUR L'UNION EUROPÉENNE (VERSION CONSOLIDÉE)

TRAITÉ SUR L'UNION EUROPÉENNE (VERSION CONSOLIDÉE) TRAITÉ SUR L'UNION EUROPÉENNE (VERSION CONSOLIDÉE) Article 2 L'Union est fondée sur les valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d'égalité, de l'état de droit, ainsi que de

Plus en détail

CESSATION DES OPÉRATIONS D ASSURANCE AU CANADA DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES ÉTRANGÈRES

CESSATION DES OPÉRATIONS D ASSURANCE AU CANADA DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES ÉTRANGÈRES Index A n o 9 CESSATION DES OPÉRATIONS D ASSURANCE AU CANADA DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES ÉTRANGÈRES Fondement législatif Articles 650, 651 et 654 de la Loi sur les sociétés d assurances (la «Loi») Définitions

Plus en détail

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action

Plus en détail

Avoir accès à la justice ou s exposer à l endettement

Avoir accès à la justice ou s exposer à l endettement Avoir accès à la justice ou s exposer à l endettement Comprendre qu il s agit d un choix difficile pour les Canadiens Aider les courtiers d assurance et les sociétés d assurance à mieux comprendre les

Plus en détail

Conférence d Oslo. Présentation générale des premières décisions à adopter. par le Comité de suivi de la convention. par Marie-Françoise Glatz

Conférence d Oslo. Présentation générale des premières décisions à adopter. par le Comité de suivi de la convention. par Marie-Françoise Glatz Conférence d Oslo Présentation générale des premières décisions à adopter par le Comité de suivi de la convention par Marie-Françoise Glatz Le Comité de suivi va devoir, dès sa première réunion, travailler

Plus en détail

' '(!)('( ' #$%&'# ! '! " #$%&

' '(!)('( ' #$%&'# ! '!  #$%& ATTAQUER LE LISTING DU SOUTIEN AU TERRORISME DE NOUVELLES OPTIONS JURIDIQUES? UN RESUME DES JUGEMENTS RECENTS DE LA COUR DE JUSTICE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES Dès les arrêts Yusuf 1 et Kadi 2, d une part,

Plus en détail

LES SOURCES DU DROIT

LES SOURCES DU DROIT Ressources pour les enseignants et les formateurs en français juridique Fiche notion avec activités Crédit : Michel SOIGNET LES SOURCES DU DROIT 1. QU EST-CE QUE LE DROIT? Le droit est constitué de l ensemble

Plus en détail

L informateur. financier. Protection contre les créanciers offerte par l assurance-vie. mai 2002. Les choses changent. Vous devez savoir.

L informateur. financier. Protection contre les créanciers offerte par l assurance-vie. mai 2002. Les choses changent. Vous devez savoir. L informateur financier DU GROUPE-CONSEIL EN PROTECTION DU PATRIMOINE MD À LA FINANCIÈRE SUN LIFE Protection contre les créanciers offerte par l assurance-vie mai 2002 Les choses changent. Vous devez savoir.

Plus en détail

Règle 63 DIVORCE ET DROIT DE LA FAMILLE

Règle 63 DIVORCE ET DROIT DE LA FAMILLE Règle 63 DIVORCE ET DROIT DE LA FAMILLE Définitions (1) Les définitions qui suivent s appliquent à la présente règle. Champ d application «demande de réparation» Sont comprises parmi les demandes de réparation

Plus en détail

UNIÃO AFRICANA Addis Abeba, ETHIOPIE P. O. Box 3243 Téléphone 251 11 517 700 Fax: 251 11 551 78 44 Site Internet: www.african-union.

UNIÃO AFRICANA Addis Abeba, ETHIOPIE P. O. Box 3243 Téléphone 251 11 517 700 Fax: 251 11 551 78 44 Site Internet: www.african-union. AFRICAN UNION UNION AFRICAINE UNIÃO AFRICANA Addis Abeba, ETHIOPIE P. O. Box 3243 Téléphone 251 11 517 700 Fax: 251 11 551 78 44 Site Internet: www.african-union.org COMITÉ AFRICAIN D EXPERTS SUR LES DROITS

Plus en détail

Le droit de parole de l enfant dans les procédures en divorce. CODE décembre 2007

Le droit de parole de l enfant dans les procédures en divorce. CODE décembre 2007 Le droit de parole de l enfant dans les procédures en divorce CODE décembre 2007 La reconnaissance du droit de l enfant à s exprimer et à se faire entendre est relativement récente. Elle est le résultat

Plus en détail

25. la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe)

25. la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe) -coopération 25. la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe) 1 9. Reconnaît les conséquences négatives que la non exécution des requêtes de la Cour peut avoir sur la capacité de la Cour à mener à bien

Plus en détail

DRT 3805g. L usage du standard de «haute qualité» par le CRTC. Le standard de qualité. Le standard de haute qualité

DRT 3805g. L usage du standard de «haute qualité» par le CRTC. Le standard de qualité. Le standard de haute qualité DRT 3805g Le standard de haute qualité L usage du standard de «haute qualité» par le CRTC Examen d un outil et processus de régulation en radiodiffusion Le standard de qualité Art. 1, al. 4, loi française

Plus en détail

CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité?

CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité? CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité? Automne 2011 QU EST-CE QU UN CERTIFICAT DE SÉCURITÉ? Créée en 1978, la procédure actuelle trouve son fondement dans la loi sur l immigration

Plus en détail

NOTE IMPORTANTE : cette version est une traduction de la version originale anglaise.

NOTE IMPORTANTE : cette version est une traduction de la version originale anglaise. NOTE IMPORTANTE : cette version est une traduction de la version originale anglaise. CENTRE DE RÈGLEMENT DES DIFFÉRENDS SPORTIFS DU CANADA (CRDSC) SPORT DISPUTE RESOLUTION CENTRE OF CANADA (SDRCC) AFFAIRE

Plus en détail

Vous divorcez, vous vous séparez?

Vous divorcez, vous vous séparez? Service Com&Doc - Crédit image : drx - Fotolia.com - Imprimerie Caf35 - Mars 2014 Vous divorcez, vous vous séparez? 5 questions pour mieux comprendre Vous informer et vous aider dans vos démarches Vous

Plus en détail

Introduction et sommaire

Introduction et sommaire Mémoire de l Association canadienne des professionnels de l insolvabilité et de la réorganisation Introduction et sommaire 277, rue Wellington Ouest Toronto (Ontario) M5V 3H2 Tél. : 416-204-3242 Téléc.

Plus en détail

Numéros du rôle : 4381, 4425 et 4454. Arrêt n 137/2008 du 21 octobre 2008 A R R E T

Numéros du rôle : 4381, 4425 et 4454. Arrêt n 137/2008 du 21 octobre 2008 A R R E T Numéros du rôle : 4381, 4425 et 4454 Arrêt n 137/2008 du 21 octobre 2008 A R R E T En cause : les questions préjudicielles relatives à l article 1258 du Code judiciaire, tel qu il a été remplacé par l

Plus en détail

AZ A^kgZi Yj 8^idnZc

AZ A^kgZi Yj 8^idnZc Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...

Plus en détail

Interpeller le gouvernement et négocier

Interpeller le gouvernement et négocier Agir dans les centres de la petite enfance L ADIM intervient partout où les intérêts de ses membres sont en jeu. Le centre de la petite enfance (CPE) est un de ces lieux. Son action peut y prendre diverses

Plus en détail

Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi

Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Préambule Le Cameroun a révisé son DSRP i 2003 en lui adressant une direction

Plus en détail

Directives du programme Ontario au travail

Directives du programme Ontario au travail Directives du programme Ontario au travail 3.11 Immigrants parrainés Compétence législative Paragraphes 13 (1) et 71 (1), et article 72 de la Loi. Articles 6, 13, 15, 17 et 51 du Règlement 134/98. Exigences

Plus en détail

Le Privilège du secret professionnel des conseillers juridiques en entreprise

Le Privilège du secret professionnel des conseillers juridiques en entreprise Le Privilège du secret professionnel des conseillers juridiques en entreprise MODÉRATEUR : Eric Simard Fasken Martineau PANÉLISTES : Martin Sheehan Fasken Martineau Anne Granger Fasken Martineau 3e Symposium

Plus en détail

OSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL

OSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL OSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL À : &' 1$,'6 M. Richard Drouin, O.C., c.r. Président, Commission d examen sur la rémunération des juges 2CVTKEM,/QPCJCP DATE :

Plus en détail

Droits de l enfant au parlement Aperçu de la session d automne 2014

Droits de l enfant au parlement Aperçu de la session d automne 2014 Droits de l enfant au parlement Aperçu de la session d automne 2014 Durant cette session le Conseil national traitera plusieurs infractions concernant les droits de l enfant. Le postulat Bilan de la mise

Plus en détail

Accord négocié régissant les relations entre la Cour pénale internationale et l Organisation des Nations Unies. Préambule

Accord négocié régissant les relations entre la Cour pénale internationale et l Organisation des Nations Unies. Préambule Accord négocié régissant les relations entre la Cour pénale internationale et l Organisation des Nations Unies Préambule La Cour pénale internationale et l Organisation des Nations Unies, Ayant à l esprit

Plus en détail

Conseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat

Conseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat Conseil Municipal des Enfants à Thionville Livret de l électeur et du candidat Elections du vendredi 18 novembre 2011 Mot du Maire Le Conseil Municipal des Enfants fait sa rentrée. Il joue un rôle essentiel

Plus en détail

Que faire si on vous poursuit en justice? Guide pratique

Que faire si on vous poursuit en justice? Guide pratique Cour des petites créances Que faire si on vous poursuit en justice? Guide pratique 3 Justice Services judiciaires Sources d information Whitehorse (Yukon) Gouvernement du Yukon Services aux consommateurs

Plus en détail

Charte de la laïcité à l École Charte commentée

Charte de la laïcité à l École Charte commentée Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales

Plus en détail

Services Investisseurs CIBC Convention de modification Fonds de revenu viager (Québec) Loi sur les régimes complémentaires de retraite du Québec

Services Investisseurs CIBC Convention de modification Fonds de revenu viager (Québec) Loi sur les régimes complémentaires de retraite du Québec Page 1 de 6 inc. a droit aux prestations de retraite qui sont régies par la (nom du constituant en caractères d'imprimerie) Loi du, et il désire transférer ces montants dans un Fonds de revenu viager (FRV)

Plus en détail

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du

Plus en détail

BOITE A OUTILS POUR LA PROTECTION DE L ENFANCE MANUEL 1. Notions de base de la protection de l enfance

BOITE A OUTILS POUR LA PROTECTION DE L ENFANCE MANUEL 1. Notions de base de la protection de l enfance BOITE A OUTILS POUR LA PROTECTION DE L ENFANCE MANUEL 1 Notions de base de la protection de l enfance Manuel 1: Notions de base de la protection de l enfance, Boîte à outils de FHI 360 pour la protection

Plus en détail

STATUTS BUT ET COMPOSITION DE L ASSOCIATION

STATUTS BUT ET COMPOSITION DE L ASSOCIATION STATUTS BUT ET COMPOSITION DE L ASSOCIATION ARTICLE 1 er : L arrondissement, constituée sous le régime de la Loi du 1 er juillet 1901 et en conformité avec le Code de la Famille et de l Aide Sociale, groupe

Plus en détail

La récente décision judiciaire en Alberta sur la limitation des dommages non pécuniaires

La récente décision judiciaire en Alberta sur la limitation des dommages non pécuniaires La récente décision judiciaire en Alberta sur la limitation des dommages non pécuniaires Présenté par Marco Royer Assurance automobile en Alberta : les réformes de 2004 Bill 53 Introduction d une limitation

Plus en détail

ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST

ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST CONFERENCE REGIONALE SUR LA RATIFICATION DES INSTRUMENTS INTERNATIONAUX

Plus en détail

Fiches d information sur la protection de l enfant

Fiches d information sur la protection de l enfant Fiches d information sur la protection de l enfant Qu est-ce que la protection de l enfant? La protection de l enfant, les OMD et la Déclaration du Millénaire La violence à l égard des enfants Protéger

Plus en détail

Obtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION

Obtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION Obtenir le titre de prêteur agréé La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL aide les Canadiens à répondre à leurs besoins en matière de logement. En tant qu autorité en matière

Plus en détail

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays

Plus en détail

Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011

Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Initiatives montrant des bonnes pratiques ainsi que des pratiques efficaces dans l adoption d une approche fondée sur les droits

Plus en détail

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,

Plus en détail

Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014

Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Table des matières Contexte et objectifs... 6 Méthodologie... 8 Résultats détaillés 1. Perception

Plus en détail

Sources de revenu et autonomie des immigrants âgés au Canada SOMMAIRE

Sources de revenu et autonomie des immigrants âgés au Canada SOMMAIRE Sources de revenu et autonomie des immigrants âgés au Canada SOMMAIRE Préparé pour la Conférence économique 2005, Ottawa 10 mai 2005 Colleen Dempsey Recherche et statistiques stratégiques Citoyenneté et

Plus en détail

Convention sur la réduction des cas d apatridie

Convention sur la réduction des cas d apatridie Convention sur la réduction des cas d apatridie 1961 Faite à New York le 30 août 1961. Entrée en vigueur le 13 décembre 1975. Nations Unies, Recueil des Traités, vol. 989, p. 175. Copyright Nations Unies

Plus en détail

COMPRENDRE LA GESTION DES SUCCESSIONS DANS LES RE SERVES

COMPRENDRE LA GESTION DES SUCCESSIONS DANS LES RE SERVES Centre d excellence en matière de biens immobiliers matrimoniaux Hébergé par l Association des gestionnaires des terres des Premières Nations (ANGTA), le CDEBIM aide les collectivités et les membres des

Plus en détail

PROTOCOLE SUR LES AMENDEMENTS A L ACTE CONSTITUTIF DE L UNION AFRICAINE

PROTOCOLE SUR LES AMENDEMENTS A L ACTE CONSTITUTIF DE L UNION AFRICAINE PROTOCOLE SUR LES AMENDEMENTS A L ACTE CONSTITUTIF DE L UNION AFRICAINE 1 PROTOCOLE SUR LES AMENDEMENTS A L ACTE CONSTITUTIF DE L UNION AFRICAINE Les Etats membres de l Union africaine, Etats parties à

Plus en détail

VII. Répertoire alphabétique par matières

VII. Répertoire alphabétique par matières VII. Répertoire alphabétique par matières Abus sexuels d enfants 270 (d) = 270 s. (f) = 271 (i) limitation du droit de visite 298 (f) = 319 (d) voir aussi: Convention du Conseil de l Europe, soupçon Action

Plus en détail

Examen de fin de stage judiciaire Programme de révision

Examen de fin de stage judiciaire Programme de révision Examen de fin de stage judiciaire Programme de révision Le présent document est établi sur base de l article 17, paragraphe 1 er, alinéa 2 du règlement grand-ducal du 10 juin 2009 portant organisation

Plus en détail

SYNTHÈSE HISTORIQUE VÉCU DE L'AAR PARTIE 2

SYNTHÈSE HISTORIQUE VÉCU DE L'AAR PARTIE 2 ALLIANCE DES ASSOCIATIONS DE RETRAITÉS SYNTHÈSE HISTORIQUE DU VÉCU DE L'AAR PARTIE 2 Par Jacques Guilmain (Membre de l'association des employés retraités de la ville de Montréal et membre du conseil d'administration

Plus en détail

L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK

L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK NORMES SUR L EMPLOI DE LA TECHNOLOGIE DANS LA PRATIQUE DU TRAVAIL SOCIAL 2010 Adopté le 5 juin 2010 Table des matières Remerciements p. 3 Préface

Plus en détail

Fiche d'information n 26 - Le Groupe de travail sur la détention arbitraire

Fiche d'information n 26 - Le Groupe de travail sur la détention arbitraire Fiche d'information n 26 - Le Groupe de travail sur la détention arbitraire I. Introduction "Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ni exilé" (Déclaration universelle des droits de l homme, art.

Plus en détail

ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE

ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE Le présent document reflète le travail d organismes de réglementation membres du CCRRA. Les opinions qui y sont exprimées ne doivent

Plus en détail

Demander un numéro d assurance sociale... C

Demander un numéro d assurance sociale... C Demander un numéro d assurance sociale... C Si vous êtes un citoyen canadien, un nouvel arrivant au pays ou un résident temporaire, vous avez besoin d un numéro d assurance sociale (NAS) pour travailler

Plus en détail

Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185

Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 RESUMÉ ANONYMISÉ DE LA DÉCISION Décision relative à une Recommandation Domaines de compétence de l Institution : Défense des droits de l'enfant, Droits

Plus en détail

Le Protocole de Nagoya sur l accès et le partage des avantages

Le Protocole de Nagoya sur l accès et le partage des avantages Convention sur la diversité biologique : ABS Le Protocole de Nagoya sur l accès et le partage des avantages RESSOURCES GÉNÉTIQUES CONNAISSANCES TRADITIONNELLES FOURNISSEURS UTILISATIONS CONSENTEMENT PRÉALABLE

Plus en détail

CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR VOTRE ASSURANCE VIE

CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR VOTRE ASSURANCE VIE CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR VOTRE ASSURANCE VIE L assurance vie n est pas un sujet des plus palpitants, mais vos proches peuvent être dans le pétrin, au moment de votre décès, si vous n avez pas réfléchi

Plus en détail

DIVORCE l intérêt du consentement amiable

DIVORCE l intérêt du consentement amiable Conférence-débat du jeudi 2 octobre 2014 DIVORCE l intérêt du consentement amiable Depuis le 1 er janvier 2005 (date d entrée en vigueur de la loi sur le divorce du 26 mai 2004), les époux ont le choix

Plus en détail