Consommation d eau et d énergie en abattoir-découpe de porcs :

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1 Consommation d eau et d énergie en abattoir-découpe de porcs : caractérisation des situations actuelles dans 8 outils L énergie et l eau représentent le second poste de dépenses en abattoir-découpe de porc, après le personnel. La demande en énergie augmente du fait de la sophistication des procédés et des automatisations des chaînes d abattage et de découpe ainsi que de l élaboration poussée des produits (davantage de machines et systèmes de convoyage, de production de froid, de surfaces à réfrigérer ). Parallèlement, les coûts de l énergie et de l eau augmentent. Résumé En 29, l IFIP a conduit des enquêtes et réalisé des campagnes de mesures dans 8 sites d abattage et découpe de porcs. Une étude financée par Inaporc, conduite en par l IFIP en collaboration avec l ADIV dans 3 abattoirs-découpe, a montré des différences importantes de consommation d énergie et d eau par porc abattu et découpé. Pour le poste énergie (gaz + électricité + fioul), la consommation variait de 19,6 à 4,7 kw selon les outils. Pour l eau, des écarts de 255 l à 375 l/ porc ont été mesurés. Les différences s expliquaient par des mesures d économies ou de récupération d eau et d énergie ainsi que par les process utilisés par les industriels. Objectifs et protocole L objectif en a été de poursuivre le travail d enquête et de mesures sur site dans 5 autres abattoirs-découpes afin d élargir le champ d investigation des solutions pour économiser eau et énergie. Ce travail vise à recueillir des références et valider les meilleures techniques disponibles pour récupérer ou limiter la consommation d eau et d énergie. Etape 1 : Consommations par entreprise Descriptif du process et relevé des consommations en une année sur chaque site. Etape 2 : Distribution des consommations par entreprise et par postes Mesures sur site des consommations d eau, d électricité et de gaz pour affiner la ventilation des consommations d eau et d énergie selon les utilisations décrites en étape 1. Le relevé des consommations d eau et de gaz se fait à partir des compteurs en place, la consommation électrique à partir de compteurs en place ou grâce à des analyseurs d énergie électrique.les mesures électriques ont été réalisées grâce au matériel de l IFIP permettant de mesurer de forts ampérages (centrales de mesures équipées de pinces ampéremètriques flexibles pouvant mesurer jusqu à 5 A). Ce matériel testé par l IFIP a été mis à disposition des entreprises et un guide d utilisation rédigé par l IFIP a permis d en favoriser l utilisation par les services de maintenance des entreprises. Etape 3 : Meilleurs techniques disponibles pour réduire les consommations d eau et énergie A l issue du diagnostic des 8 entreprises, un référentiel des meilleures techniques disponibles a été établi afin de limiter la consommation d eau et d énergie sur le principe du document commandité par la Commission Européenne «Best Available Techniques in slaughterhouses and animal by-products industries» (25). Consommations par entreprise Descriptif des 8 entreprises d abattage-découpe diagnostiquées L échantillon des 8 abattoirs-découpes représente 23 du tonnage total de porc abattus et découpés en France en 28 (Porc par les chiffres 28, IFIP). Les abattoirs sont classés par ordre décroissant de tonnage abattu de A1 à A8. Deux sites industriels fabriquent des produits de salaison (A5 et A6) représentant 3 à 1 du tonnage de carcasses traitées (Tableau 1). Six abattoirs sur 8 disposent d une L objectif était d inventorier les solutions pouvant être mises en place par les industriels Résumé afin de réduire leur facture en L arti eau et énergie (électricité et gaz). Ce travail a permis de recueillir des références et valider les meilleures techniques disponibles pour récupérer ou limiter la consommation d eau et d énergie. Cette étude comparative des besoins en eau et énergie des abattoirs-découpes met en évidence un niveau de consommation en eau de 355 litres/porc de 9 kg de carcasse, 18,24 Kwatts PCI de gaz et 16,4 Kwatts d électricité. Elle laisse entrevoir des économies sur les consommations en eau et énergie plus ou moins significatives selon les entreprises. Patrick CHEVILLON Eric GAULT Thierry LHOMMEAU Cette étude a été financée par le programme national de développement agricole et INAPORC. TechniPorc, Vol. 33, N 2, 21 - la revue technique de l IFIP 7

2 La consommation électrique varie du simple au triple, soit de 8,6 à 29,9 kw /porc. Le coût en eau et énergie électrique ou gaz varie selon les abattoirs de 1,92 à 3,487 /porc abattu et découpé. congélation sur le site permettant de congeler 1 à 15 du tonnage abattu. L abattoir A7 réalise des prestations de congélation. Cinq abattoirs sur 8 réalisent des abattages de truies. Deux abattoirs ont une activité d abattage de porcelets mais les tonnages correspondant sont très faibles. Consommations en eau, gaz et électricité et coût total par porc Les consommations sont exprimées en équivalent porc charcutier (Tableau 2). Pour les abattoirs traitant des truies, un coefficient de correction a été appliqué (une truie =1.8 porc charcutier). Concernant l abattoir A6, il n a pas été possible de déterminer la part due à la fabrication de produits de salaison (sauf pour l eau). Pour les consommations d eau, les écarts sont très importants variant de 255 à 569 litres/porc charcutier. La moyenne se situe à 355 litres/porc abattu et découpé. Les abattoirs de moins de 7 tonnes se caractérisent par des consommations d eau supérieures (41 litres pour les moins de 7 tonnes contre 263 litres pour les + 7 t). Les marges d économies en eau semblent importantes dans les abattoirs A4 à A8. Le coût de l eau varie de,56 à 1,35 /m 3 selon la localisation et la présence ou non de forages privés appartenant à l abattoir. Les abattoirs payant cher leur eau sont plus économes mais ce n est pas systématique. Un abattoir qui utilise davantage d eau consommera aussi plus d énergie pour traiter cette eau (pompes, filtration, brassage ) et le coût eau et traitement par porc sera supérieur. Les consommations de gaz varient dans un rapport de 1 à 4, soit de 8,2 à 35 kw /porc abattu et découpé. Des gains sont possibles en cette énergie fossile dont le coût devrait croître avec le temps. L abattoir A6 fabrique 3 5 tonnes de produits dont une partie est cuite ce qui peut expliquer l écart de consommation de gaz. Le coût du kwatt PCI de gaz varie du simple au double selon la forme, naturel ou propane, et le contrat d approvisionnement. Les abattoirs de A1 à A7 disposent de gaz naturel avec un coût de l ordre de,26 à,41 /kw PCI. Seul l abattoir A7 utilise du propane à un coût plus élevé (,58 /kw PCI). Il semble qu il soit utile de revoir les contrats régulièrement car d une année à l autre, le coût peu varier. La consommation électrique varie du simple au triple, soit de 8,6 à 29,9 kw /porc. Le pourcentage de porcs découpés et refroidis à 4 C, les process d abattage découpe utilisés (automatisation, convoyage, air comprimé ) et le tonnage congelé expliquent les variations. Il semble possible de faire des économies sur le poste électricité au vu de tels écarts. Au final, le coût en eau et énergie électrique ou gaz varie selon les abattoirs de 1,92 à 3,487 /porc abattu et découpé. Cette étude 29 confirme les écarts importants constatés en 28 entre 3 abattoirs. L élargissement de l échantillon à 8 abattoirs met en évidence un écart de 2,395 /porc ou 2,7 c /kg. Tableau 1 : Caractéristiques des abattoirs-découpes diagnostiqués -découpe (chiffres année 27*ou 28) A1* A2* A3 A4 A5* A6 A7 A8 Tonnage total abattu (porcs, truies, porcelets) Activité de congélation sur site (Tonnage/an) 15 Non *** Non traitant des truies Oui Non Oui Non Non Oui Oui Oui Tonnage de porc découpé/an ** 39 ** 79 Tonnage de produits de salaison sur site * A1 A2 A5 diagnostiqués en 27 ; ** abattoir découpant des carcasses en provenance d un autre abattoir ; ***activité de congélation avec compteur électrique séparé, prestation Tableau 2 : Niveaux de consommation et coûts en eau et énergie selon l entreprise -découpe (chiffres année 27 et/ou 28) A1* A2* A3 A4 A5* A6 A7 A8 Moyenne Consommation d eau en L par équivalent porc Prix de l eau /m 3 (hors assainissement) 1,25,659 ** ** 1,6,743 1,35** 1,9,56**,95 Consommation de gaz kw PCI/porc 13,65 8,23 16,9 14,17 2,2 34,96 21,5 16,32 18,24 Prix /kw PCI du gaz,26,31,41,35,28,34,31,58,36 Electricité en kw/porc 9,9 11,33 19,22 14,38 2,49 29,9 8,6 14,46 16,4 Prix /kw d électricité,42,67,53,57,65,56,56,58,57 PRIX TOTAL en (eau+énergie/porc) 1,92 1,194-1,637 2,174 3,487 1,52 2,73 1,882 * A1 A2 A5 diagnostiqués en 27 ; ** s disposant de forages 8 TechniPorc, Vol. 33, N 2, 21 - la revue technique de l IFIP

3 Par tranche de 1 porcs abattus/an, l écart maximum est proche de 24 selon les abattoirs. De tels écarts justifient un suivi régulier des consommations et permettent d envisager des investissements afin de réduire les coûts de fonctionnement et l impact carbone. Distribution des consommations par entreprise Distribution des consommations d eau Dans le tableau 3, sont représentées les consommations d eau par poste, renseignées à partir des comptages en place dans chaque entreprise. La première observation est la part importante d eau consommée non affectée par poste du fait de l absence de comptage régulier, de défaillance des compteurs en place, de la difficulté du comptage analytique par poste compte tenu du réseau de distribution (eau froide, mitigée ou chaude). Ces résultats sont des indications de consommation par poste difficilement extrapolables d une entreprise à l autre. Le graphique 1 illustre le pourcentage d eau consommée non affectée à des postes par rapport à la consommation totale de l entreprise. Il varie de 22 à 91. Certaines entreprises ne suivent pas régulièrement leur consommation d eau par poste et l enquête IFIP s est révélée difficile à conduire par manque de compteurs, de bilans réguliers ou de personnes relais disposant de temps pour collecter des données dans l entreprise. Une part incompressible d eau non affectable est inévitable mais il est possible de se donner comme objectif de la minimiser à 2. Le comptage par poste est un moyen de suivi régulier pour éviter les dérives de consommation dans le temps et il permet de fixer des objectifs de consommation d eau froide, mitigée ou chaude dans les entreprises. En tenant compte du tableau 3, on peut définir par ordre de priorité les postes de consommation d eau à mesurer à une fréquence définie par chaque entreprise : la consommation totale d eau en entrée du site d abattoir-découpe (compteur général de l eau du réseau + eau de forage) ; la quantité d eau sanitaire entrée ou sortie chaudière produisant l eau sanitaire à une température donnée (9, 6, 45 C ) ; la quantité d eau entrée ou sortie chaudière à production de vapeur ; les consommations en eau surpressée lors du lavage de l abattoir-découpe, voire des caddies (eau chaude et froide) ; les consommations en eau chaude, mitigée et froide sur la chaîne en cours d abattage (consommation totale, voire de certaines machines, bac d échaudage, épileuse, flagelleuse, brosseuse, réseau de stérilisation des couteaux à eau chaude ou froide ) ; les consommations en eau chaude, mitigée et froide en boyauderie (consommation totale ou par ligne, exemple de la file à menu ou à chaudin, de la parmentière lors du nettoyage des estomacs ) ; la quantité d eau froide au poste de lavage des bétaillères (eau du réseau ou recyclée) ; l eau utilisée au niveau des tours aéro-réfrigérantes du système de production de froid (obligation réglementaire) ; eau froide utilisée en porcherie (brumisation + abreuvement + nettoyage si réseau commun) ; eau chaude ou froide utilisée sur la plateforme de nettoyage-désinfection des camions frigorifi- 1 ques ; eau utilisée en station de traitement (froide ou chaude) ; autres utilisations d eau spécifiques à chaque entreprise (laveuse de bac, local sanitaire du personnel, ) Le recoupement 1 des informations entre eaux 8 potables consommées et eaux 6entrantes en station de traitement permet de vérifier que les 4 réseaux des eaux usées et de pluie 2 sont parfaitement séparés (compteur entrée station). Il est difficile d estimer avec précision la part totale de l eau utilisée pour le nettoyage des abattoirs. Au vu des postes de consommation d eau du tableau 3, on peut estimer, grâce aux entreprises les plus avancées dans le comptage analytique, que l eau froide, chaude ou mitigée de nettoyage des installations 1 en cours ou après abattage 8 représenterait de 5 à 7 66 des eaux utilisées. L observation 6 des pratiques de nettoyage mises 36 en œuvre 4 34 montre des voies de réduction 2 des 9 consommations d eau importantes (mode opératoire, pression, débit, utilisation de détergents ). Une part d eau recyclée peut être réutilisée pour le nettoyage des bétaillères (eau en sortie de station après traitement, eau des tours aéro-réfrigérantes). Des eaux de pluie des surfaces couvertes des abattoirs peuvent représenter jusqu à 5 des besoins en eau par porc. Cette eau orientée vers le nettoyage-désinfection Graphique 1: d eau non affecté à des postes de consommation selon l abattoir Consommation moyenne : Graphique 2 : de gaz non affecté à des postes de consommation selon l'a 9 1 dans 55le temps. Graphique 3 : d'électricité non affecté à des postes de consommation selo 83 Le comptage par poste est un moyen de suivi régulier pour éviter les dérives de consommation L eau froide, chaude ou mitigée de nettoyage 25 des installations en cours ou après abattage représenterait de 5 à 7 des eaux utilisées. de 5 jours d'activité par rapport à la semaine du week end (48 h) par rapport à la semaine 6 4 TechniPorc, Vol. 33, N 2, 21 - la revue technique de l IFIP 2 9

4 Tableau 3 : Répartition des consommations d eau par grand poste selon l abattoir (en litres/porc) -découpe/poste (chiffres année 27 et/ou 28) A1* A2* A3 A4 A5* A6 A7 A8 Moyennes Consommation Totale d eau en litres par (équivalent porc) Eau chaude et mitigée (9, 6 et 45 C) 5,5 12,1-123,2 168,8 143, ,1 2 - Lavage bétaillères 32,9 32,2-32,2 5,7 4, ,6 3 - Lavage camion Frigo 1,8 3, ,6 4 - Eau froide tours aéro-réfrigérantes 24, 9,6 38,1 17,3 46,5-2,2-26, 5 - Eau froide porcherie (brumisation+ abreuvement) 12, 4,1-8,7 7, ,1 6 - Eau froide station de traitement - 5,5-6, ,4-6,9 7- Eau froide sang - 1,9 -, ,4 8 -Eau froide ressuage humide 1,8 2, ,3 9 - Eau froide surpressée lavage abattoir 14, ,1 1 - Eau froide surpressée lavage découpe 5, , ,6 11- Eau chaude surpressée abattoir-découpe , , Eau froide surpressée lavage caddies 11, ,5 13 -Eau découpe ,7-23, Eau boyauderie (chaude et froide) , - 113, 15 - Eau froide surpressée boyauderie , , 16 - Eau froide boyauderie , , Eau chaude boyauderie ,5-34, , Eau ligne à menu ,5 48, Eau épileuse 6, ,1 2 - Eau stérilisateur à froid, , Laveuse bacs 1, ,5 Divers consommations non affectées (en litres) 92,8 93,9 223,9 68,8 152, ,7 52,5 - Divers consommations non affectées (en du total consommé) : Consommation d eau par poste non connue La production d eau chaude sanitaire et le flambage des porcs sont les deux grands postes de consommation de gaz dans les abattoirs. des bétaillères ou de la porcherie d abattoir après désinfection mériterait d être exploitée en cas de coût élevé de l eau potable. Le recyclage de l eau de la file à menu permet d économiser 7 à 8 d eau mitigée à 4-45 C. L eau chaude ou mitigée de l épileuse peut être filtrée puis circuler de nouveau dans l épileuse (la majorité des abattoirs sont équipés). L eau de refroidissement des rails au niveau du flambage peut être orientée vers une utilisation proche (la majorité des abattoirs sont équipés). La stérilisation à froid des couteaux (abattoir 1) limite considérablement les quantités d eau chaude sanitaire à + de 82 C qui coule au sol. Les fuites d eau sur le réseau visibles et enterrées ne sont pas à négliger. Lors de cette étude, la remise à plat des comptages d eau de certains abattoirs a permis de détecter des fuites d eau très visibles le week-end ou la nuit hors activité. Distribution des consommations de gaz La production d eau chaude sanitaire et le flambage des porcs sont les deux grands postes de consommation de gaz dans l ensemble des abattoirs (Tableau 4). L absence de compteur en place ne permet pas de disposer d une information pour tous les abattoirs mais cet échantillon a permis de montrer des écarts de 3,8 à 18,4 Kw de gaz utilisé par porc pour la production d eau chaude soit un écart de 1 à 5. Ces écarts peuvent s expliquer par la récupération d énergie des fumées des fours à flamber et des groupes froid pour préchauffer l eau sanitaire en cours d abattage associée à une consommation d eau chaude sanitaire réduite. Pour les fours à flamber, les consommations sont dépendantes des temps de réglage, du type et du nombre de brûleurs, voire de la construction du four (four à brique réfractaire emmagasinant des calories). La production de vapeur pour échauder les porcs, thermo-coaguler du sang, est une technique ayant un impact énergétique (4,3 kw/porc, abattoir 3). L abattoir 1 réalise de la cogénération en brûlant du gaz naturel et produit de l électricité pour EDF tout en récupérant de l éner- 1 TechniPorc, Vol. 33, N 2, 21 - la revue technique de l IFIP

5 gie sur les fumées de la cogénération pour préchauffer l eau sanitaire. De telles installations de cogénération pourraient valoriser de la biomasse renouvelable (bois, DIB, ) ou du biogaz issu de la méthanisation de déchets organiques. Quelques utilisations complémentaires du gaz (chauffage de l abattoir, des bureaux, lavage de bacs ) ont un faible impact. La consommation de gaz reste à préciser dans 5 abattoirs sur 8 (Graphique 2). Le faible nombre de postes utilisant du gaz doit inciter les entreprises à mettre en place un comptage afin de suivre les consommations et d envisager des optimisations en agissant sur : les températures de l eau sanitaire à atteindre ; l utilisation de matériels plus performants (chaudières à hauts rendements) ; un meilleur réglage du matériel (temps, entretien des brûleurs, efficacité ). Distribution des consommations d électricité Graphique 2 : de gaz non affecté à des postes de consommation Graphique selon 3 : l'abattoir d'électricité non affecté à des postes de conso A1, A2, A4, A6). En 29, elles ont bénéficié d enregistreurs électrique mis à disposition par l IFIP 15 jours à 3 semaines par entreprise et ainsi mesurer leurs consommations sur quelques postes Il en ressort des connaissances 87 des consommations 8 électriques par 66 poste 6 variables d une entreprise à l autre (Graphique 36 3) La production - distribution du froid 2 est le poste 9 le plus consommateur d électricité (tableau 5). Le ressuage positif des carcasses ou pièces de découpe est le poste le plus consommateur d électricité (5,85 kw/porc). Le second poste est le ressuage dynamique négatif de la carcasse (température négative lors du ressuage) soit 3,13 kw/porc Graphique 2 : de gaz non affecté à des postes de consommation selon l abattoir 15 du tonnage total abattu (2,12 kw/porc). Ne disposant pas des consommations électriques affectées à la Consommation moyenne : production de froid dans chaque entreprise, 1 le tableau 5 donne des indications 83 de consommation 8 électrique par porc abattu, refroidi et découpé 6 ou en fonction du tonnage congelé La station de traitement des eaux usées a 2 un impact sur la consommation globale (1,75 kw/porc). La taille et la conception de la chaîne d abattage (moteurs en place et niveaux d automatisation) semblent avoir un effet sur la consommation électrique à mesure que le tonnage abattu augmente (abattoir A2, A7 et A8). Des comp- Quelques entreprises ont mis en (mesure dans 1 entreprise) puis le tages ponctuels ou réguliers des Consommation moyenne : de 5 jours d'activité par rapport à la semaine place un comptage électrique troisième poste consommateur consommations électriques dans du week end (48 h) par rapport à la semaine depuis moins de 2 ans (abattoirs 1 est la congélation sur site de 1 à les entreprises seraient utiles. 8 Tableau 4 : Répartition des consommations de gaz selon l abattoir (en kwatt PCI/porc) La production / distribution du froid est le poste le plus consommateur d électricité. Les futurs investissements devront prendre en compte les consommations électriques des procédés. -découpe 6 (chiffres années 27 4 et/ou 28) A1* A2* A3 A4 A5* A6 A7 A8 Moyennes Consommation Totale de gaz (en Kwatt PCI/porc) 13,65 8,23 16,9 14,17 2,2 34,96 21,5 16,32 18, Chaudières eau chaude 5,41 3, ,22-18,35-9,94 2- Fours à flamber 1+2 A1 A2 A3 A4 A5 4,68 A6 4,44 A7 A ,7 3,43 3,15 7,36 4,46 3- Production de vapeur pour échaudage, thermo coagulation du sang, cuissons , ,28 4- Cogénération (production d électricité avec récupération de l énergie des fumées pour préchauffage de l eau sanitaire) 4, ,87 5- Chaudière stérilisation couteaux -, ,9 6- Chauffage personnel+abattoir+maintenance+bureaux,4, ,7 7- Chaudière plateforme lavage camion frigo -, ,4 8- Machine lavage Rolls -, ,2 Non affecté précisément (en Kwatts PCI) 16,9 14,17 31,53 8,96 - Non affecté précisément (en du total consommé) : consommation par poste non connue Graphique 3 : d électricité non affecté à des postes de consommation de gaz selon non affecté l abattoir à des postes de consommation Graphique 3 : d'électricité non affecté à des postes de consommation selon l'abattoir de 5 jours d'activité par rapport à la semaine du week end (48 h) par rapport à la semaine d'électricité non affecté à des postes de consommation TechniPorc, Vol. 33, N 2, 21 - la revue technique de l IFIP 11

6 d'eau non affecté à postes de consomma Les fuites d air sur les installations doivent faire l objet d audits ou de suivis réguliers. Les futurs investissements devront prendre en compte les consommations électriques des procédés, ce qui est rarement le cas jusqu à présent 25). Certains abattoirs arrêtent la compression d air le week-end ou ne laissent qu un seul compresseur d appoint correspondant aux besoins minimums sur cette pression, de la température de l eau, des douches, contrôle des fuites ). Priorité 2 : Salir moins de surfaces ou tapis, repenser la Graphique 2 : de période gaz non ou affecté la nuit. à des postes de consommation conception selon l'abattoir des installations à Cas particulier de laver et à désinfecter, revoir le la consommation électrique pour Priorités et techniques mode opératoire de nettoyage 12 la production d air comprimé 1disponibles pour réduire et désinfection des locaux, des les consommations d eau et machines et petits matériels, du Dans 7 entreprises, un 8 bilan a été énergie personnel, les matériels utilisés 55 réalisé sur les compresseurs 6 d air (pression, débit, CIP ). Travailler en place. Il est souvent 4mentionné Réduire sa consommation d eau en collaboration avec les équipes un niveau de consommation 2 électrique important et des fuites sur Selon nos observations dans production et les opérateurs car le de nettoyage, les responsables de les circuits d air. La consommation A1 A2 A3 8 A4 abattoirs, A5 A66 priorités A7 A8 et techniques poste nettoyage-désinfection est électrique nécessaire à la production à étudier par les entreprises très consommateur d eau chaude d air varie de 3 à 14 de la ont été recensées : et froide. de gaz non affecté à consommation électrique totale Priorité 1 : Mettre en place des Priorité 3 : Récupérer des postes de l énergie de de l abattoir (Tableau 6). Les compresseurs sont plus ou moins énergivores en électricité comptages ciblés et des relevés hebdomadaires ou journaliers. Afficher des indicateurs et objec- sur le liquide frigorigène consommation avant le refroidissement par les tours aéroréfrigérantes (2 abattoirs/8 (de 9 à 179 watts/m 3 d air à tifs pour le personnel. Les comp- disposent d une telle installation). Graphique 3 : d'électricité non affecté à des postes de consommation selon l'abattoir 6 bars). La mise en place de compresseurs tages doivent porter sur l eau Ceci limite l eau froide utilisée dans à variation électronique de vitesse permet de 1se situer entre entrée, l eau chaude, mitigée et 92 froide, 87 l eau de lavage 83des bétaillères, ces tours. Priorité 4 : Recycler l eau de le lavage en fin de tuerie et refroidissement des rails des 9 et 131 watts/m 3 8 à 6 bars. 66 La consommation des compresseurs en 2 jours durant 36le week- le poste boyauderie, les tours eau de nettoyage des balancel- en découpe (eau sur-pressée ), fours, eau chaude des épileuses, end représente en moyenne 2 aéroréfrigérantes, 25 la station de les des abats blancs, filtration et de la consommation 2 totale 9 sur traitement, la porcherie (abreuvement-brumisation-lavage), recyclage partiel d'électricité de l eau non à 42 C la de la file à menu en boyauderie, affecté à des postes 7 jours, soit autant d énergie en consommation plus à consommer pour produire chaîne d abattage (échaudage, recyclage de l eau de station pour de l air perdu. Les fuites d air sur épileuse, saignée, éviscération), le nettoyage-désinfection des les installations doivent faire l objet d audits ou de suivis réguliers (Graphique 4). Il semble que l on puisse avoir comme objectif de réduire ces fuites de 5-1 (BAT la découpe, le froid humide (cabines de brumisation), les locaux sanitaires (déclenchement automatique par cellule photoélectrique, réglage du débit et de la bétaillères après traitement de l eau Priorité 5 : Investir à l avenir dans des équipements utilisateurs de moins d eau - exemple : l échaudage par condensation Consommation moyenne : de 5 jours d'activité par rapport à la semaine vapeur, réduction par 1 de la 1 du week end (48 h) par rapport à la semaine consommation d eau - exemple : en Allemagne dans un abattoir 8 de 48 porcs/an, le passage 6 de l échaudage en bac classique (11 litres d eau/porc) à l échaudage vapeur (,7 litre d eau/porc), 4 2 BAT, 25. Priorité 6 : Etudier la possibilité d utiliser de l eau de forage privé et éventuellement récupérer des Graphique 4 : Part de la consommation en électricité eaux de pluie en toiture (option pour la pression d air (sur 5 jours d activité ou le week end) à faible potentiel : 2 à 5 de la en par rapport à la consommation totale sur 7 jours consommation de l abattoir). 12 TechniPorc, Vol. 33, N 2, 21 - la revue technique de l IFIP

7 Tableau 5 : Répartition des consommations d électricité par grand poste selon l abattoir (en Kwatt/porc) -découpe (chiffres année 27 et/ou 28) A1* A2* A3 A4 A5* A6 A7 A8 Moyennes Consommation Totale d électricité (en Kwatt/porc) 9,9 11,33 19,22 14,38 2,49 29,9 8,6 14,46 16,4 Production de froid et distribution 4,75 5,17 7,15 4,63 4,2 9,22 5,85 Production de froid congélation 2,75 1,5 2,12 Production de froid ressuage dynamique carcasse 3,13 3,13 Station de traitement des eaux 1,95 1,95 1,38 1,74 1,75 Ligne abattoir 2,21 1,5,57 1,76 Ligne découpe,23,23 Compression d air,48,45,74 1,72,88 1,22 1,73 1,3 Eclairage néons,57,57 Local pompe,45,45 Pompes lavage bétaillères,4,4 Surpresseur lavage abattoir-découpe,8,8 Quai d expédition,1,1 Armoire électrique à disposition camion frigo extérieur,7,7 Pompes de brumisation ressuage humide,8,8 Machine lavage bac,14,16,15 Boyauderie,12,12 Ligne boyauderie file à menus,5,5 Système collecte et refroidissement du sang,4,4 Moteurs épileuses,4,4 Anesthésie électrique* ou CO 2 **,14**,14 Autres consommations non affectées (en Kwatts) 3,53 1, 6,63 12,48 18,77 19,76 2,18 1,2 Autres consommations non affectées (en du total consommé) Case vide : consommation par poste non connue Tableau 6 : Consommations d électricité pour la compression d air, taux de fuite estimé selon l abattoir-découpe -découpe (chiffres année 27 et/ou 28) Consommation d électricité pour la production d air en Kwatt/porc A1* A2* A3 A4 A5* A6 A7 A8 Moyennes,48,45,74 1,72,88 1,22 1,73 1,3 Part de la consommation d électricité affectée à la compression d air selon l abattoir Consommation en Watts/m 3 d air comprimé à 6 bars de l installation de la consommation moyenne de 5 jours ouvrés sur 7 jours d une semaine de consommation du week-end hors activité sur la consommation de la semaine (bonne approche du taux de fuite de l installation) Case vide : non communiqué ou mesuré 4,8 4, 3,8 8,4 3 14, 9,3 6, , ,9 TechniPorc, Vol. 33, N 2, 21 - la revue technique de l IFIP 13

8 Selon nos observations dans les abattoirs, 25 priorités et techniques sont à étudier par les entreprises pour réduire la consommation d eau, de gaz et d électricité. Réduire la consommation de gaz Selon nos observations dans les abattoirs, 1 priorités et techniques sont à étudier par les entreprises : Priorité 1 : Mettre en place des comptages ciblés et des relevés hebdomadaires ou journaliers. Afficher des indicateurs et objectifs pour le personnel. Tout le personnel de l abattoir est concerné par la réduction des volumes d eau chaude sanitaire et indirectement de gaz. Priorité 2 : Optimiser le rendement des chaudières : viser 9 de rendement et +, et isoler la distribution d eau chaude. Priorité 3 : Préchauffer l eau sanitaire via des échangeurs de chaleur : au niveau des fours à flamber en collectant l énergie des fumées (Système Clayton ou FIMAT) ; sur le système froid ; la cogénération ; la compression d air ; étudier la mise en place de pompes à chaleur (STEP, air, sol ) Priorité 4 : Penser aux énergies renouvelables en substitution aux énergies fossiles (panneaux solaires, biomasse, graisses, géothermie, aérothermie, pompe à chaleur sur eaux usées en arrivée de station d épuration). Priorité 5 : Limiter les consommations d eau mitigées à tous les stades si possible (types de buse, déclenchement de l arrosage, sensibilisation du personnel ). Priorité 6 : Filtrer et réutiliser l énergie et l eau sanitaire des files à menus (gain potentiel de 7 à 8 d eau mitigée à 42 C). Priorité 7 : Etudier la possibilité de vidanger au préalable des chaudins à sec avant lavage ou orientation vers l équarrissage (rouleaux, cité dans BAT, 25). Priorité 8 : Optimiser les débits et pressions dès utilisation d eau chaude sanitaire (réducteurs, type de buse et orientation, suivi de l usure des buses ). Priorité 9 : Valider des méthodes alternatives de stérilisation à froid des couteaux sur la chaîne d abattage. Priorité 1 : Optimiser les temps de flambage (meilleure épilation préalable et brossage tout en maintenant une efficacité sur la réduction de la flore bactérienne) et l entretien des brûleurs. Réduire sa consommation d électricité Selon nos observations en abattoirs, 1 priorités et techniques sont à étudier par les entreprises : Priorité 1 : Mettre des comptages ciblés et des relevés hebdomadaires ou journaliers. Afficher des indicateurs et des objectifs pour le personnel. Priorité 2 : Calculer le COP de l installation froid avec son frigoriste (Coefficient Opérationnel de Performance ou rapport entre le froid produit / l énergie consommée), isoler, fermer les portes des chambres froides ou extérieures. Priorité 3 : Etudier la mise en place de nouvelles techniques de supervision des installations de froid proposées actuellement (Gestion Technique Centralisée, délestage, écrêtage, Exemple Global Economy, system SERIACO, MATAL, les gains escomptés annoncés par les fournisseurs peuvent être de 1 à 3 sur la facture électrique du froid ). Priorité 4 : Préchauffer l eau sanitaire via un échangeur placé avant les tours aéroréfrigérantes (économies d eau et d électricité car les pompes et ventilateurs des tours fonctionneront moins, réduction de la maintenance sur les tours ). Priorité 5 : Le froid négatif lors du ressuage des carcasses coûte cher par rapport à du froid positif. Un compromis reste à trouver entre surface au sol des frigos / objectifs bactériologiques / perte de poids des carcasses / coût du froid / qualité de la viande. Du point de vue consommation électrique (BAT 25, Allemagne), un froid choc négatif consommera 19 kwh/ tonne de carcasses (température variant de -28 à +8 C) contre une consommation de 1 kwh/tonne de carcasses pour un froid humide (-5 à 5 C). Ce point a été vérifié dans cette étude. Priorité 6 : Evaluer le coût et l efficacité du poste éclairage (nombre, qualité, positionnement, durée de vie et consommation, utilisation de la lumière naturelle ), durée d éclairage, commandes par partie d atelier Priorité 7 : Investir dans des moteurs plus performants (Variation Electronique de Vitesse ou VEV) sur compresseurs, pompes, ventilateurs des condenseurs, opter progressivement pour le renouvellement des moteurs électriques avec label EFF1. Priorité 8 : Auditer le poste compression d air (fuites, intérêt du VEV sur compresseur, auditer le système de séchage d air ). Priorité 9 : Analyser les consommations électriques durant 1 minutes (sous exploitées actuellement, heures de démarrage des machines en activité ou hors activité ). Priorité 1 : Réfléchir aux possibilités, dans l avenir, de production de sa propre électricité - photovoltaïque (la surface de couverture des bâtiments offre un potentiel intéressant mais limité par rapport aux besoins électriques), méthanisation couplée à la production d électricité, utilisation des graisses ). Conclusion Cette étude comparative des besoins en eau et énergie des 14 TechniPorc, Vol. 33, N 2, 21 - la revue technique de l IFIP

9 abattoirs-découpe met en évidence un niveau de consommation en eau de 355 litres/porc de 9 kg de carcasse, 18,24 Kwatts PCI de Gaz et 16,4 Kwatts d électricité. Elle laisse entrevoir des économies sur les consommations en eau et énergie plus ou moins significatives selon les entreprises. A l issue de cette étude, plusieurs solutions peuvent être envisagées pour une réduction du volume d eau : Recyclage de l eau chaude des files menus ou du lavage des balancelles, Utilisation de l eau des tours aéroréfrigérantes, Réutilisation de l eau sortie de station d épuration qui après traitement peut être réutilisée pour le lavage des bétaillères, Utilisation d eau de toiture, Limitation de la pression de l eau à certains postes, Modification des systèmes de stérilisation des couteaux et des types de buses de douchage et douchettes utilisées, Chasse aux fuites du réseau, Sensibilisation du personnel lors des opérations de nettoyage-désinfection, Contrôle continu sur site, qui nécessite des relevés fréquents et une supervision régulière par un responsable (manque de comptages dans les entreprises). Pour le gaz, 2 postes mobilisent une large part de la consommation totale : les fours à flamber et les chaudières de production d eau chaude sanitaire. La consommation de gaz des chaudières peut être réduite par la récupération des calories des fumées des fours à flamber pour préchauffer l eau sanitaire à 55-6 C. La récupération de l énergie des postes de compression des groupes froid permet de préchauffer l eau sanitaire et réduit la consommation d électricité et d eau des tours aéro-réfrigérantes. Des gains potentiels sont possibles en couplant la récupération de l énergie solaire pour chauffer l eau sanitaire (chauffe-eau solaire). Une part importante de l électricité est consommée pour la production et distribution du froid dans les frigos et les salles de travail, voire la congélation (31 à 64 de l électricité totale consommée). L analyse des enregistrements horodatés des puissances électriques sur une semaine dont le week-end, permet de détecter des fonctionnements anormaux. L analyse du poste de production d air comprimé révèle des fuites entre 7 à 29 au vu de la consommation d électricité hors activité du week-end comparée à celle de la semaine. La récupération de l énergie sur les tours de réfrigération ou de congélation pour préchauffer l eau sanitaire n est pas assez développée aujourd hui. Elle limite d autant la consommation d électricité des tours. Ces niveaux moyens de consommation en eau et énergie (gaz et électricité principalement) de cet échantillon de 8 abattoirs-découpes représentant 23 des porcs abattus et découpés en France avec une part de congélation sur site de 1 à 15 du tonnage abattu, sont autant d éléments qui pourraient être intégrés dans les calculs à venir sur l impact carbone du maillon abattage-découpe. L affichage environnemental des produits de consommation est effectivement programmé pour janvier 211. n Ces niveaux moyens de consommation en eau et énergie sont autant d éléments qui pourraient être intégrés dans les calculs à venir sur l impact carbone du maillon abattage-découpe. Contact : patrick.chevillon@ifip.asso.fr Abattage-découpe Economie des ressources Maîtrise des consommations d énergie et d eau en abattoir 21 octobre 21 Inscription et détail des formations sur ifip.asso.fr, rubrique «Formations & Prestation» TechniPorc, Vol. 33, N 2, 21 - la revue technique de l IFIP 15

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