Dessin: les conventions, normes, symboles et définitions

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1 Fonds de Formation professionnelle de la Construction L installateur sanitaire Dessin: les conventions, normes, symboles et définitions

2 L I N S T A L L A T E U R S A N I T A I R E DESSIN: LES CONVENTIONS, NORMES, SYMBOLES ET DÉFINITIONS CONCERNANT L INSTALLATEUR SANITAIRE FONDS DE FORMATION PROFESSIONNELLE DE LA CONSTRUCTION Rue Royale Bruxelles Tél.: (02) Fax: (02) info@fvbffc.be

3 AVANT-PROPOS L élargissement du champ d activités du Fonds de Formation professionnelle de la Construction au secteur du Parachèvement s est accompagné d un partage des responsabilités entre une série de groupes de travail : les «Sections FFC». La section «Installations sanitaires, Matériaux synthétiques et Gaz» avait décidé, au départ, de réaliser un manuel scolaire. Au cours de l évolution des travaux, ce manuel a pris plutôt la forme d un ouvrage de référence pour la formation. C est ainsi qu il ambitionne de toucher un public aussi large que possible : les élèves du secondaire, les adultes en formation, les formateurs et, en fi n de compte... les professionnels eux-mêmes. Afi n de faciliter la tâche du lecteur, nous avons subdivisé l ouvrage en différentes brochures d une quarantaine de pages chacune. Une farde spéciale de classement est disponible pour les personnes qui désirent se procurer plu sieurs brochures ou la série complète. Vous trouverez une présentation de l ensemble de la structure de l ouvrage au verso de la page de couverture. Nous espérons que cet ouvrage contribuera à rendre la formation plus homogène et sommes convain cus qu il permettra tant aux élèves qu aux adultes en formation de se familiariser agréablement avec les multiples facettes du métier d installateur sanitaire. Nous voudrions remercier ici tous les enseignants qui ont participé à la réalisation de ce travail de longue haleine ainsi que les fi rmes qui nous ont aidés à choisir les illustrations et à corriger certains textes. Nous voudrions mentionner tout spécialement Messieurs N. De Pue ( ) (ancien président de la F.B.I.C. - Fédération Nationale des Associations de Patrons Installateurs Sanitaires et de Chauffage au gaz, Plombiers, Zingueurs et Ardoisiers-Couvreurs de Belgique) et G. Wouters (président ho no rai re de la Verenigde Lood- en Zinkbewerkers, Antwerpen) qui ont contribué à ce projet et en ont rendu possible la réalisation. Nous vous souhaitons beaucoup de plaisir dans votre lecture. Stefaan Vanthourenhout, Président du FFC. Fonds de Formation professionnelle de la Construction, Bruxelles, Tous droits de reproduction, de traduction et d adaptation, par quelque procédé que ce soit, réservés pour tous les pays. D/2003/1698/12 2

4 TABLE DES MATIÈRES MODULE I DESSIN: CONVENTIONS, NORMES, SYMBOLES, DÉFINITIONS I.1. INTRODUCTION... 5 I.2. NORMES ET CONVENTIONS... 5 I.2.1. ISO... 5 I.2.2. CEN... 5 I.2.3. IBN... 6 I.2.4. CSTC... 6 I.3. MATÉRIEL DE DESSIN... 6 I.3.1. Planche à dessin... 6 I.3.2. Règle graduée... 7 I.3.3. Échelle de réduction... 7 I.3.4. Pistolets et normographes... 7 I.3.5. Rapporteurs, équerres et compas... 8 I.4. TYPES DE PAPIER À DESSIN... 8 I.4.1. Papier à dessin ordinaire... 8 I.4.2. Papier à dessin transparent... 8 I.4.3. Papier préimprimé... 9 I.4.4. Formats de papier... 9 I.5. LIGNES ET COTES I.5.1. Épaisseurs de trait I.5.2. Types de traits I.5.3. Composition de la cotation I.5.4. Types de cotes I.5.5. Cote de niveau I.5.6. Dimensions des conduites I.5.7. Hachures et motifs I.5.8. Cadres Cartouche Symboles ISO I.5.9. Échelles Défi nitions Indication Échelles préférentielles I Indication des pentes I.6. SECTIONS ET DÉTAILS I.6.1. But I.6.2. Définition

5 I.7. PLAN DE CONSTRUCTION I.7.1. Cartouche I.7.2. Plan de situation I.7.3. Plan d implantation I.7.4. Coupes I Coupe horizontale I Coupe verticale I Plan des façades I.8. PÉRIMÈTRES, SURFACES ET VOLUMES I.9. MÉTHODES DE PROJECTION I.9.1. Orientation géométrique I.9.2. Aperçu des méthodes de projection I.9.3. Projections orthogonales I Projection du premier dièdre I Système pour la projection du troisième dièdre I Vues I.9.4. Projections axonométriques I Introduction I Généralités I Axonométrie isométrique I Axonométrie dimétrique I Axonométrie oblique I Axonométrie cavalière I Axonométrie cabinet I.9.5. Projections centrales ou perspectives I Perspective naturelle I Perspective en plongée et contre-plongée I Perspective à un point de fuite I Perspective à deux points de fuite I.10. REPRÉSENTATION DES SYMBOLES SANITAIRES

6 I.1. INTRODUCTION Les modules I et II du cours L installateur sanitaire expliquent comment réaliser le plan d un bâtiment et comment l interpréter. Bien que le but des présents modules ne soit pas de faire de l installateur un dessinateur accompli, il n en reste pas moins qu un homme de métier compétent doit pouvoir exécuter dans la pratique un dessin technique. Le premier module aborde les notions générales et les symboles qui permettront à chacun de dessiner et de lire le plan d un bâtiment de la même façon. Le deuxième module est plus pratique et met en évidence les notions d isométrie et de lecture de plan. Il aborde également la façon de dessiner rapidement une esquisse et les possibilités offertes par les programmes informatiques actuels. I.2. NORMES ET CONVENTIONS Normes de dessin adaptées aux installations techniques: NBN ISO Dessins techniques - Installations - Partie 1: Symboles graphiques pour plomberie, chauffage, ventilation et canalisations (1992). NBN ISO Dessins de bâtiment et de génie civil - Installations - Partie 2: Représentation simplifi ée des appareils sanitaires (1992). NBN ISO Dessins techniques - Installations - Partie 6: Symboles graphiques pour systèmes d alimentation en eau et de drainage dans le sol (1992). EN ISO Dessins techniques - Représentation simplifiée des tuyaux et lignes de tuyauteries - Partie 1: Règles générales et représentation orthogonale (1995). ISO 1219 Fluid power systems and components - Graphic symbols and circuit diagrams (1995) ISO 5456: Méthodes de projection (1996) NBN : Chauffage central, ventilation et conditionnement d air - Symboles - Tuyauteries et accessoires. (1968) CSTC Rapport n 3: Symboles graphiques généraux pour la construction I.2.1. ISO Il s agit de l institut qui regroupe les institutions de normalisation du monde entier: ISO (International Organization for Standardization). Il est accessible directement sur internet via le serveur ISO: International Organization for Standardization I.2.2. CEN Les normes européennes sont regroupées au sein du CEN, le Comité Européen de Normalisation. Voyez également: 5

7 I.2.3. IBN Notre pays ainsi que les pays limitrophes possèdent également chacun leur propre institut. Belgique NBN Norme Belge - Belgische Norm Pays-Bas NEN Nederlandse Norm Allemagne DIN Deutsche Industrie Norm France NF Norme France Grande-Bretagne BS British Standard I.2.4. CSTC Le CSTC (Centre Scientifique et Technique de la Construction) a édité un rapport (CSTC Rapport n ) qui regroupe les symboles graphiques issus des directives et des conventions. Vous trouverez davantage d informations sur son site (Voir également le chapitre I.10 page 37.) I.3. MATÉRIEL DE DESSIN Afi n de réaliser un dessin digne de ce nom, il convient tout d abord d être équipé d un matériel de qualité. Le matériel de dessin sera toujours conservé en un état impeccable et sera traité avec soin. Les principaux instruments de dessin sont: I.3.1. PLANCHE À DESSIN Elle doit être d une surface suffisante pour accueillir la feuille de dessin (format A0, A1, A3 ou A4). Les principaux critères de qualité sont une belle surface lisse avec quatre côtés droits et perpendiculaires. Une tête réglable est parfois montée sur la latte, afin de permettre le tracé de lignes selon un certain angle. SOURCE: ROTRING 6

8 I.3.2. RÈGLE GRADUÉE La règle graduée est fabriquée en matière synthétique et possède une graduation noire. D un côté, la mesure peut être lue en millimètres et de l autre côté, un bord rehaussé pour le travail à l encre évite que des bavures ne viennent souiller le dessin. Pour faciliter la lecture, la graduation doit se trouver le plus près possible du dessin. SOURCE: ROTRING SOURCE: ROTRING I.3.3. ÉCHELLE DE RÉDUCTION L échelle de réduction peut se lire de six façons, correspondant à six échelles différentes. La graduation doit se trouver au plus près possible du dessin. Remarques L échelle de réduction n est utilisée que pour la mesure. L échelle de réduction est prévue pour plusieurs échelles. Par exemple: 1:1, 1:2, 1:5, 1:10, 1:20, 1:25, 1:50, 1:100, 2:1 L échelle la plus courante des plans de construction est 1:50 I.3.4. PISTOLETS ET NORMOGRAPHES SOURCE: ROTRING Ils sont réalisés en matière plastique transparente rigide. Ils présentent quatre supports sur leur face inférieure ou une nervure de renforcement le long de leurs grands côtés. SOURCE: ROTRING 7

9 I.3.5. RAPPORTEURS, ÉQUERRES ET COMPAS SOURCE: ROTRING SOURCE: STAEDTLER SOURCE: STAEDTLER I.4. TYPES DE PAPIER À DESSIN I.4.1. PAPIER À DESSIN ORDINAIRE Ce type de papier doit répondre aux exigences suivantes: surface blanche uniforme, exempte de nuances de couleur; structure égale, de préférence à grain fi n; stabilité dimensionnelle et résistance au froissement; épaisseur proportionnelle au format. Remarque Le poids du papier s exprime en grammes/m 2. Optez de préférence pour un papier à dessin de poids compris entre 120 et 200 grammes/m 2. Le papier présente habituellement une face lisse et une face rugueuse. Le dessin sera réalisé de préférence sur la face lisse. I.4.2. PAPIER À DESSIN TRANSPARENT Si l on prévoit de reproduire le dessin par un procédé de reprographie lumineuse, il est alors réalisé sur papier à dessin transparent, sur calque ou sur fi lm de polyester. Le calque est particulièrement sensible aux variations d humidité et se déchire aisément. Les corrections sur calque sont facilement apportées à l aide d une lame. Remarque A l heure actuelle, le fi lm de polyester remplace souvent le calque. 8

10 I.4.3. PAPIER PRÉIMPRIMÉ Il s agit d un papier à dessin préimprimé quadrillé. On le trouve tant sous forme de papier ordinaire que sous forme de papier transparent. Il en existe deux sortes: papier millimétré, papier isométrique. Le papier millimétré permet de dessiner rapidement un schéma à l échelle, sans nécessiter de règle ou de matériel de mesure. Il permet également d agrandir ou de réduire des détails constructifs, etc. Papier millimétré Papier isométrique I.4.4. FORMATS DE PAPIER Les plans de construction sont souvent réalisés sur format A0 ou A1 Les feuilles A4 sont utilisées pour les textes ainsi que pour les dessins de détails Format Dimensions Surface en mm en m 2 A0 841 x A1 594 x 841 0,5 A2 420 x 594 0,25 A3 297 x 420 0,125 A4 210 x 297 0,062 SOURCE: KVIV-ANTWERPEN 9

11 I.5. LIGNES ET COTES I.5.1. ÉPAISSEURS DE TRAIT On utilise trois épaisseurs de trait afi n de les distinguer clairement. Dénomination Épaisseur de trait Remarques I = fi n II = moyen III = gros épaisseur II = 2 x épaisseur I épaisseur III = 2 x épaisseur II Exemple: épaisseur I = 0,25 mm épaisseur II = 0,50 mm épaisseur III = 1 mm I.5.2. TYPES DE TRAITS Les types de traits ci-dessous sont utilisés en dessin manuel. Dénomination Epaisseur de trait Remarques Arêtes vues Pourtour de la section Arêtes cachées: arrière-plan avant-plan Lignes de cote, d attache, de hachures, de renvoi I II II III I ou II I Le dessinateur détermine l épaisseur, en fonction du contexte (dimensions, échelle ) Les arêtes situées à l arrière-plan (derrière une surface) sont représentées par des traits interrompus longs; celles situées à l avant-plan (entre la surface et l observateur) sont représentées par des traits interrompus plus courts. Limites de vues ou de coupes partielles Axes (p.ex. pièces communes) Axes de symétrie I I ou II Pièces d une certaine épaisseur Pièces linéaires 10

12 I.5.3. COMPOSITION DE LA COTATION Ligne d extrémité Ligne de cote Ligne d attache SOURCE: CSTC I.5.4. TYPES DE COTES Nous traiterons 3 types de cotes: Cotes partielles Ces dernières sont, avec les cotes totales, les plus utilisées dans le dessin technique appliqué à la construction. Le total de toutes les cotes partielles doit être égal à la cote totale. Cote totale Elle va de pair avec la chaîne de cotes et en représente la somme. Dans l exemple suivant, la somme de la chaîne de cotes est égale à la cote totale: =

13 Cote cumulative (cote absolue) L indication de dimension commence à la même origine et représente toujours la somme de toutes les précédentes. Elle est utilisée d ordinaire avant le début d une construction neuve et est indiquée manuellement. 12

14 I.5.5. COTE DE NIVEAU Cette cote est établie selon la norme ISO 129: 1985 SOURCE: CSTC I.5.6. DIMENSIONS DES CONDUITES Les dimensions des conduites représentées dans les dessins de détails (ou dans les commandes) sont toujours indiquées sur les axes (voir aussi chapitre I.10). I.5.7. HACHURES ET MOTIFS Hachures En dessin technique, une légende est, en fait, une explication verbale des symboles ou motifs utilisés. Il est ainsi possible d identifi er la matière dont est constituée une pièce. Cette légende doit, en principe, être reprise sur chaque dessin technique. Selon la norme enregistrée NBN - ISO 4069 nov Les hachures ne représentent pas un matériau, mais indiquent clairement la limite des différentes sections. Les hachures forment de préférence un angle de 45 avec le trait d extrémité ou l axe. Les sections sont toujours représentées en trait fort, les hachures en traits fins (voir dessin ci-dessous). SOURCE: SPIA-ANTWERPEN 13

15 Sur un plan de construction, les hachures et les motifs sont utilisés afin de représenter les différents matériaux apparaissant dans une coupe. I.5.8. CADRES I Cartouche Le cartouche est toujours placé en dessous à droite et contre le cadre. La mesure X dépend de: a) la largeur du cadre, b) du fait que la feuille soit perforée ou non. Mesure X Ligne gauche du cartouche (A4) Ligne droite du cartouche Echelle: 1:1 mm Titre École Ligne inférieure du cartou- Classe: Date: Dessiné: Vu: N d identifi cation: SOURCE: KVIV-ANTWERPEN I Symboles ISO Le symbole international est utilisé afi n d indiquer la méthode de projection retenue. Il représente un tronc de cône présenté en vue de face (le trapèze) et en vue de gauche (les deux cercles) qui est à droite de la vue de face. Ici, il s agit de la «méthode européenne». SOURCE: KVIV-ANTWERPEN 14

16 I.5.9. ÉCHELLES Les échelles sont normalisées selon la norme E Cette norme belge correspond aux normes internationales ISO et NF E I Définitions L échelle représente la proportion entre une dimension linéaire d un objet tel que représenté sur un projet et sa dimension réelle. La grandeur réelle est représentée par 1:1 Échelle d agrandissement X:1 (ex.: 2:1) Échelle de réduction 1:X (ex.: 1:10) I Indication L indication de l échelle utilisée sur le dessin doit fi gurer dans le cartouche du dessin. Dans le cas où plusieurs échelles sont utilisées dans un même dessin, l échelle générale doit être mentionnée dans le cartouche. Les autres échelles seront indiquées auprès des figures ou dessins concernés. I Échelles préférentielles Quelques exemples d échelles fréquemment utilisées: Échelle Application - Usage 2:1 Dessin de détails de petites pièces 1:1 1:2 1:5 1:20 Équipements sanitaires 1:50 Plans 1:100 Avant-projets 1:200 Plan d implantation 1:500 1:1000 Plan de situation, plan de lotissement, plan du cadastre 1:2000 1:6000 Plan de situation/plan communal 1: :

17 I INDICATION DES PENTES La fl èche pointe vers le point le plus haut du dessin, sauf quand l indication concerne une évacuation. En ce qui concerne les égouts, les toits plats, les plans de rues, etc. la fl èche est dirigée dans le sens de l écoulement de l eau. La pente est indiquée en degrés, en pourcentage ou par un rapport. On trouvera ci-dessous, à titre d information, un tableau des pourcentages de pente et des angles de pente correspondants. Il est ainsi aisé de lire immédiatement la correspondance entre pente et pourcentage. % et % et % et % et % et % et , , , , , , I.6. SECTIONS ET DÉTAILS Les instructions suivantes sont extraites des normes belges enregistrées NBN - ISO 2594 et NBN - ISO 8084 de nov I.6.1. BUT Il n est parfois pas suffisant de dessiner toutes les vues d un objet pour le représenter complètement. Il faut connaître la disposition des parties internes cachées de l objet afi n de le fabriquer. Si l on désire préciser un détail d une vue, il n est pas nécessaire d en dessiner une coupe complète. On préfère souvent en réaliser un dessin de détail. I.6.2. DÉFINITION Une coupe est le dessin d une partie invisible de la pièce, située à l intérieur et à l arrière du plan sécant. Les parties coupées sont hachurées. Les coupes sont généralement à la même échelle que les vues, au contraire des détails, le plus souvent agrandis. Remarque Dans le cas où seule la coupe est importante, il est permis de ne pas représenter les parties situées derrière le plan de coupe. La place de la coupe sur le dessin est, en principe, arbitraire. Dans la construction, on admet que les coupes horizontales se placent toujours dans le bas de la feuille de dessin, avec la vue de face dirigée vers le dessinateur. 16

18 17

19 I.7. PLAN DE CONSTRUCTION Composition du plan de construction I.7.1. CARTOUCHE L étude du plan commence par la lecture et la compréhension du cartouche. Le cartouche est une source d informations concernant le travail à exécuter. Les données que l on retrouve dans le cartouche sont: Province et commune Le cartouche nous renseigne sur la province et la commune dans lesquelles est située l habitation. Adresse du chantier (quartier et n ) L adresse exacte est mentionnée ici, ainsi qu éventuellement le n du lot dans le lotissement. Auteur (Architecte) Le nom de l architecte. Maître de l ouvrage (client) Le nom du propriétaire ou du client. Entrepreneur Le nom de la fi rme qui exécute les travaux. Date La date d exécution du dessin est indiquée ici. À première vue, cette mention ne semble pas être très importante, mais il est souvent utile de vérifier que l on travaille bien avec le plan le plus récent. Il arrive souvent, en effet, que des modifi cations soient apportées à un projet et que cellesci soient consignées sur un nouveau plan. Échelle Le rapport entre la dimension réelle et la dimension du plan. Les plans de construction sont souvent représentés à l échelle 1:50 (ou 1/50). Les dimensions sont exprimées en centimètres. En d autres mots, un cm sur le plan représente 50 cm en réalité. Légende (elle est parfois également dessinée sur le plan de construction) La légende est l énumération des matériaux les plus courants, complétée par leur représentation graphique ou symbolique, en tant qu exemple. Le plan de construction d une habitation est souvent constitué de plusieurs plans. Le cartouche indique donc leur numéro d identité et spécifie de quel plan partiel il s agit (p. ex.: plan de situation, plan d implantation, coupes, électricité, chauffage, etc.). 18

20 MAÎTRE DE L OUVRAGE: Monsieur et Madame Dutoit Rue des Sables 36 AUTEUR: Bureau d architecture Bouchat et associés Rue du Doudou MONS ENTREPRENEUR: Entreprises générales Martin Chaussée de Fleurus Fosses-la-Ville PROJET: CONSTRUCTION D UNE MAISON INDIVIDUELLE PROVINCE: HAINAUT COMMUNE: WARCHIN CHANTIER: RUE DES LOUPS 29 CADASTRE: D N 120b Mesures à vérifier par l entrepreneur de construction Dimensions en cm DESCRIPTION: SITUATION IMPLANTATION COUPE GRENIER TOITURE ÉCHELLES: 1:50, 1:100, 1:200, 1: PERMIS D URBANISME: ACCORD DE LA COMMUNE: Date: 16/02/ MB/PB/F/PU/bC

21 I.7.2. PLAN DE SITUATION Un plan de situation indique de manière claire de quelle parcelle il s agit dans un quartier donné. Il s agit donc d une carte sur laquelle sont représentées les différentes parcelles attenantes ainsi que les rues, de façon à établir clairement la situation de la parcelle concernée par rapport aux autres constructions. Le plan est souvent dessiné à l échelle 1:1000. Une donnée particulière du plan de situation est constituée par la rose des vents ou l indication de la direction du Nord. La fl èche pointe vers le Nord. ATTENTION Cette fl èche pointe vers le Nord. Si l on parle, par exemple, d un vent du Nord, cela voudra dire que le vent souffle de la direction opposée à celle de la fl èche. Cette donnée sera très importante pour le chauffagiste afi n de calculer les déperditions calorifi ques du bâtiment. 20

22 I.7.3. PLAN D IMPLANTATION Le plan d implantation est comparable au plan de situation. Il est cependant plus détaillé et rend compte de la situation aux abords immédiats de la parcelle concernée. On y trouvera, par exemple, le tracé de la rue ainsi que des différents équipements utilitaires tels que le téléphone, l électricité, les conduites d eau, de gaz et d égouts. L emplacement de la construction qui doit être érigée y apparaît clairement. Nous pourrons déjà déduire l orientation des différentes façades à l aide de la rose des vents (le plus souvent, une simple fl èche pointant vers le Nord). Plan d implantation 21

23 I.7.4. COUPES I Coupe horizontale Une coupe est une représentation des parties d une construction situées dans et derrière le plan de coupe. Le bâtiment est donc coupé en deux, après quoi, on ôte la partie supérieure. En regardant depuis le dessus de la construction, il devient possible d observer la disposition des pièces. Cette méthode des coupes horizontales est utilisée afi n de dessiner les différentes vues en plan, telles que la vue des fondations, du rez-de-chaussée et des différents étages. Les vues en plan de la construction sont réalisées en admettant que le plan sécant se situe à 1 m au-dessus du sol et à 10 cm au-dessus des seuils de fenêtre, même si ces fenêtres sont situées plus haut qu un mètre. L indication des coupes horizontales est souvent négligée dans les vues ou les plans des façades. Note: le réseau d égouttage est souvent représenté sur le plan des fondations. L emplacement des points d entrée des différents équipements utilitaires se retrouve également sur ce plan. I Coupe verticale La coupe verticale scinde la construction selon un plan vertical. L endroit où se situe le plan sécant est matérialisé par une ligne en trait mixte, épaissi à ses extrémités. La coupe est caractérisée à l aide de deux lettres majuscules, p.ex. A-A ou B-B. Le sens d observation est indiqué par de petites fl èches dirigées de façon à percer le plan sécant. La coupe verticale scinde donc l ensemble du bâtiment et l on considère de façon conventionnelle que la partie située entre l observateur (attention au sens d observation) et le plan sécant est ôtée. L échelle des coupes verticales est également indiquée sur le plan. I Plan des façades Un plan de chacune des façades de l immeuble est réalisé. C est ainsi que l on parlera par ex. du «côté rue» ou de la façade avant. La rose des vents peut également être utilisée pour caractériser les façades. On parlera, par exemple, de la façade Nord. C Façade Nord, côté rue Vu par: C Éch.: 1:200 22

24 A Rez-de-chaussée Vu par: A Éch.: 1:200 B Coupe A-A Vu par: B Éch.: 1:200 23

25 I.8. PÉRIMÈTRES, SURFACES ET VOLUMES PÉRIMÈTRES, SURFACES: Périmètre Surface CARRÉ Périmètre = 4 x a Surf. = a x a RECTANGLE Périmètre = 2 x (a+b) Surf. = a x b a x h TRIANGLE Périmètre = a+b+c Surf. = 2 (a+c) x h TRAPÈZE Périmètre = a+b+c+d Surf. = 2 PARALLÉLO- Périmètre = 2 x (a+b) Surf. = a x h GRAMME LOSANGE Périmètre = 4 x a Surf. = a x h CERCLE Périmètre = π x D Surf. = π x r 2 24

26 VOLUMES: Volume CUBE Surface x hauteur a x a x a PARALLÉLÉPIPÈDE Surface x hauteur a x b x c CYLINDRE Surface x hauteur π x r 2 x h 25

27 I.9. MÉTHODES DE PROJECTION L exposé suivant est basé pour la plus grande part sur la norme internationale ISO , 2 et 3: I.9.1. ORIENTATION GÉOMÉTRIQUE L orientation géométrique dans l espace est déterminée par les axes et plans de coordonnées ainsi que par un positionnement selon la règle de la main droite. Les axes de coordonnées Ce sont des lignes imaginaires dans l espace qui se croisent selon un angle droit (90 ) à l origine. L axe Z tourne autour de lui-même dans le sens contraire des aiguilles d une montre. Il existe 3 axes de coordonnées: X, Y et Z (voir figure ci-dessous), désignés à l aide d une lettre majuscule. Les plans de coordonnées Il s agit de trois plans imaginaires dans l espace, qui se coupent à angle droit. Chacun de ces plans est défi ni par deux axes de coordonnées et contient l origine. Ils sont désignés par les majuscules XY, YZ et XZ. YZ Axe Z Axe Y Axe X Plan de coordonnées Axe des coordonnées X Origine SOURCE: KVIV-ANTWERPEN 26

28 I.9.2. APERÇU DES MÉTHODES DE PROJECTION Plusieurs méthodes de projection peuvent être utilisées pour représenter un objet. La projection rectangulaire (ou orthogonale) est toujours appliquée pour les dessins techniques. Quatre méthodes de projection sont utilisées en dessin technique; deux d entre elles seront exposées ici. Les surfaces formées par le premier quadrant donnent la projection du premier dièdre. Si l on déplie ce dièdre de façon à obtenir une surface verticale, la vue de droite vient se placer à la gauche de la vue de face. Cette méthode de projection est utilisée en Europe et portait auparavant le nom de méthode de projection européenne. Les surfaces formées par le troisième quadrant, donnent la projection du troisième dièdre. Si l on déplie ce dièdre de façon à obtenir une surface verticale, la vue de droite vient se placer à la droite de la vue de face. Cette méthode de projection, qui est utilisée aux USA et au Canada, portait auparavant le nom de méthode de projection américaine. Les méthodes de projection sont défi nies par: le type de lignes de projection, parallèles ou convergentes ( con = ensemble, et vergere = se diriger vers. Convergence = rayons qui se rassemblent en un point). la position du plan de projection par rapport aux lignes de projection orthogonales ou obliques; la position de l objet (ses éléments principaux): situé parallèlement (orthogonalement) ou en oblique sur le plan de projection. Centre de Position de la Éléments Nombre Type Type projection surface de principaux de plans de vue de projection projection et de l objet par de des lignes rapport au plan projection de projection de projection Parallèles/ Un ou Bi- Orthogonale orthogonaux plus dimensionnelle (ISO ) Tri- Orthogonale Obliques Un dimensionnelle Parallèles/ Tri- A l infi ni orthogonaux Un dimensionnelle (lignes de Axonoprojection Tri- métrique parallèles) Oblique Obliques Un dimensionnelle (ISO ) A distance fi nie Oblique (lignes de projection Tri- Centrale convergentes) Obliques Un dimensionnelle (ISO ) 27

29 I.9.3. PROJECTIONS ORTHOGONALES I Projection du premier dièdre ISO 5456 de L objet est placé entre l observateur et le plan de projection. L image est reproduite sur le plan de projection. La position des différentes vues par rapport à la vue de face est déterminée par les plans de projection. Axe Z Axe Y Feuille de dessin Axe X SOURCE: KVIV-ANTWERPEN 28

30 I Système pour la projection du troisième dièdre Axe Z Axe Y Feuille de dessin Axe X SOURCE: KVIV-ANTWERPEN 29

31 I Vues Dans la plupart des cas, trois vues suffi sent pour dessiner un objet. Le nombre de vues nécessaires est cependant fonction de la complexité de l objet. Dénomination des vues Préférence Vue de face Vue de côté Vue de gauche Vue de droite Vue de dessus Vue de dessous Vue arrière Quelle projection choisir pour la vue de face? Nous choisirons toujours la projection qui représente au mieux l objet, celle qui révèle le plus d informations. Où indique-t-on la dénomination? La légende est placée juste en dessous de la vue ou de l objet concerné. Le texte débute contre le cadre gauche. La distance entre l objet et le texte est de 10 mm au minimum. Dans le cas où il existe des traits de cote, il est situé à 10 mm sous ces derniers. Au moins 10 mm Vue de face SOURCE: KVIV-ANTWERPEN 30

32 I.9.4. PROJECTIONS AXONOMÉTRIQUES I Introduction Les représentations axonométriques sont des représentations simples obtenues par la projection de l objet à caractériser sur un seul plan de projection (habituellement la surface du dessin) à partir d un point situé à l infi ni (centre de projection). Cette méthode de projection donne une image assez réaliste des vues observées à une certaine distance. Le résultat dépend de la forme de l objet et des positions relatives du centre de projection, du plan de projection et de l objet lui-même. Au sein des infi nies possibilités des représentations axonométriques, seules quelques-unes sont conseillées, entre autres: l axonométrie isométrique, l axonométrie dimétrique, l axonométrie oblique, selon la norme internationale ISO : I Généralités Position du système de coordonnées Celui-ci est choisi de manière conventionnelle, en admettant que l axe Z est toujours vertical. Contours et arêtes cachés Les contours et arêtes cachés sont de préférence omis. Hachures Les hachures dans une coupe présentent de préférence un angle de 45 par rapport à l axe ou aux contours de la coupe (voir fi gure). Cotes Dans la mesure du possible, les cotes sont évitées en représentation axonométrique. Si, pour des raisons particulières, ces dernières sont considérées comme nécessaires, les règles de cotation usuelles seront appliquées (voir fi gure). ISO 129 et ISO SOURCE: KVIV-ANTWERPEN 31

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