Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010"

Transcription

1 Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010 PROGRAMME DE FORMATION Dans le cadre du PROJET PAThB2010 Practical Approach for Thermal Bridges 2010 AVEC LE SOUTIEN DE Région de Bruxelles-Capitale Région flamande Région wallonne PARTENAIRES CSTC K.U.Leuven Sint-Lucas Architectuur Brussel- Gent UCL UGent ULg Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB PAThB2010 1

2 PROGRAMME DE FORMATION Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB 2 Qu est-ce constructif OPTION B: règles de PAThB2010 2

3 Qu est-ce : 2 FORMES DE NŒUDS CONSTRUCTIFS NŒUD CONSTRUCTIF LINEAIRE Endroit où 2 parois de la surface se rejoignent Endroit d une paroi de la surface où la couche isolante est interrompue ment NŒUD CONSTRUCTIF PONCTUEL Endroit d une paroi de la surface où la couche isolante est percée lement Que sont les parois de la surface de déperdition 4 MODULE Qu est-ce : 5 MODULE PAROI DE LA SURFACE DE DEPERDITION = Elément du bâtiment qui sépare le volume protégé et l extérieur le sol/une cave/un vide sanitaire un EANC Bâtiment voisin (ou autre volume K ou autre volume E d un même bâtiment) VOLUME PORTÉGÉ (ou volume K ou volume E d un même bâtiment) EAN C 3

4 Qu est-ce PAROI DE LA SURFACE DE DEPERDITION = Elément du bâtiment qui sépare le volume protégé et l extérieur le sol/une cave/un vide sanitaire un EANC : 6 MODULE Qu est-ce PAROI DE LA SURFACE DE DEPERDITION = Elément du bâtiment qui sépare le volume protégé et l extérieur le sol/une cave/un vide sanitaire un EANC : 7 MODULE 4

5 Qu est-ce PAROI DE LA SURFACE DE DEPERDITION = Elément du bâtiment qui sépare le volume protégé et l extérieur le sol/une cave/un vide sanitaire un EANC : 8 MODULE Qu est-ce PAROI DE LA SURFACE DE DEPERDITION = Elément du bâtiment qui sépare le volume protégé et l extérieur le sol/une cave/un vide sanitaire un EANC : 9 MODULE 5

6 Qu est-ce PAROI DE LA SURFACE DE DEPERDITION = Elément du bâtiment qui sépare le volume protégé et l extérieur le sol/une cave/un vide sanitaire un EANC : 10 MODULE Qu est-ce PAROI DE LA SURFACE DE DEPERDITION = Elément du bâtiment qui sépare le volume protégé et l extérieur le sol/une cave/un vide sanitaire un EANC : 11 MODULE 6

7 Qu est-ce PAROI DE LA SURFACE DE DEPERDITION = Elément du bâtiment qui sépare le volume protégé et l extérieur le sol/une cave/un vide sanitaire un EANC! Un mur MITOYEN ne fait pas partie de la surface! Idem pour les parois entre parties de volumes K ou E : 12 MODULE Qu est-ce : 13 MODULE PAROI DE LA SURFACE DE DEPERDITION = Elément du bâtiment qui sépare le volume protégé et l extérieur le sol/une cave/un vide sanitaire un EANC 2 parois de la surface sont distinctes lorsqu elles différent par l épaisseur des couches de matériaux, l ordre des couches de matériaux, les matériaux utilisés, l orientation, la pente, l environnement, ET/OU ne sont pas continues e U 1, U 1, A 1 A 2 i 7

8 Qu est-ce : 2 FORMES DE NOEUDS CONSTRUCTIFS NŒUD CONSTRUCTIF LINEAIRE Endroit où 2 parois de la surface se rejoignent Endroit où une surface rejoint une limite de la propriété voisine Endroit d une paroi de la surface où la couche isolante est interrompue ment NŒUD CONSTRUCTIF PONCTUEL Endroit d une paroi de la surface où la couche isolante est percée lement 14 MODULE Qu est-ce NOEUD CONSTRUCTIF LINEAIRE Endroit où 2 parois de la surface se rejoignent : 15 MODULE 8

9 Qu est-ce NOEUD CONSTRUCTIF LINEAIRE 9 Endroit où 2 parois de la surface se rejoignent APPUI DE FONDATION RACCORD DE FENÊTRE Option B: CHANGEMENT DE FAÇADE 16 ACROTÈRE Le raccord d un toit avec un pignon, aussi! MODULE Qu est-ce NOEUD CONSTRUCTIF LINEAIRE 9 Endroit où une séparation de la surface rejoint une séparation avec la limite de la propriété voisine Le raccord avec une paroi mitoyenne à une parcelle voisine, aussi! Idem pour le raccord entre deux volumes K ou unités PEB ou entre secteurs énergétiques Option B: pignon en Règles de attente 17 MODULE 9

10 Qu est-ce NOEUD CONSTRUCTIF LINEAIRE 9 Endroit où une séparation de la surface rejoint une séparation avec la limite de la propriété voisine Option B: 18 MODULE Qu est-ce NOEUD CONSTRUCTIF LINEAIRE Endroit d une paroi de la surface où la couche isolante est interrompue ment par un matériau avec une conductivité thermique PLUS ÉLEVÉE Option B: 19 MODULE 10

11 Qu est-ce NOEUD CONSTRUCTIF LINEAIRE Endroit d une paroi de la surface où la couche isolante est interrompue ment par un matériau avec une conductivité thermique PLUS ÉLEVÉE! Condition importante Si cette condition n est pas remplie Parois distinctes : a 0.40 m 20 MODULE 2 noeuds constructifs s! Qu est-ce de déperdition : 2 FORMES DE NŒUDS CONSTRUCTIFS NŒUD CONSTRUCTIF LINEAIRE Endroit où 2 parois de la surface se rejoignent Endroit où une séparation de la surface rejoint une séparation avec la limite de la propriété voisine Endroit d une paroi de la surface où la couche isolante est interrompue ment NŒUD CONSTRUCTIF PONCTUEL Endroit d une paroi de la surface où la couche isolante est percée lement 21 MODULE 11

12 Qu est-ce de déperdition : NOEUD CONSTRUCTIF PONCTUEL Endroit d une paroi de la surface où la couche isolante est percée lement par un matériau avec une conductivité thermique PLUS ELEVÉE + un grand nombre d exceptions (voir plus loin) 22 MODULE Qu est-ce de déperdition : 2 FORMES DE NŒUDS CONSTRUCTIFS NŒUD CONSTRUCTIF LINEAIRE Endroit où 2 parois de la surface se rejoignent Endroit où une séparation de la surface rejoint une séparation avec la limite de la propriété voisine (ou la limite d un autre secteur, d un autre volume K ou d un autre volume E) Endroit d une paroi de la surface où la couche isolante est interrompue ment NŒUD CONSTRUCTIF PONCTUEL Endroit d une paroi de la surface où la couche isolante est percée lement Tout aussi important: 23 MODULE qu est-ce qui n est pas un nœud 12

13 Qu est-ce de déperdition : Qu est-ce qui n est pas un nœud constructif Les interruptions propres à la paroi Les percements pour les canalisations L intersection de 2 ou 3 noeuds constructifs s Ce qui est en contact direct avec le sol Lorsque la couche isolante est continue! Les situations qui ne tombent pas sous la dénomination noeud constructif restent toutefois sous la responsabilité des concepteurs et constructeurs pour ce qui concerne la formation de condensation et de moisissures, etc. 24 MODULE Qu est-ce Ce qui n est pas un nœud constructif Interruption propre à la technique constructive Percement pour conduite Intersection de nœuds constructifs s Contact direct avec le sol Lorsque la couche isolante est continue INTERRUPTIONS PROPRES À LA TECHNIQUE CONSTRUCTIVE DE LA PAROI Leur influence DOIT être prise en compte dans la résistance thermique totale R ou le coefficient de transmission thermique U de la paroi! Les couches non-homogènes de matériaux : 25 MODULE 13

14 Qu est-ce Ce qui n est pas un nœud constructif Interruption propre à la technique constructive Percement pour conduite Intersection de nœuds constructifs s Contact direct avec le sol Lorsque la couche isolante est continue INTERRUPTIONS PROPRES À LA TECHNIQUE CONSTRUCTIVE DE LA PAROI Raccord entre vitrage (panneau), intercalaire et châssis de fenêtre Grilles de ventilation dans les fenêtres : 26 MODULE Qu est-ce INTERRUPTIONS PROPRES À LA TECHNIQUE CONSTRUCTIVE DE LA PAROI Crochets de maçonnerie Ce qui n est pas un nœud constructif Interruption propre à la technique constructive Percement pour conduite Intersection de nœuds constructifs s Contact direct avec le sol Lorsque la couche isolante est continue : 27 MODULE 14

15 Qu est-ce INTERRUPTIONS PROPRES À LA TECHNIQUE CONSTRUCTIVE DE LA PAROI Profil Z de fixation pour habillage de façade. Ce qui n est pas un nœud constructif Interruption propre à la technique constructive Percement pour conduite Intersection de nœuds constructifs s Contact direct avec le sol Lorsque la couche isolante est continue : 28 MODULE Qu est-ce Ce qui n est pas un nœud constructif Interruption propre à la technique constructive Percement pour conduite Intersection de nœuds constructifs s Contact direct avec le sol Lorsque la couche isolante est continue : 29 MODULE INTERRUPTIONS PROPRES À LA TECHNIQUE CONSTRUCTIVE DE LA PAROI RÉSUMÉ: Pertes par transmission 2D et 3 D Propres à une paroi et réparties sur sa surface Prises en compte dans la valeur U de la paroi elle-même Montants et traverses en bois Crochets de maçonnerie Intercalaires de vitrage Nœuds constructifs Concernés par l Annexe NC et pris en compte séparément par un supplément au niveau K Acrotères Appuis de fondation Raccords aux fenêtres 15

16 Qu est-ce Ce qui n est pas un nœud constructif Interruption propre à la technique constructive Percement pour conduite Intersection de nœuds constructifs s Contact direct avec le sol Lorsque la couche isolante est continue PERCEMENTS POUR LES CONDUITES! Uniquement les percements qui NE sont PAS dans le plan de la paroi Conduits de ventilation Gaines pour conduites (coude de passage pour raccordements ) : 30 MODULE Qu est-ce PERCEMENTS POUR LES CONDUITES Conduits de fumée Ce qui n est pas un nœud constructif Interruption propre à la technique constructive Percement pour conduite Intersection de nœuds constructifs s Contact direct avec le sol Lorsque la couche isolante est continue : 31 MODULE Evacuations d eau pluviale (pas dans le plan de façade) 16

17 Qu est-ce Ce qui n est pas un nœud constructif Interruption propre à la technique constructive Percement pour conduite Intersection de nœuds constructifs s Contact direct avec le sol Lorsque la couche isolante est continue : 32 MODULE INTERSECTION DE 2 OU 3 NŒUDS CONSTRUCTIFS LINÉAIRES N est pas considéré comme un Nœud constructif 1 Nœud constructif 3 Nœud constructif 2 Qu est-ce Ce qui n est pas un nœud constructif Interruption propre à la technique constructive Percement pour conduite Intersection de nœuds constructifs s Contact direct avec le sol Lorsque la couche isolante est continue : 33 MODULE INTERRUPTION dans une paroi EN CONTACT DIRECT AVEC LE SOL Interruption de la couche isolante par un mur intérieur posé sur un plancher sur sol Pieux de fondation qui soutiennent un plancher sur sol!! LE RACCORDEMENT entre 2 parois de la surface RESTE un noeud constructif, même s il est dans le sol, p.ex. un appui de fondation 17

18 Qu est-ce Ce qui n est pas un nœud constructif Interruption propre à la technique constructive Percement pour conduite Intersection de nœuds constructifs s Contact direct avec le sol Lorsque la couche isolante est continue LORSQUE LA COUCHE ISOLANTE EST CONTINUE N EST PAS un nœud constructif EST un nœud constructif : 34 MODULE Qu est-ce constructif OPTION B: règles de 18

19 Comment prendre en compte l influence des nœuds constructifs sur les pertes par transmission H T Qu est-ce qu un OPTION A Méthode o PEB- détaillée OPTION B Méthode des nœuds PEBconformes OPTION C Supplément forfaitaire Nœuds PEBconformes Nœuds PEB-non conformes (+ nœuds plus performants que les nœuds PEBconformes) Supplément variable aux niveaux K et E Supplément aux niveaux K et E correspondant à 3 points K + Supplément variable Supplément aux niveaux K et E correspondant à 10 points K 36 MODULE Qu est-ce qu un o PEB- Qu est-ce PEB-conforme Nœud PEB-conforme Il satisfait à une des RÈGLES DE ou Il satisfait à Ψ e Ψ e,lim 37 MODULE 1 Épaisseur de contact minimale des couches isolantes 2 Interposition d éléments isolants 3 Chemin de moindre résistance IMPORTANT: Le ne doit pas satisfaire aux deux conditions en même temps! 19

20 Qu est-ce qu un o PEB- Nœud PEB-conforme Il satisfait à une des RÈGLES DE ou Il satisfait à Ψ e Ψ e,lim 1 Épaisseur de contact minimale des couches isolantes 2 Interposition d éléments isolants 3 Chemin de moindre résistance 38 MODULE Qu est-ce qu un o PEB- RÈGLES DE pour qu un DÉTAIL soit à PONT THERMIQUE NÉGLIGEABLE BUT Simple et clair (pas trop de règles) Pas besoin de grands calculs Basé sur la raison Souple (application plus large que les ponts thermiques catalogués ) COUPURE THERMIQUE garantie = l essentiel La couche isolante doit être continue tout autour de l enveloppe du bâtiment 39 MODULE 20

21 Qu est-ce qu un o PEB- Nœud PEB-conforme Il satisfait à une des RÈGLES DE ou Il satisfait à Ψ e Ψ e,lim 1 Épaisseur de contact minimale des couches isolantes 2 Interposition d éléments isolants 3 Chemin de moindre résistance 40 MODULE Qu est-ce qu un Épaisseur de contact minimale des couches isolantes Les COUCHES ISOLANTES peuvent être en contact DIRECT o PEB- 41 MODULE ÉPAISSEUR DE CONTACT d contact 21

22 Qu est-ce qu un Épaisseur de contact minimale des couches isolantes Les COUCHES ISOLANTES peuvent être en contact DIRECT d contact Epaisseur de contact de la couche isolante, mesurée entre les faces froide et chaude o PEB- d 1 et d 2 Epaisseurs respectives de la couche isolante des deux parois qui se rejoignent 42 MODULE EXIGENCE d contact ½* min(d 1, d 2 ) Qu est-ce qu un 1 Épaisseur de contact minimale des couches isolantes - RÈGLES d 1 = 9 cmde d 1 = 12 cm o PEB- d contact 9/2 = 4,5 cm d 1 = 12 cm d contact 9/2 = 4,5 cm d 1 = 9 cm 43Brussel, MODULE 6 juli 2009 EXIGENCE d contact ½* min(d 1, d 2 ) 22

23 Qu est-ce qu un - RÈGLES Châssis DE sans coupure thermique o PEB- 1 Épaisseur de contact minimale des couches isolantes Dans le cas de CHÂSSIS de fenêtre et de porte: règle de 1 adaptée Châssis avec coupure thermique d contact ½* min(d 1, d 2 )! d 1 = ép. du cadre fixe du 44 MODULE châssis La couche isolante doit être en contact avec toute l épaisseur de la coupure thermique Qu est-ce qu un o PEB- Nœud PEB-conforme Il satisfait à une des RÈGLES DE ou Il satisfait à Ψ e Ψ e,lim 1 Épaisseur de contact minimale des couches isolantes 2 Interposition d éléments isolants 3 Chemin de moindre résistance 45 MODULE 23

24 2 Qu est-ce qu un Option B Interposition d éléments isolants Les couches isolantes ne peuvent pas être en contact DIRECT, mais des ÉLÉMENTS ISOLANTS sont intercalés de telle sorte que la coupure thermique est conservée o PEB- 46 MODULE Æ Les éléments isolants doivent répondre à 3 exigences pour que le détail soit un nœud PEBconforme 2 Qu est-ce qu un Option B Interposition d éléments isolants Æ Les éléments isolants doivent répondre à 3 exigences pour que le détail soit un nœud PEBconforme 1. λinsulating part est-il plus petit que λlimit La valeur R répond-elle à l exigence relative à la valeur R R 3. Les raccordements répondent-ils à l exigence relative à l épaisseur de contact o PEB- R1 R2 47 MODULE 24

25 2 Qu est-ce qu un Interposition d éléments isolants Option B Exigence relative à la valeur - RÈGLES DE λ ET λ 0,2W/mK Exigence relative à la valeur R ET Exigence relative à l épaisseur de contact dcontact,i ½ * min(dinsulating part, dx) R min (R1/2, R2/2, 2) λ doit 0,2 W/mK o PEB- Plusieurs matériaux avec λ 0,2 W/mK peuvent être considérés comme 1 élément isolant homogène! 48 MODULE 2 Qu est-ce qu un Interposition d éléments isolants Option B Exigence relative à la valeur - RÈGLES DE λ λ 0,2W/mK Satisfait à ψrlim 1 ET Exigence relative à la valeur R R min (R1/2, R2/2, 2) R R2 MODULE Exigence relative à l épaisseur de contact dcontact,i ½ * min(dinsulating part, dx) La résistance thermique R de chaque élément isolant ne peut pas être plus petite que la moitié de la plus petite des valeurs R1 et R2 o PEB- 49 ET R doit être mesuré PERPENDICULAIREMENT à la LIGNE DE COUPURE THERMIQUE LIGNE qui - relie 2 couches isolantes en passant à travers les éléments isolants - autant que possible // passe par la limite entre les couches isolantes et les éléments isolants 25

26 Qu est-ce qu un 2 Interposition d éléments isolants o = LIGNE PEB- DE COUPURE THERMIQUE i o PEB- e i 50 MODULE PASSE OBLIGATOIREMENT PAR LA COUPURE THERMIQUE DU CHÂSSIS! Qu est-ce qu un 2 Interposition d éléments isolants LIGNE DE COUPURE 1 THERMIQU 2 E 3 e o PEB- i 51 MODULE 26

27 2 Qu est-ce qu un Interposition d éléments isolants Option B Exigence relative à la valeur - RÈGLES DE λ ET λ 0,2W/mK Exigence relative à la valeur R ET Exigence relative à l épaisseur de contact dcontact,i ½ * min(dinsulating part, dx) R min (R1/2, R2/2, 2) EXEMPLE R - Satisfait à ψrlim 1 o PEB- R1 = 0,20 m / 0,027 W/mK = 7,41 m2k/w R2 = 0,15m / 0,027 W/mK = 5,56 m2k/w R plus grand ou égal à la moitié du plus petit R2 R 5,56/2 = 2,78 m2k/w Peut être limité à 2 m2k/w 52 MODULE 2 Qu est-ce qu un Interposition d éléments isolants Option B Exigence relative à la valeur - RÈGLES DE λ λ 0,2W/mK o PEB- 53 ET Exigence relative à la valeur R R min (R1/2, R2/2, 2) ET Exigence relative à l épaisseur de contact dcontact,i ½ * min(dinsulating part, dx) Analogue à la 1 raccordement i entre un CHAQUE élément isolant et une couche isolante, ou entre deux éléments isolants doit y satisfaire! MODULE 27

28 2 Qu est-ce qu un Interposition d éléments isolants Option B Exigence relative à la valeur - RÈGLES DE λ ET λ 0,2W/mK Exigence relative à la valeur R ET Exigence relative à l épaisseur de contact dcontact,i ½ * min(dinsulating part, dx) R min (R1/2, R2/2, 2) dinsulating part dcontact,1 o PEB- dx = d1 54 MODULE 2 Qu est-ce qu un Interposition d éléments isolants Option B Exigence relative à la valeur - RÈGLES DE λ λ 0,2W/mK d 3 ET Exigence relative à la valeur R ET Exigence relative à l épaisseur de contact dcontact,i ½ * min(dinsulating part, dx) R min (R1/2, R2/2, 2) insulating part dcontact,2 o PEB- dx = d2 55 MODULE 28

29 Qu est-ce qu un 2 Interposition d éléments isolants Exigence relative à la valeur λ o PEB- Exigence relative à l épaisseur de contact Exigence relative à la ET valeur R ET λ 0,2W/mK R min (R 1 /2, R 2 /2, 2) 1 2 Pour 3les châssis de FENÊTRE et de PORTE : la règle de 2 est adaptée d contact,i ½* min(d insulating part, d x ) 56 MODULE IDEM R min (R 1 /2 ; 1,5) U frame n intervient plus La limite supérieure est plus basse : 1.5 Analogue à la 1 Dans le cas d un châssis avec coupure thermique, la couche isolante doit être complètement en contact avec celle-ci Qu est-ce qu un o PEB- Nœud PEB-conforme Il satisfait à une des RÈGLES DE ou Il satisfait à Ψ e Ψ e,lim 1 Épaisseur de contact minimale des couches isolantes 2 Interposition d éléments isolants 3 Chemin de moindre résistance 57 MODULE 29

30 Qu est-ce qu un o PEB- 3 Chemin de moindre résistance Les couches isolantes ne peuvent pas être raccordées directement et la coupure thermique ne peut pas être continue. Un nombre très fréquent de détails constructifs ne pourraient alors pas être résolus à l aide des premières règles de, p.ex. un appui de fondation La règle de 3 fournit la possibilité de considérer un nœud PEB-conforme comme un nœud sans coupure thermique. 58 MODULE Qu est-ce qu un R 1 3 Chemin de moindre résistance Chemin de moindre résistance = le plus court trajet entre l environnement intérieur, et l environnement extérieur ou un EANC, et qui ne coupe jamais une couche d isolant ou un élément isolant dont R min (R 1,R 2 ) p.ex. débordement plancher + façade Interior p.ex. Appui de fondation R 1 Interior R 2 o PEB- Exterior R 2 Exterior Heat Idée de : la chaleur cherche le chemin le plus facile = PAS à travers 59l isolant MODULE = CHEMIN DE MOINDRE 30

31 Qu est-ce qu un p.ex. débordement plancher + façade R 1 Interior 3 Chemin de moindre résistance Chemin de moindre résistance = le plus court trajet entre l environnement intérieur, et l environnement extérieur ou un EANC, et qui ne coupe jamais une couche d isolant ou un élément isolant dont R min (R 1,R 2 ) p.ex. Appui de fondation R 1 Interior R 2 o PEB- Exterior R 2 Exterior Heat On mesure la longueur l 60 MODULE i du chemin de moindre résistance EXIGENCE La longueur l i 1 mètre Qu est-ce qu un R 1 Interieur 3 Chemin de moindre résistance Chemin de moindre résistance = le plus court trajet entre l environnement intérieur et l environnement extérieur ou un EANC qui ne coupe jamais une couche d isolant ou un élément isolant dont R min (R 1,R 2 ) p.ex. débordement plancher + façade p.ex. Appui de fondation R 1 Interieur R 2 o PEB- Exterieur Si l exigence n est pas satisfaite, une isolation avec R min 61 (R 1,R 2 MODULE ) doit être ajoutée pour augmenter la longueur! R 2 Exterieur Heat EXIGENCE La longueur l i 1 mètre 31

32 Qu est-ce qu un o PEB- Nœud PEB-conforme Il satisfait à une des RÈGLES DE ou Il satisfait à Ψ e Ψ e,lim 1 Épaisseur de contact minimale des couches isolantes 2 Interposition d éléments isolants 3 Chemin de moindre résistance 62 MODULE Qu est-ce qu un o PEB- Nœud PEB-conforme Il satisfait à une des RÈGLES DE ou Il satisfait à Ψ e Ψ e,lim 1 Épaisseur de contact minimale des couches isolantes 2 Interposition d éléments isolants 3 Chemin de moindre résistance 63 MODULE 32

33 Qu est-ce qu un o PEB- VALEURS LIMITES Ψ e 1. ANGLE SORTANT (1)(2) 2 murs Autres angles sortants Ψ e,lim W / m K 0.00 W / m K 2. ANGLE RENTRANT (3) 0.15 W / m K 3. RACCORDS aux FENÊTRES et aux PORTES 0.10 W / m K 4. APPUI DE FONDATION 0.05 W / m K 5. BALCONS - AUVENTS 0.10 W / m K 6. RACCORDS DE PAROIS d un même volume protégé 0.05 W / m K ou 2 VOLUMES PROTÉGÉS DIFFÉRENTS avec une PAROI DE LA SURFACE DE DÉPERDITION 7. TOUS LES NŒUDS QUI N'ENTRENT PAS dans les 0.00 W / m K catégories 1 à 6 (1)A l exception d appui de fondation (2) Pour un "angle sortant", 180 < α < 360. (3) Pour un "angle rentrant", 0 < α < MODULE Qu est-ce qu un Comment démontrer que Ψ e Ψ e,lim Toujours suivant un CALCUL NUMÉRIQUE VALIDÉ (EN ISO 10211) Repris dans un arrêté ministériel Calcul personnel Fourni par le fabricant Détail extrait d une banque de données Attention, uniquement faire référence à un Ψ e extrait d une de données ou o PEB-une autre source n est généralement pas suffisant - si le détail est COMPLÈTEMENT identique dimensions et λ au détail précalculé, alors aucun calcul complémentaire n est nécessaire - s il n est pas complètement identique, alors une adaptation et un nouveau calcul est indispensable! 65 MODULE 33

34 Qu est-ce qu un Comment démontrer que Ψ e Ψ e,lim Quels programmes de calcul peuvent être utilisés dans le cadre de la PEB Tout programme de calcul qui répond aux exigences de l Annexe A de la norme NBN EN ISO 10211:2008 peut être considéré comme une high precision method. Exemple de programme de calcul : KOBRA o PEB- 66 MODULE Qu est-ce qu un Gratuit : peut être téléchargé depuis www. cstc.be/go/kobra Facile à utiliser (période courte d apprentissage) o PEB- KOBRA Consulter le mode d emploi (qui est également installé) Limitation : tout noeud orthogonal peut être modélisé, selon des typologies prédéfinies par exemple : il n est pas possible de modéliser le noeud d une toiture incliné avec une façade les épaisseurs de couches, les valeurs λ et les hypothèses préalables peuvent être adaptées On peut utiliser KOBRA lorsque la typologie de construction du projet se retouve dans la banque de données 67 MODULE 34

35 Qu est-ce qu un o PEB- KOBRA : s de données 2 s de données sont disponibles : EUROKOBRA : ~3000 typologies Koudebrug-IDEE : 125 détails génériques de ponts thermiques À noter : la plupart des (variations de) détails satisfont généralement une des 3 règles de s, de sorte qu ils peuvent être considérés comme des noeuds PEB-conformes : la simulation numérique n est désormais plus nécessaire pour le prouver Toutes les suggestions de solutions (également pour les noeuds non orthogonaux) peuvent être consultées sur les pages web du projet Koudebrug-IDEE : ==> Koudebrug-IDEE details 68 MODULE Qu est-ce qu un Copie d écran 1 de KOBRA o PEB- 69 MODULE PAThB

36 Qu est-ce qu un Copie d écran 2 de KOBRA o PEB- 70 MODULE PAThB2010 Qu est-ce qu un Exemple de page web de Koudebrug-IDEE o PEB- 71 MODULE ==> Koudebrug-IDEE details ==>... 36

37 Comment prendre en compte l influence des nœuds constructifs sur les pertes par transmission H T Qu est-ce qu un Méthode détaillée o PEB- OPTION A Supplément variable aux niveaux K et E 72 MODULE OPTION B Méthode des nœuds PEBconformes Nœuds PEBconformes Supplément aux niveaux K et E correspondant à 3 points K + Nœuds PEB-non conformes (+ nœuds plus performants que les nœuds PEBconformes) Supplément variable OPTION C Supplément forfaitaire Supplément aux niveaux K et E correspondant à 10 points K Qu est-ce qu un Nœuds qui ne sont pas PEB-conformes Déterminer les valeurs ψ ou χ valeur par défaut valeur calculée Calculer les longueurs et nombres! o PEB- 73 MODULE 37

38 Comment prendre en compte l influence des nœuds constructifs sur les pertes par transmission H T Qu est-ce qu un o PEB- OPTION A Méthode détaillée Supplément variable aux niveaux K et E 74 MODULE OPTION B Méthode des nœuds PEBconformes Nœuds PEBconformes Supplément aux niveaux K et E correspondant à 3 points K + Nœuds PEB-non conformes (+ nœuds plus performants que les nœuds PEBconformes) Supplément variable OPTION C Supplément forfaitaire Supplément aux niveaux K et E correspondant à 10 points K 38

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s) Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS

Plus en détail

ISOLER LA TOITURE INCLINÉE

ISOLER LA TOITURE INCLINÉE Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS D ÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LA TOITURE INCLINÉE

Plus en détail

Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments

Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Thème Pourquoi isoler? Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Les indications, illustrations, informations

Plus en détail

ISOLER LES MURS PAR L EXTÉRIEUR

ISOLER LES MURS PAR L EXTÉRIEUR Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS DÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LES MURS PAR

Plus en détail

Que nous enseigne la base de données PAE?

Que nous enseigne la base de données PAE? Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu

Plus en détail

Compétences Bois. inclinées en rénovation

Compétences Bois. inclinées en rénovation 4 Compétences Isolation des toitures inclinées en rénovation Bois Sommaire 1. Les risques d humidité 2. Notions générales pour isoler une toiture 3. Cas de figures proposés dans le cadre de Compétences

Plus en détail

L isolation thermique des bâtiments en Région de Bruxelles-Capitale

L isolation thermique des bâtiments en Région de Bruxelles-Capitale L isolation thermique des bâtiments en Région de Bruxelles-Capitale L isolation thermique des bâtiments en Région de Bruxelles-Capitale Editeurs responsables: E. Schamp et J.-P. Hannequart Institut bruxellois

Plus en détail

Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation

Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation menée avec ARCHIWIZARD Contexte de l étude Mr et Mme LE LOUSTIC viennent d acquérir une maison se situant à Hennebont (56). Peu de travaux

Plus en détail

Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment

Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment La certification énergétique de votre habitation se déroulera en 2 étapes : 1) la visite de votre habitation et le relevé de ses caractéristiques ;

Plus en détail

Maison Modèle BIG BOX Altersmith

Maison Modèle BIG BOX Altersmith Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.

Plus en détail

MONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort

MONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort MONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort www.monier.be MONIER systèmes d isolation de toiture à l extérieur Savez-vous que

Plus en détail

Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m²

Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m² Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m² Cahier de charge NON définitif. Adaptations possibles selon l arrivée de nouveaux matériaux bois ou la mise en œuvre de techniques

Plus en détail

isolons mieux. Parlons peu Multimax 30 Les solutions gain de place pour toute la maison L isolation de toute la maison

isolons mieux. Parlons peu Multimax 30 Les solutions gain de place pour toute la maison L isolation de toute la maison Parlons peu isolons mieux. Multimax 0 Les solutions gain de place pour toute la maison L isolation de toute la maison En rénovation, Multimax 0 permet d optimiser efficacité thermique et espace habitable

Plus en détail

Formation Bâtiment Durable :

Formation Bâtiment Durable : Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et

Plus en détail

CERTIFICAT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE

CERTIFICAT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE Rue Knapen 11 100 SCHAERBEEK Superficie brute: 242 m² 1 Performance énergétique du bâtiment Très économe

Plus en détail

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale

Plus en détail

Vu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ;

Vu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ; Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones. (B.O. n 2739 du 28-4-1965,

Plus en détail

Comment optimiser la performance énergétique de son logement?

Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies

Plus en détail

LE RÉSULTAT DU CERTIFICAT PEB Pour le résidentiel

LE RÉSULTAT DU CERTIFICAT PEB Pour le résidentiel LE RÉSULTAT DU CERTIFICAT PEB Pour le résidentiel 1. A QUOI CORRESPOND LA LETTRE (A,B G) SUR MON CERTIFICAT PEB? La lettre correspond à une consommation théorique qui se base sur les caractéristiques propres

Plus en détail

Bâtiments bois à basse consommation d énergie. L étanchéité à l air. Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois

Bâtiments bois à basse consommation d énergie. L étanchéité à l air. Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois Objectifs Performance thermique Pérennité du bâtiment Performance acoustique Protection incendie Santé Confort d été Confort ressenti

Plus en détail

LA RENOVATION ENERGETIQUE. atelier o

LA RENOVATION ENERGETIQUE. atelier o LA RENOVATION ENERGETIQUE LA RENOVATION ENERGETIQUE 1. DIAGNOSTIC Pourquoi rénover? Que faut-il rénover? Comment s y prendre? 2. SOLUTIONS Remplacement du chauffage Capteurs solaires Isolation de l enveloppe

Plus en détail

(B.O. n 2739 du 28-4-1965, page 489) LE PREMIER MINISTRE,

(B.O. n 2739 du 28-4-1965, page 489) LE PREMIER MINISTRE, DECRET N 2-64-445 DU 21 CHAABANE 1384 (26 DECEMBRE 1964) DEFINISSANT LES ZONES D HABITAT ECONOMIQUE ET APPROUVANT LE REGLEMENT GENERAL DE CONSTRUCTION APPLIABLE A CES ZONES (B.O. n 2739 du 28-4-1965, page

Plus en détail

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air

Plus en détail

Guide d utilisation. Partie VIII - Module DPE

Guide d utilisation. Partie VIII - Module DPE Guide d utilisation Partie VIII - Module DPE Sommaire 1 OBJET DU DIAGNOSTIC... 4 1.1 Préambule... 4 1.2 Définitions... 5 1.3 Applications... 6 1.3.1 Définition... 6 1.3.2 Index des types de DPE... 6 1.3.3

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1

TABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 LA VENTILATION DES COUVERTURES 01-01-1998 TABLE DES MATIÈRES Page 1- Historique... 1 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 3- Recommandations et investigations avant réfection... 3 4-

Plus en détail

Cours de Structures en béton

Cours de Structures en béton Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2 1. CLASSEMENT ET GENERALITES : 1.1. Classement Sont classées dans la 3ème famille les habitations collectives dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol

Plus en détail

Les étapes d un dossier MOB dans l entreprise

Les étapes d un dossier MOB dans l entreprise Les étapes d un dossier MOB dans l entreprise 1 Les étapes d un dossier MOB au bureau d études: 1. La réalisation du devis 2. Passage en commande du dossier 3. La demande d éléments 4. Le plan d implantation

Plus en détail

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE , ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.

Plus en détail

Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA

Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Cet Audit de l existant a été effectué suite à la visite du 17/02/2014. Il prend en considération tous les points ayant un rattachement à la thermique

Plus en détail

Conseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w

Conseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w Conseils techniques Pour bénéficier du «Micro crédit régional 0 % Energie verte en Poitou-Charentes», le programme impose l utilisation de matériaux répondant à des niveaux de performances minimales. Pour

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4

Plus en détail

PROTECTIONS COLLECTIVES

PROTECTIONS COLLECTIVES PROTECTIONS COLLECTIVES SOMMAIRE PROTECTIONS COLLECTIVES DE RIVES ET TOITURES presse rapide et ses consoles, protections avec poteaux, protection de rive par traversée de mur 3 CONSOLES POUR PLANCHERS

Plus en détail

Guide des autorisations d urbanisme

Guide des autorisations d urbanisme Guide des autorisations d urbanisme de Service Urbanisme Villenoy 2014 TABLE DES MATIERES QUEL DOSSIER DEPOSER POUR MON PROJET?... 2 QUELQUES NOTIONS POUR BIEN DEMARRER.... 2 MON PROJET EST-IL SOUMIS A

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée

ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS Entreprise certifiée PEFC/10-31-2030 PROMOUVOIR LA GESTION DURABLE DE LA FORÊT UNE ISOLATION

Plus en détail

en rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre

en rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre Qualifications et certifications RGE en rénovation Les qualifications et certifications RGE éligibles pour vos travaux de rénovation énergétique en métropole Le recours a un professionnel RGE est obligatoire

Plus en détail

De La Terre Au Soleil

De La Terre Au Soleil De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,

Plus en détail

Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007

Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007 Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière

Plus en détail

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009 Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter concernant la part maximale

Plus en détail

habitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre

habitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre Comprendre RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Mise à jour le 15 juin 2015 Près de 40 000 professionnels qualifiés RGE en métropole Les propriétaires, locataires,

Plus en détail

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY

Plus en détail

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception

Plus en détail

Protocole de certification de la PEB des unités tertiaires «bureaux et services» en Région de Bruxelles-Capitale

Protocole de certification de la PEB des unités tertiaires «bureaux et services» en Région de Bruxelles-Capitale Protocole de certification de la PEB des unités tertiaires «bureaux et services» en Région de Bruxelles-Capitale Protocole certification PEB bureaux > 500 m² 1/180 V 1.1.1 juin 2013 CHAPITRE I - CADRE

Plus en détail

IMMEUBLES COLLECTIFS DE LOGEMENTS CONSTRUITS ENTRE 1949 ET 1974

IMMEUBLES COLLECTIFS DE LOGEMENTS CONSTRUITS ENTRE 1949 ET 1974 DÉPARTEMENT ÉNERGIE SANTÉ ENVIRONNEMENT Division Energie Pôle Performance Energétique des bâtiments DÉPARTEMENT ECONOMIE ET SCIENCES HUMAINES Laboratoire Services Process Innovations ESE/DE/PEB-12.039RR

Plus en détail

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un

Plus en détail

PDS (Plaque de Distance de Sécurité)

PDS (Plaque de Distance de Sécurité) PDS (Plaque de Distance de Sécurité) La plaque de distance de sécurité est prévue pour respecter la distance règlementaire entre le conduit et son environnement direct. Elle peut être utilisée pour toutes

Plus en détail

DESCRIPTIF DE VENTE. LES BUISSONNETS rue de l'eglise 36 - Rixensart

DESCRIPTIF DE VENTE. LES BUISSONNETS rue de l'eglise 36 - Rixensart DESCRIPTIF DE VENTE LES BUISSONNETS rue de l'eglise 36 - Rixensart La société Osmosis Development S.A. vous propose une résidence de charme de 4 logements neufs :! A côté du Château de Rixensart! Construction

Plus en détail

Maison QUATRE FAçades

Maison QUATRE FAçades Maison QUATRE FAçades Bruxelles Lieu : Woluwé-Saint-Lambert Typologie : Maison quatre façades DATE DE CONSTRUCTION : 1945-1946 DATE DE RENOVATION : 2008 -... Surface chauffee : 147 m² BESOIN DE CHAUFFAGE

Plus en détail

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL 1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers

Plus en détail

CREATION D UN GROUPE SCOLAIRE

CREATION D UN GROUPE SCOLAIRE S.I.C.A. HABITAT RURAL DE LA SAVOIE 40, rue du Terraillet 73190 SAINT BALDOPH Tél. 04 79 33 06 94 Fax 04 79 85 69 92 E-mail : info@sica-hr.com Dossier 1918-2011 SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE ST OFFENGE CREATION

Plus en détail

Cycle de Formation-débat pour travailleurs sociaux

Cycle de Formation-débat pour travailleurs sociaux Cycle de Formation-débat pour travailleurs sociaux Module de perfectionnement 04 Document de travail Caroline GRéGOIRE Aides financières, primes et financement Tr@me scrl Objectifs Présenter les aides

Plus en détail

PRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES

PRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES PRÉGYMÉTALTM Mise en œuvre Caractéristiques techniques pages 90 à 9 PRINCIPES DE POSE A POINTS SINGULIERS 7 A 0 ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES TRAÇAGE ET POSE DES RAILS CONTRE-CLOISONS

Plus en détail

Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE

Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE À jour au 1 er janvier 2015 Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE Nature des dépenses Matériaux d isolation thermique des parois vitrées Matériaux d isolation thermique

Plus en détail

Communauté de Communes des 4B Sud-Charente

Communauté de Communes des 4B Sud-Charente Communauté de Communes des 4B Sud-Charente Suivi-animation du PIG Intervention auprès des artisans 10 décembre 2013 SOMMAIRE 1. Qui est URBANiS et quel est son rôle? 2. Qu est-ce qu un PIG? 3. Les types

Plus en détail

L HABITAT. Technologie 5ème

L HABITAT. Technologie 5ème L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,

Plus en détail

PLOMBIERS CHAUFFAGISTES ECO ARTISAN

PLOMBIERS CHAUFFAGISTES ECO ARTISAN PLOMBIERS CHAUFFAGISTES Le monde change, votre métier aussi. Aujourd hui vos clients n ont qu un mot à la bouche : ECONOMIES D ENERGIE. Écoutez-les! Pour la performance environnementale et économique de

Plus en détail

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE

Plus en détail

ANNEXE 2 L ACOUSTIQUE

ANNEXE 2 L ACOUSTIQUE ANNEXE 2 L ACOUSTIQUE LE BRUIT DÉFINITION Niveaux de l ambiance sonore résultant des activités Bruit admissible et confort à l intérieur L ISOLATION ACOUSTIQUE L INDICE D AFFAIBLISSEMENT ACOUSTIQUE PONDÉRÉ

Plus en détail

Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97)

Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail

N 5 SUPERSTRUCTURE. Enveloppe Seconde œuvre. Arezou MONSHIZADE MOBat

N 5 SUPERSTRUCTURE. Enveloppe Seconde œuvre. Arezou MONSHIZADE MOBat N 5 SUPERSTRUCTURE Enveloppe Seconde œuvre Arezou MONSHIZADE MOBat SUPERSTRUCTURE: Eléments constructifs SUPERSTRUCTURE Murs et baies Plancher Toiture Couverture +Seconde oeuvre INFRASTRUCTURE Sol Semelles

Plus en détail

Contenu de la présentation Programme 28.10.2010

Contenu de la présentation Programme 28.10.2010 Fire Safety Day 2010 28 octobre 2010 - Leuven Note d information technique NIT 238 L application de systèmes de peinture intumescente sur structures en acier Source: Leighs Paints ir. Y. Martin CSTC/WTCB

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire

Plus en détail

MACONNERIE/GROS OEUVRE

MACONNERIE/GROS OEUVRE GIDE AVANT METRE MACONNERIE/GROS OEVRE MET 2 ORDRE D EXECTION Infrastructure Maçonnerie soubassement : murs, poteaux, poutres, chaînages, enduit d étanchéité, escaliers Maçonnerie superstructure : Dallage

Plus en détail

26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale.

26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale. Pièces constitutives d une charpente Charpente traditionnelle Structure principale Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire 2 1 5 4 3 1 - Panne 2 - Panne faitière 3 - Sablière 4 - Chevron

Plus en détail

NOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES

NOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES NOUVELLES RÈGLES SOMMAIRES POUR LE STOCKAGE DES PRODUITS PÉTROLIERS Depuis septembre 2006, suivant le décret de Juillet 2004 STOCKAGE AU REZ-DE-CHAUSSEE OU EN SOUS-SOL D'UN BATIMENT Les réservoirs et équipements

Plus en détail

F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B

F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B Fiche d interprétation et / ou complément aux référentiels Qualitel et Habitat & Environnement Objet : Rubrique AI Acoustique Intérieure Rubrique TH Niveau de consommation d

Plus en détail

«Grâce à BELFOR, la fuite a été immédiatement localisée. Des résultats certifiés. et le dégât des eaux évité» Des prestations associées

«Grâce à BELFOR, la fuite a été immédiatement localisée. Des résultats certifiés. et le dégât des eaux évité» Des prestations associées INSTALLATIONS TECHNIQUES DANS LA MAISON Conduites d eau froide et d eau chaude Conduites de chauffage/ chauffage au sol Conduites d eaux usées Inspection de cavités Problèmes de condensation Moisissure

Plus en détail

CONNAISSANCE DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL ET URBAIN RAPPORT DE PRÉSENTATION

CONNAISSANCE DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL ET URBAIN RAPPORT DE PRÉSENTATION ARCHITECTURAL ET URBAIN ZPPAUP Montpellier Gambetta Clemenceau Figuerolles Rapport de présentation Juillet 2006 Page 73 Zone de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager SECTEUR GAMBETTA

Plus en détail

Sommaire. La nouvelle norme NBN S 01-400-1. Critères acoustiques pour les immeubles d habitation. 2 e édition (janvier 2008)

Sommaire. La nouvelle norme NBN S 01-400-1. Critères acoustiques pour les immeubles d habitation. 2 e édition (janvier 2008) La nouvelle norme NBN S 01-400-1 Critères s pour les immeubles d habitation Supplément à CSTC-Contact N 13 1 er trimestre 2007 CENTRE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE DE LA CONSTRUCTION Sommaire La nouvelle norme

Plus en détail

REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE DE LA REALISATION D UN PROJET D HABITATION PASSIVE

REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE DE LA REALISATION D UN PROJET D HABITATION PASSIVE REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE DE LA REALISATION D UN PROJET D HABITATION PASSIVE Evolution et phases de la réalisation d une habitation en ossature bois et en écoconstruction. Qu est-ce qu une maison passive?

Plus en détail

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT: Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les panneaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,

Plus en détail

Les règles d or de la. con struction écologique. Rénover l habitat. écologique économique climatiquement. en énergie sain durable

Les règles d or de la. con struction écologique. Rénover l habitat. écologique économique climatiquement. en énergie sain durable Les règles d or de la con struction écologique Rénover l habitat écologique économique climatiquement neutre peu gourmand en énergie sain durable Le Centre suisse d études pour la rationalisation de la

Plus en détail

Zone Industrielle. Kehlen... 1

Zone Industrielle. Kehlen... 1 Zone Industrielle Kehlen VALERES Konstruktioun SA 1 L o c a l i s a t i o n Le terrain se situe dans la zone industrielle de et à 8287 Kehlen Parcelle no 2946/5744 lot 1 La superficie du terrain sur lequel

Plus en détail

GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES

GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES 1 INTRODUCTION AU PRODUIT 3 QUALITE PROFILS 4 CARACTERISTIQUES TECHNIQUES 9 TABLEAU DE PRE-DIMENSIONNEMENT 10 2 INTRODUCTION AU PRODUIT DESCRIPTION Les

Plus en détail

Coulissant. Confort 160 : le coulissant très grandes dimensions. Sapa Building System

Coulissant. Confort 160 : le coulissant très grandes dimensions. Sapa Building System Coulissant Confort 160 : le coulissant très grandes dimensions Sapa Building System Confort 160 : le coulissant très grandes dimensions Avec un design judicieusement élaboré, Confort 160 est un système

Plus en détail

Vfoyers centraux chauffent

Vfoyers centraux chauffent Fiche technique - Série 9000 LES FOYERS isibles depuis tous les coins de la maison, nos Vfoyers centraux chauffent jusqu'à 1500 pi. car. sans besoin de ventilateurs électriques. Ils dégagent une douce

Plus en détail

N Objet Montant Plafond

N Objet Montant Plafond PRIME ÉNERGIE B5 TOITURE VERTE (décision du 14 juillet 2011 du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale d approbation du programme triennal d utilisation rationnelle de l électricité et du gaz au

Plus en détail

Arrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR :

Arrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement Arrêté du XXXX relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : La ministre

Plus en détail

Vade-mecum Règles Pratiques

Vade-mecum Règles Pratiques Vade-mecum Règles Pratiques En matière de sécurité incendie conformément à la réglementation belge Arrêté royal (normes de base 994-997 - 2003-2007 - 2009) Et nouvelles annexes, 2, 3, 4 et 6 approuvées

Plus en détail

Soumise à l effet du vent, à la différence

Soumise à l effet du vent, à la différence CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux

Plus en détail

Construire. Statique. Styled by Smou. SEMA France SARL: 50, avenue d Alsace F-68027 Colmar Tél. +49-8304-939-0 Fax +49-8304-939-240

Construire. Statique. Styled by Smou. SEMA France SARL: 50, avenue d Alsace F-68027 Colmar Tél. +49-8304-939-0 Fax +49-8304-939-240 Construire Statique Styled by Smou SEMA France SARL: 50, avenue d Alsace F-68027 Colmar Tél. +49-8304-939-0 Fax +49-8304-939-240 Manuel d'application - Calcul statique -- Ferme et pannes à devers Page

Plus en détail

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido. Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but

Plus en détail

Isoler son logement. Pour réduire les dépenses d énergie et améliorer le confort d un logement existant

Isoler son logement. Pour réduire les dépenses d énergie et améliorer le confort d un logement existant Isoler son logement Pour réduire les dépenses d énergie et améliorer le confort d un logement existant Édition : juillet 2015 sommaire glossaire introduction De nombreuses raisons d isoler votre maison....

Plus en détail

SERVICES INDUSTRIELS. Bienvenue

SERVICES INDUSTRIELS. Bienvenue Bienvenue Directive G1 Directives SIN Le gaz à Nyon Rénovation But de la présentation : La «nouvelle»g1 Les changements principaux, (non exhaustifs) Donner des pistes pour appliquer ces nouvelles prescriptions

Plus en détail

Objet : Evaluation des audits PAE réalisés en Région wallonne

Objet : Evaluation des audits PAE réalisés en Région wallonne Madame, Monsieur, Objet : Evaluation des audits PAE réalisés en Région wallonne Depuis plusieurs années, les trois Régions et l'etat fédéral ont travaillé au développement d'une procédure commune visant

Plus en détail

Bilan thermique et social simplifié

Bilan thermique et social simplifié Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement 34 Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 32 quai de Rouen 59 100 ROUBAIX Informations

Plus en détail

Systèmes de ventilation double flux CWL

Systèmes de ventilation double flux CWL Economie d énergie et respect de l environnement de série Systèmes de ventilation double flux CWL CWL 180 : jusqu à 180 m 3 /h CWL 300 : jusqu à 300 m 3 /h avec ou sans bypass CWL 400 : jusqu à 400 m 3

Plus en détail

Un bâti en tuffeau pour aujourd hui

Un bâti en tuffeau pour aujourd hui P a r c naturel régional Loire-Anjou-Touraine Les fiches techniques du Parc Patrimoine bâti Un bâti en tuffeau pour aujourd hui Réhabilitation d une ancienne grange en gîte touristique Localisation : Gîte

Plus en détail

CONSOLIDATION OFFICIEUSE

CONSOLIDATION OFFICIEUSE 30 AOÛT 2007. Arrêté du Gouvernement wallon déterminant les critères minimaux de salubrité, les critères de surpeuplement et portant les définitions visées à l article 1 er, 19 à 22 bis, du Code wallon

Plus en détail

SANDWICH CHEVRONNÉ Détails de mise en œuvre

SANDWICH CHEVRONNÉ Détails de mise en œuvre SANDWICH CHEVRONNÉ Un système de toiture Détail de toiture avec ferme Poinçon Entrait retroussé Échantignolle Panne faîtière Semelle Panne intermédiaire Arbalétrier 2 Détail de toiture avec mur de refend

Plus en détail

Les bonnes pratiques de l isolation. Guide de l étanchéité à l air des combles perdus ou aménagés

Les bonnes pratiques de l isolation. Guide de l étanchéité à l air des combles perdus ou aménagés Les bonnes pratiques de l isolation Guide de l étanchéité à l air des combles perdus ou aménagés Une bonne Une bonne isolation La recherche de la performance énergétique du niveau de la basse consommation

Plus en détail

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique

Plus en détail

OFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593

OFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593 Etudes & Contrôles thermiques 38, avenue du Midi - 91760 ITTEVILLE Tél. : 01 69 90 86 10 - Fax : 01 69 90 91 59 Adresse postale: BP 70017-91610- BALLANCOURT E-mail : bet.ecic@wanadoo.fr - Site : www.bet-ecic.fr

Plus en détail

Bilan thermique et social simplifié

Bilan thermique et social simplifié Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 72 rue de Rome 59 100 Roubaix Informations

Plus en détail

Rt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats

Rt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats 6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.

Plus en détail

Système multicouche raccords à sertir et tubes

Système multicouche raccords à sertir et tubes Système multicouche raccords à sertir et tubes 4BONNES RAISONS DE CHOISIR LES SOLUTIONS 4GAMMES COMPLÉMENTAIRES 1 L EFFICACITÉ : pour répondre à toutes les configurations Avec les solutions multiconnect,

Plus en détail