UNIVERSITÉ,ÉGLISE,CULTURE
|
|
- Vivien Delorme
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Fédération Internationale des Universités Catholiques Centre de Coordination de la Recherche UNIVERSITÉ,ÉGLISE,CULTURE L Université Catholique au Moyen-Âge Actes du 4 ème Symposium Katholieke Universiteit Leuven mai
2 2
3 Centre de Coordination de la Recherche de la FIUC 21, rue d Assas, Paris Cedex 06, France Le Centre de Coordination de la Recherche P r M gr Guy-Réal Thivierge Directeur Soc. Pedro Nel Medina Varón Coordinateur scientifique M. Damien Deneuville Assistant de Recherche Mlle Montserrat Alom Bartrolí Responsable de projets
4 ISBN : Traitement de Texte M. Loïc Roche Relecture M. Loïc Roche Composition M. Loïc ROCHE Le contenu de cette publication est de la responsabilité exclusive des auteurs et n engage pas celle de la FIUC
5 CONTENTS INDICE SOMMAIRE Avant Propos Pr Pierre Hurtubise, o.m.i. page 7 Discours inaugural Pr Jacques Verger page 13 Profectus discipuli, gloria magistri L enseignement du droit canonique au Moyen-Âge Pr Laurent Mayali page 35 Les débuts du Livre de Sentences de Pierre Lombard comme manuel de théologie à l Université de Paris Pr Claire Angotti page 57 Le conflit entre séculiers et mendiants à l'université de Paris dans les années 1250 : une affaire de pouvoir? Pr Jacques Verger page 125 Charters as sources for the history of the foundation of the University of Leuven, Prof. Marc Nelissen page 141 The Universities and the Great Councils in the 15 th Century. Theology and Canon Law and the effects of Learning in the Crisis of the Late Medieval Church Prof. Juergen Miethke page 161 5
6 Commenter Aristote au XV e siècle Typologie de quelques commentaires parisiens des années Pr Paul Bakker page 187 Frère Thomas d Aquin, universitaire Pr Adriano Oliva, o.p. page 233 Ramon Llull y los Studia linguarum Prof. Ignasi Roviró Alemany page 269 Les matricules universitaires et le statut des Clercs à l université médiévale et seiziémiste Pr Hilde De Ridder-Symoens page 321 The Monastic Orders at the Medieval University of Paris: a Prosopographical Analysis Prof. Thomas Sullivan, o.s.b. page 345 La vie religieuse des universitaires parisiens au Moyen-Âge Pr Nathalie Gorochov page 377 6
7 Avant-Propos Pr Pierre Hurtubise, o.m.i Université Saint-Paul, Ottawa, Canada Les textes contenus dans le présent volume forment les Actes du symposium tenu à Leuven du 11 au 14 mai 2005 dans le cadre du projet : Université, Église, Culture mis sur pied il y a une dizaine d années par le Centre de coordination de la recherche de la FIUC, projet portant sur l histoire de l université catholique depuis ses débuts jusqu à nos jours. Ce symposium était de fait le dernier d une série de quatre, les trois premiers ayant eu lieu à Ottawa (1999), Paris (2001) et Mexico (2003). Dans la logique du plan adopté au départ, à savoir : partir de la situation présente pour remonter ensuite dans le temps, il avait été décidé que ledit symposium se fixerait comme horizon la période médiévale, c est-à-dire celle qui, à partir du XII e siècle, avait vu prendre forme l institution qui allait s appeler par la suite : université. Période relativement mieux connue que certaines plus récentes en raison du nombre considérable de travaux, et de travaux de qualité publiés depuis les cinquante dernières années surtout par plus d un spécialiste en la matière dont certains - et non des moindres - présents au symposium de Leuven et dont on trouvera plus loin les contributions. Qu on nous permette de signaler tout particulièrement ici celle du professeur Jacques Verger paraissant en tête d ouvrage et qui brosse de main de maître un tableau d ensemble de ce qu était l université médiévale dans ses rapports avec l Église, la société et la culture du temps, tableau qui permet de mieux situer les diverses facettes de la réalité universitaire dont il sera question dans le présent volume. 7
8 Ayant opté, comme cela avait été le cas à Paris et Mexico, pour une approche plutôt thématique, les organisateurs du symposium de Leuven avaient choisi de privilégier les quatre axes suivants : 1) l université, lieu d élaboration et de transmission des savoirs; 2) l université, lieu d affrontement des pouvoirs; 3) l université, lieu de rencontre des cultures et finalement 4) l université, institution d Église. Le premier axe regroupe deux contributions portant sur l enseignement de la théologie et du droit canonique. Claire Angotti montre à partir de l examen systématique d une riche série de manuscrits conservés à la Bibliothèque Nationale de France comment le Livre des Sentences de Pierre Lombard a fini par s imposer au XIII e siècle comme manuel d enseignement, à Paris tout d abord, puis dans l ensemble du réseau universitaire européen. Le professeur Laurent Mayali, pour sa part, s intéresse à l enseignement du droit canonique, discipline qui à l époque attirait grand nombre d étudiants aspirant à une carrière d Église à la hauteur de leurs ambitions. Il illustre à partir de l exemple d un certain nombre de maîtres, commentateurs des Décrétales, mais surtout de Gratien qui était au droit canonique ce que Pierre Lombard était à la théologie, comment étaient formés les canonistes du temps et comment surtout leurs maîtres visaient à leur transmettre, au-delà d un certain nombre de connaissances et de règles techniques indispensables, une vision de la société chrétienne inspirée de la scientia canonica. Le deuxième axe est composé de trois exposés illustrant, chacun, un aspect ou l autre des tensions que l université vit à la même époque aussi bien à l interne qu à l externe. Jacques Verger jette un regard neuf sur le conflit opposant séculiers et réguliers à l Université de Paris au milieu du XIII e siècle. Il montre en particulier qu au-delà des rivalités traditionnelles existant entre ces deux groupes, l enjeu majeur en était peut-être un de pouvoir, de pouvoir incarné par le pape, d une part, le roi, de l autre, tous deux estimant avoir autorité sur l Université. Marc Nelissen s intéresse, quant à lui, aux rapports 8
9 existant entre l Université de Louvain et le Saint-Siège au XV e siècle, rapports vus à travers toute une série de documents pontificaux relatifs à la fondation de l Université par le pape Martin V en On y constate que ces rapports sont plus complexes qu il n y paraît au premier abord et que surtout ils impliquent toute une série d intermédiaires intéressés représentant les autorités aussi bien laïques qu ecclésiastiques de Louvain. Élargissant la perspective, le professeur Miethke montre à travers l exemple des grands conciles du XV e siècle (Pise, Constance, Bâle), à quel point universités et universitaires pouvaient en temps de crise faire la démonstration de l utilité «politique» et «sociale» de leur savoir et, par le fait même, convaincre les autorités civiles et religieuses dont lesdites universités dépendaient de l importance du rôle d experts et de conseillers que leurs professeurs étaient à même de jouer auprès d elles. L auteur se demande par ailleurs si la multiplication des universités à partir de la fin du XIV e siècle ne serait pas le résultat de cette prise de conscience de la part des autorités en question. Le troisième axe portant sur la rencontre des cultures et des savoirs met en scène trois personnages ayant eu, mais de façon fort différente, un impact sur l évolution de l université à l époque. Le professeur Paul Bakker s intéresse à l influence d Aristote sur l enseignement de la philosophie, notamment à l Université de Paris, mais pour une période jusqu ici peu étudiée : le XV e siècle. À travers quatre commentaires datant des années , il fait voir les liens rattachant leurs auteurs aux traditions philosophiques des XIII e et XIV e siècles et montre comment ces mêmes auteurs posaient et résolvaient le problème des rapports existant entre philosophie et théologie. Le frère Adriano Oliva, dominicain, nous présente, quant à lui, son lointain confrère, Thomas d Aquin, illustre théologien et, lui aussi, commentateur d Aristote, mais vu à partir d un angle inhabituel, soit celui de l universitaire au sens plein de ce terme, c est-à-dire non plus seulement le professeur et le chercheur, mais le directeur d études, le polémiste et le prédicateur. Ce qui nous vaut, entre autres, de très beaux 9
10 passages tirés des sermons de saint Thomas aux étudiants parisiens. Tout autre le personnage que nous fait connaître le professeur Rovinó Alemany. Car Ramon Llull ( ) n est d aucune façon un universitaire : il est plutôt un homme d action et, tout laïc qu il soit, un homme d action hanté par un projet missionnaire, soit la conversion des musulmans qu il a connus à Majorque où il est né. Projet qui l amène à préconiser la création d écoles ou de chaires universitaires où se ferait l apprentissage d un certain nombre de langues orientales, notamment celles parlées en terre musulmane. Le professeur Alemany admet que Llull ne rencontra que peu de succès dans ses nombreuses démarches auprès des papes, princes, voire universités du temps, mais souligne le fait que le temps allait tout de même finir par lui donner raison. Le quatrième axe centré plutôt sur les personnes, en particulier les clercs et religieux formant le gros des effectifs universitaires au Moyen-Âge, regroupe trois contributions s intéressant, l une, à la notion de clerc (clericus), notion ambiguë, mais néanmoins capitale pour comprendre le caractère particulier de l université à l époque, la seconde, à la présence des ordres monastiques à l Université de Paris et, la dernière, à la vie religieuse des étudiants parisiens à la même époque. On aura vite constaté que la professeure Hilde de Ridder- Symoens, le frère Thomas Sullivan et Natalie Gorochov nous ont fourni sur chacun de ces sujets des textes d un grand intérêt et, par bien des côtés, novateurs, textes qui, il faut le souhaiter, serviront d amorce à des recherches encore plus poussées sur chacun des sujets en question. Au terme de cette trop succincte présentation du contenu du présent volume, il ne nous reste plus qu à remercier les onze auteurs y figurant et à souhaiter bonne et fructueuse lecture à ceux et celles qui auront le privilège de parcourir le bel ensemble de textes qu ils nous ont laissés. 10
11 Toute notre gratitude également à Mgr Guy-Réal Thivierge, Secrétaire général de la FIUC et à ses dévoués collaborateurs et collaboratrices qui se sont chargés de l organisation du symposium et aux membres du Comité scientifique qui durant quelque deux années ont travaillé à sa préparation. Enfin, un merci tout spécial à l Université de Leuven, en particulier à son vice-recteur devenu depuis recteur, le professeur Marc Vervenne, de même qu au professeur Jan Roegiers, chargé de l organisation locale, pour l accueil «princier» reçu de leur part et pour les nombreux services rendus tout au long de notre rencontre, une rencontre marquant on ne peut plus magnifiquement la fin de la présente série de symposia inaugurée à Ottawa en Cette dernière aura-t-elle une suite? Il est permis de l espérer dans l intérêt des institutions membres de la FIUC, mais également de l ensemble du monde universitaire. Pierre Hurtubise Directeur du projet 11
12 12
13 Conférence Inaugurale Pr Jacques Verger Université de Paris IV, France Ouvrant le symposium de Paris en 2003, Gérard Cholvy avait mis en exergue à son intervention cette formule de M gr Baudrillart : «La question des universités catholiques est née au XIX e siècle» 1. Ce rappel n'a pas empêché la FIUC de consacrer le symposium suivant, organisé à Louvain en mai 2005, au Moyen-Âge. Mais il nous oblige à nous poser, à titre préliminaire, la question : y a-t-il un sens à parler d'«universités catholiques» pour la période médiévale, c'est-à-dire pour une période où non seulement toutes les universités étaient, à l'évidence, «catholiques» mais où la société elle-même était chrétienne de manière, pourrait-on dire, totalitaire et où il n'y avait de place ni pour la diversité confessionnelle, ni pour l'indifférence religieuse ou l'athéisme, ni même pour ce que nous appelons aujourd'hui la laïcité. On pourrait se débarrasser à peu de frais de la question en disant simplement que l'«histoire des universités catholiques au Moyen-Âge» s'identifie tout simplement à l'histoire des universités européennes en général à cette époque et renvoyer aux nombreux travaux qui leur ont déjà été consacrés 2. Mais on peut aussi penser qu'il vaut la peine de s'interroger sur ce qu'a signifié, pour les universités médiévales, le fait d'être des institutions d'église, immergées dans une société unanimement chrétienne, tout en possédant - n'est-ce pas la définition même de l'université? - une certaine autonomie et en poursuivant au premier chef les fins spécifiques, intellectuelles et sociales, qu'elles s'étaient à elles-mêmes assignées. C'est à cerner les implications générales de cette problématique, 13
14 dont des illustrations particulières seront ensuite fournies par les diverses contributions réunies dans ce volume, que sera consacré ce texte inaugural. L'université médiévale institution d'église Toutes les universités médiévales, à l'exception - et encore! - de celle de Naples 3, peuvent légitimement être considérées comme des institutions d'église. Fondées ou confirmées par une bulle pontificale, elles étaient régies par le droit canon et tous leurs membres relevaient de ce même droit canon, même si tous n'étaient pas, à proprement parler, des clercs 4. Ceci dit, l'université est apparue relativement tard par rapport aux autres institutions ecclésiastiques. Au même titre que les Ordres mendiants et l'inquisition, avec qui, on le verra, elle entretenait de multiples rapports, elle ne date que du XIII e siècle. Son émergence a donc été directement liée, du point de vue institutionnel, au triomphe de la papauté «théocratique» incarnée par Innocent III et ses successeurs immédiats. Les universités médiévales n'étaient pas seulement des universités catholiques, c'étaient des universités pontificales qui devaient à la faveur du Saint-Siège, outre leur existence même, leurs principaux privilèges, leur statut juridique et leur position dans la société et le monde chrétien de leur temps 5. La fameuse bulle Parens scientiarum octroyée le 13 avril 1231 par le pape Grégoire IX aux maîtres et écoliers de Paris est sans doute l'expression la plus parfaite de la nature essentiellement pontificale de l'institution universitaire et des multiples implications - religieuses, intellectuelles, sociales - de cette situation 6. Certes, les textes canoniques spécifiant ces implications autour des notions de studium generale et de licentia ubique docendi mettront encore quelques années avant d'être tous publiés et intégrés au Corpus iuris canonici 7 mais, si on veut bien éviter les pièges d'un juridisme étroit, il est clair que c'est dès le tout début du XIII e siècle qu'un lien non seulement étroit mais constitutif a existé entre la papauté et les pre- 14
15 mières universités qui naissent alors à Paris, Bologne, Oxford ou Montpellier 8. Ceci dit, une bulle pontificale ne suffisait pas pour créer une université ex nihilo et, en fait, il apparait que, sauf à risquer de rester lettre morte 9, l'initiative du souverain pontife devait s'appuyer sur une réalité préexistante, à la fois sociale et institutionnelle. Réalité sociale, en ce qu'il fallait généralement, pour faire effectivement démarrer l'enseignement, un groupe déjà constitué de magistri et de scolares, parfois laïcs (comme les juristes de Bologne ou les médecins de Montpellier), plus souvent clercs, dont la papauté jugeait désormais opportun de reconnaître officiellement l'existence et de favoriser l'activité en les plaçant sous sa protection directe, en les dotant de statuts et de privilèges. Réalité institutionnelle aussi, effective ou au moins virtuelle, en ce sens que l'église disposait depuis longtemps d'un cadre juridique pour encadrer les activités d'enseignement, à savoir l'école cathédrale. Quelques-unes des universités érigées par la papauté au XIII e ou XIV e siècle l'ont été sur la base d'écoles cathédrales préexistantes et actives (ainsi à Salamanque, Orléans, Angers, etc.). Ailleurs, il est vrai, l'école cathédrale n'existait pas (Bologne, Oxford, Cambridge, Montpellier) ou est restée en marge de la fondation nouvelle (Paris, Toulouse), mais il n'en demeure pas moins que l'évêque du lieu ou son écolâtre aurait eu, au moins potentiellement, vocation à prendre en charge cette fondation dans le cadre du diocèse. Autrement dit, la création des premières universités sous l'égide de la papauté a quelquefois eu pour effet de faire entrer dans le giron de l'église des magistri et des scolares initialement apparus en dehors d'elle, mais elle a plus sûrement encore abouti au dessaisissement de fait de l'autorité épiscopale ordinaire d'une de ses prérogatives les mieux établies - la supervision des écoles -, dessaisissement qui n'a pas 15
16 été, naturellement, sans protestations ni résistances, dont témoignent par exemple les efforts persistants des évêques de Paris et des chanceliers de Notre-Dame pour empêcher l'émancipation de l'université et maintenir l'ensemble des écoles parisiennes sous leur contrôle direct. Ceci dit, si on examine de plus près les situations concrètes, on s'aperçoit que ce dessaisissement des autorités ecclésiastiques locales n'a pas été total et que le caractère pontifical de l'institution universitaire, quoique fortement affirmé dans les textes, restait bien souvent quelque peu lointain et théorique. Plus que de dessaisissement, il faudrait sans doute parler de compromis. Car c'est bien à ces autorités locales que la papauté a délégué l'exercice courant de son pouvoir. Certes, quand ils interviennent dans les affaires de l'université, l'évêque, l'écolâtre ou le chancelier le font désormais, en théorie, non plus au titre de leurs droits ordinaires traditionnels, mais au nom du pape et dans les limites fixées par celui-ci à sa délégation de pouvoir 10 ; certes, ils pouvaient toujours se voir désavoués ou contraints par une nouvelle bulle pontificale (elle-même obtenue par l'université directement de Rome) ou par un légat pontifical agissant sur place au nom du souverain pontife. Mais dans la pratique quotidienne, surtout en dehors des phases de crise et des centres majeurs (comme Paris), ces interventions directes de l'autorité suprême restaient rares ; en fait, les autorités locales ont conservé l'essentiel de leur rôle et l'université elle-même trouvait son compte à maintenir des liens étroits avec l'évêque et son chapitre, ainsi qu'avec les autres églises et abbayes du diocèse ; l'usage des bâtiments cathédraux ou conventuels, l'accès aux prébendes locales, la protection quotidienne contre les mille tracasseries des pouvoirs laïcs étaient à ce prix. En d'autres termes, beaucoup d'universités, malgré leur caractère affiché de studia generalia pontificaux, ont longtemps gardé quelque chose d'écoles cathédrales un peu émancipées mais toujours bien insérées dans le jeu des réseaux locaux de solidarité et d'influence 11. Protection et garantie pontificales d'un côté, bonnes relations avec les églises locales de l'autre, les universités médiévales avaient besoin 16
17 de cette double base, non dépourvue d'ambiguïté, pour assumer, vaille que vaille, leur statut d'institutions d'église. Il est remarquable que ce statut, pour des raisons à la fois idéologiques et sociales sur lesquelles nous reviendrons, n'a jamais été remis en cause par les universitaires eux-mêmes avant la fin du Moyen-Âge. Il est clair qu'ils y trouvaient leur intérêt, pour ne pas dire leur légitimité. Mais, en même temps, ils étaient soucieux d'affirmer et de défendre l'autonomie - la libertas scolastica - qui était l'essence même de l'institution universitaire 12. Ne revenons pas longuement sur la définition de cette autonomie 13 : exercice de la potestas statuendi et droit d'exiger de ses membres un serment d'obéissance aux statuts ainsi définis de l'institution, liberté de choix dans le recrutement des élèves et la cooptation des maîtres, liberté dans l'organisation de l'enseignement et des examens, autorité disciplinaire sur les membres et suppôts de l'universitas. À l'évidence, cette autonomie était aisément opposable aux autorités ecclésiastiques locales en cas de litige ou de conflit. Mais l'était-elle à Rome, qui en était la source même et la garantie? Dès le milieu du XIII e siècle, sinon plus tôt, il apparut, spécialement à Paris, que l'autonomie universitaire était, à cet égard, fortement menacée sur deux points. D'abord, la maîtrise du recrutement (des élèves et des maîtres) : plus encore que les efforts persistants des chanceliers pour peser sur les jurys d'examen 14, l'expérience cruciale fut ici l'intervention vigoureuse de la papauté pour imposer à l'université d'accepter en son sein les écoles des ordres religieux qui faisaient pourtant passer la fidélité à leur Règle et à leurs visées pastorales propres avant le respect des statuts et des nécessaires solidarités universitaires
18 Ensuite, le contenu même des enseignements, dont la liberté se trouva très vite entravée par le strict contrôle de leur orthodoxie ; que la censure ait souvent pris à l'université la forme sournoise de l'autocensure, ne change rien à la réalité de cette contrainte brutale 16. On en dirait autant du problème de la réforme. Au libre exercice de la potestas statuendi se substituèrent bientôt des «réformations» plus ou moins autoritairement imposées par des légats pontificaux, fût-ce avec la connivence de certaines factions professorales 17. Encore restons-nous là au sein de l'église où personne, semble-t-il, à partir des années 1230, n'a remis en cause l'existence même de l'université, même si on en malmenait parfois les privilèges et l'autonomie. Plus sérieuses, du point de vue qui nous occupe ici, pourraient sembler les sollicitations et les pressions dont les universités ont été l'objet de la part des pouvoirs laïcs, royaux, princiers ou urbains, de manière toujous plus insistante au fur et à mesure que l'on approche de la fin du Moyen-Âge 18. Les pressions des pouvoirs laïcs ont porté spécialement sur deux points. D'abord, précisément, le caractère pontifical et donc «supranational» des universités, qui se traduisait par la portée universelle de leurs privilèges et immunités, la validité également universelle de leurs diplômes ( licentia ubique docendi ), l'ouverture de leur recrutement à tous les fidèles sans acception d'origine. À cet universalisme chrétien, les souverains qui, au même moment, renforçaient d'ailleurs leurs moyens de contrôle sur leurs Églises nationales (naissance du gallicanisme et de l'anglicanisme), opposaient leur volonté d'intégrer les universités dans le cadre juridique et politique de leur royaume, tendant à les soumettre à la règle judiciaire et fiscale commune et à limiter la mobilité géographique des étudiants, en freinant aussi bien l'expatriation des régnicoles que l'afflux des étrangers
19 Second point de friction, qui ressort clairement des chartes princières de fondation des nouvelles universités, les finalités mêmes de l'enseignement ; aux visées doctrinales et pastorales traditionnelles viennent s'ajouter, sinon se substituer, des objectifs ouvertement politiques : contribuer à la prospérité du royaume et à la bonne marche de l'état en fournissant aux princes des conseillers instruits et des serviteurs dévoués et compétents 20. Cette tendance à la «nationalisation» et à la politisation des universités est spécialement nette dans les universités nouvelles des XIV e et XV e siècles, presque toutes de fondation princière ou urbaine, mais on la voit aussi à l'œuvre - et, en définitive, sans rencontrer de grandes résistances - dans les universités anciennes comme Paris ou Oxford 21. Il est vrai, et ceci doit être souligné avec force, que cette évolution n'a nullement impliqué une quelconque laïcisation ou sécularisation de l'institution universitaire. Les princes n'ont remis en cause ni le caractère officiellement pontifical de l'université - une bulle de fondation ou au moins de confirmation est toujours sollicitée 22 -, ni la dimension cléricale du statut personnel des universitaires et de nombre de leurs privilèges. Plus remarquable encore, les autorités laïques, tout en insistant sur les services qu'elles attendaient des universités, n'interfèrent guère, même au XV e siècle, dans les contenus ou les modalités de l'enseignement. Les programmes traditionnels, d'essence universaliste, fixés au XIII e siècle, restent en honneur. Ni les disciplines nouvelles utiles à l'état (comme le droit coutumier, les finances, les sciences de l'ingénieur, etc.), ni les langues vernaculaires pourtant en plein essor, y compris sur le plan politique 23, ne prennent pied dans l'université. Elles restent affaire de pratique, dans les chancelleries, les bureaux et les tribunaux et, si elles sont parfois enseignées, c'est dans des écoles non universitaires, laïques et vernaculaires, comme les Inns of Court anglaises où futurs juges et avocats s'initient à la Common Law 24. Bref, à la veille de la Réforme, les universités européennes étaient 19
20 encore fondamentalement des institutions d'église, même si, dans les faits, bien des aspects de leur fonctionnement quotidien étaient en voie de laïcisation. Enseignement universitaire et culture chrétienne Par-delà la question du statut institutionnel des universités médiévales, venons-en maintenant au contenu même des savoirs que ces universités transmettaient - et, éventuellement, développaient. Naturellement, on n'imagine pas que, dans une société unanimement chrétienne, comme on l'a rappelé plus haut, ces savoirs aient pu être en contradiction ouverte avec l'enseignement de l'église. Mais si l'on y regarde de plus près, on se trouve tout de suite en présence d'un paradoxe surprenant. Alors que les universités médiévales étaient, comme nous venons de le montrer, des institutions d'église et que tous leurs membres appartenaient, peu ou prou, au monde des clercs, ces universités n'étaient nullement ce que nous pourrions appeler des écoles religieuses et elles ont toujours donné plus d'importance à l'enseignement de disciplines «profanes» qu'à celui des sciences religieuses proprement dites. Certes, ces sciences religieuses étaient présentes à l'université et y occupaient même une place prestigieuse en termes de hiérarchie et de préséances, mais elles étaient en fait très minoritaires. La théologie en particulier n'a longtemps été enseignée qu'à Paris et Oxford, accessoirement Cambridge, et même lorsqu'après 1350 les facultés de théologie se sont multipliées, ce fut toujours, nous y reviendrons, avec des effectifs modestes et souvent même dans une position marginale par rapport au reste de l'université. Présent dans la plupart des universités, le droit canonique attirait certainement beaucoup plus de maîtres et d'étudiants, mais le prestige intellectuel et social de cette discipline n'était sans doute pas toujours aussi grand qu'on pourrait le penser 25 et, de toute façon, il laissait une 20
21 large place aux enseignements des facultés «profanes», arts libéraux et philosophie, droit civil et médecine. Il s'agissait bien là en effet de disciplines «profanes», dans leur définition et dans leur contenu, d'origine essentiellement antique, parfois enrichies d'apports arabes. Au XII e siècle d'ailleurs, ces sciences avaient souvent émergé dans des milieux laïcs (juristes bolognais, médecins salernitains et montpelliérains) et en marge de l'église qui n'avait d'ailleurs pas manqué d'en dénoncer le caractère non seulement «profane» mais «lucratif» (pour le droit) ou «mécanique» (pour la médecine) 26. Il a donc fallu une véritable révolution intellectuelle pour que l'église se décide à prendre en charge - et donc à cautionner - ces enseignements, naguère tenus en suspicion, au sein de l'institution universitaire, tandis que, de leur côté, les spécialistes de ces disciplines acceptaient, sinon d'abandonner totalement leur mode de vie laïc, en tout cas de se placer sous le contrôle institutionnel de l'église. Mutation d'autant plus remarquable qu'au même moment cette même Église ne développait qu'avec parcimonie au sein de l'université les enseignements proprement religieux comme celui de la théologie. On a déjà rappelé qu'il n'y a longtemps eu de faculté de théologie réellement active et réputée qu'à Paris, Oxford et Cambridge : pour le reste, la sacra doctrina s'enseignait essentiellement dans les studia des Ordres mendiants, extérieurs aux universités, sauf précisément - et encore! - ceux de Paris, Oxford et Cambridge 27. On peut s'interroger sur les causes de cette situation paradoxale : crainte de la papauté d'une trop large diffusion de la théologie dans des universités que, du fait de leur autonomie, ils contrôlaient moins bien que les studia mendiants? Ou, plus simplement, pénurie de maîtres et d'étudiants séculiers? La situation changera après 1350 avec la multiplication des facultés de théologie dans les universités tant anciennes que nouvelles mais comme, en pratique, ces nouvelles facultés s'identifieront souvent aux studia mendiants préexistants désormais intégrés dans un cadre universitaire, ce changement sera plus formel que réel
22 Reste à essayer de mesurer la signification et les conséquences de ce partage disciplinaire quelque peu surprenant entre sciences sacrées et sciences profanes au sein des universités médiévales. Du point de vue de l'église, on peut invoquer la volonté de conserver une sorte de monopole de l'enseignement et, plus largement, de la culture savante, fermement revendiqué depuis le haut Moyen-Âge 29. On peut aussi imaginer une répugnance à laisser libre cours à un développement autonome de disciplines profanes dont on pouvait craindre qu'elles ne portent ombrage à la longue à la Révélation chrétienne ; il était donc bon de conserver les moyens institutionnels de garantir l'orthodoxie ou au moins l'innocuité de ces disciplines profanes. De manière plus positive enfin, on peut penser que dans la tradition augustinienne du De doctrina christiana, l'église a considéré qu'un bon usage, dûment contrôlé, de ces disciplines profanes pouvait servir au progrès des sciences religieuses elles-mêmes. La fécondation de la sacra pagina par la philosophie, du droit canonique par le droit romain est d'ailleurs chose trop connue pour qu'il soit besoin d'y insister 30 mais qui confirme le bien-fondé de cette cohabitation, au sein de l'institution universitaire, des disciplines profanes et des disciplines religieuses. À condition cependant de se souvenir, nous y reviendrons dans un instant, que cette cohabitation n'est jamais allée de soi et pouvait aussi comporter ses dangers et susciter elle-même, chez les contemporains comme chez les historiens postérieurs, débats et condamnations. Avant d'en venir à ce point, interrogeons-nous sur les raisons qui ont pu pousser les universitaires médiévaux, même les spécialistes de ces disciplines profanes déjà mentionnées, à accepter, de manière quasiment unanime - au moins au regard de la documentation conservée - la tutelle institutionnelle de l'église. Ont-ils cédé à une pression sociale et politique irrésistible? Ont-ils trouvé commode et même, plus largement, naturel de se couler dans un système qui leur assurait à la fois solidarité et entraide communautaires, encadrement religieux et litur- 22
Monsieur l Adjoint délégué à la Culture et à la Tauromachie,
Prise de Parole de Monsieur Jean-Paul FOURNIER Sénateur du Gard - Maire de Nîmes - Président de Nîmes Métropole Inauguration d une plaque dans le cadre du 450 ème anniversaire de la création de l Eglise
Plus en détailPROGRAMME DES COURS DE LICENCE
PROGRAMME DES COURS DE LICENCE DROIT PROCESSUEL (1 ère partie) ENSEIGNEMENTS ANNÉE C Abbé Bernard du PUY-MONTBRUN Ce cours sera consacré à l étude des procès canoniques. Après une introduction à l aide
Plus en détailL ÉGLISE AU MOYEN ÂGE
L ÉGLISE AU MOYEN ÂGE Compétence Comprendre l importance de l Église dans la vie des hommes au Moyen Âge. Quelle impression te donne l église dans cette photographie, par rapport aux autres constructions?
Plus en détailManuscrits du Moyen Age
Manuscrits du Moyen Age (Dossier pédagogique réalisé par le service éducatif de la MGT) 1. Qu est-ce qu un manuscrit? Voici deux ouvrages conservés à la MGT. Histoire des quatre fils Aymons, XVIIe siècle
Plus en détailLoïc Blondiaux Le Nouvel Esprit de la démocratie Actualité de la démocratie participative Le Seuil, coll. «La République des Idées», 2008
1 Loïc Blondiaux Le Nouvel Esprit de la démocratie Actualité de la démocratie participative Le Seuil, coll. «La République des Idées», 2008 L auteur Loïc Blondiaux est professeur des Universités à l Institut
Plus en détailD'UN THÉORÈME NOUVEAU
DÉMONSTRATION D'UN THÉORÈME NOUVEAU CONCERNANT LES NOMBRES PREMIERS 1. (Nouveaux Mémoires de l'académie royale des Sciences et Belles-Lettres de Berlin, année 1771.) 1. Je viens de trouver, dans un excellent
Plus en détailL Eglise dans ses dimensions religieuse, économique, sociale et intellectuelle
L Eglise dans ses dimensions religieuse, économique, sociale et intellectuelle Iconographie du template Le jugement dernier, cathédrale de Bourges Ange au sourire, cathédrale de Reims Identifie l enfer
Plus en détailAVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES...
AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES... Tellement à la mode depuis quelques années, le mot de créativité est peut-être déjà démodé. La publicité, la médiatisation,
Plus en détailLE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université)
LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université) Après avoir fait adopter sa loi «Libertés et Responsabilités des Universités» en plein
Plus en détailAssises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007
Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007 Quand je pense à ces nouveaux Chefs d établissement qui me disaient récemment avoir
Plus en détailPRÉFACE. représenter le roi ou la nation? Préface
PRÉFACE Avaient-ils le don d ubiquité? Aux origines de ce livre, il y a une constatation qui a suscité la curiosité du chercheur : parmi les représentants de l Angleterre à l étranger, certains appartiennent
Plus en détailVisita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin
N. 0311 Lunedì 27.04.2015 Visita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin Il Santo Padre Francesco ha ricevuto questa mattina in Udienza i Vescovi della Conferenza Episcopale
Plus en détailLe nouvel IN RS Notes pour l'allocution prononcée par M. Pierre Lucier, président de l'université du Québec, à l'occasion de la remise des nouvelles lettres patentes de l'institut national de la recherche
Plus en détailLoi du 11 floréal an X (1 e mai 1802)
Loi du 11 floréal an X (1 e mai 1802) La loi du 11 floréal an X spécifie que l'enseignement comporte trois degrés : primaire, secondaire, spécial et qu'il est dispensé dans quatre catégories d'établissements
Plus en détailDIPLOMES UNIVERSITAIRES
ALEXANDRE DESRAMEAUX MAÎTRE DE CONFERENCES EN DROIT PUBLIC (depuis 2009) Titulaire du Certificat d Aptitude à la Profession d Avocat (CAPA) DIPLOMES UNIVERSITAIRES 2006 Doctorat en droit de l Université
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Philosophie, psychanalyse de l Université Paul-Valéry Montpellier 3 Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations
Plus en détailL AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises
Communiqué de presse L AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises Objectif : Aider les managers à gérer la diversité religieuse au quotidien Alors que la question de l expression religieuse
Plus en détailQuestionnaire «B» Peuvent être nommées procureurs les personnes ayant le casier judiciaire vierge et ayant le droit de vote qui ont acquis :
Questionnaire «B» I. Les conditions préliminaires pour la nomination au poste du procureur sont les suivantes : Aux termes de la loi régissant les rapports de service au sein du parquet : Peuvent être
Plus en détailRemise de l Ordre National du Mérite à M. David LASFARGUE (Résidence de France 7 novembre 2014) ----------
Remise de l Ordre National du Mérite à M. David LASFARGUE (Résidence de France 7 novembre 2014) ---------- Cher David Lasfargue, Mesdames, Messieurs, C est toujours un honneur et un plaisir pour un Ambassadeur
Plus en détailPréparation de la visite. Visite symbolique et spirituelle Groupes: 6 e, 5 e, 4 e et 3 e (collège) Visites éducatives de la Sagrada Família
Visites éducatives de la Sagrada Família Préparation de la visite. Visite et spirituelle Groupes: 6 e, 5 e, 4 e et 3 e () 1 0. À la découverte de l église La Sagrada Família ouvre ses portes au regard
Plus en détailCONVENTION ENTRE LA REPUBLIQUE FRANCAISE ET LE ROYAUME DU MAROC RELATIVE AU STATUT DES PERSONNES ET DE LA FAMILLE ET A LA COOPERATION JUDICIAIRE
CONVENTION ENTRE LA REPUBLIQUE FRANCAISE ET LE ROYAUME DU MAROC RELATIVE AU STATUT DES PERSONNES ET DE LA FAMILLE ET A LA COOPERATION JUDICIAIRE Décret n 83-435 DU 27 mai 1983 (publié au J.O du1er juin
Plus en détailN 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992
N 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992 Rattache pour ordre au procès-verbal de la séance du 8 juillet 1992. Enregistre a la Présidence du Senat le 28 septembre 1992. PROPOSITION DE LOI
Plus en détailJusqu à trois prix seront décernés annuellement et ce dans les deux catégories suivantes.
Directives de mise en candidature Association des universités de l Atlantique Prix d enseignement distingué et de leadership en éducation, 2015 Objectif Le but de ce programme de prix est d encourager
Plus en détailFaculté des Sciences Juridiques et Economiques de la Guadeloupe. Campus de Fouillole. Pour mieux vous aider A choisir vos matières
Faculté des Sciences Juridiques et Economiques de la Guadeloupe Campus de Fouillole 9757 Pointe-à-Pitre Pitre Cédex Pour mieux vous aider A choisir vos matières SOMMAIRE Page Schéma des études 3 Maquette
Plus en détailFédération suisse des aveugles et malvoyants (FSA) Section vaudoise
Fédération suisse des aveugles et malvoyants (FSA) Section vaudoise Chapitre 1: Dispositions générales Art. 1. Forme juridique et siège 1. La section vaudoise, membre de la Fédération suisse des aveugles
Plus en détailLOI GENERALE SUR L'INSTRUCTION PUBLIQUE
LOI GENERALE SUR L'INSTRUCTION PUBLIQUE 1 ER MAI 1802 (FLOREAL AN X) TITRE I DIVISION DE L'INSTRUCTION Art.1. L'instruction sera donnée : 1 Dans les Écoles primaires établies par les commu nes ; 2 Dans
Plus en détailRECOMMANDATIONS POUR L EVALUATION ET LE TRAITEMENT DES DOSSIERS D ETUDIANTS
1. AVANT-PROPOS Ces Recommandations ont été élaborées par le Conseil international des Archives- Section des archives des universités et institutions de recherche dans le cadre du projet P2010 SUV "Evaluation
Plus en détailDistr. GENERAL. HCR/GIP/02/02 Rev.1 Date: 8 juillet 2008. FRANÇAIS Original: ENGLISH
Distr. GENERAL HCR/GIP/02/02 Rev.1 Date: 8 juillet 2008 FRANÇAIS Original: ENGLISH PRINCIPES DIRECTEURS SUR LA PROTECTION INTERNATIONALE: «L appartenance à un certain groupe social» dans le cadre de l'article
Plus en détailPrix de la bourse commémorative communautaire Kim Halliday. (Une division de la bourse commémorative Ron Smyth)
Prix de la bourse commémorative communautaire Kim Halliday (Une division de la bourse commémorative Ron Smyth) Le comité du fonds de la bourse commémorative Ronald P. Smyth et Centraide de la région du
Plus en détailPEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?
PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.
Plus en détailhttp://www.legifrance.gouv.fr/affichjurijudi.do?idtexte=juritext000023803694...
Page 1 sur 5 Cour de cassation chambre civile 1 Audience publique du jeudi 31 mars 2011 N de pourvoi: 09-69963 Publié au bulletin M. Charruault, président Mme Richard, conseiller rapporteur Mme Falletti,
Plus en détailDes mérovingiens aux carolingiens. Clovis, roi des Francs La dynastie carolingienne La fin de l'empire carolingien
Des mérovingiens aux carolingiens Clovis, roi des Francs La dynastie carolingienne La fin de l'empire carolingien 1 Introduction L Empire Carolingien a marqué l histoire de la France. Succédant aux Francs,
Plus en détailchapitre 1 ORIENTATION : LES ÉTUDES EN MANAGEMENT Par Christine GUESDON avec l aide de Jean TULOUP et de Mustapha BENKALFATE
chapitre 1 ORIENTATION : LES ÉTUDES EN MANAGEMENT Par Christine GUESDON avec l aide de Jean TULOUP et de Mustapha BENKALFATE 8 Chapitre 1 L engouement pour les formations en management, au sein des écoles
Plus en détailLiberté Egalité Laïcité
Liberté Egalité Laïcité «Si je voulais faire rire il y a 30 ans je parlais de religion, si je voulais intéresser je parlais de politique ; c'est l'inverse aujourd'hui» Michel Serres César et Dieu. Nombre
Plus en détailDOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE
209 DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE Pierre Caspard Service d Histoire de l Éducation, France. En février 2013, Antoine Prost a reçu des mains du ministre de l Éducation nationale français,
Plus en détailCharte de protection des mineurs
«Mes enfants, soyez joyeux!» Charte de protection des mineurs Au sein de l Académie Musicale de Liesse Mise à jour août 2014 L ensemble des adultes intervenant au sein de l Académie Musicale de Liesse
Plus en détailAnnexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications
Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur
Plus en détailRapport du comité d'experts
Section des Unités de recherche Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Centre du droit de l entreprise, EA 3397 de l'université Strasbourg 3 avril 2008 Section des Unités de recherche Rapport
Plus en détail1. Réponse de Nathalie COULAUD, journaliste au PARTICULIER
ARC / DOSSIER DU MOIS DE NOVEMBRE 2009/ www.unarc.asso.fr Les trois qualités et les trois défauts des syndics selon Au cours de notre Salon «indépendant», nous avons eu une conférence passionnante sur
Plus en détailLE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand
LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il
Plus en détailSTATUT DU TRIBUNAL INTERNATIONAL DU DROIT DE LA MER. Article premier Dispositions générales SECTION 1. ORGANISATION DU TRIBUNAL. Article 2 Composition
STATUT DU TRIBUNAL INTERNATIONAL DU DROIT DE LA MER Article premier Dispositions générales 1. Le Tribunal international du droit de la mer est créé et fonctionne conformément aux dispositions de la Convention
Plus en détailCompte rendu. Ouvrage recensé : par Robert Gagnon
Compte rendu Ouvrage recensé : The Master Spirit of the Age Canadian Engineers and the Politics of Professionalism. 1887-1922, J. Rodney Millard, Toronto, University of Toronto Press, 1988. Pp 229. par
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailRÉGIBEAU Julien. Aspirant F.R.S.-FNRS
RÉGIBEAU Julien Aspirant F.R.S.-FNRS Université de Liège Faculté de Philosophie et Lettres «Transitions». Département de recherches sur le Moyen tardif & la première Modernité Service d Histoire moderne
Plus en détailLES DROITS DE LA PERSONNALITE
UNIVERSITE Faculté de Droit et de Science Politique Laboratoire de droit privé et de sciences criminelles ANTLPPAS LES DROITS DE LA PERSONNALITE DE L'EXTENSION AU DROIT ADMINISTRATIF D'UNE THÉORIE FONDAMENTALE
Plus en détailConcours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels»
Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Le présent rapport a pour objet de donner une appréciation générale
Plus en détailCommentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel
Commentaires de l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document Un regard neuf sur le patrimoine culturel Dans le cadre de la consultation publique pour une révision de la
Plus en détailLisez ATTENTIVEMENT ce qui suit, votre avenir financier en dépend grandement...
Bonjour, Maintenant que vous avez compris que le principe d'unkube était de pouvoir vous créer le réseau virtuel le plus gros possible avant que la phase d'incubation ne soit terminée, voyons COMMENT ce
Plus en détailComment parler de sa pratique pour la faire partager?
pour la faire partager? 1. Profiter de l expérience des autres 2. Comment raconter son expérience? 2.1. Théoriser sous forme de récit 2.2. Les ingrédients de la théorisation de pratique 3. Élargir le récit
Plus en détailETAT CIVIL FONCTIONS
ETAT CIVIL Nom : Prénom : REGAD - ALBERTIN Caroline Date de naissance : 08/04/1984 Adresse professionnelle : Courriel : Université de Toulon Faculté de droit 35, avenue Alphonse Daudet BP 1416 83056 TOULON
Plus en détailSiréas asbl Service International de Recherche, d Education et d Action Sociale
Siréas asbl Service International de Recherche, d Education et d Action Sociale Année 2005 DOCUMENT n 1 Analyses et études LE DIVORCE INTERNATIONAL EN BELGIQUE Rue de la croix, 22 1050 Bruxelles Téléphone
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master recherche Histoire des mondes moderne et contemporain
www.u-bordeaux3.fr Master recherche Histoire des mondes moderne et contemporain Objectif de la formation Ce master propose une formation de haut niveau en histoire moderne et contemporaine. Il a pour objectif
Plus en détailLe Baptême des petits enfants en 25 questions
Le Baptême des petits enfants en 25 questions 1. Les parents doivent-ils être baptisés pour demander le baptême de leur Non, puisque c est la personne qui va recevoir le baptême qui est concernée. Tous
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Circulaire du 11 mars 2015 relative à la communication aux administrations publiques et aux organismes exerçant une prérogative de puissance publique d informations ou copies de pièces issues des procédures
Plus en détailConclusions de M. l'avocat général Jean Spreutels :
Conclusions de M. l'avocat général Jean Spreutels : 1. L'article 29, 3, alinéa 4, de la loi du 5 août 2003 relative aux violations graves du droit international humanitaire rend votre Cour compétente pour
Plus en détailUne association à un seul membre? Est-on vraiment sérieux?
Une association à un seul membre? Est-on vraiment sérieux? Synthèse L identité d un régime juridique découle des caractéristiques du sujet qu il couvre et non du seul fait que l entité ait la personnalité
Plus en détailLe service éducatif des Archives départementales du Val-d'Oise : un partenaire ressource
Le service éducatif des Archives départementales du Val-d'Oise : un partenaire ressource Matières concernées : Histoire-Géographie, Lettres, Latin, Arts, Biologie. Enseignements d'exploration : Patrimoine,
Plus en détailASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS
Étude concernant l assurance-litige en matière de brevets, par CJA Consultants Ltd Janvier 2003 V4a.fin ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude réalisée pour la Commission européenne concernant la
Plus en détailLe cadre général de la loi du 21 Germinal An XI
Le cadre général de la loi du 21 Germinal An XI par Eric Fouassier 1 Mars 2003 La pharmacie sous l Ancien Régime et la Révolution Avant la Révolution, la réglementation de la profession pharmaceutique
Plus en détailLe droit d auteur dans un environnement numérique : les positions de l IFLA et de l UNESCO 1
Le droit d auteur dans un environnement numérique : les positions de l IFLA et de l UNESCO 1 Das Urheberrecht in einer digitalen Umwelt: die Positionen der IFLA und der UNESCO Jean-Philippe Accart Information
Plus en détailFiche Juridique CRÉATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ASSOCIATION LOI DU 1ER JUILLET 1901!
Fiche Juridique CRÉATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ASSOCIATION LOI DU 1ER JUILLET 1901 Cette fiche à vocation pédagogique a été conçue pour vous initier au droit des associations, tout en vous présentant
Plus en détailGROUPE DE CONFIANCE protection de la personnalité MEDIATION INFORMATIONS
GROUPE DE CONFIANCE protection de la personnalité INFORMATIONS MEDIATION La médiation fait partie du dispositif de protection de la personnalité des membres du personnel de l'etat de Genève et des institutions
Plus en détailInclusion bancaire et financière, quelles nouvelles?
Inclusion bancaire et financière, quelles nouvelles? Ce que nous apprennent les dernières données issues de l'enquête Special Eurobarometer 373 1 «retail financial services» en matière d'inclusion financière.
Plus en détailFORMATION PROFESSIONNELLE DE SOPHROLOGIE DOSSIER D INSCRIPTION. Académie de Sophrologie de Bourgogne Franche-Comté - Ecole de Sophrologie de Dijon
FORMATION PROFESSIONNELLE DE SOPHROLOGIE DOSSIER D INSCRIPTION Académie de Sophrologie de Bourgogne Franche-Comté - Ecole de Sophrologie de Dijon La Sophrologie La sophrologie fut fondée en 1960 par le
Plus en détailInvestir l excellence et la solidarité
Investir l excellence et la solidarité www.fondation.dauphine.fr CULTURE. ÉGALITÉ DES CHANCES. CAMPUS. RECHERCHE. INTERNATIONAL. ENTREPRENEURIAT La Fondation Dauphine Notre vision La Fondation Dauphine
Plus en détailIntervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché
XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté
Plus en détailMusées et paysages culturels
La Charte de Sienne Musées et paysages culturels Proposée par l ICOM Italie le 7 juillet 2014 à la Conférence internationale de Sienne 1. Le paysage italien Le paysage italien est le pays que nous habitons,
Plus en détail1 - Les conditions légales et réglementaires
LES REMPLACEMENTS 1. Les conditions légales et réglementaires 2. Formalités diverses - obligations 3. Responsabilités du médecin remplacé et du médecin remplaçant 1 1 - Les conditions légales et réglementaires
Plus en détailHistoire Le Moyen-âge La société féodale
Histoire Le Moyen-âge Objectif(s) : - Connaître les 3 ordres de la société médiévale - Découvrir le cadre et le mode de vie des seigneurs au Moyen Age : Seigneurs / vassaux / chevaliers Histoire racontée
Plus en détailAPPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE
1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir
Plus en détailUNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE
UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE ÉCOLE DOCTORALE CONCEPTS ET LANGAGE T H È S E pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE Discipline : LINGUISTIQUE Présentée et soutenue par : Zeina EL HELOU
Plus en détailCampagne DENIER 2015. Campagne Denier 2015 Diocèse de Fréjus-Toulon Page 1
Campagne DENIER 2015 Campagne Denier 2015 Diocèse de Fréjus-Toulon Page 1 Edition janvier 2015 Sommaire Page 3 - Denier de l Eglise Bilan 2014/Campagne 2015 Page 4 - Evolutions de la collecte du Denier
Plus en détailLa fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun. Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris
La fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris La volonté affichée au printemps 2013 par le Président de la République d intensifier la
Plus en détailhttps://pastel.diplomatie.gouv.fr/editorial/francais/familles/fiches/italie... LES PENSIONS ALIMENTAIRES A L'ETRANGER
1 sur 5 09/06/2010 12:24 LES PENSIONS ALIMENTAIRES A L'ETRANGER Convention de New York ITALIE L'Italie est partie : - à la Convention de la Haye du 25 octobre 1980, sur les aspects civils des enlèvements
Plus en détailMEMOIRE POUR UNE HABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES
UNIVERSITE DE BOURGOGNE MEMOIRE POUR UNE HABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES Discipline : Sciences de Gestion Matière : Finance Candidate : Aurélie SANNAJUST Fonction : Maître de Conférences à l Université
Plus en détailLE CONTROLE DE GESTION DANS L'ASSURANCE : UNE REHABILITATION VITALE EN TUNISIE
LE CONTROLE DE GESTION DANS L'ASSURANCE : UNE REHABILITATION VITALE EN TUNISIE Par Nabila EL HEDDA, Elyès JOUINI et Denis CHEMILLIER-GENDREAU "Le marché tunisien de l'assurance va connaître, dans les années
Plus en détail25 PROPOSITIONS POUR UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE AU XXI ÈME SIÈCLE
25 PROPOSITIONS POUR UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE AU XXI ÈME SIÈCLE Fidèle aux exigences de Liberté, d Égalité et de Fraternité qui le fondent, le Grand Orient de France a pour principe essentiel la liberté absolue
Plus en détailRÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS. Faculté des lettres et sciences humaines
RÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS Faculté des lettres et sciences humaines PRÉAMBULE Ce règlement facultaire sur la reconnaissance des acquis s inscrit dans le cadre de la Politique
Plus en détailLa succession d Etats en matière de biens et de dettes
JUSTITIA ET PACE INSTITUT DE DROIT INTERNATIONAL Session de Vancouver - 2001 La succession d Etats en matière de biens et de dettes (Septième Commission, Rapporteur : M. Georg Ress) (Le texte français
Plus en détailLes objectifs de l Autorité de Contrôle prudentiel
Les objectifs de l Autorité de Contrôle prudentiel Le 8 mars 2010, la Ministre de l Economie de l Industrie et de l Emploi Christine Lagarde a installé la nouvelle Autorité de Contrôle Prudentiel (ACP).
Plus en détailLES SEMINAIRES DOCTORAUX PAR DISCIPLINE
LES SEMINAIRES DOCTORAUX PAR DISCIPLINE DROIT CANONIQUE La Faculté de Droit canonique propose désormais deux modalités pour préparer un doctorat : - 1 ère modalité : programme canonique facultaire D1 :
Plus en détailPhilosophie. Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés
Institut Catholique de Paris Service Communication Fiche Filière / parcours Philosophie Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés Collection «Orientation à l ICP : Fiches
Plus en détailIl n est ordinairement attribué
Les 39 degrés de la Franc-Maçonnerie Plan du fonctionnemt de la Maçonnerie et détail des degrés supérieurs Ci dessus, symbole maçonnique sur le dollar américain Il n est ordinairement attribué que 33 degré
Plus en détail60 salariés. 3 MINISTÈRE est une agence Web, experte en CRM, e-commerce, data et analytics. Elle compte à ce. jour 25 salariés.
Laurent HABIB réunit les agences LIGARIS 1, PLAN CRÉATIF 2 et MINISTÈRE 3 pour créer la 1 ère agence globale indépendante du marché. Une agence de 180 personnes, à 60% digitale, intégrant tous les métiers
Plus en détailLES INDICATEURS CLÉ DE PERFORMANCE : DÉFINIR ET AGIR
Online Intelligence Solutions LES INDICATEURS CLÉ DE PERFORMANCE : DÉFINIR ET AGIR Comment intégrer les KPI à sa stratégie d entreprise? Par Jacques Warren WHITE PAPER WHITE PAPER A PROPOS DE JACQUES WARREN
Plus en détailUne formation continue du Luxembourg Lifelong Learning Center / www.lllc.lu MARKETING ET COMMUNICATION DES ENTREPRISES
Une formation continue du Luxembourg Lifelong Learning Center / www.lllc.lu MAST ER MARKETING ET COMMUNICATION DES ENTREPRISES OCTOBRE 2013 L économie luxembourgeoise est dite fragile étant donné qu elle
Plus en détailDans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise
Communiqué de presse Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise Paris, le 27 mai 2013 L Institut Randstad et l Observatoire du Fait Religieux en Entreprise
Plus en détailPremière partie IMMUNITÉ ET JUSTICE : LES CONTRADICTIONS... 31. Titre 1 Contradiction des fondements et divergence des sources...
TABLE DES MATIÈRES Remerciements......................................................................... 7 Préface.................................................................................... 9
Plus en détailM. Lacabarats (président), président SCP Lyon-Caen et Thiriez, SCP Masse-Dessen, Thouvenin et Coudray, avocat(s)
Références Cour de cassation chambre sociale Audience publique du mercredi 9 juillet 2014 N de pourvoi: 13-17470 Publié au bulletin Cassation partielle M. Lacabarats (président), président SCP Lyon-Caen
Plus en détailEnquête exclusive CampusFrance - TNS Sofres Les étudiants étrangers en France : image et attractivité
Enquête exclusive CampusFrance - TNS Sofres Les étudiants étrangers en France : image et attractivité Sommaire. Présentation de l étude. Recommandation de venir en France Les étudiants étrangers en France
Plus en détailDECRET N 2014-288. fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère.
MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE ------------- DECRET N 2014-288 fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère. LE PREMIER MINISTRE, CHEF
Plus en détailLes obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres
Justitia et Pace Institut de Droit international Session de Lisbonne - 1995 Les obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres (Quinzième Commission, Rapporteur : M. Andreas Lowenfeld)
Plus en détailUniversité de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2
Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines
Plus en détailCHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université
Plus en détailToronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :
Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du
Plus en détailDécret définissant la formation initiale des instituteurs et des régents D. 12-12-2000 M.B. 19-01-2001
Lois 25501 p.1 Décret définissant la formation initiale des instituteurs et des régents D. 12-12-2000 M.B. 19-01-2001 modifications : D. 20-12-01 (M.B. 31-01-02) D. 17-07-02 (M.B. 24-08-02) D. 27-02-03
Plus en détailLe téléphone public, cent ans d usages et de techniques de Fanny CARMAGNAT
NOTE DE LECTURE Le téléphone public, cent ans d usages et de techniques de Fanny CARMAGNAT par André TURCOTTE «Pourquoi s intéresser au téléphone public?» En posant cette question dès le début de son livre,
Plus en détail