LES PAONS Les Espèces
|
|
- Vivien Marier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LES PAONS Les Espèces Généralités et spécificités des différentes espèces : Généralités Le nom Paon est le nom commun utilisé pour désigner les membres de deux espèces de grands oiseaux de la famille des Faisans, famille des Phasianidés. Pavo cristatus (paon indien) et Pavo muticus (vert paon), caractérisées par le port d'une crête, de longues jambes, de lourdes ailes, et un plumage resplendissant bleu ou vert ainsi que, pour les mâles, de longues et brillantes plumes de couverture supérieure de la queue qui peuvent être érigées et déployées en éventail et qui ont des taches iridescentes qui ressemblent à des yeux, les ocelles. Bien que techniquement le mâle soit un paon et la femelle une paonne, le terme «Paon» est souvent utilisé à la fois pour les mâles et les femelles et la femelle est parfois appelée femelle de paon. Le terme «paon» est aussi utilisé pour un autre membre de la famille dans un autre genre, le Paon du Congo, Afropavo congensis. Nous verrons plus loin dans la partie consacrée à cette espèce si ce terme est employé à bon escient. Les Paons sont célèbres à cause de la traîne extravagante des mâles qu'ils déploient dans le cadre de leur cour aux dames Paon. Bien que la principale fonction de cette traîne soit la séduction des femelles en vue de la reproduction, elle a aussi fait du paon un oiseau d'ornement très populaire, ravissant les yeux de ses détenteurs. Sur le plan écologique, ils ont une rôle dans la chaîne alimentaire, tantôt prédateur, tantôt proie, en consommant divers invertébrés, de petits vertébrés et des matières végétales, et étant à leur tour mangés par les plus gros animaux et par les oiseaux prédateurs. Ce sont plus spécialement les poussins et les femelles qui en nichant sur le sol encourent le plus de risques mais quand ils sont adultes se percher dans les arbres leur offre une plus grande protection. Les Paons font partie d'une famille de Galliformes, les Phasianidés, qui inclut également les Faisans, les Cailles, les Perdrix, et les Coqs Sauvages. Ce sont des espèces terrestres, variables en taille, mais généralement dodues, avec des ailes relativement courtes. Beaucoup ont un éperon épais sur leurs pattes. Les mâles des plus grandes espèces sont parfois très colorés Les deux espèces connues sous le nom de paon sont les suivantes : Paon indien, Pavo cristatus (asiatique), également connu sous le nom de Paon commun ou de paon bleu Paon vert, Pavo muticus (asiatique), Pavo muticus
2 Pavo cristatus Pavo muticus Le Paon indien est présent sur tout le sous-continent Indien. Le paon vert se reproduit de Birmanie à l'est jusqu'à Java. L'UICN a listé le Paon vert parmi les espèces vulnérables en voie d'extinction à cause de la chasse et de la réduction de la surface et de la qualité de son habitat. Ces deux espèces sont des oiseaux au plumage spectaculaire et sont les plus grands membres des Phasianidés. Les mâles et les femelles des deux espèces ont une crêtes au sommet de la tête. Les mâles des deux espèces ont une traîne ou queue très longue et très élaborée qui est décorée par des ocelles aux reflets métalliques. Bien que communément appelé queue, il s'agit en fait des plumes de couverture supérieure de la base de la queue, tandis que la queue du paon est plus beaucoup plus courte et rigide et contribue à soutenir la traîne lors de la parade. Les paons sont des oiseaux forestiers. Ils se nourrissent et nichent au sol pour élever leurs jeunes, mais il sont capables de voler et ils se perchent dans les arbres. Durant la saison de reproduction, ils émettent souvent des cris aigus très fort. Les Paons sont omnivores et mangent des tiques, des termites, des fourmis, des sauterelles, des souris, des parties de plantes, des pétales de fleurs, des graines, des scorpions, des reptiles et des amphibiens.
3 Plumage (Description du plumage d'un mâle de paon bleu) Le mâle de paon bleu un plumage coloré de bleu-vert iridescent ou de vert. Ce que l'on appelle la queue du paon, aussi appelée «traîne» est composée des plumes très allongées de couverture de la queue. Les plumes de la traîne possèdent une série d'ocelles qui sont bien visibles quand la traîne est déployée. Les véritables plumes de la queue sont courtes et grises et sont visibles par derrière quand la traîne est déployée lors d'une parade nuptiale (comme sur l'iamge ci-contre). Durant la mue, les mâles perdent leur étourdissantes plumes de train et exhibent alors leur queue gris clair qui est normalement dissimulée sous la traîne. Le plumage de la femelle est un mélange de vert sombre, de brun et de gris. Elle n'a pas les longues plumes de la traîne du mâle mais possède une crête. La femelle peut aussi jouer de son plumage pour écarter la concurrence d'une autre femelle ou un danger qui menace ses jeunes. Le Paon vert (ou paon spicifère) est très différents en apparence du Paon indien. Le mâle a un plumage vert et or et une crête dressée sur la tête. Les ailes sont noires avec des reflets bleus. Contrairement au Paon indien, la femelle de paon vert est très semblable au mâle, ayant seulement une couverture supérieure de la queue plus courte et des couleurs moins iridescentes sur certaines régions du plumage. Comme pour les autres paons, il est difficile de différencier un jeune mâle adulte d'une femelle adulte. En outre, les deux sexes des différentes espèces de paons sont presque impossible à distinguer sur le terrain en période de mue. Pour séduire les femelles, le Paon mâle possède une traîne qu'il déploie en formant la «roue». Beaucoup des brillantes couleurs du plumage du Paon mâle sont dues à un phénomène d'interférence optique (Réflexion de BRAGG) basé sur des nano-structures qui se trouvent dans les barbules (semblables à des fibres) des plumes. L'iridescense des couleurs verte ou bleu est obtenue grâce à des pigments spéciaux et des interférences de lumière. Celle-ci est décomposée lorsqu'elle traverse les lamelles de kératine présentent sur les barbules. Plus l'oiseau est âgé, plus l'accumulation de ces pigments est importante. Une étude réalisée au Parc de CLERES dans les années 90 a montré que les femelles préfèrent les plus «beaux» mâles mais aussi les plus «sportifs» (c'est à dire ceux qui paradent le plus). En 1995, une autre étude a été réalisée en Inde, par des ornithologistes. Le but était de départager deux hypothèses : l'une émise par PETRI en 1991 indiquait que le choix de la femelle n'était guidée que par la morphologie de la traîne,
4 RANDS (1984) ayant suggéré que l'accouplement était le résultat des effets combinés du comportement du mâle et du choix de la femelle basé sur des caractères phénotypiques. L'étude porta sur un groupe de onze mâles. Ils furent suivis de juin à juillet 1994, (pic de la période d'accouplement). Cette étude a conclu que le taux d'accouplement varié en fonction de facteurs comportementaux, notamment les cris, mais aussi à cause de la morphologie de la traîne. Cependant, c'est la longueur de l'appel et non le nombre d'appels qui sert de signal dans le choix de la femelle. Chez le paon indien, la capacité à produire des appels nuptiaux se développent probablement avec l'âge. Ceci a été démontré au cours de l'étude : les mâles immatures ne produisent pas d'appels nuptiaux, et deux mâles qui paradaient pour la première fois n'ont pu produire aucun appel de plus de cinq notes. La longueur des plumes de la queue, qui correspond à la longueur de la traîne, est en lien avec la réussite d'accouplement. Cela conforte PETRI qui indiquait que l'aspect de la traîne servait de signal pour le choix de la femelle. Des études menées sur d'autres espèces à longues plumes de queue ont montré que les femelles préféraient s'accoupler avec des mâles ayant les plus longues plumes Habitat : Le Paon asiatique occupe la même niche écologique que le Géocoucou de Californie, le Serpentaire ou encore le Seriemas. Tous ces oiseaux chassent des petits animaux dont des arthropodes sur le sol et dans les grandes herbes et des vairons dans les ruisseaux. A cause de l'invasion humaine de leurs territoires naturels, les contacts entre les Paons et les humains sont en augmentation croissante. A cause de leur beauté naturelle, quelques-uns sont réticents à classer le paon parmi les oiseaux nuisibles ; cependant leur présence peut être perturbante, particulièrement leur tendance à dévaster les jardins sans distinction et les cris puissant du mâle (plus fort que ceux du corbeau). Dans certaines parties du Monde, Des Paons se sont échappés de captivité pour former de petites populations sauvages, c'est le cas notamment en Floride et en Californie. Il a été introduit en Australie et en Nouvelle-Zélande ainsi qu'aux Bahamas Espèces : Le Paon indien est monotypique, tandis que pour le Paon vert, trois sous-espèces ont été, pour l'instant, décrites : Pavo Muticus musticus (Paon spicifère de JAVA), Pavo musticus spicifer (Paon spicifère de BIRMANIE), Pavo musticus imperator (Paon spicifère d'indochine), l'espèce nominale est le P. m. Musticus (Madge et McGowan, 2002). Les deux espèces de Paons sont largement allopatric, c'est à dire que leur aire de distribution sont largement séparées et les oiseaux ne devraient normalement pas se rencontrer et donc ne pas s' hybrider. Toutefois, en captivité, les deux espèces s 'hybrident
5
Le compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailSOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions
CYCLE 1 SOMMAIRE Des jeux tout prêts Colorie les animaux Le pelage des animaux Mères et petits Les modes de locomotion Animaux mélangés Plumes, poils et écailles Ranger les familles par ordre de taille
Plus en détailDemande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages
Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Première tournée / premier spectacle Nouvelle tournée / nouveau spectacle Entrée en Suisse de l étranger
Plus en détailChapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux
Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu
Plus en détailDemande d autorisation de faire du commerce d animaux
Demande d autorisation de faire du commerce d animaux 1 Autorité et auteur de la demande 1.1 Adresse du service cantonal de la protection des animaux (adresse d envoi): 1.2 Nom et adresse de la personne
Plus en détailPetit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis
Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailNom : Prénom : Date :
J observe le livre dans son ensemble, je le feuillette et je réponds aux 1) Je complète la carte d identité du livre. Titre du livre Nom de l auteur Nom de l illustrateur Editeur Collection Genre 2) Qui
Plus en détailSarcelle d été. Anas querquedula
Sarcelle d été Anas querquedula Neil Fifer Sarcelles d été Hong Kong. R.P de Chine Principaux caractères spécifiques La sarcelle d été est un canard de petite taille, un peu plus massif que la sarcelle
Plus en détailCompréhension de lecture
o Coche pour indiquer si les phrases sont es ou o Paul et Virginie sont assis sur des fauteuils très confortables. o Virginie a une robe à pois. o Paul boit un café fumant dans une tasse rouge. o Virginie
Plus en détailIntroduction. Description. Cet oiseau :
Introduction Cet oiseau : est capable de se souvenir pendant 28 jours au moins de l'endroit où elle a caché de la nourriture abaisse la température de son corps la nuit de 10 à 12 oc plus bas que celle
Plus en détailNiveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus
Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes
Plus en détailCahier d enquête. Suspect N 5. Reproduction interdite
Cahier d enquête Suspect N 5 Reproduction interdite 1ère étape : dé découvrez votre suspect Le Gypaè Gypaète barbu À l aide du plan, trouvez le Gypaète barbu dans les expositions. Le Gypaète barbu est
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailMythe : Le chien est un omnivore. C'est faux!!
Mythe : Le chien est un omnivore C'est faux!! Les chiens sont des carnivores et non des omnivores. La théorie selon laquelle les chiens sont omnivores reste à être prouvée, alors que le fait que les chiens
Plus en détailFAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE. Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne)
FAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne) LA TRAME VERTE ET BLEUE RECONSTITUER UN RÉSEAU DE CONTINUITÉS ÉCOLOGIQUES Permettre à la faune
Plus en détailSurligne les phrases si elles sont justes :
1) L escargot a besoin de chaleur. Entoure : L escargot est un : 2) Il sort de sa coquille quand l atmosphère est sèche. VERTEBRE - INVERTEBRE 3) Sans coquille, l escargot meurt. OISEAU REPTILE - MOLLUSQUE
Plus en détail>Si j ai réussi, je suis capable de
Fiche 10 Rechercher des informations sur Internet La plupart des informations disponibles sur Internet sont gratuites à la consultation. Elles sont présentées par des personnes ou des organisations qui
Plus en détailVégétaux Exemples d individus
Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailSAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...
SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps
Plus en détailL extermination des coquerelles
L extermination des coquerelles De la façon la moins toxique Guide pratique pour se débarrasser des coquerelles dans les maisons et appartements AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL : Au cœur de l habitation
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailAnalyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés
Analyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés Professeur Patrice Francour francour@unice.fr Une grande partie des illustrations viennent
Plus en détailGranulés anti-limaces : pas sans risques!
Granulés anti-limaces : pas sans risques! Conseils pratiques pour une utilisation et un stockage corrects et sans danger pour vos animaux domestiques Comment utiliser et stocker sans danger les granulés
Plus en détail92% d ingrédients biologiques * 21 tests cliniques INFINIMENT PURE, INFINIMENT BELLE, COLOR CARE.
INFINIMENT PURE, INFINIMENT BELLE, COLOR CARE. *Moyenne de tous les composants du kit de coloration ÆQUO COLOR 92% d ingrédients biologiques * 21 tests cliniques ÆQUO, toute la philosophie de la marque
Plus en détailGUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES
GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES CRIME EN EAUX PROFONDES LE MOBILE DU CRIME ET LE COMPLICE Parce qu on pêche trop, trop loin, trop profond, nos océans sont en train de mourir, tout spécialement
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailRessources pour l école élémentaire
Ressources pour l école élémentaire éduscol Découverte du monde Progressions pour le cours préparatoire et le cours élémentaire première année Ces documents peuvent être utilisés et modifiés librement
Plus en détailCalopteryx vierge Mâle et femelle ne se ressemblent pas. Le mâle du Calopteryx vierge a des ailes brun noir foncé veinées de bleu. Ce redoutable prédateur reste perché sur des plantes de la berge ou sur
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailC ÉTAIT IL Y A TRÈS LONGTEMPS QUAND LE COCHON D INDE N AVAIT PAS ENCORE SES POILS.
C ÉTAIT IL Y A TRÈS LONGTEMPS QUAND LE COCHON D INDE N AVAIT PAS ENCORE SES POILS. MAIS UN JOUR IL PARTIT PLUS AU NORD POUR DÉCOUVRIR LE MONDE. IL MARCHAIT, MARCHAIT, MARCHAIT SANS S ARRÊTER.IL COMMENÇA
Plus en détailÉvaluation des terrains contaminés et des milieux humides par Me Luc Villiard
PRÉSENTÉ AU CONGRÈS DE L ASSOCIATION DES ÉVALUATEURS MUNICIPAUX DU QUÉBEC, LE 28 MAI 2011 Évaluation des terrains contaminés et des milieux humides par Me Luc Villiard Terrains contaminés 2 Terrains contaminés
Plus en détailLes jours de la semaine
Les jours de la semaine Les jours de la semaine S enfilent un à un Comme les billes d un grand collier Dans un ordre, ils se suivent Chaque jour se ressemble Chaque jour est différent Mais on ne peut les
Plus en détailLes méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)
Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailLes bases de données en ligne
Les bases de données en ligne Information-documentation, 1 ère Bac pro et BTSA La liste des bases de données présentées ici n est pas exhaustive. A vous de développer votre connaissance des sites Internet
Plus en détailLa reconnaissez- vous?
La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès
Plus en détailComment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET?
Comment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET? Décembre 2010 En 2009, Eco-Emballages, ELIPSO et Valorplast se sont associés pour conduire une étude d évaluation des impacts environnementaux
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailPRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON
Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20
Plus en détailLes principaux thèmes liés à cette cause sont :
S engager pour l environnement Les hommes sont dépendants de leur environnement : c est leur lieu de vie. C est pourquoi lutter contre la pollution et le gaspillage est important. La défense de l environnement,
Plus en détailLes Français et la nature
Les Français et la nature Contact Frédéric Micheau Directeur des études d opinion Directeur de département Tel : 01 78 94 90 00 fmicheau@opinion-way.com http://www.opinion-way.com Mars 2015 1 Méthodologie
Plus en détailun certain recouvrement Michaële Andrea Schatt Parc du palais de Compiègne
un certain recouvrement Michaële Andrea Schatt Parc du palais de Compiègne La floraison tardive et luxuriante de dahlias à l automne dans le Petit Parc du Palais de Compiègne laisse la place de novembre
Plus en détailLISTE DE PROTECTION DES ESPÉCES
LISTE DE PROTECTION DES ESPÉCES Le caractère natif ou introduit des espèces a été défini à partir des considerations de Pascal et al (Pascal M, Lorvelec O, Vigne JD, Keith P, Clergeau P eds (2003) évolution
Plus en détailCORRIGES Plan de la séance
CORRIGES Plan de la séance 1. Corriges Compréhension écrite 2. Corriges Compréhension orale 3. Corriges Syntaxe 4. Corriges Vocabulaire 5. Corriges Conjugaison 6. Corriges Lecture d'élargissement 7. Corriges
Plus en détailCompléments et commentaires liés à l outil d initiation à la biodiversité à destination du secteur privé
Compléments et commentaires liés à l outil d initiation à la biodiversité à destination du secteur privé Afin de parfaire la présentation «Initiation à la biodiversité à destination du secteur privé»,
Plus en détailEXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions
Prop. 11.33 EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II Autres propositions A. Proposition Transférer Eunymphicus cornutus cornutus de l'annexe II à l'annexe I. La perruche de la chaîne a
Plus en détailAménagement d une cour d un lycée agricole
Aménagement d une cour d un lycée agricole Renseignements. Structure porteuse : Lycée agricole de Challuy- EPL Challuy-Cosne-Plagny Standard : 03.86.21.66.00 Proviseure Adjointe M md Caroline Galmard :
Plus en détailLIVRET DE RESTITUTION
LIVRET DE RESTITUTION ESPACE TRUILLOT...... IMAGINONS UNE PROMENADE PLANTÉE Atelier de sensibilisation à la ville et à l architecture 2012 CAUE de Paris 2 L architecture et le paysage urbain composent
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailSpotmarker Fluo & Non Fluo Linemarker Ecomarker Allroundmarker
www.motipdupli.de SPRAYS DE MARQUAGE POUR LES PROFESSIONNELS Spotmarker Fluo & Non Fluo Linemarker Ecomarker Allroundmarker CONTENU CONTENU Page QUALITÉ MOTIP DUPLI 2 SPRAYS DE MARQUAGE COLORMARK 3-4 Trouvez
Plus en détailSOMMAIRE. Des dallages de caractère pour des piscines très exclusives RUSTIQUE BULLÉE 04 ABBAYE 12 PIERRE DU LOT 10 COLLÉGIALE 16
2011 Des dallages de caractère pour des piscines très exclusives De l atmosphère restituée des anciennes bâtisses à l esprit de modernité des maisons contemporaines, les dallages et margelles PIERRA signent
Plus en détailCycle résumé. http://le-stylo-de-vero.eklablog.com
Le Ver de farine est un insecte holométabole de l'ordre des Coléoptères (insectes à carapace dure) et de la famille des Ténébrionidés, d'où son nom de genre : Tenebrio. Ici, l'espèce étudiée est le molitor,
Plus en détailPour des séminaires d exception...
Pour des séminaires d exception... - 01 - L A B B AY E D E T A L L O I R E S U N H AV R E D E PA I X D E S É R É N I T É & D E R A F F I N E M E N T... Situé sur les rives du Lac d Annecy, lac le plus
Plus en détailA 1 auteur. Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois en 1979
Ne pas citer sans faire r~f~rence A 1 auteur Comit~ scientifique consultatif des peches canadiennes dans l 1 Atlantique CSCPCA Document de recherche 81/66 Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois
Plus en détailLE RESEAU AFRICAIN D INFORMATION ENVIRONNEMENTALE
LE RESEAU AFRICAIN D INFORMATION ENVIRONNEMENTALE PREMIERE ETAPE : 2003 à 2004 Questionnaire DERNIER AVANT-PROJET, Version 2.1 RESEAU AFRICAIN D INFORMATION ENVIRONNEMENTALE - RAFINE EVALUATION DES CAPACITES
Plus en détailA chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.
CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance
Plus en détailKardó. Une combinaison infinie de lumiere
Kardó Une combinaison infinie de lumiere CONCEPT Design: eer architectural design, Belgique 2 - Kardó Kardó est un système d éclairage spécial qui permet de s adapter à l architecture à travers tout le
Plus en détailPaysage de nuages. Objectif. Matériel. Vue d ensemble. Résultats didactiques. Durée. Niveau
Objectif Aider les élèves à identifier certaines caractéristiques des nuages. Permettre aux élèves d observer les nuages, de les décrire avec un vocabulaire simple et de comparer leurs descriptions avec
Plus en détailun très vieux parent!
Le parcours des objets,... de la fouille au musée! Dessin : Sonia Souvenir CEDARC Tous les objets présentés dans le musée ont été découverts lors de fouilles archéologiques. Ils ont été dégagés de la terre,
Plus en détailfiche m mo technique
fiche m mo technique les lois de la colorimétrie Les lois DE LA COLORIMétrie... Les lois de la colorimétrie s appliquent pour tous les supports du papier, à la toile aux cheveux en passant par l objet
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailActivités Bureau des Guides
Activités Bureau des Guides au départ du CENTRE DE DEPAYSEMENT ET DE PLEIN AIR DE MARBEHAN 1 Table des Matières Introduction I. Faune II. Habitats III. Wildcraft & Orientation IV. Coin des Artistes V.
Plus en détailMONTELIMAR ENERGIE POSITIVE
STRATEGIE DEVELOPPEMENT DURABLE 2014/2020 document interne MONTELIMAR ENERGIE POSITIVE p.1/11 BIODIVERSITE & ENERGIE 2 ATOUTS FORTS POUR REPONDRE AUX ATTENTES DES MONTILIENS EN MATIERE DE DEVELOPPEMENT
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailIsole des bruits de musique, TV, rires, cris, ronflements, toux, machine à laver
> Isole des bruits de musique, TV, rires, cris, ronflements, toux, machine à laver L ESA, un matériau révolutionnaire hautes performances (Brevet n 9711656) Efficacité testée par le CSTB * *Centre Scientifique
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailPrendre les empreintes des chapeaux de champignons ou comment faire une sporée
Prendre les empreintes des chapeaux de champignons ou comment faire une sporée Choisir les champignons Figure 1 Dès l'arrivée du printemps et jusqu'à l'automne, les champignons font partie de notre environnement,
Plus en détailSciences de la vie et de la Terre
Sciences de la vie et de la Terre Thème 2 B Enjeux planétaires contemporains - La plante domestiquée Table des matières 1 : La plante cultivée : le Maïs...Erreur! Signet non défini. 2 : Les variétés de
Plus en détailNormes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)
105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailQUESTIONNAIRE CAHIER DES CHARGES POUR FACILITER LA CREATION DE VOTRE SITE WEB
QUESTIONNAIRE CAHIER DES CHARGES POUR FACILITER LA CREATION DE VOTRE SITE WEB 1. Quel est mon idée? Mon concept? Un site vitrine Un portfolio Un site de commerce 2. Quel est l objectif de mon site? 3 quels
Plus en détailLa notion de croissance (végétale) en sixième et en première S.
La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. Activité proposée : La notion de croissance est abordée en classe de 6 ème et elle est traitée en première S. Montrez sur cet exemple qu
Plus en détailEn rouge et noir. 4,50 juin 2011 - n 1326 M 01054-1326 BEL : 4,50 FRANCE METRO : 4,50 - ANT/GUY : 5 - REU : 4,50 - BEL : 4,50 - ESP : 3,80
Zoom 4,50 juin 2011 - n 1326 FRANCE METRO : 4,50 - ANT/GUY : 5 - REU : 4,50 - BEL : 4,50 - ESP : 3,80 GR : 3,80 - ITA : 4,60 - LUX : 2,60 - MAROC : 25 dh - NL : 5 En rouge et noir M 01054-1326 BEL : 4,50
Plus en détailProtocoles pour le suivi des pontes de tortues marines dans le cadre de Protomac. Professeur Marc Girondot
Muséum National d'histoire Naturelle de Paris Département de Systématique et Evolution Laboratoire des Reptiles et Amphibiens 25 rue Cuvier 75005 Paris & Laboratoire Ecologie, Systématique et Evolution
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailBlocs ID Craft Commentaires Infos Méta-données
Blocs ID Craft Commentaires Infos Méta-données Rhyolite claire 1:7 Rhyolite claire polie 1:8 Rhyolite 1:9 Rhyolite polie 1:10 Rhyolite sombre 1:11 Rhyolite sombre polie 1:12 Grès 24 Poser le bloc au sol
Plus en détailENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET
1 ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET Introduction L Internet a révolutionné notre façon d échanger des idées, des informations et des marchandises. Tout naturellement, cette technique
Plus en détailFORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE
Comment une étoile évolue-t-elle? Comment observe-t-on l'évolution des étoiles? Quelques chiffres (âges approximatifs) : Soleil : 5 milliards d'années Les Pléiades : environ 100 millions d'années FORMATION
Plus en détailCONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013
Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin
Plus en détail1. Cliquez sur dans le coin supérieur gauche de l'écran 2. Sélectionnez la Langue de l'interface désirée 3. Cliquez sur
NOTIFICATIONS GUIDE Le module Notifications permet de retrouver des notifications en utilisant les champs spécifiques de la base de données du Registre central des notifications (RCN). Il comporte une
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailHéron. branché NOUVEAUTÉ CET AUTOMNE! 22 octobre au 2 novembre
Le petit Héron branché Infolettre pour les professionnels de l éducation www.heritagestbernard.qc.ca Volume 3 Numéro 3 AUTOMNE 2012 NOUVEAUTÉ CET AUTOMNE! 22 octobre au 2 novembre Le À lire dans cette
Plus en détailL'écologie. Introduction à l écologie des communautés. Différents types de niveau d organisation correspondent à différents domaines de l écologie
Introduction à l écologie des communautés L'écologie! Ecologie : des mots grecs "Oikos", maison / habitat, et "logos", discours / étude! Ecologie : Science qui étudie les organismes (leur distribution
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailCampagne. aprem GELAUCOURT. les. à la. août 25. septembre 15 16. DOSSIER DE PRESENTATION Éditions précédentes Programme prévisionnel 2012
Grand Prix Européen et National du fleuriement Expoition Métier d Art Café Concert Pain cuit à l ancienne Animation pour enfant Jardin Remarquab 8 9 août 25 26 eptembre 15 16 DOSSIER DE PRESENTATION Édition
Plus en détailElfenland Règles du jeu
Home > Elfenland > Règles de base Choisir un jeu Elfenland Règles du jeu Idée du jeu Dans le Pays des Elfes, les jeunes elfes doivent passer une épreuve très particulière avant de pouvoir pénétrer dans
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailLES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE
LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE Au I er siècle après Jésus-Christ, la ville romaine d Arles (photo ci-dessous) est entourée de remparts. Elle comporte de grandes rues principales appelées Cardo et Decumanus.
Plus en détailDETERMINATION DE LA CONCENTRATION D UNE SOLUTION COLOREE
P1S2 Chimie ACTIVITE n 5 DETERMINATION DE LA CONCENTRATION D UNE SOLUTION COLOREE Le colorant «bleu brillant FCF», ou E133, est un colorant artificiel (de formule C 37 H 34 N 2 Na 2 O 9 S 3 ) qui a longtemps
Plus en détailEst-ce important si elle ne peut pas le faire?
ELLE ADORE SE PERCHER DANS LES ARBRES Est-ce important si elle ne peut pas le faire? Se percher dans les arbres n est que l un des plaisirs de la poule pondeuse. Elle descend d un oiseau des bois de petite
Plus en détailLe séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA
Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détail- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires
Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences
Plus en détailLES NOUVEAUTÉS DE ARCON 15 PRO
LES NOUVEAUTÉS DE ARCON 15 PRO La version 15 Professionnelle du moteur Arcon introduit les nouveautés suivantes. Notez que ces nouveautés ne sont pas présentes dans la version 15 SMB du moteur Arcon. SOMMAIRE
Plus en détailFiche pédagogique : ma famille et moi
Fiche pédagogique : ma famille et moi Tâche finale de l activité : Jouer au «Cluedo» Niveau(x) Cycle 3 Contenu culturel : - jeux de sociétés Connaissances : Connaissances requises : - cf séquences primlangue
Plus en détailOrganisme certificateur : 10 rue Galilée 77420 Champs sur Marne Tél : +33 (0)1 72.84.97.84 Fax : +33 (0)1 43 30 85 65 www.fcba.fr. www.marque-nf.
N d identification AFNOR Certification : NF 061 MQDQ-CERT 15-306 du 18/01/2015 N de Révision : 16 Date de mise en application : 04/03/2015 Annule et remplace le MQDQ-CERT /14-324 du 15/05/2014 REGLES GENERALES
Plus en détailLes macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH
Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et
Plus en détail