Caractérisation et évaluation des. thermique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Caractérisation et évaluation des. thermique"

Transcription

1 Caractérisation et évaluation des différents modes de stockage thermique Aline AUROUX IRCELYON J Excel 3 CPE 20 novembre 2014

2 STOCKAGE DE CHALEUR THERMOCHIMIQUE NÉCESSITÉ D UN STOCKAGE DE CHALEUR SAISONNIER L une des sources d énergie renouvelable la plus abondante est l énergie solaire. L incidence solaireannuelle annuelle surune une petite maison d habitation est substantiellement plus grande que l énergie nécessaire pour chauffer la maison à certaines périodes. Cependant, l énergie solaire présente le net désavantage qu elle n est majoritairement disponible qu en été, alors que la demande en énergie a lieu en hiver. 2

3 Stockage thermique Sorption Chaleur sensible Chaleur latente E m, sens cp 2 T ( T T) ) 1 E m, latente H fusion Absorption Adsorption Réaction chimique d hydratation LiBr/H 2 O, LiCl/H 2 O, CaCl 2 /H 2 O, Gel de silice, zéolithes, charbon actif, silicealumine, MgSO 4, MgCl 2, Fe(OH) 2 CaSO 4,... Eau, béton, roche compacte, terre avec gravier, MCP organiques (paraffines, acides gras,...) MCP inorganiques i (sels hydratés, eutectiques, ) Composites 3

4 STOCKAGE DE CHALEUR THERMOCHIMIQUE SYSTÈMES DE STOCKAGE DE CHALEUR À LONG TERME POSSIBLES Principalement basés sur un stockage de chaleur sensible, latente ou thermochimique. L eau Leau est souvent utilisée pour le stockage de chaleur sensible, cependant pour un stockage à long terme il faudrait un réservoir de plus de 50 m 3, irréaliste pour une petite maison d habitation. Les stockages de chaleur latente ou thermochimique nécessitent de bien plus faibles volumes et ont le potentiel pour produire 5 14 fois plus de chaleur par unité de volume. 20 novembre 2014 J Excel3 4

5 STOCKAGE DE CHALEUR THERMOCHIMIQUE MATERIAUX DE STOCKAGE DE CHALEUR THERMOCHIMIQUE Actuellement les matériaux à plus fort potentiel de stockage de chaleur à long terme sont les matériaux de stockage de chaleur chimique. Ils ont une forte densité de stockage d énergie et la propriété de ne pas perdre d énergie thermique durantleur stockage. Les hydrates de sel tels que LiBr.2H 2 O, Al 2 (SO 4 ) 3.16H 2 O, CaCl 2.4H 2 O, MgCl 2.6H 2 O, et MgSO 4.6H 2 O (parmi d autres) sont desmatériaux prometteurs. A. Auroux 5

6 Densité dénergievolumique d énergie en fonction de latempérature de stockage m3) Chimique mique (kwh/ 1000 MgSO 4 dense Ca(OH) 2 CaCO 3 'énergie volu Densité d' 100 MCP Na 2 HPO 4.H 2 O Na 2 SO 4 CaCl 2.H 2 O Silice Zeolite Sorption Composite Chaleur sensible eau Béton Température ( C) 6

7 LE CONCEPT STOCKAGE THERMOCHIMIQUE eau/ composites solides Déshydratation (charge) du matériau de stockage de chaleur chimique en utilisant l énergie solaire. Hydratation du matériau de stockage de chaleur par utilisation de l air humide intérieur comme source de vapeur d eau eau. Le matériau restitue (décharge) la chaleur précédemment stockée. La chaleur émise sert à chauffer l air frais entrant via un échangeur de chaleur. 7

8 Choix des matériaux de systèmes de stockage thermochimique Densité de stockage énergétique élevée (kwh/m3) ; Stabilité thermique et mécanique des matériaux ; Cyclage facile ; Perte thermique faible ; Intégration facile dans le système du bâtiment ; Impact environnemental faible ; Maintenance facile ; Système compact ; Coût faible COMPOSITES: support + hd hydrate de sel

9 La matrice poreuse : choix du support Mésoporeux 2nm< d p >50nm silice-alumine Microporeux d p >2nm zéolithes Structure désordonnée Structure ordonnée (amorphe) (cristalline) 9

10 Stockage de chaleur thermochimique à long terme CHOIX DE L HYDRATE DE SEL - Haute densité d énergie - Pas de perte de chaleur Hydratation/déshydratation de MgSO 4 10

11 Thermogravimétrie: déshydratation de MgSO 4,7H 2 O A 150 C, 89% en masse d eau est désorbée 11

12 STOCKAGE THERMOCHIMIQUE eau/ composites solides MATERIAUX Sels: CaCl 2, MgSO 4, LiNO 3, Ba(OH) 2... CEPENDANT, durant l hydratation du sel anhydre, une croûte se forme (de sel hydraté) qui inhibe la diffusion de l eau dans la masse du matériau. Par conséquent, cette croûte empêche la récupération totale de la chaleur stockée dans le matériau. Disperser le sel sur un matériau hôte est une bonne méthode pour utiliser totalement les capacités de stockage / relargage de chaleur du sel. Les meilleurs supports sont des matériaux fortement poreux ( par ex zéolithes,..)car ils sont eux mêmes efficaces dans l adsorption de composés tels que l eau, avec fort dégagement de chaleur. 20 novembre 2014 A. Auroux 12

13 La procédure TG-DSC déshydratation par chauffage (2 C/min) de 20 C jusqu à 150 C suivi d une isotherme à 150 C de 3heures, avant de refroidir le composite à la température ambiante. Désorption à T=150ºC Hydratation-1y àl aided unfluxsaturéeneau à une température de 20 C; Pression de vapeur = 7.8 mbar (RH=30%) pendant 16 heures. Déshydration-11 à 150 C. Hydratation-2 à 20 C. RH= 30% Déshydration-2 à 150 C Adsorption à T=20ºC 1.Hydratation à Pv=0.86kPa. RH=30% à pression de vapeur 13 saturante = 2.6kPa. Température adsorption = 20 C.

14 STOCKAGE THERMOCHIMIQUE Eau/ composites solides RESULTATS ANALYSE THERMOGRAVIMETRIQUE (TG) Mesure de la perte en masse d eau de chaque matériau à des températures de déshydratation spécifiques. ( c est à dire pendant l été, fig ci dessous) Mesure du gain de masse en eau quand le matériau est réhydraté ( c est à dire l hiver) Tempera ature ( o C) Time (min) loss (mg) Mass 14

15 STOCKAGE THERMOCHIMIQUE Eau/ composites 15 RESULTATS DIFFERENTIAL SCANNING CALORIMETRY (DSC) Mesure de la température et du flux de chaleur associé à la réaction. Lors de la déshydratation, la chaleur est stockée (charge) et correspond à un pic endothermique: Ex. Zéolithe 13X ci dessous. Enthalpie: Chaleur de désorption en J/g of matériau. Chaleur de désorption en kj/mol de H 2 O (en associant à la perte de masse en eau par TG). mperature ( o C) Te A B Time (min) Heat Flow (mw) 20 novembre 201 A; Auroux 15

16 STOCKAGE THERMOCHIMIQUE Eau/ composites DIFFERENTIAL SCANNING CALORIMETRY (DSC) Pendant l hydratation, la chaleur est restituée (décharge), correspondant à un pic exothermique ( Zéolithe 13X) Temperature ( o C) A Time (min) Sample Temperature ( o C) Hydration TG (mg) Heat flow (mw) 20 novembre 2014 A. Auroux 16 B g) Mass Gain (m Heat Flow (mw W)

17 TG DSC: Eau/Supports Zeolithes Hydration heat (kj/mol H2O) Dehydration heat (kj/mol H2O) Hydration heat (J/g of material) Heat of Hydra ation/dehydr ration (kj/m ol of H2O) Heat of Hydration (J/g of mater rial) Zeolite 13X Mordenite Zeolite Y (Na) Zeolite Y (H) 17 17

18 Heat of hy ydration (J/g of materia al) STOCKAGE THERMOCHIMIQUE Eau/ composites solides Zeolite only 15 wt% MgCl2 15 wt% MgSO4 Na X MOR Na Y H Y Na X MOR Na Y H Y Zéolithe Na Y contenant 15 wt% MgCl 2 donne les plus fortes chaleurs de sorption de l eau (1173 J/g)

19 Analyse TG DSC : Eau/ Composites Zeolite 13X +MgSO 4 (0 15wt.%) Hydration Heat (kj/mol H2O) Dehydration Heat (kj/mol H2O) Hd Hydration Heat (J/g of material) He eat of Hydratio on/dehydratio on (kj/mol of H2O) Heat of H ydration (J/g of material) 0 Zeolite 13X 13X 5% MgSO4 13X 10% MgSO4 13X 15% MgSO S A. Auroux 19

20 PRINCIPE DU STOCKAGE PAR ABSORPTION de vapeur d eau deau par une solution saline CHARGE

21 PRINCIPE DU STOCKAGE PAR ABSORPTION par une solution saline Intervalle température DECHARGE Générateur Condenseur Evaporateur Absorbeur C C 5 10 C C

22 STOCKAGE THERMOCHIMIQUE Solutions aqueuses salines CARACTERISTIQUES DE L ABSORBANT LiBr! x 20 septembre 2014 A. Auroux 22

23 Faible pression de vapeur au dessus de la solution saturée en sel Cristallisation du sel dans le réservoir sous une forme peu hydratée Forte solubilité dans l eau leau STOCKAGE THERMOCHIMIQUE solutions aqueuses salines PROPRIÉTÉS CLÉS: Forte capacité d absorption d eau Forte solubilité dans l eau Faible coefficient d activité dans l eau H 2 O (g) H 2 O (g) H H 2 O (g) H 2 O (g) 2 O (g) Salt+H 2 O (l)salt+h 2 O (l) Salt+H 2O (l) 20 novembre 2014 Mesure des enthalpies de dissolution par calorimétrie de titration A. Auroux Mesure des pressions de vapeur par DVS 23

24 STOCKAGE THERMOCHIMIQUE Solutions aqueuses salines ENTHALPIE DE DISSOLUTION: mesure faite par calorimétrie de titration Pousse seringues seringues (eau dégazée) Système d injection Préchauffage Cellule d analyse Agitation magnétique 20 novembre 2014 A. Auroux 24

25

26 MCP: MATERIAUX A CHANGEMENT DE PHASE Un matériau à changement de phase est une substance à haute chaleur de fusion, qui fondant et se solidifiant à une certaine température, est capable de stocker et restituer de grandes quantités d énergie. La chaleur est absorbée ou restituée quand le matériau passe de solide à liquide et viceversa. Les MCP sont classés dans les LHS (latent heat storage material)

27

28 MATERIAUX à CHANGEMENT DE PHASE(MCP) Hautes valeurs de Cp et Ht Une température de transition compatible avec l applicationli i Stabilité à long terme et résistance au cyclage Faible surfusion Pas de ségrégation de phase Forte conductivité thermique Faiblechangement de densité Bon marché

29 MCP

30 MCP

31 CHALEUR SENSIBLE

32 MERCI DE VOTRE ATTENTION REMERCIEMENTS: Simona BENNICI Amira JABBARI HICHRI Emeline LEFEBVRE Consortium STAID Setaram et C Therm

33

34

35

36

37

38

39

40

41

42

Stockage inter saisonnier de l'énergie solaire par procédé thermochimique

Stockage inter saisonnier de l'énergie solaire par procédé thermochimique Stockage inter saisonnier de l'énergie solaire par procédé thermochimique Lingai LUO Directeur de recherche CNRS LTN-UMR CNRS 6607, Nantes Nolwenn Le Pierres LOCIE-Université de Savoie Stockage de l'énergie

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

Institut National des Sciences Appliquées de Strasbourg GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE SYNTHESE. Le stockage de la chaleur sur réseau urbain

Institut National des Sciences Appliquées de Strasbourg GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE SYNTHESE. Le stockage de la chaleur sur réseau urbain Institut National des Sciences Appliquées de Strasbourg GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE SYNTHESE Le stockage de la chaleur sur réseau urbain Projet de Fin d Etudes réalisé au sein de l entreprise COFELY

Plus en détail

Transport longue distance et stockage d énergie calorifique, en couplage avec des procédés de valorisation énergétique des déchets

Transport longue distance et stockage d énergie calorifique, en couplage avec des procédés de valorisation énergétique des déchets Transport longue distance et stockage d énergie calorifique, en couplage avec des procédés de valorisation énergétique des déchets Etat de l art RECORD 09-0233/1A décembre 2011 RECORD ETUDE N 09-0233/1A

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

Le séchage des ateliers :

Le séchage des ateliers : Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr

Plus en détail

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,

Plus en détail

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015 Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la

Plus en détail

l énergie Technologies disponibles et recherches du CEA Jeudi 18 octobre 2012

l énergie Technologies disponibles et recherches du CEA Jeudi 18 octobre 2012 Le stockage stationnaire de l énergie Technologies disponibles et recherches du CEA Jeudi 18 octobre 2012 Contact Presse : CEA / Service Information-Media Tuline LAESER T. +33 (0)1 64 50 20 97 P. +33 (0)6

Plus en détail

hydrogène au service des énergies renouvelables

hydrogène au service des énergies renouvelables Le stockage solide de l hydrogl hydrogène au service des énergies renouvelables P. de Rango, D. Fruchart, S. Miraglia, Ph. Marty*, M. Jehan** J. Chabonnier, A. Chaise, S. Garrier, B. Delhomme, S. Nachev,

Plus en détail

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation

Plus en détail

le point sur Le stockage de l énergie Les technologies actuelles de stockage et leur état de maturité

le point sur Le stockage de l énergie Les technologies actuelles de stockage et leur état de maturité La transition écologique et énergétique apparaît pour tous comme nécessaire pour satisfaire les besoins d une population mondiale croissante en respectant les contraintes environnementales Cette évolution

Plus en détail

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation 4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

C3. Produire de l électricité

C3. Produire de l électricité C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par

Plus en détail

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée

Plus en détail

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie

Plus en détail

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

1/2000. Informations pour les utilisateurs des systèmes d'analyse thermique METTLER TOLEDO. Sommaire

1/2000. Informations pour les utilisateurs des systèmes d'analyse thermique METTLER TOLEDO. Sommaire 1/2000 Informations pour les utilisateurs des systèmes d'analyse thermique METTLER TOLEDO Chers clients L'année 2000 sera pour METTLER TOLEDO extrêmement intéressante dans le domaine de l'analyse thermique.

Plus en détail

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 CODEX STAN 212-1999 Page 1 de 5 NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 1. CHAMP D'APPLICATION ET DESCRIPTION La présente norme vise les sucres énumérés ci-après destinés à la consommation humaine

Plus en détail

SCIENCES TECHNOLOGIES

SCIENCES TECHNOLOGIES R essources MICHEL WAUTELET SCIENCES TECHNOLOGIES et SOCIÉTÉ Questions et réponses pour illustrer les cours de sciences De Boeck Introduction générale 5 Sciences, technologies, société 1. Quels sont les

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Stockage ou pas stockage?

Stockage ou pas stockage? Stockage ou pas stockage? Table des matières 1- Stockage chimique?...1 2- Stockage thermique?...3 3- Stockage thermique et chimique!...4 4- Conclusion...5 La question du surplus dans les installations

Plus en détail

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

Mesure de la surface spécifique

Mesure de la surface spécifique Mesure de la surface spécifique Introducing the Acorn Area TM Acorn Area est un instrument révolutionnaire conçu pour mesurer la surface spécifique des nanoparticules en suspension dans un liquide. Utilisant

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

Un bâti en tuffeau pour aujourd hui

Un bâti en tuffeau pour aujourd hui P a r c naturel régional Loire-Anjou-Touraine Les fiches techniques du Parc Patrimoine bâti Un bâti en tuffeau pour aujourd hui Réhabilitation d une ancienne grange en gîte touristique Localisation : Gîte

Plus en détail

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX

Plus en détail

2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid

2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

8/10/10. Les réactions nucléaires

8/10/10. Les réactions nucléaires Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que

Plus en détail

Des systèmes de chauffage avec pompe à chaleur et accumulateur de chaleur pour les construction dans les zones de montagne.

Des systèmes de chauffage avec pompe à chaleur et accumulateur de chaleur pour les construction dans les zones de montagne. Des systèmes de chauffage avec pompe à chaleur et accumulateur de chaleur pour les construction dans les zones de montagne. Formation à la promotion des énergies renouvelables à CEFIDEC Vatra Dornei Dănuţ

Plus en détail

Présentation générale des principales sources d énergies fossiles.

Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.

Plus en détail

Le Chauffe Eau Solaire Individuel

Le Chauffe Eau Solaire Individuel Le Chauffe Eau Solaire Individuel Schémas de principe et son fonctionnement Encombrement capteur et ballon Productivité Maintenance Durée Une place de champion dans la RT 2012 Le solaire comment ça marche?

Plus en détail

Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs

Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur

Plus en détail

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS

Plus en détail

QUESTIONS DE PHYSIQUE AUTOUR DE L ÉNERGIE SOLAIRE

QUESTIONS DE PHYSIQUE AUTOUR DE L ÉNERGIE SOLAIRE QUESTIONS DE PHYSIQUE AUTOUR DE L ÉNERGIE SOLAIRE P.Avavian/CEA C.Dupont/CEA CEA 10 AVRIL 2012 PAGE 1 PLAN Introduction : Définition de l énergie solaire I / Solaire Thermique II / Solaire Thermodynamique

Plus en détail

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier

Plus en détail

Autonome en énergie, la maison du futur

Autonome en énergie, la maison du futur Autonome en énergie, la maison du futur Pour les sources d'énergie fluctuantes telles que le photovoltaïque (PV), la synchronisation entre production et consommation n'est que partiellement possible. Des

Plus en détail

Les composites thermoplastiques

Les composites thermoplastiques Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état

Plus en détail

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura

Plus en détail

Système d énergie solaire et de gain énergétique

Système d énergie solaire et de gain énergétique Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une

Plus en détail

Energies. D ambiance REFERENCES : ACTIONS MENEES : CONTACT : DESCRIPTION TECHNIQUE DES ACTIONS ENGAGEES : GAINS OU BENEFICES DEGAGES : renouvelables

Energies. D ambiance REFERENCES : ACTIONS MENEES : CONTACT : DESCRIPTION TECHNIQUE DES ACTIONS ENGAGEES : GAINS OU BENEFICES DEGAGES : renouvelables REFERENCES : Entreprise : ELEC-EAU 47 Rue de la petite vitesse 72300 Sablé sur Sarthe Tél. : 02 43 95 07 22 Effectif : 11 salariés Activité : Electricité, plomberie, chauffage et climatisation Energies

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière

Plus en détail

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale

Plus en détail

Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires

Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Nassiba Tabti A.E.S.S. Physique (A.E.S.S. Physique) 5 mai 2010 1 / 47 Plan de l exposé 1 La Radioactivité Découverte de la radioactivité

Plus en détail

LES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS AU SERVICE DE LA VILLE NUMERIQUE ET DURABLE

LES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS AU SERVICE DE LA VILLE NUMERIQUE ET DURABLE LES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS AU SERVICE DE LA VILLE NUMERIQUE ET DURABLE Thomas VILLARD Directeur de projets Systèmes Electriques Intelligents Anne CHATILLON Chef de projets Ville Durable Sommaire

Plus en détail

Centre de Développement des Energies Renouvelables Caractéristiques techniques des Chauffe-eau eau solaires M. Mohamed El Haouari Directeur du Développement et de la Planification Rappels de thermique

Plus en détail

Technologies. Monoblocs / Traction. Présentation de la gamme. » Quand Innovante rime avec Endurante «

Technologies. Monoblocs / Traction. Présentation de la gamme. » Quand Innovante rime avec Endurante « Technologies Monoblocs / Traction Présentation de la gae» Quand Innovante rime avec Endurante « Traction > Présentation de la gae Solutions Energie Toujours une longueur d avance Chez GNB Industrial Power,

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE SikaLatex

FICHE TECHNIQUE SikaLatex FICHE TECHNIQUE SikaLatex RÉSINE À MÉLANGER À L'EAU DE GÂCHAGE DES MORTIERS DESCRIPTION DU PRODUIT Le SikaLatex est une dispersion aqueuse de résine synthétique qui se présente sous la forme d un liquide

Plus en détail

Bioénergie. L énergie au naturel

Bioénergie. L énergie au naturel Bioénergie L énergie au naturel Les références d AREVA en bioénergie Plus de 2,5 GW dans le monde : la plus grande base installée de centrales biomasse AREVA développe des solutions de production d électricité

Plus en détail

Batteries. Choix judicieux, résultats performants

Batteries. Choix judicieux, résultats performants Batteries Choix judicieux, résultats performants Batteries pour tous les défi s, besoins et budgets Sans danger - pas de dégazement Sans entretien Facile à installer Puissance constante Mastervolt vous

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

HUMI-BLOCK - TOUPRET

HUMI-BLOCK - TOUPRET FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Des molécules hydrophobes dans l eau

Des molécules hydrophobes dans l eau Des molécules hydrophobes dans l eau B. Cabane PMMH, ESPCI, Paris bcabane@pmmh.espci.fr Je remercie pour leurs contributions: D. Durand, B. Guillot, H. Lannibois-Drean, C. Pascal, C. Poncet-Legrand, A.

Plus en détail

L énergie sous toutes ses formes : définitions

L énergie sous toutes ses formes : définitions L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie

TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces

Plus en détail

Origine du courant électrique Constitution d un atome

Origine du courant électrique Constitution d un atome Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité

Plus en détail

HD make up powder maqpro N 400+1

HD make up powder maqpro N 400+1 HD make up powder maqpro N 400+1 HD make up powder maqpro N 400+N2 CI 77492, CI 16255. HD make up powder maqpro N 402.1 CI 77891 13463-67-7 236-675-5 HD make up powder maqpro N 402.2 CI 77891, CI 16255,

Plus en détail

Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel?

Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet Pourquoi a on défini 7 couleurs pour l arc an ciel A cause de l'analogie entre la lumière et le son, la gamme

Plus en détail

LA PLACE DU SECHAGE THERMIQUE DANS LE TRAITEMENT DES BOUES LES RETOURS D EXPERIENCE

LA PLACE DU SECHAGE THERMIQUE DANS LE TRAITEMENT DES BOUES LES RETOURS D EXPERIENCE LA PLACE DU SECHAGE THERMIQUE DANS LE TRAITEMENT DES BOUES LES RETOURS D EXPERIENCE par Jean Paul CHABRIER Société ENVIRO-CONSULT Ingénieur Consultant en séchage thermique des boues et déchets AQUATECH

Plus en détail

Baccalauréat STI2D et STL spécialité SPCL Épreuve de physique chimie Corrigé Session de juin 2014 en Polynésie. 15/06/2014 http://www.udppc.asso.

Baccalauréat STI2D et STL spécialité SPCL Épreuve de physique chimie Corrigé Session de juin 2014 en Polynésie. 15/06/2014 http://www.udppc.asso. Baccalauréat STI2D et STL spécialité SPCL Épreuve de physique chimie Corrigé Session de juin 2014 en Polynésie 15/06/2014 http://www.udppc.asso.fr Une entreprise de BTP (Bâtiment et Travaux Publics) déménage

Plus en détail

CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE

CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE I Chaine énergétique a- Les différentes formes d énergie L énergie se mesure en Joules, elle peut prendre différentes formes : chimique,

Plus en détail

de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur

de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur Eau chaude et confort à votre portée! La meilleure façon de

Plus en détail

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99. FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise

Plus en détail

Chapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383

Chapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383 Chapitre Contenu Page 14 383 14 Principes De par ses propriétés particulières, le béton s est installé comme matériau dans tous les domaines de la construction. Partenaire important et fiable, il est

Plus en détail

Vulcano Pièges Fourmis

Vulcano Pièges Fourmis FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges

Plus en détail

Production d électricité d origine renouvelable (Projets réalisés) Octobre 2014

Production d électricité d origine renouvelable (Projets réalisés) Octobre 2014 Production d électricité d origine renouvelable (Projets réalisés) Octobre 2014 Sommaire I. Présentation de la société CEEG. Spa II. Présentation des Projets EnR réalisés 2/25 I. Présentation de la société

Plus en détail

Les précautions indispensables pour bétonner par temps froid. Holcim Bétons

Les précautions indispensables pour bétonner par temps froid. Holcim Bétons Les précautions indispensables pour bétonner par temps froid Holcim Bétons Action du gel sur le béton frais L'action du froid sur le béton frais agit de façon néfaste sur les caractéristiques des bétons

Plus en détail

Mesure des caractéristiques des combustibles bois

Mesure des caractéristiques des combustibles bois Mesure des caractéristiques des combustibles bois ADEME Critt Bois Fibois CTBA JUILLET 2001 SOMMAIRE AVANT PROPOS page 4 1 - LA PRISE D ECHANTILLON page 6 1.1 - Division et/ou mélange du prélèvement accompagnée

Plus en détail

1. Identification de la substance / préparation et de la société / entreprise. Peinture Aimant

1. Identification de la substance / préparation et de la société / entreprise. Peinture Aimant Page: 1 de 6 1. Identification de la substance / préparation et de la société / entreprise. Nom du produit: Utilisations: Identification de l'entreprise: Peinture dispersion à base d'eau pour l'usage intérieur.

Plus en détail

Propriétés thermodynamiques du mélange. Eau-Ammoniac-Hélium

Propriétés thermodynamiques du mélange. Eau-Ammoniac-Hélium International Renewable Energy Congress November 5-7, 2010 Sousse, Tunisia Propriétés thermodynamiques du mélange Eau-Ammoniac-Hélium Chatti Monia 1, Bellagi Ahmed 2 1,2 U.R. Thermique et Thermodynamique

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

Sonde tensiométrique WATERMARK. Construire en préservant les sols Surveiller le chantier à distance Monitor

Sonde tensiométrique WATERMARK. Construire en préservant les sols Surveiller le chantier à distance Monitor Sonde tensiométrique WATERMARK Construire en préservant les sols Surveiller le chantier à distance Monitor mesure automatiquement la tension de l'eau du sol Transmission GPRS par module additionnel Le

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31 Page : 1/5 1 Identification de la substance/du mélange et de la société/l'entreprise Identificateur de produit Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations déconseillées

Plus en détail

Réseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château

Réseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr

Plus en détail

Stockage de l énergie Quelles technologies? Pour quelles applications? pour Quand?

Stockage de l énergie Quelles technologies? Pour quelles applications? pour Quand? Sous le haut patronage de Madame Geneviève FIORASO Ministre de l Enseignement Supérieur et de la Recherche www.asprom.com organise en partenariat avec www.uimm.com fr www.captronic.fr Stockage de l énergie

Plus en détail

TECHNIQUES DE BASE EN CHIMIE ORGANIQUE

TECHNIQUES DE BASE EN CHIMIE ORGANIQUE TECHNIQUES DE BASE EN CHIMIE ORGANIQUE La synthèse organique suit en général le schéma suivant : Synthèse Séparation des produits Caractérisation du produit Pur? Oui Fin. Evaluation du rendement Non Purification

Plus en détail

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine

Plus en détail

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE 36% DE CRÉDIT D'IMPÔTS Loi de finance 2011 T.Flow Un système révolutionnaire 2 en 1 Seul

Plus en détail

Comment? chez le particulier ou en collectivité

Comment? chez le particulier ou en collectivité Actions Citoyennes pour une Transition Energétique Solidaire par René CHAYLA Président d AC ACTEnergieS Comment? chez le particulier ou en collectivité 1 LA TRANSITION ENERGETIQUE EN PRATIQUE DIMINUER

Plus en détail

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir? COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,

Plus en détail

Le biogaz en France et en Allemagne Une comparaison. Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry

Le biogaz en France et en Allemagne Une comparaison. Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry Le biogaz en France et en Allemagne Une comparaison Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry L OFAEnR Origines & Objectifs Crée en 2006 par les gouvernements français & allemand Bureau au ministère

Plus en détail

ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée

ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS Entreprise certifiée PEFC/10-31-2030 PROMOUVOIR LA GESTION DURABLE DE LA FORÊT UNE ISOLATION

Plus en détail

Production électrique : la place de l énergie éolienne

Production électrique : la place de l énergie éolienne Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique

Plus en détail

4. Conditionnement et conservation de l échantillon

4. Conditionnement et conservation de l échantillon 1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique

Plus en détail

' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska,

' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska, J. Phys. IVFrance 11 (2001) O EDP Sciences, Les Ulis Limites des solutions solides dans le système binaire CdBr2-AgBr A. Wojakowska, A. Gorniak and W. ~awel' Laboratoire d'analyse Thermique, Département

Plus en détail

SOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup

SOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup SOLAIRE BALLERUP (Danemark) Utiliser l énergie solaire thermique avec un système de stockage de chaleur classique à accumulation et à régulation sur une longue période est une des alternatives les plus

Plus en détail