La grotte de Lascaux, révélatrice de l art pariétal européen
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- Bruno Ratté
- il y a 7 ans
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1 La grotte de Lascaux, révélatrice de l art pariétal européen Jean COMBIER membre titulaire Georges Bataille ( ), écrivain aux talents multiples, ancien élève de l Ecole Nationale des Chartes mais aussi psychanalyste, ethnologue, critique d art avait été ébloui par les peintures de la grotte de Lascaux. Ce «géant» de l Art pariétal avait été découvert par des enfants en 1940, dans la vallée de la Vézère, au coeur du Périgord, territoire fondamental des hommes du Paléolithique supérieur. Des artistes, tels Pablo Picasso ou Pierre Soulages, des philosophes, comme André Breton, d autres écrivains parmi lesquels André Malraux ont aussi exprimé leur fascination pour les oeuvres surprenantes de beauté des cavernes de «l âge du Renne». Mais il revient à Georges Bataille de les avoir, le premier, fait connaître à un vaste public dans un livre d art publié en 1986 aux éditions Skira de Genève. Cet ouvrage, intitulé «La peinture préhistorique : Lascaux ou la naissance de l Art» a fait date dans la collection «Les grands siècles de la peinture». Mieux que les publications savantes qui l avaient précédé, plus analytiques et moins inspirées des grands spécialistes de l Art pariétal, comme l abbé Henri Breuil, ce volume somptueusement illustré devait contribuer à donner à ces oeuvres la place à laquelle elles ont droit dans l univers des créations artistiques de l Humanité. Georges Bataille avait vu dans ces images animalières monumentales le reflet de la vie intérieure de leurs auteurs. Les puissants aurochs affrontés de la vaste salle d entrée de Lascaux (la «rotonde») ils mesurent 4 à 5 m de long avaient particulièrement frappé son imagination. Ces fresques polychromes, que l on contemple aujourd hui dans une lumière crue, avaient été conçues dans une pénombre faiblement éclairée par le feu des torches et des lampes à graisse. Cela ajoutait encore à leur éclat et à leur ineffable prégnance. En se reportant à l époque lointaine où elles avaient été composées, il en avait saisi «la claire et brûlante présence que nous donnent les chefs d oeuvre de tous les temps». Devant cette «cavalcade d animaux se poursuivant» sur les parois rocheuses tourmentées de cette suite de salles et de galeries, en face des signes géométriques qui les accompagnent et dont on peine aujourd hui encore à appréhender la signification, il en avait ressenti avec beaucoup d émotion l originalité et la grandeur. Elle soutenait selon lui la comparaison avec les oeuvres du «miracle grec». 1 et 3 aurochs mâles ; 2 bison ; 4, 6 et 7 aurochs femelles ; 5 détail de la tête d un des taureaux de la Rotonde ;
2 Les spécialistes de l Art préhistorique ne sauraient pleinement partager l emphase de cette vision et il est difficile de suivre l auteur dans les concepts théoriques que Lascaux lui avait inspirés : telle l opposition qu il croyait exister entre un «homo faber», ne dépassant pas le stade artisanal de l habile tailleur de silex et l «homo sapiens» capable de concevoir et de réaliser un tel chef d oeuvre. Mais surtout, aujourd hui où de nouvelles découvertes nous permettent d envisager l art préhistorique dans son ensemble, il est clair que Lascaux ne représente pas, chronologiquement, l authentique origine de l Art. Comment des hommes adonnés chaque jour à la chasse et à la collecte qui leur permettaient de subsister seraient-ils subitement devenus des artistes accomplis? L émergence créative de Lascaux est survenue bien longtemps après de nombreux essais artistiques souvent admirables de simplicité mais beaucoup plus modestes. Des milliers de pierres et d os gravés ou sculptés l avaient précédée et préparée. Cette éclatante manifestation est en réalité un aboutissement tardif puisqu il se place un peu avant la fin d une très longue évolution, en tenant compte du fait que la durée de la trajectoire accomplie par l art préhistorique n est pas inférieure à une quinzaine de millénaires. La grande ancienneté que l on avait cru pouvoir attribuer aux oeuvres très élaborées et même pour certaines plus évoluées encore d un autre sanctuaire pariétal de premier plan, la grotte Chauvet, dans les gorges de l Ardèche, pose aussi le problème d un âge surévalué. La datation de l art pariétal est difficile et il arrive assez souvent que les dates issues de la méthode du 14 C, soient en désaccord avec les données chronostylistiques les plus fiables. Nous y reviendrons dans un prochain article. On donne en général aux hommes «modernes» du Paléolithique supérieur, nos prédécesseurs directs, le nom consacré par l usage d «hommes de Cro Magnon». Mais il est utile de préciser que les recherches anthropologiques ont montré en réalité la diversité des ethnies que l on englobe sous cette appellation générique. Originaires du continent africain, où l on a découvert leurs plus anciennes traces, ces groupes humains parvenus en Europe occidentale après une lente progression s y sont beaucoup développés. C est en effet en Aquitaine et en Espagne cantabrique que l on constate depuis un siècle et demi la plus grande concentration de leurs habitats. Or ces territoires correspondent aussi à la densité maximale des cavernes à décor pariétal et aussi depuis quelques années, au Portugal en particulier, à des figurations de même style mais exécutées en plein air, sur des affleurements rocheux. C est donc bien là qu il faut voir la naissance du «phénomène pariétal» presque inconnu ailleurs sur le continent européen. Seules en France, faisant figure d exceptions quelques grottes ornées ont été repérées dans les vallées du Gard et de l Ardèche et dans le bassin parisien. Pour le reste de l Europe, largement dépourvue on ne connaît encore que quelques sites d art pariétal, très isolés, en Angleterre, en Italie, en Roumanie et très loin à l Est, dans le sud de l Oural les deux cavités peintes de Kapova et d Igniatiev) encore mal connues. Dans les vastes territoires de faible altitude des régions atlantiques, occupés largement auparavant par les hommes de Néandertal, de culture moustérienne, les arrivants ont apporté de nouvelles technologies dans la fabrication de leurs armes de chasse projetées à distance ce qui leur donnait une plus grande efficacité dans les opérations cynégétiques. Leur supériorité devait s imposer et déterminer assez rapidement la disparition des populations autochtones. Ces hommes nouveaux, qui savaient construire des habitations en dur, inconnues auparavant, pratiquaient une vie semisédentaire, un «nomadisme en circuit fermé» dans des espaces favorables dont ils connaissaient et utilisaient toutes les ressources disponibles, tant minérales (comme le silex et les matières colorantes) que biologiques. Mais aussi, ces hommes nouveaux organisés en groupes structurés avaient acquis un niveau socio-culturel bien supérieur à celui de leurs prédécesseurs, favorable au développement d activités auparavant inconnues. C est alors, il y a ans environ qu apparaissent les premières parures cousues sur les vêtement de peau, des coquillages, des dents percées pour être suspendues ou assemblées en colliers. Les outils et les armes en os ou en ivoire commencent à être décorés d incisions ou d encoches décoratives en série. De petites sculptures en ronde-bosse, représentant des animaux ou des personnages humains sont sculptées souvent dans une matière de qualité, l ivoire de mammouth, très précocement, au sein de groupes tribaux particulièrement inventifs. On les connaît par exemple dans les sites aurignaciens du Jura Souabe, avant même peut-être que ne soient tracés au burin des profils animaliers encore très schématiques mais dont la création demandait un effort d abstraction supérieur. Des flûtes, confectionnées dans des os d oiseaux à forte cavité médullaire indiquent aussi l apparition d une musique primitive instrumentale, probablement accompagnée de danses et de chants. L influence du milieu naturel est alors considérable. Une faune abondante de grands mammifères s est développée dans les espaces que n avaient pas couverts la calotte glaciaire de l Inlandsis nord-européen et les glaciers de montagne. Comme de nos jours elle était très présente à la lisière de ces étendues englacées. On y trouve de nombreuses espèces animales adaptées au froid tels le renne, le mammouth, le rhinocéros laineux, le boeuf musqué, les chevaux des steppes à longs poils, les aurochs, les bisons. Leurs
3 prédateurs carnivores, qui concurrencent les chasseurs, sont nombreux et actifs tels le loup et le renard polaire, ainsi que de nombreux félins comme le lynx et la panthère des neiges qui sont eux-mêmes chassés ou piégés par les hommes avec succès. Leur chair et leur fourrure, très recherchée pour se protéger du froid, constituent alors des fondements essentiels de la vie de ces petites communautés. Peu nombreux, répartis sur de vastes territoires ils ne mettent pas en péril le renouvellement des espèces, comme une surexploitation cynégétique a pu le faire ailleurs dans le monde en d autres temps. L art pariétal, des grottes, animalier pour l essentiel, comme celui des petits objets gravés et sculptés de la vie quotidienne est donc né de cette coexistence permanente de l homme et de l animal. Tout va changer avec le retrait des glaces au Postglaciaire. Vers le dixième millénaire avant nos jours la calotte glaciaire scandinave se sera retirée au nord du 60 ème parallèle, libérant de son emprise le nord de l Europe continentale, des bouches du Rhin au golfe de Finlande. Les grands troupeaux d herbivores ayant disparu, prévaudra alors une vie itinérante à la recherche de proies plus difficiles à traquer en couvert semi forestier, comme le cerf élaphe et le sanglier. La pêche et la chasse du petit gibier -- oiseaux et lapins prolifèrent alors prendront de l importance au bord des rivières et des marais. Des armes plus légères que les lourdes sagaies magdaléniennes seront mises au point : des flèches armées d éléments très perforants en silex : de minuscules triangles, segments, trapèzes collés en série à la résine sur les hampes. L arc supplantera définitivement le propulseur. Les fouilles nous montrent que les campements de ces derniers chasseurs épipaléolithiques sont formés de tentes légères, plantées à même le sol, très faciles à déplacer, environnées de foyers de broussailles allumés à l air libre. Mais en même temps, alors que ces innovations techniques ont beaucoup progressé, les créations artistiques élaborées disparaissent presque complètement Elles sont remplacées par la pratique d un schématisme géométrique, comme celui des galets ornés de points et de traits de couleur trouvés en grand nombre dans le site pyrénéen du Mas d Azil. C est un monde nouveau qui se fait jour. Tout indique que les communautés de la fin du Paléolithique supérieur, à l époque de Lascaux et de la Madeleine étaient parvenues à un authentique équilibre socio-économique. Mais leur mode de vie et leur culture matérielle et intellectuelle étaient liés si étroitement aux conditions d existence et à l environnement qu ils ne pourront survivre aux bouleversements bioclimatiques de la fin des temps glaciaires. Le grand art naturaliste propre à ces populations de chasseurs-collecteurs s éteindra avec eux, sans descendance. Le temps des grandes chasses avait pris fin et en même temps celui du grand art inspiré aux hommes de cette époque, comme l a écrit Henri Breuil, par «les émotions puissantes de leur rencontre avec les géants de la steppe et de la taïga». L exceptionnelle scène du puits de Lascaux qui nous montre un homme renversé devant un bison blessé perdant ses entrailles, éventré par la lance du chasseur en porte témoignage. Mais le thème de cette confrontation dont le sens symbolique dépasse certainement la simple relation graphique d un fait divers tragique est d ailleurs récurrent, connu dans d autres sites, comme Villars, en Dordogne et au Roc de Sers en Charente. Avec l avènement des sociétés néolithiques productivistes, tournées vers l élevage et la culture des céréales, apparaîtra un art nouveau bien différent et beaucoup moins répandu, fondé sur des cultes liés en particulier à la fécondité de la femme (attestée par maintes statuettes de déesses mères) et aussi de la terre, fertilisée par l eau et le soleil (souvent représenté par un disque rayonnant). C est aussi bien en grotte, dans certaines régions, que sur les piliers de monuments mégalithiques que l on trouvera la matérialisation de ces concepts de nature sans doute mythologique, sous la forme de gravures, de bas reliefs ou de tracés peints souvent très schématiques. De nouvelles découvertes de grottes à peintures ou à gravures pariétales paléolithiques ont été enregistrées depuis une vingtaine d années et la plupart ont été à juste titre largement médiatisées pour un vaste public. Mais elles n ont pas radicalement modifié ce que l on savait de l art des cavernes à la suite de la découverte de Lascaux en particulier Sans doute ont-elles apporté des faits nouveaux qui amplifient nos connaissances sur quelques points ; elles ont aussi permis de mieux poser les problèmes d ensemble encore irrésolus que suscite l Art des cavernes ornées : son âge exact, son évolution, sa signification et aussi le fait que son développement principal affecte une telle localisation géographique. La grotte de Cussac, par exemple, explorée en septembre 2000 dans le sud du Périgord apporte un éclairage nouveau sur les pratiques liées à la mort. On y a trouvé en effet, associés à des gravures gigantesques, tel un bison de 4 m de longueur, les restes squelettiques de cinq individus déposés sur le sol lui-même, il y a ans. C est la première fois que l on découvre un site pariétal auquel s ajoute la fonction de grotte funéraire. Quant à la grotte Cosquer découverte en 1991 sa principale originalité tient au fait qu elle se trouve sur le territoire de la ville même de Marseille, et donc en Provence où l art pariétal était encore inconnu. Inaccessible par son ancienne entrée, aujourd hui située à près de 40 m sous la surface de la mer, elle contient des représentations classiques de mains négatives qui en établissent l âge gravettien, conformément à plusieurs datations obtenues
4 par la méthode du radiocarbone ( ans). C est également l âge que l on peut retenir pour plusieurs figurations de la grotte Chauvet, en Ardèche, découverte trois ans après la précédente. Son très riche ensemble gravé et peint offre également nombre de figures et de signes caractéristiques du Gravettien : tels une main négative et tout un panneau de grands points rouges imprimés manuellement en se servant de la paume de la main enduite de couleur. La grotte de Lascaux demeure donc le modèle le plus probant et le plus richement décoré de toutes les cavernes d art pariétal actuellement connues. Surnommée lors de sa découverte «la chapelle sixtine de la préhistoire» elle est toujours l objet de recherches approfondies. Ouverte en 1948 à une visite publique qui connut un immense succès il fallut se rendre à l évidence : des milliers de visiteurs et des aménagements inadaptés compromettaient gravement la conservation de peintures d une grande fragilité. Il faut savoir en effet que le volume global de la grotte de Lascaux est faible (1500 m 3 environ) et que l air vicié ne peut être correctement renouvelé tant est complexe le plan des couloirs et des diverticules qui mettent en communication les salles de la Rotonde et de l Abside. L équilibre climatique de la grotte a été bouleversé depuis sa découverte. A plusieurs reprises la prolifération d algues vertes, de mousses, de microorganismes dévastateurs dut être enrayée. La formation de calcite pelliculaire tend à voiler certaines figures comme le montrent des clichés pris à plusieurs années d intervalle. La grotte de Lascaux a eu à subir d autres atteintes et en particulier des fouilles non autorisées avant que les recherches soient prises en main par l abbé André Glory, un disciple d Henry Breuil. Ces fouilles méthodiques donneront des centaines de vestiges, parmi lesquels une quarantaine de lampes en pierre dont une particulièrement remarquable, décorée, provient du puits. Le même chercheur réalisera plus de 100 m2 de calques des gravures dont l étude avait été négligée. Le corpus qu il en a établi compte plus de 400 figures entières ou incomplètes parmi lesquelles les chevaux sont en majorité. En vue de répondre à l attente du public, après la fermeture de la grotte en 1963, une réplique en grandeur naturelle, «Lascaux II» a été réalisée à quelques centaines de mètres. Le problème de l âge du décor pariétal n est pas encore complètement élucidé. Malgré la grande unité thématique et stylistique des oeuvres, les datations opérées à partir des charbons recueillis semblent indiquer une fréquentation des lieux à plusieurs moments : le premier, peut-être dès le Solutréen d après un bois de renne provenant du puits ( BP = avant le présent), mais avec plus de certitude au cours du Magdalénien ancien et moyen selon des dates comprises entre et BP. La réalisation de Lascaux a-t-elle 8 «licorne» ; 9 scène du puits ; 10 cheval ; 11 bouquetins affrontés et signe quadrangulaire ; 12 composition associant des aurochs et des chevaux
5 été progressive ou d un seul moment, certaines dates pouvant simplement indiquer une simple fréquentation des lieux? La question se pose également de savoir si le dispositif pariétal peint est du même âge que l ensemble bien différent des dessins du Puits? Les analyses des pollens indiquent un épisode tempéré et une fréquentation estivale de la grotte. Cette phase d amélioration climatique, au cours du dernier pléniglaciaire a reçu le nom d «interstade de Lascaux». Cependant les quartiers d animaux apportés dans la cavité par les Magdaléniens appartiennent pour 90% à des rennes, ce qui indique un biotope nettement froid. Il faut à ce sujet préciser que sur les 600 figures animales recensées il n existe pourtant qu une seule représentation de renne. Les recherches conduites par André Leroi-Gourhan et son équipe ont permis d inventorier à Lascaux plus de 1000 unités graphiques dont 20% sont des peintures. Les signes atteignent un total de 410, parmi lesquels de grands signes polychromes quadrangulaires auxquels on a donné le nom de «blasons» ; ils ne sont pas connus dans d autres cavités à décor pariétal. On a dénombré 355 chevaux, 88 cerfs, 87 aurochs, 35 bouquetins et 20 bisons ; ces représentations affectent dans la grotte des localisations bien différentes. Les chevaux, par exemple, sont largement dominants dans le Passage et l Abside. Sept félins sont concentrés dans un boyau qui a reçu le nom de «diverticule des félins». Un groupement comparable de carnivores, identifiés comme des lions, est connu dans les sanctuaires d âge un peu plus ancien de Roucadour et de Chauvet. A Lascaux, l un d eux marque son territoire en urinant, ce qui montre, une fois de plus, le souci d exactitude des dessinateurs paléolithiques dans les observations dont ils ont gardé la mémoire avant de les fixer sur les parois. Les dessins que nous reproduisons dans les deux planches de cet article (n 1 à 12), d après Emmanuel Guy et Alain Roussot, sont caractéristiques de la puissance esthétique du style sans équivalent de Lascaux ; ils donnent également une idée de la composition des panneaux et de la notion de symétrie qui est souvent mise en oeuvre (n 11 et 12). Malgré la profusion des détails et l indication fréquente du mouvement, perceptible par exemple dans la célèbre «vache sautant» (n 4), on observera pour finir que les auteurs de ces représentations n ont pas eu en vue une figuration anatomique exacte des animaux. Comme dans d autres cavités où on les trouve en nombre plus important un animal fantastique ou si l on préfère composite a été représenté (n 8) ; on lui a donné le nom évocateur de «licorne». Les hommes de Lascaux obéissaient à des canons esthétiques que l on retrouve dans d autres grottes ornées du même âge, tels les chevaux microcéphales au ventre rebondi (n 10 et 12) dont on longtemps cru, à tort, en marge de la théorie d une magie de la fécondité qu il pouvait s agir de femelles gravides. C est au Magdalénien supérieur, quelques millénaires plus tard, que l on trouvera dans l art mobilier des petits objets, comme dans l art pariétal des dessins zoomorphes beaucoup plus exacts dans leurs proportions, le figuré des détails et le respect des perspectives. Comme André Leroi-Gourhan et avant lui Henri Breuil l avaient affirmé, des phases stylistiques ont marqué l évolution d un art qui n a pas duré moins d une vingtaine de millénaires. On est cependant amenés aujourd hui à nuancer cette succession stylistique et aussi à tenir davantage compte des conceptions originales propres à chacune des grandes régions où s est développé l art paléolithique. Il existe à l évidence des éléments fondamentaux communs mais les techniques et les styles n ont pas été partout uniformes ainsi que le choix par les hommes des thèmes représentés
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