d anatomo-pathologiste
|
|
- Juliette Thibault
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le métierm d anatomo-pathologiste Paul P. de SAINT-MAUR Université Paris 6 -Hôpital Saint-Antoine Le 19 Novembre 2002
2 Le métier m d anatomopathologisted Qu est est-ce qu un un anatomo-pathologiste? Comment fonctionne son laboratoire et qu y fait-on? A quoi cela sert-il? Quel est le passé de l anatomie l pathologique, et quel est son avenir prévisible?
3 Définition: Le métier m d anatomod anatomo-pathologiste est la pratique (et éventuellement l enseignement) de l anatomie pathologique («ana-path») Mais encore???
4 Qu est ce que l anatomie l pathologique??? «L anatomie pathologique est l él étude des anomalies de forme de structure ou de rapports provoqués s par les maladies» (Grand dictionnaire encyclopédique Larousse, 1982) Plus concrètement toute modification visible dans l organisme l au cours des maladies est l objet de l anatomie l pathologique.
5 Modifications visibles??? C est ce qu on voit à l œil nu, à la loupe et l on l parle alors d anatomie d pathologique macroscopique. C est aussi et surtout ce que l on l voit au microscope et l on l parle alors d histologie pathologique si l on l étudie des tissus et de cytologie pathologique si l on l étudie des cellules sépars parées les unes des autres.
6 Modifications visibles??? (2) visuels» Les anatomo-pathologistes sont des «visuels Ils observent des organes, des tissus ou des cellules : Ils élaborent et appliquent des techniques qui permettent de susciter des images, Ils raisonnent sur des images, Ils échangent des images, Ils travaillent surtout sur de objets transparents, les «lames»,, qui sont des plaquettes de verre sur lesquelles on a étalé les cellules ou le tissu à étudier.
7 Modifications visibles??? (3) La technique de base de la préparation paration de ces objets transparents n a n a pas varié depuis plus d un d siècle : elle consiste à faire des coupes extrêmement fines (5 microns ou moins) à partir d un d fragment tissulaire enrobé dans la paraffine pour qu il acquière une certaine dureté et une consistance homogène.
8 L anatomopathologiste a des collaborateurs Pour obtenir des préparations parations qu on puisse examiner au microscope, il faut que les prélèvements subissent diverses manipulations qui sont effectuées es par des techniciens qui n ont n aucune activité de diagnostic. L équipe comporte aussi des agents de maintenance et un secrétariat, l ensemble l est encadré par des surveillantes : un labo hospitalier comme celui de Saint- Antoine est une petite entreprise de 30 personnes, si l on compte les médecins m et tous les collaborateurs.
9 Qui pratique l anatomie l pathologique??? (1) On parle souvent de laboratoire d anatomie d pathologique et l on l assimile les actes pratiqués s dans ces laboratoires à des analyses médicales. m Il faut cependant souligner que les analyses médicales m sont pratiquées par des biologistes médecins m ou pharmaciens alors que l anatomie pathologique est pratiquée e par les seuls médecins, m qui utilisent leurs connaissances médicales m pour raisonner sur les images et les interpréter. ter.
10 Qui pratique l anatomie l pathologique??? (2) Ce sont donc des médecins titulaires d un d diplôme de spécialit cialité, médicale et non biologique Formés s par un internat qualifiant de 4 (ou 5) ans Qui exercent dans un hôpital, universitaire ou général, g dans un centre anticancéreux ou dans un cabinet ou laboratoire libéral, plus rarement dans un laboratoire pharmaceutique Il y a environ 1300 anatomopathologistes en France, soit moins de 1% du corps médical m. La profession se féminise f!
11 Que regarde l anal ana-path?? Les gens capables de répondre r à cette question, en dehors du corps médical m (et encore!) sont peu nombreux. Tout s és éclaire lorsqu on on dit que l anatomopathologiste l est celui qui regarde et interprète les biopsies et les frottis, car tout le monde sait, au moins approximativement, ce que sont ces examens. Il voit également les prélèvements (pièces) opératoires. Les autopsies sont sont également une activité des anatomopathologistes, traditionnelle mais en déclind clin.
12 Les autopsies Trois catégories : Autopsies médicom dico-scientifiques Autopsies de foetus Autopsies médicom dico-légales
13 Les autopsies(2) Autopsie médicoscientifiquem dicoscientifique: - pratiquées en milieu hospitalier pour établir la cause d un d décès s : ce n est n plus un facteur de progrès s médical, m ce devrait être un élément du contrôle de la qualité des soins - généralement mal acceptée e par les familles des patients - en déclind pour diverses raisons : Hôpital Saint Antoine : Année e 1967 : 700 autopsies pour 1200 décèsd Année e 2001 : 25 autopsies pour 1000 décès d
14 Les autopsies (3) Autopsies de fœtus f (ou de nouveaux-nés s ) - sous-sp spécialité émergente de l anatomie l pathologique, appelée foetopathologie, étroitement corrélée à la biologie de la reproduction. - élément important du conseil génétique g aux parents en cas de grossesse ayant abouti à une malformation foetale. - de plus en plus pratiquées, à l hôpital et en ville,, alors même que l autopsie médicom dico-scientifique est en plein déclin d : c est c encore un facteur de progrès s médical. m
15 Les autopsies(4) Autopsie médicolm dicolégale - pratiquée à la demande de l autoritl autorité judiciaire pour élucider les causes et les circonstances de certains décès. d - pratiquées par des médecins légistesl : la médecine m légale est une spécialit cialité distincte de l anatomie l pathologique mais certains praticiens sont compétents dans les deux disciplines. - pratiquées dans des locaux spéciaux : les Instituts médico-légaux.
16 Visite du laboratoire d anatomie pathologique
17 Réception : Registre de réception r des prélèvements
18 Réception : les prélèvements avant enregistrement
19 Réception : poste d enregistrement d des prélèvements
20 Réception : les biopsies et pièces opératoires
21 Technique : dissection des pièces et prélèvements
22 Technique : les cassettes d inclusiond
23 Technique : gravure des cassettes
24 Technique : graveur de cassettes
25 Cassette gravée
26 Technique : automate pour l inclusion en paraffine
27 Technique : l inclusion l en paraffine (1)
28 Technique : l inclusion l en paraffine (2)
29 Technique : la coupe au microtome
30 Technique : la coupe et le ruban
31 Technique : le ruban
32 Technique : étalement des rubans et séchage des lames
33 Technique : lames étalées en cours de séchages
34 Technique : batterie pour coloration manuelle
35 Technique : automate pour colorations
36 Technique cytologique : cytocentrifugeuse
37 Technique : automate d immunohistochimie
38 technique Appareils électroménagers domestiques détournd tournés
39 Technique : le résultat, r les lames colorées
40 Technique : le résultatr Le «plateau»,, avec la demande d examen d et les lames colorées prêtes pour l interprl interprétationtation
41 Interprétation tation : mise à disposition des lames
42 Le résultat r : plaisir visuel
43 Le résultat r : examen cytologique d un liquide péritonp ritonéal
44 Le résultat r : liquide péritonp ritonéal (2)
45 Le résultat r : liquide péritonp ritonéal (3)
46 Le résultat r : cytologie, frottis cervico-vaginal vaginal
47 Le résultat r : histologie : cancer du colon
48 Le résultat r : cancer du colon (2)
49 Le résultat r : cancer du colon (3)
50 Le résultat r : coloration de routine
51 Le résultat r : coloration spéciale (bleu Alcian)
52 Interprétation tation : microscopes et plateaux
53 Interprétation tation : microscope de discussion et documentation
54 Interprétation tation : grand microscope Leica avec station de numérisation
55 Edition des comptes rendus Une secrétaire heureuse de vivre
56 Archivage informatique Logiciel de gestion des examens : Codage Antériorit riorités Statistiques
57 Archivage des lames colorées
58 Archivage des lames colorées Tiroirs d archivage des lames : cet ensemble représente environ 6 mois d activité du laboratoire
59 Archivage des blocs
60 Archivage des compte-rendus Une année d archives du laboratoire de Saint-Antoine
61 Archivage Stockage des pièces avant élimination périodique.
62 Principaux domaines d applicationd actuelle de l anatomie l pathologique L ana-path est indispensable au diagnostic de certaines maladies et tout particulièrement rement des cancers.. Un diagnostic de cancer peut-être soupçonn onné par d autres d examens tels les examens cliniques ou radiologiques ; il ne peut, en droit et en fait, être affirmé qu apr après s un examen histopathologique, faute duquel on ne peut pas entreprendre le traitement. En outre l anal ana-path précise la variété de cancer en cause,, ce qui permet de choisir le traitement le plus efficace.
63 Principaux domaines d applicationd actuelle de l anal ana- Path (2) Les examens cytologiques (frottis( de dépistaged pistage) ont fait diminuer de façon spectaculaire la gravité du cancer du col de l utl utérus en permettant le diagnostic au stade utile.
64 Principaux domaines d applicationd actuelle de l anal ana- path (3) En dehors du cancer il y de multiples maladies dont l anal ana-path peut : confirmer le diagnostic permettre de surveiller l él évolution, en liaison avec d autres spécialit cialités s médicales m. Exemple : l hépatite l virale C : l anal ana-path ne voit pas le virus qui est identifié par d autres d moyens, mais il évalue le retentissement de l infection l sur le foie, son aggravation progressive et éventuellement son amélioration sous traitement.
65 Histoire de l anatomie l pathologique
66 L ana-path dans l él évolution de la médecine L ana-path est une spécialit cialité très s vénérable, v pratiquée e depuis deux siècles, et qui utilise pour l essentiel une technologie qui n a n a pas évoluée depuis Elle a été l élément structurant de la médecine m moderne au XIXe siècle. Il n est n pas inutile de voir comment on en est arrivé à la situation actuelle et ce qu il reste de ce long passé.
67 Ana-path et évolution médicale m (2) Les débuts d de l anal ana-path remontent au XVIIIe siècle (Morgagni( Morgagni,, Padoue, «Du siège et des causes des maladies») Son essor a eu lieu à Paris à partir de 1800 (Bichat, Dupuytren, Laennec, Cruveilhier ) ) ou l on a théoris orisé l idée e que toutes les maladies devaient être définies d par une altération visible d un organe (que( l on l appelle une lésion) ) et non par un symptôme (fièvre par exemple).
68 Ana-path et évolution médicale m (3) Pendant la première moitié du XIXe siècle, la médecine a utilisé cet instrument scientifique pour identifier et classer les maladies d un d façon plus rationnelle qu à l époque de l ancien l régime. r C est à cette époque, et sur ces bases que s est s élaboré le langage médicalm dical,, créé par des médecins ayant une culture classique et une parfaite connaissance des racines grecques et latines.
69 Ana-path et évolution médicale m (4) Parmi les termes médicaux m créé éés à cette époque, l un l est exemplaire, c est c celui de tuberculose qui désignait d une maladie caractéris risée e par la présence de «boules» (qu on appelait tubercules) ) dans les poumons. Le nom est resté, bien que la définition d actuelle soit bien différente. Il faut bien se rappeler que les lésions l décrites d à cette époque étaient des anomalies visibles à l œil nu, et à «l ouverture des corps»,, (c est à dire à l autopsie). Le microscope existait, mais les appareils étaient rudimentaires et le corps médical m n en n voyait pas l intl intérêt.
70 Ana-path et Clinique Jusqu en 1850 environ, essentiellement à Paris, et à Vienne on a fait l inventaire l de toutes les lésions l par de multiples autopsies. On a ainsi décrit d de très s nombreuses maladies, le plus souvent sans en connaître la cause. Dans le même temps les médecins m oeuvraient à faire la corrélation entre les symptômes observés s du vivant du malade et les lésions l observées es après s son décès. d C est l él époque de l invention l du stéthoscope thoscope. Le musée e Dupuytren est fondé en 1832, pour être ce que nous appellerions actuellement une base de données de référence.
71 Inventaire des lésions l : l atlas de Cruveilhier ( ) 1842)
72 Ana-path et évolution médicalem (6) A partir de 1850, le relais est pris par les Allemands (Virchow( ) 1902) qui découvrent d l intl intérêt du microscope et commencent à décrire les anomalies microscopiques des maladies. Celles-ci seront alors définies d et caractéris risées par des lésions macroscopiques et microscopiques. L emploi du microscope permet le découverte d des premiers microbes et la riologie. microbes et la naissance de la bactériologie
73 Ana-path et évolution médicalem (7) En même temps on s attache s à observer la succession des lésions, les relations de cause à effet qu elles peuvent avoir entre elles et la manière dont elles altèrent les fonctions des organes : Le rétrr trécissement (rhumatismal) d une d valve cardiaque retentit sur le poumon Le rétrr trécissement ou l obstruction l d une d artère re coronaire peut provoquer une mort subite, ou des douleurs, ou une destruction limitée e du muscle cardiaque, c est c à dire un Infarctus du myocarde Etc. Ce sont ces données qu on enseigne aux étudiants en médecine m au début d de leurs études depuis un siècle et demi.
74 Ana-path et évolution médicalem (8) En 1877, on établit en Allemagne, les lois du microscope qui vont permettre la mise au point des microscopes qui atteindront les grossissements maximaux théoriquement possibles. Les améliorations ultérieures ne feront qu am améliorer le confort de l utilisateur et la facilité d emploi des instruments. Vers 1880, la méthode m d inclusion d des tissus en paraffine est mise au point : làl encore les améliorations ultérieures sont réelles r mais pas décisives. d
75 Microscopes de 1895 et 1995
76 Microtomes de 1990 et de 1890
77 Ana-path et évolution médicalem (9) Après s l apparition l de la bactériologie vient celle de l immunologie l et des premières res vaccinations, de la radiologie puis l essor l de la biochimie, de la génétique, de la virologie, de la biologie moléculaire, les maladies sont de plus en plus définies autrement que par une lésion. l La thérapeutique fait des progrès s décisifs. d
78 Ana-path et évolution médicalem (10) Que devient alors l anal ana-path??? Ce n est n plus l él élément structurant de la recherche médicale. Elle poursuit l inventaire l des lésions, l tâche sans fin : des découvertes d se font encore de nos jours dans ce domaine. Elle devient l outil diagnostique qu elle est actuellement.
79 L ana-path, outil diagnostique (1) Jusqu au début d du XXe siècle, il était sans intérêt d avoir un diagnostic précis du vivant du malade puisqu il il n y n y avait le plus souvent aucun traitement envisageable. Lorsque la chirurgie est devenue efficace et de plus en plus dénud nuée e de danger, il est devenu important de faire un diagnostic précis avant d opérer.
80 L ana-path, outil diagnostique (2) Dès s lors, on a retourné le principe de base de l ana-path : si une maladie est caractéris risée e par une lésion, l on peut reconnaître cette maladie et en faire le diagnostic en observant cette lésion l sur un prélèvement fait sur le patient vivant : c est ce qu on appelle une biopsie. Ce terme est antinomique de nécropsie lui-même synonyme d autopsie.
81 L ana-path, outil diagnostique (3) Les différents moyens d obtenir d un prélèvement biopsique sont d un d extrême variété et se sont multipliés s ces dernières res années : Biopsies à l intérieur des cavités s de l organisme l grâce à des instruments optiques souples (endoscopes) et des micropinces. Biopsies faites avec des aiguilles creuses dans des organes comme le foie ou le rein ou dans des tumeurs profondes, après s repérage rage radiographique. Etc.
82 Ponction-biopsie guidée e par échographie d un d nodule du foie
83 Nodule du foie : lymphome malin (1)
84 Nodule du foie : lymphome malin (2)
85 L ana-path, outil diagnostique (4) Le processus technique d inclusion d en paraffine, de coupe et de coloration est nécessairement n long : il existe un procédé qui permet de fournir un diagnostic en moins d une d demi-heure, en cours d intervention d chirurgicale. Il s agit s de l examen l extemporané : le prélèvement est congelé à -30 environ, ce qui lui donne une consistance analogue à celle qu il aurait après s inclusion en paraffine, et coupé dans un cryostat. Cette méthode m est utilisée e pour savoir si un nodule, du sein ou de la thyroïde par exemple, est un cancer qu il faudra enlever largement.
86 Examen extemporané au cryostat
87 Les banques de tissus congelés Congélateurs à -80 destinés à la conservation des prélèvements après passage dans l azote l liquide. On pourra appliquer de nouvelles techniques dans le futur sur ces prélèvements.
88 Conclusion Le métier m d anatomopathologiste d est un métier m passionnant, mais largement artisanal, et qui ne permettra sans doute plus de grandes découvertes scientifiques. On peut se demander s il s n est n pas démodd modé et s il s va persister longtemps, les jeunes médecins m entreprenants étant attirés s ailleurs.
PROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détail«La rapidité ne doit pas primer sur la qualité»
Interview avec le Prof. Dr Fernando Schmitt «La rapidité ne doit pas primer sur la qualité» Prof. Dr Fernando Schmitt Anatomopathologiste En septembre 2014, le Prof. Fernando Schmitt a rejoint le Laboratoire
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailM.S - Direction de la réglementation et du contentieux - BASE DE DONNEES. REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003
REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003 Décret n 2-01-1643 du 2 chaabane 1423 9/10/2002 pris pour l'application de la loi n 16-98 relative au don, au prélèvement et à la transplantation d'organes et de
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailMoyens et objectifs de l anatomie pathologique en médecine. Collège Français des Pathologistes (CoPath)
Moyens et objectifs de l anatomie pathologique en médecine Collège Français des Pathologistes (CoPath) Date de création du document 2011_2012 Sommaire 1 Historique... 3 2 Place de l'anatomie pathologique
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détaille guide DON D ORGANES : DONNEUR OU PAS, je sais pour mes proches, ils savent pour moi L Agence de la biomédecine
le guide L Agence de la biomédecine L Agence de la biomédecine est un établissement public national de l État créé par la loi de bioéthique de 2004. Elle exerce ses missions dans les domaines du prélèvement
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLe guide. pour tout comprendre. Agence relevant du ministère de la santé
DON D ORGANES, IL SUFFIT DE LE DIRE. MAINTENANT. Le guide pour tout comprendre Agence relevant du ministère de la santé La greffe D organes comment s y prendre? des vies La greffe d organes est un acte
Plus en détailAspects réglementaires du don et de la transplantation des organes. Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès
Aspects réglementaires du don et de la transplantation des organes Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès Cadre législatif au Maroc Loi 16/98 relative au don, au prélèvement
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailLa biologie médicale en France : présent et avenir. Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015
La biologie médicale en France : présent et avenir Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015 Les fondamentaux de la biologie médicale en France Une discipline jeune, apparue dans les années
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailDon d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007.
Don d organes Donner ses organes et ses tissus à son décès est un geste généreux qui permet de sauver la vie de plusieurs personnes et d en aider de nombreuses autres à recouvrer la santé. La transplantation
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailNous avons augmenté de manière significative notre productivité avec le même effectif
Nous avons augmenté de manière significative notre productivité avec le même effectif SMART Automation, optimiser la productivité SMART Automation, optimiser la productivité Introduction Depuis plus de
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailUniversité Saint-Joseph
Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailRéseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *
République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailDonneur ou pas... Pourquoi et comment je le dis à mes proches.
L Agence de la biomédecine DON D ORGANES le guide L Agence de la biomédecine, qui a repris les missions de l Etablissement français des Greffes, est un établissement public national de l Etat créé par
Plus en détailCOMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE
COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de
Plus en détailCentre Hospitalier de Béziers
Centre Hospitalier de Béziers Edito Établissement public de santé, le Centre Hospitalier de Béziers est l hôpital de référence du bassin de santé Ouest-Hérault de plus de 200 000 habitants. Sa taille et
Plus en détailService d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages
Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailI La conservation des dossiers médicaux répond à un triple intérêt :
mai 2009 DOSSIERS MEDICAUX CONSERVATION ARCHIVAGE Article 45 (article R.4127-45 du code de la santé publique) «, le médecin doit tenir pour chaque patient une fiche d'observation qui lui est personnelle
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailBourses de formation du Fonds pour la Santé des Femmes
Objectifs Bourses de formation du Fonds pour la Santé des Femmes Le Fond pour la santé des femmes (FSF) à pour objectif principal de développer et soutenir financièrement des actions de formation d information
Plus en détailSynthèse des formations et pratiques professionnelles en prothèse dentaire
N Projet : 2011-1-FR1-LEO05-24448 Titre : Euro-DIM - Dispositif d Intégration de la Mobilité européenne pour les apprentis Ce document est le résultat du travail réalisé par les responsables pédagogiques
Plus en détailPolitique de gestion documentaire
Politique de gestion documentaire Responsabilité de gestion : Secrétariat général Date d approbation : 24 avril 1979 C.A. C.E. Direction générale Direction Date d'entrée en vigueur : 24 avril 1995 Date
Plus en détailAspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat
Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première
Plus en détailUn avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système
Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer
Plus en détailPROGRESSONS MAIN DANS LA MAIN EN IMPLANTOLOGIE
PROGRESSONS MAIN DANS LA MAIN EN IMPLANTOLOGIE Institut de Formation en Parodontologie et Implantologie Orale Véritable formation à la fois clinique & théorique basée sur la transmission des connaissances
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailPARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA
PARAMEDICAL Métiers et formations Centre d information et d orientation de NOUMEA Santé et paramédical Soins médicaux médecin, chirurgien dentaire, pharmacien, sage-femme Soins paramédicaux infirmier,
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailLa Responsabilité Civile De L anesthésiste
La Responsabilité Civile De L anesthésiste Point de vue du médecin conseil de l assurance Saint-Luc, 9 juin 2004 Fondements de la Art 1382 code civil Une faute Un dommage responsabilité Un lien de causalité
Plus en détailHospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Plus en détailDON D ORGANES Donneur ou pas
Agence de la biomédecine L Agence de la biomédecine, qui a repris les missions de l Etablissement français des Greffes, est un établissement public national de l Etat créé par la loi de bioéthique du 6
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailLe guide. Don d organes. Donneur ou pas. Pourquoi et comment je le dis. à mes proches.
Don d organes. Donneur ou pas à mes proches. Le guide Pourquoi et comment je le dis Don d organes. Pourquoi est-ce si important d en parler? En matière de don et de greffe d organes, la loi française prévoit
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailLEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE
ordre des optométristes du québec LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE VOIR QUI AU
Plus en détailLeçon n 1 : «Les grandes innovations scientifiques et technologiques»
Leçon n 1 : «Les grandes innovations scientifiques et technologiques» Intro : Le XXè siècle fut un siècle de grands progrès scientifiques et techniques. Les évolutions connues par la médecine, les transports
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailà Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale
à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale 25 ans de lutte contre les leucémies et l infarctus du myocarde Fondé en 1987 par le Professeur Philippe Hénon et localisé au sein de l Hôpital du Hasenrain
Plus en détailLes avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif
Les avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif Chers adhérents, C est avec le souci de procurer un mieux-être à ses adhérents que Meuhedet a mis au point son programme complémentaire santé
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailDons, prélèvements et greffes
Dons, prélèvements et greffes Donneur : d une vie à une autre... Chaque année, en France, plus de 10000 malades attendent une greffe afin de continuer à vivre ou d améliorer une existence lourdement handicapée.
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailAnatomie Pathologique (PAT)
Anatomie Pathologique (PAT) Co-chairs : C.Daniel (France), M.Garcia-Rojo (Spain),T.Schrader (Germany) ARPH Supplement : W.Scharber (USA), F.Macary (France) Réunion Annuelle IHE France 1 Deux profils d
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches
ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailCertificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale Guide Reconnaissance par la SSO du statut de praticien généraliste Le certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détail