1 er Juillet 2005 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES

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1 1 er Juillet 2005 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES Unigrains et Agrifigest-Alma ne cotisent pas au mécanisme de garantie des cautions prévu par le règlement du 6 septembre Note 20. Informations relatives aux risques de marché. L application stratégique et tactique d actifs est restée globalement prudente en 2004 au regard des horizons vraissemblables de placement. Le règlement du Comité de la réglementation bancaire impose aux établissements de crédit de respecter une exigence globale de fonds propres au regard de leurs risques encourus (risques de taux, de change, de règlement-contrepartie et sur titres de propriété). Cette exigence de fonds propres est calculée au niveau de la holding de tête, la compagnie financière Agricéréales. Les risques du portefeuille de négociation font l objet d un suivi régulier, les OPCVM étant analysés par transparence par catégories de risques. Le niveau des risques du portefeuille de négociation du groupe Agricéréales peut ainsi être illustré de trois manières au 31 décembre 2004 : Les exigences en fonds propres réglementaires (CAD) se sont élevés à : 9,8 Me au titre de l activité hors fonds gérés du groupe consolidé (objet du reporting officiel de la Commission bancaire), soit une hausse de 9,6 Me par rapport à 2003 (avant dévolution du 30 décembre 2003) ; 0,8 Me au titre des fonds gérés soit une baisse de 6,5 Me par rapport à fin Ces variations s expliquent par la dévolution du 30 décembre Les principaux risques évalués sur la base de la CAD, et rapportés aux portefeuilles de négociation consolidés respectifs, ont été de : pour l activité propre, absence de risque actions et de risque de change, et une sensibilité quasi nulle au risque de taux ; pour les fonds gérés, 7,23 % de risque actions, nul pour le risque de change et une sensibilité au risque de taux de 0,86 %. Les scénarii de stress-test retenus traduisent un risque : quasi nul pour l activité propre ; de 5,2 Me, soit 2,28 % du portefeuille (contre 5,24 Me à fin 2003). Note 21. Couverture des risques. En application de la réglementation bancaire, les ratios suivants sont calculés au niveau de la holding de tête, la compagnie financière Agricéréales. Ratio de solvabilité international (Cooke) : Le ratio de solvabilité international du groupe est de 88,73 % au 31 décembre 2004 (pour une norme de 8 % à respecter). Exigence en fonds propres réglementaires (CAD) : Pour les risques de crédit investissement, l exigence de fonds propres hors fonds gérés est passée de 2,6 Me à 43,3 Me suite à la dévolution des fonds gérés à Unigrains. En contre-partie, l exigence de fonds propres pour l activité fonds gérés est passée de 50,4 Me à 7,1 Me. Elle ne concerne plus que l activité d Agrifigest-Alma en Contrôle des grands risques : Au 31 décembre 2004, le groupe respectait les règles imposées par la Commission bancaire : Limitation à un montant de 25 % des fonds propres nets des risques sur un même bénéficiaire ; Limitation à huit fois les fonds propres nets au total des risques dépassant unitairement 10 % des fonds propres nets. A la fin de l exercice, aucun bénéficiaire ne dépassait individuellement 10 % des fonds propres nets. Note 22. Autres informations. Effectif moyen du personnel en activité au cours de l exercice de la holding et des sociétés en intégration globale Agricéréales Unicéréales Unigrains Agrifigest-Alma Unifipar SAV FUC Cerea Gestion Effectifs Rémunérations allouées aux membres des organes d administration : Il n y a pas eu de rémunérations allouées durant l exercice aux dirigeants de l entreprise-mère Agricéréales et aucun jeton de présence n a été versé. Il n a pas été pris d engagement particulier en matière de pensions et retraites au profit d anciens membres dirigeants. Pour le personnel d Unigrains, il a été mis en place en 2003 un dispositif de cessation anticipé d activité sous forme d un Congé de fin de carrière (CFC) qui a pour objectif de rééquilibrer la pyramide des âges de l entreprise. Ce dispositif prendra fin en juin Le coût global potentiel de l opération est évalué à Ke dont Ke comptabilisés en provision pour charges correspondant aux salariés ayant adhéré au dispositif à fin Il n a pris aucun autre engagement particulier en matière de pensions, retraites et indemnités assimilées. Il n y a pas eu d avance, ni de crédit accordé pendant l exercice aux membres des organes d administration. IV. Rapport de gestion. Le rapport de gestion est à disposition au siège social d Agricéréales, 23, avenue de Neuilly, Paris. V. Rapport général des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés. (Extrait). Nous certifions que les comptes consolidés qui vous sont présentés en milliers d euros sont au regard des règles et principes comptables français réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière, ainsi que du résultat de l ensemble constitué par les entreprises comprises dans la consolidation. Sans remettre en cause l opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur les points exposés en note 1-a, et 1-c de l annexe, concernant : les règles de comptabilisation et de présentation des fonds gérés par Agrifigest-Alma, et l incidence de la dévolution à Unigrains des fonds gérés (Loi de finances rectificative pour 2003) en de comparaison des comptes de l exercice avec ceux de l exercice antérieur ; la modification du périmètre de consolidation à la suite de la dévolution des fonds gérés (Loi de finances rectificative pour 2003) et le calcul des écarts d acquisition et leur traitement comptable ; la diminution des charges générales d exploitation liée à la reprise par la société Unigrains des provisions pour charges antérieurement constituées en couverture du solde des décisions prises par les comités de gestion des fonds gérés antérieurement à leur dévolution. En application des dispositions de l article L , 2º alinéa du Code de commerce relatives à la justification de nos appréciations, les appréciations auxquelles nous avons procédé pour émettre l opinion sans réserve formulée ci-dessus portant notamment sur les principes comptables suivis et les estimations significatives retenues pour l arrêté des comptes, ainsi que leur présentation d ensemble, n appellent pas compte tenu des observations formulées ci-dessus de commentaire particulier. Par ailleurs, nous avons également procédé à la vérification des informations données dans le rapport sur la gestion du groupe. Nous n avons pas d observations à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés Fait à Paris, le 29 avril Eric Martin et Associés. S.A. Fidus. COMPAGNIE DES ALPES (CDA) Société anonyme à directoire et conseil de surveillance au capital de ,53 e. Siège social : 6, place Abel Gance, Boulogne-Billancourt R.C.S. Nanterre. A. Rapport de gestion intermédiaire du premier semestre 2004/2005. (1 er octobre 2004 au 31 mars 2005.) 1. Principaux changements survenus au cours du semestre. Gouvernement d entreprise. Le conseil de surveillance du 6 janvier 2005 a procédé à la nomination de deux nouveaux membres du directoire de la Compagnie des Alpes : M. Franck Silvent, 32 ans, inspecteur des finances, directeur finances, stratégie, développement, en remplacement de M. Yves Marty ; M. Serge Naïm, 48 ans, HEC, directeur en charge des parcs de loisirs, en remplacement de M. Olivier de Bosredon. Le mandat des quatre membres du directoire vient à échéance le 25 février Evolution du groupe. Depuis le début de l exercice, le groupe Compagnie des Alpes a poursuivi sa stratégie de développement. Dans les Domaines skiables, le premier semestre a été marqué par l obtention de la concession des remontées mécaniques de Saint-Chaffrey (partie du domaine de Serre-Chevalier) par la société SC 1350 (filiale à 100 % du groupe) et par l augmentation de la participation du groupe dans la SEM Serre-Chevalier Ski Développement (SCSD qui exploite le reste du domaine de Serre-Chevalier), le taux de détention passant de 17,9 % à 34 %. Par ailleurs, la Compagnie des Alpes a augmenté sa participation dans la Compagnie du Mont-Blanc dont elle détient actuellement 23,5 % contre 15,1 % au 30 septembre En octobre 2004, le groupe Compagnie des Alpes a pris une participation minoritaire (20 %) dans la société Arbag, société exploitant le domaine skiable d Aletsch (dans le Valais suisse). Il a, en outre, fait évoluer son organisation interne par la constitution juridique de sa branche Domaines skiables, en apportant à sa filiale

2 19250 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES 1 er Juillet 2005 Compagnie des Alpes, Domaines skiables, détenue à 100 %, ses participations dans les sociétés Selalp, STGM, Sevabel, Meribel Alpina, DSF et CMBF. Le périmètre du pôle Divertissement familial n a pas évolué au cours du premier semestre 2004/2005. Capital. Lors de sa séance du 25 janvier 2005, le directoire a attribué options de souscription d actions Compagnie des Alpes, en vertu de l autorisation délivrée par l assemblée générale des actionnaires du 10 mars Le prix de souscription est de 60,90 e par action nouvelle. 60 % des options attribuées ne pourront être exercées que sous condition de la réalisation d objectifs économiques au titre de l exercice en cours (1). (1) Le nombre d options de souscription d actions susceptibles d être exercées s élève au 31 mars 2005 à , dont sous conditions d objectifs économiques. Compte tenu des options de souscription exercées depuis le début de l exercice, donnant lieu à la création de actions nouvelles, le nombre d actions composant le capital de la CDA a été porté à actions au 31 mars Activité et résultats de la période du 1 er octobre 2004 au 31 mars Le résultat du premier semestre de l exercice 2004/2005 du groupe Compagnie des Alpes comprend : le résultat bénéficiaire de l activité «Domaines skiables» dont le chiffre d affaires est réalisé à plus de 80 % au 31 mars ; le résultat, normalement déficitaire, de l activité «Divertissement familial» dont les principaux sites sont fermés pendant l hiver (notamment le Parc Astérix qui démarre son activité début avril) ; le résultat propre de la Compagnie des Alpes. L activité et les résultats du groupe Compagnie des Alpes au cours du premier semestre 2004/2005 ont été tout à fait satisfaisants par rapport au premier semestre 2003/2004. Le résultat net part du groupe du 31 mars 2005 s élève à 22,2 Me, en progression de 14 % par rapport au résultat du 31 mars 2004 (19,4 Me). La prise en compte sur le premier semestre 2004/2005 des résultats bénéficiaires de Serre-Chevalier (SC 1350 et SCSD) et du résultat normalement déficitaire de Pleasurewood Hills, représente globalement un chiffre d affaires de 7,3 Me et un résultat net positif de 1,8 Me (3). Si l on extrait cet effet de périmètre, le résultat net progresse de 1 Me (soit + 5 %) par rapport au 31 mars 2004, à périmètre comparable. L activité et le chiffre d affaires. Le chiffre d affaires du semestre s élève à 217,6 Me soit une progression de 8,6 % par rapport au 31 mars 2004 retraité. Hors croissance externe, la progression serait de + 5 %. L activité Domaines skiables du groupe a été globalement satisfaisante jusqu au 31 mars 2005, dans un contexte de marché perturbé par des conditions météorologiques contrastées et un calendrier de vacances scolaires profondément bouleversé par rapport aux années précédentes. Le début de saison a été marqué par un enneigement tardif et un calendrier de vacances de Noël très défavorable. Après un mois de février pénalisé par de mauvaises conditions météorologiques (importantes chutes de neige et températures très basses), le mois de mars a été très satisfaisant, profitant notamment du week-end de Pâques (placé au mois d avril en 2004). Hormis Serre-Chevalier qui, pour sa première saison dans le groupe, a connu une activité en net repli en raison d un important déficit d enneigement (hiver le plus sec depuis 50 ans dans le Briançonnais), le chiffre d affaires de l ensemble des stations du groupe a été en progression sur cette période, principalement grâce à l augmentation de la recette par journée-skieur. En de fréquentation, la plupart des stations a connu une progression (entre 1 et 2 %), à l exception de La Plagne ( 2,5 %) et de Serre-Chevalier ( 9 %). Globalement, la fréquentation jusqu au 31 mars 2005 a été équivalente à celle de l exercice précédent. L activité Divertissement familial du semestre d hiver ne représente que 15 % de son chiffre d affaires annuel, la plupart des sites étant fermés. Seuls l Aquarium de Saint-Malo, l Aquaparc du Bouveret (Suisse) et le Musée Grévin étaient ouverts. L exploitation du Dolfinarium (Pays-Bas) est devenue saisonnière. La fermeture de ce site durant l hiver a permis de réaliser d importants travaux de rénovation. Le Musée Grévin et l Aquarium de Saint-Malo ont maintenu le niveau de progression d activité déjà constaté en 2003/2004. Compte tenu de la fermeture pour travaux du Dolfinarium, le chiffre d affaires de l activité divertissement familial est resté globalement stable. (En millions d euros) Chiffres clés consolidés. Résultat semestriel 31/03/05 31/03/04 Chiffre d affaires ,6 213,5 Excédent brut d exploitation ,0 74,1 EBE/CA (en %) ,4 % 34,7 % Résultat d exploitation opérationnel ,5 50,5 Résultat financier ,1 5,2 Impôt sur les sociétés ,4 14,2 Résultat net des sociétés intégrées ,0 31,1 Résultat des sociétés mises en équivalence et part des minoritaires ,3 9,4 Dotation aux amortissements des écarts d acquisition ,3 2,3 Résultat net part du groupe ,2 19,4 Le changement de mode de consolidation de CMB (Chamonix) et de CMBF (Courmayeur), intervenu au 30 septembre 2004, est sans incidence sur le résultat net part du groupe, mais affecte les autres postes du compte de résultat (2). (2) Cf. note 2 de l annexe aux comptes consolidés. Pour faciliter la comparaison, nous présentons ci-après l évolution des principaux postes du compte de résultat après retraitement de l exercice précédent par mise en équivalence de CMB et CMBF. 31/03/05 Réel 31/03/04 Retraité En % Chiffre d affaires ,6 200,3 8,6 Excédent brut d exploitation. 77,0 68,6 12,2 Résultat d exploitation opérationnel ,5 45,3 15,9 Résultat net des sociétés intégrées ,0 27,2 10,3 Résultat net part du groupe. 22,2 19,4 14,4 (3) Cf. note 2 de l annexe aux comptes consolidés. L excédent brut d exploitation. L excédent brut d exploitation s établit à 77,0 Me, en progression de + 12,2 % par rapport au premier semestre 2003/2004 retraité. Hors croissance externe, la progression de l EBE serait de + 9 %. Le taux de marge d exploitation (EBE/CA), s élève à 35,4 %. Les autres produits d exploitation sont favorablement influencés (1,8 Me) par l actualisation (via des expertises externes) des coûts prévisionnels des dépenses d aménagement foncier aux Arcs. Corrigé de cet élément non récurrent, le taux d EBE/CA ressort à 34,6 %, contre 34,3 % au 31 mars Cette progression est essentiellement due à une bonne maîtrise des charges d exploitation récurrentes, notamment dans l activité Divertissement familial (fermeture hivernale d Harderwijk et ouverture plus tardive de Parc Astérix), et au non renouvellement des coûts exceptionnels du premier semestre 2004 (notamment coûts de lancement de Paradiski et coûts liés à la mise en place des normes IFRS). Dans les Domaines skiables, l évolution des charges d exploitation est en cohérence avec celle du chiffre d affaires. L essentiel de cette évolution concerne les frais de personnel qui progressent de 5 % en raison d une part, de l augmentation de l effectif moyen des personnels saisonniers et d autre part, des évolutions salariales. Les charges d exploitation du semestre intègrent en outre des charges de personnel non récurrentes à hauteur de 2 Me correspondant aux coûts de réorganisation engagés dans le Groupe Grévin, tant à la holding que dans les parcs allemands et néerlandais. Par ailleurs, la Compagnie des Alpes a souscrit début décembre 2004 un contrat de couverture de certains risques climatiques pendant la saison d hiver. Au 31 mars 2005, seule la charge est prise en compte, les données météorologiques utilisées pour le calcul d éventuelles indemnités n étant pas encore disponibles. Le résultat d exploitation opérationnel. Le résultat d exploitation opérationnel s élève à 52,5 Me, en progression de + 15,9 % par rapport au premier semestre 2003/2004 retraité. Ce dernier intégrait la plus-value de cession de la société Ski Shop réalisée en novembre 2003, à hauteur de 1,9 Me. Hors croissance externe, la progression représente + 12,3 %. Le résultat net part du groupe. Le résultat financier est stable. L augmentation de la charge d impôts est notamment liée à l évolution du périmètre et à l utilisation (en 2004) de reports déficitaires. Le résultat net des sociétés intégrées s établit à 30 Me, en progression de + 10,3 % par rapport au premier semestre 2004 retraité et de + 7 %, hors croissance externe. Le changement de mode de consolidation de CMB et CMBF et la prise en compte de la SEM Serre-Chevalier Ski Développement expliquent, pour l essentiel, l amélioration significative du résultat des sociétés mises en équivalence et de la part des minoritaires.

3 1 er Juillet 2005 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES Le résultat net part du groupe s élève à 22,2 Me, en progression de 2,8 Me par rapport à 2004 (dont 1,8 Me dus à la croissance externe). Les flux de trésorerie. Dans l attente de la mise en place de financements à long pour les investissements réalisés au cours du premier semestre 2004/2005, le groupe Compagnie des Alpes a eu recours temporairement aux découverts bancaires. L évolution de l endettement net (dettes financières - trésorerie active), indicateur représentatif de la situation financière du groupe, montre l amélioration de la position du groupe. Endettement net Ratio d endettement (Endettement net / total des capitaux propres) ,65 0,75 0,70 Les investissements industriels nets représentent 47,8 Me pour le semestre, soit 5 Me de plus que le premier semestre 2003/2004. Ils intègrent notamment les travaux de restructuration du site d Harderwijk pour 4,4 Me (4) environ et le début des travaux de construction du Bioscope en Alsace pour 3,6 Me (5). Ils comprennent également pour 8,3 Me l acquisition du droit d usage relatif à l exploitation des remontées mécaniques de Saint Chaffrey. Les autres investissements industriels concernent principalement l achèvement des remontées mécaniques livrées à l ouverture de la saison d hiver, ainsi que des extensions de réseaux d enneigement. Des équipements de billetterie, incluant un dispositif de contrôle électronique «mains libres» des passages, ont été installés sur les sites de La Plagne, Peisey Vallandry et Les Arcs, permettant d achever l équipement du domaine de Paradiski. Les investissements financiers nets représentent 4,9 Me et concernent pour l essentiel la prise de participation minoritaire (20 %) dans la société Arbag (société exploitant le domaine skiable d Aletsch Riederalp en Suisse), et l augmentation des participations dans SCSD (Serre-Chevalier) et la Compagnie du Mont-Blanc ; cette dernière a en partie été réalisée par incorporation au capital de CMB d un compte courant (5,9 Me). Au 31 mars 2004, les investissements financiers nets enregistraient le montant de la cession Ski Shop. (4) Sur un programme total d investissements de 9 Me. (5) Après un accord favorable de la Commission européenne sur les modalités de financement du Bioscope, les travaux de construction des installations ont débuté à l automne. Le budget annuel 2004/2005 s élève à 12 Me. 3. Evénements intervenus depuis la fin du semestre. En avril 2005, Grévin & Cie a acquis la majorité du capital de la société d exploitation du parc animalier «Planète Sauvage» situé à Port- Saint-Père, entre Nantes et la côte vendéenne. Ce parc a accueilli, en 2004, visiteurs pour un chiffre d affaires de 3,2 Me ; En avril 2005, la Compagnie des Alpes et sa filiale SAG (Société d Aménagement Arve et Giffre) ont signé un nouvel accord avec le groupe canadien Intrawest pour le développement de lits touristiques à Flaine (Haute-Savoie). Cet accord va générer d importantes ventes de droits fonciers entre 2006 et Perspectives d avenir. La fin de la saison d hiver des Domaines skiables a connu une activité en net retrait par rapport à 2004 en raison du positionnement trop tardif des vacances scolaires de printemps en France. De façon générale, la fréquentation a été fortement pénalisée par l étalement des vacances jusqu au 8 mai, à une période où les vacanciers ne pratiquent plus les sports d hiver. La fréquentation et le chiffre d affaires de la fin de saison se sont avérés moins importants que prévu. Le chiffre d affaires Domaines skiables de l exercice 2004/2005, hors ventes foncières, devrait ainsi être voisin de celui de l exercice 2003/2004, à périmètre comparable. La progression des charges d exploitation correspondantes devrait être limitée au taux de 3 %. L incidence de ces évolutions sur la marge opérationnelle des Domaines skiables sera, pour l essentiel, compensée par le résultat de l activité d aménagement foncier des Arcs et de La Plagne. Les sociétés du domaine de Serre-Chevalier (SC 1350 et SCSD), nouvellement entrées dans le périmètre, apporteront une contribution modérée au résultat net en raison du très faible enneigement auquel elles ont été confrontées. En ce qui concerne l activité «Divertissement familial», le début de la saison d été en France a été également fortement perturbé par le calendrier des vacances scolaires et par un très mauvais positionnement des jours fériés au mois de mai. Cependant, les réservations et les pré-ventes du Parc Astérix sont conformes aux attentes et l activité du Musée Grévin et de l Aquarium de Saint-Malo reste orientée à la hausse. La situation des parcs étrangers est plus hétérogène. Le groupe est, de manière particulière, attentif à la situation du Dolfinarium d Harderwijk qui, devenu saisonnier, a fait l objet d un programme d investissement important et dont la performance de début de saison est inférieure aux attentes dans une conjoncture néerlandaise déprimée. 5. Transition aux normes IFRS. Le groupe Compagnie des Alpes ne sera concerné par l obligation de publier des comptes aux normes IFRS qu à partir de l exercice ouvert le 1 er octobre Les premiers comptes annuels complets publiés selon ce nouveau référentiel comptable seront ceux de l exercice , présentés avec un exercice comparatif au titre de l exercice établi selon le même référentiel. Il en sera de même pour les comptes semestriels. Le groupe Compagnie des Alpes a souhaité présenter, à titre préliminaire, l impact chiffré attendu du changement de référentiel sur le bilan au 1 er octobre Toutefois, ces éléments ne prennent pas en compte : les incidences des normes IAS 32/39 que le groupe a choisi d appliquer à partir du 1 er octobre 2005 ; le projet d interprétation de l Ifric, publié le 3 mars 2005, sur le traitement comptable des activités entrant dans le champ des concessions. Les principales incidences identifiées correspondent : à la comptabilisation des immobilisations par composants (les provisions pour grosses réparations correspondant à ces immobilisations étant annulées) ; au non amortissement des goodwills ; au retraitement des stock-options ; aux impôts différés complémentaires. En conséquence de ces éléments, sur la base des comptes au 30 septembre 2004, les incidences de la transition aux IFRS peuvent se synthétiser comme suit. Capitaux propres au 1 er octobre 2004 (en millions d euros) : Capitaux propres consolidés, part du groupe (normes françaises) Passage aux composants Badwills Impôts différés Capitaux propres consolidés, part du groupe (normes IFRS). 306 Résultat. Si le groupe avait appliqué les normes IFRS à compter du 1 er octobre 2004, le résultat de la période close le 31 mars 2005 se présenterait comme suit (en millions d euros) : Résultat consolidé, part du groupe (normes françaises) ,2 Passage aux composants ,0 Non-amortissement des goodwills ,3 Stock-options ,5 Résultat consolidé, part du groupe (normes IFRS) ,0 Cependant, compte tenu du décalage de la mise en place de la norme sur les instruments financiers et des évolutions pouvant intervenir courant 2005 sur les interprétations des normes existantes, les éléments communiqués ci-dessus sont susceptibles de modifications (notamment en fonction de l évolution sur le projet d interprétation sur les concessions). B. Comptes consolidés. I. Bilan consolidé au 31 mars (En milliers d euros.) Actif Actif immobilisé : Ecarts d acquisition Immobilisations incorporelles Immobilisations corporelles Immobilisations financières Titres mis en équivalence de l actif immobilisé Actif circulant : Stocks et encours Créances d exploitation Autres créances et comptes de régularisation Trésorerie de l actif circulant actif

4 19252 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES 1 er Juillet 2005 Passif Capitaux propres : Capital social Primes liées au capital Réserves consolidées Résultat part du groupe Ecarts de conversion Capitaux propres du groupe Intérêts minoritaires des capitaux propres Subventions d investissement Provisions pour risques et charges Emprunts et dettes financières Dettes d exploitation Autres dettes et comptes de régularisation Sous-total des dettes d exploitation et autres passif II. Compte de résultat consolidé. (En milliers d euros.) Chiffre d affaires Autres produits d exploitation des produits d exploitation Achats et variations de stocks Services extérieurs Impôts et taxes Charges de personnel Autres charges d exploitation des charges d exploitation Excédent brut d exploitation Dotations nettes aux amortissements et provisions Autres résultats opérationnels Résultat d exploitation opérationnel Résultat financier Résultat courant des sociétés intégrées Impôt sur les sociétés Résultat net des sociétés intégrées Quote-part dans les résultats des sociétés en équivalence Dotations et reprises aux amortissements des écarts d acquisition Résultat net de l ensemble consolidé Part des minoritaires dans le résultat Résultat net part du groupe Résultat net par action (en euros). 3,54 e 4,64 e 3,15 e Résultat net dilué par action (en euros) (1) ,43 e 4,49 e 3,02 e (1) Selon la méthode du placement théorique des fonds, recommandée par l avis nº 27 de l OEC. III. Tableau des flux de trésorerie. (En milliers d euros.) Résultat net part du groupe Intérêts minoritaires dans le résultat Résultat net global Dotations et reprises sur amortissements et provisions Subventions rapportées au compte de résultat Plus et moins-values de cession Quote-part dans le résultat des sociétés mis en équivalence Dividendes reçus des sociétés mises en équivalence Imposition différée Autres Capacité d autofinancement Elimination des produits et charges non liées à l exploitation Variation des créances et dettes sur opérations d exploitation Flux de trésorerie liés à l exploitation Acquisition d immobilisations incorporelles et corporelles Cession d immobilisations incorporelles et corporelles Investissements industriels nets Acquisition d immobilisations financières Cessions d immobilisations financières Incidence des variations de périmètre Investissements financiers nets Variation des créances et dettes : Sur les investissements industriels nets Sur les investissements financiers nets Flux de trésorerie liés aux investissements Variation en capital Dividendes versés aux actionnaires de la CDA Dividendes versés aux minoritaires des filiales Dividendes versés Variation des dettes financières Décaissements sur intérêts Variation des créances et dettes diverses Flux de trésorerie liés aux financements Incidence des autres mouvements Variation de la trésorerie durant l exercice Trésorerie nette à l ouverture (1) Trésorerie nette à la clôture (1) (1) La trésorerie nette prend en compte la trésorerie à l actif du bilan (cf. note 4) ainsi que les soldes créditeurs de banque et assimilés (cf. note 6. Dettes financières). IV. Evolution des capitaux propres. Part groupe : Capital Primes Réserves consolidées Résultat de l exercice Ecart de conversion capitaux propres Situation au 30 septembre Augmentation de capital CDA Distribution de dividendes Résultat de la période Ecart de conversion Situation au 31 mars

5 1 er Juillet 2005 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES Intérêts minoritaires : Réserves consolidées Résultat de l exercice capitaux propres Situation au 30 septembre Distribution de dividendes aux minoritaires des filiales Part des minoritaires dans le résultat Situation au 31 mars V. Annexe aux comptes consolidés du groupe Compagnie des Alpes au 31 mars Note 1. Principes, règles et méthodes comptables. Les comptes semestriels (du 1 er octobre 2004 au 31 mars 2005) ont été établis conformément aux principes et méthodes utilisés pour les comptes annuels de la Compagnie des Alpes. Ces principes et méthodes découlent de l arrêté du 22 juin 1999 homologuant le règlement du Comité de réglementation comptable (CRC). Conséquences comptables de la saisonnalité. Les résultats du premier semestre de l exercice du groupe Compagnie des Alpes (automne et hiver) sont la combinaison, d une part des résultats très positifs de l activité Domaines skiables (4 des 5 mois de la saison d hiver sont inclus dans le semestre) et, d autre part, des résultats normalement négatifs de l activité Divertissement familial (du fait de la très faible activité de la période). Les conséquences comptables de cette saisonnalité selon les activités sont les suivantes : Impôts : Comptabilisation au 31 mars, pour les sociétés bénéficiaires à cette date (activité Domaines skiables) d une charge d impôt calculée sur la situation réelle, après prise en compte des déficits reportables existants effectivement récupérables ; Comptabilisation au 31 mars, pour les sociétés déficitaires par nature à cette date (Divertissement familial), d un crédit d impôt latent dû à la perte du semestre. Cette comptabilisation est effectuée pour toutes les sociétés, dans la limite de la charge d impôt attendue sur le second semestre ; Pour le calcul du crédit ou de la charge d impôt, le taux appliqué correspond au taux normal local (soit, pour la France, 33,83 % plus l effet éventuel de la contribution sociale sur les bénéfices). Frais de personnel : Pour les sociétés d exploitation, le principe est le rattachement au semestre bénéficiaire de l exercice des charges d intéressement et de participation des salariés : pour l activité Domaines skiables, enregistrement au 31 mars de la charge prévisionnelle annuelle ; pour l activité Divertissement familial, aucune comptabilisation n est effectuée au titre de la période arrêtée au 31 mars à l exception cependant des sociétés ayant une activité significative sur toute l année. Détermination du chiffre d affaires : Pour l activité Domaines skiables, un produit constaté d avance correspondant aux produits encaissés sur les forfaits pluri-journaliers (hors forfaits saison) non encore consommés est comptabilisé au 31 mars ; Pour l activité Divertissement familial, le principe applicable pour l enregistrement en chiffre d affaires des billets pré-vendus (valables 2 ans, l année de leur émission et l année suivante) est également le rattachement à la période de consommation. Selon ce principe, au 31 mars 2005, compte tenu de l ouverture du Parc Astérix le 9 avril 2005, aucun chiffre d affaires n a été enregistré au titre des billets pré-vendus. Note 2. Périmètre. Evolutions par rapport à l arrêté semestriel au 31 mars 2004 : Compagnie du Mont-Blanc : Afin de rationaliser les structures, il a été décidé en mai 2004 de fusionner Mont-Blanc & Cie avec sa filiale, Compagnie du Mont-Blanc. Cette opération s est traduite par l absorption de Mont-Blanc & Cie par sa filiale et, pour le groupe CDA, par une légère diminution du pourcentage d intérêt dans cette nouvelle entité (qui est alors passée de 16,21 % à 15,12 %). Le pacte d actionnaires liant les trois principaux actionnaires de MBC n ayant pas été reconduit, il a été mis fin à l intégration proportionnelle à compter de la date de décision de la fusion-absorption (mai 2004). Pour anticiper les évolutions de l actionnariat de CMB, suite aux opérations de recapitalisation réalisées au cours du quatrième trimestre 2004 et bien que le pourcentage de détention de CDA soit momentanément inférieur à 20 %, il a été décidé de maintenir cette participation dans le périmètre de consolidation du groupe (par mise en équivalence) lors de la clôture annuelle du 30 septembre Sur le premier semestre 2004/2005, la Compagnie du Mont-Blanc (CMB) a effectivement procédé à plusieurs opérations en capital de la société dont, notamment, l incorporation au capital du prêt participatif de CDA. A l issue de ces opérations, la participation de CDA dans CMB s élève à 23,46 %. En juillet 2004, Grévin & Cie a acquis 100 % de la Société Pleasurewood Hills qui exploite un parc d attractions à l est de Londres dans le Suffolk (Royaume-Uni). CMBF (Courmayeur) : En septembre 2004, la CDA et son partenaire Intrawest ont décidé de liquider la société Funivie delle Alpi (FdA), sociétémère de CMBF. Compte tenu du pourcentage de détention dans CMBF (29,8 %) et de la perte du contrôle exclusif de la société, la participation est mise en équivalence depuis la date de liquidation de FdA (septembre 2004) ; Depuis le 1 er octobre 2004, le pôle Domaines skiables est piloté par la société holding «Compagnie des Alpes Domaines skiables». Cette société, constituée sous la forme d une SAS dont l associé unique est la Compagnie des Alpes, regroupe les filiales françaises d exploitation de Domaines skiables apportées par la CDA le 25 janvier 2005 ; Serre-Chevalier : En décembre 2004, la commune de Saint-Chaffrey (Hautes Alpes) a retenu la société Serre-Chevalier 1350 (filiale à 100 % du groupe Compagnie des Alpes) comme concessionnaire de son domaine skiable. La Compagnie des Alpes a porté sa participation dans la SCSD, société qui exploite les autres domaines concédés de la station de Serre-Chevalier, à 19,9 % en décembre 2004 puis à 33,96 % en janvier Incidence de ces évolutions : (En Me) Changement de mode de consolidation CMB-CMBF (1) (premier semestre 2004) SCSD-SC 1350 (2) Variations de périmètre Premier semestre 2005 Autres (3) Chiffre d affaires ,2 7,0 0,3 7,3 Excédent brut d exploitation. 5,5 3,3 1,3 2,0 Résultat d exploitation opérationnel ,2 3,1 1,5 1,6 Résultat courant des sociétés intégrées ,9 3,0 1,6 1,4 IS ,0 0,5 0,5 Résultat net des sociétés intégrées ,9 2,0 1,1 0,9 Résultat des sociétés mises en équivalence ,1 1,0 1,0 Dotation aux amortissements des écarts d acquisition... 0,1 0,1 Résultat net de l ensemble consolidé ,8 3,0 1,2 1,8 Minoritaires ,8 Résultat net part du groupe.. 3,0 1,2 1,8 (1) Sociétés intégrées au 31 mars 2004 et mises en équivalence au 31 mars (2) Sociétés entrantes au cours du premier semestre (3) Essentiellement Pleasurewood Hills : société intégrée depuis juillet N.B. : L activité Ski Shop, cédée en novembre 2003, n était plus consolidée sur le premier semestre Immobilisations incorporelles : Note 3. Immobilisations. au 31/03/04 au 30/09/04 Acquisitions Cessions Dotations Reprises Autres au 31/03/05 Valeurs brutes : Droit d usage de RM Fonds commerciaux Fonds commerciaux amortissables Enseigne Musée Grévin

6 19254 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES 1 er Juillet 2005 au 31/03/04 au 30/09/04 Acquisitions Cessions Dotations Reprises Autres au 31/03/05 Concession échangeur Parc Astérix Autres immobilisations incorporelles Sous-total des valeurs brutes Amortissements et provisions : Droit d usage de RM Fonds commerciaux Concession échangeur Parc Astérix Autres immobilisations incorporelles Sous-total des amortissements et provisions Valeurs nettes Les fonds de commerce et autres droits d utilisation d actifs, dont la pérennité est directement liée à l existence d un contrat, sont amortis sur la durée du contrat (notamment, le droit d usage de Sevabel et la concession d échangeur autoroutier du Parc Astérix). Certains autres actifs incorporels (notamment l enseigne Musée Grévin) ne sont pas amortis. Les immobilisations incorporelles font l objet d évaluations régulières. Cette évaluation peut conduire, si nécessaire, à la constatation d une dépréciation. Les acquisitions de l exercice correspondent, pour l essentiel, au droit d usage de remontées mécaniques acquis, à titre onéreux, par SC 1350 (concession de Saint-Chaffrey). Ce droit d usage est amorti sur la durée de la concession (30 ans) Immobilisations corporelles : au 31/03/04 au 30/09/04 Acquisitions Cessions Dotations Reprises Autres au 31/03/05 Valeurs brutes : Terrains et aménagements Travaux de pistes Enneigement artificiel Immeubles, bureaux, commerces, locaux Remontées mécaniques Engins de damage Attractions Matériels et mobiliers Autres immobilisations corporelles Immobilisations corporelles en cours Avances et acomptes versés sur immobilisations Sous-total des valeurs brutes Amortissements : Terrains et aménagements Travaux de pistes Enneigement artificiel Immeubles, bureaux, commerces, locaux Remontées mécaniques Engins de damage Attractions Matériels et mobiliers Autres immobilisations corporelles Sous-total des amortissements Valeurs nettes Les investissements de la période s analysent comme suit : Pour le secteur «Domaines skiables» (26 Me), il s agit, d une part, de la fin des programmes d investissements préalables à la saison d hiver 2004/2005 et, d autre part, des premiers travaux relatifs à la saison 2005/2006 (9 nouveaux télésièges débrayables engagés, ainsi que le renforcement progressif du réseau d enneigement artificiel) ; Pour le secteur «Divertissement familial» (15 Me), il s agit des investissements mis en exploitation lors de la saison printemps-été 2005 (notamment, la réorganisation du site du Dolfinarium) et le démarrage des travaux du Bioscope (achèvement de la première tranche prévu au printemps 2006). La diminution des immobilisations nettes entre le 31 mars 2004 et le 30 septembre 2004 provient, pour l essentiel, de la modification du mode de consolidation de CMBF et CMB (désormais consolidées par mise en équivalence) dont l incidence est de 37 Me. La colonne «Autres» prend en compte, essentiellement, l affectation des immobilisations en cours des domaines skiables. Le tableau ci-dessous rapproche la présentation des acquisitions d immobilisations incorporelles et corporelles au bilan et celle figurant au tableau des flux de trésorerie (en milliers d euros) : Acquisition d immobilisations incorporelles (note 3.1) Acquisition d immobilisations corporelles (note 3.2) Acquisition d immobilisations incorporelles et corporelles Subventions d investissements Acquisition d immobilisations incorporelles et corporelles au tableau des flux de trésorerie

7 1 er Juillet 2005 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES Information par secteur et zone géographique pour les immobilisations incorporelles et corporelles (valeurs nettes) : Notes Domaines skiables Divertissement familial Autres France Dont biens en concession Dont biens en crédit-bail Europe (hors France) des immobilisations corporelles et incorporelles Immobilisations incorporelles Immobilisations corporellles des immobilisations corporelles et incorporelles au bilan Note 4. Trésorerie. OPCVM et divers Placements à Comptes à vue Caisse Valeur brute Provisions pour dépréciation. Valeur nette Structurellement, la trésorerie au 31 mars est plus élevée que celle au 30 septembre, en raison des encaissements de la saison d hiver dans les «Domaines skiables». La diminution intervenue entre le 31 mars 2004 et le 31 mars 2005 provient de la mise en place début 2004 de financements ponctuels dans l activité «Divertissement familial» (période creuse en matière d exploitation) non encore utilisés au 31 mars Note 5. Provisions pour risques et charges. Provisions pour grosses réparations Provisions pour indemnités de départ en retraite Provisions pour risques fiscaux Autres provisions pour risques et charges La variation des indemnités de départ en retraite résulte, pour partie, d un changement d hypothèses actuarielles (taux d actualisation à 3,8 % contre 4,5 % précédemment) et de l actualisation de la table de mortalité. Les autres provisions pour risques et charges s analysent selon leur objet de la manière suivante : Ecarts d acquisition négatifs sur Téléverbier et SAAS FEE (1 Me) ; Provisions pour pertes à venir sur levées d options d achat et de souscription d actions concernant en particulier Grévin & Cie (2,1 Me) ; Provisions pour risques et charges à la SMA (Les Arcs) et à la SAP (La Plagne) au titre d anciennes activités immobilières dans le cadre de l aménagement des stations (1,5 Me) ; Provisions pour litiges et contentieux (5 Me), y compris un contentieux lié à l acquisition d une participation ; Provisions pour risques et charges divers (0,9 Me). La modification du mode de consolidation de CMBF et CMB (consolidées par mise en équivalence à dater du 30 septembre 2004) entraîne une diminution des provisions pour risques et charges de 6,3 Me par rapport au 31 mars Note 6. Dettes financières. Court moins d un an Moyen de 1 à 5 ans Long plus de 5 ans 31/03/05 30/09/04 31/03/04 Emprunts obligataires Emprunts auprès des établissements de crédit Court moins d un an Moyen de 1 à 5 ans Long plus de 5 ans 31/03/05 30/09/04 31/03/04 Autres emprunts et dettes assimilées Avances d associés Crédits-bails Intérêts courus s créditeurs de banques et assimilés Participation des salariés Divers La diminution de l endettement entre le 31 mars 2004 et le 30 septembre 2004 provient, pour l essentiel, du changement de mode de consolidation de CMBF et CMB (désormais consolidées par mise en équivalence). Au 31 mars 2005, certaines sociétés (groupe Grévin, notamment) ont eu recours aux découverts bancaires dans l attente de la mise en place de financements long pour leurs investissements industriels réalisés au cours du premier semestre Structure de l endettement : (En millions d euros) Dette financière à taux fixe ,0 19 % 35,4 15 % 44,0 18 % Dette financière à taux variable.. 168,1 81 % 196,3 85 % 207,1 82 % ,1 231,7 251,1 La structure présentée ci-dessus reprend le total des emprunts obligataires, des emprunts auprès des établissements de crédit, des autres emprunts et dettes assimilés, des avances d associés et des crédits-bails. Ce total représente près de 80 % des dettes financières du groupe Compagnie des Alpes. La dette financière à taux fixe est composée à 22 % de crédit-bails. Information sur les taux d intérêts : Endettement à taux fixe.... 5,03 % 5,50 % 3,96 % Endettement à taux variable. 3,08 % 3,08 % 3,03 % Endettement par crédit-bail. 6,22 % 6,26 % 6,55 % 3,53 % 3,53 % 3,37 % Instruments de couverture. Au 31 mars 2005, la dette financière à taux variable est couverte au même niveau qu au 30 septembre 2004 soit 80 %. Certaines sociétés (comme la CDA et Grévin & Cie) sont couvertes en totalité. Les instruments de couverture sont constitués de cap (éventuellement associés à des floor) et de swaps de taux (fixes ou variables capés). Des FRA (Feature Rate Agreement), d une durée inférieure à un an, peuvent être mis en place ponctuellement pour fixer les taux sur tout ou partie d un exercice comptable.

8 19256 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES 1 er Juillet 2005 Note 7. Information sectorielle. Chiffre d affaires par secteur et zone géographique : France Au 31/03/05 Au 31/03/04 Europe (hors France) France Europe (hors France) Domaines skiables Divertissement familial Résultat d exploitation opérationnel par secteur : France Au 31/03/05 Au 31/03/04 Europe (hors France) France Europe (hors France) Autres Eliminations intragroupe Domaines skiables Divertissement familial Autres Eliminations intra-groupe 31/03/05 31/03/04 31/03/05 31/03/04 31/03/05 31/03/04 31/03/05 31/03/04 31/03/05 31/03/04 Chiffre d affaires Autres produits d exploitation des produits d exploitation Achat et variation de stocks Services extérieurs Impôts, taxes Charges de personnel Autres charges d exploitation des charges d exploitation hors amortissements et provisions Excédent brut d exploitation Dotations nettes aux amortissements et provisions Autres résultats opérationnels Résultat d exploitation opérationnel Note 8. Engagements hors bilan. En dehors des engagements relatifs aux conventions de concession et d affermage (qui n ont pas connu d évolution significative depuis la clôture du 30 septembre 2004 hors l obtention de la concession de Saint-Chaffrey,) et des loyers, les engagements hors bilan significatifs sont les suivants : Avals et cautions Redevances de crédit-bail (sur contrats non retraités) Options d achat d actions (1) Autres (engagements sur travaux) (2) Engagements donnés Garanties de passif reçues Cautions reçues Engagements reçus (1) Dont 4,8 Me (au 31 juin 2005) au titre de rachat d actions Grévin & Cie issues de levées d options d achat et de souscription à venir. (2) Engagement vis-à-vis de la SAS sur la mise en place d une remontée mécanique (opération réalisée au 31 mars 2005). Sont à signaler, également, les engagements suivants : Certains contrats de travail prévoient, dans certaines conditions, le versement d indemnités en cas de rupture. Celles-ci varient de 1 à 3 ans de salaire brut selon les cas. 12 personnes sont concernées ; Certaines immobilisations incorporelles et corporelles inscrites au bilan consolidé, font l objet, à hauteur de 12 Me au 31 mars 2005, d hypothèques ou de nantissements en garantie du capital restant dû des emprunts enregistrés dans les dettes financières du groupe ; Dans le cadre du développement de la capacité d hébergement résidentiel de la station, la SAP (La Plagne) a consenti des options de rachat à (20 décembre 2013) de parts de la SC «Résidence de Tourisme Aspen» pour un montant maximum de 6 Me non indexable. Sur la base des valeurs de marché actuelles, cet engagement est sans effet significatif (l exercice de ces options étant improbable). C. Rapport des commissaires aux comptes sur l examen des comptes semestriels consolidés au 31 mars En notre qualité de commissaires aux comptes et en application de l article L du Code de commerce, nous avons procédé à : l examen limité du tableau d activité et de résultats présentés sous la forme de comptes semestriels consolidés de la société Compagnie des Alpes, établis en euros, relatifs à la période de 6 mois se terminant le 31 mars 2005, tels qu ils sont joints au présent rapport ; la vérification des informations données dans le rapport semestriel. Ces comptes semestriels consolidés ont été établis sous la responsabilité de votre directoire. Il nous appartient, sur la base de notre examen limité, d exprimer notre conclusion sur ces comptes. Nous avons effectué cet examen selon les normes professionnelles applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences limitées conduisant à une assurance, moins élevée que celle résultant d un audit, que les comptes semestriels consolidés ne comportent pas d anomalies significatives. Un examen de cette nature ne comprend pas tous les contrôles propres à un audit, mais se limite à mettre en œuvre des procédures analytiques et à obtenir des dirigeants et de toute personne compétente les informations que nous avons estimées nécessaires. Sur la base de notre examen limité, nous n avons pas relevé d anomalies significatives de nature à remettre en cause, au regard des règles et principes comptables français, la régularité et la sincérité des comptes semestriels consolidés et l image fidèle qu ils donnent du résultat des opérations du semestre ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la société à la fin de ce semestre. Nous avons également procédé, conformément aux normes professionnelles applicables en France, à la vérification des informations données dans le rapport semestriel commentant les comptes semestriels consolidés sur lesquels a porté notre examen limité. Nous n avons pas d observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes semestriels consolidés PricewaterhouseCoopers Audit : FRANCIS LE BER ; Fait à Paris, le 28 juin Les commissaires aux comptes : Mazars & Guérard : DENIS GRISON.

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