LINKSTORM. Département Recherche, Études & Veille - 13 mars 2013

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1 LINKSTORM Département Recherche, Études & Veille - 13 mars 2013 Dans le cadre de ses missions générales d'observation et d'encouragement à l'offre légale, l'hadopi a souhaité s'intéresser à la visibilité de l'offre licite de biens culturels dématérialisés par rapport à l'offre illicite dans les moteurs de recherche. Les premiers travaux conduits en ce sens et présentés dans ce rapport prennent appui sur les sites labellisés, dont le caractère licite est formellement identifié. Dans sa première mise en oeuvre, le projet Linkstorm permet ainsi d'étudier en particulier le positionnement des offres de films dématérialisés dans les principaux moteurs de recherche utilisés en France, sur la base des œuvres mises à disposition par les sites labellisés. Précautions de lecture Ce projet n évalue pas l impact de la labellisation sur les sites identifiés. Il n y a pas eu d attribution ou de retrait du label en cours d analyse. L analyse spécifique, dans un premier temps, des sites proposant des accès à des films (et non à de la musique ou à des livres par exemple) se justifie par des éléments de contexte décrits dans ce rapport. De fait, les résultats obtenus ne sont pas représentatifs de l ensemble des sites labellisés, mais bien de ceux proposant précisément un accès à des films. 1

2 CONTEXTE Le choix d étudier dans un premier temps les offres de films labellisées s appuie à la fois sur les spécificités des usages de ces œuvres et sur les particularités de la mise en œuvre de la labellisation dans ce cas. I La consommation de films dématérialisés La consommation de films dématérialisés présente des spécificités mises en exergue dans les récentes études conduites par le département Recherche, Etudes et Veille de l Hadopi. Une moindre consommation licite Selon la seconde vague barométrique «usages» conduite par l IFOP pour l Hadopi en janvier 2013, si la consommation exclusivement illicite de films et de vidéos a baissé par rapport à la vague d étude précédente (datant de décembre 2011), ils restent les biens culturels dématérialisés les moins consommés de façon licite sur Internet. En effet, si 67% des internautes déclarent consommer des films ou des vidéos de façon exclusivement licite sur Internet, ils sont 80% à le faire pour la musique et les clips. Le plus fort taux de consommation licite exclusive déclarée concerne les photos, avec 94% (Tableau 1). Tableau 1 Taux de consommation licite / illicite déclaré par bien culturel au cours des 12 derniers mois Au global Musique / Vidéo clips Vidéos / Films Séries TV Photos Jeux vidéo Logiciels Livres Intitulé de la question : plus précisément, pour chacun des produits ou services culturels suivants, diriez-vous que vous les consommez... Base : individus ayant consommé sur Internet le bien culturel au cours des 12 derniers mois. Exclusivement de façon licite Les deux, de façon licite et illicite Exclusivement de façon illicite 78 % 80 % 67 % 73 % 94 % 84 % 77 % 87 % 19 % 16 % 25 % 18 % 5 % 12 % 17 % 9 % 3 % 4 % 8 % 9 % 1 % 4 % 6 % 4 % «Hadopi, biens culturels et usages d internet : pratiques et perceptions des internautes français BU2», menée par l institut IFOP pour l Hadopi, janvier Sous Total Consomment de façon illicite 22 % 20 % 33 % 26 % 6 % 16 % 23 % 13 % Pour les internautes qui déclarent consommer des films de façon illicite (8% de façon exclusivement illicite et 25% de façon à la fois licite et illicite), le prix jugé trop élevé de l offre légale arrive en tête des raisons expliquant leur mode de consommation avec 69%, suivi du choix jugé trop restreint (40%) (Tableau 2). 2

3 ST Prix 69 % Le prix à l unité est trop élevé 48 % Les abonnements sont trop élevés 45 % ST Choix 40 % Pas toujours possible de tester le contenu avant achat 11 % Les sites légaux proposent une offre trop limitée 15 % Ce n est pas facile de trouver l œuvre que je cherche 11 % Impossible de découvrir des nouveautés rapidement 14 % ST Habitude 38 % Pourquoi payer ce que je peux obtenir gratuitement? 23 % Par habitude, j ai toujours consommé de façon gratuite 23 % Tableau 2 Freins à la consommation licite de vidéos / films Base : individus ayant déclaré consommer chacun des biens de manière illicite. «Hadopi, biens culturels et usages d internet : pratiques et perceptions des internautes français BU2», menée par l institut IFOP pour l Hadopi, janvier ST Usages 22 % Les verrous numériques (DRM) 12 % Les sites légaux ne sont pas faciles à trouver 8 % Les sites légaux ne sont pas faciles à utiliser 2 % ST Mode de paiement 20 % J ai peut de communiquer mes données bancaires 15 % Pas de CB ou d autres moyens de paiement 6 % Pas besoin d aller sur des sites légaux pour des contenus 14 % Je ne connais pas de sites légaux 4 % La question du choix 40% des consommateurs déclarant des usages illicites de films ou de vidéos motivent leurs pratiques par des critères relatifs au choix, considéré comme restreint dans le cas des offres licites. 15% d entre eux, par exemple, trouvent que les sites légaux proposent une offre trop limitée, 14% regrettent de ne pas pouvoir découvrir de nouveautés rapidement. Par ailleurs, lorsque l on se penche sur les plus jeunes consommateurs (15-24 ans), sur-représentés 1 parmi les internautes déclarant des usages illicites, on relève dans leurs propos 2 une appétence particulière pour un accès aux films en «exclusivité», c est-à-dire, bien souvent avant même leur sortie en France : «Les nouveaux films, ceux qui ne sont pas encore sortis.» (15-18 ans) «J aime le cinéma sud-coréen, c est une autre esthétique, ça ne sort pas en France.» (19-21 ans) «Le dernier truc sorti aux US, l avoir vite.» (22-24 ans) 1 «Hadopi, biens culturels et usages d internet : pratiques et perceptions des internautes français BU2», menée par l institut IFOP pour l Hadopi, janvier «Perceptions et pratiques de consommation des Digital Natives en matière de biens culturels dématérialisés», menée par l institut CSA pour l Hadopi, janvier

4 Extrait Étude «Digital Natives», menée par l institut CSA pour l Hadopi, janvier Etude&«&Digital&Na.ves&»,&CSA&pour&Hadopi,&janvier&2013 II La labellisation L identification du caractère licite ou illicite d un site Internet continue de représenter une difficulté pour certains internautes. Selon la seconde vague du Baromètre «usages» de janvier 2013, 52% des internautes français estiment qu un site payant est forcément légal, par exemple. Parmi les éléments listés ci-dessous, lesquels vous permettent d identifier le caractère légal des sites proposant des produits ou services culturels? Ensemble Internautes 15 ans et + Lorsqu on a accès à un paiement sécurisé 48 % Lorsque la marque / le nom du site est connu 39 % Lorsque le site propose une charte et des conditions d utilisation 36 % Lorsque le propriétaire est clairement identifié 32 % Lorsque le site est labellisé ou parrainé par un organisme de confiance 31 % Lorsque c est payant 22 % Tableau 3 Critères de légalité d un site «Hadopi, biens culturels et usages d internet : pratiques et perceptions des internautes français BU2», menée par l institut IFOP pour l Hadopi, janvier Lorsqu il est possible de contacter le propriétaire du site par téléphone ou par courrier électronique 21 % Lorsque le site est professionnel d apparence 12 % Lorsqu il y a de la publicité 8 % Lorsque le catalogue de produits culturels proposés est large 6 % Ne sait pas 18 % 4

5 Amorcée il y a 21 mois, la communauté des offres labellisées compte aujourd hui 67 plateformes. Les plateformes musicales restent majoritaires avec plus de 50% des offres alors que la VOD / SVOD ne représente que 20% des offres labellisées. Viennent ensuite les autres secteurs culturels : livre numérique, jeu vidéo, photographie, logiciel. Les perspectives pour le label D une façon générale, l Hadopi a pointé dans son dernier rapport d activité le faible enjeu lié à l obtention du label pour les diffuseurs, ce qui impacte l attractivité du dispositif. Les pistes d améliorations suivantes ont été identifiées : - simplifier la procédure de labellisation, notamment par la mise en œuvre d une tacite reconduction ; - conditionner les aides publiques à l obtention du label. Avant la mise en œuvre éventuelle de ces évolutions, l Hadopi a mis en ligne une nouvelle version du portail de référencement de l offre labellisée : le site Pur.fr lancé en novembre Celui-ci intègre depuis février 2013 un volet «open data» qui consiste à ouvrir les données descriptives de chaque service titulaire du label afin d inciter au développement de services innovants. Le cas particulier des offres audiovisuelles S agissant des offres de VOD, le défaut d accord entre certains ayants droit et un certain nombre de plateformes de VOD au titre de la musique incluse dans les œuvres audiovisuelles contribue à expliquer la faible représentation des offres de films parmi les plateformes labellisées. Rappelons que le label est attribué à la suite d une procédure administrative qui implique les titulaires de droits. Ces derniers ont la possibilité de formuler des objections auprès de l Hadopi lorsqu une demande de labellisation est publiée. Il semblerait que certains diffuseurs ne demandent pas le label du fait de négociations non achevées. 5

6 PROTOCOLE Dans sa première mise en œuvre, le projet «Linkstorm» s applique aux deux moteurs de recherche parmi les plus utilisés en France. Le protocole se compose : - D une analyse simple des mots-clés employés par les internautes lorsqu ils souhaitent accéder à un film sur Internet. Elle a été réalisée via une étude omnibus de l institut CSA conduite pour l Hadopi. - D un programme permettant de reproduire le comportement d un utilisateur lorsqu il souhaite accéder à un film via un moteur de recherche. Sur 19 semaines d analyse, dont 4 de test, il a permis l analyse pour 300 films pour chacun desquels il a réalisé 8 requêtes par moteur étudié. Deux millions de résultats de recherche et sites correspondants ont été traités par le programme. - De la collecte et la catégorisation des résultats obtenus sur la première page de résultats («top 10») selon la nature des plateformes renvoyées par les moteurs de recherche. Ces principaux sites ont été classés en différenciant les sites labellisés «PUR» des autres résultats renvoyés. Dans un second temps, les autres résultats ont été analysés plus finement pour faire apparaître des sous-catégories permettant de qualifier effectivement la qualité du référencement de l offre labellisée relativement aux autres offres. Pour proposer une lecture explicite des résultats, les sites ont été classés selon plusieurs catégories. Elles permettent notamment de distinguer les sites proposant effectivement un accès aux œuvres, des sites qui proposent un contenu éditorial autour de l œuvre (promotionnel ou journalistique) ou encore de ceux qui sont en réalité sans rapport avec l objet de la recherche. Parmi les sites proposant effectivement un accès aux œuvres, trois catégories ont été distinguées. A ce propos en particulier, la catégorisation des sites a été faite de façon rigoureuse, avec les réserves qu impose une appréciation manuelle pour ce qui concerne les sites apparemment licites/illicites, et de fait ne constitue nullement une identification formelle. S agissant de la catégorisation en elle-même, on distingue : - Les sites donnant accès à des films et labellisés PUR («PUR») - Les sites donnant accès à des films et apparemment licites, c est-à-dire proposant un accès autorisé à des contenus dont la licéité peut être supposée grâce à un faisceau d indices, tels que la présence de mentions légales détaillées, formulaire de signalement des abus en matière de droit d auteur et mentions relatives à la protection du droit 6

7 d auteur, le respect du délai de 4 mois après la diffusion du film en salle, ou plus généralement l insertion dans un écosystème licite révélé par exemple par l existence de partenariats ou d autres activités culturelles ou médiatiques. («APPAREMMENT LICITES») - Les sites pouvant donner accès à des films en streaming et dont le contenu est «généré» par les utilisateurs («UGC») - Les sites donnant accès à des films et apparemment illicites, c est-à-dire proposant un accès non autorisé à des contenus protégés dont l illicéité peut être supposée grâce à un faisceau d indices tels que, par exemple, l absence ou l insuffisance des mentions légales, de formulaire de signalement des abus en matière de droit d auteur, de mention des détenteurs des droits, la présence de films avant et/ou pendant la diffusion en salles. («APPAREMMENT ILLICITES») - Les sites ne donnant pas accès aux films mais produisant une information éditoriale cinématographique en lien avec ces contenus («EDITORIAL») - Les autres sites, ne donnant pas accès à des films et ne produisant pas d information éditoriale en rapport avec ces contenus («AUTRES») De cette analyse avancée pourront émerger des constats pratiques sur le référencement des offres. 7

8 ACCÉDER AUX FILMS SUR INTERNET : ANALYSE DES PRATIQUES I Les moteurs de recherche Les moteurs de recherche sont le premier moyen d accès utilisé par les Français de 15 ans et plus qui souhaitent regarder un film sur Internet. Selon l étude de l institut CSA conduite pour l Hadopi en novembre 2012, 35% des Français âgés de 15 ans et plus interrogés regardent des films sur Internet. Parmi eux : - 57% utilisent un moteur de recherche pour accéder au film souhaité, - 43% se rendent directement sur leur site habituel sans passer par un moteur de recherche Les résultats obtenus varient en fonction du profil sociodémographique des Français. Ainsi les différences suivantes sont à relever : - Si 77% des 50 ans et plus déclarent ne pas regarder de films sur Internet, 70% des ans regardent des films en ligne. - Les ans sont par ailleurs ceux qui ont le plus recours aux moteurs de recherche pour atteindre le film recherché (37% des ans qui regardent des films sur Internet y ont recours). - Les autres profils qui consomment plus de films sur Internet que la moyenne sont les CSP+ (43%), et les foyers composés de 4 personnes et plus (31%). L étude a par ailleurs permis de déterminer quels mots clés sont employés par les Français lors de leur recherche de film sur Internet. 8

9 II Le choix des mots clés A la question : «Généralement, quels mots clés tapez-vous dans un moteur de recherche pour trouver le film que vous souhaitez voir?», les sondés ont répondu : <Nom du film> 58 % <Nom du film> + Streaming 29 % <Nom du film> + Télécharger 8 % <Nom du film> + Torrent 7 % Mots clés saisis dans un moteur de recherche pour accéder à des films Omnibus de l institut CSA pour l Hadopi. Novembre <Nom du film> + Voir 5 % <Nom du film> + Regarder 5 % <Nom du film> + film complet 5 % <Nom du film> + VOD 3 % Autre 3 % Par ailleurs, ils sont 9% à taper un nom d un site dans un moteur de recherche pour accéder à un film qu ils souhaitent regarder. Rechercher un nom de site dans un moteur de recherche pour accéder à un film est une pratique davantage répandue auprès des hommes (13%). Si l on effectue un focus sur les plus importants consommateurs de films sur Internet, soit les ans, on obtient les informations suivantes : - Près d un sondé âgé de ans sur deux (49%) a recours à l emploi de «nom du film + streaming» pour rechercher un film sur Internet. Ces mots-clefs sont aussi davantage employés par les inactifs (40%), les sondés résidant dans une commune de plus de habitants (39%), et les moins de 35 ans (36%). - Les ans utilisent moins que la moyenne le nom du film seul dans leurs recherches (44% versus 58% en moyenne) - Les mots clés qu ils emploient le plus après «nom du film + streaming» sont «nom du film + télécharger» (12%), «nom du film + Torrent» (12%) et le nom d un site (12%). Seuls 3% d entre eux utilisent «nom du film + VOD». 9

10 LE PROGRAMME : MISE EN ŒUVRE DES RECHERCHES I Procédé Le programme développé se comporte comme un utilisateur courant. Il effectue 8 requêtes par film, par moteur et par semaine étudiés. Deux millions de résultats de recherche et sites correspondants ont été traités par le programme. II Œuvres Les films étudiés sont les nouveautés proposées par les plateformes labellisées au cours de la période d analyse. Cela ne représente pas l intégralité des films consommés sur Internet, mais il est nécessaire de travailler sur cette base pour inclure l étude du référencement des plateformes labellisées dont le positionnement sur des œuvres dont elles ne disposent pas serait difficilement évaluable. Chaque film est suivi sur une période de 4 semaines (reconductible) à raison d une analyse faite chaque semaine sur les huit recherches suivantes : Nom du film Nom du film vod Nom du film voir Nom du film regarder Nom du film streaming Nom du film film complet Nom du film torrent Nom du film télécharger L analyse s étend sur 19 semaines dont 4 de test non présentées dans ce rapport. 10

11 L étude porte sur les semaines suivantes : #48 (28/11/2012 au 4/12/2012) #49 (5/12/2012 au 11/12/2012) #50 (12/12/2012 au 18/12/2012) #51 (19/12/2012 au 25/12/2012) #52 (26/12/2012 au 1/1/2013) #1 (2/1/2013 au 8/1/2013) #2 (9/1/2013 au 15/1/2013) #3 (16/1/2013 au 22/1/2013) #4 (23/1/2013 au 29/1/2013) #5 (30/1/2013 au 5/2/2013) #6 (6/2/2013 au 12/2/2013) #7 (13/2/2013 au 19/2/2013) #8 (20/2/2013 au 26/2/2013) #9 (27/2/2013 au 5/3/2013) #10 (6/3/2013 au 12/3/2013) III Métrique La métrique sélectionnée pour évaluer la qualité du référencement des offres est leur présence parmi les dix premiers liens renvoyés par les moteurs de recherche lors des requêtes décrites précédemment. Dans la présentation des résultats, on entend par «part cumulée du référencement» la part du nombre d occurences parmi les 10 premiers résultats renvoyés par les moteurs. En effet, d après une étude Optify, The Changing Face of SERPs: Organic Click Through Rate , ces 10 premiers liens accaparent près de 90% des clics. 11

12 COLLECTE ET CATÉGORISATION : APPROCHE GLOBALE Sur les deux moteurs considérés et sur l ensemble des requêtes analysées en 15 semaines, les sites labellisés représentent 3 % des 10 premières réponses. Le cumul toutes requêtes confondues est donné à titre indicatif. En effet, la proportion représentée par les sites labellisés varie selon les mots clef saisis. Pur 3 % Sites non labellisés Part cumulée du référencement des sites labellisés sur l ensemble des semaines et des mots-clés agrégés 97 % Le pourcentage d offres labellisées dans les résultats de recherche selon les mots clés de la requête se répartit de la façon suivante : Part cumulée du référencement des sites labellisés sur l ensemble des semaines en fonction des mots-clés de l étude Il apparaît d ores et déjà clairement que l offre labellisée PUR se positionne particulièrement bien sur le mot clé «VOD». Elle est également présente sur le 12

13 mot clé «télécharger». En revanche, pour les autres mots clés utilisés par les internautes, l offre labellisée représente dans la plupart des cas moins de 2% des résultats proposés par les moteurs. La masse des autres liens renvoyés par les moteurs en réponse à ces requêtes doit être analysée plus finement pour permettre une meilleure compréhension de la visibilité de l offre labellisée et de son référencement. 13

14 COLLECTE ET CATÉGORISATION : ANALYSE Les proportions dans lesquelles les catégories identifiées sont représentées varient peu au cours de la période d analyse. Les résultats toutes requêtes confondues, donc sans représentativité par rapport à la pratique des internautes, sont relativement stables dans le temps. Évolution de la part cumulée du référencement des catégories de sites en fonction des semaines Ces premiers résultats, qui ne sont pas pondérés selon la réalité des pratiques telles que définies par l omnibus, permettent néanmoins d obtenir des ordres de grandeur que l on retrouve dans la retranscription plus fine des résultats. Les contenus éditoriaux et apparemment illicites sont les plus représentés parmi les 10 premières réponses fournies par les moteurs. Les sites «UGC», les sites apparemment licites ou ceux labellisés sont souvent moins représentés. Les sites «autres» apportent peu d informations puisqu ils sont sans rapport identifié avec l objet de la recherche. Ils sont seulement référencés sur les mots clés qui interviennent dans le titre de l œuvre : une requête sur un film contenant le mot «fleur» dans son titre renverra notamment des sites de fleuristes. En revanche, les résultats varient significativement en fonction des mots clés utilisés. 1. <nom du film> Sur la requête la plus couramment utilisée (58% des cas, en référence à l omnibus cité), <nom du film>, les sites de loin les plus représentés parmi les 10 premiers 14

15 résultats sont les sites éditoriaux. Il s agit de sites qui ne donnent pas accès aux films mais qui en assurent la promotion ou la critique journalistique. Dans ce premier cas, la prééminence des sites éditoriaux est particulièrement significative. Une des explications possibles serait que l absence de termes tels que «voir» ou «regarder» laisse davantage de marge aux sites qui s intéressent plus au sens qu à l accès. Les sites où les contenus sont «générés» par les utilisateurs devancent légèrement les sites apparemment licites ou illicites et enfin les sites labellisés. Pur UGC Éditorial Apparemment illicite Apparemment licite Autres Évolution de la part des catégories de sites dans le référencement par les moteurs de recherche sur la requête <nom du film> L évolution des proportions dans lesquelles les différentes catégories se retrouvent est stable sur les 15 semaines d analyse, il a donc été fait le choix d une représentation cumulant ces résultats sur l ensemble de la prériode d analyse. C est sur cette requête la plus fréquemment formulée, que l on trouve l une des plus faible représentation de l offre illicite. Parts cumulés sur 15 semaines 15

16 2. <nom du film> + streaming Sur la requête <nom du film> + streaming (29%) on observe une nette surreprésentation des sites apparemment illicites. Les sites éditoriaux et le bruit des «autres» devancent légèrement les contenus «générés» par les utilisateurs, les sites apparemment licites et les sites labellisés. Les sites «UGC» ne sont pas bien pas bien référencés sur cette requête. Dans la pratique, les sites qui se positionnent sur cette requête contenant «streaming» sont majoritairement illicites. Les sites apparemment licites ou labellisés se positionnent peu sur ce mot clé. Rappelons par ailleurs que pour les plus jeunes consommateurs notamment, le streaming est souvent considéré par défaut comme une pratique a priori licite, en particulier parce que l œuvre n est pas stockée (cf. Étude «Digital Natives»). Évolution de la part des catégories de sites dans le référencement par les moteurs de recherche sur la requête <nom du film> + streaming Sur l ensemble des réponses proposées à cette requête par les moteurs de recherche, on observe une répartition claire des résultats en faveur des sites apparemment illicites. Parts cumulés sur 15 semaines 16

17 3. <nom du film > + télécharger Les résultats obtenus pour la requête <nom du film > + télécharger (8%) sont relativement similaires, si ce n est que, de façon cohérente, les sites de streaming où le contenu est «généré» par les utilisateurs sont clairement les moins représentés parmi les réponses renvoyées par les moteurs. Évolution de la part des catégories de sites dans le référencement par les moteurs de recherche sur la requête <nom du film> + télécharger Dans ce cas les sites apparemment illicites sont également majoritaires, dans des proportions proches de celles obtenues pour la requête <nom du film> + streaming (59,73% pour «télécharger» versus 66,26% pour «streaming»). Parts cumulés sur 15 semaines 4. <nom du film> + torrent Les résultats renvoyés pour la requête <nom du film> + torrent (7%) sont ceux où les sites apparemment illicites sont les plus représentés. Les offres apparemment licites ou labellisées sont quasi inexistantes. 17

18 Évolution de la part des catégories de sites dans le référencement par les moteurs de recherche sur la requête <nom du film> + torrent Parts cumulés sur 15 semaines 5. <nom du film> + regarder, voir, film complet Ces trois requêtes sont chacune utilisées dans 5% des cas par les utilisateurs. L offre apparemment illicite se positionne assez bien sur le mot clé «regarder» mais les contenus éditoriaux sont majoritaires sur les requêtes «voir» et «film complet». Les sites hors sujet («autres») sont particulièrement présents sur les requêtes «regarder» et «voir». 18

19 <Nom du film> + Regarder <Nom du film> + Voir La requête «voir» est l une de celles pour lesquelles l offre apparemment licite est la mieux représentée. <Nom du film> + Film complet C est sur cette requête que les sites de streaming où les contenus sont «générés» par les utilisateurs sont les plus représentés. 19

20 6. <Nom du film> + VOD La requête <nom du film> + VOD (3%) renvoie principalement aux sites éditoriaux. C est la requête pour laquelle l offre apparemment licite (10,51%) et l offre labellisée (9,09%) sont les mieux représentées. Évolution de la part des catégories de sites dans le référencement par les moteurs de recherche sur la requête <nom du film> + VOD Parts cumulés sur 15 semaines 20

21 CONCLUSIONS Au vu de ces premiers résultats qui restent à approfondir, il apparaît que l'offre licite de films dématérialisés souffre d'un déficit de visibilité parmi les 10 premières réponses renvoyées par les moteurs de recherche sur les requêtes les plus formulées par les internautes qui souhaitent regarder un film. L analyse des résultats agrégés et la mise en œuvre du tri par catégorie permettent néanmoins de faire émerger des constats pratiques qui pourraient participer au cas par cas à l évolution de cette situation. 1. Le pré positionnement La requête la plus courante - celle comportant seulement le nom du film renvoie à une majorité de sites éditoriaux. Sans en tirer de conclusion formelle à ce stade, on notera que les sites éditoriaux présentent la particularité de mentionner les films bien avant leur mise en ligne sur Internet - avant même leur sortie en salle, pour des opérations de promotion ou des recommandations de journalistes spécialisés par exemple. Dans cette optique, la question se pose de savoir s ils ne bénéficient pas d un avantage dans le référencement du fait de l antériorité de leur mention d un titre donné. Le cas échéant, les sites proposant ces œuvres à terme pourraient avoir un rôle à jouer dans une stratégie de développement de visibilité engagée par les acteurs concernés. 2. Les partenariats éditoriaux Plus généralement, le positionnement fort des sites proposant des contenus éditoriaux pourrait justifier la mise en œuvre de démarches partenariales entre les sites proposant un accès aux œuvres et ceux qui les commentent. 3. Le choix des mots clés Les offres apparemment licites et labellisées se positionnent significativement sur le mot clé «VOD» qui n est pourtant pas très utilisé par les internautes dans leur recherche. En revanche, le terme «streaming» figure vraisemblablement souvent dans les requêtes des internautes et assure une bonne visibilité aux sites qui le font figurer. Plus généralement la fréquence d utilisation de ces mots clés pourrait jouer dans les positionnements éditoriaux ou publicitaires des offres. 21

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