l organisation Dépôt légal quatrième trimestre 2000 Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISBN

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "l organisation Dépôt légal quatrième trimestre 2000 Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISBN 2-89340-057-4"

Transcription

1

2 Mise en page et correction : Page couverture : Martine Lesage, Groupe Développement de l organisation MORDICUS! Communication Dans le but de faciliter la rédaction et la lecture du présent document, il est à noter que le genre masculin a été utilisé dans un sens grammatical, sans discrimination envers les personnes. Dépôt légal quatrième trimestre 2000 Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISBN Reproduction autorisée à des fins non commerciales avec mention de la source. Toute reproduction doit être fidèle au texte utilisé. Document disponible sur le site Internet de la Régie régionale :

3 92 e assemblée du conseil d administration Date : 20 juin 2001 Article : CARR Résolution : CARR Extrait de procès-verbal RÉSOLUTION relative à l adoption du cadre de financement de base des organismes communautaires CONSIDÉRANT les responsabilités de la Régie régionale en matière de financement des organismes communautaires œuvrant dans le domaine de la santé et des services sociaux; CONSIDÉRANT le fait que l actuel Cadre de financement élaboré en 1996 soit désuet et ne corresponde plus aux besoins financiers des organismes communautaires; CONSIDÉRANT l engagement de la Régie régionale, dans son Plan de consolidation, de doter la région d un cadre de financement mieux adapté aux besoins des organismes communautaires et de la Régie régionale; CONSIDÉRANT les travaux réalisés par le comité de travail TROC Régie régionale; CONSIDÉRANT la proposition de balises contenues dans la lettre de la TROC, datée du 29 mai 2001; CONSIDÉRANT l analyse faite par le conseil d administration du cadre de financement de base des organismes communautaires, IL EST RÉSOLU, sur proposition dûment appuyée, d adopter le cadre de financement de base des organismes communautaires faisant partie intégrante de la présente résolution. ADOPTÉE À L UNANIMITÉ COPIE CONFORME Le Secrétaire du conseil d administration, Fait à Trois-Rivières Le 26 juin 2001 Michèle Laroche, Directrice générale

4 Remerciements La Régie régionale de la santé et des services sociaux de la Mauricie et du Centre-du- Québec tient à remercier chaleureusement les membres du comité de travail pour le temps consacré aux travaux ayant mené à l élaboration de ce Cadre de financement des organismes communautaires du domaine de la santé et des services sociaux. Le comité était constitué des membres suivants : M. Renaud Beaudry, de la Table régionale des organismes communautaires (TROC) oeuvrant dans le domaine de la santé et des services sociaux Centre-du-Québec et Mauricie ; M me Annie Désilets, de la Régie régionale de la santé et des services sociaux de la Mauricie et du Centre-du-Québec ; M me Monique Émond, de l Association coopérative d économie familiale (ACEF) de la Mauricie ; M. Jean Fournier, de la Corporation de développement communautaire (CDC) Nicolet Yamaska ; M. Guy Godin, de la Régie régionale de la santé et des services sociaux de la Mauricie et du Centre-du-Québec ; M me Clo Pratte, du Centre de santé des femmes de la Mauricie ; M. Sylvain St-Onge, de la Corporation de développement communautaire (CDC) Drummond. Le Cadre de financement des organismes communautaires élaboré lors des rencontres de ce comité de travail constitue un outil de gestion très pertinent pour la Régie régionale. Celui-ci permettra à la Régie régionale de réaliser son mandat concernant le financement des organismes communautaires, de baliser la répartition des nouveaux budgets, de clarifier les notions de financement de base versus celle de financement spécifique ou par projet et de viser, à travers le financement qu elle octroie aux organismes communautaires, à assurer à ces derniers une stabilité au niveau de leur fonctionnement.

5 Table des matières Introduction 9 CHAPITRE 1 : UNE POLITIQUE GOUVERNEMENTALE DE RECONNAISSANCE DE L ACTION COMMUNAUTAIRE AUTONOME 11 CHAPITRE 2 : LES PRINCIPES RELATIFS À L ADOPTION D UN CADRE DE FINANCEMENT POUR LA REGION 13 CHAPITRE 3 : LES OBJECTIFS VISES PAR LA MISE EN PLACE D UN CADRE DE FINANCEMENT 16 CHAPITRE 4 : LE CADRE DE FINANCEMENT 17 Le calcul du montant de base 17 Le rayonnement géographique de l organisme 19 Les phases de financement 20 Les immobilisations 20 La formation 21 CONCLUSION : 22 ANNEXE 1 : L EVOLUTION DES DEMANDES DE SUBVENTION 23 ANNEXE 2 : LA DEFINITION DU FINANCEMENT DE BASE ET DU FINANCEMENT SPECIFIQUE 24 ANNEXE 3 : LA TYPOLOGIE DES ORGANISMES COMMUNAUTAIRES : DEFINITION DE DEUX CATEGORIES 26

6 Introduction Au printemps 1998, la Régie régionale adoptait son plan de consolidation, qui constitue la planification stratégique relative à la santé et aux services sociaux de la région sociosanitaire de la Mauricie et du Centre-du-Québec pour les années Tous les champs d intervention couverts par la Régie régionale ont alors fait l objet d analyses et de recommandations afin d améliorer la gamme de services disponibles, permettant ainsi de mieux répondre aux besoins de la population. Plusieurs recommandations et prises de position ont été élaborées pour le secteur des organismes communautaires. Ce document expose les engagements de la Régie régionale à cet égard 1. Reconnaître la contribution spécifique et importante des organismes communautaires dans le maintien et l amélioration de la santé et du bien-être de la population. Préserver l autonomie des organismes communautaires par rapport au réseau public. Conséquemment, la Régie régionale s engage à ne pas transférer le financement des organismes dans des programmes du réseau public (programmes clientèles ou autres) et à préserver une enveloppe régionale distincte pour le financement du programme de soutien aux organismes communautaires (SOC). Cet engagement se traduit par une reconnaissance du fait que le milieu communautaire est différent par ses pratiques qui visent, entre autres, le développement des solidarités, la prise en charge de leurs besoins par les personnes concernées et le changement social. Reconnaître le financement de base comme le meilleur outil de soutien financier des organismes communautaires. Conséquemment, la Régie régionale devra négocier avec les organismes concernés une définition de ce que constitue un financement de base en tenant compte de la réalité du milieu communautaire et de ses besoins (permanence, infrastructure, niveau d activité, territoire couvert, etc.). De plus, les travaux réalisés devront permettre de mieux comprendre l action des organismes communautaires vis-à-vis l action sociale et les services. Réviser le processus et les critères actuels d accréditation des organismes communautaires à la Régie régionale. Cette révision devra tenir compte des limites identifiées au cours des dernières années. Définir les règles de développement et de financement relatives aux organismes qui offrent des services d hébergement. 1 REGIE REGIONALE DE LA MAURICIE ET DU CENTRE-DU-QUEBEC, Le plan de consolidation , «Une vision d amélioration continue», 1999, p juin

7 Introduction Dans cette optique, la Régie régionale a identifié dans son plan d action trois priorités de travail relatives aux organismes communautaires : la révision du cadre de reconnaissance et d accréditation des organismes communautaires ; l élaboration d un cadre régional de financement des organismes communautaires ; l élaboration d un cadre régional relatif à l hébergement communautaire. Deux comités de travail conjoints, Régie régionale et organismes communautaires, ont donc été mis en place pour actualiser ces priorités : un premier sur l hébergement communautaire et un deuxième sur la révision du cadre de reconnaissance et d accréditation ainsi que le développement du cadre de financement pour les organismes communautaires de la région. Le présent document fait état des réflexions et discussions relativement au cadre régional de financement. 26 juin

8 Chapitre 1 UNE POLITIQUE GOUVERNEMENTALE DE RECONNAISSANCE DE L ACTION COMMUNAUTAIRE AUTONOME Depuis 1998, un groupe de travail provincial est à l œuvre pour élaborer une proposition de politique de reconnaissance et de financement de l action communautaire autonome. Dans la même optique, le gouvernement confiait à M. Gérald Larose, au début de l année dernière, le mandat de mener une vaste consultation à travers le Québec relativement au projet de politique. Fort de ces consultations et réflexions, le gouvernement du Québec travaille actuellement à la rédaction d un projet de politique qui devrait être adopté au cours des prochains mois. Bien qu encore à l étape de projet, nous pouvons tout de même dégager des travaux réalisés un certain nombre d éléments qui nous apparaissent importants. Tout d abord, il est intéressant de noter que le projet de politique s inspire largement des pratiques développées dans le réseau de la santé et des services sociaux en matière de soutien et de financement des organismes communautaires, principalement celles des régies régionales. Il s agit d une reconnaissance de l expertise et des façons de faire développées au cours des années par le ministère de la Santé et des Services sociaux et les régies régionales. En ce sens, la mise en place d une politique gouvernementale ne constituera pas un bouleversement majeur des pratiques et actions en matière de financement des organismes communautaires. D emblée, il ressort des travaux en cours une reconnaissance formelle des organismes communautaires qui se traduit par les principes suivants : le respect de l autonomie des organismes communautaires ; la reconnaissance de l action communautaire comme outil de développement social ; la reconnaissance des organismes communautaires comme acteurs significatifs au sein des communautés pour l amélioration des conditions de vie de la population. D autre part, le projet de politique reconnaît clairement la situation de précarité financière dans laquelle se retrouvent plusieurs organismes communautaires, et ce, malgré l injection par le gouvernement du Québec de près de 420 millions de dollars pour l année financière Pour contrer cette précarité et soutenir concrètement le mouvement communautaire au Québec, le gouvernement est invité à intégrer dans ses objectifs de financement les éléments suivants : 26 juin

9 Chapitre 1 la récurrence du financement octroyé avec, comme mode d actualisation, le financement sur une base triennale ; une approche visant d abord un financement de base qui permettrait aux organismes communautaires de réaliser la mission et atteindre les objectifs pour lesquels la communauté s est mobilisée ; des modes de financement complémentaires tels le financement spécifique (par entente de services) ou encore pour des projets particuliers auxquels les organismes communautaires pourront adhérer sur une base volontaire ; un financement qui se veut un complément à la contribution de la communauté ; le maintien d une certaine décentralisation vers les régions de la gestion du financement des organismes communautaires ; une préoccupation visant l accès à de meilleures conditions de travail pour les employés des organismes communautaires (ex. : assurances collectives, formation, etc.), de même que pour l acquisition et l aménagement d immeubles. (Dans ces derniers cas, le Secrétariat à l action communautaire autonome (SACA) s est vu confier le mandat d assurer l actualisation de telles mesures.) Dans le contexte de l élaboration d une politique nationale de financement, nous nous devons d être vigilants afin de s assurer un arrimage optimum entre les orientations nationales et le cadre de financement régional qui sera adopté en Mauricie et au Centre-du-Québec. 26 juin

10 Chapitre 2 LES PRINCIPES RELATIFS À L ADOPTION D UN CADRE DE FINANCEMENT POUR LA RÉGION À cette étape, il s avère essentiel de dégager les grands principes qui sous-tendent l élaboration et la mise en œuvre d une politique régionale en matière de financement des organismes communautaires. Ces principes constituent en fait les grandes balises à partir desquelles le cadre régional de financement sera mis en place. Une consolidation financière nécessaire pour les organismes communautaires La consolidation financière des organismes communautaires en Mauricie et au Centredu-Québec est nécessaire. On constate un écart très important entre les demandes acheminées et les budgets disponibles : $ selon les données compilées à partir des demandes de subvention de janvier 2001 (voir à ce sujet l annexe 1). De plus, toujours selon ces mêmes données, 63 % des organismes communautaires ayant présenté une demande pour n ont pas atteint les planchers définis par le cadre de financement de la Régie régionale de De plus, selon les données financières (incluant les derniers développements ministériels), on dénombre que 34,4 % des organismes reconnus au programme SOC (soit 87 organismes) reçoivent une subvention de la Régie régionale inférieure à $. De ce nombre, 7,1 % (soit 18 organismes) ne reçoivent aucune subvention (cette dernière donnée inclut les organismes nouvellement reconnus par la Régie régionale en décembre 2000). Les conséquences de cette situation sont importantes : précarité de la situation de plusieurs organismes et, dans certains cas, menace quant à leur survie ; employés sous-payés ayant des conditions de travail difficiles, ce qui génère un roulement important du personnel, une perte régulière d expertise du communautaire vers d autres secteurs et une précarité d emploi généralisée ; recours à des programmes de financement non récurrents (ex. : fonds de lutte à la pauvreté) pour le maintien et parfois le développement d activités. 26 juin

11 Chapitre 2 La reconnaissance du financement de base comme mode privilégié de soutien financier Le plan de consolidation de la Régie régionale adopté en avril 1999 reconnaissait d emblée le financement de base comme étant le meilleur outil de soutien financier des organismes communautaires. Toutefois, cette reconnaissance était assortie de la nécessité de bien définir ce qui constitue un financement de base, tout en tenant compte de la réalité et des besoins spécifiques du milieu communautaire. Dans cette optique, la Régie régionale réitère sa volonté de privilégier le financement de base comme mode d allocation budgétaire pour les organismes communautaires, et ce, en appui à la réalisation de leur mission et de leurs orientations. La nécessité de l implication de la communauté au niveau du soutien aux organismes communautaires La raison d être et la vitalité même des organismes communautaires reposent en grande partie sur le fait que ceux-ci sont issus de la volonté de la population de se prendre en charge et de résoudre les problèmes auxquels elle est confrontée. En ce sens, la mise en place d un organisme communautaire est essentiellement reliée aux dynamiques du milieu. Le Ministère et les régies régionales, via le programme de soutien aux organismes communautaires, reconnaissent la pertinence des actions issues de la communauté et participent financièrement au développement et au maintien des initiatives du milieu. Toutefois, ce financement doit être compris comme étant un soutien à la participation de la communauté. En fait, le soutien de la communauté est une condition essentielle à la vitalité des organismes communautaires et fait partie de leur nature fondamentale. En ce sens, la Régie régionale ne s engage en aucune façon à financer les services et activités des organismes communautaires selon les coûts encourus. L organisme doit donc diversifier ses sources de financement pour assurer son fonctionnement, ce qui est réalisé actuellement dans la très grande majorité des organismes communautaires. Un cadre de financement ne constitue aucunement un engagement financier, mais doit plutôt être compris comme étant un objectif à atteindre en fonction des disponibilités financières Comme nous l avons vu précédemment, l écart qui sépare les demandes des organismes communautaires des disponibilités financières de la Régie régionale est 26 juin

12 Chapitre 2 énorme. Actuellement, nous n avons aucune indication que les crédits disponibles pour la région seront suffisamment augmentés pour répondre aux attentes manifestées. Dans ce contexte, il importe de préciser que l adoption d un cadre de financement des organismes communautaires par la Régie régionale ne peut être interprétée comme un engagement à répondre à toutes les demandes de développement et de consolidation qui lui sont acheminées. Le cadre de financement servira plutôt de balise dont la Régie devra tenir compte lors de l allocation des budgets supplémentaires alloués au programme SOC. Le cadre financier n est pas un outil pour établir les conditions salariales des employés des organismes communautaires Pour établir l ensemble des balises financières devant être intégrées dans le cadre du financement des organismes communautaires, la Régie régionale a utilisé un mode de calcul basé sur une rémunération moyenne de $. Une telle balise financière a été utilisée uniquement pour établir les bases de financement d un organisme, et ce, compte tenu du fait que la masse salariale correspond à 80 % des dépenses des organismes. Toutefois, il importe de préciser que la Régie régionale ne veut en aucun cas, à travers l adoption d un cadre de financement, se substituer aux responsabilités et mandats des conseils d administration des organismes communautaires par rapport à l établissement des conditions de travail et des salaires de leurs employés. Le financement des organismes communautaires doit se faire dans une optique de lutte à la pauvreté Un des objectifs de santé visé par la Régie régionale est la lutte à la pauvreté. En ce sens, la Régie souscrit totalement aux principes visant un financement des organismes communautaires permettant à ceux-ci d offrir à leurs employés une rémunération qui se situe au-delà du seuil de la pauvreté. 26 juin

13 Chapitre 3 LES OBJECTIFS VISÉS PAR LA MISE EN PLACE D UN CADRE DE FINANCEMENT L adoption d un cadre régional de financement des organismes communautaires doit répondre aux besoins du milieu communautaire, mais aussi à ceux de la Régie régionale. En ce sens, il importe à cette étape de bien circonscrire les améliorations recherchées relativement à l élaboration et la mise en place d un cadre financier pour les organismes communautaires. Globalement, les objectifs visés sont les suivants : permettre à la Régie régionale de réaliser un des mandats que lui confie la Loi sur les services de santé et les services sociaux, à savoir de financer les organismes communautaires de son territoire ; baliser la répartition des nouveaux budgets ; privilégier les allocations budgétaires, par exemple la consolidation versus le développement, en fonction des enveloppes financières disponibles ; permettre à la Régie régionale de remplir son rôle au niveau de l équité quant à l accès aux ressources financières limitées dont dispose la région pour améliorer la santé de la population ; clarifier les notions de financement de base versus celles de financement spécifique ou par projet ; viser, à travers le financement que la Régie régionale octroie aux organismes communautaires, à assurer à ces derniers une stabilité au niveau de leur fonctionnement afin de leur permettre de réaliser les objectifs qu ils se sont fixés. 26 juin

14 Chapitre 4 LE CADRE DE FINANCEMENT Dans la présente section, nous présentons les balises qui nous ont permis de déterminer le montant du financement de base pour chacune des catégories d organismes reconnues par le programme de soutien aux organismes communautaires (SOC). Nous aborderons successivement les éléments à partir desquels nous avons établi les montants de base pour fin de financement selon les catégories, le rayonnement géographique et les phases de financement. Enfin, nous abordons la question des immobilisations et celle de la formation. Le calcul du montant de base L élaboration d un cadre de financement de base doit, selon nous, comporter des balises de financement en fonction du type d organisme et de sa mission. Ces balises doivent refléter le plus possible le niveau de financement permettant à un organisme communautaire d assurer une base stable de fonctionnement et, en ce sens, être élaborées selon la définition de ce que doit être un financement de base. Le financement de base comprend les coûts reliés à la rémunération des employés, de même qu à certains frais relatifs au bon fonctionnement des organismes pour leur permettre de réaliser leur mission et d atteindre leurs objectifs. Nous incluons donc les frais relatifs à la rémunération des employés des organismes communautaires (qui constitue 80 % du budget de base), selon la balise suivante : une rémunération moyenne 2 de $, qui est basée sur les demandes historiques de six secteurs communautaires et qui se dégage des cadres de financement adoptés au Québec ces dernières années. De plus, nous tenons compte du nombre d employés nécessaires pour assurer un fonctionnement de base des organismes communautaires, et ce, en fonction du type d organisme. 2 La rémunération moyenne est calculée en tenant compte de la diversité des types d emplois que l on retrouve dans les organismes communautaires (secrétaires, techniciens et professionnels) et en incluant les avantages et bénéfices marginaux, de même que les charges sociales. 26 juin

15 Chapitre 4 Types d organismes Nombre d employés pour assurer le fonctionnement de base Bénévoles 0 Aide, entraide, sensibilisation promotion et défense des droits 2,3 Milieux de vie et soutien dans la communauté 3,1 Hébergement communautaire 9,1 Table régionale des organismes communautaires (TROC) 3 La typologie proposée par le ministère de la Santé et des Services sociaux dans la brochure du programme SOC identifie six différents types d organismes, dont cinq existent en région : aide et entraide ; sensibilisation, promotion et défense des droits ; milieu de vie et soutien dans la communauté ; organismes d hébergement ; regroupements régionaux. Pour les fins de nos travaux, nous avons regroupé les catégories 1 et 2 pour n en constituer qu une seule. De plus, nous avons utilisé les réflexions et travaux réalisés dans la région du Bas Saint-Laurent pour tenter de préciser les distinctions entre les catégories «aide, entraide, sensibilisation, promotion, défense des droits» et «milieu de vie, soutien dans la communauté». En effet, nous considérons essentiel de préciser le plus possible les caractéristiques propres à ces deux types d organismes pour éviter la confusion. Vous trouverez, à l annexe 3, les définitions utilisées pour les distinguer. Le tableau qui suit présente le financement de base que la Régie régionale vise à accorder aux organismes communautaires en fonction des différentes balises que nous avons retenues. 26 juin

16 Chapitre 4 Calcul des montants de subvention de base selon les types d organismes Types d organismes Nombre de postes Financement de base Bénévole N.A $ (max.) Aide, entraide, sensibilisation promotion et défense des droits 2, $ Milieu de vie et soutien dans la communauté 3, $ Hébergement communautaire 9, $ Table régionale des organismes communautaires (TROC) $ 3 Le rayonnement géographique de l organisme Le rayonnement géographique désigne le territoire desservi par l organisme. Différents aspects doivent être pris en considération afin de déterminer ce rayonnement : la description des objets de la charte, l accessibilité pour la population, l historique de fréquentation et l intérêt de l organisme à soutenir les populations concernées. Le rayonnement géographique est introduit comme un facteur de pondération et se traduit par une majoration du budget global de fonctionnement de base de l organisation. Ainsi, la Régie régionale pourrait octroyer un budget supplémentaire jusqu à un maximum de 20 % du budget de base reconnu, selon la catégorie dans laquelle l organisme est intégré. De ce fait, un organisme desservant l ensemble de la région de la Mauricie et du Centre-du-Québec pourrait obtenir un rehaussement de 20 % de son financement de base, alors qu un autre, desservant uniquement la Mauricie ou le Centre-du-Québec, se verrait octroyer un rehaussement de 10 % de son financement de base. Le versement de ce montant supplémentaire n est pas obligatoire et devra faire l objet d une analyse préalable en fonction des critères suivants : la mission de l organisme, le territoire sur lequel les activités de l organisme doivent se réaliser, la nature de ces activités, de même que la population rejointe. L octroi d un tel ajustement du financement de base se fera aussi en fonction des disponibilités financières de la Régie régionale. 3 Il faut noter ici que la rémunération des employés de ce type d organisme correspond à 70 % du financement de base, et ce, pour tenir compte des coûts supplémentaires relatifs à la mission même de celui-ci. 26 juin

17 Chapitre 4 Les phases de financement Nous avons vu plus tôt que le cadre de financement des organismes ne peut être interprété comme un engagement à répondre à toutes les demandes de développement et de consolidation qui lui sont acheminées. La consolidation du financement des organismes communautaires se fera au fil des années, en fonction des montants qui seront disponibles à même les enveloppes régionales ou encore des budgets que le Ministère consentira aux régies régionales dans le cadre du programme SOC. Toutefois, nous convenons de l importance de définir deux phases de financement. En ce sens, pour une première subvention, la Régie régionale reconnaît la nécessité d accorder un montant minimum de subvention afin de permettre le démarrage ou de supporter le fonctionnement d un organisme nouvellement reconnu. Ces phases sont : Phases Implantation ou organisme reconnu par la Régie régionale mais non financé Organisme déjà implanté et financé par la Régie régionale Montant Minimum de $ 4 Selon les disponibilités financières et en fonction des budgets de base reconnus par type d organisme Les immobilisations Lors des discussions au comité de travail sur l élaboration d un cadre de financement, les représentants des organismes communautaires ont demandé que soit intégré un fonds spécial pour les immobilisations qui permettrait l acquisition ou la rénovation de bâtisses par les organismes communautaires. Pour la Régie régionale, il n est pas envisageable de mettre en place un tel fonds. Les raisons justifiant cette position sont les suivantes : Tout d abord, le calcul de la subvention de base a été effectué en tenant compte des frais reliés à l infrastructure de base (ex. : local, administration, secrétariat, communications, équipements adaptés le cas échéant, etc.). En ce sens, les frais d immobilisation devraient donc être assumés à même la subvention de base des organismes ; 4 La Régie régionale ne peut toutefois excéder le montant de la demande financière présentée par l organisme. 26 juin

18 Chapitre 4 d autre part, le projet gouvernemental de politique de reconnaissance et de financement des organismes communautaires identifie que des travaux devront être menés à ce chapitre. Ce mandat sera confié au Secrétariat à l action communautaire autonome (SACA), et ce, en lien avec la Société d habitation du Québec (SHQ). La formation La formation du personnel est une responsabilité qui appartient d abord et avant tout aux organismes et qui doit être budgétisée par le conseil d administration au début de chaque année financière. La Régie régionale considère que le financement de base versé aux organismes communautaires inclut les montants nécessaires pour la réalisation de cette obligation. En ce sens, la Régie n entend pas mettre en place une enveloppe spécifique pour la formation des travailleurs des organismes communautaires, tel que le demandait les représentants de la TROC. Il faut également préciser que la Régie régionale a aussi une responsabilité au niveau de la formation du personnel œuvrant dans le réseau de la santé et des services sociaux et que, à ce titre, les organismes peuvent bénéficier de certains programmes de formation. Généralement, ces formations sont dispensées dans le cadre des orientations ou priorités régionales et sont accessibles tant aux établissements du réseau qu aux organismes communautaires. Les coûts reliés à ces activités sont assumés par la Régie régionale, les organismes ou établissements n ayant à défrayer que les frais relatifs aux déplacements et aux salaires des participants. De plus, il est toujours possible pour les organismes communautaires de présenter des demandes de formation pour des thèmes spécifiques. Ces demandes sont alors analysées par la Régie régionale en fonction de l ensemble des demandes reçues et des budgets disponibles. Le conseil d administration de la Régie régionale adoptera prochainement un cadre régional en matière de formation. Ce cadre viendra définir de façon précise les mesures que la Régie régionale mettra en place pour actualiser sa responsabilité légale de soutien à la formation du personnel du réseau de la santé et des services sociaux, de même que des travailleurs des organismes communautaires. Lorsque ce document sera adopté, la Régie régionale diffusera l information aux organismes communautaires. 26 juin

19 Conclusion L adoption par la Régie régionale d un nouveau cadre de financement pour les organismes communautaires de notre région constitue une étape importante dans nos relations avec ces partenaires. En effet, par cette adoption, la Régie régionale de la Mauricie et du Centre-du-Québec reconnaît l importance et la pertinence des actions et activités des organismes communautaires et la place que ceux-ci occupent dans la région en matière de santé et de services sociaux. De plus, en majorant de façon très significative les balises à partir desquelles sont établis les montants des subventions pour un financement de base, la Régie régionale reconnaît que des efforts réels devront être faits pour majorer l enveloppe financière destinée aux organismes communautaires. D ailleurs, le conseil d administration de la Régie régionale a déjà, par voie de résolution, reconnu la nécessité de consolider le financement du milieu communautaire. L adoption d une politique régionale de financement est donc une confirmation de la position déjà reconnue par la Régie régionale. 26 juin

20 Annexe 1 L EVOLUTION DES DEMANDES DE SUBVENTION AU PROGRAMME DE SOUTIEN AUX ORGANISMES COMMUNAUTAIRES Évolution des demandes de subventions au programme SOC (en millions de dollars) ,1 32, , ,2 Montants , ,2 9,2 10,2 21,4 11,7 13,3 14,6 15,4 16,1 budgets demandés budgets octroyés budgets demandés ,2 21,4 24,2 27,3 32,3 36,1 budgets octroyés 7,9 9,2 10,2 11,7 13,3 14,6 15,4 16,1 Années financières juin

21 Annexe 2 LA DEFINITION DU FINANCEMENT DE BASE ET DU FINANCEMENT SPECIFIQUE Un comité provincial de responsables du programme SOC des régies régionales a proposé les définitions suivantes de ce que devraient être un financement de base et un financement spécifique. Financement de base Le soutien au financement de base a pour but de permettre à l organisme communautaire de se doter de l organisation minimale nécessaire à la réalisation de ses objectifs reliés à l accomplissement de la mission pour laquelle il est reconnu. Il comprend : les frais reliés à l infrastructure de base (ex. : local, administration, secrétariat, communications, équipements adaptés le cas échéant, etc.) ; les frais reliés à l accomplissement de sa mission spécifique au domaine de la santé et des services sociaux (notamment la rémunération du personnel lié aux activités de base, l organisation des services et activités éducatrices, la concertation, la représentation, la mobilisation) ; les frais reliés à la vie associative de l organisme où s opère la prise en charge par la communauté de ses propres besoins en matière de santé et de bienêtre. La nature de la subvention est récurrente et le montant déterminé notamment en fonction des ressources financières disponibles de la Régie régionale ou du ministère et des balises telles le type d organisme, son stade de développement, les besoins de la population (ex. : facteurs démographiques). La mission des organismes de base doit être comprise dans un sens large et global. Ainsi, le soutien financier de base signifie que les activités éducatives et celles de sensibilisation, de conscientisation, de mobilisation et de défense des droits, bien qu à des degrés divers, font partie intégrante de l action des organismes communautaires, peu importe leur domaine d intervention. Ce soutien constitue une participation au financement de base de l organisme puisque le Ministère et les régies régionales ne s engagent, en aucune façon, à financer les services et activités des organismes communautaires selon les coûts encourus. L organisme communautaire doit recourir à des sources additionnelles de financement, publiques ou privées. 26 juin

22 Annexe 2 Financement spécifique Le financement spécifique a pour but la réalisation d activités, de programmes, de projets particuliers qui pourront faire l objet d un octroi sur une période de court, moyen ou long terme. Il vise notamment : des activités reliées aux priorités régionales ; des mesures prévues aux plans d organisation des services ; des activités découlant de mandats ou d ententes avec la Régie régionale ; des activités liées à des programmes particuliers ; des activités reliées au développement de mesures d accès ; etc. Les subventions accordées peuvent se situer en continuité directe avec des activités ou services déjà dispensés par des organismes communautaires ou encore nécessiter le développement de nouveaux volets dans la programmation des activités. Le mode de financement respecte l autonomie des organismes communautaires puisqu'il doit faire l objet d une entente librement consentie selon des modalités à définir entre les parties. 26 juin

23 Annexe 3 LA TYPOLOGIE DES ORGANISMES COMMUNAUTAIRES : DÉFINITION DE DEUX CATÉGORIES ORGANISMES AIDE ENTRAIDE ORGANISMES MILIEU DE VIE ET SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ Local de type fonctionnel, en fonction des activités de l organisme. La personne utilise les activités et services pour une démarche précise en lien avec une problématique spécifique. Activités circonscrites en lien avec la mission de l organisme. Local de type lieu d appartenance (pour les utilisateurs) où la personne peut aller de façon informelle. Activités de soutien : aide directe de groupe ou collective. Activités de soutien : aide directe de groupe ou collective. Activités éducatives (ateliers, structures programmées, implication des membres dans des comités de travail). Actions collectives (changement social, mobilisation, amélioration des conditions de vie). Activités éducatives (ateliers, structures programmées, implication des membres dans des comités de travail). Activités de promotion et de prévention. Activités de promotion et de prévention. Population avec problématiques spécifiques. Population, communauté ciblée, personnes ayant des caractéristiques communes et pouvant vivre des problématiques communes. Marguerite Fournet, Région du Bas St-Laurent Un organisme communautaire de type milieu de vie devrait répondre à ces six caractéristiques. Il faut cumuler ces six caractéristiques pour être reconnu dans la catégorie milieu de vie et soutien dans la communauté. Toutefois, il peut y avoir une notion d intensité différente d une activité à l autre. 26 juin

La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale

La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale Programme de soutien aux organismes communautaires SERVICES SOCIAUX Édition : La Direction des communications du ministère de la Santé

Plus en détail

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...

Plus en détail

Plan Stratégique 2008-2013

Plan Stratégique 2008-2013 Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite

Plus en détail

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation Guide sur les mutuelles de formation Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION AVRIL 2008 Dans le cadre d une entente de délégation prévue par la Loi sur le ministère de l Emploi et de la Solidarité

Plus en détail

SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants

SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants POLITIQUE POLITIQUE D ÉDUCATION INTERCULTURELLE DATE : 26 mars 2014 SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants DESTINATAIRES : À toute la communauté

Plus en détail

ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE

ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE CONSIDÉRANT les réels problèmes d accessibilité aux services

Plus en détail

Planification stratégique 2012-2015

Planification stratégique 2012-2015 DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du

Plus en détail

Le genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes.

Le genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes. Programme d intéressement pour l implantation du rôle de l infirmière praticienne spécialisée Modalités d application 15-919-04W RÉDACTION Direction des soins infirmiers Direction générale des services

Plus en détail

Cadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches

Cadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches Cadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches Document mis à jour en avril 2014 Table de matière 1. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX 3 1.1 PRÉSENTATION DU FONDS RÉGIONAL D INVESTISSEMENT

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE

Plus en détail

En fonction de sa proposition, Hydro-Québec s attend à ce que la nouvelle tarification soit effective au début de l année 2007.

En fonction de sa proposition, Hydro-Québec s attend à ce que la nouvelle tarification soit effective au début de l année 2007. NOTE AU LECTEUR Fondée en 1961, l Association provinciale des constructeurs d habitations du Québec (APCHQ) est une référence en matière de construction et de rénovation résidentielles. Regroupant quelque

Plus en détail

Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite

Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le 19 avril 2013 Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le comité d experts a été formé vers la fin de 2011, et on lui a donné le mandat de formuler des

Plus en détail

Guide de présentation. Programme de subventions aux entreprises adaptées

Guide de présentation. Programme de subventions aux entreprises adaptées Guide de présentation Programme de subventions aux entreprises adaptées Guide de présentation Programme de subventions aux entreprises adaptées Direction régionale d Emploi-Québec du Centre-du-Québec Direction

Plus en détail

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2013. Société du Parc industriel et portuaire de Bécancour

Plan d action de développement durable 2009-2013. Société du Parc industriel et portuaire de Bécancour Société du Parc industriel et portuaire de Bécancour Plan d action de développement durable 2009-2013 Favoriser une meilleure concertation des industries du territoire Octobre 2009 Avant propos La Société

Plus en détail

POLITIQUE DE COMMUNICATION CDC MRC DE L ASSOMPTION

POLITIQUE DE COMMUNICATION CDC MRC DE L ASSOMPTION 1 Politique de communication Corporation de développement communautaire MRC de L Assomption Introduction Mise en contexte Issue de la Table de concertation des organismes communautaires MRC de L Assomption,

Plus en détail

GUIDE SUR LES MUTUELLES DE FORMATION. Règlement sur les mutuelles de formation

GUIDE SUR LES MUTUELLES DE FORMATION. Règlement sur les mutuelles de formation GUIDE SUR LES MUTUELLES DE FORMATION Règlement sur les mutuelles de formation GUIDE SUR LES MUTUELLES DE FORMATION Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION SEPTEMBRE 2010 Dans le cadre d une entente

Plus en détail

Résolution 451-00 POLITIQUE DE RECONNAISSANCE DES ORGANISMES COMMUNAUTAIRES, CULTURELS, SPORTIFS ET SOCIO-RÉCRÉATIFS DE MAGOG

Résolution 451-00 POLITIQUE DE RECONNAISSANCE DES ORGANISMES COMMUNAUTAIRES, CULTURELS, SPORTIFS ET SOCIO-RÉCRÉATIFS DE MAGOG Résolution 451-00 POLITIQUE DE RECONNAISSANCE DES ORGANISMES COMMUNAUTAIRES, CULTURELS, SPORTIFS ET SOCIO-RÉCRÉATIFS DE MAGOG Modifiée le 16 février 2010 TABLE DES MATIÈRES Page 1- Cadre de référence...

Plus en détail

POLITIQUE INTERCULTURELLE

POLITIQUE INTERCULTURELLE POLITIQUE INTERCULTURELLE Adoptée à la 269 e réunion du conseil d administration du 21 septembre 2009 Politique interculturelle Préambule Le Collège de Maisonneuve évolue dans un contexte interculturel

Plus en détail

5.11 Programme de subventions aux entreprises adaptées

5.11 Programme de subventions aux entreprises adaptées 5.11 Programme de subventions aux entreprises adaptées 5.11 PROGRAMME DE SUBVENTIONS AUX ENTREPRISES ADAPTÉES 2014-02-17 Table des matières Page 2 sur 16 Table des matières RÉFÉRENCE 1. INTRODUCTION...

Plus en détail

Étapes suivantes du plan d action du Manitoba

Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Juillet 2005 Pour aller de l avant : L apprentissage et la garde des jeunes enfants Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Introduction En novembre 1999, le gouvernement du Manitoba a confirmé son

Plus en détail

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres

Plus en détail

Les conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais

Les conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais Les conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais Des conclusions qui appellent à la mobilisation Rapport du RIOCM sur le sous-financement des organismes communautaires de

Plus en détail

Politique des stages. Direction des études

Politique des stages. Direction des études Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai

Plus en détail

Article 1. Article 2. Article 3

Article 1. Article 2. Article 3 ENTENTE RELATIVE AUX COMITÉS DE SANTÉ ET DE SÉCURITÉ DU TRAVAIL ET AU TEMPS DE LIBÉRATION ALLOUÉ AUX REPRÉSENTANTS À LA PRÉVENTION DANS L EXERCICE DE LEURS FONCTIONS (Juin 1992) Article 1 En vue de prévenir

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail

Vérification des procédures en fin d exercice

Vérification des procédures en fin d exercice Vérification des procédures en fin d exercice DIVERSIFICATION DE L ÉCONOMIE DE L OUEST CANADA Direction générale de la vérification et de l évaluation Décembre 2011 Table des matières 1.0 Résumé 1 2.0

Plus en détail

CFP 059M C.P. Rapport D Amours

CFP 059M C.P. Rapport D Amours Mémoire du Régime de retraite de l Université du Québec (RRUQ) sur le rapport du Comité D Amours Mémoire déposé à la Commission des finances publiques le 22 août 2013 CFP 059M C.P. Rapport D Amours Table

Plus en détail

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle

Plus en détail

Table des matières Mise en contexte...3 Historique...3 1995...3 Lettre d entente no 54... 3 1996...3 Diagnostic du plan Imbeault, le plan qui est

Table des matières Mise en contexte...3 Historique...3 1995...3 Lettre d entente no 54... 3 1996...3 Diagnostic du plan Imbeault, le plan qui est Section locale 2000 Table des matières Mise en contexte...3 Historique...3 1995...3 Lettre d entente no 54... 3 1996...3 Diagnostic du plan Imbeault, le plan qui est actuellement en vigueur... 3 1997...3

Plus en détail

RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS AVEC SES CITOYENS

RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS AVEC SES CITOYENS PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE COMTÉ DE RIVIERE-DU-LOUP RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS

Plus en détail

Vers l amélioration continue

Vers l amélioration continue Vers l amélioration continue Devis d évaluation et planification des travaux sur l assurance qualité Document recommandé par le comité de suivi du Plan stratégique, le comité de Régie interne et la Commission

Plus en détail

LES PARTICULARITÉS DE LA COOPÉRATIVE DE SOLIDARITÉ

LES PARTICULARITÉS DE LA COOPÉRATIVE DE SOLIDARITÉ Vous envisagez de vous lancer en affaires sous la formule «Coopérative»? Une coopérative est une personne morale regroupant des personnes ou sociétés qui ont des besoins économiques, sociaux ou culturels

Plus en détail

Recommandations avant inscription à AC JumpStart

Recommandations avant inscription à AC JumpStart Recommandations avant inscription à AC JumpStart Qu est-ce qu AC JumpStart? AC JumpStart est un programme innovateur d incubation et d encadrement soutenant l implantation d entreprises en démarrage à

Plus en détail

Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics

Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics Mémoire présenté au ministère du Travail dans le cadre de la consultation de la Loi sur les décrets

Plus en détail

CHAPITRE III: L'ENSEIGNEMENT ET LA RECHERCHE

CHAPITRE III: L'ENSEIGNEMENT ET LA RECHERCHE CHAPITRE III: L'ENSEIGNEMENT ET LA RECHERCHE : LA RECHERCHE POLITIQUE RELATIVE AUX CONTRATS ET COMMANDITES PAGE: 1 Adoptée: CAD-5355 (15 06 93) Modifiée: CAD-5869 (27 02 96) CAD-5971 (18 06 96) CAD-6138

Plus en détail

Pierre Marchand Consultant

Pierre Marchand Consultant Pierre Marchand Consultant 1 Avant-propos Mot de bienvenue Présentation du formateur Logistique Mise en garde Modifications par rapport à 2012-2013 Les exemples présentés proviennent des paramètres de

Plus en détail

Conférence régionale des élus de la CHAUDIÈRE-APPALACHES POLITIQUE DE GESTION FINANCIÈRE ET POLITIQUE DE FRAIS DE DÉPLACEMENT ET DE REPRÉSENTATION

Conférence régionale des élus de la CHAUDIÈRE-APPALACHES POLITIQUE DE GESTION FINANCIÈRE ET POLITIQUE DE FRAIS DE DÉPLACEMENT ET DE REPRÉSENTATION Conférence régionale des élus de la CHAUDIÈRE-APPALACHES POLITIQUE DE GESTION FINANCIÈRE ET POLITIQUE DE FRAIS DE DÉPLACEMENT ET DE REPRÉSENTATION Adopté au conseil d administration du 10 juin 2004 Modifications

Plus en détail

Pour la prospérité : investissons dans le développement social du Québec

Pour la prospérité : investissons dans le développement social du Québec Pour la prospérité : investissons dans le développement social du Québec Présentation à la ministre des Finances du Québec, Mme Monique Jérôme-Forget lors des consultations prébudgétaires le 14 février

Plus en détail

Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 08-00031 ISBN 978-2-550-52679-7 (version imprimée) ISBN 978-2-550-52680-3

Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 08-00031 ISBN 978-2-550-52679-7 (version imprimée) ISBN 978-2-550-52680-3 IV Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 08-00031 ISBN 978-2-550-52679-7 (version imprimée) ISBN 978-2-550-52680-3 (PDF) Dépôt légal Bibliothèque et Archives nationales

Plus en détail

Politique de reconnaissance. et de soutien pour les organismes communautaires de Chelsea. Octobre

Politique de reconnaissance. et de soutien pour les organismes communautaires de Chelsea. Octobre Politique de reconnaissance et de soutien pour les organismes communautaires de Chelsea Présenté par Le Service des loisirs, de la culture et de la vie communautaire de Chelsea Octobre 2013 Table des Matières

Plus en détail

I ON S S IR E OI R ULT U R A MO S AV LE LIVRE, AU CŒUR DE LA CULTURE. Plan d action sur le livre

I ON S S IR E OI R ULT U R A MO S AV LE LIVRE, AU CŒUR DE LA CULTURE. Plan d action sur le livre P A HI S S S T C R I ON M Ê IR E ULT U R A MO V ÉM E O IR E UR S AV OI R E LE LIVRE, AU CŒUR DE LA CULTURE Plan d action sur le livre OCCUPATION : DÉVOREUSE DE LIVRES VOTRE LIBRAIRE, AUTEUR DE PETITS BONHEURS

Plus en détail

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres

Plus en détail

Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux

Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux PREMIÈRE SESSION TRENTE-SEPTIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de et de services sociaux Présenté le 11 novembre 2003 Principe adopté le 10 décembre

Plus en détail

Assurances collectives

Assurances collectives ?Votre guide de référence Assurances collectives samsongroupeconseil.com Votre partenaire de parcours Introduction Au printemps 2006, neuf syndicats d enseignement débutaient un processus de désaffiliation

Plus en détail

Partenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement.

Partenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement. Partenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement. Automne 2014 MOT DE BIENVENUE ET PRÉSENTATION DES FORMATRICES Réjeanne Bouchard Guylaine Cloutier

Plus en détail

HÉMA-QUÉBEC ÉTATS FINANCIERS

HÉMA-QUÉBEC ÉTATS FINANCIERS HÉMA-QUÉBEC ÉTATS FINANCIERS de l exercice terminé le 31 mars 2002 19 TABLE DES MATIÈRES Rapport de la direction 21 Rapport du vérificateur 22 États financiers Résultats 23 Excédent 23 Bilan 24 Flux de

Plus en détail

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles

Plus en détail

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013 Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer

Plus en détail

d intervention prioritaires de l Etat et les modalités de cette intervention.

d intervention prioritaires de l Etat et les modalités de cette intervention. DSAS/Avant-projet du 28.02.2014 Loi du... sur les seniors (LSen) Le Grand Conseil du canton de Fribourg Vu la Constitution du canton de Fribourg du 16 mai 2004 (Cst. cant.), notamment ses articles 35 et

Plus en détail

6.1 L UNIVERSITÉ RECHERCHE... 5... 6

6.1 L UNIVERSITÉ RECHERCHE... 5... 6 DIRECTIVE 2600-035 TITRE : ADOPTION : Comité de direction de l Université Résolution : CD-2008-07-08 ENTRÉE EN VIGUEUR : 8 juillet 2008 MODIFICATION : Comité de direction de l Université Résolution : CD-2014-04-08-05

Plus en détail

POLITIQUE SUR LES FRAIS DE FONCTION ET DE CIVILITÉS. Modification :

POLITIQUE SUR LES FRAIS DE FONCTION ET DE CIVILITÉS. Modification : POLITIQUE SUR LES FRAIS DE FONCTION ET DE CIVILITÉS Adoption : Résolution XVIII du Conseil des commissaires extraordinaire du 7 juillet 2010 Modification : Résolution 20 du Conseil des commissaires du

Plus en détail

Étude sur les efforts requis pour gérer les offices d habitation de moins de 100 logements Société d habitation du Québec

Étude sur les efforts requis pour gérer les offices d habitation de moins de 100 logements Société d habitation du Québec CONDENSÉ DÉCISIONNEL Étude sur les efforts requis pour gérer les offices d habitation de moins de 100 logements Société d habitation du Québec Le 11 avril 2014 d habitation de moins de 100 logements Condensé

Plus en détail

AFFAIRES ÉLECTRONIQUES Crédit d impôt remboursable pour les activités d affaires électroniques

AFFAIRES ÉLECTRONIQUES Crédit d impôt remboursable pour les activités d affaires électroniques AFFAIRES ÉLECTRONIQUES Crédit d impôt remboursable pour les activités d affaires électroniques Afin de stimuler davantage le développement de certaines activités liées aux technologies de l information,

Plus en détail

Numéro : 300. Excédents, méthodes de calcul - Ligne 7 de la Déclaration des salaires

Numéro : 300. Excédents, méthodes de calcul - Ligne 7 de la Déclaration des salaires Numéro : 300 Excédents, méthodes de calcul - Ligne 7 de la Déclaration des salaires Décembre 2013 Objectif de cette note d orientation... 4 Références légales... 4 Contexte... 5 Historique du calcul hebdomadaire

Plus en détail

Portfolio des services du ROHSCO Mot de la direction C est avec un immense plaisir que nous vous remettons ce portfolio; fidèle portrait des services du ROHSCO. Au fil des années le Regroupement s est

Plus en détail

OUTIL DIAGNOSTIQUE DE L ACTION EN PARTENARIAT

OUTIL DIAGNOSTIQUE DE L ACTION EN PARTENARIAT OUTIL DIAGNOSTIQUE DE L ACTION EN PARTENARIAT Angèle Bilodeau, Ph.D. 1, 2 Marilène Galarneau, M.Sc. 2 Michel Fournier, M.Sc. 1 Louise Potvin, Ph.D. 2 Gilles Sénécal, Ph.D. 2, 3 Jocelyne Bernier, M.Sc.

Plus en détail

»»»» CONCILIATION FAMILLE-TRAVAIL OU COMMENT RÉCONCILIER LES DEUX MONDES DANS LESQUELS NOUS ÉVOLUONS? DÉFINITION

»»»» CONCILIATION FAMILLE-TRAVAIL OU COMMENT RÉCONCILIER LES DEUX MONDES DANS LESQUELS NOUS ÉVOLUONS? DÉFINITION 5 Fiche de sensibilisation CONCILIATION FAMILLE-TRAVAIL OU COMMENT RÉCONCILIER LES DEUX MONDES DANS LESQUELS NOUS ÉVOLUONS? Il nous arrive fréquemment de nous interroger sur notre façon de faire les choses

Plus en détail

TABLE RONDE DE LA COMMUNAUTÉ

TABLE RONDE DE LA COMMUNAUTÉ TABLE RONDE DE LA COMMUNAUTÉ CANADIENNE DE GÉOMATIQUE Renforcer le secteur de la géomatique au Canada à travers la communauté DIMENSION DU LEADERSHIP ET DE LA GOUVERNANCE DOCUMENT DE DISCUSSION DE LA COMMUNAUTÉ

Plus en détail

Politique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET

Politique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET Politique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET ADOPTÉE LE 9 SEPTEMBRE 2009 MODIFIÉE EN MAI 2012 Le Forum jeunesse Estrie est soutenu financièrement par le gouvernement

Plus en détail

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne

Plus en détail

Préparation d un Plan de mesures d urgence

Préparation d un Plan de mesures d urgence Préparation d un Plan de mesures d urgence Guide Pour les organismes humanitaires et communautaires Élaboré par: Regroupement des organismes humanitaires et communautaires pour les mesures d urgence à

Plus en détail

Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme

Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Déposé à la Commission de l aménagement du territoire de l Assemblée nationale du Québec Dans le cadre

Plus en détail

CONVENTION COLLECTIVE DE TRAVAIL ENTRE L'UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À CHICOUTIMI

CONVENTION COLLECTIVE DE TRAVAIL ENTRE L'UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À CHICOUTIMI CONVENTION COLLECTIVE DE TRAVAIL ENTRE L'UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À CHICOUTIMI ET LE SYNDICAT DES PROFESSIONNELLES ET PROFESSIONNELS DE LA RECHERCHE DE L UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À CHICOUTIMI 2011-2014 PRÉAMBULE

Plus en détail

COMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE

COMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE COMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE Dossier n o : 16085 FRA Québec, le : 17 janvier 2013 Membres : Marie Rinfret, présidente Sophie Raymond, commissaire Personne salariée Partie plaignante et Auberge du Portage

Plus en détail

LES CRITÈRES D'ATTRIBUTION ET RÈGLES D APPLICATION DE RÉMUNÉRATIONS ADDITIONNELLES POUR LES EMPLOYÉS COUVERTS PAR L UNITÉ SCRC

LES CRITÈRES D'ATTRIBUTION ET RÈGLES D APPLICATION DE RÉMUNÉRATIONS ADDITIONNELLES POUR LES EMPLOYÉS COUVERTS PAR L UNITÉ SCRC LES CRITÈRES D'ATTRIBUTION ET RÈGLES D APPLICATION DE RÉMUNÉRATIONS ADDITIONNELLES POUR LES EMPLOYÉS COUVERTS PAR L UNITÉ SCRC PRÉPARÉ PAR LE COMITÉ PATRONAL SUR L'ÉGALITÉ SALARIALE LE 30 JANVIER 2006

Plus en détail

Western Climate Initiative, inc. Budget révisé pour l année civile 2015 et dépenses prévues en 2016 6 mai 2015

Western Climate Initiative, inc. Budget révisé pour l année civile 2015 et dépenses prévues en 2016 6 mai 2015 Western Climate Initiative, inc. Budget révisé pour l année civile 2015 et dépenses prévues en 2016 6 mai 2015 Table des matières Introduction... 1 Services de plafonnement et d échange... 2 Système de

Plus en détail

Plan sur les langues officielles Le bilinguisme officiel Une force 2011 2013 2011.09 Province du Nouveau-Brunswick CP 6000 Fredericton NB E3B 5H1

Plan sur les langues officielles Le bilinguisme officiel Une force 2011 2013 2011.09 Province du Nouveau-Brunswick CP 6000 Fredericton NB E3B 5H1 Plan sur les langues officielles Le bilinguisme officiel Une force 2011 2013 2011.09 Province du Nouveau-Brunswick CP 6000 Fredericton NB E3B 5H1 CANADA www.gnb.ca/premier ISBN 978-1-55471-534-3 Imprimé

Plus en détail

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Charte Janvier 2013 La présente publication est disponible sur le site de la BRI (www.bis.org). Banque des Règlements Internationaux 2013. Tous droits réservés.

Plus en détail

Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives

Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Présentation à la Commission des affaires sociales Ordre des pharmaciens du Québec 28 mai 2002

Plus en détail

Mme Françoise Charbonneau, commissaire, est absente.

Mme Françoise Charbonneau, commissaire, est absente. Page 106 PROVINCE DE QUÉBEC Ville de Laval À UNE SÉANCE ORDINAIRE du comité exécutif de la Commission scolaire de Laval, tenue le 17 juin 2009, à 17 h 30, au 955, boulevard Saint-Martin Ouest, Laval, à

Plus en détail

Appel de mises en candidature et d inscriptions

Appel de mises en candidature et d inscriptions www.csae.com Prix Leadership 2013 Appel de mises en candidature et d inscriptions Prix Pinnacle Prix Griner Prix de membre honoraire à vie Prix Donna Mary Shaw Prix «Les associations, sources d un Canada

Plus en détail

RIGUEUR RESPONSABILITÉ DANS LA GESTION DES DÉPENSES

RIGUEUR RESPONSABILITÉ DANS LA GESTION DES DÉPENSES RIGUEUR ET RESPONSABILITÉ DANS LA GESTION DES DÉPENSES RIGUEUR ET RESPONSABILITÉ DANS LA GESTION DES DÉPENSES «... des choix plus rigoureux et responsables s imposent.» Rigueur et responsabilité dans

Plus en détail

Vérification des contrats et processus propres au Service du parc automobile. Déposé devant le Comité de la vérification le 12 mars 2015

Vérification des contrats et processus propres au Service du parc automobile. Déposé devant le Comité de la vérification le 12 mars 2015 Bureau du vérificateur général Vérification des contrats et processus propres Résumé Déposé devant le Comité de la vérification le 12 mars 2015 Cette page a été intentionnellement laissée en blanc. Vérification

Plus en détail

PLAN D ACTION À L ÉGARD DES PERSONNES HANDICAPÉES 1 er avril 2014 au 31 mars 2015

PLAN D ACTION À L ÉGARD DES PERSONNES HANDICAPÉES 1 er avril 2014 au 31 mars 2015 DES PERSONNES HANDICAPÉES 1 er avril 2014 au 31 mars 2015 Vice-présidence principale aux ressources humaines et à l administration TABLE DES MATIÈRES MISE EN CONTEXTE... 4 DÉFINITION... 4 PORTRAIT DE

Plus en détail

Modification de la Réforme du classement des Offices de Tourisme

Modification de la Réforme du classement des Offices de Tourisme Réunion des Présidents d Offices de Tourisme Bourges - Lundi 4 juillet 2011 Nouveaux critères de classement I - Introduction - modalités d application Extrait du Flash Infotourisme N 53-28 juin 2011 FNOTSI

Plus en détail

Foire aux questions. 1. Comment savoir quels ajustements s appliquent aux trois fonctions suivantes :

Foire aux questions. 1. Comment savoir quels ajustements s appliquent aux trois fonctions suivantes : Foire aux questions Mise à jour le 5 janvier 2011 Liste des questions 1. Comment savoir quels ajustements s appliquent aux trois fonctions suivantes : Technicien / Technicienne en coordination du travail

Plus en détail

PROGRAMME DE MENTORAT

PROGRAMME DE MENTORAT CONSEIL SCOLAIRE ACADIEN PROVINCIAL PROGRAMME DE MENTORAT ÉNONCÉ PRATIQUE Le Conseil scolaire acadien provincial désire promouvoir un programme de mentorat qui servira de soutien et d entraide auprès des

Plus en détail

Régimes flexibles et comptes de gestion santé : est-ce pour nous?

Régimes flexibles et comptes de gestion santé : est-ce pour nous? Régimes flexibles et comptes de gestion santé : est-ce pour nous? Par Marc-André Laliberté, ASA Vice-président principal Sommet Avantages & Retraite 4 avril 2012 Marque de commerce de Groupe Optimum inc.

Plus en détail

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) Point réglementation N 1 Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) (anciennement TOS, exerçant dans les lycées et collèges) Mis à jour en septembre

Plus en détail

3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212)

3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212) 3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212) Le Ministère apporte un soutien financier aux commissions scolaires pour favoriser le développement de l éducation interculturelle.

Plus en détail

Programme régional de soutien au développement et à la consolidation des organismes de formation spécialisée (préparatoire ou de loisir) en arts de

Programme régional de soutien au développement et à la consolidation des organismes de formation spécialisée (préparatoire ou de loisir) en arts de Programme régional de soutien au développement et à la consolidation des organismes de formation spécialisée (préparatoire ou de loisir) en arts de la Côte-Nord Table des matières Introduction... 3 Origine

Plus en détail

Adopté à l unanimité des conseillers

Adopté à l unanimité des conseillers Province de Québec M.R.C. d Arthabaska Municipalité de Saint-Albert Ouverture de la séance ordinaire du conseil de la Municipalité de Saint- Albert, tenue le 2 avril 2013 à 19h30, au bureau municipal,

Plus en détail

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d admini istration Mai 2012 1 Le programme de maîtrise en administration des affaires, cheminement coopératif (MBA Coop) de la Faculté d administration

Plus en détail

Modernisation des programmes d aides techniques du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS)

Modernisation des programmes d aides techniques du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) Ministère de la Santé et des Services sociaux Direction générale des services sociaux Modernisation des programmes d aides techniques du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) Convergez vers

Plus en détail

Le fonds local d investissement (FLI) et le fonds local de solidarité (FLS) CRITÈRES ET CONDITIONS D ADMISSIBILITÉ. Sommaire

Le fonds local d investissement (FLI) et le fonds local de solidarité (FLS) CRITÈRES ET CONDITIONS D ADMISSIBILITÉ. Sommaire Le fonds local d investissement (FLI) et le fonds local de solidarité (FLS) CRITÈRES ET CONDITIONS D ADMISSIBILITÉ Sommaire Objectif... 2 Critères d admissibilité... 2 Dépôt d un dossier... 2 Principaux

Plus en détail

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période

Plus en détail

CI-APRÈS DÉSIGNÉ LE «MINISTÈRE»,

CI-APRÈS DÉSIGNÉ LE «MINISTÈRE», CONVENTION DE PARTICIPATION AU PROGRAMME DE PRISE EN CHARGE DU DOSSIER DE SANTÉ ET SÉCURITÉ DU TRAVAIL POUR LES S D ÉCONOMIE SOCIALE EN AIDE DOMESTIQUE ENTRE : LE MINISTRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX,

Plus en détail

Présenté par l Organisme d autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ)

Présenté par l Organisme d autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ) Mémoire présenté au ministère des Finances et de l Économie dans le cadre de la consultation faisant suite au dépôt du Rapport sur l application de la Loi sur les assurances et de la Loi sur les sociétés

Plus en détail

DEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT

DEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT DEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT Que devez-vous savoir sur la tutelle en vertu de la Loi sur la protection de la jeunesse? LOI SUR LA PROTECTION DE LA JEUNESSE CETTE BROCHURE A ÉTÉ RÉALISÉE

Plus en détail

La Régie des rentes du Québec

La Régie des rentes du Québec La Régie des rentes du Québec La Régie des rentes du Québec est chargée d appliquer la Loi sur le régime de rentes du Québec et la Loi sur les régimes complémentaires de retraite. De plus, elle administre

Plus en détail

Affaires autochtones et Développement du Nord Canada. Rapport de vérification interne

Affaires autochtones et Développement du Nord Canada. Rapport de vérification interne Affaires autochtones et Développement du Nord Canada Rapport de vérification interne Vérification du cadre de contrôle de gestion pour les subventions et contributions de 2012-2013 (Modes de financement)

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. 1.1 Introduction.. 1. 1.2 Profil des familles de Stanstead 2. 1.3 Nature de la politique 3. Volet 1 : Prendre racine à Stanstead

TABLE DES MATIÈRES. 1.1 Introduction.. 1. 1.2 Profil des familles de Stanstead 2. 1.3 Nature de la politique 3. Volet 1 : Prendre racine à Stanstead PROGRAMME D AIDE FINANCIÈRE ET DE SOUTIEN AUX FAMILLES DE LA VILLE DE STANSTEAD EN COLLABORATION AVEC LA CAISSE DESJARDINS DE STANSTEAD DANS LE CADRE DE SA POLITIQUE DE BIENVENUE Projet rédigé par : Le

Plus en détail

PRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES

PRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES PRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

Mémoire relatif au Règlement sur le dépannage et le remorquage des véhicules sur le territoire de la Communauté urbaine de Montréal

Mémoire relatif au Règlement sur le dépannage et le remorquage des véhicules sur le territoire de la Communauté urbaine de Montréal Mémoire relatif au Règlement sur le dépannage et le remorquage des véhicules sur le territoire de la Communauté urbaine de Montréal Présenté à La Commission du développement économique de la Communauté

Plus en détail

Il est constitué entre les soussignés une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901 ayant pour titre : Gixe.

Il est constitué entre les soussignés une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901 ayant pour titre : Gixe. Gixe Statuts d association conforme à la loi du 1er juillet 1901 1 Constitution Il est constitué entre les soussignés une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901 ayant

Plus en détail

RÈGLEMENTS «Concours Prêt pour ma bourse»

RÈGLEMENTS «Concours Prêt pour ma bourse» RÈGLEMENTS «Concours Prêt pour ma bourse» Les Caisses Desjardins de Saguenay, via leur fonds d aide au développement du milieu lancent leur concours «Prêt pour ma bourse». Une somme de 110 000 $ est mise

Plus en détail

DEMANDE DE FINANCEMENT FONDS LOCAL D INVESTISSEMENT (FLI)

DEMANDE DE FINANCEMENT FONDS LOCAL D INVESTISSEMENT (FLI) 1. IDENTIFICATION DEMANDE DE FINANCEMENT FONDS LOCAL D INVESTISSEMENT (FLI) NOM DE L ENTREPRISE REQUÉRANTE (raison sociale) LIEU DE RÉALISATION DU PROJET (Numéro, rue, app., code postal) Code postal Téléphone

Plus en détail

Conseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017

Conseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Conseil régional Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Dans ce tableau, la numérotation est utilisée afin de faciliter le suivi de la présentation. Légende Palier N signifie national R signifie régional

Plus en détail