REVUE DE PRESSE. LES MARSEILLAISES 10 février 2015 par Clara Cohen-Solal

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1 REVUE DE PRESSE LE RÉVÉLATEUR PHOCÉEN «Le cercle» Claudia Imbert Posted on 9 février 2015 février 2015 by Loris TRIPTYQUE inaugure sa nouvelle galerie d art contemporain ce mardi avec une exposition de photographies de Claudia Imbert, «Le cercle». Après plusieurs années à Paris dans le quartier du marais, Marie CINI vient à Marseille, elle s occupe de la programmation du lieu en collaboration avec Marielle Tuloup Pascal et Christian Ribière deux commissaires priseur associés. Ils installent leur galerie d art contemporain TRIP- TYQUE, rue Montgrand, au centre de Marseille. Ce lieu est à voir plus comme un showroom proposant toutes formes d arts sans être rattaché à une ligne artistique préalablement définie. TRIPTYQUE veux avant tout aborder l art contemporain sous différents angles et rendre l art accessible au grand public : la jeune génération sera mise en avant régulièrement. Cette grande ouverture se fera avec le vernissage de l exposition «Le cercle» de la photographe Claudia Imbert. Une artiste déjà reconnu en France et à l étranger ayant reçu plusieurs prix comme le Prix Arcimboldo 2012 avec sa série «Famille incertaine». Un choix qui n est pas anodin puisque les photographies présentées ont été réalisées dans un lieu incontournable de la ville : le cercle des nageurs de Marseille. La série est entièrement argentique et en couleur, elle date de 2007 et comprend 11 photographies. Une vidéo réalisée sur ce même lieu sera aussi présentée. LES MARSEILLAISES 10 février 2015 par Clara Cohen-Solal Triptyque Marseille Un nouvel espace dédié à l art contemporain s installe rue Montgrand à partir de mardi 10 février Triptyque accueille Claudia Imbert et sa série Le Cercle réalisée au Cercle des Nageurs. Après 3 ans passés à promouvoir les jeunes artistes français et étrangers dans sa galerie parisienne du Marais, Marie Cini décide d ouvrir Tryptique à Marseille. Un nouveau lieu dédié à l art contemporain, un ShowRoom plus qu une galerie, qu elle choisit d installer rue Montgrand en plein centre-ville. Elle souhaite évoluer avec la jeune génération, aborder l art sous différents angles et ne surtout pas s enfermer dans une ligne artistique préalablement établie. Et pour son inauguration, Triptyque expose la photographe Claudia Imbert et sa très belle série photo Le Cercle produite en 2007 au Cercle des nageurs. Cette artiste, déjà bien établie sur la scène artistique française, a reçu plusieurs prix, dont le prix Arcimboldo 2012 pour sa série «La famille incertaine», et a exposé dans de nombreux lieux en France et à l étranger. L exposition présente ainsi 11 photographies réalisées entièrement en argentique et une vidéo, Les Bonnets, 2010 (réalisée initialement dans le cadre de l atelier de recherche ARTE).

2 PERFORMARTS TRIPTYQUE : NOUVEL ESPACE D ARTS À MARSEILLE Vendredi, 13 Février 2015, par France Bruey iptyque&catid=13:expo&itemid=11 Depuis le 10 février, Marseille compte un nouvel espace dédié à l art contemporain. Situé en plein cœur du centre ville, rue Montgrand, Triptyque présente jusqu à la fin du mois, l exposition de Claudia Imbert, Le Cercle. Initié par Marie Cini, Triptyque se place dans la veine d un showroom, libre de toutes lignes artistiques préalablement définies. En charge de la programmation, Marie Cini était il y a encore six mois, à Paris. Elle dirigeait une galerie d art contemporain dans le Marais avant que l envie de revenir dans sa ville natale ne se fasse ressentir. «En revenant à Marseille, j ai contacté Christian Ribière, commissaire priseur et son associée Marielle Tuloup Pascal. Ils souhaitaient redynamiser leur maison de vente, Etude de Provence, en créant en parallèle un nouvel espace». Ainsi naquit Triptyque. Leur souhait principal est de faire de cet espace un lieu ouvert, en constante évolution avec la jeune génération et de permettre à un large public de découvrir et mieux appréhender l art contemporain. Ainsi, à l occasion de l inauguration, Triptyque a présenté l exposition de Claudia Imbert, Le Cercle. La photographe, déjà bien connue sur la scène artistique française, expose une série de photographies en argentique, réalisées au Cercle des nageurs, en 2007 ainsi qu une vidéo, Les Bonnets, datant de Ces photographies présentent les athlètes, mis en scène «dans une série de petits exercices inspirés de leurs matches, le Cercle devenant alors une sorte de théâtre». Des photographies pleines de force et de grâce, des gestes précis et poétiques à jamais capturés qui leur donnent une dimension quasi mystique. Triptyque est sans nul doute un très beau projet qui saura donner un rayonnement culturel supplémentaire à Marseille.

3 LA PROVENCE Vendredi 13 février 2015, par Caroline Glander

4 ART COTE D AZUR TRIPTYQUE, nouvel espace dédié à l art contemporain à Marseille Mercredi 18 février Situé en plein cœur de la ville, rue Montgrand à Marseille. Après 3 ans passés à promouvoir les jeunes artistes français et étrangers dans sa galerie parisienne du Marais, Marie Cini décide d ouvrir Tryptique à Marseille. Un nouveau lieu dédié à l art contemporain, un ShowRoom plus qu une galerie, qu elle choisit d installer rue Montgrand en plein centre-ville. Elle souhaite évoluer avec la jeune génération, aborder l art sous différents angles et ne surtout pas s enfermer dans une ligne artistique préalablement établie. «Notre souhait n est pas d envisager TRIPTYQUE comme une galerie, mais plutôt comme un lieu un ShowRoom fort de propositions artistiques variées amenées par différents acteurs du monde de l art, commissaires d exposition, artistes, galeristes Nous ne voulons pas nous rattacher à une ligne artistique préalablement définie, avec une liste d artistes à défendre, mais nous désirons établir des échanges, des collaborations, des passerelles, pour ainsi aborder l art contemporain sous différents angles, mais toujours avec une exigence sur la qualité. Nous avons envie de faire de TRIPTYQUE un lieu ouvert, qui évolue avec la jeune génération ; Permettre et donner envie de s intéresser à l art contemporain, de le découvrir, d acquérir des œuvres et de débuter une collection». VENTILO Le chlore au corps Mercredi 18 fév 2015, Ventilo n 350, par Céline Ghislery Pour l inauguration de Triptyque, la photographe marseillaise Claudia Imbert recrée les scènes du quotidien de l équipe de water-polo du Cercle des Nageurs. Rattaché à l Étude de Provence des deux commissaires priseurs Christian Ribière et Marielle Tuloup-Pascal, le nouvel espace d exposition, dont la programmation a été confiée à Marie Cini, inaugure ses cimaises avec les photographies de Claudia Imbert, partie comme elle à la capitale pour poursuivre une carrière qui lui a déjà valu de beaux prix et notamment le prix Arcimboldo pour la création d images numériques en Après trois ans dans une galerie parisienne, Marie Cini revient donc à Marseille pour y vivre une expérience très différente : Triptyque ne sera pas une galerie privée à proprement parler, mais plutôt un lieu d expos, de rencontres, de découvertes où toutes les formules seront possibles (solo show, invitation à d autres galeries, à d autres commissaires, au design, à l art moderne ). Le choix de la série Le Cercle, réalisée au Cercle des Nageurs, s est presque imposé de lui-même puisque les images des poloïstes du CNM n avaient encore jamais été montrées dans leur propre ville «Regarder est un travail, et regarder avec ses yeux ne suffit pas, il faut l intermédiaire d une caméra ou d un appareil photo pour voir.» Les photographies de Claudia Imbert donnent raison à Jean-Louis Comolli, expliquant le long processus de création, sans le montrer. Pour photographier, Claudia Imbert a besoin de connaître ses sujets, de reconnaître leurs gestes, leurs habitudes, leurs environnements. Comme s ils lui offraient quelque chose d intime L artiste vient du cinéma et donc de la fiction, mais son approche de la photo fait d avantage penser au cinéma documentaire, à qui le spectateur loue une certaine vérité malgré un processus de re-création. Dans le documentaire comme dans les photographies de Claudia Imbert, si la réalité est reconstruite, elle n en révèle pas moins de vrais gestes effectués par de vraies personnes.

5 Quand, en 1922, Robert Flaherty filme le mode de vie d une famille inuit au Canada, pour ne pas entacher l adhérence et la croyance du spectateur, il ne précise pas que pour les besoins du tournage, l igloo de Nanouk l esquimau a dû être coupé en deux. Si le film se veut un témoignage à la véracité indemne («Je voulais les montrer, non pas du point de vue de l homme civilisé, mais comme il se voyaient eux-mêmes»), l image impose néanmoins de passer par l artifice pour parvenir à raconter l histoire de notre temps, car «les images naturelles n existent pas.» Claudia Imbert ne cherche pas à cacher la mise en scène et utilise un ton théâtral. Elle a d abord dû intérioriser les gestes des joueurs de water-polo, presque faire en sorte qu ils lui soient familiers. Puis est venu le temps des prises de vues, où elle leur a demandé de rejouer leur propres gestes. Elle saisit dans leurs mouvements quelque chose qui relève plus de l animal que du sport, comme si les attitudes du water-polo étaient une seconde nature, et comme si cette nature avait à voir avec quelque chose de primitif, d instinctif, d originel Les cadrages scrupuleusement choisis, les lumières, les couleurs vives et saturées donnent aux images une ambiance particulière, théâtrale certes, mais peu narrative. De théâtralité, la série La Famille incertaine n en manque pas, comme en témoignent les trois photos montrées ici, et plus particulièrement celle d un petit garçon assis à une table, seul, devant un verre de lait. A l autre bout de la table, une théière et une tasse expriment l absence d un des deux parents. La solitude de l enfant crée de l empathie chez celui qui regarde, à l instar des personnages d Edouard Hopper. On ignore ce qui a précédé ce moment, la seule chose que l artiste nous concède est la vue à travers les deux fenêtres de l appartement. L artiste mélange l argentique (pour les intérieurs) et le numérique (pour les extérieurs) pour nous donner sa propre vision des choses. Un procédé laissant libre cours à chacun de recomposer les éléments du réel pour constituer sa propre vérité. SORTIR EN PROVENCE Mercredi 18 fév 2015, par Sophie Sutra Fourcade Triptyque, le nouvel espace d arts de la rue Montgrand à Marseille, accueille une exposition photographique de Claudia Imbert : Le Cercle. Nous sommes toujours ravis de vous présenter un nouveau lieu culturel dans la région. Marie Cini, fraichement débarquée de Paris, a imaginé un showroom dédié à l art contemporain, au 39 de la rue Montgrand à Marseille. Triptyque est un espace culturel exigent mais ouvert à tous, qui promet de suivre pour vous la nouvelle génération d artistes et de vous donner envie d aimer l art contemporain. Il accueille pour sa première exposition une artiste photographe, déjà primée et reconnue en France et à l étranger, Claudia Imbert. Née en 1971 à Sisteron, elle a fait ses armes dans le monde du 7è art, univers qui transparait dans son travail, situé entre le film et la photographie. Elle est à la fois chef opératrice dans le cinéma, vidéaste, travaille notamment sur des images lentes, et photographe à l esthétique et aux cadrages impeccables. Focus sur le Cercle des nageurs de Marseille Pour cette exposition inaugurale, la série de photos se déroule au Cercle des Nageurs de Marseille, lieu emblématique de la ville. Claudia Imbert met en scène des athlètes de water-polo. En 2007, elle a suivi pendant un an le travail d entrainement et les exercices des poloïstes. Les prises de vue de l artiste sont le résultat d un long travail d écriture et de mises en scène soignées. Vous y découvrirez également une vidéo sur les joueurs et des photos du club créé en Vous avez jusqu au 28 février pour vous glisser à travers cette exposition dans les coulisses de ce lieu marseillais très sélect. Et si l occasion vous en dit, le CNM ouvre ses portes au public pendant le Meeting Open Méditerranée les 6, 7 et 8 mars prochains. Allez, on plonge!

6 LOVE SPOTS Vendredi 20 février 2015 Par Éric Foucher Associé à la nouvelle implantation de l Etude de Provence, cet espace d exposition se présente comme une maison d art ouverte à ses différents protagonistes. Reconnue depuis de nombreuses années dans le milieu de l art et du design, l Étude de Provence vient de quitter l Hôtel de Ventes du Palais qui l avait fait connaître pour une adresse plus discrète non loin de là, en rez de chaussée d un élégant hôtel particulier de la rue Montgrand. A l instar de son nom qui désigne dans le domaine des Beaux Arts une œuvre peinte ou sculptée en trois panneaux, elle profite de ce déménagement pour ajouter de nouveaux volets à ses prérogatives. Le premier d entre eux vient d être dévoilé avec l exposition de la photographe Claudia Imbert («le cercle») une série des grands tirage argentique sur les poloïstes du Cercle des nageurs pris en «Cette exposition photos inaugure la première salle qui sera amenée à être investie par d autres commissaires d expositions et des galeries extérieures» déclare Marie Cini qui s engage dans cette nouvelle aventure après avoir tenu une galerie rue saint Claude dans le Marais. En charge des ventes d art contemporain pour l étude, elle a à cœur d offrir ici à de jeunes collectionneurs la possibilité de débuter des collections à moindre coût et une alternative aux galeries classique pour des artistes en devenir. (EF) TOUTMA Triptyque, espace d arts! 19/02/2015, par Céline Bouchard arts/ Marie Cini habitait à Paris il y a encore 6 mois. Elle y avait une galerie d art contemporain dans le Marais. Mais Marseillaise, elle souhaitait revenir vivre dans le sud. Elle a alors contacté Christian Ribière, un commissaire priseur qu elle connaissait, et son associée Marielle Tuloup Pascal qui voulaient redynamiser leur maison de vente, Etude de Provence. De leur rencontre est donc né Triptyque, un nouvel espace d art contemporain que Marie se charge d animer! Elle en a fait un lieu ouvert, qui pourra accueillir des tas de projets différents, comme inviter des galeries parisiennes à montrer leurs artistes à Marseille, mais aussi des commissaires d expo et de nombreux jeunes artistes issus d horizons variés qui peuvent proposer des œuvres plus abordables. Il existe bien sûr une passerelle entre cet espace et la maison de vente aux enchères, idéal pour créer une véritable circulation bénéfique à l art en général.