Université Joseph Fourier Grenoble 1 ALM MIAGE L Examen de première session, durée 2h00 documents manuscrits et calculatrices autorisés

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Université Joseph Fourier Grenoble 1 ALM MIAGE L3 2006 --- Examen de première session, durée 2h00 documents manuscrits et calculatrices autorisés"

Transcription

1 Université Joseph Fourier Grenoble 1 ALM MIAGE L Examen de première session, durée 2h00 documents manuscrits et calculatrices autorisés Préambule : le sujet comporte pour la partie I une documentation (I-1) verbeuse, fouillis, digressive, redondante, composée de trois extraits issus verbatim de Wikipedia, sa lecture doit être rapide et se faire en ayant pris connaissance des questions (I-2,3,4) pour en tirer les éléments utiles. Remarque : le dernier extrait confirme les précédents mais n apporte pas d informations nouvelles. Les questions I-3, II-1(début),2(début),3(début),5 sont faciles, I-2,4, II-1(fin),2(fin),4 de difficulté moyenne, II-3(fin) difficile ; elles sont indépendantes, des réponses partielles peuvent suffire quand la méthode utilisée pour obtenir ces réponses partielles permet également d obtenir les réponses complètes. I. Code-barres. I-1. Documentation «Un code-barres, ou code à barres, est la représentation d'une donnée numérique ou alphanumérique sous forme d'un symbole constitué de barres et d'espaces dont les épaisseurs varient en fonction de la symbologie utilisée et des données ainsi codées. Lorsque ces barres sont remplacées par de petits carrés ou points, on parle de code à deux dimensions (2D). Les codes à barres sont destinés à une lecture automatisée par un capteur électronique nommé lecteur de code-barres.» Extrait de l article Code-barres de Wikipedia «Le code universel des produits (CUP ; en anglais : Universal Product Code, soit UPC) est le premier système d'identification numérique largement utilisé aux États-Unis et au Canada, pour les articles vendus en magasin. Il a été inventé dans les années 70 par George Laurer, ingénieur chez IBM et adopté en Mai George J. Laurer, après avoir obtenu son diplôme à l'université du Maryland en 1951, travailla chez IBM. En 1969 il se vit attribué la tâche titanesque de créer un code et son symbole d'identification des produits pour le Uniform Grocery Product Code Council. Sa solution l'universal Product Code changea radicalement le monde de la distribution. Il a ensuite amélioré le code en lui ajoutant un 13ème caractère créant ainsi le code EAN. Laurer a pris sa retraite en Il détient 25 brevets et est inscrit au tableau d'honneur de l'université A. James Clark School of Engineering. Construction de l'upc : Il est encodé sous la forme de code-barres afin de permettre sa lecture par un lecteur optique automatique dans les commerces. Le code CUP (UPC) est maintenant intégré à EAN. Le système global est présenté ici. Le CUP, officiellement désigné par EAN.UCC-12, est composé de douze chiffres décimaux. Dans la suite de l'article, le terme CUP réfère seulement à cette série de chiffres. Sa représentation graphique la plus communément utilisée est un code à barres. Un code à barres contient le CUP, lequel est séparé en deux blocs, lesquels sont à leur tout encadrés par trois barres de garde : DLLLLLLMRRRRRRF, où D (pour début) et F (pour fin) sont composés des bits 101, M (pour milieu) est composé des bits (D, M et F sont les barres de garde), et où L (pour left) et R (pour right) sont des chiffres composés de sept bits chacun. Le code-barres contient 95 bits en tout. Les séquences de bits qui correspondent à chaque chiffre et aux barres de garde sont conçues de façon à minimiser les risques de collision lors de la lecture. Chacune de celles-ci ne peut contenir plus de quatre 0 ou 1 de suite. Ces deux contraintes permettent une bonne reconnaissance optique lors de la lecture des codes-barres. Le CUP ne contient que des chiffres. Le premier caractère L vaut : * 0 pour les articles ordinaires ; * 3 pour les produits pharmaceutiques ; * 2 pour les produits vendus au poids ; * 5 pour les coupons-rabais (en pratique, les magasins ignorent cette règle et utilisent ou ). Les caractères L restants constituent le code du fabricant. Les premiers cinq chiffres R constituent l'identificateur assigné par le fabricant au produit. Le dernier R sert à valider l'ensemble du CUP (check digit), ce qui permet de détecter les erreurs lors de l'identification optique ou de la saisie manuelle. 1/6

2 Dans le système UPC-A, cette validation est ainsi faite : 1. additionner les chiffres apparaissant aux ordres impairs (premier, troisième, cinquième, etc.) ; 2. multiplier par trois ; 3. ajouter les chiffres apparaissant aux ordres pairs (deuxième, quatrième, sixième, etc.) au résultat ; 4. soustraire le résultat du prochain multiple de dix qui lui y supérieur ; 5. La réponse est le chiffre de validation (check digit). Représentation : Dans le code-barres, chaque chiffre est représenté par un agencement de barres et d'espace, au nombre de sept en tout. Selon que le chiffre se trouve parmi les L ou parmi les R, sa représentation diffère. Cette différence a pour but de permettre la reconnaissance du produit, que la lecture soit faite de gauche à droite, ou vice-versa. Selon le système d'encodage retenu pour un code-barres, chaque chiffre se représente de quatre façons différentes. Par exemple, le chiffre 6 se présente ainsi : (partie gauche du code-barres UPC-A) (partie droite du code-barres UPC-A) (code-barres EAN) (inutilisé) Les deux premières façons sont des compléments à 1, tout comme les deux derniers. La forme L de UPC-A pour les dix chiffres est : 0 : : : : : : : : : : Tel qu'expliqué ci-dessus, la forme R de UPC-A est le complément à 1 de la forme L. Les chiffres L sont impairs, alors que les chiffres R sont pairs. L'European Article Numbering-Uniform Code Council assigne les identificateurs aux fabricants. Selon la taille de l'entreprise, la longueur de l'identificateur varie. Officiellement, le premier article identifié par un lecteur de code-barres est un paquet de gomme à mâcher de marque Wrigley. Cela se passait à Troy en Ohio, le 24 juin 1974 dans un supermarché Marsh.» Extrait de l article Code universel des produits de Wikipedia. «Le code EAN (European Article Numbering) est un code à barres utilisé par le commerce et l'industrie conformément aux spécifications d'ean International, organisme aujourd'hui remplacé par GS1. Historiquement, le code EAN est dérivé du code universel des produits développé dans les années 1970 par George Laurer (voir Historique du code barres). Le code UPC est en fait un code EAN commençant par 0 (zéro). EAN est un système global destiné à l'identification univoque d'objets. Le système UPC s'est maintenant ralié au système EAN. Le numéro EAN identifie des articles ou des unités logistiques de façon unique. Sous forme de codes à barres, le numéro peut être lu par un scanner optique. Le numéro EAN constitue la base de contrôle du flux des marchandises, du fabricant à Taiwan jusqu'au consommateur final à Paris. L'EAN est composé de 8 ou 13 chiffres représentés sous forme de séquences de barres noires et blanches formant un code à barres. Ce type de code à barres se trouve sur la presque totalité de produits courants (alimentation, vêtements, droguerie, papeterie, électroménager, etc.). C'est le code qui est lu lors du passage aux caisses d'un supermarché. Il existe des codes EAN 8 et des codes EAN 13, composés respectivement de 8 ou 13 chiffres. Les codes EAN 8 sont réservés à l'usage sur des produits de petite taille (paquets de cigarettes par exemple). Les codes EAN 13 sont utilisés sur tous les autres produits. Le code EAN, comme tous les codes à barres, fait appel à des notions mathématiques assez pointues. Leur composition s'appuie sur des théories développées par de grands mathématiciens. Chacun des chiffres composant l'ean peut, selon sa position dans le code, avoir trois représentations distinctes nommées : élément A, élément B ou élément C. Les barres verticales noires et blanches utilisées sont caractérisées par une certaine largeur, qui est toujours multiple d'une certaine largeur élémentaire (nommée module). Dans la suite de ce document, une largeur dite de «1» correspond à une barre de largeur élémentaire, une largeur dite de «2» correspondra à une barre de largeur double de la largeur élémentaire, et ainsi de suite. Les éléments EAN se caractérisent par une succession de quatre barres dont la somme des largeurs vaut toujours 7. Chaque élément est constitué d'une succession de 4 barres de largeurs différentes, mais dont l'ensemble a une largeur totale de 7 fois la largeur élémentaire. Le codage des éléments A, B et C se décompose comme suit (un X représente une partie de barre noire, de largeur 1, un _ représente une partie de barre blanche, de largeur 1) : 2/6

3 Remarques : 1. Les colonnes des éléments A et B ci-dessus peuvent aussi être écrites sous la forme équivalente suivante où seules les largeurs des 4 barres successives (décrites de gauche à droite) sont indiquées : * 0 : * 5 : * 1 : * 6 : * 2 : * 7 : * 3 : * 8 : * 4 : * 9 : Les 20 groupes de 4 chiffres figurant ci-dessus représentent exactement * l'ensemble des 20 permutations possibles de 4 chiffres non nuls telles que o la somme de ces chiffres soit égale à 7 (ceci a un lien avec p4(7), le symbole pk(n) correspondant à la fonction partage d'un entier) ; o p4(7) vaut 3 et o l'on peut en effet écrire de 3 façons différentes : 7 = = = On peut remarquer que les 2 permutations correspondant au codage d'un même chiffre sont toujours symétriques l'une de l'autre. 4. Le codage d'un chiffre par l'élément C est toujours le négatif de son codage par l'élément A (les barres noires et les barres blanches sont permutées), tandis que le codage d'un chiffre par l'élément B est toujours le symétrique de son codage par l'élément C! 5. On peut donc en déduire que cette méthode de codage ne peut permettre de différencier * que 10 caractères distincts (ici, les 10 chiffres de 0 à 9) et * qu'elle ne pourrait donc pas servir à coder des caractères supplémentaires (donc pas de lettre!), et ainsi o le codage permettra de reconnaître le chiffre, quel que soit le sens de lecture, et o quelle que soit la couleur d'impression du code-barres (blanc sur fond noir, ou noir sur fond blanc) En plus des éléments servant à coder les chiffres, les codes EAN contiennent des éléments de zones de garde, permettant de «calibrer» les lecteurs de code-barres (voir cet article pour plus d'informations à ce sujet...) La zone de garde normale (normal guard) est composée d'une bande noire, d'une bande blanche et d'une bande noire, et est située généralement à chacune des extrémités du code. La zone de garde centrale (central guard) est composée d'une bande blanche, d'une bande noire, d'une bande blanche, d'une bande noire et d'une bande blanche et est située généralement au centre du code.» Extrait de l article EAN de Wikipedia. I-2 Lecture du code-barres, transformation série-parallèle. Réaliser un circuit transformant le signal série venant du lecteur optique (signal binaire : barre noire, barre blanche) en un signal parallèle de 7 bits regroupant les 7 bits du code représentant un chiffre. Si le circuit reçoit successivement sur son entrée principale un signal blanc, blanc, blanc, noir, noir, blanc, noir, il doit avoir en sortie, à un instant donné, sur 7 bits, le signal (blanc, blanc, blanc, noir, noir, blanc, noir) (ou en binaire, c est le code pour le chiffre 0). Explicitez vos hypothèses sur l existence d une horloge pour échantillonner le signal série en entrée et sur l utilisation des zones de gardes pour initialiser et régler cette horloge et votre circuit (aucun circuit n est demandé pour ces hypothèses) Indication : pensez à un circuit séquentiel à base de bascules D et de parties combinatoires simples ou classiques si nécessaires ((de)-multiplexeurs, (de)-codeurs, additionneurs, dont vous pourrez omettre la réalisation). En entrée, 1 signal et 1 horloge, en sortie 7 signaux et une horloge. 3/6

4 I-3 Interprétation du code-barres Réaliser un circuit transformant le code sur 7 bits venant du circuit précédent en une information binaire (code reconnu code non reconnu) et le chiffre codé sur 4 bits (si le code est reconnu) représenté par ce code selon la symbologie employée par les codes UPC pour les chiffres sous la forme L d éléments A. Ainsi si le circuit a en entrée , il doit avoir en sortie 0000, c'est-à-dire le chiffre 0 codé sur 4 bits, et le bit (code reconnu code non reconnu) avec la valeur «code reconnu» Indication : pensez à un circuit combinatoire simple. En entrée 7 fils, en sortie 1+4 fils. I-4 Validation du code-barres Réaliser un circuit validant les chiffres d un code-barres obtenu dans la question précédente. Indication : pensez à un circuit séquentiel type flot de données ou PC-PO. II. Automate de contrôle. Prenons une machine M à une adresse comportant 5 registres : PC pour l adresse de l instruction en cours, I pour l instruction en cours, A et D pour communiquer avec la mémoire (l accès à la mémoire se fait avec la commande «Lire» qui exécute D Mem[A]), et Acc un accumulateur. Pour cette machine on souhaite avoir le langage machine LM suivant : Mnémo Codage Interprétation libre LOAD #i 2 octets : 01 puis #i ACC MEM[PC+1], PC PC octets : 04 PC MEM[PC+1] SHL #i 2 octets : 10 puis #i ACC ACC décalé à Gauche de N=MEM[PC+1] bits (noté ACC<<N dans la suite), PC PC + 2 Un automate de contrôle No 1 pour cette machine est donné par : Pc 0 A Pc Lire I D Pc Pc+1 A Pc Lire Pc Pc+1 I=LOAD I=SHL I=JMP Acc D Acc Acc<<D Pc D Chaque ligne contenue dans un état de ce graphe de contrôle représente un ensemble de commandes compatibles qui peut s exécuter en un seul cycle d horloge. Ensemble, ces états forment le microprogramme d interprétation du langage assembleur LM contenu dans une partie de contrôle associée à une partie opérative réalisant la machine M. 4/6

5 II-1 Exécution avec l automate de contrôle No 1 En mémoire se trouve le programme suivant MEM (en hexadécimal) A 10 0B 10 Donnez le programme se trouvant en mémoire sous une forme lisible par l homme. Dire quelle est l adresse la plus haute de la mémoire accédée par l ordinateur lors de l exécution de ce programme. Quelle est la valeur de l accumulateur la première fois que l on accède à cette adresse? Quel temps a été nécessaire pour arriver à cet instant avec l automate de contrôle No1? II-2 Exécution avec l automate de contrôle No 2 Un second automate de contrôle est utilisé pour cette machine : Pc 0 A 0 Lire I D Pc Pc+1 A Pc+1 Lire Pc Pc+1 I=LOAD I=SHL I=JMP Acc D A Pc Acc Acc<<D A Pc Pc D A D Répondre aux mêmes questions qu en II-1 pour ce second automate. II-3 Exécution avec l automate de contrôle No 3 Un troisième automate de contrôle est donnée ci après, les registres I, A et D sont dédoublés (I 1, I 2, A 1, A 2, D 1 et D 2 ), et deux commandes «Lire» sont maintenant disponibles. La commande «Lire 1» effectue D 1 Mem[A 1 ]. La commande «Lire 2» effectue D 2 Mem[A 2 ]. Les valeurs A 1 +2 et Pc+3 sont également calculées en permanence. 5/6

6 Répondre aux mêmes questions qu en II-1 pour ce troisième automate. Remarque : pour des raisons de place, l automate suivant est incomplet, entre les deux états en bas (là où se trouvent l ellipse ) se trouvent deux états faisant respectivement : et Lire 2 Acc D 1 A 1 Pc Lire 1 Acc Acc<<D 2 A 2 A 1 +2 Pc Pc+1 Lire 2 Acc Acc<<D 1 A 1 Pc Lire 1 Acc D 2 A 2 A 1 +2 Pc Pc+1 Pc 0 A 1 Pc Lire 1 Pc Pc+1 A 2 A 1 Lire 2 I 1 D 1 A 1 Pc I 1 =LOAD I 1 =SHL I 1 =JMP Lire 1 Pc Pc+3 A 2 A 1 +2 I 2 D 2 Lire 1 Pc Pc+3 A 2 A 1 +2 I 2 D 2 I 2 =JMP I 2 =LOAD I I 2 =LOAD 2 =SHL I I 2 =JMP 2 =SHL Lire 1 Pc D 1 A 1 D 1 Lire 2 Acc D 1 A 1 Pc Lire 1 Acc D 2 A 2 A 1 +2 Pc Pc+1 Lire 2 Acc Acc<<D 1 A 1 Pc Lire 1 Acc Acc<<D 2 A 2 A 1 +2 Pc Pc+1 Lire 2 Acc D 1 Pc D 2 A 1 D 2 II-4 Partie opérative pour l automate de contrôle No 1 Proposez une partie opérative pour l automate de contrôle No1 de tel sorte que l exécution d une instruction se passe bien, c'est-à-dire selon l interprétation libre donnée au début de l exercice. Est-ce que cette partie opérative fonctionne bien avec les autres automates de contrôle? II-5 Questions de cours Donnez trois différences et trois points communs entre la programmation en assembleur et la microprogrammation en langage de commandes. Barème indicatif : I-2,3,4, II-1,4,5 : 3 points, II-2,3 : 1 point. 6/6

THEME : CLES DE CONTROLE. Division euclidienne

THEME : CLES DE CONTROLE. Division euclidienne THEME : CLES DE CONTROLE Division euclidienne Soit à diviser 12 par 3. Nous pouvons écrire : 12 12 : 3 = 4 ou 12 3 = 4 ou = 4 3 Si par contre, il est demandé de calculer le quotient de 12 par 7, la division

Plus en détail

Architecture des ordinateurs TD1 - Portes logiques et premiers circuits

Architecture des ordinateurs TD1 - Portes logiques et premiers circuits Architecture des ordinateurs TD1 - Portes logiques et premiers circuits 1 Rappel : un peu de logique Exercice 1.1 Remplir la table de vérité suivante : a b a + b ab a + b ab a b 0 0 0 1 1 0 1 1 Exercice

Plus en détail

Licence Sciences et Technologies Examen janvier 2010

Licence Sciences et Technologies Examen janvier 2010 Université de Provence Introduction à l Informatique Licence Sciences et Technologies Examen janvier 2010 Année 2009-10 Aucun document n est autorisé Les exercices peuvent être traités dans le désordre.

Plus en détail

Conversion d un entier. Méthode par soustraction

Conversion d un entier. Méthode par soustraction Conversion entre bases Pour passer d un nombre en base b à un nombre en base 10, on utilise l écriture polynomiale décrite précédemment. Pour passer d un nombre en base 10 à un nombre en base b, on peut

Plus en détail

Algorithme. Table des matières

Algorithme. Table des matières 1 Algorithme Table des matières 1 Codage 2 1.1 Système binaire.............................. 2 1.2 La numérotation de position en base décimale............ 2 1.3 La numérotation de position en base binaire..............

Plus en détail

Cours Informatique 1. Monsieur SADOUNI Salheddine

Cours Informatique 1. Monsieur SADOUNI Salheddine Cours Informatique 1 Chapitre 2 les Systèmes Informatique Monsieur SADOUNI Salheddine Un Système Informatique lesystème Informatique est composé de deux parties : -le Matériel : constitué de l unité centrale

Plus en détail

IFT1215 Introduction aux systèmes informatiques

IFT1215 Introduction aux systèmes informatiques Introduction aux circuits logiques de base IFT25 Architecture en couches Niveau 5 Niveau 4 Niveau 3 Niveau 2 Niveau Niveau Couche des langages d application Traduction (compilateur) Couche du langage d

Plus en détail

Activité 4. Tour de cartes Détection et correction des erreurs. Résumé. Liens pédagogiques. Compétences. Âge. Matériels

Activité 4. Tour de cartes Détection et correction des erreurs. Résumé. Liens pédagogiques. Compétences. Âge. Matériels Activité 4 Tour de cartes Détection et correction des erreurs Résumé Lorsque les données sont stockées sur un disque ou transmises d un ordinateur à un autre, nous supposons généralement qu elles n ont

Plus en détail

GPA770 Microélectronique appliquée Exercices série A

GPA770 Microélectronique appliquée Exercices série A GPA770 Microélectronique appliquée Exercices série A 1. Effectuez les calculs suivants sur des nombres binaires en complément à avec une représentation de 8 bits. Est-ce qu il y a débordement en complément

Plus en détail

Le code à barres EAN 13 mes premiers pas...

Le code à barres EAN 13 mes premiers pas... Le code à barres EAN 13 mes premiers pas... k étape 1 Vous venez d adhérer à GS1 France, Vous souhaitez connaître les démarches à suivre pour mettre en place un code à barres sur vos emballages. Ce guide

Plus en détail

Informatique Générale

Informatique Générale Informatique Générale Guillaume Hutzler Laboratoire IBISC (Informatique Biologie Intégrative et Systèmes Complexes) guillaume.hutzler@ibisc.univ-evry.fr Cours Dokeos 625 http://www.ens.univ-evry.fr/modx/dokeos.html

Plus en détail

Logique binaire. Aujourd'hui, l'algèbre de Boole trouve de nombreuses applications en informatique et dans la conception des circuits électroniques.

Logique binaire. Aujourd'hui, l'algèbre de Boole trouve de nombreuses applications en informatique et dans la conception des circuits électroniques. Logique binaire I. L'algèbre de Boole L'algèbre de Boole est la partie des mathématiques, de la logique et de l'électronique qui s'intéresse aux opérations et aux fonctions sur les variables logiques.

Plus en détail

UEO11 COURS/TD 1. nombres entiers et réels codés en mémoire centrale. Caractères alphabétiques et caractères spéciaux.

UEO11 COURS/TD 1. nombres entiers et réels codés en mémoire centrale. Caractères alphabétiques et caractères spéciaux. UEO11 COURS/TD 1 Contenu du semestre Cours et TDs sont intégrés L objectif de ce cours équivalent a 6h de cours, 10h de TD et 8h de TP est le suivant : - initiation à l algorithmique - notions de bases

Plus en détail

Arithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot

Arithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot Chapitre 5 Arithmétique binaire L es codes sont manipulés au quotidien sans qu on s en rende compte, et leur compréhension est quasi instinctive. Le seul fait de lire fait appel au codage alphabétique,

Plus en détail

Théorie et Codage de l Information (IF01) exercices 2013-2014. Paul Honeine Université de technologie de Troyes France

Théorie et Codage de l Information (IF01) exercices 2013-2014. Paul Honeine Université de technologie de Troyes France Théorie et Codage de l Information (IF01) exercices 2013-2014 Paul Honeine Université de technologie de Troyes France TD-1 Rappels de calculs de probabilités Exercice 1. On dispose d un jeu de 52 cartes

Plus en détail

Barres Manuel d utilisation. Manuel d utilisation. version I.2.0. Copyright Antilog 1998/2002 Tous droits réservés. www.log-1.com JT.Gueux@log-1.

Barres Manuel d utilisation. Manuel d utilisation. version I.2.0. Copyright Antilog 1998/2002 Tous droits réservés. www.log-1.com JT.Gueux@log-1. Barres 1 234567 890128 Manuel d utilisation version I.2.0 Copyright Antilog 1998/2002 Tous droits réservés www.log-1.com JT.Gueux@log-1.com page 1/13 page 2/13 Antilog 129 rue du Marais 59160 LOMME FRANCE

Plus en détail

IV- Comment fonctionne un ordinateur?

IV- Comment fonctionne un ordinateur? 1 IV- Comment fonctionne un ordinateur? L ordinateur est une alliance du hardware (le matériel) et du software (les logiciels). Jusqu à présent, nous avons surtout vu l aspect «matériel», avec les interactions

Plus en détail

Représentation d un entier en base b

Représentation d un entier en base b Représentation d un entier en base b 13 octobre 2012 1 Prérequis Les bases de la programmation en langage sont supposées avoir été travaillées L écriture en base b d un entier est ainsi défini à partir

Plus en détail

Conception de circuits numériques et architecture des ordinateurs

Conception de circuits numériques et architecture des ordinateurs Conception de circuits numériques et architecture des ordinateurs Frédéric Pétrot Année universitaire 2014-2015 Structure du cours C1 C2 C3 C4 C5 C6 C7 C8 C9 C10 C11 Codage des nombres en base 2, logique

Plus en détail

Chapitre 13 Numérisation de l information

Chapitre 13 Numérisation de l information DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................

Plus en détail

Codage d information. Codage d information : -Définition-

Codage d information. Codage d information : -Définition- Introduction Plan Systèmes de numération et Représentation des nombres Systèmes de numération Système de numération décimale Représentation dans une base b Représentation binaire, Octale et Hexadécimale

Plus en détail

Date : 18.11.2013 Tangram en carré page

Date : 18.11.2013 Tangram en carré page Date : 18.11.2013 Tangram en carré page Titre : Tangram en carré Numéro de la dernière page : 14 Degrés : 1 e 4 e du Collège Durée : 90 minutes Résumé : Le jeu de Tangram (appelé en chinois les sept planches

Plus en détail

Les opérations binaires

Les opérations binaires Les opérations binaires Compétences associées A2 : Analyser et interpréter une information numérique Objectifs Etre capable: - De coder les nombres entiers en code complément à 2. - De résoudre les opérations

Plus en détail

UFR de Mathématiques et Informatique Année 2009/2010. Réseaux Locaux TP 04 : ICMP, ARP, IP

UFR de Mathématiques et Informatique Année 2009/2010. Réseaux Locaux TP 04 : ICMP, ARP, IP Université de Strasbourg Licence Pro ARS UFR de Mathématiques et Informatique Année 2009/2010 1 Adressage IP 1.1 Limites du nombre d adresses IP 1.1.1 Adresses de réseaux valides Réseaux Locaux TP 04 :

Plus en détail

Chapitre 10 Arithmétique réelle

Chapitre 10 Arithmétique réelle Chapitre 10 Arithmétique réelle Jean Privat Université du Québec à Montréal INF2170 Organisation des ordinateurs et assembleur Automne 2013 Jean Privat (UQAM) 10 Arithmétique réelle INF2170 Automne 2013

Plus en détail

avec des nombres entiers

avec des nombres entiers Calculer avec des nombres entiers Effectuez les calculs suivants.. + 9 + 9. Calculez. 9 9 Calculez le quotient et le rest. : : : : 0 :. : : 9 : : 9 0 : 0. 9 9 0 9. Calculez. 9 0 9. : : 0 : 9 : :. : : 0

Plus en détail

TEPZZ 568448A_T EP 2 568 448 A1 (19) (11) EP 2 568 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.

TEPZZ 568448A_T EP 2 568 448 A1 (19) (11) EP 2 568 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006. (19) TEPZZ 68448A_T (11) EP 2 68 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 13.03.2013 Bulletin 2013/11 (1) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.01) (21) Numéro de dépôt:

Plus en détail

I- Définitions des signaux.

I- Définitions des signaux. 101011011100 010110101010 101110101101 100101010101 Du compact-disc, au DVD, en passant par l appareil photo numérique, le scanner, et télévision numérique, le numérique a fait une entrée progressive mais

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES ETIQUETTES MP06-EU (FORMAT ODETTE)

CAHIER DES CHARGES ETIQUETTES MP06-EU (FORMAT ODETTE) Mars 2006 MAT/SF CAHIER DES CHARGES ETIQUETTES MP06-EU (FORMAT ODETTE) CAHIER DES CHARGES : ETIQUETTE MP06-EU (format ODETTE) Sommaire 1. Objet... 2 2. Domaine d'application... 2 3. Type de supports d'étiquettes

Plus en détail

La mémoire. Un ordinateur. L'octet. Le bit

La mémoire. Un ordinateur. L'octet. Le bit Introduction à l informatique et à la programmation Un ordinateur Un ordinateur est une machine à calculer composée de : un processeur (ou unité centrale) qui effectue les calculs une mémoire qui conserve

Plus en détail

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques

Plus en détail

Logiciel de Base. I. Représentation des nombres

Logiciel de Base. I. Représentation des nombres Logiciel de Base (A1-06/07) Léon Mugwaneza ESIL/Dépt. Informatique (bureau A118) mugwaneza@univmed.fr I. Représentation des nombres Codage et représentation de l'information Information externe formats

Plus en détail

INITIATION AU LANGAGE C SUR PIC DE MICROSHIP

INITIATION AU LANGAGE C SUR PIC DE MICROSHIP COURS PROGRAMMATION INITIATION AU LANGAGE C SUR MICROCONTROLEUR PIC page 1 / 7 INITIATION AU LANGAGE C SUR PIC DE MICROSHIP I. Historique du langage C 1972 : naissance du C dans les laboratoires BELL par

Plus en détail

ASR1 TD7 : Un microprocesseur RISC 16 bits

ASR1 TD7 : Un microprocesseur RISC 16 bits {Â Ö Ñ º ØÖ Ý,È ØÖ ºÄÓ Ù,Æ ÓÐ ºÎ ÝÖ Ø¹ ÖÚ ÐÐÓÒ} Ò ¹ÐÝÓÒº Ö ØØÔ»»Ô Ö Óº Ò ¹ÐÝÓÒº Ö» Ö Ñ º ØÖ Ý»¼ Ö½» ASR1 TD7 : Un microprocesseur RISC 16 bits 13, 20 et 27 novembre 2006 Présentation générale On choisit

Plus en détail

Représentation des Nombres

Représentation des Nombres Chapitre 5 Représentation des Nombres 5. Representation des entiers 5.. Principe des représentations en base b Base L entier écrit 344 correspond a 3 mille + 4 cent + dix + 4. Plus généralement a n a n...

Plus en détail

Comme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est:

Comme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est: Travaux Pratiques 3. IFT 1002/IFT 1005. Structure Interne des Ordinateurs. Département d'informatique et de génie logiciel. Université Laval. Hiver 2012. Prof : Bui Minh Duc. Tous les exercices sont indépendants.

Plus en détail

MICROINFORMATIQUE NOTE D APPLICATION 1 (REV. 2011) ARITHMETIQUE EN ASSEMBLEUR ET EN C

MICROINFORMATIQUE NOTE D APPLICATION 1 (REV. 2011) ARITHMETIQUE EN ASSEMBLEUR ET EN C Haute Ecole d Ingénierie et de Gestion Du Canton du Vaud MICROINFORMATIQUE NOTE D APPLICATION 1 (REV. 2011) ARITHMETIQUE EN ASSEMBLEUR ET EN C Programmation en mode simulation 1. DOCUMENTS DE RÉFÉRENCE...

Plus en détail

Créer le schéma relationnel d une base de données ACCESS

Créer le schéma relationnel d une base de données ACCESS Utilisation du SGBD ACCESS Polycopié réalisé par Chihab Hanachi et Jean-Marc Thévenin Créer le schéma relationnel d une base de données ACCESS GENERALITES SUR ACCESS... 1 A PROPOS DE L UTILISATION D ACCESS...

Plus en détail

Le codage informatique

Le codage informatique Outils de Bureautique Le codage informatique (exemple : du binaire au traitement de texte) PLAN 3) Le codage binaire 4) Représentation physique des bits 5) Le bit est un peu court... 6) Codage de texte

Plus en détail

Exercices de dénombrement

Exercices de dénombrement Exercices de dénombrement Exercice En turbo Pascal, un entier relatif (type integer) est codé sur 6 bits. Cela signifie que l'on réserve 6 cases mémoires contenant des "0" ou des "" pour écrire un entier.

Plus en détail

V- Manipulations de nombres en binaire

V- Manipulations de nombres en binaire 1 V- Manipulations de nombres en binaire L ordinateur est constitué de milliards de transistors qui travaillent comme des interrupteurs électriques, soit ouverts soit fermés. Soit la ligne est activée,

Plus en détail

REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 1952. par EMILIA MAS SON

REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 1952. par EMILIA MAS SON REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 952 par EMILIA MAS SON. C'est pendant sa campagne de 952 à Enkomi que M. Porphyrios Dikaios a trouvé un petit fragment de

Plus en détail

IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB

IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB Ce document, écrit par des animateurs de l IREM de Besançon, a pour objectif de présenter quelques unes des fonctions du logiciel Scilab, celles qui sont spécifiques

Plus en détail

Les portes logiques. Voici les symboles des trois fonctions de base. Portes AND. Portes OR. Porte NOT

Les portes logiques. Voici les symboles des trois fonctions de base. Portes AND. Portes OR. Porte NOT Les portes logiques Nous avons jusqu ici utilisé des boutons poussoirs et une lampe pour illustrer le fonctionnement des opérateurs logiques. En électronique digitale, les opérations logiques sont effectuées

Plus en détail

Chapitre 1 I:\ Soyez courageux!

Chapitre 1 I:\ Soyez courageux! Chapitre 1 I:\ Soyez courageux! Pour ne rien vous cacher, le langage d'assembleur (souvent désigné sous le terme "Assembleur", bien que ce soit un abus de langage, puisque "Assembleur" désigne le logiciel

Plus en détail

Dossier 03 Périphériques d acquisition

Dossier 03 Périphériques d acquisition Dossier 03 Périphériques d acquisition I. PERIPHERIQUES D ACQUISITION... 1 II. CARACTERISTIQUES GENERALES... 2 A. CLAVIER... 2 B. SOURIS... 3 C. LECTEUR DE CODES A BARRES (OU CODE-BARRES)... 3 D. SCANNER...

Plus en détail

TD : Codage des images

TD : Codage des images TD : Codage des images Les navigateurs Web (Netscape, IE, Mozilla ) prennent en charge les contenus textuels (au format HTML) ainsi que les images fixes (GIF, JPG, PNG) ou animée (GIF animée). Comment

Plus en détail

Architecture matérielle des systèmes informatiques

Architecture matérielle des systèmes informatiques Architecture matérielle des systèmes informatiques IDEC, Renens. Version novembre 2003. Avertissement : ce support de cours n est pas destiné à l autoformation et doit impérativement être complété par

Plus en détail

Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES

Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES n 3 p528 Le signal a est numérique : il n y a que deux valeurs possibles pour la tension. Le signal b n est pas numérique : il y a alternance entre des signaux divers

Plus en détail

Initiation au binaire

Initiation au binaire Présenté par TryEngineering Objet de la leçon Cette leçon explique les principes du code binaire et ses applications possibles par les ingénieurs informaticiens. Dans cette leçon, les élèves réaliseront

Plus en détail

Définition 0,752 = 0,7 + 0,05 + 0,002 SYSTÈMES DE NUMÉRATION POSITIONNELS = 7 10 1 + 5 10 2 + 2 10 3

Définition 0,752 = 0,7 + 0,05 + 0,002 SYSTÈMES DE NUMÉRATION POSITIONNELS = 7 10 1 + 5 10 2 + 2 10 3 8 Systèmes de numération INTRODUCTION SYSTÈMES DE NUMÉRATION POSITIONNELS Dans un système positionnel, le nombre de symboles est fixe On représente par un symbole chaque chiffre inférieur à la base, incluant

Plus en détail

Une version javascript sera disponible directement dans le cours prochainement.

Une version javascript sera disponible directement dans le cours prochainement. Author : Cédric Vanconingsloo Ce cours est principalement axé sur la compréhension du fonctionnement d'un ordinateur et l'étude du seul langage qu'il connaisse, le binaire. De ce fait, le cours est relativement

Plus en détail

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S FICHE Fiche à destination des enseignants TS 35 Numériser Type d'activité Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences

Plus en détail

La Clé informatique. Formation Excel XP Aide-mémoire

La Clé informatique. Formation Excel XP Aide-mémoire La Clé informatique Formation Excel XP Aide-mémoire Septembre 2005 Table des matières Qu est-ce que le logiciel Microsoft Excel?... 3 Classeur... 4 Cellule... 5 Barre d outil dans Excel...6 Fonctions habituelles

Plus en détail

Manuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2

Manuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........

Plus en détail

Système binaire. Algèbre booléenne

Système binaire. Algèbre booléenne Algèbre booléenne Système binaire Système digital qui emploie des signaux à deux valeurs uniques En général, les digits employés sont 0 et 1, qu'on appelle bits (binary digits) Avantages: on peut utiliser

Plus en détail

ET 24 : Modèle de comportement d un système Boucles de programmation avec Labview.

ET 24 : Modèle de comportement d un système Boucles de programmation avec Labview. ET 24 : Modèle de comportement d un système Boucles de programmation avec Labview. Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable Formation des enseignants parcours : ET24 Modèle de

Plus en détail

Cours 1 : Introduction Ordinateurs - Langages de haut niveau - Application

Cours 1 : Introduction Ordinateurs - Langages de haut niveau - Application Université de Provence Licence Math-Info Première Année V. Phan Luong Algorithmique et Programmation en Python Cours 1 : Introduction Ordinateurs - Langages de haut niveau - Application 1 Ordinateur Un

Plus en détail

Traitement numérique de l'image. Raphaël Isdant - 2009

Traitement numérique de l'image. Raphaël Isdant - 2009 Traitement numérique de l'image 1/ L'IMAGE NUMÉRIQUE : COMPOSITION ET CARACTÉRISTIQUES 1.1 - Le pixel: Une image numérique est constituée d'un ensemble de points appelés pixels (abréviation de PICture

Plus en détail

DEVOIR MAISON : THEME : LES CLES DE CONTROLE. I. La clé des codes barres

DEVOIR MAISON : THEME : LES CLES DE CONTROLE. I. La clé des codes barres DEVOIR MAISON : THEME : LES CLES DE CONTROLE I. La clé des codes barres Le code U.P.C. (Universal Product Code) utilise des nombres de treize chiffres pour désigner un produit de consommation. Les douze

Plus en détail

Plan du Travail. 2014/2015 Cours TIC - 1ère année MI 30

Plan du Travail. 2014/2015 Cours TIC - 1ère année MI 30 Plan du Travail Chapitre 1: Internet et le Web : Définitions et historique Chapitre 2: Principes d Internet Chapitre 3 : Principaux services d Internet Chapitre 4 : Introduction au langage HTML 2014/2015

Plus en détail

Introduction à MATLAB R

Introduction à MATLAB R Introduction à MATLAB R Romain Tavenard 10 septembre 2009 MATLAB R est un environnement de calcul numérique propriétaire orienté vers le calcul matriciel. Il se compose d un langage de programmation, d

Plus en détail

Cours d introduction à l informatique. Partie 2 : Comment écrire un algorithme? Qu est-ce qu une variable? Expressions et instructions

Cours d introduction à l informatique. Partie 2 : Comment écrire un algorithme? Qu est-ce qu une variable? Expressions et instructions Cours d introduction à l informatique Partie 2 : Comment écrire un algorithme? Qu est-ce qu une variable? Expressions et instructions Qu est-ce qu un Une recette de cuisine algorithme? Protocole expérimental

Plus en détail

DU BINAIRE AU MICROPROCESSEUR - D ANGELIS CIRCUITS CONFIGURABLES NOTION DE PROGRAMMATION

DU BINAIRE AU MICROPROCESSEUR - D ANGELIS CIRCUITS CONFIGURABLES NOTION DE PROGRAMMATION 145 NOTION DE PROGRAMMATION 1/ Complétons notre microprocesseur Nous avons, dans les leçons précédentes décrit un microprocesseur théorique, cependant il s inspire du 6800, premier microprocesseur conçu

Plus en détail

Le chiffre est le signe, le nombre est la valeur.

Le chiffre est le signe, le nombre est la valeur. Extrait de cours de maths de 6e Chapitre 1 : Les nombres et les opérations I) Chiffre et nombre 1.1 La numération décimale En mathématique, un chiffre est un signe utilisé pour l'écriture des nombres.

Plus en détail

îundesdruokerei Berlin

îundesdruokerei Berlin Jtfk Europaisches Patentamt ^jll European Patent Office Numéro de publication: 0 295 972 Office européen des brevets A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN Numéro de dépôt: 88401048.9 Int. Cl.4: G 05 B 19/10 @

Plus en détail

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA RFID?

QU EST-CE QUE LA RFID? QU EST-CE QUE LA RFID? Lorraine Apparue dans les entreprises au cours des années 80, la Radio Frequency Identification (RFID) permet de reconnaître, à plus ou moins grande distance, un objet, un animal

Plus en détail

1 Introduction au codage

1 Introduction au codage CélestineOscarDésiréAnatoleGastonEugène 1 Introduction au codage 1.1 Les ensembles L ensemble de tout les ensembles est Dieu lui-même. Kantor Ensemble des parties d un ensemble désigne l ensemble des sous-ensembles

Plus en détail

IFT2880 Organisation des ordinateurs et systèmes

IFT2880 Organisation des ordinateurs et systèmes Représentation des nombres flottants Notation exponentielle Représentations équivalentes dans la base 10 de 1,234 1 2 3, 4 0 0. 0 x 1 0-2 1 2, 3 4 0. 0 x 1 0-1 1, 2 3 4. 0 x 1 0 1 2 3. 4 x 1 0 1 2. 3 4

Plus en détail

Gestion de Stock sous Excel (GSE) Version 1.5.2

Gestion de Stock sous Excel (GSE) Version 1.5.2 Gestion de Stock sous Excel (GSE) Version 1.5.2 Dates des révisions : V1-1.4.2 : 26/01/15 V2-1.5.1 : 15/02/15 V3 1.5.2 : 23/02/15 ------------------------- Frédéric KULAS www.xlexe.com A Propos GSE ou

Plus en détail

LES TYPES DE DONNÉES DU LANGAGE PASCAL

LES TYPES DE DONNÉES DU LANGAGE PASCAL LES TYPES DE DONNÉES DU LANGAGE PASCAL 75 LES TYPES DE DONNÉES DU LANGAGE PASCAL CHAPITRE 4 OBJECTIFS PRÉSENTER LES NOTIONS D ÉTIQUETTE, DE CONS- TANTE ET DE IABLE DANS LE CONTEXTE DU LAN- GAGE PASCAL.

Plus en détail

Priorités de calcul :

Priorités de calcul : EXERCICES DE REVISION POUR LE PASSAGE EN QUATRIEME : Priorités de calcul : Exercice 1 : Calcule en détaillant : A = 4 + 5 6 + 7 B = 6 3 + 5 C = 35 5 3 D = 6 7 + 8 E = 38 6 3 + 7 Exercice : Calcule en détaillant

Plus en détail

Architecture des ordinateurs Introduction à l informatique

Architecture des ordinateurs Introduction à l informatique Architecture des ordinateurs Introduction à l informatique 17 septembre 2004 1 2 3 4 5 6 Les interrupteurs... 0V 5V Ce sont des composants électroniques qui laissent pser un courant principal lorsque la

Plus en détail

J AUVRAY Systèmes Electroniques TRANSMISSION DES SIGNAUX NUMERIQUES : SIGNAUX EN BANDE DE BASE

J AUVRAY Systèmes Electroniques TRANSMISSION DES SIGNAUX NUMERIQUES : SIGNAUX EN BANDE DE BASE RANSMISSION DES SIGNAUX NUMERIQUES : SIGNAUX EN BANDE DE BASE Un message numérique est une suite de nombres que l on considérera dans un premier temps comme indépendants.ils sont codés le plus souvent

Plus en détail

On distingue deux grandes catégories de mémoires : mémoire centrale (appelée également mémoire interne)

On distingue deux grandes catégories de mémoires : mémoire centrale (appelée également mémoire interne) Mémoire - espace destiné a recevoir, conserver et restituer des informations à traiter - tout composant électronique capable de stocker temporairement des données On distingue deux grandes catégories de

Plus en détail

Formats d images. 1 Introduction

Formats d images. 1 Introduction Formats d images 1 Introduction Lorsque nous utilisons un ordinateur ou un smartphone l écran constitue un élément principal de l interaction avec la machine. Les images sont donc au cœur de l utilisation

Plus en détail

Projet Matlab : un logiciel de cryptage

Projet Matlab : un logiciel de cryptage Projet Matlab : un logiciel de cryptage La stéganographie (du grec steganos : couvert et graphein : écriture) consiste à dissimuler une information au sein d'une autre à caractère anodin, de sorte que

Plus en détail

(51) Int Cl.: H04L 29/06 (2006.01) G06F 21/55 (2013.01)

(51) Int Cl.: H04L 29/06 (2006.01) G06F 21/55 (2013.01) (19) TEPZZ 8 8 4_A_T (11) EP 2 838 241 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 18.02.1 Bulletin 1/08 (1) Int Cl.: H04L 29/06 (06.01) G06F 21/ (13.01) (21) Numéro de dépôt: 141781.4

Plus en détail

Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007

Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007 Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007 page 1 / 10 abscisse addition additionner ajouter appliquer

Plus en détail

ISO/CEI 11172-3 NORME INTERNATIONALE

ISO/CEI 11172-3 NORME INTERNATIONALE NORME INTERNATIONALE ISO/CEI 11172-3 Première édition 1993-08-01 Technologies de l information - Codage de l image animée et du son associé pour les supports de stockage numérique jusqu à environ Ii5 Mbit/s

Plus en détail

ELP 304 : Électronique Numérique. Cours 1 Introduction

ELP 304 : Électronique Numérique. Cours 1 Introduction ELP 304 : Électronique Numérique Cours 1 Introduction Catherine Douillard Dépt Électronique Les systèmes numériques : généralités (I) En électronique numérique, le codage des informations utilise deux

Plus en détail

TP 10.3.5a Notions de base sur le découpage en sous-réseaux

TP 10.3.5a Notions de base sur le découpage en sous-réseaux TP 10.3.5a Notions de base sur le découpage en sous-réseaux Objectif Identifier les raisons pour lesquelles utiliser un masque de sous-réseau. Faire la distinction entre un masque de sous-réseau par défaut

Plus en détail

Vers l'ordinateur quantique

Vers l'ordinateur quantique Cours A&G Vers l'ordinateur quantique Données innies On a vu dans les chapîtres précédents qu'un automate permet de représenter de manière nie (et même compacte) une innité de données. En eet, un automate

Plus en détail

INFO 2 : Traitement des images

INFO 2 : Traitement des images INFO 2 : Traitement des images Objectifs : Comprendre la différence entre image vectorielle et bipmap. Comprendre les caractéristiques d'une image : résolution, définition, nombre de couleurs, poids Etre

Plus en détail

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le

Plus en détail

Travaux pratiques. Compression en codage de Huffman. 1.3. Organisation d un projet de programmation

Travaux pratiques. Compression en codage de Huffman. 1.3. Organisation d un projet de programmation Université de Savoie Module ETRS711 Travaux pratiques Compression en codage de Huffman 1. Organisation du projet 1.1. Objectifs Le but de ce projet est d'écrire un programme permettant de compresser des

Plus en détail

Rappels d architecture

Rappels d architecture Assembleur Rappels d architecture Un ordinateur se compose principalement d un processeur, de mémoire. On y attache ensuite des périphériques, mais ils sont optionnels. données : disque dur, etc entrée

Plus en détail

Conservation des documents numériques

Conservation des documents numériques Conservation des documents numériques Qu'est ce qu'un document numérique? Matthieu GIOUX matthieu.gioux@bnf.fr Contexte de la préservation des documents numériques Une croissance en expansion Développement

Plus en détail

D'UN THÉORÈME NOUVEAU

D'UN THÉORÈME NOUVEAU DÉMONSTRATION D'UN THÉORÈME NOUVEAU CONCERNANT LES NOMBRES PREMIERS 1. (Nouveaux Mémoires de l'académie royale des Sciences et Belles-Lettres de Berlin, année 1771.) 1. Je viens de trouver, dans un excellent

Plus en détail

Gestion de gros fichiers binaires (images) en APL*PLUS III

Gestion de gros fichiers binaires (images) en APL*PLUS III Gestion de gros fichiers binaires (images) en APL*PLUS III par Gérard A. Langlet Lun des nombreux problèmes que nous avons rencontrés en APL concerne l impression d images, constituées en fait de grosses

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données

Plus en détail

Nombre de marches Nombre de facons de les monter 3 3 11 144 4 5 12 233 5 8 13 377 6 13 14 610 7 21 15 987 8 34 16 1597 9 55 17 2584 10 89

Nombre de marches Nombre de facons de les monter 3 3 11 144 4 5 12 233 5 8 13 377 6 13 14 610 7 21 15 987 8 34 16 1597 9 55 17 2584 10 89 Soit un escalier à n marches. On note u_n le nombre de façons de monter ces n marches. Par exemple d'après l'énoncé, u_3=3. Pour monter n marches, il faut d'abord monter la première. Soit on la monte seule,

Plus en détail

QUESTION 1 {2 points}

QUESTION 1 {2 points} ELE4301 Systèmes logiques II Page 1 de 8 QUESTION 1 {2 points} En se servant de paramètres électriques donnés dans le Tableau 1 ci-dessous, on désire déterminer la fréquence d opération du compteur présenté

Plus en détail

Commission Moyens de Paiement, Informatique et Organisation. Groupe de travail «Standards» International Bank Account Number (IBAN) IBAN-LUX

Commission Moyens de Paiement, Informatique et Organisation. Groupe de travail «Standards» International Bank Account Number (IBAN) IBAN-LUX Commission Moyens de Paiement, Informatique et Organisation Groupe de travail «Standards» International Bank Account Number (IBAN) IBAN-LUX Définition et explication de la norme Avec la collaboration de

Plus en détail

GUIDE DE PRISE EN MAIN

GUIDE DE PRISE EN MAIN 27/04/2011 Firstmag version 7 Ce document va vous expliquer en quelques pages comment maitriser les principales fonctions du logiciel. Ce guide n est pas exhaustif, pour une utilisation avancée du logiciel

Plus en détail

CQP 112 Introduc/on à la programma/on. Thème 2 : Architecture d un système informa/que. Département d informa/que

CQP 112 Introduc/on à la programma/on. Thème 2 : Architecture d un système informa/que. Département d informa/que CQP 112 Introduc/on à la programma/on Thème 2 : Architecture d un système informa/que Département d informa/que CQP 112 : Introduc/on à la programma/on Plan 1. Historique des ordinateurs 2. Composants

Plus en détail

Compter à Babylone. L écriture des nombres

Compter à Babylone. L écriture des nombres Compter à Babylone d après l article de Christine Proust «Le calcul sexagésimal en Mésopotamie : enseignement dans les écoles de scribes» disponible sur http://www.dma.ens.fr/culturemath/ Les mathématiciens

Plus en détail