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1 Document Technique d Application Référence Avis Technique 16/ Mur en blocs en béton Blocs lisses ou à crépir LAFARGE Relevant de la norme NF EN Titulaire : Société Lafarge préfabrication Réunion 2 Rue Amiral Bouvet BP 187 RE le Port Cedex Tél. : Fax : Commission chargée de formuler des Avis Techniques (arrêté du 2 décembre 1969) Groupe Spécialisé n 16 Produits et procédés spéciaux pour la maçonnerie Vu pour enregistrement le 22 janvier 2010 Secrétariat de la commission des Avis Techniques CSTB, 84 avenue Jean Jaurès, Champs sur Marne, FR Marne la Vallée Cedex 2 Tél. : Fax : Internet : Les Avis Techniques sont publiés par le Secrétariat des Avis Techniques, assuré par le CSTB. Les versions authentifiées sont disponibles gratuitement sur le site internet du CSTB ( CSTB 2009

2 Le Groupe Spécialisé N 16 «Produits et procédés spéciaux pour la maçonnerie» de la Commission chargée de formuler les Avis Techniques, a examiné le 8 septembre 2009, le procédé spécial de mur portant la dénomination commerciale «Blocs lisses ou à crépir LAFARGE» présenté par la société LAFARGE PREFABRICATION REUNION. Le présent document, auquel est annexé le dossier technique établi par le demandeur, transcrit l avis formulé par le Groupe Spécialisé n 16 «Produits et procédés spéciaux pour la maçonnerie» sur les dispositions de mise en œuvre proposées pour l utilisation du procédé dans le domaine d emploi visé et dans les conditions du département de La Réunion (974) et de la zone sud de l Océan Indien. 1. Définition succincte 1.1 Description succincte Maçonnerie de blocs creux et modulaires à alvéoles débouchantes en béton de granulats courants, destinés à être enduits, comportant deux alvéoles débouchantes utilisées en partie ou en totalité pour coffrer un béton de remplissage coulé en œuvre. Le montage des blocs est réalisé avec un mortier traditionnel disposé en deux cordons de 30 mm de largeur adjacents à chacun des parements. Les dimensions des blocs permettent une coordination dimensionnelle aux multiples de 10 et 20 cm. Le procédé comporte une gamme de blocs courants et de blocs accessoires en trois épaisseurs, de et 9 cm, destinés respectivement à la réalisation prioritaire de murs de façade, de refends et de cloisons, référencées en séries de et 10. L utilisation des blocs en acrotère n est pas visée. Revêtements intérieurs : enduit plâtre, enduit traditionnel au mortier, éventuellement complexe de doublage isolant collé. Revêtements extérieur : enduit multicouche ou monocouche, pour support Rt3, conforme au DTU revêtement d imperméabilité I3 pour les murs de type I (sans complexe de doublage isolant). Les blocs lisses sont destinés à être directement support d imperméabilisation. 1.2 Mise sur le marché Les produits ou «relevant de la norme NF EN 771-3» sont soumis, pour leur mise sur le marché, aux dispositions de l arrêté du 2 juillet 2004 portant application aux blocs en béton du décret n du 8 juillet 1992 modifié, concernant l aptitude à l usage des produits de construction. 1.3 Identification des produits Les produits mis sur le marché portent le marquage CE accompagné des informations visées par soit l annexe ZA de la norme NF EN AVIS 2.1 Domaine d emploi accepté Murs et cloisons de maisons individuelles, de logement collectifs, de bâtiments scolaires, de bureaux, de bâtiments industriels ou agricoles construits dans le département de La Réunion (974) et dans la zone sud de l Océan Indien (Ile Maurice, etc ) et placés dans les conditions admises pour les murs de type I, IIa, IIb ou III au sens du DTU Les autres limitations résultent du respect des prescriptions figurant au Cahier des Prescriptions Techniques, notamment de résistance mécanique. L utilisation du procédé en zone sismique n est pas visée dans le présent document. 2.2 Appréciation sur le procédé 2.21 Satisfaction aux lois et règlement en vigueur et autres qualités d aptitude à l emploi Stabilité La stabilité des murs et cloisons en blocs américains LAFARGE est normalement assurée dans le domaine d emploi visé et dans les conditions de conception et de mise en œuvre précisées dans le Cahier des Prescriptions Techniques et le Dossier Technique ci-après. Sécurité incendie Compte tenu de la nature des matériaux constitutifs des maçonneries en blocs Américains LAFARGE, celles-ci ne posent pas de problème particulier de réaction au feu dans le domaine d emploi accepté. En ce qui concerne la résistance au feu, les caractéristiques dimensionnelles et de composition des blocs de la série 20, les dispositions de montage décrites et la présence des enduits permettent d assimiler les performances de résistance au feu des maçonneries correspondantes à celles des maçonneries en blocs creux apparents traditionnels de mêmes dimensions de coordination et de même classe de résistance. Lorsque les blocs des séries 20 et 15 sont remplis de béton, les performances de résistance au feu des maçonneries correspondantes peuvent être assimilées à celles d un mur en béton de même épaisseur. Isolation thermique De ce point de vue, le procédé ne se distingue sensiblement des procédés traditionnels de murs en maçonnerie de blocs en béton de granulats courants destinés à rester apparents, que par la présence des enduits. On peut donc appliquer aux parties opaques de ces maçonneries les valeurs de résistance thermique données au chapitre III du fascicule 4/5 «Parois opaques» des Règles Th-U. Etanchéité des murs Ainsi qu il en résulte de l expérience, le procédé permet de réaliser des murs de façade présentant une étanchéité à l air et à l eau satisfaisante dans le domaine d emploi accepté. Isolement acoustique Pour l application de la réglementation concernant l isolement acoustique, en l absence de mesures ou d études spécifiques, on peut évaluer l indice d affaiblissement acoustique de ces parois en maçonnerie de blocs, vides ou remplis, par application de la loi de masse. Risques d accidents lors de la mise en œuvre Le procédé ne présente pas de risque particulier de ce point de vue. Moyennant les précautions indiquées dans le Cahier des Prescriptions Techniques, la stabilité des murs en cours de construction, notamment vis-à-vis des sollicitations dues au vent, est convenablement assurée. Finitions - aspect Les finitions prévues sont celles classiques pour les maçonneries en blocs en béton de granulats courants enduits, dans la région d application du procédé Durabilité - entretien Les matériaux constitutifs des maçonneries visées ici sont traditionnels et ne posent pas de problème de durabilité intrinsèque. Ces maçonneries constituent en elles-mêmes un support classique pour les revêtements habituellement appliqués sur les maçonneries traditionnelles et dont le Dossier Technique prévoit la mise en place. La mise en œuvre systématique d un enduit d imperméabilité I3 (I4 au droit des points singuliers) dans le cas des murs non isolés par l intérieur, est classique dans la région d application du procédé et bénéficie d un retour d expérience favorable. Elle ne pose pas de problème de durabilité moyennant une application en accord avec les prescriptions du fournisseur de revêtement Fabrication et mise en œuvre La fabrication des Blocs américains LAFARGE ne diffère pas dans son principe de celle, classique, des blocs en béton de granulats courants. Leur mise ne œuvre ne diffère pas sensiblement de celle des blocs apparents traditionnels à alvéoles débouchantes, seul le décalage d un demi-bloc d un rang sur l autre étant ici impératif. Un gabarit de pose peut être utilisé pour s assurer de la bonne régularité d épaisseur des joints horizontaux de mortier. Ainsi qu il est prévu dans le Dossier Technique le titulaire de cet Avis Technique doit être en mesure d apporter son assistance technique aux concepteurs des bâtiments qu il est prévu de réaliser selon ce procédé ainsi qu aux entreprises, notamment au démarrage des chantiers. 2 16/09-591

3 2.3 Cahier des Prescriptions Techniques 2.31 Prescriptions de conception et calcul Les justifications de résistance et stabilité des murs en blocs non remplis doivent être conduites suivant les méthodes du chapitre 4 de la partie 2 «Règles de calcul et dispositions constructives minimales» du DTU 20.1 ; les contraintes admissibles dans les parois porteuses sous l effet des charges verticales doivent être calculées en appliquant à la résistance nominale des blocs le coefficient global N de 6 pour un chargement centré et 8 pour un chargement excentré dans le cas de distance entre planchers successif < 2,80m. Pour tenir compte du remplissage des alvéoles, ce coefficient N peut être remplacé par les valeurs du tableau suivant, en fonction du nombre d alvéoles remplies. Nbe alvéoles remplies charge centrée charge excentrée 1 sur 4 4,5 6,5 1 sur sur 2 3,5 5,5 toutes 3 4 La résistance caractéristique en compression du béton de remplissage doit être au moins égale à 25 MPa. Pour les bâtiments supérieurs à R+1, l étude de stabilité du bureau d étude technique doit prendre en compte les efforts de contreventement. Les raidisseurs des cloisons de distribution doivent respecter les dispositions de l article 3.3 du DTU Pour les murs de type I, sans isolation intérieure rapportée, les blocs à enduire reçoivent un enduit multicouche ou monocouche, conforme au NF DTU 26.1 d avril 2008, et un revêtement d imperméabilité I3 (I4 aux points singuliers). Coté intérieur, ils reçoivent un enduit plâtre ou un enduit au mortier. Les autres types de murs, avec complexe de doublage isolant non hydrophile, coté intérieur, peuvent ne recevoir qu un enduit multicouche ou monocouche conforme au DTU Prescriptions de fabrication Les tolérances sur les variations dimensionnelles des blocs doivent répondre aux spécifications de la norme P : «Spécifications pour éléments de maçonnerie. Partie 3 : éléments de maçonnerie en béton de granulats (granulats courants et légers)- complément national à la NF EN 771-3». Les tolérances sur les dimensions doivent être celles précisées dans le Dossier Technique, paragraphe 2-3. La résistance à la compression des blocs pour le fractile 0,05 doit être au moins égale à 6 MPa Prescriptions de mise en œuvre Outre les prescriptions de mise en œuvre données dans le Dossier Technique établi par le demandeur, doivent être respectées les prescriptions ci-après concernant : La sécurité sur chantier : les pointes de pignon non raidies par des murs perpendiculaires doivent être étayées pendant leur mise en œuvre. Réservations et saignées dans les murs : les réservations et saignées horizontales ne sont pas admises. Conclusions Appréciation globale L utilisation du procédé dans le domaine d emploi visé est appréciée favorablement. Validité 3 ans jusqu au 30 septembre 2012 Pour le Groupe Spécialisé n 16 et par délégation, Le Président de séance Laurence DUCAMP 3. Remarques complémentaires du Groupe Spécialisé Ce procédé de maçonnerie enduite bénéficie d une longue expérience favorable d application dans l Ile de la Réunion où sont fabriqués les blocs spéciaux. Le Document a été formulé en prenant en compte cette expérience. Par ailleurs, l organisation des blocs diffère peu de celle des blocs traditionnels de même type et ne présente donc pas de particularité susceptible de poser un problème vis-à-vis de l adaptation aux spécificités locales, notamment d origine climatique. Celles qui concernent ce procédé sont constituées essentiellement par la dispense fréquente d isolation thermique complémentaire à celle de la maçonnerie. L appréciation favorable formulée ne vaut, bien sûr, que moyennant l application effective des prescriptions techniques de ce Document, étant noté que les conditions de mise en œuvre du procédé sont proches des méthodes traditionnelles. Au total, le Groupe a apprécié favorablement l emploi de ce procédé dans l Ile de la Réunion et, par extension, dans la zone sud de l Océan Indien où se rencontrent des conditions climatiques et des pratiques de construction similaires. L utilisation du procédé en zone sismique n est pas visée dans le présent document compte-tenu de la zone géographique du domaine d emploi accepté. Le Rapporteur du Groupe Spécialisé n 16 Nicolas RUAUX 16/

4 Dossier Technique établi par le demandeur A. Description 1. Définition succincte 1.1 Description succincte Le procédé comporte deux types de blocs permettant de réaliser des murs et des points singuliers de la construction (blocs d angle, de chaînage, demi blocs et blocs poteaux) : Les blocs lisses dits aussi de «parement» Les blocs à crépir qui doivent recevoir un enduit dits aussi «à enduire» 1.2 Indentification des produits Les blocs sont stockés sur palettes et sont identifiables par un marquage «Lafarge». 1.3 Domaine d emploi envisagé La gamme des blocs 20x40 est destinée à la réalisation de maisons individuelles ou de petits bâtiments (R+1, combles non aménageables ou muret de soutènement) dans le département de l Ile de la Réunion (974). Les diverses limitations résultent du respect des prescriptions figurant au dossier technique. 2. Description 2.1 Les différents produits de la gamme 20x40 Tous les blocs sont fabriqués en béton moulé et vibré constitué de granulats courants (sable et graviers de basalte concassé ou semiconcassé), de ciment, d eau et d adjuvants Blocs creux standard 20 x 20 x Caractéristiques dimensionnelles Voir Figure Applications Le bloc 20x20x40 standard est utilisé : Pour la réalisation de murs porteurs ou non, Pour la réalisation de soubassement de faible hauteur, En tant que bloc d angle, comme indiqué sur le schéma (figure 2) Pour la réalisation de chaînages verticaux, En tant que bloc à maçonner, En tant que bloc à bancher, Ce bloc existe aussi en lisse Bloc creux «chaînage 20x20x Caractéristiques dimensionnelles : Voir Figure Applications Le bloc 20x20x40 chaînage est utilisé : Pour la réalisation de chaînages horizontaux, Pour la réalisation de chaînages verticaux, Optimisé pour les fers diamètre 12 en ferraillage : meilleur enrobage au béton. En tant que bloc d angle, comme indiqué sur le schéma (figure 4) En tant que bloc à maçonner En tant que bloc à bancher. Ce bloc existe aussi en lisse 2.13 Demi bloc 20x20x20 et bloc 3/ Caractéristiques dimensionnelles Voir Figure 5 Ces blocs porteurs existent aussi en chaînage et en lisse Applications Ces blocs sont utilisés : Pour la réalisation de poteaux (en insérant 4 barres et des cadres), Pour éviter de couper un bloc en deux ou à 3/4 (pour la réalisation de jambage par exemple) Bloc demi hauteur 20x10x Caractéristiques dimensionnelles Voir Figure Applications Les applications de ce bloc sont identiques à celles du bloc 20x20x40 standard. Il est utilisé pour arriver à une hauteur de plancher donnée (lorsque la hauteur du bloc 20x20x40 standard est trop importante) Demi bloc demi hauteur Caractéristiques dimensionnelles Voir figure Applications Les applications de ce bloc sont identiques à celles du demi bloc 20x20x20 «poteau». Il est utilisé pour arriver à une hauteur de plancher donné (lorsque la hauteur du bloc 20x20x20 est trop importante). 2.2 Fabrication et contrôle 2.21 Dimensions et tolérances 2.22 Dimensions Les dimensions de fabrication des différents blocs sont répertoriés précédemment Tolérances Blocs lisses Blocs à crépir Hauteur H ± 2 mm +3/-5 mm Longueur L +1/-3 mm +3/-5 mm Epaisseur E +1/-3 mm +3/-5 mm Résistance à la compression Les calculs de résistance à la compression de murs construits en blocs de la gamme 20x40 seront effectués, selon la norme, à partir des valeurs de la résistance à la compression à 7 jours des différents blocs reportées dans le tableau ci-dessous : Bloc lisse (MPa) Bloc à crépir (MPa) 20x20x Classe de résistance des blocs Les blocs standards et de chaînage sont classés en catégorie II et en classe B60 de résistance au délai de livraison Conditions de fabrication et contrôle La fabrication des blocs de la gamme 20x40 ne diffère pas, dans son principe, de celle classique, des blocs en béton de granulats courants. La fabrication des blocs fait l objet d un autocontrôle suivi par le laboratoire Lafarge à La Réunion. Ils répondent aux exigences du marquage CE2+ qui s appuie sur les normes NF EN et NF p et les normes d essais associées. Les essais effectués sur les blocs sont de résistance mécanique en compression, les dimensions et la masse volumique Apparences Les blocs ne doivent pas comporter de défauts qui pourraient nuire à l esthétique et/ou à la résistance de l ouvrage pour lequel ils sont utilisés. De légères différences de couleur et/ou de texture peuvent apparaître selon les lots. Elles sont dues aux variations du sable utilisé ou de l hygrométrie Tenue au feu des blocs La tenue au feu des maçonneries de blocs en béton est détaillée par la fiche n 130 du CERIB reprenant les Procès-verbaux des essais réalisés par le CSTB. 4 16/09-591

5 2.226 Dimensionnement et stabilité mécanique Les règles de dimensionnement sont faites suivant le DTU 20-1 (norme P , partie 4). La stabilité mécanique d une paroi dépend de : L élancement (L = h/e) La nature du cas de charge Charge centrée : murs de refend intérieurs Charge excentrée : murs de façade Avec : h : hauteur libre entre planchers e : épaisseur du mur brut L : l élancement est limité à 20 pour les murs porteurs ; à 30 pour les cloisons et les murs de remplissage). La contrainte de compression admissible C vaut pour une paroi porteuse C = R/N. Avec : R : résistance nominale à l écrasement du bloc garantie N : coefficient global de réduction, intégrant le coefficient de sécurité (N1 = 3) et un coefficient N2, qui prend en compte le mortier de pose, le montage, le type de chargement. Pour une épaisseur de 19cm, et une hauteur libre entre plancher de 2.85 m, l élancement L est de 15. Pour les élancements inférieurs ou égaux à 15, le coefficient global N est le suivant : Charges centrés Charges excentrées Blocs pleins perforés ou creux de granulats courants 3. Disposition constructive Densité des murs La densité apparente moyenne est donnée ci-dessous en fonction du nombre d alvéoles remplies avec du coulis de béton : 1 alvéole remplie sur 3 : 1500 kg/m 3 1 alvéole remplie sur 2 : 1700 kg/m 3 Toutes les alvéoles remplies : 2300 kg/m Stabilité des ouvrages La conception et les justifications correspondantes de résistance et stabilité des ouvrages doivent être conduites suivant les prescriptions de ce document ou du DTU 20.1 P4 : «règles de calcul et dispositions constructives minimales». Ainsi, doivent se conformer aux règles de l Art et aux DTU en vigueur : La protection contre les remontées d humidité dans les murs, Le chaînage, Les joints de dilatation, Les éléments en béton armé associés, La stabilité d ensemble des ouvrages, Le contreventement, Les vérifications à effectuer en traction, Les vérifications de stabilité sous l action des charges verticales et des charges perpendiculaires au plan des murs, Les linteaux, Les poteaux, La disposition des cadres Les sections d aciers données dans ce document sont des sections minimales. Elles peuvent être augmentées en cas de charges importantes et/ou après consultation par un bureau d étude béton armé Utilisation des blocs en soubassement à maçonner Les blocs 20x20x40 peuvent être utilisés pour des soubassements de faible hauteur, à définir par un BET en fonction des poussées sur le mur. Le ferraillage doit être effectué de la manière suivante (voir figure 8) Les aciers utilisés sont de nuances B 500. L ancrage des aciers dans les fondations se fait par retour d équerre. Les raidisseurs principaux (4HA10 avec des cadres ou 2HA12) doivent être placés à chaque angle (entrant ou sortant) et au niveau des refends de la construction. Ils doivent être séparés par une distance maximale de 3 mètres. Ces aciers montent sur toute la hauteur de la construction jusqu au chaînage rampant. Les amorces (1HA12) sont placées entre les raidisseurs principaux. Elles sont espacées de 1.20 m et ont une longueur utile de 1.35 m comme indiqué sur le schéma (voir figure 9). Les cadres utilisés pour le ferraillage vertical des raidisseurs principaux sont des cadres 10x10 constitués d un acier HA 6 de nuance B 500. Nota : le calepinage des aciers de soubassement doit être effectué en relation avec le calepinage de l élévation (par porte et fenêtre). La longueur de recouvrement des aciers doit être d au moins 40 x diamètre Revêtement extérieur du soubassement (mur catégorie 1 ou 2) Catégorie des murs définie dans le DTU 20.1 P3 paragraphe 3 d octobre Mur de catégorie 1 Il sera utilisé un revêtement d étanchéité pour la partie enterrée du soubassement. Concernant la partie hors sol du soubassement, l enduit extérieur prévu pour les maçonneries de soubassement enterrées doit être également exécuté sur une hauteur d au moins 0.15 m au-dessus du niveau fini du sol extérieur. Mur de catégorie 2 Le revêtement utilisé pour le soubassement peut être : Un enduit traditionnel à base de liants hydrauliques conforme aux spécifications du DTU 26.1, Un enduit d imperméabilisation de façade à base de liants hydrauliques bénéficiant d un Avis Technique favorable à son emploi sur des maçonneries enterrées. Ce revêtement sera complété par un produit noir appliqué en deux couches minimum Utilisation des blocs en élévation Raidisseurs Préconisations de positionnement des aciers selon schéma (voir figure 10). Les aciers raidisseurs principaux (4 HA 10 ou 2HA12) doivent être placés à tous les angles de la construction. Ils sont espacés d au plus 3m. Les raidisseurs secondaires (1HA12) sont placés au droit du jambage de chaque ouverture et au niveau des refends. Ils doivent être montés jusqu au chaînage supérieur. Ils sont espacés d au plus 1.20m. (s il n est pas possible des respecter cette distance maximale de 1.20m, les placer tous les 1.00m). Pour éviter l écrasement des joints par la charge du mur ou par des agents climatiques, une alvéole verticale sur 5 (tous les 1.20m) doit être remplie de béton. Cette alvéole est celle occupés par les raidisseurs secondaires (cf. fig.10) Exemple de positionnement des aciers Voir figure 11 Sur cette figure, on a ajuté 2 HA 12 (raidisseur principal) en jambage d une porte car les aciers disposés dans les angles de la construction étaient distants de plus de 3m. Lorsqu il n est pas possible de respecter la distance de 1.20m entre deux aciers, la réduire à 1.00m comme indiqué ci-dessus Arase étanche Par référence au DTU 20.1, chapitre 5.12 d octobre 2008 (Protection contre les remontées d humidité du sol) lorsque les murs de soubassement sont réalisés en blocs 20x20x40, les maçonneries en élévation doivent être protégées des remontées d eau du sol. Dans le cas d un chaînage en béton armé disposé au niveau du plancher bas du rez-de-chaussée ou du dallage sur toute l épaisseur des maçonneries de soubassement, à l air libre, une arase étanche doit être effectuée au-dessus de ce chaînage comme indiqué sur la figure 12. (Le chaînage doit être au minimum à 15cm au-dessus du sol extérieur fini). Si l on n est pas dans ces dispositions, une coupure de capillarité doit être réalisée au minimum à 15cm au-dessus du sol extérieur fini comme indiqué sur la figure 13. Ces arases étanches de capillarité sont exécutées soit : A l aide d une bande de feutre bitumé 1 ou chape bitumée armée 2 ; à leurs extrémités, les segments de bande sont placés à recouvrement minimal de 20cm ; A l aide d une chape de mortier de ciment de 3cm d épaisseur richement dosé, à raison de 500 à 600 kg de ciment par m 3 de sable sec 0/3 et additionné d hydrofuge. 1 Feutre bitumé de type 36S PY W conforme à la norme NF P Chape de type 40 TV conforme à la norme NF P /

6 3.26 Refends Les murs de refend intérieurs ne nécessitent pas de raidisseurs car ils ne sont pas soumis à de fortes sollicitations. La jonction entre le mur de refend intérieur et le mur périphérique doit être réalisée de la manière suivante : Placer un acier Ha 10 dans la première alvéole du refend ; Placer une barre dans l alvéole jouxtant la première alvéole du refend ; Placer des aciers en «équerre» tous les 60cm (tous les 3 rangs) dans les joints horizontaux comme indiqué sur le schéma (voir figure 14 Pour les murs de refends intérieurs, il y a possibilité de remplacer le bloc 20x20x40 par le bloc 15x20x40 chez Lafarge Préfabrication Chaînages horizontaux Voir figures 15 et 16 Dans les angles, les aciers doivent se croiser (voir figure 17) Le DTU 20.1, préconise une section d armature minimum de 1.57cm². Les aciers du chaînage horizontal situé sous la toiture doivent être enrobés par un minimum de 5cm de béton. Il est donc parfois nécessaire de couler un béton entre la toiture et la dernière rangée de blocs constituant le chaînage horizontal comme indiqué sur la figure 18 Afin que les morceaux «cassés» des blocs de chaînage tiennent dans le fond de l alvéole et puissent tenir le microbéton de remplissage, il est recommandé de disposer des écarteurs en «zig-zag» de 13cm de large dans le joint situé immédiatement sous le chaînage. (Placer tout d abord l écarteur sur la rangée de blocs sous le chaînage, disposer ensuite le mortier du joint, placer les blocs de chaînage et déposer au fond des alvéoles les morceaux de bloc cassés sur les écarteurs Planchers Dans le cas de planchers en béton armé, la hauteur du chaînage est celle du plancher qui lui est associé (voir figure 19) Jonctions maçonneries porteuses chaînages horizontaux Dans le cas de maçonneries enduites : Les planchers en béton armé ou précontraint doivent avoir une rigidité telle que les rotations d appui sur les murs soient limitées et n entraînent pas de risque excessif de fissuration dommageable des maçonneries et de leurs enduits. Au droit de la jonction, il doit être prévu un enduit renforcé par des armatures (protégées de la corrosion) débordant de 15cm au-dessus des planchers et de 15cm au-dessous du premier joint de la maçonnerie sous-jacente. Voir figure 20. Dans le cas de maçonneries lisses, seul le premier point ci-dessus est obligatoire. L équerre de chaînage et la planelle de rive peuvent être réalisées à l aide d un bloc de chaînage dont un côté est scié Chaînage rampant Les aciers utilisés pour les chaînages rampants sont armés de 4 Ha minimum et les cadres sont des 10x20 de nuance B 500 (les sections seront déterminées par un BET). Les armatures doivent être reliées entre elles selon la figure 21 Les pannes doivent être fixées à la construction par des systèmes suivants : Cornières liées mécaniquement au chaînage rampant (voir figure 22) Sabot métallique : Il doit être fixé à un chaînage horizontal (voir figure 23) ou un raidisseur vertical. Les sabots métalliques doivent être fixés à l aide d un système «split», qui doivent rentrer dans la structure (bloc + béton remplissage) d au moins 7cm Poutres Les poutres ne sont pas visées par le présent document. Elles devront faire l objet d une étude par un BET Linteaux Il est possible d utiliser le bloc chaînage pour la réalisation de linteaux. Dans ce cas, le bloc doit être disposé de la manière suivante (voir figure 24). Linteau traditionnel se reporter au DTU, pour des ouvertures spéciales à définir par un BET. D après le DTU 20.1, la longueur minimale d appui des linteaux isolés est de 0.20m et au moins égale au 1/10 ème de la portée du linteau ; la portée étant la largeur de l ouverture. Nota : la section la plus sollicitée d un linteau étant la partie inférieure (sollicitation en traction), la section d acier doit se trouver dans cette partie : il semble donc plus adéquat d utiliser le bloc chaînage «à l envers» comme indiqué sur la figure 25. Afin d obtenir un aspect extérieur correct, il est nécessaire de réaliser un coffrage du sous-linteau Trumeaux porteurs D après le DTU 20.1, la largeur des trumeaux doit être supérieure à 0.80m. Dans le cas contraire, ou si les charges à supporter sont trop importantes : Un potelet en béton armé peut être incorporé dans la maçonnerie du trumeau (voir figure 26). La maçonnerie de blocs de ce trumeau peur servir de coffrage à cet élément. Un linteau filant ou continu peut être réalisé sous réserve que les sections de béton et d aciers conviennent Appui des baies D après le DTU 20.1, les appuis des baies en béton armé de longueur supérieure à 2m doivent comporter au moins 0.25 % (de la section de béton) d armatures longitudinales Jonction entre jambages de baies et allège La jonction entre jambages de baies et allège doit être effectuée comme indiqué sur la figure 27. De plus, le chaînage de dessus d allège doit être prolongé sous les jambages comme indiqué sur la figure Cloisons La gamme 20x40 présentée dans ce document ne possède pas de bloc inférieur à 20cm. En revanche les blocs 10x20x40, annexes à la gamme 20x40 sont disponibles chez Lafarge Préfabrication, peuvent être utilisés pour la réalisation des cloisons. Dans ce cas, les cloisons doivent être jointes au mur de refend intérieur, de la même façon que le mur périphérique est joint au mur de refend (cf paragraphe 3.26 Refends) Les acrotères Les acrotères ne sont pas visés par ce document Murs enterrés, soutènement, piscine, paroi de forte épaisseur, sous sol Ces ouvrages ne sont pas visés par le présent document. 3.3 Modules de coordination dimensionnelle Compte tenu de la taille et du nombre d alvéoles des blocs 20x40, le module de coordination dimensionnelle doit être égal à 0.20m. (voir figure 28). 3.4 Caractéristiques géométriques 3.41 Caractéristiques géométriques des sections de murs Voir tableau Caractéristiques géométriques des blocs non remplis Voir figure Caractéristiques géométriques de blocs remplis Voir figure Procédé de mise en œuvre 4.1 Outillage Le matériel utilisé est celui habituel du maçon auquel, pour des raisons de commodité, il est recommandé d ajouter une truelle australienne. 4.2 Pose des blocs Les blocs, doivent être, si nécessaire, humidifiés au moment de la pose et égouttés. Les blocs d angle et d ouverture doivent être disposés en premier (bloc chaînage prédécoupé). Appareillage La première assise de blocs est réglée de niveau. 6 16/09-591

7 De par leur taille et leur nombre d alvéoles, les blocs doivent être montés à joints verticaux décalés d une demi longueur de bloc d un rang sur l autre (afin que les alvéoles soient alignées) comme indiqué sur la figure 30. Joints Leur épaisseur moyenne doit être de 10mm (joint vertical et joint horizontal). Blocs lisses Si un plan de calepinage a été dressé, monter directement les blocs selon ce plan. Sinon, avant de commencer le montage, les deux premières assises doivent être disposées à sec. Toutes les règles habituelles de montage et de réglage sont inchangées. Nota : Le mortier ne doit être disposé que sur les parois longitudinales et verticales des blocs (sauf spécifications contraires). Voir figure 31 Par sécurité, lorsque les murs en cours de montage ne sont pas contreventés par d autres murs perpendiculaires à leur plan (et reliés l un à l autre par harpage des blocs), ils doivent, en raison de leur relative instabilité du fait de l étroitesse du joint maçonné, être étayés pendant la mise en œuvre jusqu à la réalisation du plancher haut. 4.3 Exécution des points singuliers L utilisation des blocs de la gamme 20x20x40 n entraîne pas de difficultés particulières pour la réalisation de points singuliers. Chaque fois qu il s avérera nécessaire, on dispose le mortier sur toute la largeur du bloc qui s utilise. Les procédés d exécution des points singuliers sont répertoriés dans le chapitre Matériaux 4.41 Blocs (Cf 2.1) 4.42 Mortier de pose Voir DTU 20.1 et norme NF EN Le dosage en liant doit respecter les valeurs ci-après (par m 3 de sable sec) pour un mortier : De chaux hydraulique : 250 à 350 kg De ciment : 300 à 350 kg Bâtard : dosage global en liant de 350 à 400 kg dont environ 150 à 275 kg de ciment et 125 à 200 kg de chaux. Ce mortier doit être de consistance plastique ; l affaissement au slump-test doit être de l ordre de 7 à 8 cm. Le sable utilisé doit être du : 0/4 pour les blocs à crépir 0/2 pour les blocs lisses Autre mortier prêt à l emploi 4.43 Joints Les joints différents selon le type de bloc utilisé : Bloc lisse Le joint doit être comprimé en creux (au fer) Voir figure 32 Bloc à crépir Le joint doit être arasé au nu des parois extérieures Voir figure 33 Dans les deux cas, leur épaisseur moyenne doit être de 10 mm Armatures Les armatures utilisées doivent être conformes aux prescriptions de la norme NFA , relative aux fils à haute adhérence. L enrobage minimal des armatures dans le micro-béton de remplissage dans l alvéole doit être de 10 mm. Un béton autoplaçant, type Agilia Bloc de Lafarge Béton, peut être aussi utilisé pour ce type d'application. Sa classe d affaissement est S5 (très fluide), avec un étalement au cône d Abrams généralement supérieur à 600 mm. Sa granulométrie est de 0/10 pour une meilleure mise en place du béton dans les blocs. Ses classes de résistances habituelles s échelonnent de C20/25 à C40/50. Les classes d exposition les plus courantes sont : XC1 à XC3 et XA1 à XA2 dans le cas de sols ou d eaux souterraines agressifs. Attention, au vu de la grande fluidité de ces bétons, leur mise en œuvre doit être faite une fois que le mortier de pose a fait prise Enduits et revêtements Blocs à crépir Revêtements extérieurs : Ils peuvent être utilisés sur les blocs de la gamme 20x40 : Un mortier bâtard (réalisé conformément aux prescriptions du DTU 26.1 d avril 2008) + un revêtement d imperméabilité de classe I3 ; Un enduit mono couche d imperméabilisation conforme au DTU 26.1 (sous réserve de l accord préalable des fabricants d enduits pour l application sur supports Lafarge préfabrication). Revêtements intérieurs : Les revêtements intérieurs suivants peuvent être réalisés, soit avec : Un enduit plâtre Un enduit au mortier Un enduit pelliculaire Un complexe de doublage isolant Blocs lisses Revêtements extérieurs : Les blocs lisses ont été conçus de telle sorte qu ils offrent une belle apparence évitant ainsi l utilisation d enduits. Mais compte tenu des conditions climatiques locales, il doit être mis en œuvre sur les parois extérieures, au minimum, un revêtement d imperméabilité de classe I3. Revêtements intérieurs : Des peintures et revêtements de façades (lasure incolore spéciale béton pour les parois d intérieur, peinture fibrée, teinte et peinture ) peuvent être appliqués dans les conditions du DTU 59.1 (NF P ) Exemple d association de finitions intérieures et extérieures Mur de type 1 (cf DTU 20-1 P3 paragraphe 3 figures 4 et 5) : Finition extérieur en mortier avec revêtement d imperméabilité + finition intérieure en enduit. Mur de type 2 (cf DTU 20-1 P3 paragraphe 3 fig 7) Finition extérieure en monocouche + finition intérieure en doublage avec isolant non hydrophile fixée directement sur la maçonnerie. Ou Finition extérieure en monocouche + finition intérieure en doublage avec lame d air. Mur de type 3 (cf DTU 20-1 P3 paragraphe 3 fig 10) Finition extérieure en monocouche + finition intérieure en cloison de doublage + relevé d étanchéité en pied et exutoire. Mur de type 4 (cf DTU 20-1 P3 paragraphe 3 fig 13) Finition extérieure en bardage bois avec mise en place d un pare-pluie sur la maçonnerie + finition intérieure enduit au mortier. B. Références Les blocs de la gamme 20x40 sont fabriqués par Lafarge Préfabrication depuis l année Plus de 2 millions de blocs sont produits chaque année, représentant quelques centaines de milliers de m² Béton de remplissage Le béton de remplissage est un micro-béton de granulats courants, c est-à-dire dont le diamètre est de 10 mm au maximum (0/10). Le dosage en ciment est d au moins 350 kg de ciment (type CEM II 32.5N) par mètre cube de béton, ou de classe C25/30 selon la norme EN L essai d affaissement au cône d Abrams («slump test») doit être de la classe S3 (Très Plastique) c est-à-dire de 10 à 15 cm. Un adjuvant plastifiant peut être utilisé pour avoir plus de maniabilité 16/

8 Tableaux et figures du Dossier Technique Figure 1 Bloc creux standard 20x20x40 - Caractéristiques dimensionnelles Figure 2 Bloc d angle 20x20x /09-591

9 Figure 3 Bloc creux chainage 20x20x40 - Caractéristiques dimensionnelles Figure 4 bloc d angle chainage 20x20x40 16/

10 Figure 5 Demi bloc 20x20x40 Caractéristiques dimensionnelles Figure 6 Bloc demi hauteur 20x10x40 Caractéristiques dimensionnelles Figure 7 Demi-bloc demi-hauteur Caractéristiques dimensionnelles 10 16/09-591

11 Figure 8 Figure 9 Figure 10 16/

12 Figure 11 Figure /09-591

13 Figure 13 Figure 14 16/

14 Figure 15 Figure /09-591

15 Figure 17 Figure 18 16/

16 Figure 19 Épaisseure 5 cm Épaisseure 5 cm Figure /09-591

17 Figure 21 Figure 22 16/

18 Figure 23 Figure /09-591

19 Nota : le choix des armatures pour le milieu est à effectuer selon directives du BET Figure 25 Figure 26 16/

20 Figure 27 * Les calculs ont été effectués pour des joints de 10 mm et une densité du mortier de remplissage de 2 400kg/m 3. Tableau /09-591

21 Figure 28 Figure 29 16/

22 Figure 30 Figure 31 Figure 32 Figure /09-591

23 Modèle de Blocs Coupes des blocs Bloc standard 20x20x40 Bloc Chaînage 20x20x40 Bloc poteau 20x20x20 Bloc Trois Quart 20x20x30 Bloc demi Hauteur 20x10x40 Demi bloc Demi Hauteur 20x10x20 Bloc 15x20x40 Bloc 10x20x40 Gamme 20x40 et 3/4 Lafarge Préfabrication 16/

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