Conférence Panafricaine de Haut Niveau

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1 African Training and Research Centre in Administration for Development المرآز الا فريقي للتدريب و البحث الا داري للا نماء Centre Africain de Formation et de Recherche Administratives pour le Développement VERS UNE BONNE GOUVERNANCE DES INSTITUTIONS ECONOMIQUES ET FINANCIERES DANS LES PAYS AFRICAINS : Le Rôle Crucial des Gouvernements Quels seraient les mesures et les mécanismes à mettre en place pour protéger l économie africaine contre la crise financière globale et actuelle? Conférence Panafricaine de Haut Niveau AIDE MEMOIRE Tanger (Maroc) 1-3 Décembre 2008 Gover-Fin.08-AM-Fr

2 Vers une Bonne Gouvernance des Institutions Economiques et Financières dans les Pays Africains : Le Rôle Crucial des Gouvernements Introduction Si nous considérons les actuelles crises économiques et financières globales, des démarches et mesures préventives afin de préserver les intérêts des pays africains et protéger l économie sont nécessaires. Présentement, les banques africaines et autres institutions financières peuvent n être exposées que de manière minime aux sub primes et aux garanties des prêts-logement à haut risque au cœur des pays en crise et ayant engendrées l effondrement de la plupart des groupes financiers et banques européennes ou américaines. Cependant, dans la crise financière qui domine, l Afrique n est pas épargnée car elle est connectée au monde par beaucoup de voies. Les pays africains seront affectés par le crash des marchés internationaux. Ceci affectera amplement non seulement les services financiers publics mais également la gestion de prestation du service public et la gouvernance en général. Il est important de reconnaître que chaque pays africain -individuellement -peut ne pas disposer des capacités requises pour soutenir ses propres banques et économie et particulièrement lorsqu elles sont et / ou ont été affectées par l effondrement des marchés au niveau international. Aussi est-il nécessaire d établir des mesures et des dispositions pour faire face à la situation susceptible d émerger de ces marchés internationaux. Un des moyens consiste à promouvoir une gouvernance institutionnelle efficace au sein des institutions économiques et financières en se basant sur les principes suivants : - La transparence - La fiabilité - L indépendance - La discipline, et - une responsabilité judicieuse à tous égard (socialement, économiquement, et au niveau de l éthique et de l environnement, etc.). Un autre moyen préventif est la garantie gouvernementale des dépôts, épargnes et prêts interbancaires en mettant l accent sur la stabilité des systèmes financiers et en palliant toutes les préoccupations quant aux maux susceptibles d affecter la santé financière des banques. Des actions décisives telles que celles-ci servent certainement à minimiser l impact de l ébullition financière internationale sur l économie africaine. Nonobstant, et indépendamment de tout cela, une bonne gouvernance institutionnelle est encore plus importante, car elle créé une confiance et une fiabilité basées sur l essence même des principes des systèmes bancaires efficaces, des institutions financières et sur les règlements des garanties du marché. 2

3 Ainsi, des politiques africaines claires deviennent les fondements de la gestion des crises actuelles et futures dans laquelle une bonne gouvernance institutionnelle : - Facilite et accélère la croissance économique pour une prestation sensée des services financiers, - Simplifie les procédures, - Fournit des services adaptables et de grande qualité pour répondre aux besoins et nécessités du continent Africain, - Assure un environnement propice au progrès et le développement, - Détermine clairement le rôle du gouvernement eu égard à la réglementation et le contrôle de la situation. Cette préparation engendre la bonne gouvernance qui donnera aux citoyens une confiance réelle et durable et suscitera en eux l intérêt pour un maintien financier et pour la rationalité de l économie à l avenir. Justification Il a été rapporté dans le journal sud-africain «The Sunday Independent» du 12 Octobre 2008 à la page 6, dans l article intitulé «les Africains sont susceptibles d envoyer moins d argent chez eux», que selon la Banque Africaine pour le Développement, l Afrique représente seulement 1.3 pourcent de la capitalisation du marché boursier mondial, 0.2 pourcent des garanties d endettement et 0.8 pourcent des capitaux bancaires. Que signifie cela pour les pays africains? Serait-il possible que les banques africaines n aient pas suivi les pratiques de certaines banques occidentales qui ont donné lieu à l effondrement actuel en matière de liquidité? Quelque soit le cas, les états africains devraient s assurer du maintien continu des systèmes financiers et banquiers. Cependant, dans les états africains, les problèmes sont plutôt les suivants : (a) De bas revenus d exportation sont prévus en raison de la crise économique globale. Les importations pourraient coûter bien davantage car la valeur des devises africaines peut chuter très bas par rapport aux devises étrangères. Il va sans dire également que beaucoup d investissements étrangers circulent dans les marchés africains, et auraient tendance à se ralentir en affectant ainsi l économie africaine toute entière, vu que beaucoup d investisseurs sont originaires des pays affectés d outremer. (b) Envois de fonds réduits : la plupart des pays africains dépendent largement des envois de fonds lesquels contribuent à leurs économies. Les envois aux pays africains de l ordre de 40 milliards US$ l année (selon les Nations Unies et tel que rapporté par «the Sunday Independent» du 12 Octobre 2008 à la page 6) serait un des désastres de la crise financière globale. Les flux des envois de fonds sont susceptibles d être affectés si ceux qui les versent serrent la ceinture ou perdent 3

4 leurs emplois par exemple. Ceci générera bien évidemment moins d argent, argent émanant principalement des 30 millions d africains vivant à l étranger. Ceci affectera l investissement, la rentabilité et l aide des familles à survivre. Si nous devions considérer la totalité du continent, les envois sont estimés contribuer à 2% du produit national brut. Dans certains pays tels la Somalie, le Liberia, l Erythrée, le Burundi, le Lesotho etc., les envois de fonds contribuent à plus de 20 pourcent («the Sunday Independent» du 12 Octobre 2008, page 6 du même article ci-haut référencié). Ces sommes proviennent pour la plupart de l Amérique du Nord, d Europe et d Asie, soit les continents les plus affectés par l écroulement des marchés. A l instar des envois de fonds, le tourisme, l aide et les investissements étrangers peuvent tous en pâtir. (c) Vu les rubriques (a) et le (b) sus-indiqués, cette crise financière globale est susceptible de passer du secteur financier vers l économie africaine réelle. Ainsi, les états africains doivent se préparer en conséquence. Lors des quelques mois derniers, la crise financière globale a lourdement affecté les continents asiatiques, européen et américain et a causé beaucoup d appréhensions et un manque de prévision quant à l orientation financière future et ce pour l ensemble de la population du globe. Ceci a créé un tournant historique vers la nationalisation et le bailout (injection de liquidité ) des institutions financières en crise comme point de départ. Ces mesures étaient nécessaires pour assurer la stabilité des marchés financiers, diminuer les craintes des populations et développer une économie stable pour remettre ces pays sur les rails. Cependant, ceci a débuté plutôt trop tard. Au-delà du Bailout, il est nécessaire de transformer les pratiques au sein des systèmes gouvernementaux pour aborder les erreurs commises et en vue de satisfaite les besoins actuels et futurs voire se plier aux changements. Vu la magnitude des crises économiques et financières, des innovations sont requises et de là une évolution substantielle de la gouvernance institutionnelle au sein des Etats africains pour établir des mécanismes préventifs. On relève la nécessité d une bonne gouvernance institutionnelle basée sur les principes menant vers une gestion efficace pour contenir cette crise. Que fait l Afrique pour se prémunir contre cette crise, qui très probablement affectera son économie? Si l Afrique ne bouge pas rapidement pour mettre en place des mécanismes préventifs, ceci deviendra un autre élément de déstabilisation qui pourra affecter amplement les services publics et le développement des services sociaux dans le continent. Ceci est la problématique éventuelle susceptible de se dresser face à la plupart des états africains et c est précisément dans ce contexte que le Centre Africain pour la formation et la recherche administratives pour le développement (CAFRAD) et ses partenaires, souhaitent organiser cette conférence pour réfléchir sur diverses questions, notamment : Quels sont les impacts de la crise financière globale sur la transformation des 4

5 services à la population en Afrique? Les citoyens ressentiraient-ils l impact en termes de moyens financiers et services? Comment les états africains peuvent-ils établir des mécanismes préventifs (dispositions et mesures) à travers la gouvernance institutionnelle, des systèmes modernisés et novateurs de gestion financière pour assurer la stabilité au sein des institutions financières en vue d activer le développement, réduire les coûts administratifs et l abus? Pourquoi le poids de l impact est-il encore bas et quelles seront les implications futures? Comment éviter les tensions et les conflits entre les systèmes de crédit et les cultures financières traditionnelles actuelles de la liquidité? Quel est le rôle et la place des systèmes gouvernementaux économiques et financiers de réglementation pour éviter ces crises et l usage des technologies de communication et d information dans les systèmes actuels financiers de l Afrique? Dans l optique de cette crise financière globale, quel est le type de transformation des systèmes nécessaire pour réussir en matière de systèmes économiques et financiers africains dans les quelques prochaines années? Objectifs Le principal objectif de la conférence est d examiner les questions cruciales afférentes à la crise financière globale et les besoins de transformer la gouvernance / administration en systèmes financiers dans le continent et également d affronter les défis susceptibles d émerger ultérieurement concernant les services financiers publics. Les objectifs spécifiques sont : 1. Faire une analyse critique de la crise financière actuelle et celle des problèmes éventuels d être vécus par les pays africains, et trouver des mécanismes pour renforcer une bonne gouvernance institutionnelle en Afrique afin d améliorer l économie et la prestation des services publics, et discuter des stratégies pour relever les défis de la crise financière et les maîtriser. 2. Examiner la manière de réguler les institutions financières et les marchés pour parvenir à une stabilité économique et la maîtrise de la transformation requise des systèmes de gouvernance dans les états africains eus égard aux pratiques actuelles. 3. Actualiser les connaissances à travers des succès stories, échecs et problèmes relatifs à la crise financière globale et les erreurs réelles, et examiner la manière - pour l Afrique- d établir les mécanismes préventifs (dispositions et mesures) pour se prémunir de ces crises. 5

6 SUJETS A DISCUTER Les principales questions à aborder lors de la conférence, à la lumière des effets de la crise financière globale sont : 1. L impact de la crise financière sur la population et sur l économie africaine. 2. La situation des institutions économiques et financières des pays africains. 3. Le rôle crucial des gouvernements africains pour aborder la crise, les mesures et mécanismes préventif à considérer. 4. Le partenariat des secteurs public et privé dans cette crise et la manière de promouvoir l économie africaine et la gouvernance institutionnelle. 5. Le cadre et les systèmes financiers : connaissances et maîtrise des textes législatifs régissant les systèmes financiers et bancaires ainsi que les valeurs du marché. Quelles sont les pratiques et sont-elles bonnes en fonction de la crise financière globale? 6. Conditions ; qui établit les conditions et les niveaux requis pour l application de la gouvernance institutionnelle dans l ensemble des institutions financières et autres organisations et qui effectue le contrôle et l évaluation de ces conditions pour s assurer qu il n existe pas d abus? 7. Elaboration d exemples et expériences de gouvernance institutionnelle des pays. Comment la gouvernance institutionnelle est-elle établie et appliquée, le statut actuel, les principes et les niveaux de confiance, etc.? Comment la gouvernance institutionnelle prévient-elle les fraudes, la corruption, les irrégularités, l abus et les litiges dans les systèmes financiers africains, en relation avec la crise globale des crédits? 8. La collaboration parmi les pays africains et le reste du monde pour aborder la crise, renforcer les institutions économiques et financières, et préparer le terrain à des institutions solides et capables. Participants (Groupes ciblés) (i) Ministres des Finances, de l Economie, du Plan et du Commerce ; (ii) Secrétaires au Trésor ; (iii) Présidents des banques centrales et commerciales ; (iv) Conseillers économiques au Bureau du Président ; 6

7 (v) Hauts fonctionnaires du Bureau du Premier Ministre ; (vi) Représentants des institutions économiques et financières africaines au niveau sous-régional et régional; Chaque pays peut être représenté par une délégation d un ou plusieurs membres. Si possible, les copies des documents importants du statut actuel des règles et règlement des institutions financières seront apportées par les participants et ce mener des discussions plus efficaces. Personnes ressources Quelques pays et institutions sélectionnées de différentes régions seront invités pour faciliter les présentations succinctes en vue de stimuler et faciliter le partage d expertise et expériences portant sur les questions de la conférence. Méthodologie La conférence sera conduite d une manière participative, en sessions plénières lors desquelles les participants interagiront et échangeront des points de vue sur la crise financière globale et son impact sur l Afrique et les types de mécanismes à mettre en place en Afrique pour habiliter les gouvernements, les institutions économiques et financières à venir à bout de la crise et enfin aller de l avant. Résultat On prévoit après la conférence que les participants soient mieux préparés et bien informés sur les contraintes d une gouvernance efficace des institutions économiques et financières et sur les modes de réflexions pour solutionner les problèmes découlant de la crise financière globale et les mécanismes requis à établir contre la crise. Les rapports et les travaux de la conférence seront publiés pour distribution et utilisation par la majeure partie des dépositaires d enjeux et autres entités intéressées et ce pour la transformation des systèmes financiers pour contrer la crise financière globale. Lieu : Tanger (Maroc) Date : du 1 au 3 Décembre 2008 Durée : 3 jours Langues : Anglais et Français. Pour davantage d information concernant la conférence ou concernant le CAFRAD, prière de contacter : Le Ministère de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative, ou 7

8 Dr Raphael ARINAITWE, Coordinateur de la Conférence CAFRAD Boulevard Mohammed V B.P 310 Tanger Maroc Tél.: (212) ou (212) Fax: (212) cafrad@cafrad.org Web site : Information sur le CAFRAD Le Centre Africain de Formation et de Recherche Administratives pour le Développement (CAFRAD) est une organisation panafricaine intergouvernementale contribuant à l amélioration de l administration publique et la gouvernance en Afrique. Le CAFRAD a été créé en 1964 par les gouvernements africains et sis à Tanger (Maroc). Il le premier centre panafricain de haut niveau pour le renforcement des capacités et la recherche sur le continent. Pour relever efficacement les défis des gouvernements et jouer son rôle primordial dans la gestion et la gouvernance du secteur public, le CAFRAD a pour mission : - De favoriser l intégration régionale et la coopération interafricaine en matière de l administration publique et la gouvernance et de promouvoir dans l ensemble des pays africains, un leadership visionnaire, des politiques de développement judicieuses, un service public efficace et une bonne gouvernance répondant aux besoins de la population, de créer une atmosphère d éthique, de paix, de prospérité, d équité et de démocratie. Domaines essentiels d intervention 1. Leadership, Gouvernance et Politique Publique 2. Promotion de la Bonne Gouvernance, d Ethique, d Intégrité et de Professionnalisme du Secteur Public. 3. Innovation, Réforme et Modernisation de l Administration Publique et les Institutions Etatiques. 4. E-gouvernance : utilisation des techniques de communication et d information dans l administration publique et la gouvernance. 5. Décentralisation et Gestion / Gouvernance des institutions locales. 6. Développement et Gestion stratégique des ressources humaines dans le secteur public. 7. Administration Electorale. 8

9 Groupes ciblés (bénéficiaires des Services du CAFRAD) 1. Dirigeants, Cadres et Politiciens - Ministres et leurs conseillers - Parlementaires - Gouverneurs des Provinces et Maires - Hauts Cadres et Corps Gouvernementaux 2. Directeurs et Professionnels - Secrétaires Généraux - Directeurs Généraux - Directeurs Adhésion (jusqu en Juin 2008) L adhésion au CAFRAD est ouverte à tous les Etats Africains. Les Etats membres actuels du CAFRAD sont :l Algérie, l Angola,le Bénin, le Burkina Faso, le Burundi, le Cameroun, le Cap Vert, la République d Afrique Centrale, le Tchad, le Congo Brazzaville, la Côte d Ivoire, la République Démocratique du Congo, Djibouti, la Guinée Equatoriale, le Gabon, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée Bissau, le Liberia, la Lybie, Madagascar, le Mali, la Mauritanie, le Maroc, la Namibie, le Niger, le Nigeria, Sao Tome & Principe, Sierra Leone, la Somalie, l Afrique du Sud, le Soudan, le Togo, la Tunisie et la Zambie. Les langues de travail CAFRAD travaille en Anglais, Français, Arabe et Portugais. Partenaires Le CAFRAD travaille étroitement avec divers partenaires y compris UNDESA, UNDP, la Banque Mondiale, ACBF, UNECA, ADB, NEPAD et plusieurs autres institutions internationales régionales et nationales. Activités récentes Les conférences les plus récentes du CAFRAD sont les suivantes : - Conférence pour les Présidents des cours des comptes (Avril 2007) ; - Conférence des Présidents des Commissions des Réformes Administratives et de la Gouvernance (Février 2008) ; - Conférence des Présidents des Commissions Electorales Nationales (Mars 2008) ; - Conférence pour les Secrétaires Généraux de Gouvernements (Avril 2008) ; 9

10 - Forum Annuel des Ministres de la Fonction Publique (Forum Annuel du CAFRAD sur la modernisation des administrations publiques et de la gouvernance ; parallèlement avec la Réunion du Conseil d Administration du CAFRAD Juin 2008) ; - Forum sur la Prévention et la Gestion des Conflits dans le Secteur Public (Septembre 2008). Adresse : CAFRAD Pavillon International ; Boulevard Mohammed V B.P 310 ; Tanger Maroc Tél.: (212) ou (212) Fax: (212) cafrad@cafrad.org Web site : 10

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