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2 ANNEXE 1 : Relation entre équivalent certain du procès et montant du dommage Nous nous intéressons au lien entre, et d et nous montrons que conformément à l intuition, l offre de règlement amiable et la prime de risque sont fonctions monotones du seul dommage. Résultat : Que le demandeur marginal profite de l aide juridictionnelle ou d une assurance de protection juridique, l offre de règlement amiable est une fonction croissante du dommage et la prime de risque une fonction décroissante du dommage. Preuve : Par définition de, on sait que : u y p d u y p u y p d F u y p d F Or, la fonction d utilité u étant croissante : D où : u y p u y p d F 0 u y p d u y p u y p d F u y p d F et : u y p d F y p d y p d F F Dans ces conditions : d u y p d u y p d F u y p d 1 u y p d F u y p d or y p d y p d F et u 0 impliquent : donc, comme u 0 : u y p d u y p d F u y p d u y p d F et finalement : d 1 0 (**) On vient donc de montrer que l équivalent certain du procès croît avec le montant du dommage, à un rythme supérieur à la probabilité du demandeur de

3 gagner le procès,. Comme : d F F d F F On en déduit immédiatement que : d d F F d d 0 où est la prime de risque du demandeur (Pratt, 1964). Ainsi, la prime de risque diminue lorsque le dommage s élève. Remarque : En intégrant : d d 0. Or, on sait que pour un individu manifestant de l aversion pour le risque, l équivalent certain d F, donc : F d d 0 La part des coûts de procès à la charge du demandeur s il perd le procès est inférieure à la différence entre le dommage attendu et l équivalent certain du procès, elle même inférieure au dommage attendu minimum. Remarque : Pour un même risque et un même niveau de richesse w, plus l aversion pour le risque est élevée et plus la prime de risque l est egalement. Ici l aversion pour le risque du demandeur compte de moins en moins au fur et à mesure que le dommage devient important. ANNEXE 2 : Lemmes Nous établissons trois lemmes techniques. La condition (*) du lemme 1 est importante et signifie que les éléments concernés w et w ne sont pas trop proches. Elle s applique dans le papier quand le taux de couverture en PJ est suffisamment éloigné de celui en AJ. a : Lemme 1. Si g est une fonction convexe et croissante et si pour w w v, on v w g v g v g w, (*) alors : 0,1 : g v w g v g w Preuve La fonction g v w g v w w est une fonction convexe croissante en située pour tout dans 0,1 au dessus de sa tangente en 1 : g v w v w g v 1 g v g v g w 1 g v et donc :

4 0,1 : g v w g v g w Lemme 2. Si on suppose que r i décroît avec la fortune alors : 1. La fonction u i est convexe décroissante. 2. La fonction g u i u i est, pour tout 0, convexe croissante. Preuve 1. u i est décroissante car u i est concave et de plus, r i u i u i u i 2 u i u i 0 implique : u u i 2 i u i 2 u i 0 2. r i décroît avec la fortune donc puis : u i u i u i u i u i u i u i u i 0 ce qui montre que u i est croissante. Comme u est elle aussi croissante, u i c est aussi le cas de la fonction u i u i u i u i u i u i. Finalement g u i u i est, pour tout 0, croissante et convexe car sa dérivée est positive et croissante. Lemme 3. Si on suppose pour toute fortune et pour tout 0 : r 1 r 2 alors la fonction g u 1 u 2 est convexe croissante. Preuve : Par hypothèse : u 1 u 1 u 2 u 2 par conséquent : u 1 u 2 u 2 u 1 0 ce qui montre que u 1 u 2 est croissante. Comme u 2 est elle aussi croissante, c est aussi le cas de la fonction

5 u 1 u 2 u 2 u 2 u 1 u 2. Finalement g u 1 u 2 est, pour tout 0, croissante et convexe car sa dérivée est positive et croissante. ANNEXE 3 : Preuve résultat 3 Résultat 3. Si on suppose que l indice absolu d aversion au risque diminue quand la richesse augmente et si g u u vérifie la condition (*) du lemme 1 (en annexe 2) alors b a. En d autres termes, le montant minimum exigé par un demandeur assuré par une PJ pour renoncer au procès est supérieur à celui d un demandeur bénéficiaire de l AJ. et Preuve : Il est difficile de comparer a et b solutions respectives des équations : u y p d a u y p u y p d a F u y p d b u y p u y p d b F car cela va dépendre du type de concavité de la fonction u. Nous allons montrer que b a est du signe de : où : g v w g v g w g u u v u y p w u y p d b F w u y p d a F En effet par définition b a vaut : u u y p u y p d b F u u y p u y p d a F qu on peut aussi écrire, en posant x x : ou v w u uo y p uo y p d a F car u y p u y p uo y p et u y p d a F uo y p d a F. Si on remarque que y p u v et y p d a F u w, on peut aussi écrire b a sous la forme : ou v w u uo ou v uo ou w. Mais comme u est croissante une différence x y a même signe que u x u y, donc en posant g uo ou, le signe de b a est aussi celui de :

6 g v w g v g w D après les lemmes 1 et 2 (en annexe), cette dernière expression est positive : b a ANNEXE 4 : Preuve résultat 4 Résultat 4. Si on suppose que les indices absolus d aversion au risque vérifient les conditions du lemme 3 et si g u 2 u 1 vérifie la condition (*) du lemme 1 alors : et 2b 1a On doit situer 1a et 2b solutions respectives des équations : u 1 y p d 1a u 1 y p u 1 y p d a F u 2 y p d 2b u 2 y p u 2 y p d b F En fait nous allons montrer dans une démonstration proche de celle du résultat 3 que 2b 1a est du signe de : où : g v w g v g w g u 1 u 2 v u 2 y p En effet, par définition 2b 1a vaut : w u 2 y p d b F w u 2 y p d a F u 2 u 2 y p u 2 y p d b F u 1 u 1 y p u 1 y p d a F qu on peut aussi écrire, en posant x x : ou 2 v w u 1 u 1 o y p u 1 o y p d a F or y p u 2 v et y p d a F u 2 w. Ainsi 2b 1a vaut : ou 2 v w u 1 u 1 o ou 2 v u 1 o ou 2 w. Comme u 1 est croissante, en posant g u 1 o ou 2, on constate que 2b 1a est du signe de : g v w g v g w D après les lemmes 1 et 3 (annexe 2), cette dernière expression est positive :

7 2b 1a On a donc : 2a 1a 2b 1b Il apparaît ainsi : qu un demandeur marginal assuré dont l aversion pour le risque est forte (r 2 ) exige un montant d arrangement plus faible qu un demandeur marginal assuré dont l aversion pour le risque est plus faible ( 2b 1b ). qu un demandeur marginal bénéfciaire de l AJ dont l aversion pour le risque est forte (r 2 ) exige un montant d arrangement plus faible qu un demandeur marginal bénéficiaire de l AJ dont l aversion pour le risque est plus faible ( 2a 1a ). que les montants minimum exigés par les demandeurs marginaux pour renoncer au procès sont plus faibles sous l AJ que sous la PJ.

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