Institut National de la Statistique Annuaire Statistique du Cameroun 2010 CHAPITRE 7 : SANTE
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- Valérie Marois
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1 CHAPITRE 7 : SANTE 1. Présentation Méthodologie Sources de documentation graphiques tableaux... 9 LISTE DES GRAPHIQUES Graphique 7. 1 : Prévalence du VIH chez les adultes de ans... 6 Graphique 7. 2 : Evolution du VIH-SIDA dans la population sexuellement active au Cameroun (15-49 ans)... 6 Graphique 7. 3 : Pourcentage de femmes ayant reçu des soins effectués par un personnel de santé qualifié par région... 7 Graphique 7. 4 : Mortalité néonatale, infantile, et juvénile selon le niveau d instruction de la mère... 7 Graphique 7. 5 : Répartition des enfants de 0-59 mois souffrant d une insuffisance pondérale modérée par région, milieu de résidence (en%)... 8 LISTE DES TABLEAUX Tableau 7. 1 : Répartition du personnel de santé selon la profession... 9 Tableau 7. 2 : Evolution de la couverture vaccinale au Cameroun de 2005 au 1 er semestre 2009 (%)...10 Tableau 7. 3 : Proportion d accouchements assistés par le personnel de santé qualifié...10 Tableau 7. 4 : Taux de prévalence du paludisme...11 Tableau 7. 5 : Taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans...11 Tableau 7. 6 : Prévalence du VIH parmi les jeunes de 15 à 24 ans selon certaines caractéristiques sociodémographiques...12 Tableau 7. 7 : Capital physique pour l offre des services et soins entre 2001 et Tableau 7. 8 : Situation des allocations et exécution du budget de 2005 à 2009 (en milliards de fcfa)...13 Tableau 7. 9 : Répartition du personnel de santé par région
2 1. PRESENTATION Les orientations de la politique nationale de santé trouvent leur expression dans la Stratégie Sectorielle de la (SSS) dont les axes visent l atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) et ceux de la Stratégie de Croissance et de l Emploi (SCE). Le Système d Information Sanitaire (SIS) qui sous-tend la mise en œuvre de cette stratégie, a pour mission essentielle de fournir les données utiles et de qualité à temps. La mise en œuvre de la stratégie sectorielle de la santé s articule autour des quatre domaines suivants : (i) la santé de la mère, de l adolescent et de l enfant, (ii) la lutte contre la maladie, (iii) la promotion de la santé et (iv) la viabilisation du District de santé. De l évaluation à mi parcours de la SSS , il ressort ceci : Lutte contre la maladie Comme la plupart des pays en développement, le Cameroun est en phase de transition épidémiologique avec l augmentation des maladies non transmissibles, la réémergence de certaines maladies infectieuses, la pandémie de l infection à VIH/Sida, les menaces du Syndrome Respiratoire Aigu Sévère (SRAS) et de la Pandémie Aviaire. Cependant, les efforts de lutte contre la maladie ont produit certains résultats remarquables notamment en ce qui concerne la Rougeole, le ver de Guinée, la Lèpre. i. Le Paludisme Le paludisme représente la première cause de morbidité et demeure un problème majeur de santé publique au Cameroun. Selon les résultats d une enquête menée par le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP) en décembre 2004 dans 166 districts de santé, le taux de morbidité clinique est estimé à 40,1% et le taux de mortalité à 2,2%. Ces taux varient en fonction des régions et sont plus élevés chez les enfants de moins de 5 ans. En 2005 plus de cas ont été notifiés (Cf. les atouts économiques, 2007). Selon le rapport annuel du PNLP en 2008, plus de cas ont été notifiés et le taux de morbidité clinique estimé à 41%. Il existe encore un gap important entre les interventions jusqu alors menées et les objectifs mondiaux de contrôle du paludisme à l horizon Seulement 13% d enfants de moins de cinq ans dorment sous moustiquaires imprégnées, 37% de femmes enceintes sont sous TPI2 et 58% des cas compliqués sont promptement et correctement pris en charge (MICS 2006). ii. La Tuberculose Le Programme National de Lutte contre la Tuberculose (PNLT) a organisé des campagnes de dépistage massif en Celles-ci ont permis le dépistage de personnes sur attendus personnes ont été déclarées malades et mis sous traitement. Parmi celles-ci, ont été guéris, soit un taux de guérison de 76%. 338 personnels de santé et 934 chefs de Centre de Intégré (CSI) ont été formées sur la prise en charge des malades. Par ailleurs, 931 membres communautaires ont suivi une formation sur les mesures préventives et celles relatives à la prise en charge des malades à domicile. Au premier trimestre 2009, personnes ont été dépistées positifs, seulement ont été enregistrées comme nouveaux cas. iii. Le VIH/Sida/IST Estimée à 11% en 2000 sur la base des données de la surveillance sentinelle chez les femmes enceintes, les résultats de l EDS III situent à 5,5% la séroprévalence au VIH/Sida chez les adultes âgés de 15 à 49 ans en La variation des méthodologies utilisées expliquerait cette différence. Selon EDS III : le taux de séroprévalence chez les femmes de 15 à 49 ans (6,8%) est supérieur au taux estimé chez les hommes du même groupe d âge (4,1%). Il en résulte un ratio d infection entre les femmes et les hommes de 1,7 ; La proportion des personnes séropositives varie avec l âge : d un minimum de 1,4% parmi les personnes de 15 à 19 ans, la proportion atteint un maximum de 8,9% parmi celles de 30 à 34 ans pour ensuite diminuer à 4,7% parmi les personnes de 45 à 49 ans. Les hommes et les femmes du milieu urbain sont nettement plus susceptibles d être séropositifs que ceux du milieu rural. Par 2
3 ailleurs, la séroprévalence n est pas uniformément répartie entre les différentes régions. Elle est de 8,7% au Nord-Ouest, 8,6% à l Est, 8,0% au Sud-Ouest, 8,3% dans la ville de Yaoundé, 2,0% dans la région de l Extrême-Nord et de 1,7% au Nord. Environ cas d IST traités ont été notifiés au niveau national en 2008, contre en Les femmes sont de loin plus concernées que les hommes ; elles représentent 68 % des cas notifiés. iv. Le Cancer Selon les estimations faites en 2002, nouveaux cas de cancer sont enregistrés au Cameroun chaque année avec personnes vivant avec la maladie. Ces chiffres pourraient doubler d ici 2020 si rien n est fait. Les cancers les plus fréquents sont ceux du sein, du col de l utérus, de la prostate, du foie et les lymphomes. Plus de 80% des personnes atteintes se font dépister à un stade très avancé de la maladie et la plupart décèdent dans les 12 mois qui suivent le diagnostic. v. La Lèpre Suite à une intensification de la recherche active des cas et à une modification de la stratégie de lutte désormais intégrée dans le PMA, 1455 nouveaux cas de lèpre (paucibacillaire et multibacillaire) ont été enregistrés en 1998 et 465 en A ce jour, avec une prévalence de 0,25 cas pour habitants, la lèpre ne représente plus un problème de santé publique au Cameroun. Il se pose cependant le problème de réinsertion sociale et économique des personnes handicapées de la lèpre qui incombe actuellement au Ministère des Affaires Sociales. vi. Le Programme Elargi de Vaccination (PEV) Le Programme Elargi de Vaccination (PEV) est l un des programmes prioritaires du Ministère de la Publique. Il vise à accroître le taux de couverture vaccinale de la population, et contribue ainsi à réduire la morbidité et la mortalité des maladies évitables par la vaccination. A la fin de l année 2008, le taux de couverture vaccinale nationale en DTC-HepB3 est de 84,0 % (l objectif national est 86 %), de 79,9% pour la rougeole, de 76,3% pour le VAT2+. Le taux de couverture vaccinale d au moins 80% pour tous les antigènes a été atteint dans 73 districts de santé sur 173, soit 42% contre 66% attendu. Au premier semestre 2009, le taux de couverture vaccinale de la population pour les antigènes est déjà supérieur à 60%. Ressources humaines On note par rapport aux normes de l OMS, que la couverture de la population en personnel médical ne cesse de se dégrader en dépit des efforts de recrutement déployés par le gouvernement avec l appui de ses partenaires (Fonds PPTE, C2D, etc.). Le ratio professionnel de santé/population est de 0,63 pour 1000 habitants au Cameroun contre 2,3 (norme internationale). Suite à l analyse de la situation des ressources humaines, même si l on note des améliorations en termes de traitement des personnels des différents corps de la santé (attribution d un statut particulier, revalorisation des salaires, démarrage du SIGIPES santé ), la plupart des problèmes identifiés en 2001 persistent. Des difficultés sont rencontrées avec le départ à la retraite en fin 2008 de près de 900 personnels dont la plupart sont des cadres hautement qualifiés. Toutefois, au premier semestre 2009, 2355 personnels de santé tous grades confondus ont été recrutés sur les 3000 prévus en Dans le cadre de la formalisation du personnel de santé recruté sur fonds PPTE et C2D, le processus d intégration des 600 personnels recrutés en 2004 sur fonds PPTE a débuté en En 2009, cette intégration s est poursuivie sur ceux recrutés en 2007 (1500 sur fonds PPTE et 150 sur C2D). Ressources financières Le Cameroun a bénéficié de financements innovants dans le secteur de la santé suite aux nombreuses initiatives internationales visant l atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement à l horizon Il s agit des financements de l Alliance Mondiale pour la vaccination et l immunisation (Global Alliance for Vaccines and Immunization ou GAVI), du Fonds Mondial de lutte contre le SIDA, la Tuberculose 3
4 et le Paludisme, de la Facilité Internationale de Financement pour la Vaccination, de l UNIT AID, etc. Par ailleurs, l allègement de la dette du Cameroun à travers les mécanismes de l initiative PPTE a apporté des ressources additionnelles au secteur (C2D, PPTE, IADM). Le processus de décentralisation offre une nouvelle opportunité de financement du secteur santé par les collectivités territoriales décentralisées. Dès lors, le SWAP est apparu comme un instrument clé d optimisation de l utilisation des ressources allouées à la santé pour la mise en œuvre de la stratégie sectorielle de santé. Par ailleurs, la mise en œuvre de la SSS entre 2001 et 2006 a favorisé le lancement du processus de couverture du risque maladie à travers les mutuelles de santé. Celles-ci participent de la promotion des mécanismes alternatifs de financement de la santé. En 2006, 120 mutuelles de santé couvrant ménages ont été mises sur pied. De même, le gouvernement est en train de peaufiner l approche nationale de l assurance maladie. Quant aux dépenses totales en santé, elles représentaient 5,2%, 4,9% et 5,2% du PIB en 1996, 2001 et 2005 respectivement. Globalement, la part du budget national alloué au Ministère de la Publique a évolué en dents de scie entre 2001 et Elle demeure largement en dessous des 15% préconisés par les chefs d Etat africains à Abuja en Au cours de la même période, le taux d exécution du budget alloué à la santé a régressé (65,6% en 2006 contre 82,2% de moyenne nationale). Offre des services de soins L accessibilité physique aux soins de santé demeure insuffisante malgré des grands efforts de création, de construction/équipement des formations sanitaires et l existence désormais d un document de stratégie nationale de technologie de la santé. Ceci est dû notamment à une inégalité de leur répartition, elle-même conséquente à l inexistence d une carte sanitaire nationale, à la vétusté de la plupart des infrastructures et équipements et à l insuffisance de leur maintenance. Les investissements effectués ont permis une amélioration du capital physique du secteur santé entre 2001 et Sur l ensemble des Centres de fonctionnels des sous-secteurs public et privé à but non lucratif, 79 % sont du public, 21% sont privés à but non lucratif. Quant aux hôpitaux toutes catégories confondues, 65% sont du public et 35% du privé à but non lucratif. Il est à noter que ces résultats ne prennent pas en compte les formations sanitaires des ministères apparentés prestataires des soins de santé. Le sous/secteur privé à but lucratif a connu depuis 2002 une augmentation significative du nombre des pharmacies d officines privées, marquant la volonté du gouvernement d améliorer l accès des populations aux médicaments de qualité. De nombreuses structures de soins dénommées GIC santé et plusieurs cabinets de soins ont malheureusement vu le jour sans obtention préalable d un agrément du MINSANTE, échappant ainsi à son contrôle. 2. METHODOLOGIE La méthodologie de compilation de ce chapitre a consisté à procéder à : (1) Une recherche documentaire Le Ministère de la Publique a mis à la disposition de l équipe de collecte certains documents relatifs aux thèmes sus-évoqués. Il s agit notamment des rapports d activités et publications issus des Programmes et Directions du MINSANTE (PEV, PNLP, CNLS, DLM, ST/CP-SSS, DEP ). D autres documents utilisés sont issus des études réalisées par l Institut National de la Statistique tels que l Enquête sur le suivi des dépenses publiques et la satisfaction des bénéficiaires dans les secteurs de l éducation et de la santé et l Enquête par grappes à indicateurs multiples. (2) Une exploitation des informations des sources administratives. 3. SOURCES DE DOCUMENTATION Le rapport 2009 de l observatoire national des Ressources Humaines Sanitaires (RHS) : «Cameroun : profil Pays des RHS» ; 4
5 «Enquête sur le suivi des dépenses publiques et la satisfaction des bénéficiaires dans les secteurs de l éducation et de la santé volet santé,»ins,- mai 2004 ; «Enquête par grappes à indicateurs mulptiples» INS (2006) ; «Rapport final OMD» INS (2008) ; «Stratégie sectorielle du Ministère de la Publique ; «la carte sanitaire 1999» Ministère de la Publique ; Ces différents rapports sont issus des études menées soient par les experts du Ministère de la Publique soit par l Institut National de la Statistique. 5
6 Insti tut Nation al de la Statistique Annn uaire Statistique du Cameroun GRAPHIQUES Graphique 7. 1 : Prévalencee du VIH chez les adultes de ans ,3 4,5 6,9 4,7 8,6 2 5,6 1,7 8,,7 4,7 6,5 8 5,5 Source : OMD (2008) Graphique 7. 2 : Evolution du VIH-SIDA dans la population sexuellement active au Cameroun (15-49 ans) Taux de prévalence ,4 2 0, ,2 5, , , Années Source : INS, EDS (2004), OMD (2008) 6
7 Insti tut Nation al de la Statistique Annn uaire Statistique du Cameroun 2010 Graphique 7. 3 : Pourcentage de femmes ayant reçu des soins effectués par un personnel de santé qualifié par région Pourcentage Yaoundé Douala Adamaoua Centre Est Extrême Nord Littoral Nord Nord Ouest Ouest Sud Sud Ouest Cameroun Source : INS/MICSS 3 (2006) Graphique 7. 4 : Mortalité néonatale, infantile, et juvénile selon le niveau d instruction de la mère Source : INS/MICSS 3 (2006) 7
8 Insti tut Nation al de la Statistique Annn uaire Statistique du Cameroun 2010 Graphique 7. 5 : Répartition des enfants de 0-59 mois souffrant d une insuffisance pondérale modérée par région, milieu de résidencee (en%) Pourcentage ,736,4,119,119,1 5 6,,4 8,8 9,6 10,1 12,114,318, 25,6 11,2 19,3 Yaoundé Douala Adamaoua Centre Est Extrême Nord Littoral Nord Nord Ouest Ouest Sud Sud Ouest Urbain Rural Cameroun Source : INS/MICSS 3 (2006) 8
9 5. TABLEAUX Tableau 7. 1 : Répartition du personnel de santé selon la profession Professions Publi c Publi c Privé (OCAS C) Publi c OCAS C Privé FALC CEPC A TOTA L Médecins Médecins-spécialistes Chirurgiens-dentistes Pharmaciens Administrateurs de la Publique Infirmiers Techniciens médico-sanitaires Génie-Sanitaire Techniciens-Biomédicaux Contractuels Décisionnaires Autres Aides-Soignants Sages-femmes-diplômées-d'Etat Assistantes-accoucheuses Laborantins Assistants-Laborantins Assistant-/Médical Autres-Techniciens-de-santé- (TSSI) Personnel-de-pharmacie Personnel-de-Radiologie Autres-personnels-de-salle TOTAL Source : SIGIPES-MINSANTE (2009) 9
10 Tableau 7. 2 : Evolution de la couverture vaccinale au Cameroun de 2005 au 1 er semestre 2009 (%) Antigènes (1 er semestre) BCG 86,9 85,0 81,4 86,2 75,5 DTC3* 79,3 80,6 82,5 84,0 72,8 POLIO 3 79,3 78,2 81,3 81,9 70,8 VAR 68,3 72,5 73,8 79,9 67,9 VAT2+ 60,2 62,2 67,0 76,3 60,4 VAA 68,3 72,2 73,5 77,3 66,2 Source : MINSANTE N.B. : VAR = rougeole, VAT2+ = antitétanique pour femmes enceintes, DTC3* = DTC+ HepBantigène de référence VAA = fièvre jaune Tableau 7. 3 : Proportion d accouchements assistés par le personnel de santé qualifié Région Yaoundé 94,2 96,5 Douala 97,1 93,6 Adamaoua ,9 Centre 74,2 71,9 Est 47,7 27,5 Extrême-Nord 26,5 19,4 Littoral 93,8 92,1 Nord 22,3 29,3 Nord-Ouest 87,5 79,7 Ouest 93,3 94,7 Sud 70,6 57,9 Sud-Ouest 77,8 69,6 Cameroun 61,8 58,9 Source : INS/ESD3 (2004) & MICS (2006) 10
11 Tableau 7. 4 : Taux de prévalence du paludisme Région Adamaoua 44,7 11,0 Centre 37,3 // Est 35,0 4,0 Extrême-Nord 36,4 11,0 Littoral 50,0 21,0 Nord 35,5 6,0 Nord-Ouest 44,3 20,0 Ouest 44,5 28,0 Sud 31,0 21,0 Sud-Ouest 41,6 15,0 Ensemble 40,0 15,0 Source : INS/ESD3 (2004) & MICS (2006) Tableau 7. 5 : Taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans Nombre d'années précédant l'enquête Mortalité néonatale (NN) Mortalité postnéonatale (PNN) 1 Mortalité infantile (1q0) Mortalité juvénile (4q1) Mortalité infantojuvenile (5q0) ,0 74,0 75,0 144, ,0 89,0 69,0 152, ,0 80,0 58,0 133,0 Source : MINSANTE NB : Quotient de mortalité néonatale, infantile, juvénile et infanto-juvénile par période de cinq ans précédant l'enquête, Cameroun Calculé par différence entre les taux de mortalité infantile et néonatale. 11
12 Tableau 7. 6 : Prévalence du VIH parmi les jeunes de 15 à 24 ans selon certaines caractéristiques sociodémographiques Caractéristiques démographiques Femmes Hommes Ensemble Âge ,2 0,6 1, ,6 0,5 1, ,8 2, ,9 2,5 5, ,7 2,7 4, ,8 2,2 7,4 Milieu de résidence Yaoundé/Douala 5,6 2,3 4,0 Autres villes 5,8 0,9 3,4 Ensemble urbain 5,7 1,4 3,6 Rural 3,5 1,5 2,6 Etat matrimonial Célibataire 3 1,3 2,0 En union 5,9 1,0 5,0 Divorcé/Séparé/Veuf/ND 11,4 4,1 7,5 Source : MINSANTE 12
13 Tableau 7. 7 : Capital physique pour l offre des services et soins entre 2001 et 2009 Catégories de Formations Sanitaires Nombre de structures crées en 2001 Nombre de structures crées en 2007 Nombre de structures fonctionnelles en 2009 Hôpitaux de 1 ère catégorie Hôpitaux de 2 ème catégorie Hôpitaux Régionaux et Assimilés Services de de District Hôpitaux de District Centres d Arrondissement Médicaux / Centres de Intégrés Centres de Privés à but non lucratif / Cabinets de soins / / / Hôpitaux Privés à but non lucratif / TOTAL Source : MINSANTE/DOSTS Tableau 7. 8 : Situation des allocations et exécution du budget de 2005 à 2009 (en milliards de FCFA) Année Evolution du budget alloué National MINSANTE % budget national Evolution du budget exécuté National MINSANTE % budget national Taux d exécution du budget (%) National MINSANTE ,9 85,6 4, ,1 51,5 3,5 84,7 60, ,0 84,3 4, ,8 55,3 3,6 82,2 65, ,0 105,3 4, ,0 95,5 3, ,5 72,2 3,5 82,8 75, ,4 113,3 4, Source : Lois des finances , Rapport d exécution physico-financière du BIP 1 Fonctionnels = présence de ressources humaines et matérielles (sans respect de toutes les normes) 13
14 Tableau 7. 9 : Répartition du personnel de santé par région CORPS ADAMAOUA CENTRE EST EXTREME- NORD LITTORAL NORD NORD- OUEST OUEST SUD SUD-OUEST TOTAL Médecins Chirurgiens-dentistes Pharmaciens Administrateurs de la Publique Infirmiers Techniciens Sanitaires Génie-Sanitaire Médico- Techniciens- Biomédicaux Contractuels Décisionnaires Autres Total Ratio Infirmiers pop (pour ) Ratio Médecins pop (pour ) 3,2 6,4 6,0 1,7 3,8 2,5 3,3 6,4 5,4 3,1 4,0 0,4 2,2 0,7 0,2 0,6 0,2 0,2 0,5 0,9 0,3 0,7 Source : MINSANTE/DOSTS & RGPH (2010). 14
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