La Charte des consultants Janvier 2007

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1 La Charte des consultants Janvier 2007 LUCIE : La Charte des consultants v1-janvier 2007 pages 1/13

2 Table des matières Procédure d'adhésion...2 Le rôle du parrain...4 Règlement de la cotisation...5 Nombre de voix lors des votes en assemblée générale et CA...6 Les affaires dans l'association : une histoire de transparence...7 Outils de communication au sein de LUCIE...8 LUCIE : La Charte des consultants v1-janvier 2007 pages 2/13

3 Préambule Les métiers du conseil ne font l objet d aucune réglementation. L accès est libre, aucun diplôme, formation ou accréditation ne sont exigés. Dans la majorité des cas, le consultant est tenu à une obligation de moyens et non de résultats. Les grands cabinets de conseil ont défini des règles techniques, ont des certifications ou des labels de qualité, et chacun de leurs collaborateurs est tenu d appliquer la norme. Les consultants indépendants et les cabinets de petites tailles ont des pratiques qui ne sont encadrées ni par la loi, ni par des règles professionnelles. Si dans la plupart des cas les pratiques professionnelles sont saines, chacun sait que des dérèglements existent et viennent affecter la confiance des entreprises et des institutions envers le secteur. Ceci est particulièrement vrai pour les PME : selon une étude récente de la CCIP, seules 40% de celles-ci ont déjà eu recours à des prestations de conseil et seulement 15% régulièrement. Ces manquements peuvent également troubler le jeu de la concurrence et perturber les relations que les consultants ont entre eux. Fort de ces constats, LUCIE, notre groupement de consultants indépendants a décidé de créer une association qui se donne 3 objectifs fondamentaux : Développer une reconnaissance et une visibilité du métier de consultant indépendant, auprès des entreprises et des institutionnels. Créer et promouvoir des règles de déontologie propres au métier de consultant indépendant. Favoriser les relations et les échanges entre les consultants indépendants. Il est important de préciser que l association ne se donne pas pour objectif de prospecter et d apporter des affaires à ses adhérents. Une procédure particulière a été prévue au cas où l association serait contactée directement par un organisme avec une demande précise d intervention (voir document «les affaires dans l association») L association a décidé de mettre en place une charte de bonne pratique qui a pour but de clarifier : Les valeurs communes. Les règles et l éthique professionnelles Les activités de ses adhérents. Cette charte est un premier ciment qui permettra dans l avenir d aller plus loin (logo, charte graphique, emblème, labellisation etc.). Les consultants adhérents s engagent à respecter cette charte, à toujours chercher à en améliorer le contenu et la forme, et à chaque fois que cela est possible, à la diffuser auprès des acteurs de notre environnement (chambres consulaires, syndicats professionnels, clients ). LUCIE : La Charte des consultants v1-janvier 2007 pages 3/13

4 LUCIE : La Charte des consultants v1-janvier 2007 pages 4/13

5 Table des matières de la Charte La Charte La clarification des activités : une bonne visibilité Compétences et professionnalisme Demande de prestations/offre de prestations Réalisation des prestations : confidentialité, devoirs et indépendance Loyauté et éthique L'apport d'affaire la position de l'association...13 LUCIE : La Charte des consultants v1-janvier 2007 pages 5/13

6 1. La clarification des activités : une bonne visibilité. L'identification et le repérage des domaines d excellence respectifs répond à 3 objectifs fondamentaux : Donner à l'association une image de sérieux et de professionnalisme vis-à-vis des acteurs de l'environnement (clients, prospects, institutions, etc.). Editer un annuaire fiable qui puisse être consulté par ces acteurs économiques afin de trouver les consultants dont ils pourraient avoir besoin. L annuaire sera diffusé notamment par le biais du site internet. Permettre au réseau de travailler sur des principes de concurrence saine et à chaque adhérent de mieux s'orienter lors d'une recherche de partenaire ou lors d'une demande d'assistance. Les adhérents s'engagent donc à définir avec précision le métier qu'ils exercent en tant que consultant. Ils préciseront notamment au maximum deux domaines d'excellence (les savoirs et les pratiques) selon une grille interne évolutive de compétences réalisée chaque année (reste à construire par un groupe de travail) par l association et qui comprendra également : les cibles de clientèle les zones géographiques d'action et tout autre renseignement les rendant plus repérables. L'association n'a ni la volonté, ni la capacité, ni la compétence pour organiser un contrôle des informations retranscrites. Cependant, il est de l'intérêt de chacun que ces informations soient les plus sincères possibles. LUCIE : La Charte des consultants v1-janvier 2007 pages 6/13

7 2. Compétences et professionnalisme Le consultant adhérent ayant défini ses domaines d'excellence, s'engage à maintenir son niveau professionnel tout au long de son activité et ne pourra les modifier qu'une fois par an. Dans le cadre des prestations qu'il réalise, le consultant adhérent s'engage à mettre en oeuvre les compétences nécessaires à l'exécution de ses missions. D'une manière plus précise, il s'engage à : Analyser la demande du prospect ou du client. Vérifier l'état des compétences nécessaires pour traiter la demande. Mettre en relation les compétences nécessaires et ses propres compétences. Identifier ses lacunes. Combler ses lacunes, soit par la formation, soit par la recherche, soit en faisant appel à des connaissances externes (autres intervenants dans ou hors de l'association). Cette démarche permet au consultant adhérent d'élargir ses domaines et à l'association d'être reconnue et de justifier le discours de professionnalisme. En contrepartie, l'association aide le consultant adhérent à parfaire son professionnalisme par l'échange de connaissances et la mise en réseau. LUCIE : La Charte des consultants v1-janvier 2007 pages 7/13

8 3. Demande de prestations/offre de prestations Le consultant adhérent s'engage à prendre contact avec tout client ou prospect qui fait une demande de prestation, soit pour enclencher une offre de prestation (voir paragraphe suivant), soit pour transférer cette demande vers d'autres consultants, soit pour rejeter cette demande. Le consultant adhérent s'engage à ne jamais laisser un client ou un prospect sans réponse. L'offre de prestation, quelle que soit son origine (réponse à une demande spontanée ou prospection) se réalise comme suit : La prestation pour le client ou le prospect s'inscrit dans le cadre des compétences du consultant adhérent. Le consultant adhérent s'assure de la qualité de la demande du client ou du prospect. Si nécessaire, il reformule la demande. A l'issue de cette reformulation, le consultant adhérent, dans le cadre de son devoir de conseil, peut proposer au client ou au prospect des modifications, des ajouts, des suppressions, dans l'intérêt du client. En cas de reformulation, le consultant adhérent s'assure, une fois de plus, de la bonne compréhension du client ou du prospect. Ce travail étant réalisé, le consultant adhérent fait l'offre de prestation qui engage le consultant adhérent à réaliser la prestation (obligation de moyens ou engagement de résultats). L'offre doit contenir au moins les éléments suivants : la problématique traitée, le contenu de l'offre, la méthodes proposée, le délai de réalisation et le montant des honoraires. Cette offre est écrite. Toute offre de prestation s'inscrit dans le cadre de la réglementation en vigueur. En utilisant ces règles, le consultant adhérent renforce la qualité de sa prestation, il développe sa propre image, celle de la profession et celle de l'association. En contrepartie, l'association lui propose de l'aider dans la réalisation de ses offres de prestation (formation ou assistance personnalisée). LUCIE : La Charte des consultants v1-janvier 2007 pages 8/13

9 4. Réalisation des prestations : confidentialité, devoirs et indépendance Confidentialité Le consultant adhérent garantit à son client la totale confidentialité des informations dont il est amené à avoir connaissance. Il doit mettre en oeuvre tous les moyens appropriés pour garantir cette confidentialité. Le consultant adhérent s'engage à réaliser les missions confiées en toute indépendance, l'honnêteté intellectuelle étant sa règle de conduite dans les relations avec ses clients. Indépendance Le consultant exercera en toute indépendance. Cela signifie qu'il s'engage à : avoir pour seuls revenus liés à cette prestation, ceux du client : pas de revenus liés aux prestataires complémentaires à la réalisation de la mission agir indépendamment de tout intérêt particulier ou commercial de nature à influer sur l'intervention, ou dans le cas contraire, en informer son client. se réserver la possibilité de mettre un terme à la mission en cas de désaccord avec le client. Devoir de conseil Le consultant a une obligation de moyens avérés et il ne peut ni proposer ni accepter l'obligation de résultats. Mais il y a entre les deux le DEVOIR DE CONSEIL. Le DEVOIR DE CONSEIL, c'est une obligation que le consultant doit consentir. Le DEVOIR DE CONSEIL, c'est conseiller le client au delà de la mission pour laquelle le consultant est rémunéré. De part sa position, le consultant voit, entrevoit, surprend, s'étonne, de situations, d'anomalies, de dysfonctionnements qui peuvent être hors mission. Sa capacité, son sens (voire sa sensualité), son métier l'exerce à identifier ces éléments. Il est de son DEVOIR qu'après une phase de validation, après la consolidation de son "intime conviction", il puisse alerter son client et peut être lui proposer des pistes. ATTENTION : Le DEVOIR DE CONSEIL n'est pas une technique pour élargir le champ de la mission (problème d'éthique professionnelle) mais une prise totale de responsabilité et peut être des missions pour d'autres consultants. Le DEVOIR DE CONSEIL suppose de la clarté, de la lucidité, une maîtrise de ses compétences (de son territoire), de la diplomatie, autant de qualités qui sont les qualités du consultant. LUCIE : La Charte des consultants v1-janvier 2007 pages 9/13

10 L obligation de moyens et l engagement de résultats Dans les métiers du conseil, il est généralement acquis par la jurisprudence et la pratique que les consultants sont soumis à une obligation de moyens et non une obligation de résultats pour deux raisons principales : L atteinte d un objectif visé par une intervention ne dépend pas d ordinaire que du seul consultant mais également d autres facteurs liés à son client. Toutes les interventions ne conduisent pas à des résultats objectivement observables et mesurables, particulièrement à court terme. Cependant les adhérents de l association n ont pas pour vocation de s en tenir à un rôle d expert et de conseiller distancié, mais au contraire d accompagner le client dans la mise en oeuvre des recommandations prescrites. Cet «engagement de résultats» ne constitue pas une obligation contractuelle avec le client mais représente une démarche volontariste et un gage de sérieux et de professionnalisme. LUCIE : La Charte des consultants v1-janvier 2007 pages 10/13

11 5. Loyauté et éthique Vis-à-vis du client : le consultant adhérent s'engage à une relation d'absolue loyauté. Les travaux qu'il réalise sont la propriété du client sauf accord express de celui-ci. Le consultant adhérent s'engage à informer son client s'il est amené à offrir simultanément des prestations aux concurrents de son client. Vis-à-vis de ses propres concurrents : le consultant adhérent s'engage à des pratiques saines et loyales fondées sur le respect dû aux professionnels de ce métier. Vis-à-vis des autres adhérents de l'association : il s'engage à ne calomnier ni à ne médire sur aucun confrère. Dans le cadre d'opérations dans lesquelles le consultant adhérent pourrait être sous-traitant d'un autre adhérent, il s'engage à ne pas détourner à son profit la clientèle avec laquelle il aurait été mis en relation. Vis-à-vis de l'association : le consultant adhérent s'engage à apporter une aide aux autres adhérents dans la mesure de sa disponibilité, de ses compétences et à condition que cette aide ne gêne ni sa propre stratégie ni sa propre action. Il s'engage également à apporter une aide à l'association elle-même dans les mêmes conditions que ci-dessus,et à ne pas la critiquer publiquement. LUCIE : La Charte des consultants v1-janvier 2007 pages 11/13

12 6. L'apport d'affaire la position de l'association Afin de garantir une totale indépendance dans son intervention, le consultant adhérent s'engage à refuser toute rémunération au titre d'apport d'affaire. Qu'est-ce-qu'une rémunération au titre d'apport d'affaire? C'est une rémunération provenant d'un prestataire complémentaire versée au consultant pour le «remercier» de lui avoir «apporté» son client. Cette pratique est dangereuse car elle peut conduire un consultant à recommander à son client des prestataires en fonction de son avantage financier propre plutôt qu'en fonction de l'intérêt du client et des compétences particulières de tel ou tel prestataire. Attention cependant! Il ne faut pas confondre apport d'affaire avec sous-traitance. Dans le cadre d'une mission, le consultant adhérent peut en effet être amené à soustraiter une partie de sa mission à un ou plusieurs prestataires complémentaires. Ce cas de figure est tout à fait compatible avec l'éthique de l'association dans la mesure où le consultant agit en toute transparence, c'est à dire en informant son client dans la proposition. Ainsi, à l'inverse de l'apport d'affaire, en cas de sous-traitance, la seule source de rémunération du consultant reste celle du client. Aux yeux du client, le consultant reste le seul responsable de la mission. A lui LE DEVOIR DE GARANTIR LA BONNE RÉALISATION DES PRESTATIONS dans les temps impartis et d'attribuer au(x) soustraitant(s) une juste rémunération. Il n'y a aucune relation commerciale et juridique entre le client et le sous-traitant, à la différence de l'apport d'affaire où le prestataire complémentaire facture directement au client. Illustration visuelle des différences entre apport d'affaire et sous-traitance Illustration de l'apport d'affaire Illustration de la sous-traitance LUCIE : La Charte des consultants v1-janvier 2007 pages 12/13

13 Table des matières de la Charte La Charte La clarification des activités : une bonne visibilité Compétences et professionnalisme Demande de prestations/offre de prestations Réalisation des prestations : confidentialité, devoirs et indépendance Loyauté et éthique L'apport d'affaire la position de l'association...13 LUCIE : La Charte des consultants v1-janvier 2007 pages 13/13

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