PROJET D ETABLISSEMENT

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1 PROJET D ETABLISSEMENT

2 SOMMAIRE 1 ère Partie : La Clinique Sainte-Marie et son environnement A/ La Clinique Sainte-Marie I. Le SROS III et le contrat pluriannuel d objectifs et de moyens II. III. IV. 1. Le SROS et les données démographiques 2. Le Contrat pluriannuel d Objectifs et de Moyens (CPOM) 3. Zone d attractivité et taux de fuite La CME Direction, Encadrement et les Vigilances L équipe médicale V. Le CROM VI. VII. L Imagerie Médicale Les futures extensions architecturales du site : chirurgie ambulatoire, service des urgences, la réanimation médico-chirurgicale, la médecine B/ Le Pôle de Santé d Osny I. La composition de ce pôle II. Les synergies III. La Maison Médicale Sainte-Marie 1. Les spécialités 2. Les synergies avec la clinique 2ème Partie : Le Projet Médical A/ Les 4 thèmes transversaux I. L information délivrée aux patients II. L informatisation du dossier patient III. La communication grâce à l outil internet IV. Accueil et formation des internes à la clinique B/ Les projets des différentes spécialités I. La chirurgie 1. La chirurgie viscérale 2. La chirurgie orthopédique 3. La chirurgie urologique et gynécologique 4. La chirurgie vasculaire 2

3 5. La chirurgie gynécologique 6. La chirurgie plastique et réparatrice 7. L anesthésie II. L oncologie- La radiothérapie III. La radiologie IV. Les urgences V. La réanimation chirurgicale VI. La gériatrie VII. La médecine polyvalente VIII. L ophtalmologie, l ORL, la stomatologie IX. La gastro-entérologie X. La cardiologie XI. La pneumologie XII. La neurologie XIII. Laboratoire de biologie XIV. Laboratoire d anatomie pathologie XV. La pharmacie 3ème Partie : Le Projet de création d un service de réanimation médicochirurgicale A/ Auteur du projet B/ Présentation de la Clinique Sainte-Marie C/ Motivation de l installation envisagée D/ Organisation de l unité de réanimation 4ème Partie : Le Projet de coopération inter-hospitalière A/ Développer le lien «Ville-Clinique» B/ Les missions de service public de Sainte-Marie C/ Le Projet Médical de Territoire D/ L Hôpital de Pontoise : l acte fondateur I. Matériels II. Médecine III. Chirurgie 3

4 IV. Urgences V. Patients du secteur géographique VI. Réanimation/Surveillance continue E/ Le réseau ONOF F/Les autres établissements du territoire de santé G/ Les conventions inter-hospitalières 5ème Partie : Le Projet du Soins Infirmiers A/ Rappel l existant B/ Projet 2010/2014 I. Personnaliser les soins du patient 1. Travail sur le respect du patient 1.1 Droits et obligations du patient 2. Travail sur la notion d accueil du patient 3. Travail sur la notion d implication du patient dans son séjour 3.1 Le patient est reconnu comme acteur de son hospitalisation II. Prise en charge de la douleur physique et morale 1. Prise en charge de la douleur physique 2. Prise en charge de la douleur morale III. IV. Outils d organisation des soins 1. Informatisation du dossier patient La qualité des soins 1. Manager par la qualité 2. Evaluation de la qualité des soins V. Consultation d annonce VI. 1. Le patient bénéficie d une consultation d annonce en toute circonstance Participer à la formation des futurs professionnels et favoriser l intégration des nouveaux arrivants 1. Participer à la formation des futurs professionnels 2. Favoriser l intégration des nouveaux arrivants et développer les compétences quelque soit le secteur d activité 4

5 VII Hygiène 1. Prévention et contrôle du risque infectieux 2. Volet Hygiène hospitalière et prévention des infections associées aux soins (IAS) 6ème partie : La Démarche Continue d Amélioration de la Qualité A/ Dépasser la culture de la faute pour développer une culture de sécurité B/ Mesurer la qualité par l instauration d indicateurs C/ La Certification V2010 D/ L accréditation des praticiens E/ La communication 7ème Partie : Le Projet Social A/ L amélioration continue des conditions de travail B/ La formation professionnelle continue C/ L entretien annuel individuel D/ Les créations de postes envisagées pour les séniors et les personnes handicapées E/ La politique globale du personnel I. Accompagner le plan épargne entreprise II. III. IV. La prime d assiduité Les autres sources de rémunération Augmentation minimum chaque année F/ L accueil des nouveaux arrivants et étudiants G/ Associer les représentants du personnel et le personnel dans les décisions stratégiques 8ème Partie : Le Projet du Système d Information A/ Le dossier informatisé du patient Plan Hôpital 2012 B/ Les échanges de données avec les autres établissement de santé et les médecins de ville C/ Archivage informatique des toutes les informations du patient D/ Le Département d Information Médicale 5

6 9ème Partie : La Politique Hôtelière et le Séjour du Patient A/ L Hôtellerie B/ L Accueil Le Livret d accueil C/ L Atelier Bergamote 1. Atelier Bergamote 2. Lire en Fête 3. Expositions pour les patients et les visiteurs (exemple atelier dentelle) 4. Marché de Noël 5. Création d un atelier «Jeux» 6. Autres occupations du temps libre des patients D/ Développer le multimédia au lit des patients 10ème Partie : Le Projet de Développement Durable à la clinique A/ Maîtriser ses consommations de ressources et d énergies ainsi que ses rejets B/ Optimiser la gestion de déchets C/ Politique d achat D/ La communication, élément moteur de cette démarche 11ème Partie : le Projet de Gestion Financière A/ Les Investissements B/ Exploitation 12ème Partie : La Prise en Charge des Patients Etrangers (projet BARBARA) Conclusion 6

7 1 ÈRE ÈRE PARTIE : LA CLINIQUE SAINTE-MARIE ET SON ENVIRONNEMENT 7

8 A/ LA CLINIQUE SAINTE-MARIE La Clinique Sainte-Marie est une société anonyme avec un capital de euros composé de actions. La totalité de l actionnariat est détenu par des praticiens intervenant dans l établissement. La Clinique Sainte-Marie dispose jusqu en 2012 des autorisations d OQOS (Objectifs Quantifiés d Offres de Soins) compris entre et séjours, hors séances de chimiothérapie ambulatoire et service d urgences. Il est acté avec les tutelles dans le CPOM que «la fixation des OQOS en chirurgie et en médecine ne prend pas en compte les évolutions majeures (août 2005 : transfert agrandissement du nombre de lits et ouverture du service d Urgences), l établissement estimant que son activité se situera autour de séjours en Chirurgie et séjours en Médecine». Par ailleurs, la Clinique dispose de 180 lits et places installés répartis ainsi : Chirurgie : Hospitalisation complète 95 lits (dont 10 lits de surveillance continue) Ambulatoire : 38 places Médecine : Hospitalisation complète 35 lits dont 21 lits de médecine cancérologique (dont 12 lits de soins palliatifs) Ambulatoire : 12 fauteuils (chimiothérapie) Un service d urgences ayant accueilli plus de passages en La Clinique Sainte-Marie dispose de 12 lits de soins palliatifs reconnus et autorisés. Notre établissement a obtenu en mars 2009 la reconnaissance de 10 lits de surveillance continue. Enfin dans le cadre de la cancérologie, la Clinique dispose depuis juillet 2009 des autorisations en médecine oncologique, chimiothérapie ambulatoire, curiethérapie bas débit. Pour la chirurgie, nous avons les autorisations soumises à seuil pour la chirurgie carcinologique digestive, urologique, ORL et cancer du sein. Le nombre de patients accueillis en 2008 est de répartis ainsi : Chirurgie : Hospitalisation complète : 5 584, Ambulatoire : (y compris endoscopie) Médecine : Hospitalisation complète : 1 064, Chimiothérapie ambulatoire : Urgences : ATU, 398 lits-portes. Nos patients proviennent à 79% du Val d Oise, 9% des autres départements de l Ile-de-France et 11% de l Eure (27) et de l Oise (60). Le plateau technique à la Clinique Sainte-Marie se compose de 11 salles de bloc opératoire dont 2 salles dédiées à l endoscopie. 8

9 Notre établissement a également sur son site un laboratoire d analyses biologiques fonctionnant 24h/24, un laboratoire d anatomopathologie, un service d imagerie (avec scanner et 2 IRM autorisés) fonctionnant 24h/24, le Centre de Radiothérapie et d Oncologie Médicale (CROM) qui dispose de 3 accélérateurs de particules. Une unité de reconstitution centralisée des cytotoxiques, dépendante de la PUI, est attenante au service de chimiothérapie (autorisation de la DRASS de juillet 2005). Il y a 112 praticiens qui interviennent dans notre établissement et le personnel salarié représente 212 ETP. Le CROM, la SELARL «Imagerie Médicale», structures indépendantes, les salariés des chirurgiens, représentent 90 ETP environ en personnel. Le nombre de personnes physiques qui interviennent sur notre site pour la prise en charge des patients est proche de 500 personnes. La Clinique Sainte-Marie a toujours veillé à la prise en charge des patients en difficulté sociale qui ont toujours été acceptés en soins. Pour les personnes victimes de précarité, les services d urgences et d hospitalisation sont disponibles pour leur prise en charge médicale. Les patients ayant une couverture sociale précaire, ou bénéficiant de la CMU ou du RSA sont acceptés à la Clinique Sainte-Marie et ceci constitue un principe fondamental de l éthique et de la politique de notre établissement. Par ailleurs, l assistante sociale de la clinique est à la disposition des patients n ayant pas de couverture sociale pour résoudre avec eux leurs difficultés administratives et les accompagner dans leurs démarches. Enfin, aucun dépassement d honoraires n est pratiqué pour les patients en situation de précarité sociale (CMU, RSA, urgences). Depuis plus de 30 ans, que ce soit avec le CROM dont les locaux sont reliés à notre établissement, le savoir-faire des spécialités chirurgicales carcinologiques de notre établissement (Digestives, Urologiques, Cancer du sein, Orthopédiques, Gynécologiques, ORL et maxillo-faciale, autres chirurgies des cancers (os et tissus mous par exemple), etc ), concourent à la prise en charge optimale des cancers des adultes. La Clinique Sainte-Marie a été reconnue comme site spécialisé en cancérologie avec le Centre Hospitalier René DUBOS de Pontoise et le Centre de Radiothérapie et d Oncologie Médicale (CROM) installé sur les lieux de la clinique. Le site spécialisé s intègre dans le réseau ONOF (Oncologie du Nord Ouest Francilien) créé en mars 2001 et dont la Clinique Sainte-Marie est un des promoteurs. Pour animer et mettre en œuvre ce fonctionnement, la Clinique Sainte-Marie dispose d une équipe médicale et chirurgicale ainsi que d une équipe de Direction, d Encadrement et des cellules consultatives et des vigilances. I. LE S.R.O.S. III ET LE CONTRAT PLURIANNUEL D OBJECTIFS ET DE MOYENS 9

10 1. Le SROS et les données démographiques L Agence Régionale d Hospitalisation d Ile-de-France (ARHIF) a élaboré le Schéma Régional d Organisation Sanitaire de 3 ème génération (SROS III) et publié en mars Les activités réglementaires dans le schéma régional sont au nombre de 16 et sont les suivantes : - Médecine - Chirurgie - Périnatalité - Soins de Suite, Rééducation et réadaptation fonctionnelle - Hospitalisation à Domicile - Prise en charge des Urgences et articulation avec la permanence des soins - Réanimation, soins intensifs et soins continus - L imagerie médicale - Les techniques interventionnelles utilisant l imagerie médicale - La prise en charge de l insuffisance rénale chronique - La psychiatrie et la santé mentale - La prise en charge des personnes âgées - La prise en charge des enfants et adolescents - La prise en charge des personnes atteintes du cancer - Les soins palliatifs - La prise en charge des patients cérébro-lésés et traumatisés médullaires. A la lecture de ces 16 thèmes, on s aperçoit que le Pôle de Santé situé à OSNY et le projet d établissement s insèrent dans la plupart des activités réglementaires du SROS. Comme par le passé, la Clinique Sainte-Marie, à travers son projet d établissement, s intégrera dans le prochain SROS IV (validé en 2011), volontairement et en étroite collaboration avec les tutelles. Le découpage de région Ile-de-France précise que la Clinique Sainte-Marie fait partie du territoire de santé Les données démographiques Les besoins de la population sont réels et augmenteront. En effet, le nombre d habitants a fortement augmenté depuis 30 ans (ville nouvelle créée dans les années 1970). 10

11 Le territoire de santé 95-3 avait une population de habitants en Lors du dernier recensement en 2006, habitants font partie du territoire de Santé soit une progression de +6% en 7 ans. La progression à venir sera toujours en augmentation car elle progressera encore de 15% d ici La population est assez jeune car les moins de 75 ans représentent plus de 96% de la population, les moins de 15 ans représentent près de 24%. Les projections à 2020 indiquent des moins de 15 ans représentant 19,8% de la population (en baisse) et les moins de 75 ans seront près de 94%. Tous ces éléments indiquent que la population du territoire de santé va vieillir et donc, qu il y aura une plus forte demande, dans les années à venir, des besoins en soins de la population. L origine géographique des patients hospitalisés à la Clinique Sainte-Marie est la suivante : - Le Val d Oise (95) : 79% - L Oise (60) et l Eure (27): 11% - Autres départements de l Ile-de-France, dont Paris : 9% - Autres départements : 1%. A la lecture de ces données, on peut dire que les patients de la Clinique Sainte-Marie proviennent certes du Val d Oise, mais également de toute la région du Vexin (Oise, Eure). De par ces besoins de la population, De par ses activités de chirurgie, de cancérologie, de traitement des urgences, de surveillance continue, De par son plateau technique performant (Scanner, 2 IRM, 3 Accélérateurs de particules, 11 salles de bloc opératoire), De par les compétences connues et reconnues du Corps Médical, De par la qualité et le nombre de son personnel, La Clinique Sainte-Marie a toute sa place dans le futur SROS IV et en sera un acteur principal. 2. Le Contrat Pluriannuel d Objectifs et de Moyens (CPOM) La Clinique Sainte-Marie a signé le 31 mars 2007 son nouveau Contrat Pluriannuel d Objectifs et de Moyens (CPOM) avec l Agence Régionale d Hospitalisation (ARHIF). En plus du contrat-type, commun à tous les établissements, des annexes spécifiques ont complété le CPOM. Cela concerne la Chirurgie Ambulatoire et les Soins Palliatifs. A part les engagements habituels des établissements de Santé auprès de leur ARH (respect des capacités en séjours, information des patients concernant les tarifs, les documents médicoadministratifs obligatoires, compétence des personnels, etc. ) les autres engagements contractuels entre l A.R.H.I.F. et la Clinique Sainte-Marie sont synthétisés dans les annexes : 11

12 - Annexe 1 : Orientations stratégiques - Annexe 2-1 : Chirurgie - Annexe 2-2 : Médecine d Urgence - Annexe 2-4 : Médecine - Annexe : Curiethérapie - Annexe 2-11 : Traitement du cancer. Cette annexe a été modifiée en juillet 2009 par un avenant suite à la révision du SROS III pour ce volet. - Annexe 2-12 : Soins palliatifs - Annexe 3-1 : Gestion des risques et amélioration de la qualité des soins - Annexe 3-4 : Projet de gestion : Systèmes d information hospitaliers ; - Enfin, en mars 2009, un autre avenant a été signé pour une autorisation de 10 lits de surveillance continue. La clinique s est engagée à suivre, point par point, le contrat signé et à en adresser des synthèses ponctuelles et définitives à l Agence. Le Projet d Etablissement correspond aux objectifs fixés avec l ARH et s intègre dans le cadre du PLAN HOPITAL Zone d attractivité et taux de fuite L Institut Montaigne a réalisé en 2009 une étude sur la zone d attractivité de patients pour chaque établissement de santé du territoire et les taux de fuite des patients hors territoire de Santé. Globalement, notre territoire de santé a une zone d attractivité de 33% de la population des autres territoires et un taux de fuite de 34%. Ce territoire de santé réalise séjours et perd en solde net (attractivité/fuite) séjours. La Clinique Sainte-Marie doit donc dans un premier temps consolider et augmenter sa zone d attractivité en attirant des patients vers sa structure aussi bien par rapport aux autres établissements du territoire qu en diminuant le taux de fuite. a/ Zone d activité Notre établissement représente 14% de tous les soins MCO du territoire de santé. En médecine, la part de marché est de 10% et de 24% en chirurgie. La Clinique Sainte-Marie recrute 30% de ces patients hors territoire (28% en médecine, 32% en chirurgie). Ces taux sont conformes aux autres établissements du territoire de santé. b/ Analyse des parts de marché par activité. Médecine Le taux de fuite est de 32,5% dont 11% vers l APHP. La Clinique Sainte-Marie représente 10% de la part de marché sachant que l Hôpital de Pontoise en représente 42%, le Centre Hospitalier de Beaumont-Méru 7% et la Clinique Conti 5%. 12

13 Le développement de l activité de médecine en 2008 et 2009 a donc probablement dû augmenter la part de marché. L objectif à 5 ans est d avoir une part de marché de 30% grâce au recrutement d un deuxième médecin en Médecine Polyvalente et de recrutement direct auprès des médecins généralistes en plus des patients arrivant via les urgences. Les pistes d activité de développement sont décrites ci-dessous. Il est à noter que la Clinique Sainte-Marie a 30% de l activité du territoire pour le digestif médical. C est l acteur le plus important du territoire de santé car l Hôpital de Pontoise a 21% d activité, la Clinique Conti 14%. La Clinique Sainte-Marie en orthopédie, rhumatologie, médecine ne représente que 6% de cette activité médicale alors que l Hôpital de Pontoise 48%. Cette spécialité doit donc à terme être développée. Pour l urologie, néphrologie médicale, la Clinique Sainte-Marie représente 14% de part de marché et l Hôpital de Pontoise près de 50%. Cette spécialité doit être également développée si nous voulons accroître notre part de marché en médecine. Pour ce qui concerne le vasculaire périphérique, la Clinique Sainte-Marie a 10% de part de marché alors que l Hôpital de Pontoise 46%. Pour les tissus cutanés et sous-cutanés en médecine, la Clinique Sainte-Marie représente 14% des parts de marché et l Hôpital de Pontoise 41%. Ces spécialités doivent être renforcées et développées. Il en est de même et de manière plus importante pour la pneumologie médicale car la Clinique Sainte-Marie ne représente qu à peine 3% de marché. Un deuxième pneumologue doit être vivement recruté. Enfin la gynécologie médicale ne représente que 4% de nos parts de marché, mais l Hôpital Mère Enfant la spécialité de l Hôpital de Pontoise ne nous permet pas d envisager une hausse de cette part de marché de même que pour l hématologie médicale (4% de part de marché pour la Clinique Sainte-Marie). Activité de chirurgie Le taux de fuite est de 39%. Ce taux important doit être diminué dans les 5 ans à venir. A noter que la Clinique Sainte-Marie représente 24% de l activité, l Hôpital de Pontoise 23%, la Clinique Conti 10%, le Centre Hospitalier de Beaumont-Méru 3%. La Clinique Sainte-Marie dans un premier temps doit augmenter sa part de marché sur les établissements du territoire et également en offrant une offre satisfaisante pour les patients quittant notre territoire pour se faire opérer dans un autre établissement. Nous allons donc étudier les différentes spécialités chirurgicales. Digestif chirurgie La Clinique Sainte-Marie a une part de marché de 32%, l Hôpital de Pontoise de 24%. Il est à noter que la Clinique Conti a 11% de part de marché ainsi que le Centre Hospitalier des Portes de l Oise. Le taux de fuite est de 25%. Il est prioritaire de consolider notre leadership dans cette spécialité et d essayer de réduire ce taux de fuite qui est moins important que dans d autres spécialités. L arrivée du troisième chirurgien digestif en mai 2008 pourra peut-être réduire ce taux de fuite et l objectif est de le fixer à 20% d ici 5 ans. Orthopédie chirurgie La Clinique Sainte-Marie a 14% de part de marché alors que le Centre Hospitalier René Dubos en a 22%, la Clinique Conti 10%, la Clinique de Domont 7%. 13

14 Le taux de fuite est de 49%. Ce taux est très élevé et il convient de définir une stratégie avec les chirurgiens orthopédistes pour réduire d ici 5 ans aux alentours de 25%. Chirurgie urologique La Clinique Sainte-Marie est en position de leadership dans cette spécialité avec 40% de part de marché, loin devant l Hôpital de Pontoise (17%) ou la Clinique Conti (10%). Le taux de fuite est de 30%, il y a lieu d essayer de recruter davantage dans ces spécialités avec à terme l arrivée d un troisième chirurgien urologue. Cardiologie chirurgie Il s agit pour la Clinique Sainte-Marie de la pose de PaceMaker. Elle est leader du territoire de santé avec 18% d activité mais avec un taux de fuite de 77%. Ce taux n est pas acceptable, il convient de définir une vraie stratégie pour que le taux de fuite de pose de Pacemaker soit inférieur à 30% d ici 5 ans. L accord cadre est l acte fondateur avec l Hôpital de Pontoise devrait nous aider à réduire ce taux et envisager également le recrutement d un deuxième praticien posant des Pacemakesr. Endocrino-chirurgie Pour cette spécialité la Clinique Sainte-Marie est deuxième en part de marché avec 17%, loin derrière le Centre Hospitalier de Pontoise à 30%. L arrivée d un consultant en endocrinologie dans la Maison Médicale 2009 devrait permettre d augmenter la part de marché de la Clinique Sainte-Marie d autant plus que le taux de fuite est de 43%. ORL chirurgie La Clinique Sainte-Marie est leadership avec 41% de part de marché soit le double de l Hôpital de Pontoise (21%). La Clinique Conti ne représente que 6% d activité. Il est noté que le taux de fuite est de 41%, il est nécessaire là aussi de définir une vraie stratégie pour réduire ce taux de fuite à moins de 30% d ci 5 ans. Les arrivées récentes de deux chirurgiens ORL permettra probablement de capter davantage de patients. Hématologie chirurgie L Hôpital de Pontoise a une part de marché de 32% et la Clinique Sainte-Marie de 15% et la Clinique Conti de 7%. Il y a un taux de fuite important de 45% sur l APHP, l Institut Curie notamment. Il y a lieu de faire modifier les comportements des patients car très souvent la prise en charge de leur cancer en hématologie peut se faire dans les structures du territoire et de la Clinique Sainte-Marie en particulier. Gynécologie chirurgie C est l Hôpital de Pontoise qui est le plus important en terme de part de marché (34%) et la Clinique Sainte-Marie 10%. A noter que la Clinique Conti est juste derrière avec 9%. Le taux de fuite est très important de 47% et nous devons, avec le chirurgien gynécologue recruté en 2007, définir une stratégie pour capter davantage de patients. Ophtalmologie chirurgie 14

15 Le Centre Hospitalier de Pontoise a une part de marché de 24% et la Clinique Sainte-Marie de 20%. Il est à remarquer que la Clinique Conti a une part de marché de 15%. Enfin, le taux de fuite est de 41%. Nos chirurgiens d ophtalmologie se concentrent de plus en plus sur la Clinique Sainte-Marie et la part de marché de l Hôpital de Pontoise devrait diminuer en 2009 et L association d un quatrième chirurgien ophtalmologue avec l équipe actuelle des Docteurs DE LAROUSSILHE, RABALISON et JANKOWSKI devrait permettre d accroître cette part de marché. Il est nécessaire peut être de définir des consultations avancées pour réduire ce taux de fuite. Tissus cutanés et sous-cutanés chirurgie La Clinique Sainte-Marie est en tête avec 32% de part de marché soit le double de l Hôpital de Pontoise (15%) et la Clinique Conti (11%). A noter le taux de fuite important de 38% et des consultations développées sur le site Sainte-Marie, la Maison Médicale voir des consultations avancées devraient permettre de diminuer ce taux de fuite et d augmenter davantage la part de marché de la Clinique Sainte- Marie. Vasculaire périphérique chirurgie La Clinique Sainte-Marie représente 20% de part de marché alors que l Hôpital de Pontoise 40% et la Clinique Conti 8%. L arrivée d un deuxième chirurgien vasculaire va permettre d augmenter notre part de marché notamment auprès de Conti et l Hôpital de Pontoise. A noter que le taux de fuite est de 33% et ce deuxième praticien permettra d élargir la gamme de prise en charge en chirurgie vasculaire. II. LA CME La CME regroupe tous les praticiens intervenant dans la Clinique. Elle s est dotée d un bureau de 10 membres. Le bureau de la CME représente la plupart des spécialités de l établissement. Il est composé de : - Docteur BHAVSAR : Radiologue - Docteur BICHERON : Anesthésiste Réanimateur - Docteur DE ANDOLENKO : Oncologue - Docteur JOHANET : Chirurgien digestif - Docteur LORENCEAU : Chirurgien plasticien - Docteur MARSAULT : Anathomopathologiste - Docteur MOTTIN : Médecine - Docteur MANSOURI : Urgentiste - Docteur FOUSSADIER : Chirurgien plasticien - Docteur TRUCHE : Stomatologue La CME s est fixée comme objectifs prioritaires de : Renforcer l adhésion des praticiens via la CME 15

16 Etendre les compétences de la CME à l ensemble des questions qui engagent les praticiens : projet médical, contrat de bon usage, charte de modération des honoraires, droit d alerte médical III. DIRECTION, ENCADREMENT ET LES VIGILANCES - La Direction Docteur Jean-Pierre FOULON, Président du Conseil d'administration et Directeur Général Docteur Chantal LAUBREAUX, Directeur Général Délégué Monsieur Olivier LE BORGNE, Directeur - Le personnel d encadrement Monsieur Jean-Michel ANDO, Responsable Informatique Madame Emmanuelle ARNOUX : Directrice des Soins Monsieur Philippe BENETEAU : Surveillant des Services de Soins Monsieur Gérard BOUCHESECHE : Surveillant du Bloc Opératoire, de la Salle de Réveil Madame Marie-Hélène CHESNE : Pharmacien Adjoint Madame Erika CONSEL : Assistante Qualité Madame Christine COUPE : Surveillante des Services de Soins Madame Sylvette DECHAUMEL : Surveillante de nuit Monsieur Didier DUBERT : Responsable des Services Techniques Madame Isabelle LACHEVRE : Adjointe du surveillant de bloc Madame Sylvie MAUSSION : Surveillante des Services de Soins Madame Céline OBERT-BRADELLE : Assistante de Direction Madame Véronique RENAULT : Responsable Administrative et Comptable Madame Danièle SMAGHE : Responsables du Service des Ressources Humaines Madame Véronique SETTAT : Surveillante des Services de Soins Madame le Dr Claudine TCHOUANMOU : Pharmacien Gérant - Cellules de vigilance - Président de la Conférence Médicale d'etablissement : Professeur Hubert JOHANET - Président du CLIN : Docteur Etienne HOFFMANN 16

17 - Commission de Relation avec les Usagers et de la Qualité de la prise en charge (CRUQPC) : Docteurs Alain VALLET et Pierre DE ANDOLENKO - Responsable du Comité des Vigilances : Docteur Chantal LAUBREAUX - Correspondant Hémovigilance : Docteur Réza BAREI - Correspondant Matériovigilance : Docteur Philippe PETCHOT - Correspondant Pharmacovigilance : Docteur Claudine TCHOUANMOU - Correspondant Identitovigilance : Erika CONSEL. IV. L EQUIPE MEDICALE Les praticiens actuels intervenant à la Clinique Sainte-Marie sont les suivants : CHIRURGIE GENERALE, VISCERALE, GYNECOLOGIQUE, DIGESTIVE COELIOSCOPIQUE : Dr R. Barei., Dr Berger, Pr. H. Johanet CHIRURGIE ORTHOPEDIQUE ET REPARATRICE : Dr Hoffmann, Dr Katabi, Dr Ph. Petchot. CHIRURGIE UROLOGIQUE ET GYNECOLOGIQUE : Dr S. Elard, Dr J.M. Legraverend. CHIRURGIE VASCULAIRE : Dr J.P. Foulon. LITHOTRITIE EXTRACORPORELLE : Dr S. Elard, Dr J.M. Legraverend. ANESTHESIE ET REANIMATION : Dr D. Bicheron, Dr P. Duchene, Dr D. Girompaire, Dr C. Laubreaux, Dr F. Lefebvre, Dr P. Mercier, Dr C. Oxéda, Dr K. Yakoubian, Dr A. Vallet. ORL : Dr B. Aouli, Dr O.Attaf, Dr H. Bourgi, Dr Beaudru, Dr J. Bourrel, Dr L. Carius, Dr H. Chevallier, Dr A. Goudard, Dr C. Hadjali, Dr M. Lerat- Caron, Dr N. Tlili, Dr S. Néron. OPHTALMOLOGIE : Dr F. De Laroussilhe, Dr O. Jankowski, Dr C. Leroy, Dr Ph. Morizet, Dr J. Rabalison- Rafalimanana. ANGIOGRAPHIE : Dr A. Allieta, Dr F. De Laroussilhe, Dr O. Jankowski, Dr C. Leroy, Dr F. Leroy, Dr J. Rabalison. STOMATOLOGIE : Dr B. Badie-Modiri, Dr S. Jaiouch, Dr J.M. Pons, Dr P. Nguyen CHIRURGIE BUCCO-DENTAIRE : Dr Truche. CHIRURGIE ESTHETIQUE : Dr F. Foussadier., Dr M. Lahbabi, Dr B. Lorenceau, Dr F Poirier RADIOLOGIE : Dr P. Bhavsar, Dr A. Fuchs, Dr T. Mamou-Mani, Dr B. Randoux, Dr C. Valentin. GASTRO-ENTEROLOGIE : Dr P. Fortune, Dr J.-M. Guéméné, Dr A. Namias, Dr S. Poiraud, Dr D. Salaun, Dr M. Salmeron, Dr E. Zeitoun. ECHO-ENDOSCOPIE DIGESTIVE : Dr M. Salmeron. GERIATRIE CONSULTATION MEMOIRE : Dr N. Laubreaux, Dr P.A. San Miguel ET 17

18 NEUROLOGIE : Dr M.A Buzare, Dr M. Samid. NUTRITIONISTE : Dr G. Gondon, Dr C. Dufond ORTHOPTISTE : Mme J. Roussel PSYCHOLOGUE : Mme C. Lamanthe PNEUMOLOGIE : Dr Aeberhardt. CARDIOLOGIE : Dr T. Assulin, Dr E. Dubray, Dr G. Haddad, Dr E. Hery, Dr P. Lewy, Dr R. Pividal, Dr J.F. Tainturier, Dr C. Valantin,. EXPLORATION VASCULAIRE (DOPPLER) : Dr Dubray. PHLEBECTOMIE AMBULATOIRE : Dr G. Tardy, Dr C. Vuong RADIOTHERAPIE, CURIETHERAPIE : Dr O. Bleichner, Dr A. Botton, Dr P. de Andolenko, Dr M. Perret, Dr J.Ch. Riffaud. CHIMIOTHERAPIE, ONCOLOGIE MEDICALE : Dr O. Bleichner, Dr A. Botton, Dr P. De Andolenko, Dr Filippi (oncologie médicale), Dr M. Perret, Dr J.Ch. Riffaud. URGENCES : Dr Ab. Mansouri, Dr Ah. Mansouri, Dr N. Mokhtari (diplômés CAMU). LABORATOIRE D'ANALYSES MEDICALES : Laboratoire d'analyses Médicales de St Ouen l Aumône (Symbiolab) : Dr S. Lasry, Dr N. Baret ANATOMOPATHOLOGIE : Dr Marsault, Dr Vo N'Goc KINESITHERAPIE : Madame Costes-Rouger V. LE CROM Le Centre de Radiothérapie et d Oncologie Médicale est constitué par l association de 6 médecins cancérologues au sein d une S.E.L.A.R.L située sur le site de la Clinique Sainte- Marie à OSNY (3 rue Paul Emile Victor OSNY). Le numéro de FINESS est le Les radiothérapeutes ont une activité à temps plein et sont les Docteurs Alain BOTTON, Marc PERRET, Pierre de ANDOLENKO, Olivier BLEICHNER et Jean-Charles RIFFAUD. Le Docteur Marie-Hélène FILIPPI, oncologue, complète l équipe médicale. La S. E. L. A. R. L. Centre de Radiothérapie et d Oncologie Médicale (C.R.O.M.) est indépendante de la Clinique Sainte Marie. Elle assure l'exploitation des appareils de traitement et le paiement des salaires du personnel nécessaire au fonctionnement du service de Radiothérapie, soit 40 salariés. Le plateau technique est le suivant : Radiothérapie externe Un accélérateur de particules SIEMENS KD2 à 2 énergies de photons, équipé d imagerie portale installé en 1998 Un accélérateur de particules SIEMENS PRIMUS à 2 énergies de photons, à collimateur multi-lames équipé d imagerie portale et d un module de séquencement automatique installé en août

19 Un accélérateur de particules SIEMENS ONCOR à 2 énergies de photons, à collimateur multi-lames équipé d imagerie portale au silicium amorphe et d un module de séquencement automatique. Curiethérapie 1 Bas débit : l'infrastructure pour la curiethérapie a été installée et l'autorisation obtenue en juillet 82. Deux chambres de curiethérapie Un projecteur de sources d Iridium 192 avec retour automatique des sources. Il s'agit d'un TELEGYNE à 3 canaux, type " CURIETRON ". Un pupitre mural de commande TELEGYNE. Un labo chaud comportant : * Un ensemble activimètre à chambre d'ionisation à puits pour la mesure des fils d'iridium 192 (MN501 CIS BIO). * Un détecteur de radiations ionisantes, type RADIAGEM (EURYSIS MESURES). * Une paillasse blindée avec paravent plombé équipé de tout le matériel nécessaire à la manipulation des fils d Iridium. Actuellement les fils d'iridium 192 ( de type IRF2 ) sont commandés au fur et à mesure des applications de curiethérapie, et sont gérés dans un classeur ne quittant pas le labo chaud où le n du lot, l'activité des fils à la réception et les manipulations faites apparaissent. Les sources de Cs 137 ont été abandonnées et remplacées par des sources d'ir 192 (IrF2) à activité élevée 10 à 12 mci/cm, pour les applications gynécologiques. Par soucis de confort et de radioprotection, nous employons toujours le projecteur de sources TELEGYNE qui a été spécialement adapté pour ce type de sources. 2 Haut débit : un projecteur de source d'ir192 à haut débit de dose, type GAMMAMED12i. L activité de curiethérapie bas débit a décru ces dernières années au profit de la curiethérapie à haut débit de dose. Cette dernière reste cependant irremplaçable dans certaines indications (curiethérapie pré-opératoire des cancers du col utérin). De plus, l activité de curiethérapie à haut débit de dose est subordonnée à l existence d une unité de curiethérapie à bas débit. Unité de dosimétrie Quatre systèmes de dosimétrie pour la radiothérapie externe et la curiethérapie : ISIS 2D de TECHNOLOGIE DIFFUSION 19

20 Console de dosimétrie DOSIGRAY 3D reliée en réseau au scanner permettant de réaliser en routine des simulations virtuelles Acquisition en juillet 2004 d un logiciel de simulation virtuelle (Console SYMAGO ) de DOSIGRAY Un système de dosimétrie pour la curiethérapie à haut débit de dose, de type ABACUS de CIS BIO. Une cuve à eau 2D de chez PTW pour l'étude dosimétrique des faisceaux de rayonnement. Un dosimètre intégrateur PTW DI4DL4 type 77511, pour mesurer une valeur de top chaque jour. Dosimétrie in vivo DPD 510 de NOVELEC pour les irradiations corporelles totales. Un ensemble activimètre à chambre d'ionisation à puits pour la mesure des fils d'iridium 192 (MN501 CIS BIO). Centrage : Le centre de radiothérapie a installé sur OSNY un scanner dédié exclusivement aux centrages de radiothérapie (Scanner Picker PQ5000). VI. L IMAGERIE MEDICALE La SELARL Imagerie médicale de la Clinique Sainte-Marie s organise autour d une équipe de 5 radiologues et emploie à ce jour 30 personnes. Les radiologues participent également à la campagne de dépistage du cancer du sein, organisée par le Conseil Général du Val d Oise. La SELARL, en tant que telle, fait partie du réseau ONOF. Le service de radiologie comprend une table télécommandée Siemens, un système de numérisation des images radiologiques Philips avec console de traitement des images et reprographe, un sénographe Siemens, un générateur mobile Philips, un amplificateur de brillance de GE Médical, un échographe Siemens, une IRM Siemens et un scanner Siemens. Les radiologues qui maîtrisent la technique de l IRM, ont obtenu en avril 2009 l autorisation d installer une 2 ème Imagerie à Résonance Magnétique (IRM). Cette installation se réalisera courant 2010, début A Osny, la SELARL, entité indépendante juridiquement de la clinique, a son propre bâtiment. L équipe médicale, actuellement de 5 radiologues, va se développer avec l arrivée d au moins un radiologue supplémentaire. Le personnel salarié devrait également évoluer en nombre. 20

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