La place de l OPCU dans la conduite de projet de rénovation urbaine Note de synthèse ANRU/ CDC
|
|
- Germaine Laperrière
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La place de l OPCU dans la conduite de projet de rénovation urbaine Note de synthèse ANRU/ CDC INTRODUCTION La mise en œuvre d un projet de rénovation urbaine suppose un pilotage opérationnel fort, s appuyant sur des outils permettant notamment de gérer la complexité et les interfaces entre des interventions relevant de responsables et de maîtres d ouvrage multiples. Parallèlement au management financier et à la gestion de la qualité du projet dans sa traduction en opérations, la gestion temporelle des interfaces est indispensable. Définir l enchaînement optimal des tâches, assurer la tenue des délais, anticiper les risques de dérapage : tels sont les enjeux auquel répond la logique de l OPC urbain (ou OPCU) dont la pratique est en rapide émergence depuis le lancement des projets de rénovation urbaine. Sur les 115 projets passés en Comité d Engagement, plus des 3/5ème ont prévu, sous différentes appellations une démarches correspondant aux finalités de l OPCU ; plus de la moitié de ceux-ci en ont lancé l appel d offre ou la réalisation de telles missions en interne. La présente note de synthèse développe les premiers enseignements de l étude en cours lancée par l ANRU et la CDC sur l OPC urbain et sa place dans la conduite des projets de rénovation urbaine. Elle s adresse en priorité aux porteurs et directeurs de projet, aux délégués territoriaux de l Agence ainsi qu à l ensemble des partenaires locaux concernés. Elle vise à appréhender les objectifs et les modalités de cette démarche dont l ANRU souhaite encourager la mise en œuvre. Cette étude débouchera sur l édition d un guide qui paraîtra à la rentrée Le document aborde successivement les aspects suivants : I Pourquoi et comment lancer une mission d OPC urbain II Contenu et déroulement III Modalités de commande et de réalisation des missions IV Déontologie et suivi OPCU- Rapport remis par la SCET-SCO- E Baunard - 21mars
2 I Pourquoi et comment lancer une mission d OPC urbain Un outil essentiel pour tenir les délais et maîtriser les risques I 1 Qu est ce qu un OPC urbain Sa nature : c est un dispositif de «gestion de projet» qui s inscrit en appui de la direction de projet dans l ensemble de la «conduite de projet» (ou «management de projet» : maîtrise du temps, de la qualité et des coûts) mis en place par le porteur de projet qu est la collectivité locale. L OPCU cible particulièrement la dimension temporelle. Ses finalités : il s agit de mettre en œuvre un programme par la maîtrise d un planning, l optimisation du rôle de chacun des maîtres d ouvrage et la gestion des interfaces entre un ensemble d opérations interdépendantes. Son positionnement : c est un outil de la «direction de projet», qui contribue à l efficacité de sa conduite opérationnelle. I 2 Dans quels cas faut-il un OPC urbain Dans tous les projets de rénovation urbaine, il y a un impératif d efficacité dans l action et dans le temps, l anticipation et le suivi temporel du projet sont incontournables. L OPC urbain n aura toutefois pas la même importance et le même contenu selon l ampleur et la complexité du projet. Ainsi, dans les cas de projets simples et d opérations très indépendantes (pas de chemin critique), le «noyau dur» de l OPCU pourrait être internalisé par la direction de projet et développé de façon minimum (planning prévisionnel simplifié et mises à jour assez espacées). I 3 A quel moment convient-il de lancer l OPC urbain Il est intéressant de se poser la question le plus tôt possible, car ce type de mission peut s avérer utile dès le stade de la finalisation du dossier ANRU, afin de vérifier la faisabilité des opérations et des conditions de réalisation du programme dans son ensemble ainsi que de faciliter l instruction et l engagement du dossier. Il n est toutefois pas toujours évident de définir la mission à un stade très amont, d où l intérêt de l option qui consiste à mettre en place une première mission dès le stade de la finalisation du projet et du dépôt du dossier à l ANRU afin d optimiser l opérationnalité du programme et de faciliter le lancement des procédures, voire des premières actions, puis de lancer un OPC urbain complet pour le développement de la phase opérationnelle du projet. Une AMO courte pourrait permettre de préparer le cahier des charges visant à la mise en œuvre de l OPCU. I 4 Qui passe commande de l OPCU et pilote la mission Le porteur de projet, par l intermédiaire de son représentant, le directeur (ou chef) de projet, est maître d ouvrage. La qualité de la direction de projet est une condition de réussite essentielle de la mission d OPCU. C est donc la collectivité locale (commune ou EPCI) qui passe la commande, ou le cas échéant, la structure ad hoc, mise en place pour le pilotage du projet (à l exemple d un GIP, chargé de la conduite opérationnelle du projet). Il convient de définir le positionnement de l OPCU de façon à éviter la confusion des rôles, notamment lorsque les dimensions stratégiques et opérationnelles de la conduite de projet sont réparties entre plusieurs entités (par exemple, entre les services de la ville et un GIP, ou OPCU- Rapport remis par la SCET-SCO- E Baunard - 21mars
3 entre ceux d une instance d agglomération et ceux des communes) ; la mission d OPCU devra être adaptée à chaque contexte organisationnel local. Les maîtres d ouvrage doivent être associés à la préparation et à la mise en œuvre de la mission, ce qui peut aller, dans certains cas, jusqu à la création d un groupement de commande. Dans tous les cas, il importe que la définition de la mission et l élaboration du cahier des charges se fassent en concertation avec l ensemble des maîtres d ouvrage concernés par le projet. I 5 Quels sont les critères de choix du contenu de l OPCU Ils sont, d une part, objectifs et constatables à partir de données quantitatives: Ampleur du projet (coût, nombre d opérations, durée ) Complexité du projet (nombre de maîtres d ouvrage, diversification des opérations ) Ils sont, d autre part, contextuels et nécessitent une analyse approfondie par ou avec partenaires locaux : Interdépendances ou autonomie des opérations Moyens et expériences de la direction de projet Nature et moyens des maîtres d ouvrages; habitudes de coordination mutuelle Imbrication de procédures (ANRU, URBAN ) Qualité du partenariat et degré d intégration du management de projet global Existence d une procédure d aménagement et intervention d opérateurs (concessions, mandats ) OPCU- Rapport remis par la SCET-SCO- E Baunard - 21mars
4 II Contenu et déroulement Des missions à définir au cas par cas, selon le contexte de chaque projet II 1 Le champ de la mission La mission aura un périmètre plus ou moins étendu selon: Qu elle porte, ou non, sur un projet global au delà du programme contractualisé avec l ANRU Qu elle porte, ou non, sur l ensemble des composantes de ce projet global (Urbain/ Social/ Economique), sur le projet ANRU y compris son accompagnement social (GUP/ Concertation/ Relogements/ Clause d insertion dans les marchés ), ou strictement sur les opérations physiques du projet ANRU Son contenu sera variable selon : Qu elle porte sur la durée totale de la convention pluriannuelle ou sur une période plus courte Qu elle intègre des tâches relevant de la conduite stratégique du projet (assistance à maîtrise d ouvrage) Qu elle intègre d autres tâches relevant de la gestion opérationnelles (apport d outils et d expertises ) On distinguera donc : Un noyau dur : planning, mise à jour, tableau de bord, reporting, dispositif d alerte Des options et développements possibles : expertises et aide à la décision, cartographie du phasage, base de données, intranet, management financier, dispositif de suivi du relogement, planification coordonnée des chantiers II 2 Le noyau dur Identification des opérations (maîtres d ouvrage, caractéristiques techniques et financières, procédures) et constitution de fiches par opération Repérage des contraintes et des interfaces, constitution d un planning opérationnel (si besoin décliné par domaine ou secteur géographique) Identification des risques et des points de suivi particulier, conception d un dispositif d alerte, élaboration des documents de reporting Définition d un process de recueil de données, relances, mises à jour, revues de projet (ou comité de coordination) et management du dispositif pendant la durée du projet ; articulation avec la gestion financière, la gestion de la qualité, le système d information général. II 3 Les options et les développements possibles Certains éléments de mission développent la dimension de la «conduite générale» de projet : Structuration du projet global et de son organisation Animation et administration, voire management du projet global (en assistance ou en délégation) Dans certains cas, la mission d OPC urbain peut être regroupée avec d autres missions de la direction de projet (gestion des instances de coordination et de pilotage, finalisation du programme opérationnel ), voire intégrer le portage du directeur de projet lui-même OPCU- Rapport remis par la SCET-SCO- E Baunard - 21mars
5 Dispositif d alerte, comportant des modalités particulières permettant de suivre et d anticiper les séquences ou événements porteurs de risques (notamment en matière de respect des délais et des coûts), intégration de conseils Réalisation de toutes analyses, expertises, assistance aux maîtres d ouvrage aboutissant à la proposition de solutions permettant le déblocage des situations Dispositif de gestion financière, intégré à l OPCU, comportant les outils de suivi et de gestion des engagements et paiements D autres développent des aspects plus techniques : Constitution d une base de données (à partir des fiches d opération, régulièrement mises à jour) soit dédiée à l OPCU, soit étendue à l ensemble de la gestion du projet Cartographie par quartier, secteur complexe et/ou par phase opérationnelle, permettant de visualiser l état d avancement et les enchaînements de tâches Mise en place d un extranet collaboratif ou autre système visant à améliorer la communication et la coopération entre les partenaires,) soit dédiée à l OPCU, soit étendue à l ensemble de la gestion du projet Planification de chantier permettant sur les secteurs concernés de programmer et de coordonner les installations de chantier, les interfaces avec la circulation, l accès, le fonctionnement des commerces, les périmètres de sécurité, le quotidien de la GUP Apport d expertise (management, technique, juridique ) permettant au porteur de projet de bénéficier de conseils, notamment en fonction des questions que la démarche d OPCU aura mises en évidence II 4 L articulation avec les maîtres d ouvrage La démarche d OPCU implique un échange d information régulier, fluide et fiable avec tous les maîtres d ouvrages. Chaque opérateur fournit et valide les informations le concernant (l OPC ne s engage pas à sa place); en retour, il reçoit les documents de synthèse produits et bénéficie de tout apport issu de la démarche d OPC (état d avancement de l ensemble des programmes, identification des risques, informations diverses ). Le travail de l OPCU ne se substitue pas aux maîtres d ouvrage pour le pilotage et les coordinations internes d opération ou un dispositif inter-bailleurs (sauf exception à la demande d un maître d ouvrage intervenant selon différentes composantes ou à plusieurs titres) ; la bonne organisation interne de chaque maître d ouvrage est un facteur de réussite de la mission d OPCU. En cas de présence d un aménageur intervenant dans le cadre d une concession et/ou de procédures de type ZAC, l utilité de la mission d OPC urbain n est pas remise en cause (le positionnement du comité de pilotage et celui de l aménageur n étant pas confondus, même si la convention d aménagement couvre la totalité du périmètre) mais celle ci devra être adaptée dans son contenu et ses modalités. II 5 L articulation avec d autres missions de la conduite de projet En cas de mission de maîtrise d œuvre urbaine ou d architecte- urbaniste conseil, il convient de prévoir les limites et coordinations entre les intervenants (par exemple, l urbaniste doit fournir à l OPCU la mise à jour régulière du plan guide du projet) Sauf lorsque le dispositif de gestion financière est intégré à l OPCU, il faut prévoir l articulation pour toutes les informations de nature financières et veiller, le cas échéant, à l unicité de la saisie d information (unicité de la base de donnée ou connexion organisée entre les systèmes), il en est de même si un sytème d information général est déjà en place. OPCU- Rapport remis par la SCET-SCO- E Baunard - 21mars
6 Si un dispositif d évaluation «in itinere» est prévu, l OPCU peut contribuer à l alimenter par des données relatives au suivi opérationnel du projet ; Il convient alors de prévoir le transfert des informations concernées, voire d ajouter dans la mission d OPCU la collecte de certaines données utiles à l évaluation, sachant que ces missions, de natures différentes doivent rester distinctes. De façon générale, les autres missions d AMO pourront nécessiter une coordination avec celle d OPC urbain II 6 Les étapes de la mission d OPC urbain Le temps de la mise en place du dispositif Identification des opérations à engager Analyse des enchaînements conditionnels Etablissement du premier planning Constitution des outils de reporting et du dispositif d alerte Définition des procédures (environ 3 à 4 mois) On doit veiller à ne pas sous-estimer le temps nécessaire, afin que le prestataire puisse prendre connaissance du projet et que la construction du dispositif se fasse dans de bonnes conditions Le temps du pilotage du dispositif La période de rodage (environ 8 à 9 mois) La période de croisière (les 3 ou 4 années restantes) Le temps du bilan OPCU- Rapport remis par la SCET-SCO- E Baunard - 21mars
7 III Modalités de commande et de réalisation des missions Des points de repère et des questions à traiter avant de lancer la mission III 1 Comment organiser l OPCU : mission interne ou externalisée L OPC urbain nécessite une compétence professionnelle qui s appuie sur des outils et méthodes adaptés ; Ceux-ci ne sont pas toujours acquis, disponibles ou mobilisables en interne par le porteur de projet. Par ailleurs, le jeu d acteurs local ne permet pas toujours l instauration de la neutralité et de la transparence nécessaires. Une mission externalisée permet l apport de ce savoir-faire mais aussi le bénéficie de l intervention d un acteur externe et indépendant du partenariat local. C est l option choisie dans nombre de cas (notamment dans les cas de projet de grande ampleur). Une mission internalisée peut avoir l avantage de contribuer à la qualification des équipes locales, notamment si ce choix s inscrit dans une démarche managériale globale de la collectivité concernée et, si les moyens humains et techniques sont dégagés et si ce positionnement est bien accepté par les partenaires. Dans cette seconde situation (ainsi que pour des projets simples et de petite taille), il est intéressant de faire appel à un prestataire pour la mise en place des outils et le rodage de la méthode avant de passer le témoin aux équipes du porteur de projet. III 2 Les coûts Sur les 100 premiers projets engagés à l ANRU, le budget prévisionnel moyen de l OPCU est de 450 k sur la durée de la convention. Les coûts varient fortement selon l ampleur du projet, l étendue des missions, l intégration ou non de la phase de pilotage du dispositif: on observe des montants de commande externe allant de 50 k, pour des missions limitées à la mise en place des outils sur des projets d importance moyenne, à des enveloppes d environ 1M pour des missions d OPCU portant sur toute la durée de mise en œuvre d un projet très complexe et lourd à l échelle d une agglomération. Il convient de bien dimensionner le budget, notamment, prévoir que la phase de mise en place et de rodage est nécessairement plus lourde et plus onéreuse que celle du pilotage, pour une durée équivalente ; il convient également de bien faire la part de ce qui est demandé au prestataire et de ce qui reste à la charge de la direction de projet ou d autres prestataires (que ce soit pour le recueil de données, l administration du dispositif, ou l aide à la décision) et de fournir toutes les informations permettant de mesurer l ampleur et la complexité du projet ; on a pu constater un nombre fréquent d appels d offre infructueux. Il est par ailleurs inopportun de se lancer dans des missions trop lourdes et trop complexes par rapport au projet et la capacité de mobilisation des partenaires. III 3 Les moyens humains : chef de mission, équipe L efficacité d une mission d OPC urbain nécessite de désigner ou de demander au prestataire de mettre en place un chef de mission, interlocuteur principal de la maîtrise d ouvrage, régulièrement présent sur place selon un planning à convenir. L équipe de mission externalisée pourra comporter en outre un responsable du planning, des experts sur la méthode ou sur le fond, un superviseur. OPCU- Rapport remis par la SCET-SCO- E Baunard - 21mars
8 Si tout ou partie de la mission est menée en interne, le rôle de chacun doit être défini sous l autorité du directeur de projet (désignation d un responsable technique, rôle des chefs de projet par quartier ou secteur ). III 4 Les outils mis en œuvre Documentation de projet : Excel, Word Dont base de donnée: Acces Dont cartographie : Autocad, Map info, Illustrator Planning : MS Project, Visual planning III 5 Les modalité du pilotage La périodicité de mise à jour est en général de 1 à 2 mois (un rythme soutenu (mensuel, voire bimensuel) peut être nécessaire au démarrage et pour le suivi de certains secteurs sensibles. Des mises à jour partielles peuvent avoir lieu dans les groupes de travail ou comités partiels plus fréquents. La fréquence des revues de projets peut être identique, (notamment en phase de démarrage), mais, le plus souvent, elle sera moindre (compte tenu de la lourdeur), plutôt de l ordre de 3 à 4 mois maximum. Le dispositif doit s inscrire dans les calendriers de réunion de comité technique et de comité de pilotage du projet déjà existant. Il convient de procéder par «remontée» (comité de suivi par secteur et/ou thématique, comité technique, comité de pilotage politique). III 6 Modalités de commande, selon diverses options La durée de la mission peut être adaptée aux caractéristiques du projet (4 ou 5 ans pour des missions de mise en place et de pilotage ; 1 à 2 ans pour des missions de mise en place avec rodage du dispositif puis passage de relais à la direction de projet. Le respect des seuils implique le plus souvent un appel d offre (AO). Toutefois la nature de la mission rend possible l usage du marché négocié, à condition de le justifier, ce qui permet notamment de rencontrer les équipes avant décision. Il peut être intéressant de distinguer une tranche ferme (mise en place des actions de l OPCU) et une tranche conditionnelle (le pilotage), ou bien de prévoir des missions distinctes successives (surtout si l OPC urbain démarre très en amont) ou dès lors que la collectivité locale n écarte pas la possibilité de changer de prestataire. Si la collectivité locale prévoit une mission longue, la difficulté principale est de savoir comment procéder aux adaptations dans le temps (limite de l usage de l avenant) ; l emploi des marchés à bon de commande n est en général pas adapté, on examinera plutôt la possibilité de la procédure des accords cadres. Une mission de conseil amont (AMO) permet de bien préparer les choses et d éviter de mal s engager. OPCU- Rapport remis par la SCET-SCO- E Baunard - 21mars
9 IV Déontologie et suivi Une pratique encouragée par l ANRU et ses partenaires IV 1 Déontologie et responsabilité de l OPC urbain L OPCU doit assurer la fiabilité de l information relative aux contraintes et aux délais (garantie de technicité, obligation de transparence). Il ne s engage pas pour autant sur leur respect qui est de la responsabilité des différents maîtres d ouvrage. Il ne se substitue pas aux responsabilités des OPC d opérations, mais facilite leur exercice par sa connaissance globale et ses alertes quant aux interfaces. Son professionnalisme lui impose toutefois une obligation de vérification du réalisme des délais déclarés, de mise en évidence des incohérences et d identification de facteurs de risques possibles. Ces principes doivent être indiqués dans le CCTP (si mission externe) et dans une charte de service (si mission interne) et devront se traduire concrètement (justifications des délais, indicateurs de résultat ). IV 2 Promotion des démarches d OPC urbain Dans les conditions précitées, l ANRU et la CDC encouragent le développement des pratiques d OPC urbain En cofinançant avec les collectivités locales les missions internes ou externes qui répondent aux principes ci-dessus (Cf règlement RGA) En conseillant et cofinançant, avec les collectivités locales, si besoin les AMO amont (Cf RGA) Par une action professionnelle adaptée à une pratique encore émergente (publication d un guide, de fiches techniques et d exemples, réunions professionnelles d échange et d information avec les directeurs de projets, opérateurs et prestataires) L ANRU et la CDC veillent à la qualité des démarches d OPC urbain Lors de l instruction des dossiers (examen local, réunion technique des partenaires financiers de l ANRU, comité d engagement de l ANRU) A l occasion des revues de projet auxquelles l ANRU participe, (direction générale et/ou délégués territoriaux) En informant et formant les chargés de mission et délégués territoriaux de l Agence, ainsi que les DR CDC En procédant régulièrement à des évaluations des pratiques d OPC urbain OPCU- Rapport remis par la SCET-SCO- E Baunard - 21mars
10 CONCLUSION : quelques points d attention pour les porteurs de projet Prendre en compte tant l ampleur et la complexité du projet, que sa nature et le contexte local Evaluer sa propre capacité à piloter une mission externalisée (éviter une prestation trop complexe, des outils trop sophistiqués et incompatibles avec ceux qui existent localement) S interroger et se concerter le plus en amont possible, se renseigner et prendre conseil (ANRU, CDC, autres collectivités locales, experts ) OPCU- Rapport remis par la SCET-SCO- E Baunard - 21mars
Les projets d investissement en PME
Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser
Plus en détailACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA
1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement
Plus en détailLe nouveau programme national de renouvellement urbain. CRDSU septembre 2014
Le nouveau programme national de renouvellement urbain CRDSU septembre 2014 Un nouveau programme de renouvellement urbain! Un projet à l échelle de l agglomération, un projet intégré : le contrat de ville!
Plus en détailMinistère de l intérieur --------
Ministère de l intérieur -------- Examen professionnel d ingénieur principal des systèmes d information et de communication du ministère de l intérieur Session 2013 Meilleure copie Sujet n 1 - Réseaux
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailCHARTE BUDGET PARTICIPATIF
CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes
Plus en détailAPPELS D OFFRE: COMMENT BIEN DÉFINIR VOS BESOINS EN AMONT
APPELS D OFFRE: COMMENT BIEN DÉFINIR VOS BESOINS EN AMONT POUR NE PAS LE REGRETTER ENSUITE? POUR UNE MISE EN PLACE SEREINE MICHAEL MONCHALIN INGÉNIEUR COMMERCIAL EUDONET JENNIFER STEPHENSON RESPONSABLE
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailAppel à propositions
Appel à propositions Dispositif de professionnalisation des acteurs de l accueil, l information, l orientation, l emploi, la formation professionnelle initiale (par la voie de l apprentissage) et la formation
Plus en détailLa fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.
Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord
Plus en détailRapport technique n 8 :
Modernisation de l action publique Groupe de travail interministériel sur les agences et opérateurs de l Etat Rapport technique n 8 : L'appui des têtes de réseau interministérielles en matière de fonctions
Plus en détailDélibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012
Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif
Plus en détailAPPEL D OFFRE. Projet décisionnel. Juillet 2011
CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES APPEL D OFFRE Projet décisionnel Juillet 2011 SOMMAIRE 1- CONTEXTE 3 1.1 Présentation de l entreprise 3 1.2 Organisation CCCA-BTP 3 2- LE PROJET DECISIONNEL
Plus en détailMARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES
MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES RESTRUCTURATION PARTIELLE DU RESEAU CVC CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES EN APPLICATION DU CODE DES MARCHES PUBLICS DECRET N 2006-975 DU 1ER AOUT
Plus en détailAccompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE
Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile
CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS
Plus en détailSIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR
SIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR Utilisation du logigramme d activité dans un projet informatique, pour simuler les compétences futures, et évaluer la charge de travail. WWW.ANACT.FR OUTIL DE SIMULATION
Plus en détailLa démarche HQE -Aménagement. Pour la réalisation d opérations d aménagement durable : Avec le soutien particulier de :
Pour la réalisation d opérations d aménagement durable : La démarche HQE -Aménagement Avec le soutien particulier de : Chambre de l Ingénierie et du Conseil de France Edito.............................................................
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailDE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014
CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02
Plus en détailChantier-Formation PARTENARIAT ENTRE UNE ENTREPRISE PRIVÉE ET 2 STRUCTURES D INSERTION POUR LA RÉPONSE À UNE CLAUSE ART.14 DANS UN MARCHÉ PUBLIC
Chantier-Formation PARTENARIAT ENTRE UNE ENTREPRISE PRIVÉE ET 2 STRUCTURES D INSERTION POUR LA RÉPONSE À UNE CLAUSE ART.14 DANS UN MARCHÉ PUBLIC LOCALISATION : Quartier des bassins à Cherbourg-Octeville
Plus en détailResponsable d agence
Responsable d agence La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détailDES MÉTIERS POUR CONSTRUIRE SON AVENIR
DES MÉTIERS POUR CONSTRUIRE SON AVENIR OBSERVATOIRE PROSPECTIF DES MÉTIERS ET DES QUALIFICATIONS DE LA BRANCHE PROFESSIONNELLE DE LA PROMOTION CONSTRUCTION OBSERVATOIRE PROSPECTIF DES MÉTIERS ET DES QUALIFICATIONS
Plus en détailAppel à projets Soutien à la dynamique des Centres d affaires de quartiers (CAQ) DOSSIER DE CANDIDATURE
Appel à projets Soutien à la dynamique des Centres d affaires de quartiers (CAQ) DOSSIER DE CANDIDATURE A transmettre par mail à : Date-limite de réception impérative des candidatures : 12 juin 2014 Nom
Plus en détailCharte d audit du groupe Dexia
Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans
Plus en détailProgramme de formation. «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique»
Intitulé de la formation Programme de formation «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique» Organisateur Organisme de formation : ARMETI : Email : armetiformations@gmail.com
Plus en détailMINISTERE DU LOGEMENT ET LA VILLE
MINISTERE DU LOGEMENT ET LA VILLE PROJET DE LOI DE FINANCES INITIALE POUR 2008 Assemblée Nationale Commission des finances, de l'économie générale et du plan MISSION VILLE ET LOGEMENT PROGRAMME «DEVELOPPEMENT
Plus en détailLe diagnostic Partagé,
Le diagnostic Partagé, un outil au service du projet Territorial enfance jeunesse Les Guides Pratiques Introduction Parce que nous sommes dans un monde complexe, Définitions, enjeux, méthodologie Phase
Plus en détailAppel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE)
Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Date de l ouverture de l appel à projets : Mi-juillet 2013 Date de clôture de l appel à projets : 31 octobre
Plus en détailLA LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS DANS LES CONTRATS DE VILLE DU LANGUEDOC-ROUSSILLON
PREFET DE LA REGION LANGUEDOC ROUSSILLON Direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale Pôle Cohésion sociale Territoriale Montpellier, le 19 juin 2015 Dossier suivi par Rodolphe
Plus en détailAPFP. Les Pays, moteurs de stratégies de développement territorial et de gouvernance locale. Contribution de l Association de
Mars 2012 cahier d acteurs Association de Promotion et de Fédération des Pays APFP APFP Pays / Territoires de projet Contribution de l Association de Promotion et de Fédération des Pays dans le cadre des
Plus en détailIntroduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas :
Introduction Le CRM se porte-t-il si mal? Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : «75 % de projets non aboutis» «La déception du CRM» «Le CRM : des
Plus en détailPôle de compétitivité Aerospace Valley. Agilité et Confiance dans la filière aéronautique (2)
Pôle de compétitivité Aerospace Valley Agilité et Confiance dans la filière aéronautique (2) Cahier des charges pour une offre d accompagnement pour une démarche «Agir ensemble pour la filière aéronautique».
Plus en détail1 ère partie CONSEILS ET ASSISTANCE TECHNIQUE
1 ère partie CONSEILS ET ASSISTANCE TECHNIQUE 6 LE SERVICE CONSEIL AUX MAIRES ET DÉVELOPPEMENT DES TERRITOIRES Un outil au service des communes et des intercommunalités > Créé en 2000 au sein des services
Plus en détailLA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE
Structurer, assurer et optimiser le bon déroulement d un projet implique la maîtrise des besoins, des objectifs, des ressources, des coûts et des délais. Dans le cadre de la gestion d un projet informatique
Plus en détailLA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE
LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE Lorraine Structurer, assurer et optimiser le bon déroulement d un projet implique la maîtrise des besoins, des objectifs, des ressources, des coûts et des délais. Dans
Plus en détailActivités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets
Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Activités 1. 1. Pilotage, management Direction Informer et aider les élus à la décision Définir (ou participer à la définition de) la stratégie de la direction
Plus en détailREFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312
REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014
CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel
Plus en détailDISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES HOTELS D ENTREPRISES
CAHIER DES CHARGES DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES HOTELS D ENTREPRISES Rappel du cadre général d intervention des 3 collectivités : Dans le prolongement du Schéma Régional de Développement
Plus en détailAppel à candidature. Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers
Appel à candidature Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers Contexte La mobilité géographique est l un des sujets centraux lorsque l on aborde la question
Plus en détailLE BACCALAUREAT PROFESSIONNEL GESTION ADMINISTRATION Janvier 2012 Page 1
LE BACCALAUREAT PROFESSIONNEL GESTION ADMINISTRATION Janvier 2012 Page 1 La rénovation de la voie professionnelle, filière du tertiaire administratif a conduit à la création du baccalauréat professionnel
Plus en détailRéforme de la politique de la ville. Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014
Réforme de la politique de la ville Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014 Restitution de l atelier n 3 : Intitulé : Les communes et agglomérations concernées par
Plus en détailLe bon outil CRM? Celui qui reflète votre stratégie. Elisabetta Scanferla-Schmitt, Universcience Aldo Ip Piang Siong, Eudonet
Le bon outil CRM? Celui qui reflète votre stratégie Elisabetta Scanferla-Schmitt, Universcience Aldo Ip Piang Siong, Eudonet Universcience, deux lieux unis pour le rayonnement de la culture scientifique
Plus en détailsolution technologique globale qui couvre en
Dealer Management System solution technologique globale qui couvre en amont tous les besoins fonctionnels et techniques de l activité d un distributeur de véhicules : magasin, atelier, VN/VO. Adaptable
Plus en détailModernisation SI & Télécom des Samu-Centres 15. Assemblée Générale SUdF
Modernisation SI & Télécom des Samu-Centres 15 Assemblée Générale SUdF 04 juin 2014 Agenda 1. Genèse du projet 2. Solution envisagée 3. Feuille de route 4. Point d étape Projet de modernisation des SI
Plus en détailPréparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014
Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détailPLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE Un certain regard sur les résultats 2011 Ce guide est cofinancé par l Union Européenne Ce guide est cofinancé par l Union Européenne PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
Plus en détailla pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment
Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier
Plus en détailCADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL. Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie
CADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie Les sociétés de logement de service public gèrent un parc de
Plus en détailChapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1
Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une
Plus en détailLA CONDUITE DE L ACTION COMMERCIALE
LA CONDUITE DE L ACTION COMMERCIALE Une fois les objectifs fixés pour son équipe, le manageur doit définir une stratégie et mettre en place un plan d actions. Outil de prévision et de planification, ce
Plus en détailExternaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens. Frédéric ELIEN
Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens Frédéric ELIEN SEPTEMBRE 2011 Sommaire Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens... 3 «Pourquoi?»...
Plus en détailSynthèse du «Schéma Directeur des Espaces Numériques de Travail» A l attention du Premier degré (doc réalisé par Les MATICE 76)
Synthèse du «Schéma Directeur des Espaces Numériques de Travail» A l attention du Premier degré (doc réalisé par Les MATICE 76) 1. Qu est-ce que le SDET : schéma directeur des espaces numériques de travail?
Plus en détailAppel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne
Appel à projets Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Date limite : mercredi 25 février 2015 à 12h 1. Contexte La loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine
Plus en détailLes marchés de maîtrise d œuvre
Les marchés de maîtrise d œuvre Club OA Méditerranée 1er juillet 2010 Direction des Routes Service Ouvrages d Art F. EDON Conseil Général des Bouches du Rhône SOMMAIRE Environnement réglementaire missions
Plus en détailLe point de vue de l UNSA
Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise
Plus en détailLe régime juridique qui est contractuellement attaché aux
La rédaction des clauses relatives aux biens dans les DSP La question des biens au sein des de délégation de service public nourrit de nombreux contentieux devant le juge administratif. L une des problématiques
Plus en détailPÉRENNISER LA PERFORMANCE
PÉRENNISER LA PERFORMANCE La recherche de performance est aujourd hui au cœur des préoccupations des organisations : succession des plans de productivité et de profitabilité, plans de reprise d activités,
Plus en détailMMA - Projet Capacity Planning LOUVEL Cédric. Annexe 1
Annexe 1 Résumé Gestion Capacity Planning Alternance réalisée du 08 Septembre 2014 au 19 juin 2015 aux MMA Résumé : Ma collaboration au sein de la production informatique MMA s est traduite par une intégration
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détailProgramme national «très haut débit»
Liberté. Égalité. Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Programme national «très haut débit» - 1 - Sommaire I. ENJEU 3 II. DESCRIPTION GENERALE 4 III. PILOTAGE DU PROGRAMME 4 IV. PHASE DE LANCEMENT DU PROGRAMME
Plus en détailPrésentation. Intervenant EURISTIC. Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé
Atelier ORAS Pilotage des rémunérations variables Groupe RH&M Le volet informatisation Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé EURISTIC 4 février 2010 Présentation Intervenant EURISTIC Jean-Louis BAUDRAND
Plus en détailPROPOSITION D INTERVENTION
PROPOSITION D INTERVENTION PROJET D INTERVENTION MISSION DE RECRUTEMENT SOMMAIRE: 1. CONDITIONS GENERALES D INTERVENTION 2. METHODOLOGIE 3. HONORAIRES 4. PLANNING D INTERVENTION CONDITIONS GENERALES D
Plus en détailSystèmes et réseaux d information et de communication
233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques
Plus en détailSIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR
SIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR Utilisation du logigramme d activité dans un projet informatique WWW.ANACT.FR OUTILS DE SIMULATION : Logigramme d activité Utilisation du logigramme d activité dans
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 31 du 9 juillet 2015. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 3
BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES Édition Chronologique n 31 du 9 juillet 2015 PARTIE PERMANENTE Administration Centrale Texte 3 INSTRUCTION N 240462/DEF/SGA/DRH-MD relative à la gouvernance des données de
Plus en détailPrésentation du Système d Administration Générale des Projets (Agape )
Altaïr Conseil QUALITE - ORGANISATION - CHANGEMENT Présentation du Système d Administration Générale des Projets (Agape ) Altaïr Conseil - 2007-33, Rue Vivienne 75 002 Paris - 01 47 33 03 12 Présentation
Plus en détailREGLEMENT DE LA CONSULTATION ((RC) n de marché 14 000 11. Date : Novembre 2014
ETABLISSEMENT PUBLIC DU MUSEE NATIONAL DE LA MARINE 16 place du Trocadero 75 116 Paris France R.C. page 1/8 REGLEMENT DE LA CONSULTATION ((RC) n de marché 14 000 11 Date : Novembre 2014 Maître de l ouvrage
Plus en détailACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL
ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL DES MANAGERS ET DES DIRIGEANTS des démarches de croissance, d adaptation continue et de créativité dans des environnements et des marchés en mutation DIRIGEANTS ET MANAGERS EN
Plus en détailDISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES PÉPINIÈRES D ENTREPRISES
CAHIER DES CHARGES DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES PÉPINIÈRES D ENTREPRISES Rappel du cadre général d intervention des 3 collectivités : Dans le prolongement du Schéma Régional de Développement
Plus en détailLa modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015
La modernisation de la gestion publique au sein des Colloque des Agents Comptables 05 juin 2015 EPSCP Frédéric Dehan Directeur Général des Services Université de Strasbourg 1) Des éléments de contexte
Plus en détail3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.
Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.
Plus en détailSOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ
Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailwww.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient»
www.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient» C est sans surprise que dans la dernière enquête «CEO» de PwC, les dirigeants font état de leurs préoccupations
Plus en détailL a d é m a r c h e e t l e s o u t i l s p r o p o s é s
Guide méthodologique pour la construction d un bilan quantitatif et qualitatif des contrats de territoire. L a d é m a r c h e e t l e s o u t i l s p r o p o s é s Il est proposé de bâtir le bilan avec
Plus en détailEmmanuel MACRON, ministre de l Economie, de l Industrie et du Numérique
3 Éditorial «Le numérique est aujourd hui dans tous les usages : les transports, les entreprises, les loisirs, les objets connectés, l accès à l information, les smartphones, etc. Mais il n est pas dans
Plus en détailRessources Humaines Enjeux et Stratégie dans un contexte international
Ressources Humaines Enjeux et Stratégie dans un contexte international 1 LES ENJEUX DE LA FONCTION R.H. Environnement : La mondialisation L accélération des changements L incontournable performance Le
Plus en détailSofiprotéol : la gestion de portefeuille de projets au carré
www.itbusinessreview.fr N 4 Sofiprotéol : la gestion de portefeuille de projets au carré page 16 N 4 - Avril 2013 RETOUR D EXPéRIENCE Un centre de services pour mieux gérer les applications à l INA études
Plus en détailEtude sur les cadres règlementaires et leur efficacité à encourager les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique et sur les mesures
Etude sur les cadres règlementaires et leur efficacité à encourager les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique et sur les mesures complémentaires nécessaires Synthèse Avril 2015 Pourquoi
Plus en détailLE KIT DU MANAGER DE PROJETS
LE KIT DU MANAGER DE PROJETS Ce kit est basé sur les travaux du Professeur Hugues Marchat (parus aux éditions Eyrolles) complétés par les expériences opérationnelles de Denis Lannel. Sommaire Travailler
Plus en détailFAIRE APPEL À UN EXPERT
FAIRE APPEL À UN EXPERT Décembre 2011 Afin d être en mesure d exercer ses missions, le comité d entreprise dispose de nombreux moyens d information, notamment par les documents que doit lui communiquer
Plus en détailEtude de faisabilité
Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un
Plus en détailwww.pwc.lu/secteur-public Gestion des risques, contrôle interne et audit interne
www.pwc.lu/secteur-public Gestion des risques, contrôle interne et audit interne Contexte Depuis plusieurs années, les institutions publiques doivent faire face à de nouveaux défis pour améliorer leurs
Plus en détailEVALUATION FINALE SEN/024. Programme d Appui à la Mise en Œuvre de la Réforme de l Enseignement technique et Formation professionnelle
EVALUATION FINALE SEN/024 Programme d Appui à la Mise en Œuvre de la Réforme de l Enseignement technique et Formation professionnelle FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre long du projet Titre court du projet Code
Plus en détailLEADER/FEADER Eléments de réflexions à propos du cadrage de l appel à projets
LEADER/FEADER Eléments de réflexions à propos du cadrage de l appel à projets Avertissement : cette note vise à préparer l échange prévu avec la Commission «Politiques Territoriales» de l ARF le 11 janvier
Plus en détailSTRATEGIE, GOUVERNANCE ET TRANSFORMATION DE LA DSI
STRATEGIE, GOUVERNANCE ET TRANSFORMATION DE LA DSI NOTRE EXPERTISE Dans un environnement complexe et exigeant, Beijaflore accompagne les DSI dans le pilotage et la transformation de la fonction SI afin
Plus en détailRÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION. INC - 27 janvier 2014
RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION INC - 27 janvier 2014 DIAGNOSTIC DU RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION SOMMAIRE La formation et le RIF : constats Les engagements de la COG Ucanss 2013-2016 La création
Plus en détailTITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE
TITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE 2 Projet organisation administrative et technique > Sommaire Sommaire PREAMBULE POURQUOI? Les objectifs
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Le tableau de bord, outil de pilotage de l association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône-Alpes) Difficile d imaginer la conduite d un bateau sans boussole
Plus en détailFAF.TT Groupe de travail paritaire «Services»
Secteur non marchand FAF.TT Groupe de travail paritaire «Services» Comptes-rendus des groupes de travail du 15 septembre et 24 septembre 2009 KPMG Entreprises Isabelle Le Loroux Associée KPMG Entreprises
Plus en détailProjet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire
Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire Étude de préfiguration Restitution aux acteurs 15 octobre 2008 Dossier remis aux participants 1 Version n 3 Sommaire Méthodologie Priorités
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA VILLE Arrêté du 29 juin 2011 portant approbation des modifications du règlement général de l Agence nationale pour la rénovation urbaine NOR
Plus en détailLes chartes de France Investissement
Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement
Plus en détailAppel d offres pour l accompagnement du Pôle Fibres Energivie dans la création de son niveau site Internet
Appel d offres pour l accompagnement du Pôle Fibres Energivie dans la création de son niveau site Internet 1. Contexte 1.1 Les Pôles de compétitivité Ce sont des structures, en général associatives, mises
Plus en détailSéance du Conseil Municipal du 27/06/2013
Direction Générale Développement / Direction du Développement urbain Question n 182 Direction de l'urbanisme REF : DU2013027 Signataire : SM/NL Séance du Conseil Municipal du 27/06/2013 RAPPORTEUR : Jean-Yves
Plus en détailCharte de contrôle interne
Dernière mise à jour : 05 mai 2014 Charte de contrôle interne 1. Organisation générale de la fonction de contrôle interne et conformité 1.1. Organisation Le Directeur Général de la Société, Monsieur Sébastien
Plus en détail