RAPPORT SUR LE PLAIDOYER POUR UN MEILLEUR ACCÈS DE L AGRICULTURE URBAINE AU FINANCEMENT. LE CAS DE BOBO-DIOULASSO
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- Nathalie Guérin
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1 RAPPORT SUR LE PLAIDOYER POUR UN MEILLEUR ACCÈS DE L AGRICULTURE URBAINE AU FINANCEMENT. LE CAS DE BOBO-DIOULASSO Juillet
2 SIGLES ET ABBREVIATIONS APIPAC BRS FCFA IAGU-BAU PMA PROFAUP RUAF URCPO Association des Professionnels de l Irrigation Privée et des Activités Connexes Banque Régionale de Solidarité Franc de la Communauté Financière Africaine Institut Africain de Gestion Urbaine-Bureau Agriculture Urbaine Plateforme Multi-Acteurs Promotion des Filières Agricoles Urbaines Porteuses Resource Centres on Urban Agriculture and Food Security Union Régionale des Caisses Populaires de l Ouest 1
3 Sommaire SIGLES ET ABBREVIATIONS Description et analyse du processus / méthodologie L étude sur le crédit et le financement et le plaidoyer pour un meilleur accès au financement Contraintes et Difficultés - Perspectives RESULTATS Le projet/produit financier conçu Les institutions de crédit et de financement impliquées dans le financement de l'agriculture urbaine PRINCIPALES LECONS APPRISES ET RECOMMANDATIONS
4 1. Description et analyse du processus / méthodologie 1.1. L étude sur le crédit et le financement et le plaidoyer pour un meilleur accès au financement L étude sur le crédit et le financement de l agriculture urbaine dans la ville de Bobo Dioulasso a été menée par un consultant indépendant, de novembre 2009 à Janvier Cette étude a été menée en plusieurs étapes : (i) Échanges de cadre avec le commanditaire de l étude : information partagée sur la mission, documentation disponible recueillie, adoption de la méthodologie de travail ; (ii) Identification des groupes cibles faite par le consultant : Liste des institutions de financement et types et emplacement des petits producteurs urbains défavorisés / ménages impliqués dans la transformation et la commercialisation agricole en milieu urbain ; (iii) Élaboration des outils de collecte et investigation : entretien et enquête auprès des acteurs. Cette étape a été menée par le consultant et deux enquêteurs ; (iv) Analyse des données et rédaction du rapport, faite par le consultant avec l œil critique du coordonnateur de l IAGU-BAU. Ce rapport provisoire a présenté le 23 juin 2011 ses principaux résultats et recommandations au cours d un atelier local de restitution, à savoir : (i) Les besoins financiers et contraintes de financement ; (ii) Les options de réponses et leurs conditions ; (iii) Les recommandations en termes de produits financiers et d accompagnement. Cette restitution a vu la participation des groupes cibles interviewés (producteurs/trices, commerçants/tes, transformateurs/trices, institutions de financement (BRS, Caisse populaire)), de l équipe IAGU/BAU, de la coordonnatrice globale de l Initiative PROFAUP, du BAME/CCI et de l APIPAC. Les échanges menés lors de cette restitution ont mis en évidence la complexité des mécanismes alternatifs de financement développés par les producteurs/trices pour faire face à leur accès difficile aux crédits. En effet, il est ressorti des échanges l existence de relations très étroites, en matière de financement de la production, entre les producteurs/trices et les commerçants/tes avec lesquels ils/elles ont, dans certains cas, des liens familiaux. Aussi, l élaboration de produits financiers spécifiques à l agriculture urbaine requiert-elle une bonne connaissance de cette stratégie endogène palliative aux contraintes d accès au crédit et au financement de l agriculture urbaine, à travers les voies classiques. De ce faite, d autres rencontres ont été programmées sous forme de focus group dont un avec les producteurs/trices ; un avec les commerçants/tes ; un avec les transformateurs/trices et un focus group mixte regroupant ces trois acteurs pour mieux élucider les stratégies endogènes de financement et affiner les produits financiers définis en fonction de deux scénarii de financement. Ces focus group ont été menés par le consultant. 3
5 Ces stratégies endogènes et produits financiers définis ont été validés lors d une rencontre qui s est tenue le 21 septembre de 2010 avec la participation des trois acteurs (producteurs/trices, commerçants/tes et transformateurs/trices), du consultant, de l équipe de l IAGU-BAU, du BAME/CCI et de l APIPAC. Cette rencontre a vu aussi l installation de l équipe de plaidoyer. Cette rencontre a aussi permis à l équipe de plaidoyer de mieux assigner sa mission de plaidoyer : «comment améliorer les conditions d accès à ces produits financiers?». A cet effet, l équipe de plaidoyer a bâti une stratégie autour des deux institutions financières que sont la BRS et le RCPO. L'équipe de plaidoyer est composée de huit personnes: - deux consultants ayant conduit l étude, - un représentant de la chambre de commerce, - un représentant de l'iagu, - le facilitateur de la PMA, - un membre de APIPAC, - deux représentants des producteurs et vendeurs. La stratégie de plaidoyer de l équipe s est articulée autour de trois axes : Activité 1 : Le renseignement : veille informationnelle, mobilisation de sources, notes aux décideurs. Donner plus de visibilité à 1) l'agriculture urbaine, 2) au besoin de financement de l'agriculture urbaine et 3) aux producteurs urbains qui demandent une telle aide financière. Activité 2 : Visites individuelles Différentes visites à la Banque Régionale de Solidarité (BRS), au Fonds Communal d appui aux Activités Économiques des Femmes et des Jeunes (FOCAEFJ) et au Réseau Populaire des Caisses de l Ouest (RCPO) pour discuter d avantage des propositions identifiées retenues durant les rencontres d échanges. Différentes visites également aux autorités administratives de la ville (Mairie, CCI, Services déconcentrés de l Etat) en vue de la création d'un environnement plus propice à l agriculture urbaine (par exemple : procurer une sécurité foncière, la formation, les garanties pour faciliter l accès au financement). Activités 3 : séances d échanges directs entre les producteurs et les institutions de financement. Ceci dans l optique de favoriser une meilleure communication entre ces deux acteurs et de susciter progressivement la confiance. 1.2 Contraintes et Difficultés Perspectives La difficulté majeure de l approche de plaidoyer pour un meilleur accès au financement est liée au fait que les institutions de financement se trouvant à Bobo-Dioulasso sont des bureaux locaux ou régionaux. Elles ne disposent pas alors de toute la compétence requise pour donner une suite 4
6 aux sollicitations de l équipe de plaidoyer. Elles sont alors obligées de se référer à leur siège qui se trouve à Ouagadougou. Ce qui allonge de façon notoire les délais. En outre, le temps imparti pour faire le travail de plaidoyer est très court dans un contexte où les membres de l équipe de plaidoyer sont très occupés dans leurs activités professionnelles. 2. RESULTATS 2.1 Le projet/produit financier conçu Dans l approche de plaidoyer pour un meilleur accès au financement, deux scénarii de financement de la production ont été identifiés avec chacun deux produits financiers. Scénario 1: Le revendeur est au centre des transactions Deux types de produits financiers peuvent être retenus pour ce scénario : Les lignes de crédit /découvert au fournisseur lui permettant de couvrir ses charges avec le remboursement. En effet, il s agit d une forme de concours ponctuel en trésorerie destiné à permettre au demandeur de financer son fonds de roulement. Il s agit généralement de concours de faible durée [1 à 3 mois ; voir 12 mois quelque fois] qui peut être renouvelable si ce besoin est régulier. C est souvent une ligne de crédit consentie au demandeur dans des conditions bien précises. Ce produit n exige pas d analyse pointue, c est le cycle d exploitation qui est généralement pris en compte. C est un crédit qui est surtout octroyé à des demandeurs déjà connus par l institution financière. Les avances sur marchés/ sur bons de commande au commerçant qui pourra préfinancer directement les producteurs en leur fournissant des intrants. En effet, si le commerçant a une commande nationale ou internationale, il pourra bénéficier de cette forme de crédit de trésorerie liée directement à l exécution d un marché ou d une commande. Les avances peuvent être soit des avances de démarrage, soit des avances progressives qui sont faites au fur et à mesure de l exécution du contrat. Ces avances sont en général garanties par une domiciliation du paiement. Cela nécessite que les recettes liées au marché soient versées directement au sein de l institution financière qui peut à ce moment là prélever à la source les remboursements du crédit. L avance sur marché est relativement facile à mettre en œuvre et les garanties sont faciles à saisir quand il y a domiciliation. Scénario 2: Le groupement des producteurs est au centre des transactions Les produits financiers retenus pour ce scénario sont : Les avances sur marchés/ sur bons de commande au groupement de producteurs pour l exécution d un marché ou d une commande avec le commerçant local. Les avances peuvent être soit des avances de démarrage, soit des avances progressives qui sont faites au fur et à mesure de l exécution du contrat. Ces avances sont en général garanties par une domiciliation du paiement. Cela nécessite que les recettes liées au marché soient versées directement au sein de l institution financière qui peut à ce moment là prélever à la source les remboursements du 5
7 crédit. L avance sur marché est relativement facile à mettre en œuvre et les garanties sont faciles à saisir quand il y a domiciliation. Les crédits de campagne / crédits stockage au groupement de producteurs : Il s agit d une forme de concours de trésorerie destiné à l achat de matières premières, au paiement de la main d œuvre, au préfinancement de stock. Ce crédit permet de financer les campagnes agricoles, la commercialisation des produits agricoles, etc. Le crédit de campagne est relativement facile à mettre en œuvre. L analyse se base essentiellement sur les projections d activités. Les remboursements se font souvent par tranches ou in fine. A travers les besoins financiers prioritaires et avec l objectif de favoriser l accès au financement d au moins 1000 producteurs urbains de Bobo Dioulasso, le montant des besoins est estimé à F CFA sur une période de cinq (05) ans. Les volumes de fonds nécessaires sont fournis dans le tableau ci-dessous. Désignation Année 1 (2011) Année 2 Année 3 Année 4 Année 5 Investissement (Démarrage et extension) Fonctionnement (Fonds de Roulement) Total L activité visée dans cette approche de plaidoyer est la production de choux-pommés dans un premier temps. La réalisation des actions envisageables entraînera donc une augmentation des volumes de production grâce à l amélioration des rendements et des superficies. En effet, avec un accès accru au financement, le rendement pourrait atteindre 30t/ha (fiche technique NAKOSEM) suite à l amélioration de la disponibilité et de l accessibilité des intrants de qualité et un meilleur accès aux équipements et infrastructures de production. En outre, les puits permettront d assurer une production continue. Le financement permettra également l aménagement de nouveaux périmètres. Par exemple, les producteurs du groupement Kibidoué de Kunima disposent entre 300 et 500 m² de périmètres, mais n exploitent qu entre 100 et 200 m². Cet aménagement favorisera également une augmentation de la production. 2.2 Les institutions de crédit et de financement impliquées dans le financement de l'agriculture urbaine Financement de l Agriculture Urbaine Les institutions de crédit et de financement qui s associent aux producteurs urbains Situation initiale Situation actuelle Nom de l institution Description des pratiques initiales Description des pratiques en vigueur Crédits d investissement et de Crédits Banque Régionale fonctionnement. Mais d investissement et de de Solidarité réflexion en cours en faveur fonctionnement de l agriculture urbaine. Le Réseau des Crédits Crédits d investissement et de 6
8 pour concevoir ensemble de nouveaux produits financiers / améliorés / plus accessibles Situation initiale Nom de Description des l institution pratiques initiales Caisses Populaires d investissement et de de l Ouest fonctionnement Le Fonds International de Garantie Le Fonds Communal d appui aux Activités Économiques des Femmes et des Jeunes (FOCAEFJ Crédits d investissement et de fonctionnement Fonds de garantie Crédits d investissement et de fonctionnement Les institutions de crédit et de financement qui changent / ont changé leurs conditions ou pratiques de prêt / financement de l'agriculture urbaine. Les institutions de crédit et de financement qui ont augmenté leur niveau annuel de crédit et de financement pour l'agriculture urbaine Situation actuelle Description des pratiques en vigueur fonctionnement. Mais réflexion en cours en faveur de l agriculture urbaine. Fonds de garantie. Mais réflexion en cours en faveur de l agriculture urbaine. Ce fonds constitue une opportunité pour l agriculture urbaine de la ville de Bobo- Dioulasso compte tenu de ces conditions d octroi de crédit : être femme (pas de limite d âge) ou homme de ans et être en activité (production, commercialisation, transformation). Le crédit varie entre et FCFA avec un taux d intérêt de 5%. Au niveau de la Banque Régionale de Solidarité (BRS) et du Réseau des Caisses Populaires de l Ouest (RCPO), il a été noté, grâce au plaidoyer, une ouverture à intégrer davantage l agriculture urbaine. Mais, l une des conditions est l existence d une structure technique (ONG ou service étatique) qui assumera la supervision et l encadrement des bénéficiaires. La Mairie de Bobo-Dioulasso a alloué une subvention de deux millions de FCFA à la Coopérative Maraîchère de Bobo-Dioulasso (COMABO) 7
9 3. PRINCIPALES LECONS APPRISES ET RECOMMANDATIONS L analyse des acteurs directs de l agriculture urbaine dans la ville de Bobo-Dioulasso révèle trois grandes catégories d acteurs à savoir : les producteurs, les commerçants, généralement les épouses des producteurs, les grossistes, les détaillants, les exportatrices), les transformateurs (unités de séchage, etc.). De plus, cette analyse relève un circuit court de commercialisation mettant en rapport le producteur avec le consommateur ou le producteur, le détaillant (surtout sa femme) avec le consommateur. Pour un développement accru de la production agricole urbaine dans la ville de Bobo Dioulasso et/ou des activités de transformation et de commercialisation, l accès au crédit et au financement de cette agriculture est primordial. Or, à Bobo Dioulasso, la quasi-totalité des acteurs n ont pas accès au crédit et au financement. En effet, les crédits disponibles ne sont pas adaptés aux conditions spécifiques des acteurs de l agriculture urbaine. Il faut aussi noter le manque de professionnalisme et d organisation des agriculteurs urbains. A cela, s ajoute leur faible niveau d instruction. A Bobo-Dioulasso, le potentiel de financement de l agriculture urbaine existe, notamment avec des institutions de financement comme la Banque Régionale de Solidarité (BRS) et le réseau des Caisses Populaires (URCPO). Les produits et services proposés à l agriculture urbaine sont les crédits d'investissements en moyen et long terme (3 à 5 ans), les crédits de fonctionnement (court terme). 8
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