République de Guinée. Ministère de l Economie et des Finances. Unité de Coordination et d Exécution des Projets
|
|
- Thérèse Gignac
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 République de Guinée Ministère de l Economie et des Finances Unité de Coordination et d Exécution des Projets PROJET D APPUI AU RENFORCEMENT DES CAPACITES DE GESTION ECONOMIQUE ET FINANCIERE (PARCGEF) Protocole de Don FAD n N DU PROJET : P-GN-K TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CABINET CONSULTANTS EN VUE DE LA COLLECTE, RECONCILIATION ET AUDIT ITIE GUINEE 1- CONTEXTE ET JUSTIFICATION Le Gouvernement de la République de Guinée a reçu un Don du Fonds Africain de Développement (FAD), d un montant de Unités de compte en différentes monnaies et devises, pour financer le coût du Projet d appui au renforcement des capacités de gestion économique et financière (PARCGEF), et se propose d'utiliser une partie des ressources de ce don pour effectuer les paiements autorisés au titre des contrats devant être acquis dans le cadre de ce projet. Les objectifs spécifiques du projet sont : (i) renforcer les capacités des structures du Ministère de l Economie et des Finances en charge de la planification, du processus budgétaire et de la mobilisation des ressources et (ii) renforcer la gouvernance dans les secteurs extractif et sylvicole. Le Projet s articule autour de trois composantes principales : (i) l amélioration de la gestion des finances publiques, (ii) l amélioration de la gouvernance dans les secteurs extractif et sylvicole et (iii) le renforcement de la coordination et du suivi des réformes économiques et financières. Dans le cadre de la mise en œuvre du projet d Appui au Renforcement des Capacités de Gestion Economique et Financière PARCGEF, et au titre du financement de la Banque Africaine de Développement BAD, le Gouvernement de la République de Guinée recrute un consultant pour servir auprès de l Unité de Coordination et d Exécution du Projet (UCEP), au compte du Ministère des Mines et de la Géologie et ce, pour la collecte, la réconciliation et l audit ITIE-Guinée Le secteur minier (Bauxite, alumine, or, diamants) joue un rôle de premier plan dans l économie guinéenne. Avec des variations selon les années, il contribue à environ 85 % des recettes d exportation, 25 % des recettes courantes de l État et 16 % du PIB. Dans le but de maximiser les effets positifs de ce secteur sur la croissance et la lutte contre la pauvreté, le Gouvernement Guinéen a décidé d adhérer à l Initiative sur la transparence des industries extractives (ITIE).
2 Les principes auxquels souscrivent tous les pays qui adhèrent à cette initiative sont : la publication régulière de tous les paiements faits par les compagnies et de tous les revenus perçus par le Gouvernement de façon compréhensible et accessible par un large public; la réconciliation des informations sur les paiements versés et les revenus perçus; l audit indépendant de ces paiements et de ces revenus; l inclusion de la société civile dans la mise en place, le suivi et l évaluation de ce processus; le développement d un plan d action soutenable pour la mise en œuvre de l initiative avec le soutien des partenaires du développement ; l évaluation de la mise en œuvre par un consultant indépendant suivant une méthodologie de validation bien défini On trouvera une description détaillée de la méthodologie de l ITIE et des principes auxquels doivent souscrire les pays qui adhèrent à l initiative dans le «Source Book» et les Règles de l ITIE, Edition Celui-ci est disponible sur le site international de l ITIE : ou La responsabilité du fonctionnement de l ITIE en Guinée a été confiée à un comité de pilotage composé de représentants des administrations, des compagnies minières et de la société civile. Celui-ci s appuie sur le travail de deux commissions, la Commission Audit et Statistiques chargée de superviser la collecte, la réconciliation et de mettre en place les audits des informations ainsi collectées, la Commission Communication et Renforcement des capacités qui, comme son nom l indique est chargée de la publication des résultats et du renforcement des capacités des diverses parties prenantes de façon à soutenir le processus et à faciliter la compréhension et la bonne utilisation des informations générées par l ITIE. Le comité de pilotage a déjà réalisé la collecte et la réconciliation puis l audit des données des années 2005,2006, 2007, 2008, 2009 et Le Rapport sur la collecte, la réconciliation des données auditées de 2005 a été publié le 15 octobre Le rapport final de la Collecte, la réconciliation de données auditées de l exercice 2006 a été officiellement présenté le16 mars La validation du processus de la mise en œuvre de l ITIE a été finalisée le 31 août Objectifs L objectif du mandat est, en s appuyant sur les recommandations méthodologiques faites dans le «Source Book», de réaliser la collecte, la réconciliation et l audit des flux des paiements effectués par les entreprises et les revenus perçus par les administrations pour l exercice 2011.
3 Objectifs spécifiques : d assurer la transparence des paiements et des revenus générés par les industries extractives ; de rendre cette information accessible à la société civile et au grand public ; de favoriser ainsi le bon usage de cette richesse afin qu elle soit un moteur de la croissance économique et contribue au développement durable et à la réduction de la pauvreté. 3- Résultats attendus : des paiements et des revenus générés par les industries extractives ; la société civile et le grand public sont informés des différents paiements et revenus générés par les industries extractives ; les revenus générés sont utilisés à bon usage et contribuent au développement durable et à la réduction de la pauvreté. 4- Tâches du consultant : Sous l'autorité du Coordonnateur de l Unité de Coordination et d Exécution des Projets de Renforcement des Capacités de Gestion Economique et Financière (UCEP) au Ministère de l Economie et des Finances et sous la coordination du Secrétariat Exécutif de l ITIE-Guinée, le consultant devra pour cette année: Faire la collecte d une part des données certifiées relatives à tous les paiements faits par i) les compagnies minières (CBG, ACG, CBK, SAG, SMD et SEMAFO), ii) les sociétés en phase de développement effectuant des paiements significatifs tels que Rio Tinto, VALE BSGR, BHP BILLITON, Guinea Alumina Company et Euro NIMBA ) les comptoirs d achat du Diamant et les bureaux agréés d exportation d or iii) le Bureau National d Expertise du Diamant (BNE) ainsi que la BCRG pour la Commercialisation de l Or et d autre part de tous les revenus perçus par le Gouvernement tant au niveau central que local ; Cette collecte implique un déplacement au siège d exploitation de chaque compagnie minière (Siguiri pour la SAG, Léro dans la préfecture de Siguiri, Dinguiraye pour la SMD, Kiniéro pour SEMAFO, Kamsar pour CBG, Fria pour ACG et Kindia pour CBK ainsi que ceux des sociétés concernées en phase de développement. Faire une étude de cadrage pour le périmètre et le seuil de matérialité ; Soumettre au comité de pilotage des suggestions de seuil de matérialité, avec différents scenarios pour approbation Elaborer des formulaires de collectes de données avec les flux économiques a inclure pour approbation par le comité de pilotage.
4 Conduire un atelier de formation pour toutes les parties prenantes pour répondre aux questions relatives à l'exercice de collecte et de réconciliation des données sur la base de la méthodologie adoptée par le comité de pilotage Procéder à la collecte et à la réconciliation des paiements et des revenus ; Auditer les flux des paiements effectués par les entreprises minières et les revenus perçus par les administrations ; Vérifier la conformité des paiements effectués par les entreprises avec ce qui est prévu par les conventions qu elles ont signées et les régimes fiscaux qui leur sont applicables ; Faire les recommandations qu il jugera pertinentes pour améliorer la transparence, la collecte et la réconciliation des paiements effectués par les entreprises et des revenus reçus par les administrations ; Faire toute autre recommandation pour la bonne marche de l ITIE en Guinée, notamment en ce qui concerne les insuffisances et dysfonctionnements constatés ; Renforcer les capacités du Secrétariat Exécutif et des membres de la Commission statistiques et audit à l utilisation des bases des données de la collecte et de la réconciliation utilisées par le Consultant (gabarits), Faire une analyse plus détaillée des versements locaux et de leur affectation en raison d une part de leur impact sur le développement local et d autre part des écarts significatifs constatés lors des exercices 2005 et Le cabinet doit s assurer que le rapport ITIE 2011 est complet, identifie tous les écarts, les explique si possible et formule, dans les cas où cela est nécessaire, des recommandations en matière d actions à prendre pour y remédier. Pour se faire, le cabinet doit : i. Collecter des données des entités qui doivent reporter, fournir des explications si nécessaire et faire un travail de suivi pour s assurer que toutes les entités qui doivent reporter le fassent selon les règles de l ITIE. ii. Analyser et réconcilier toutes les données soumises par les entreprises extractives et organismes gouvernementaux pour l'exercice iii. vi. Produire un projet de rapport qui doit être soumis aux membres du comité de pilotage pour commentaires et approbation. En plus d être complet et compréhensible, le rapport final doit mettre en évidence les écarts non résolus et formuler des recommandations sur les mesures à prendre pour les corriger. 5- Champ Couvert par le Mandat a. Types de Revenues En se basant sur les résultats de la collecte/réconciliation des années 2005,2006, 2007, 2008, 2009 et 2010 les paiements effectués par les entreprises du secteur minier obéissent à une nomenclature dérivée de la comptabilité d entreprise. Les revenus perçus par l État sont quant à eux dans une nomenclature qui s articule sur la nomenclature d exécution de recettes de la loi des finances.
5 La nomenclature retenue par l ITIE Guinée pour la mission se présente comme suit : 1- Revenus miniers a. Avances (ou/et prêt) des compagnies minières à l État b. Taxes minières (bauxite, alumine, ) c. Taxes à l exportation (or, diamant) d. Impôts sur les bénéfices e. dividendes 2- Revenus de patrimoine 3- Versements locaux 4- Taxes sur les intrants a. Taxes sur les revenus et CNSS b. Taxes et redevances sur imports/exports c. Autres retenues à la source d. Autres taxes et redevances Seuls les chapitres 1, 2 et 3 relèvent à proprement parler de l ITIE telle que définie par le Source Book. Les chapitres 1 (taxe minière, impôts sur les bénéfices et dividendes) et 2 (location d infrastructures) représenteraient plus de 98% des revenus couverts par l ITIE. Ils sont généralement bien documentés par les entreprises et les administrations. Les entreprises ont fourni en 2005 et 2006 des informations détaillées pour le chapitre 3 (versements locaux). L information fournie par les administrations est incomplète en raison de l absence d un agent comptable dans de nombreuses collectivités territoriales décentralisées qui a été corrigée en partie. Le chapitre 4 a été retenu en raison de l intérêt qu il suscite auprès de plusieurs parties prenantes de l ITIE en Guinée. La taxe sur les revenus et CNSS est bien documentée par les entreprises et par les administrations. Les taxes et redevances sur les importations et les exportations n ont pas été retenus lors de ce premier exercice 2005 car les montants sont difficiles à isoler, tant du côté de la douane que des sociétés minières : difficulté de séparer les importations destinées à l activité minière des autres importations et de séparer droits de douane et frais de transit. Les autres retenues à la source sont en principe bien saisies du côté des entreprises. Du côté des administrations, une grande partie des paiements de ce sous-chapitre se fait au niveau des préfectures; ce qui exige un déplacement des auditeurs vers ces préfectures.
6 Seules les taxes et redevances portant sur des montants significatifs au regard de l ITIE ont été considérées. a) Champ du mandat Pour l exercice, la collecte et l audit ne retiendront essentiellement que les chapitres 1,2, 3 et tous les paiements significatifs déterminés par l étude de cadrage pour le périmètre et du seuil de matérialité. b. Les Entreprises Couvertes L exercice couvre les revenus générés par : les sociétés minières CBG, CBK, ACG, SAG, SMD et SEMAFO et les sociétés en développement. La société AREDOR a cessé ses activités de production et de commercialisation depuis Comptoirs d achat du Diamant et les bureaux agréés d exportation d or. c. Les Administrations Couvertes: Ministère de l Économie et des Finances (Direction Nationale du Trésor, Direction Nationale des Impôts, Direction Nationale des Douanes, Direction Nationale du patrimoine de l Etat et des investissements privés (Cadastre), Direction Nationale de la Dette et des Investissements Publics, Direction Nationale du Budget); Banque Centrale de la République de Guinée (BCRG); Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS); ANAIM BNE Services décentralisés (Gouvernorats, préfectures, Communes et CRD). d. Devises Le mandat portera sur les flux en dollars américains d une part et en francs guinéens, d autre part. Il examinera les difficultés posées par les questions de taux de change et fera des recommandations sur les façons de les traiter.
7 e. Seuils de Matérialité La marge d erreur acceptable recommandée est de US$ pour les paiements réalisés en dollars et de 100 MFG pour les paiements faits en francs guinéens ou celle qui sera déterminée par l étude de cadrage. f. Conformité aux conventions Le consultant vérifiera si les entreprises effectuent leurs paiements de taxes et impôts en conformité avec ce qui est prévu dans les conventions et les régimes fiscaux qui leur sont applicables. g. Amelioration du Processus Le consultant fera des remarques sur des problèmes de comptabilisation, d imputation ou d organisation comptable qu ils ont pu rencontrer. Le consultant examinera ces questions et tout autre problème qu il aura pu lui-même rencontrer et fera des recommandations sur les améliorations souhaitables pour y remédier. h. Format de la collecte et de la réconciliation des données Le Consultant pourra faire si nécessaire ses propres recommandations concernant la nomenclature proposée au Rapports du consultant Les rapports du consultant (provisoire et définitifs) seront présentés en premier lieu au Secrétariat Exécutif et au Président du Comité de Pilotage. Le rapport final ITIE 2011 doit : i. proposer une définition claire des «paiements et revenus significatifs» convenue par le comité de pilotage ainsi que répertorier et décrire les flux de revenus et d avantages qui sont inclus dans le rapport ; ii. répertorier les entreprises dûment agréées ou enregistrées en phase d exploration /ou d exploitation dans le secteur extractif, en relevant celles qui ont participé au processus de déclaration de l ITIE et celles qui n y ont pas participé (dans ces derniers cas, indiquer la taille relative, soit en termes de volumes de production ou de montants de revenus / paiements, et des raisons de leur non-participation à l ITIE) ; iii. stipuler clairement si certaines entreprises et entités gouvernementales ont manqué de participer au processus de déclaration et évaluer si ceci est susceptible d avoir un impact significatif sur les chiffres déclarés ; iv. décrire les mesures prises par le gouvernement et le comité de pilotage pour s assurer que les chiffres communiqués par les entreprises et le gouvernement au réconciliateur se fondent sur des comptes audités conformément aux normes internationales ;
8 v. décrire la méthodologie adoptée par le réconciliateur afin d identifier les écarts, et tous travaux supplémentaires effectués par le réconciliateur, le groupe multipartite ou le gouvernement pour expliquer et si nécessaire résoudre les écarts qui ont été identifiés. vi. documenter les procédures de préparation du rapport, y compris l identification du périmètre, et les leçons apprises pour les prochains exercices de réconciliation. 7- Livrables : Le Rapport final sera fourni en cinq (5) exemplaires en format papier et un ou plusieurs fichiers informatiques en Word ou Excel dans un CD au plus tard un (1) mois après la fin du contrat. 8- Qualifications Requises Le Cabinet de consultants devra être d une notoriété internationale reconnue avec une bonne expérience dans le secteur minier guinéen. Il aura une expérience d au moins 10 ans dans le domaine de la collecte et de l audit. Il devra avoir réalisé des missions de collecte et d audits de sociétés minières et des administrations et posséder des expertises dans le domaine des paiements effectués, des revenus perçus et de la cohérence des paiements avec les conventions et accords miniers. A ce titre, il aura une bonne connaissance de la fiscalité minière applicable en Guinée et une connaissance approfondie non seulement des questions des taux et du calcul d imposition mais aussi des structures institutionnelles impliquées dans la gestion des revenus miniers. L appui d un bureau d étude guinéen sera un plus. Cependant le temps imparti aux experts internationaux devra être au moins de 70% du temps total d expertise, dont les 2/3 pris en Guinée. 9- Durée de la Mission La durée effective de la mission est de 90 hommes/jours, à compter de la date de signature du contrat. 10- Règlement des prestations du consultant Le règlement des prestations du consultant se fera à hauteur de 10% pour le démarrage, 60% à la présentation du rapport préliminaire et 30% à la présentation du rapport final.
BANQUE MONDIALE APPUI AU SUIVI EVALUATION PARTICIPATIF DES PROJETS DE LA BANQUE MONDIALE EN GUINEE
BANQUE MONDIALE APPUI AU SUIVI EVALUATION PARTICIPATIF DES PROJETS DE LA BANQUE MONDIALE EN GUINEE NOTE D EVALUATION Préparée par Dr Thierno Ousmane Wann, consultant Version finale Conakry, janvier 2009
Plus en détailPrincipales dispositions du projet de règlement
Principales dispositions du projet de règlement (TEXTE VOTÉ PAR LA COMMISSION JURI LE 21 JANVIER 2014) Février 2014 1 Honoraires d audit (article 9) (1/3) Limitation des services non audit Si un contrôleur
Plus en détailACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA
1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement
Plus en détailGuinée. Régime des relations financières relatives aux transactions entre la République de Guinée et l étranger
Régime des relations financières relatives aux transactions entre la République de et l étranger Instruction de la Banque de n 112/DGAEM/RCH/00 Chapitre 1 - Objet Art.1.- La présente Instruction a pour
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailNOTE TECHNIQUE ANNEXE VI AU CONTRAT DE SUBVENTION : MODELE DE RAPPORT FINANCIER
NOTE TECHNIQUE ANNEXE VI AU CONTRAT DE SUBVENTION : MODELE DE RAPPORT FINANCIER Avertissement: les éléments ci-dessous ne préjugent pas de l'appréciation finale lors de l'examen des rapports financiers
Plus en détailRégime des Entreprises Totalement Exportatrices (Articles 10 à 20)
Régime des Entreprises Totalement Exportatrices (Articles 10 à 20) I. Définition des entreprises totalement exportatrices (art 10) : L article 10 du code d incitation aux investissements a défini les entreprises
Plus en détailLes Politiques macro-économiques
Politique Financière Politique Monétaire Politique Fiscale Les Politiques macro-économiques Politique Budgétaire Politique de Crédit Politique Commerciale Politique d Investissement Jocelerme PRIVERT POLITIQUE
Plus en détailGuide pour l élaboration des rapports sur le projet (rapport descriptif et rapport financier)
Guide pour l élaboration des rapports sur le projet (rapport descriptif et rapport financier) Ce sont les projets qui doivent être les premiers bénéficiaires de l élaboration des rapports. Ils permettent
Plus en détailGuinée. Code des investissements
Code des investissements Ordonnance n 001/PRG/87 du 3 janvier 1987 [NB - Ordonnance n 001/PRG/87 du 3 janvier 1987, modifiée par la loi n L/95/029/CTRN du 30 juin 1995] Art.1.- La présente Ordonnance portant
Plus en détailLES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI
LES NOUVEAUX INDICAEURS SAISIQUES DU FI À la fin de 1994 et au début de l année 1995, la répétition et la sévérité des désordres sur les marchés de capitaux, et récemment la crise financière du exique
Plus en détailRECOMMANDATIONS COMMISSION
L 120/20 Journal officiel de l Union européenne 7.5.2008 RECOMMANDATIONS COMMISSION RECOMMANDATION DE LA COMMISSION du 6 mai 2008 relative à l assurance qualité externe des contrôleurs légaux des comptes
Plus en détailJournal Officiel - Numéro Spécial - 18 août 2006. 47 ème année OFFICIEL. de la République Démocratique du Congo. Cabinet du Président de la République
1 47 ème année JOURNAL OFFICIEL de la République Démocratique du Congo Cabinet du Président de la République LA NOMENCLATURE DES ACTES GENERATEURS DES RECETTES ADMINISTRATIVES, JUDICIAIRES, DOMANIALES
Plus en détailAnnexe - document CA 118/9. Termes de référence. Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF
Annexe - document CA 118/9 Termes de référence Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF Index 1 Description de l organisation... 3 2 Contexte de la mission... 4 3 Objet de la mission... 4 3.1 Objectif
Plus en détailwww.droit-afrique.com concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent.
concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent. Pour permettre l établissement des états de liquidation, une déclaration signée, affirmée sincère
Plus en détailElaboration de tableaux de bord sur l emploi (éditions 2011, 2012 et 2013)
REPUBLIQUE DU BENIN = + = + = + = MINISTERE CHARGE DE LA MICROFINANCE, DE L EMPLOI DES JEUNES ET DES FEMMES (MCMEJF) = + = + = + = + = Agence Nationale Pour l Emploi (ANPE) = + = + = + = TERMES DE REFERENCE
Plus en détailC ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats
C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.
Plus en détailPROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET
PROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET ID Projet : P106982 IDA H589 ZR TF010744 Pour le recrutement d un Consultant International
Plus en détail1. Contexte de l activité.
REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET DE LA TECHNOLOGIE TERMES DE REFERENCES relatifs AU DEUXIEME APPEL A PROPOSITIONS DANS LE CADRE DU PROGRAMME D'APPUI
Plus en détailRESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATION ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI
RESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATION ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI Révision : 26/02/13 Impression : 23/04/13 RESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATON ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI Révision : 26/02/13
Plus en détailRemarques introductives, décentralisation fiscale
Remarques introductives, décentralisation fiscale Forum Régional sur la Décentralisation Marseille, 23 juin 2007 Hélène Grandvoinnet Plan Variété des CL RESSOURCES Trois grands types de ressources Ressources
Plus en détailDéveloppement d une Norme de données ITIE
RÉUNION DE LA REVUE DE LA STRATÉGIE DE L ITIE, HENLEY, 11-12 AVRIL 2012 Développement d une Norme de données ITIE Document de fond Secrétariat international de l ITIE Oslo, 2 avril 2012 Sommaire 1. Résumé...
Plus en détailComment s établir aux États-unis?
Comment s établir aux États-unis? Zara Law Offices 111 John Street Suite 510 New York, NY 10038 Tel: 1-212-619 45 00 Fax: 1-212-619 45 20 www.zaralawny.com 1 Introduction La récente baisse du dollar constitue
Plus en détailLe Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011
Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011 Références à rappeler : CM/JPR/RODII/064 036 931 Monsieur le Directeur, Par lettre du 21 janvier 2011, vous avez été informé que la chambre régionale des comptes
Plus en détailINDIVIDUAL CONSULTANT PROCUREMENT NOTICE
INDIVIDUAL CONSULTANT PROCUREMENT NOTICE Date: 10 Novembre 2014 Pays: TUNISIE Description de la consultation: RECRUTEMENT D UN CONSULTANT NATIONAL EXPERT SOCIETE CIVILE Nom du projet: JUSTICE TRANSITIONNELLE
Plus en détailSEMINAIRE SUR LA COMPILATION DES STATISTIQUES DU COMMERCE INTERNATIONAL DES MARCHANDISES ( Abuja, 30 Août 2 Septembre 2005 )
SEMINAIRE SUR LA COMPILATION DES STATISTIQUES DU COMMERCE INTERNATIONAL DES MARCHANDISES ( Abuja, 30 Août 2 Septembre 2005 ) PRESENTATION DE LA PRODUCTION DES STATISTIQUES DOUANIERES GUINEE Conakry I -
Plus en détailTERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE
TERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE 1. CONTEXTE ET JUSTIFICATION Depuis la campagne 2012-2013, l Etat de Côte d Ivoire a engagé une réforme de la filière café-cacao
Plus en détailREPUBLIQUE D'HAITI CONVENTION MINIERE TYPE. EN VERTU DU PERMIS D EXPLOITATION N o
REPUBLIQUE D'HAITI CONVENTION MINIERE TYPE RELATIVE A L EXPLOITATION DU GISEMENT SITUÉ DANS LA COMMUNE DE DANS LE DEPARTEMENT DE EN VERTU DU PERMIS D EXPLOITATION N o OCTROYÉ LE Le, ENTRE L ETAT HAITIEN,
Plus en détailAppendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs
Appendice 2 (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs NOTE Dans les propositions de Texte identique, XXX désigne un qualificatif de norme
Plus en détail[avaient] [avaient] Réconciliateur a confirmé que tous les paiements significatifs ont été divulgués dans le cadre de la production des rapports. Cependant, le Validateur n a pas reçu suffisamment d informations
Plus en détailBanking Business Consulting SYNTHESE SUR LES ENJEUX LIES A LA MISE EN PLACE DE FATCA. 1 P a g e. 1. Objectif de FATCA
1. Objectif de FATCA En mars 2010, le Sénat américain a adopté la loi "Foreign Account Tax Compliance Act" aux termes de laquelle les établissements financiers et les fonds étrangers sont appelés à collaborer
Plus en détailCOMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT
COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT Février 2015 Un comité du conseil d administration (le «conseil») du commandité (le «commandité») de Brookfield Renewable
Plus en détailAppel à Manifestation d'intérêt
AfricaInteract : Renforcement des liens entre la recherche et les décideurs politiques pour l'adaptation au changement climatique en Afrique Appel à Manifestation d'intérêt Recrutement d'un expert pour
Plus en détailQUATRIÈME TRIMESTRE 2003 PUBLICATION IMMÉDIATE SEMAFO PRÉSENTE SES RÉSULTATS FINANCIERS POUR L ANNÉE SE TERMINANT LE 31 DÉCEMBRE 2003
COMMUNIQUÉ QUATRIÈME TRIMESTRE 2003 TSX-SMF PUBLICATION IMMÉDIATE SEMAFO PRÉSENTE SES RÉSULTATS FINANCIERS POUR L ANNÉE SE TERMINANT LE 31 DÉCEMBRE 2003 Montréal, Québec, le 21 avril 2004 SEMAFO (TSX SMF)
Plus en détailCahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes)
1 Commune municipale Cahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes) I. GENERALITES 1. Bases légales, prescriptions
Plus en détailLe plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal»
Le plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal» Ce qu il faut retenir Article 74 de la loi de finances pour 2006 Dans la situation actuelle, il peut arriver que le montant total
Plus en détailEnquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit
Enquête unifiée auprès des entreprises - annuelle Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit Guide
Plus en détailNote commune N 3 / 2014
REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DES FINANCES DIRECTION GENERALE DES ETUDES ET DE LA LEGISLATION FISCALES Note commune N 3 / 2014 Objet : Commentaire des dispositions de l article 77 de la loi n 2013-54
Plus en détailGUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES
REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale
Plus en détailSELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA TDR : REFERENTIELS ET PROCEDURES
Plus en détailNOTICE EXPLICATIVE QUI SOUSCRIT CETTE DÉCLARATION?
N 2777-D-NOT N 51275 # 07 DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES REVENUS DE CAPITAUX MOBILIERS PRÉLÈVEMENT FORFAITAIRE ET PRÉLÈVEMENTS SOCIAUX DUS À LA SOURCE SUR LES REVENUS DISTRIBUÉS ET LES INTÉRÊTS
Plus en détailTurquie. Date d adoption de la Loi : 9 novembre 2007 CHAPITRE 1. Objectif, Champ d application, Définitions et Abréviations
Turquie Traduction non officielle 1 de la Loi n o 5710 2 relative à la construction et à l exploitation de centrales nucléaires et à la vente de l énergie produite par ces centrales Date d adoption de
Plus en détailDROIT FISCAL. DCG - Session 2008 Corrigé indicatif
DROIT FISCAL DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1-1- Régime d imposition - Quel est le régime d imposition à la de la SA Habitat? La SA Habitat réalise des ventes (menuiseries) et des prestations
Plus en détailLa gestion du compte de l État
FINANCES PUBLIQUES TRÉSORERIE Nouvelle convention MINÉFI/Banque de France La gestion du compte de l État Article d Olivier Cuny, administrateur civil à l Agence France Trésor, en collaboration avec Dominique
Plus en détailRégime de fiscalité. L année fiscale indienne commence le 1 er avril et s achève le 31 mars de l année suivante. Fiscalité des entreprises
La fiscalité en Inde 2010 - Ubifrance et les Missions Economiques Introduction. Actualisation au 3 juin 2010 Prestation réalisée sous système de management de la qualité certifié AFAQ ISO 9001-2008 Régime
Plus en détailTout dossier client est affecté à un binôme leader 1 / assistante :
Assistance administrative et financière Intuitae vous propose de prendre en charge vos problématiques administratives, comptables et financières : collecte et classement de vos documents administratifs,
Plus en détailLes Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales
1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction
Plus en détailRÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Août 2000
A Hydro-Québec Requête R-3401-98 RÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Original : 2000-11-21 HQT-13, Document 1.1.2 (En liasse) 1 1. PRINCIPES ET RÈGLES DE FACTURATION INTERNE
Plus en détailPré qualification d entreprises de Génie Civil
Appel à manifestation d intérêt Pré qualification d entreprises de Génie Civil pour la réalisation de 6 centres de Traitement Epidémiologiques a Fria ; Dalaba ; Tougue ; Dinguiraye ; Mandiana et Yomou
Plus en détailSeptième cycle GUIDE POUR LE SUIVI DES PROJETS, L ÉTABLISSEMENT DE RAPPORTS, LA RÉVISION ET LA PROLONGATION DE PROJETS
Septième cycle GUIDE POUR LE SUIVI DES PROJETS, L ÉTABLISSEMENT DE RAPPORTS, LA RÉVISION ET LA PROLONGATION DE PROJETS Pour tous les modèles de rapports, veuillez visiter le site du FNUD : http://www.un.org/democracyfund/grantees/grantees_r7.html
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES
TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES Avril 2014 TDR pour le renforcement du Service Juridique de la BIDC Page - 1 - I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION La BIDC,
Plus en détailFORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION
FORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION Pour plus d informations, visitez www.marathonprobono.fr/campus-hec-2012 Préambule Ce contenu pédagogique est destiné aux responsables
Plus en détailPROGRAMME AEC COMPTABILITÉ FINANCIÈRE INFORMATISÉE
PROGRAMME AEC COMPTABILITÉ FINANCIÈRE INFORMATISÉE Numéro Liste de compétences - cours Introduction aux mathématiques comptables et financières Utiliser à des fins de gestion des méthodes statistiques
Plus en détailLES INDUSTRIES EXTRACTIVES
LES INDUSTRIES EXTRACTIVES 1. Les mesures pratiques qui ont été prises et les progrès réalisés dans leur mise en œuvre Depuis son accession à l indépendance, le Mali, à travers ses différents plans de
Plus en détailFaites-la comme il faut du premier coup! Évitez les erreurs les plus courantes en préparant votre déclaration de revenus par Jamie Golombek
19 mars 2014 Faites-la comme il faut du premier coup! Évitez les erreurs les plus courantes en préparant votre déclaration de revenus par Jamie Golombek Produire votre déclaration de revenus peut vous
Plus en détailVotre fiduciaire de confiance au Luxembourg EXPERTISE COMPTABLE ET FISCALE CONSEIL ECONOMIQUE GESTION DES SALAIRES
Votre fiduciaire de confiance au Luxembourg EXPERTISE COMPTABLE ET FISCALE CONSEIL ECONOMIQUE GESTION DES SALAIRES ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES Membre inscrit I. Définitions Loi du 11 mai 2007 relative
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détail(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %
RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur
Plus en détailCOMPTE DU RÉGIME DE PENSION DE LA GENDARMERIE ROYALE DU CANADA. Comptables agréés Toronto (Ontario) Le 29 avril 2005
Rapport des vérificateurs Au conseil d administration de l Office d investissement des régimes de pensions du secteur public Compte du régime de pension de la Gendarmerie royale du Canada Nous avons vérifié
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailNOTE CIRCULAIRE N 723 RELATIVE AU REMBOURSEMENT DU CREDIT DE TAXE CUMULE
NOTE CIRCULAIRE N 723 RELATIVE AU REMBOURSEMENT DU CREDIT DE TAXE CUMULE Dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations des assises nationales sur la fiscalité tenues à Skhirat les 29 et 30 avril
Plus en détailComité Directeur Confédéral Intervention économique. 16 mars 2011
Comité Directeur Confédéral Intervention économique 16 mars 2011 En 2010, le déficit budgétaire s est élevé à 148,8 milliards d euros Déficit public en 2010 s est élevé à 7,7 % du PIB Dette publique en
Plus en détailDevHopons plus que des relations
DevHopons plus que des relations CONGO BRAZZA : LES NOUVELLES OFFRES D EMPLOI 04/04/2013 Assistant Contrôleur Interne Lieu d affectation Objet du poste : Sous la supervision du Responsable du Contrôle
Plus en détailCompte général de l État pour 2008
Compte général de l État pour 2008 166e Cahier de la Cour des comptes Complément 3 Compte de la Trésorerie Compte des variations du patrimoine Compte synthétique des opérations de l État COMPTE GÉNÉRAL
Plus en détailSTRATÉGIE POUR LA MODERNISATION DE L INFRASTRUCTURE DU SYSTÈME DE PAIEMENT EN RÉPUBLIQUE DE GUINÉE
STRATÉGIE POUR LA MODERNISATION DE L INFRASTRUCTURE DU SYSTÈME DE PAIEMENT EN RÉPUBLIQUE DE GUINÉE La qualité du système de paiement d un pays (ou d une union monétaire et économique) est un bon indicateur
Plus en détailComplianceSP TM sur SharePoint 2010 CONTRÔLE CONFORMITÉ PERFORMANCES
TM ComplianceSP TM sur SharePoint 2010 Gestion complète de documents et processus des sciences de la vie sur SharePoint 2010 CONTRÔLE CONFORMITÉ PERFORMANCES Aperçu Consciente de la pression croissante
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES TITRE I- LES ÉTATS FINANCIERS... 7 TITRE II- LA FISCALITÉ CORPORATIVE... 55
TABLE DES MATIÈRES TITRE I- LES ÉTATS FINANCIERS...................................... 7 TITRE II- LA FISCALITÉ CORPORATIVE.................................. 55 Table des matières 3 TITRE I LES ÉTATS
Plus en détailPlan. I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion
Plan I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion 2 I)Mise en contexte Les politiques de développement axées sur la réduction
Plus en détailProgramme des Nations Unies pour l'environnement
NATIONS UNIES EP Programme des Nations Unies pour l'environnement Distr. Restreinte UNEP/OzL.Pro/ExCom/40/5 19 juin 2003 FRANÇAIS ORIGINAL: ANGLAIS COMITÉ EXÉCUTIF DU FONDS MULTILATÉRAL AUX FINS D APPLICATION
Plus en détailNOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées
NOTE SUR LES SUBVENTIONS - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées - Les produits de la tarification ne sont pas des subventions A. Récapitulatif des obligations des associations
Plus en détailREVENUS DE CAPITAUX MOBILIERS
N 51275 # 04 N 2777-D-Not @internet-dgfip DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES REVENUS DE CAPITAUX MOBILIERS PRÉLÈVEMENT FORFAITAIRE LIBÉRATOIRE ET PRÉLÈVEMENTS SOCIAUX DUS À LA SOURCE SUR LES REVENUS
Plus en détailAvertissement : ceci est un corrigé indicatif qui n engage que son auteur
DCG UE4 DROIT FISCAL - session 2014 Proposition de CORRIGÉ 2014 dcg-lyon.fr Avertissement : ceci est un corrigé indicatif qui n engage que son auteur DOSSIER 1 TAXE SUR LA VALEUR AJOUTÉE - 5 points 1.
Plus en détailChapitre IV. La certification des comptes
Chapitre IV La certification des comptes Aux termes de la Constitution, «les comptes des administrations publiques sont réguliers, sincères et donnent une image fidèle de leur gestion, de leur patrimoine
Plus en détailNOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER
NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER REMARQUES PRELIMINAIRES Les ménages n ont pas d obligation de tenir une comptabilité. En revanche, d une part, certaines situations liées à un état de dépendance
Plus en détailBarème de frais et de commissions
BMO Ligne d action 1 er mai 2015 Barème de frais et de commissions Pour des commissions et des frais concurrentiels, vous pouvez compter sur nous Chez BMO Ligne d action, nous sommes déterminés à fournir
Plus en détailMarché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08
ROYAUME DU MAROC AGENCE POUR LA PROMOTION ET LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL DES PREFECTURES ET POVINCES DU NORD DU ROYAUME... Marché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08 OBJET : L AUDIT COMPTABLE
Plus en détailConsultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014
Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014 Madame, Monsieur Le Programme «Dépenses publiques et Responsabilité financière» (PEFA), lancé en 2001, a mis en place un cadre
Plus en détailLE COURTAGE D ASSURANCE
Programme 1ère conférence : l éthique du courtier 2ème conférence : la profession du courtier Courtage et environnement concurrentiel Le cadre de l activité L activité La responsabilité des courtiers d
Plus en détailLe rôle du courtier principal
AIMA CANADA SÉRIE DE DOCUMENTS STRATÉGIQUES Le rôle du courtier principal Le courtier principal (ou courtier de premier ordre) offre aux gestionnaires de fonds de couverture des services de base qui donnent
Plus en détailLe Conseil canadien des consultants en immigration du Canada États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011
Le Conseil canadien des consultants États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011 Contenu Rapport d un vérificateur indépendant 2 États financiers Bilan 3 État
Plus en détailGuide de travail pour l auto-évaluation:
Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation
Plus en détailOFFRE DE FINANCEMENT
OFFRE DE FINANCEMENT ENTREPRISES EN DEVELOPPEMENT P.3 Financement de la Balance Clients (en TTC) P.3 Financement en Invoice Discounting (en TTC) P.4 Financement des Créances Commerciales (en TTC) P.5 Financement
Plus en détailPolitique de gestion. 5. Déboursés Il doit y avoir deux signataires sur les chèques, dont au moins un membre du conseil d administration.
TROCCA Table Régionale des Organismes Communautaires Chaudière - Appalaches Politique de gestion Voici une liste de points jugés importants pour la gestion de l organisme. La plupart se rapportent à la
Plus en détail«A R A P L de HAUTE NORMANDIE» Association déclarée, régie par la Loi du 1 er juillet 1901 ============ REGLEMENT INTERIEUR TITRE I
«A R A P L de HAUTE NORMANDIE» ASSOCIATION REGIONALE AGREEE DES PROFESSIONS LIBERALES de HAUTE NORMANDIE Association déclarée, régie par la Loi du 1 er juillet 1901 ============ REGLEMENT INTERIEUR TITRE
Plus en détailAffaires autochtones et Développement du Nord Canada. Rapport de vérification interne
Affaires autochtones et Développement du Nord Canada Rapport de vérification interne Vérification du cadre de contrôle de gestion pour les subventions et contributions de 2012-2013 (Modes de financement)
Plus en détail5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels. 5.5.5. Autres rémunérations
5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels Sous la direction de son Président, le Conseil d administration évalue régulièrement sa taille, sa composition
Plus en détail1. Quelles sont les nécessités et obligations comptables. 2. Pourquoi établir un bilan, un compte de résultat, un budget?
Sommaire 1. Quelles sont les nécessités et obligations comptables 2. Pourquoi établir un bilan, un compte de résultat, un budget? 3. Quels outils? 4. Quelle fiscalité? 5. Quels documents conserver? Introduction
Plus en détailETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR
BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L AFRIQUE DE L OUEST (BCEAO) Avenue Abdoulaye FADIGA BP 3108 Dakar - Sénégal ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR LES SYSTÈMES FINANCIERS DÉCENTRALISÉS DE L UEMOA RAPPORT DE
Plus en détailIntroduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT
Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte
Plus en détail56 avenue de Wagram 75857 PARIS CEDEX 17
56 avenue de Wagram 75857 PARIS CEDEX 17 Labellisation par l UIMM de contrats d assurance groupe, ouverts à l adhésion des entreprises relevant de la branche de la métallurgie, dans le cadre de la généralisation
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS
TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES... 1 1.1. Pays bénéficiaire... 1 1.2. Autorité contractante... 1 2. CONTEXTE...
Plus en détailNewsletter - Mesures fiscales de la loi de Finances pour 2012
Newsletter - Mesures fiscales de la loi de Finances pour 2012 Octobre 2012 Sommaire 1. CONTRIBUTION EXCEPTIONNELLE SUR LA FORTUNE...2 2. DROITS DE SUCCESSION ET DE DONATION...2 2.1 Réduction de l abattement
Plus en détailDécret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité
Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité Le premier ministre, Sur le rapport du ministre de l écologie, du développement durable et de l énergie, Vu le code de l énergie,
Plus en détailConseil économique et social
Nations Unies ECE/CECI/2015/7 Conseil économique et social Distr. générale 26 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de l innovation, de la compétitivité et des
Plus en détailCOMPOSANTE 3 Objectif 3.C
TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CABINET POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA PLATEFORME DE GESTION DES CONNAISSANCES POUR LA REFORME DE LA GOUVERNANCE COMPOSANTE 3 Objectif 3.C Sous-objectif 3.C.02
Plus en détailCLASSE 5 COMPTES FINANCIERS 1.1. COMPTE 50 VALEURS MOBILIERES DE PLACEMENT
5 CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS Les comptes financiers enregistrent les mouvements de valeurs en espèces, chèques, ainsi que les opérations faites avec le Trésor, les banques et les établissements financiers.
Plus en détailSOMMAIRE ETUDE DU MOIS : FISCALITE MOBILIERE
SOMMAIRE ETUDE DU MOIS : FISCALITE MOBILIERE TITRE 1 : REGIME FISCAL DES PERSONNES PHYSIQUES I- PERSONNES PHYSIQUES RESIDENTES 2 A- TAXATION DES PROFITS DE CESSION 2 a- Champ d'application de la taxe 2
Plus en détailOpérations entre apparentés
exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Opérations entre apparentés Septembre 2012 DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES COMMENTAIRES : LE 21 NOVEMBRE 2012
Plus en détailCharte d audit du groupe Dexia
Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans
Plus en détail