Les allergies aux anti-infectieux
|
|
- Marie-Christine Faubert
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les allergies aux anti-infectieux O. Epaulard Maladies Infectieuses CHU de Grenoble DU de thérapeutique anti-infectieuses 7 février 2018
2 Plan Définitions Mécanismes de l allergie Manifestations Tour d horizon de quelques molécules Diagnostic Puis-je utiliser cette -lactamine chez ce patient? Accoutumance
3 Quelques définitions Allergie : réaction immunologique délétère / exagérée contre un antigène Allergène : antigène à l origine d une réaction allergique Haptène : cible d un anticorps mais n induisant de réponse que fixé sur une autre molécule Atopie : prédisposition à développer des réactions allergiques médiée par les IgE (hypersensibilité immédiate) Hypersensibilité : réactivité particulière, immunologique ou non, d un sujet à des molécules tolérées par la majorité des autres sujets Sensibilisation : développement d une mémoire immunologique à l origine d une réaction allergique lors de la réintroduction de l antigène Toxidermie : effet indésirable cutané lié à un médicament, allergique ou non (ex : phototoxique)
4 Mécanisme des allergies vraies
5 Hypersensibilité immédiate (protéine, autres molécules ) Lymphocyte B Lymphocyte T
6 Hypersensibilité immédiate (protéine, autres molécules ) Lymphocyte B Lymphocyte T
7 Hypersensibilité immédiate (protéine, autres molécules ) Lymphocyte B Lymphocyte T
8 Présentation d antigènes aux lymphocytes T (origine : protéines essentiellement) antigènes produits par la cellule ou issus de pathogènes intracellulaires cytotoxicité antigènes prélevés par la cellule dans l environnement initiation, entretien et orientation de la réponse immune
9 Présentation d antigènes aux lymphocytes T (origine : protéines essentiellement) cytotoxicité Cellule dendritique initiation, entretien et orientation de la réponse immune
10 Présentation d antigènes aux lymphocytes T (origine : protéines essentiellement) antigènes produits par la cellule ou issus de pathogènes intracellulaires cytotoxicité Cellule dendritique antigènes prélevés par la cellule dans l environnement initiation, entretien et orientation de la réponse immune
11 Principal mécanisme de l HS de type IV : l ATB se comporte comme un haptène Fixation covalente sur une protéine de l antibiotique ou d un de ses métabolites Protéine porteuse dans 90% des cas : albumine D autres mécanismes sont possibles (cf sulfaméthoxazole)
12 Uetrecht 2007
13
14 Haptènes médicamenteux Faulkner 2014
15 Tableaux Médiés par les IgE = HS immédiate Urticaire Œdèmes cutanéomuqueux Bronchospasme Choc anaphylactique Médiés par les autres anticorps (HS retardée) Cytopénies par cytotoxicité dépendantes des Ac Maladies à complexes immuns circulants Médiés par les lymphocytes T (HS retardée) Éruptions maculopapuleuses +/- bulleuses Eczéma DRESS Pustulose exanthématique aiguë généralisée Atteintes viscérales immunoallergiques (néphrite interstitielle, hépatite, pneumopathie )
16 Les 7 tableaux d hypersensibilité retardée Diapos : Audrey Nosbaum CHU Pierre Bénite, Lyon
17 Nosbaum
18 Nosbaum
19 Nosbaum
20 Pustulose exanthématique aiguë généralisée
21 Nosbaum
22 Nosbaum
23 Nosbaum
24 Nosbaum
25 Y a-t-il des facteurs de risque d allergie médicamenteuse? Sex ratio déséquilibré (2F/1H) Atopie patente rarement préexistante Facteurs génétiques, encore rarement précisés HLA HLA A2 et HLA DR W52 : aminopénicillines HLA B5701 et HLA DR7 DQ3 : abacavir Pharmacogénomique Facteurs acquis Infection par le VIH au stade SIDA (allergie au SMX : RR=10 à 20) lupus MNI Syndrome d allergie médicamenteuse multiple
26 Mécanismes non allergiques Apport d histamine exogène Non vu en manifestations médicamenteuses Histaminolibération Vancomycine Opiacés Produit de contraste iodé
27 Red man syndrom et vancomycine Via la dégranulation des mastocytes Observée in vivo et in vitro Plus fréquent chez les enfants Favorisé par les infusions de plus d un gramme en moins d un heure Volontaires sains : RSM chez 80% si moins d un heure vs 30% si plus de 2 heures Traitement : arrêt temporaire de la perfusion antihistaminiques
28 Phototoxicité vs photoallergie Mécanismes liés à la capacité d une molécule à absorber l énergie lumineuse = chromophore Puis À la ré-emettre, avec des dégâts liés à cette énergie : phototoxicité À s en trouver modifiée et devenir un antigène ou un haptène : photoallergie
29 Phototoxicité Liée à la capacité de certaines molécules à réémettre l énergie absorbée lors de l exposition à la lumière Mécanisme non immunologique Lésions diverses : De type thermique : érythème, bulles De type génotoxique : kératose actiniques, voire carcinome Sur les zones photoexposées Molécules concernées : Fluoroquinolones Voriconazole Cyclines AINS Amiodarone Phénothiazines
30 Patel 2009
31 O. Lortholary, CP
32 Cohorte grenobloise
33 Cohorte grenobloise
34 Cohorte grenobloise
35 Photoallergie Modification antigénique du fait de l énergie lumineuse Réactions de type IV de Gell & Coombs Peut déborder des zones photoexposées Molécule concernées : Phénothiazines Kétoprofène piroxicam
36 Tour d horizon de quelques molécules
37 -lactamines : À l origine d allergie dans 0,7 à 10%? des prescriptions de rash maculopapuleux : 1% d urticaire, angio-œdème, fièvre : 1% à 1%0 d anaphylaxie grave : Pénicillines : 0,01% à 0,05% - mortalité 2,5% des cas Céphalosporines : 0.1 à % de maladie sérique : surtout C1G et C2G de thrombopénies immuno-allergiques
38 Allergies aux pénicillines Toutes les réactions de Geller & coombs sont possibles médiée par les IgE : 40% par réaction contre le noyau -lactam, 35% contre la chaine latérale Autres phénomènes : principalement par réaction contre le noyau -lactam Avec une allergie croisée à toutes les pénicillines Fixation de la molécule sur une protéine Par ouverture du «noyau» -lactam 95% : liaison covalente du groupe pénicilloyl sur une histidine 5% : autres dérivés dits «déterminants mineurs»
39 Allergies aux pénicillines Toutes les réactions de Geller & coombs sont possibles médiée par les IgE : 40% par réaction contre le noyau -lactam, 35% contre la chaine latérale Autres phénomènes : principalement par réaction contre le noyau -lactam Avec une allergie croisée à toutes les pénicillines Fixation de la molécule sur une protéine Par ouverture du «noyau» -lactam 95% : liaison covalente du groupe pénicilloyl sur une histidine 5% : autres dérivés dits «déterminants mineurs»
40 Demoly 2003
41 Demoly 2003
42 Noyau -lactam : pénicillines R
43
44 Amoxicilline Pipéracilline Noyau -lactam Chaîne latérale Cloxacilline Ticarcilline
45 Allergies aux céphalosporines Réactivité croisée entre céphalosporines : moindre que les pénicillines entre elles Haptènes moins bien caractérisés Kelkar 2001
46 Faible fiabilité de l interrogatoire 5 à 46% des sujets rapportant une allergie à «la pénicilline» ont des tests cutanés positifs Dont 18% des patients avec œdème laryngé VPP d une histoire rapportée par les sujets : 14% Prévalence dans la population générale : 1 à 3% ont tests cutanés positifs
47 Sulfaméthoxazole Principalement hypersensibilité retardée Fièvre Éruption maculopapuleuse SSJ, NET VIH non traité : RR=10-20 Mécanismes : Action non du SMX mais de métabolites Haptène fixé sur une protéine puis présentation Ou fixation directe au CMH
48 Sulfaméthoxazole Modification par le CYTP450 Sulfaméthoxazole hydroxylamine Puis auto-oxydation en nitrososulfaméthoxazole Haute réactivité avec les protéines sériques Ces métabolites plus fréquents en cas de SIDA Cause :? Réactions croisées entre sulfamides non antibiotiques : théoriques
49
50 Les lymphocytes T recrutés dans la peau sont les acteurs des éruptions bulleuses liées au SMX 2002
51 Réactivité croisée des lymphocytes T présents dans les bulles d éruptions au SMX
52 Autre mécanisme d HSR Liaison au CMH comme s il s agissait d un peptide Interaction avec le TCR des lymphocytes T et activation de clones spécifiques Sulfaméthoxazole Mais aussi carbamazépine, lidocaïne, célécoxib
53 Allergies aux fluoroquinolones Jusqu à 2 % des traitements Souvent croisée entre différentes molécules Phénomènes généralement IgE dépendants Tests cutanés peu concluants (bonne VPN?) À ne pas confondre avec la phototoxicité
54 Allergie aux macrolides Rare : 0,4 3% Mécanisme prédominant indéterminé Tests cutanés généralement peu concluants
55 Allergies aux antituberculeux Tous les types d HSI et HSR ont été décrits Y compris cytopénies Si suspicion d allergie pendant une multithérapie : réintroduction des molécules en décalé Réalisation d accoutumance (desensitization) si nécessaire
56 Allergie aux glycopeptides Vancomycine : une allergie vraie est possible rare En particulier érythème linéaire à IgA Téicoplanine : réactions rares
57 Antirétroviraux Chaponda 2010
58 Diagnostic
59 Diagnostic Lors de l accident Dosage de la tryptase : dans les 8 heures suivant une scène d HSI Témoigne d une dégranulation des basophiles À posteriori Interrogatoire Test cutanés Prick-test cutanés pour les mécanismes dépendants des IgE Patches cutanés pour les mécanismes d hypersensibilité retardée Injection intradermique pour les 2 Réintroduction en milieu hospitalier = test de provocation Dosage des IgE : place mal codifiée
60
61 Prick test Dépôt d une goutte d ATB dilué puis piqure de la peau à travers la goutte Lecture à 20mn Indication : suspicion de réaction immédiate Disponible en routine pour les pénicillines : test Du déterminant majeur (benzylpenicilloyl polylysine), Des déterminants mineurs, de l amoxicilline, De la pénicilline incriminée Possible aussi pour les céphalosporines Moins sensible et plus spécifiques que les IDR À réaliser entre 6 semaines et 6 mois après la manifestation supposée allergique
62 Bourrain 2009
63 Tests intradermiques Injection intradermique d une solution de la molécule incriminée Indication : suspicion de réaction immédiate ou non immédiate Après les prick-tests si réaction immédiate Lecture à différents temps 30 min : pour les réactions immédiates 6, 24 et 72 h : pour les réactions non immédiates Méthode de référence pour les pénicillines
64 Patches cutanés Pour les réactions d hypersensibilité retardée Très spécifiques, peu sensibles
65 Sensibilité des tests cutanés pour les -lactamines Pas de gold standard (pas de TPO généralisé ) 80-90% pour les HS immédiates D autant plus qu existe un historique évocateur Bonne valeur prédictive négative HSR : résultats moins concluants
66 Intérêt du dosage des IgE spécifiques? Valeurs prédictives positive et négative peu satisfaisantes Préconisés par certains en cas de tests cutanés non concluants Pas en 1 ère ligne selon l HAS
67 Ponvert 2005 Démarche
68 Ponvert 2005 Démarche
69 Ponvert 2005 Démarche
70 Arroliga 2000 ICU 24 patients déclarés «allergie pénicilline» Dont 21 sans réaction immédiate récente Tests cutanés chez ces 21 patients Tous négatifs 10 de ces patients sont mis sous pénicilline Aucune réaction n est observée
71 HSI, Tests cutanés et autres ATB Fluoroquinolones Faux positifs dus à l histaminolibération due aux FQ Sensibilité satisfaisante Permettent d explorer une réactivité croisée Macrolides Spécificité et sensibilité faibles Sulfamides Travaux non concluants
72 Les allergies croisées au sein des pénicillines
73 Puis-je traiter par céphalosporine ce patient allergique à «la» pénicilline? Méta-analyse Lin 1992 : patients environ avec traitement par cephaloridine, cephalexine, cephalothine, cefazoline, cefamandole Certains rapportent une allergie à «la» pénicilline (non explorée sauf interrogatoire) Réaction sous céphalosporine : 8,1% chez les patients avec une notion d allergie à la pénicilline 1,9% dans le groupe «pas de notion» Un sur-risque existerait donc
74 Puis-je traiter par céphalosporine ce patient allergique à «la» pénicilline? Kelkar 2001 Un sur-risque existerait donc
75 Puis-je traiter par céphalosporine ce patient allergique à «la» pénicilline? 128 patients avec HSI à une pénicilline 81 chocs anaphylactiques, 47 urticaires Tous avec test cutanés positifs Test cutanés avec cefalotine, cefamandole, cefuroxime, ceftazidime, ceftriaxone, et cefotaxime 14 patients ont des test cutanés positifs Les 114 autres reçoivent cefuroxime ou ceftriaxone Aucun ne fait de réaction Romano 2004
76 Puis-je traiter par céphalosporine ce patient allergique à «la» pénicilline? Méta-analyse Pichiero 2007
77 Méta-analyse Pichiero 2007
78
79 Puis-je traiter par céphalosporine ce patient allergique à «la» pénicilline? Méta-analyse Campagna 2011 Réactivité croisée avec les céphalosporines : 1% chez les sujets rapportant une allergie aux pénicillines 2,5% chez les sujets dont l allergie est documentée La réactivité croisée concerne essentiellement les C1G et C2G
80 Campagna 2011
81
82 Puis-je traiter par céphalosporine ce patient allergique à «la» pénicilline? Recommandations après une allergie à la péni : Tests cutanés Et traitement par céphalosporine possible si tests négatifs pour la pénicilline Voire même sans tests cutanés si C3G / C4G? Précaution si scène clinique grave aux pénicillines Si notion d allergie à une céphalosporine : Tests cutanés
83 Et l inverse? Puis-je traiter par pénicilline ce patient allergique «aux» céphalosporines? Romano patients avec HSI prouvée (TC) à une céphalosporine Tests cutanés aux pénicillines et carbapénèmes 11% ont test + aux pénicillines Essentiellement si HSI avec céphalosporine de chaine latérale proche des péni Cephalotine, cefamandole, cefaclor, cephalexin, cefatrizine 1% a test + aux carbapénèmes Dosage IgE spécifiques 16 ont des IgE anti-pénicilline Au total 25% ont un test positif Test de provocation : 97 avec imipénème : 1 fait urticaire modéré 73 avec amoxicilline : pas de manifestation
84 Puis-je traiter par carbapénème ce patient allergique à «la» pénicilline? Sodhi 2004 Allergie explorée par l interrogatoire, non affirmée par tests cutanés
85 * 2004 *Outil = clinique, pas test cutanés *
86 112 patients avec Manifestations d HSI à une pénicilline Et tests cutanés + Tests cutanés à l imipénème Tests positifs chez 1 patient Romano 2006 Test de réintroduction chez les 111 autres 0,005mg à H0, 0,05mg à H1, et 0,5mg à H2 Aucune réaction cutanée
87 En résumé : réactions croisées 1-5% des patients allergiques aux Péni le sont aux carbapénèmes <1%? des patients allergiques aux Péni le sont aux Céphalo Surtout pour les C3G <5%? des patients allergiques aux Céphalo le sont aux Péni Si respect de la chaîne latérale
88 Accoutumance
89 Accoutumance (meilleur terme que désensibilisation) Création d une tolérance +/- transitoire Doit être répétée pour chaque cure Par apport de doses croissantes du médicament incriminé Circonstances : HSI et Diabète / insuline Cancer / cytotoxiques Infections / molécules cruciales Pénicilline / syphilis de la femme enceinte Cotrimoxazole / VIH (HSI rares ) β-lactamines et mucoviscidose Stratégie : Interrogatoire Tests cutanés Accoutumance si + (sauf si allergie grave)
90 Carnadas 2010 Accoutumance
91 Carnadas 2010 Accoutumance
92 Réalisation d une accoutumance Carnadas 2010 Préférer la voie orale à la voie injectable USI à disposition Débuter à 1/10000 de la dose Voire moins si ATCD = choc anaphylactique Puis dose doublée toutes les 15 min Si effets indésirables : retarder la dose suivante voire interrompre la procédure
93 Contre-indications aux tentatives d accoutumance Asthme non contrôlé insuffisance cardiaque grave Manifestations allergiques avec risque vital : DRESS, vascularite, SJS/NET
94 Mécanismes de l accoutumance? Épuisement des médiateurs? Épuisement des IgE? Pas de pontage des IgE par excès d haptène libre?
95 Exemple de protocole d accoutumance : pénicilline, voie IM Carnadas 2010
96 Pénicilline per os ou IV au PSE
97 Accoutumance à la pénicilline G en cas de syphilis pendant la grossesse
98 Imbart-comte 2004 protocoles publiés pour le sulfaméthoxazole
99 Accoutumance en cas de mucoviscidose 2011
100 Risques liés à l accoutumance Réactions anaphylactiques 30-80% de réaction limitée lors des désensibilisations à la pénicilline Ne doivent pas forcément faire stopper la procédure 5-% de réaction sévère
101
102
103
F.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailHypersensibilité immédiate déclenchée par un prick-test à l amoxicilline. Immediate hypersensitivity triggered by amoxicillin skin prick test.
Hypersensibilité immédiate déclenchée par un prick-test à l amoxicilline. Immediate hypersensitivity triggered by amoxicillin skin prick test. Cherih C 1, Bernede A 1, Breton AL 1, Pralong P 1-3, Nicolas
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailRéintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV
Réintroductions alimentaires chez l enfant M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires en 2004 Age: 12 mois 10 ans Nombre total: 30 Tests réussis:
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailLES EFFETS INDESIRABLES DES MEDICAMENTS
LES EFFETS INDESIRABLES DES MEDICAMENTS Cours Francophone Inter pays de Pharmacovigilance Centre Antipoison et de pharmacovigilance du Maroc Dr R. Benkirane TERMINOLOGIE Plusieurs termes sont préconisés
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLes allergies croisées aux antibiotiques : comment s y retrouver?
PHARMACOTHÉRAPIE Les allergies croisées aux antibiotiques : comment s y retrouver? Hélène Paradis, Daniel J.G. Thirion, Luc Bergeron Résumé Objectif : Le regroupement des pharmaciens en infectiologie de
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailBases de données des mutations
Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailExiste t il des effets pervers à l identification du portage de BMR?
Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? J P Bedos, Réanimation, Hôpital Mignot Journée Antibio Résistance et Infections, 5 décembre 2013 Effets pervers des Conflits d intérêt
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailALLERGIES ET HYPERSENSIBILITES item 113. ALLERGIES RESPIRATOIRES item 115
Collège des Enseignants de Pneumologie Référentiel pour la préparation de l ECN Dr Bourdin (Montpellier), Pr Godard (Montpellier) Pr Charpin (Marseille), Pr Tillie-Leblond (Lille) Pr Raherison (Bordeaux),
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailDASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006
DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailSemaine Sécurité des patients
Bienvenue dans le «mystère de la chambre des erreurs»! Découvrez le tableau de synthèse des réponses du matériel nécessaire à la mise en place de la chambre des erreurs ainsi que les réponses attendues
Plus en détailPrise de position sur les biosimilaires. Résumé
Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite
Plus en détailII - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE
II - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE I. ÉPIDÉMIOLOGIE En France, le diabète de type 1 touche 0,38 % de la population totale et environ 10 % des diabétiques.
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailwww.fnama.fr Tuberculose Pr. Jean-Louis Herrmann Service de Microbiologie, Hôpital R. Poincaré, Garches jean-louis.herrmann@rpc.aphp.
Tuberculose intérêt des tests sanguins Pr. Jean-Louis Herrmann Service de Microbiologie, Hôpital R. Poincaré, Garches jean-louis.herrmann@rpc.aphp.fr Pouvoir Pathogène : Maladie Granulomateuse Chronique
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailNOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT. Keforal 500 mg comprimés pelliculés. Céfalexine monohydratée
NOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT Keforal 500 mg comprimés pelliculés Céfalexine monohydratée Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailGUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE
GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailQuantiFERON TB Gold in tube
Qu est-ce que le QuantiFERON? Test sanguin de dépistage de l infection tuberculeuse. QuantiFERON TB Gold in tube Test ELISA qui mesure la réponse immunitaire à médiation cellulaire à l infection tuberculeuse.
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailMIGRAINE - TRAITEMENT
MIGRAINE - TRAITEMENT Restauration d une bonne qualité de vie Adapté à chaque patient Reposant sur trois axes : éviction des facteurs déclenchants traitement de crise traitement prophylactique ANAES 2002
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailMEDICAMENTS en CARDIOLOGIE. ANTICOAGULANTS (2h)
MEDICAMENTS en CARDIOLOGIE ANTICOAGULANTS (2h) PO Inj Hôpital Pasteur Pôle Pharmacie CHU Nice Ly-Hor HENG/Katia MULLER Pierre-Antoine FONTAINE (fontaine.pa@chu-nice.fr) 1 RAPPEL Pôle 1- L hémostase primaire
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailURTICAIRE ET ANGIO-OEDEME
Département de médecine communautaire, de premier recours et des urgences Service de médecine de premier recours URTICAIRE ET ANGIO-OEDEME J.-P. Rieder 1 et T. Harr ² ¹Service de médecine de premier recours,
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailSituation Agent Schéma posologique*
Le besoin d une antibioprophylaxie pour la prévention d une endocardite infectieuse et d une infection hématogène à la suite d une arthroplastie doit être envisagé sur une base individuelle et en collaboration
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailINFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE. Accidentologie et épidémiologie bactérienne
INFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE Accidentologie et épidémiologie bactérienne SOMMAIRE Accidentologie Qualité de vie Conséquences médico-économiques Particularités épidémiologiques
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailPrise en charge des effets secondaires des traitements de l hépatite C. Jean Delwaide CHU Sart Tilman Liège
Prise en charge des effets secondaires des traitements de l hépatite C Jean Delwaide CHU Sart Tilman Liège Efficacité de PegInterféron et Ribavirine Génotype 1 Génotype 2 Génotype 3 Génotype 4 50% 90%
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailActualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris
Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Des journées scientifiques pour accompagner l arrivée des nouvelles molécules qui vont modifier
Plus en détailARBRE DÉCISIONNEL INTERACTIF
ARBRE DÉCISIONNEL INTERACTIF DE GESTION DES PATIENTS ALLERGIQUES AVANT INJECTION DE PRODUIT DE CONTRASTE IODÉ D Geffroy¹, A Pipet², F Wessel², G Mineur¹, P Meingan¹, I Doutriaux¹, C Labbe¹, S Houdebine¹,
Plus en détailLes Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises
Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches
Plus en détailTITRE : On est tous séropositif!
PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.
Plus en détailSemaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!»
Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!» Vous avez été X à prendre le risque d entrer dans notre chambre des erreurs, à présent découvrez les erreurs ou risques potentiels
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailLE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS
LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détail