Conjoncture de la consommation alimentaire Intervention de Pascale Hébel Directrice du département Consommation Crédoc

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Conjoncture de la consommation alimentaire Intervention de Pascale Hébel Directrice du département Consommation Crédoc"

Transcription

1 Conjoncture de la consommation alimentaire Intervention de Pascale Hébel Directrice du département Consommation Crédoc 12 décembre 2012

2 Conjoncture de la consommation alimentaire Evolutions économiques Changements des critères d achat 2

3 Conjoncture France : la confiance des ménages est au plus bas, du coup, ils consomment moins

4 Très fort ralentissement du pouvoir d achat depuis 2008 Évolution annuelle du pouvoir d'achat par ménage Source : INSEE

5 Des dépenses alimentaires par habitant (hors inflation) en baisse en 2012 Évolution annuelle des dépenses en alimentation à domicile par habitant en euros constants

6 Baisse très élevée du coefficient budgétaire de la restauration hors foyer atténuée par la baisse de la TVA Coefficients budgétaires de la RHF et de la consommation à domicile Effet RTT et hausse des prix au moment du passage à l euro Restaurant à domicile (échelle de droite) Alimentation à domicile (échelle de gauche) 6 Source : Comptabilité nationale, INSEE 6

7 Un effet générationnel défavorable aux dépenses en alimentation (8% contre 20% dans la génération Pénurie) 30% Effets d âge et de génération sur le coefficient budgétaire des dépenses en alimentation et boissons non alcoolisées 25% 20% 15% 10% 5% Génération Services ( ) Génération Plateaux Repas ( ) Génération Hypermarché ( ) Génération Low Cost ( ) Génération Pénurie ( ) Génération Réfrigérateur ( ) Génération Rationnement ( ) Génération Robot Electrique ( ) 0% Source : Enquêtes Budget des Familles 1979, 1984, 1989, 1995, 2000, 200 7

8 Les jeunes générations prennent souvent des plateaux repas Effets d âge et de génération sur le pourcentage d individus déclarant «prendre au moins rarement» à la question "Vous arrive-t-il de faire des plateaux repas, c est-à-dire sur un ou sur des plateaux, et ailleurs qu à table?" % d individus Génération Low Cost (née entre 1967 et 1976) Génération aliment-service (née entre 1957 et 1966) Génération robots électriques (née entre 1937 et 1946) Génération hypermarché (née entre 1947 et 1956 ) Génération réfrigérateurs (née entre 1927 et 1936) Génération rationnement (née entre 1917 et 1926 ) Age Source : CREDOC, enquêtes CCAF 1995 à 2004

9 Vers un nouveau style alimentaire à la française? Stabilités et améliorations Ce qui change peu Evolutions fortes Les horaires des repas (plus de synchronisation) La convivialité et le partage : 4 déjeuners sur 10 sont pris seuls - proportion stable depuis 10 ans ; 1 dîner sur 10 est pris seul En Famille, 80% des individus mangent la même chose Les prises hors repas diminuent entre 2007 et 2010 Retour de la cuisine et du fait maison La durée des repas diminue Les trois repas dans la journée (de plus en plus de repas sautés) Le contenu des repas se simplifie (on passe de trois composantes à 2) On mange moins de produits bruts, plus de produits nomades (le sandwich) Baisse de la diversité alimentaire chez les enfants On mange plus souvent ailleurs qu à table Source : CRÉDOC, Enquêtes CAF 1995, 1997, 2000, CCAF 2004, 2007 et

10 Conjoncture de la consommation alimentaire Evolutions économiques Changements des critères d achat 10

11 72% des consommateurs ont mis en place des stratégies d économies multiples «Face à la hausse des prix des produits alimentaires, que faites-vous?» 72,4% modifient leur comportement Trading down Vous achetez toujours les mêmes types de produits mais en prenant des gammes moins chères Jeunes 28,0% 26,9% Vous dépensez autant pour votre alimentation, mais vous faites des économies sur d'autres postes de dépenses 18,0% 5,3% 4,6% Aucune de ces réponses Moins de superflu Vous achetez moins souvent des produits alimentaires peu nécessaires ans 17,1% Vous diminuez les quantités de certains produits consommés ans Frugalité Vous achetez des produits de substitution 65 ans et plus Substitution 11 Source : Marché de Rungis - CRÉDOC, enquête consommation juin 2008

12 La consommation nécessité rebondit en 2012 Pour vous, la consommation, c est avant tout : Source : Crédoc, Enquêtes Consommation

13 2012 : Remontée à un niveau record de la sensibilité aux prix mais de la confiance dans la marque aussi «Voici plusieurs raisons d acheter des produits de consommation. Pour chacune 95% d entre elles, dites-moi si elle vous incite personnellement (beaucoup, assez, un peu, pas du tout) à acheter un produit.» (Réponses «beaucoup» + «assez») 85% 75% 65% 61% 68% 73% 70% 75% 69% 67% 78% 67% 65% 78% 68% 65% 79% 84% 76% 81% 77% 75% 72% 74% 70% 70% 66% 64% Le prix est compétitif Le produit porte un label de qualité La marque vous inspire confiance 55% 58% 57% 45% 35% 51% % Source : CRÉDOC, enquêtes Consommation

14 Les représentations de la marque évoluent fortement en 16 ans Pour vous, qu est-ce qu une bonne marque? Analyse lexicale Les satisfaits 16% Qualité/prix 25% Symbolique Marque sociétale 8% Marque d'identification 6% Fonctionnel Les bonnes vieilles marques de chez nous 27% La beauté de la marque 23% Technologue s 6% Sérieux de la marque 3% Marque plaisir 15% Sérieux et fiabilité 12% Technologues 13% Qualité/prix 46% Source : Enquêtes Consommation, 1994 et CREDOC

15 La garantie écologique se stabilise, le volet social du développement durable progresse «Voici plusieurs raisons d acheter des produits de consommation. Pour chacune d entre elles, dites-moi si elle vous incite personnellement (beaucoup, assez, un peu, pas du tout) à acheter un produit.» (Réponses «beaucoup» + «assez») Source : Crédoc, Enquêtes Consommation

16 Le critère fabrication en France continue de progresser «Voici plusieurs raisons d acheter des produits de consommation. Pour chacune d entre elles, dites-moi si elle vous incite personnellement (beaucoup, assez, un peu, pas du tout) à acheter un produit.» (Réponses «beaucoup» + «assez») Source : Crédoc, Enquêtes Consommation

17 L alimentation santé tend à diminuer «De laquelle des trois affirmations suivantes vous sentez-vous le plus proche? En premier?» (%) Base : N=994 en 2007, N=1009 en 2008, N=998 en 2009, N=963 en 2010, N=958 en % L'alimentation doit avant tout être un plaisir 36% 36% 38% 41% L'alimentation est avant tout une nécessité 41% 41% 42% 44% 44% L'alimentation doit avant tout être un moyen de prévenir les problèmes de santé 15% 18% 21% 19% % Baromètre alimentation , Ministère de l'alimentation, de l Agriculture et de la Pêche, CRÉDOC 17

18 Après la baisse de la santé, transfert sur naturalité La naturalité progresse fortement entre 2007 et 2010 Attention portée à la naturalité, aux conservateurs et à la composition en hausse Transfert du santé au produit naturel Puis incident Eschérichia Coli en 2011 et dépassement des DLUO, changent les inquiétudes Attention portée sur les bactéries et les DLUO 18

19 Conclusions Après une période du tout santé, en période de crise économique, la convivialité et le goût sont de nouveau au cœur des critères de choix du consommateurs les aliments santé diminuent (conséquence de l image prix) les choix environnementaux (coût carbone) prennent de l ampleur Les risques perçus sont très influencés par les évènements médiatiques, d offre Important d aller vers une amélioration de la confiance consommateur acteurs de l alimentation (les dépenses par habitant diminuent)

Les attentes des consommateurs, changements de comportement et révolution digitale

Les attentes des consommateurs, changements de comportement et révolution digitale Les attentes des consommateurs, changements de comportement et révolution digitale Les attentes des consommateurs, changements de comportement et révolution digitale PLAN 1. La crise et les conséquences

Plus en détail

L'ELASTICITE-PRIX I- QUAND LES PRIX VARIENT...

L'ELASTICITE-PRIX I- QUAND LES PRIX VARIENT... L'ELASTICITE-PRIX La consommation dépend, entre autre, du prix des biens et des services que l'on désire acheter. L'objectif de ce TD est de vous montrer les liens existants entre le niveau et l'évolution

Plus en détail

Chapitre 3. La répartition

Chapitre 3. La répartition Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations

Plus en détail

Le secteur de la restauration commerciale : données économiques, évolution des prix et du nombre de plaintes du secteur

Le secteur de la restauration commerciale : données économiques, évolution des prix et du nombre de plaintes du secteur N 28 juillet 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Auteur : Nicolas ROUX 1 Le secteur de la

Plus en détail

Les seniors, une cible délaissée

Les seniors, une cible délaissée Les seniors, une cible délaissée Pascale HEBEL, Franck LEHUEDE Aujourd hui, plus d un tiers de la population française a plus de 50. Depuis dix, la croissance de la part des seniors d la population s est

Plus en détail

Présentation des animations Aux Goûts du Jour

Présentation des animations Aux Goûts du Jour Présentation des animations Aux Goûts du Jour AUX GOÛTS DU JOUR est une association nationale d éducation alimentaire. Objectifs * Aider les enfants et les adultes à retrouver le plaisir de Bien manger.

Plus en détail

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise

Plus en détail

La cuisine "fait maison" et sa relation avec le PEM

La cuisine fait maison et sa relation avec le PEM La cuisine "fait maison" et sa relation avec le PEM Sommaire 1. Le «fait maison» un phénomène de masse La cuisine "fait maison" - 2. Les motivations du «fait maison» 10 juin 3. Le plaisir de la cuisine

Plus en détail

Le profil des acheteurs à distance et en ligne

Le profil des acheteurs à distance et en ligne Le profil des acheteurs à distance et en ligne Étude réalisée pour le compte de La FEVAD, La Poste, Reed Exhibitions, CCI Grand Lille 24 octobre 2012 Synthèse de l étude - 1 LES HABITUDES DE CONSOMMATION

Plus en détail

PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES

PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES Janvier 2009 TABLE DES MATIÈRES Page Préambule 3 1. Dotation en personnel 4 1.1 Compétences du personnel 4 1.2 Fonctions

Plus en détail

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité

Plus en détail

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets

Plus en détail

Conseil Spécialisé fruits et légumes

Conseil Spécialisé fruits et légumes Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de

Plus en détail

Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude

Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective

Plus en détail

B Comment se déterminent la consommation et l épargne?

B Comment se déterminent la consommation et l épargne? B Comment se déterminent la consommation et l épargne? 1 Le partage entre consommation et épargne 1 - L'utilisation du revenu disponible brut (en milliards d'euros et en %) 2003 2005 2007 2009 Revenu disponible

Plus en détail

RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT

RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente

Plus en détail

Règlement de Fonctionnement

Règlement de Fonctionnement FONDATION ROGUET Etablissement Public de Santé 58 rue Georges BOISSEAU 92110 CLICHY Règlement de Fonctionnement Accueil de Jour Secrétariat médical Accueil de Jour Téléphone : 01-41-40-46-42 Fax : 01-41-40-47-47

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

LIVRET D ACCUEIL POUR NOUS JOINDRE LOGEMENT-FOYER «RESIDENCE LES JONCHERES» Adresse :

LIVRET D ACCUEIL POUR NOUS JOINDRE LOGEMENT-FOYER «RESIDENCE LES JONCHERES» Adresse : POUR NOUS JOINDRE Adresse : Logement-Foyer «Les Jonchères» Promenade du Pré Pelote 49610 Mozé sur Louet Téléphone : 02 41 45 72 45 LIVRET D ACCUEIL LOGEMENT-FOYER «RESIDENCE LES JONCHERES» Fax : 02 41

Plus en détail

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations

Plus en détail

Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013

Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013 Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013 Cahier méthodologique, tableau récapitulatif 2009-2013 et Matrices importance/performance Mars 2014 Service Études et Statistiques Table

Plus en détail

Les nouvelles tendances commerciales

Les nouvelles tendances commerciales Les nouvelles tendances commerciales Philippe Moati 5 avril 2013 L anticipation d une accélération du changement Plan 1. Une nouvelle révolution commerciale: pourquoi? 2. Une nouvelle révolution commerciale:

Plus en détail

La nouvelle sensibilité des consommateurs aux prix

La nouvelle sensibilité des consommateurs aux prix Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie La nouvelle sensibilité des consommateurs aux prix Pascale HEBEL Nicolas FAUCONNIER Morgane DAVID CAHIER DE RECHERCHE N 215 NOVEMBRE

Plus en détail

Compte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire.

Compte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire. Compte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire. Personnes présentes : M. le Maire, Guillaume MATHELIER, M. Quentin MAYERAT, Adjoint à l'éducation et à la

Plus en détail

Panorama de la grande distribution alimentaire en France

Panorama de la grande distribution alimentaire en France N 25 Février 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Panorama de la grande distribution alimentaire

Plus en détail

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite

Plus en détail

DOSSIER INSCRIPTION SENIOR NOM : PRENOM : Page 1 sur 7

DOSSIER INSCRIPTION SENIOR NOM : PRENOM : Page 1 sur 7 DOSSIER INSCRIPTION SENIOR NOM : PRENOM : Page 1 sur 7 IDENTITE Nom : Prénom : Coller une photo d identité ici Sexe : M F Date de naissance / / Age : ans Votre conjoint (si / / Age : ans couple) Lieu de

Plus en détail

Le présent chapitre porte sur l endettement des

Le présent chapitre porte sur l endettement des ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation

Plus en détail

LES POPULATIONS MODESTES ONT-ELLES UNE ALIMENTATION DESEQUILIBREE?

LES POPULATIONS MODESTES ONT-ELLES UNE ALIMENTATION DESEQUILIBREE? Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES POPULATIO MODESTES ONT-ELLES UNE ALIMENTATION DESEQUILIBREE? Fanette RECOURS Pascale HEBEL Avec la collaboration de Cécile CHAMARET

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1

LES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1 LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée

Plus en détail

MAISONS DE RETRAITE ET SERVICES DE PORTAGE DE REPAS : PERCEPTIONS ET ATTENTES DES PERSONNES ÂGEES SUR LA QUALITE DE L ALIMENTATION

MAISONS DE RETRAITE ET SERVICES DE PORTAGE DE REPAS : PERCEPTIONS ET ATTENTES DES PERSONNES ÂGEES SUR LA QUALITE DE L ALIMENTATION MAISONS DE RETRAITE ET SERVICES DE PORTAGE DE REPAS : PERCEPTIONS ET ATTENTES DES PERSONNES ÂGEES SUR LA QUALITE DE L ALIMENTATION (Convention CLCV/DGAL n 2010-144) Version finale Février 2012 Nous remercions

Plus en détail

L arbitrage entre consommation et épargne Activités pour l élève

L arbitrage entre consommation et épargne Activités pour l élève L arbitrage entre consommation et épargne Activités pour l élève Introduction Document DU 1 REVENU : Du revenu PRIMAIRE primaire au AU revenu REVENU disponible DISPONIBLE SERVICES PUBLICS Education Santé

Plus en détail

Rapport Enquête de Conjoncture 1 er et 2 ème trimestres 2013

Rapport Enquête de Conjoncture 1 er et 2 ème trimestres 2013 Rapport Enquête de Conjoncture 1 er et 2 ème trimestres 15, rue Maréchal Foch 56100 Lorient I Tél 0820 220 440 I Fax 02 97 21 88 85 I Email contact@fymconseil.com I Site www.fymconseil.com SA au capital

Plus en détail

Chapitre 1 : La consommation et l épargne

Chapitre 1 : La consommation et l épargne Chapitre 1 : La consommation et l épargne - 7 - Dans ce chapitre vous allez : - Distinguer les différents types de consommation. - Découvrir de quels facteurs dépend la consommation. - Étudier ce qu est

Plus en détail

Les jeunes et l'argent Vague 2

Les jeunes et l'argent Vague 2 Les jeunes et l'argent Vague 2 Etude publiée pour Axa Banque Mars 2015 Sommaire 1 4 L argent, un univers d évocation ambivalent pour les jeunes 7 Des jeunes qui affichent un certain optimisme pour l avenir

Plus en détail

Poste N o 4: calculons avec l eau Information aux enseignants

Poste N o 4: calculons avec l eau Information aux enseignants Information aux enseignants 1/6 Ordre de travail Les élèves lisent les textes fournis et font les exercices de calcul sur la fiche de travail. Ils tentent ensuite de décrire les résultats obtenus avec

Plus en détail

Bibliothèque de questions Questions spécifiques aux organismes

Bibliothèque de questions Questions spécifiques aux organismes Bibliothèque de questions Questions spécifiques aux organismes Dans le cadre du baromètre social institutionnel, vous avez la possibilité de poser quelques questions spécifiques à votre organisme et à

Plus en détail

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMERIQUE

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMERIQUE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMERIQUE Chaire Économie numérique de Paris-Dauphine Réalisé par Médiamétrie Première édition - 4 e trimestre 2011 Un nouvel outil : Initié par la chaire Économie numérique de

Plus en détail

D O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N 2 0 1 5

D O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N 2 0 1 5 D O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N 2 0 1 5 GÉANT CASINO FAIT PEAU NEUVE Après une baisse des tarifs sans précédent qui a permis à Géant Casino de devenir leader des prix bas, l enseigne d hypermarchés

Plus en détail

Simulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat

Simulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010 75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en

Plus en détail

LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2012 N 4. www.objectif-lr.

LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2012 N 4. www.objectif-lr. SEPTEMBRE 2012 N 4 4 LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER - Photos : Nicolas Bouzou, Peter Allan - 09/2012 EN PARTENARIAT AVEC www.objectif-lr.com

Plus en détail

LE CONSOMMATEUR VA-T-IL CHANGER DURABLEMENT DE COMPORTEMENT AVEC LA CRISE?

LE CONSOMMATEUR VA-T-IL CHANGER DURABLEMENT DE COMPORTEMENT AVEC LA CRISE? Centre de Recherche pour l Étude et l Observation des Conditions de Vie LE CONSOMMATEUR VA-T-IL CHANGER DURABLEMENT DE COMPORTEMENT AVEC LA CRISE? Pascale HÉBEL Nicolas SIOUNANDAN Franck LEHUEDE CAHIER

Plus en détail

Système de gestion informatique

Système de gestion informatique Système de gestion informatique Améliorez la productivité et la rentabilité de votre établissement. Restaurants Bars Cafétérias Livraison Centres de golf et ski Système de gestion informatique Découvrez

Plus en détail

Marché de l épargne-retraite en France : état des lieux, perspectives et enjeux

Marché de l épargne-retraite en France : état des lieux, perspectives et enjeux Marché de l épargne-retraite en France : état des lieux, perspectives et enjeux Décembre 2003 Etude disponible le 15 décembre 2003 Les objectifs Traiter les questions de fond -réglementation, fiscalité,

Plus en détail

Enquête sur les investissements dans l industrie

Enquête sur les investissements dans l industrie Note Méthodologique Dernière mise à jour : 30-08-2010 Enquête sur les investissements dans l industrie Avertissement : depuis mai 2010, les résultats de l enquête trimestrielle sur les investissements

Plus en détail

COMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE

COMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE COMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE Le présent règlement définit les relations entre les enfants, les accompagnateurs et le personnel du restaurant scolaire. Il a pour finalité de

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

Les Français et le pouvoir d achat

Les Français et le pouvoir d achat Contacts CSA Pôle Opinion Corporate : Jérôme Sainte-Marie, Directeur général adjoint Yves-Marie Cann, Directeur d études Les Français et le pouvoir d achat Sondage CSA pour Cofidis Septembre 2012 Sommaire

Plus en détail

Grande distribution et croissance économique en France

Grande distribution et croissance économique en France N 11 Décembre 2012 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Grande distribution et croissance économique

Plus en détail

Le baromètre BforBank - Vague 5 - Présentation globale des résultats Thème abordé : L automobile

Le baromètre BforBank - Vague 5 - Présentation globale des résultats Thème abordé : L automobile Le baromètre BforBank - Vague 5 - Présentation globale des résultats Thème abordé : L automobile Présentation du 22 juin 2011 N Projet : BJ7418 A : BforBank & L Express De : OpinionWay OpinionWay, 06/07/2011

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

Epreuve de Sciences économiques et sociales

Epreuve de Sciences économiques et sociales Epreuve de Sciences économiques et sociales Sujet zéro 1 1/ Question d analyse microéconomique ou macroéconomique (6 points) Expliquer et représenter graphiquement les gains à l échange. 2/ Conduite d

Plus en détail

DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE

DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE Séance de Conseil Municipal du 26 février 2015 DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE Le contexte De beaux équipements (médiathèque, CLSH, espace culturel Armorica, espace loisirs sportifs) MAIS

Plus en détail

LE MARCHÉ FRANÇAIS DE L ELECTROMÉNAGER

LE MARCHÉ FRANÇAIS DE L ELECTROMÉNAGER - 1 - LE MARCHÉ FRANÇAIS DE L ELECTROMÉNAGER Les chiffres clés GROS ELECTROMENAGER Les chiffres clés Données par produit Froid Lavage Cuisson PETIT ELECTROMENAGER Les chiffres clés Données par produit

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

La Banque Postale / CNP Assurances

La Banque Postale / CNP Assurances La Banque Postale / CNP Assurances Baromètre Prévoyance Vague 1 Santé Contacts TNS Sofres Département Finance Frédéric CHASSAGNE / Fabienne CADENAT / Michaël PERGAMENT 01.40.92. 45.37 / 31.17 / 46.72 42IG98

Plus en détail

Plan marketing 2013-2014

Plan marketing 2013-2014 Plan marketing 2013-2014 I. Analyse Swot de l entreprise Subway 2 Analyse SWOT de Subway 3 Analyse SWOT de Subway (suite) 4 II. Le marché et l environnement 5 1) L état du marché La restauration rapide

Plus en détail

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» 10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,

Plus en détail

Conférence technique internationale de la FAO

Conférence technique internationale de la FAO Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches

Plus en détail

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé

Plus en détail

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»

Plus en détail

présente Métro, boulot, dodo enquête sur la vie de bureau

présente Métro, boulot, dodo enquête sur la vie de bureau présente Métro, boulot, dodo enquête sur la vie de bureau Septembre 2014 Avant-propos Avec la tertiarisation de l économie et des emplois, notre activité professionnelle se déroule de plus en plus souvent

Plus en détail

Le restaurant scolaire est ouvert le lundi, mardi, jeudi et vendredi de 12H05 à 13 H30 : Article 2 : ACCES AU RESTAURANT

Le restaurant scolaire est ouvert le lundi, mardi, jeudi et vendredi de 12H05 à 13 H30 : Article 2 : ACCES AU RESTAURANT COMMUNE DE NIVILLAC REGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE ANNEE 2014-2015 ECOLE PRIMAIRE PUBLIQUE «LES PETITS MURINS» La cantine scolaire a pour objectif d assurer, dans les meilleures conditions

Plus en détail

Baromètre BVA Santé. Vieillissement & Silver économie - Vague 1 - pour Orange Healthcare et MNH

Baromètre BVA Santé. Vieillissement & Silver économie - Vague 1 - pour Orange Healthcare et MNH Baromètre BVA Vieillissement & Silver économie - Vague 1 - pour Orange Healthcare et MNH en partenariat avec le Figaro avec le concours scientifique de la Chaire de Sciences Po Fiche technique Recueil

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR PREAMBULE GENERALITES. Article 1 : Objet. Article 2 : Responsabilité. Article 3 : Organisation. Article 4 : Taux d'encadrement

REGLEMENT INTERIEUR PREAMBULE GENERALITES. Article 1 : Objet. Article 2 : Responsabilité. Article 3 : Organisation. Article 4 : Taux d'encadrement REGLEMENT INTERIEUR PREAMBULE La restauration scolaire est un service public confié à un délégataire. Différentes catégories de personnels interviennent sur le temps de repas. Bien que relevant de statuts

Plus en détail

METTRE LE NUMÉRIQUE AU SERVICE D UN NOUVEAU MODÈLE DE BIBLIOTHÈQUE

METTRE LE NUMÉRIQUE AU SERVICE D UN NOUVEAU MODÈLE DE BIBLIOTHÈQUE 1 METTRE LE NUMÉRIQUE AU SERVICE D UN NOUVEAU MODÈLE DE BIBLIOTHÈQUE Architectures Numériques d'informations. Usages, Contenus et Technologies. Paris, 2 juillet 2010 L emprunteur se fait rare 2 Evolution

Plus en détail

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT? Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique

Plus en détail

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département

Plus en détail

Situation et enjeux du marché de l Assurance Auto. Conférence Argus de l'assurance 24 juin 2010

Situation et enjeux du marché de l Assurance Auto. Conférence Argus de l'assurance 24 juin 2010 Situation et enjeux du marché de l Assurance Auto Conférence Argus de l'assurance 24 juin 2010 Un contexte marqué par la crise Situation et enjeux du marché de l Assurance Auto Un contexte marqué par la

Plus en détail

Le développement de la franchise dans le Groupe Casino

Le développement de la franchise dans le Groupe Casino Le développement de la franchise dans le Groupe Casino Dossier de presse 1 Communiqué de presse Le groupe Casino mise sur la franchise pour accélérer le développement de ses enseignes de proximité Mars

Plus en détail

Restauration collective

Restauration collective Dossier de presse Février 2014 Restauration collective La portion de fromage emballée individuellement un atout dans la lutte contre le gaspillage alimentaire Contacts presse : agence becom! T. 01 42 09

Plus en détail

ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008

ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 Construire un avenir brillant ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 www.avenirbrillant.ca Financé par le gouvernement du Canada par l entremise du Programme des conseils

Plus en détail

Info-commerce : Incertitude économique mondiale

Info-commerce : Incertitude économique mondiale Info-commerce : Incertitude économique mondiale avril 2012 Panel de recherche d EDC Résultats du sondage de février 2012 Faits saillants Même si les É.-U. restent une importante destination commerciale,

Plus en détail

Synthèse du rapport d activité 2007 du CCAS

Synthèse du rapport d activité 2007 du CCAS Synthèse du rapport d activité 2007 du CCAS I- Moyens financiers Budget 2007 : Recettes totales = 3.604.581 dont : Budget CCAS : 1.487.913 Budget annexe SSIAD : 438.284 Budget annexe MAD : 1.678.384 Dépenses

Plus en détail

Brûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager

Brûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Définition et causes Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Vous arrive-t-il de ressentir une douleur à l estomac

Plus en détail

Le groupe Crédit Mutuel en 2010 Un réseau proche de ses sociétaires-clients, au service des entreprises créatrices d emplois dans les régions (1)

Le groupe Crédit Mutuel en 2010 Un réseau proche de ses sociétaires-clients, au service des entreprises créatrices d emplois dans les régions (1) 16 mars 2011 Le groupe Crédit Mutuel en 2010 Un réseau proche de ses sociétaires-clients, au service des entreprises créatrices d emplois dans les régions (1) Résultat net total 3 026 M (+61 %) Résultat

Plus en détail

Évolution du budget automobile des ménages français depuis 1990 1

Évolution du budget automobile des ménages français depuis 1990 1 N 14 Avril 2013 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Évolution du budget automobile des ménages

Plus en détail

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs

Plus en détail

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté 18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté

Plus en détail

Accès au crédit des PME : quelles leçons tirer du rapprochement des données d enquête et des données de bilan?

Accès au crédit des PME : quelles leçons tirer du rapprochement des données d enquête et des données de bilan? Direction générale des Statistiques Direction des Enquêtes et statistiques sectorielles Direction générale des Études et des Relations internationales Direction des Études microéconomiques et structurelles

Plus en détail

72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix!

72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix! Communiqué de presse 21 novembre 2011 Une étude CEDRE/Ifop 1 propose le regard croisé des consommateurs et des chefs d entreprises français sur le «Made in France» 72% des Français prêts à payer plus cher

Plus en détail

Auriol : le service public de la Restauration scolaire

Auriol : le service public de la Restauration scolaire Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des

Plus en détail

SEVERIN, le spécialiste de l'électroménager, s'invite chez vous. Dossier de presse. Depuis 1892

SEVERIN, le spécialiste de l'électroménager, s'invite chez vous. Dossier de presse. Depuis 1892 SEVERIN, le spécialiste de l'électroménager, s'invite chez vous Dossier de presse Depuis 1892 Ma journée avec SEVERIN SEVERIN, spécialiste de l appareil électroménager, est présent à chaque instant de

Plus en détail

Le déroulement de l animation

Le déroulement de l animation 10020_GererAnimer_p076p087 Page 83 Vendredi, 12. août 2005 9:00 09 Le déroulement de l animation DOSSIER 15 Correspondance référentiel Dossier Page livre élève Compétences professionnelles Savoirs associés

Plus en détail

1. Les comptes de dépôt et d épargne

1. Les comptes de dépôt et d épargne 1. Les comptes de dépôt et d épargne 1.1 Les comptes de dépôt 1.1.1 Le taux de possession d un compte de dépôt Le premier constat est celui d un accès important aux comptes de dépôt, quelle que soit la

Plus en détail

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY «Penser et agir famille» LES OBJECTIFS 1. Accueillir les familles avec respect et ouverture d esprit dans toutes leurs formes et leurs différences. 2. Stimuler

Plus en détail

[EN FINIR AVEC LE REFLUX GASTRIQUE]

[EN FINIR AVEC LE REFLUX GASTRIQUE] 2 P age Sommaire Qu Est-Ce Que Le Reflux Gastrique?... 2 Les Aliments Responsables Du Reflux Gastrique... 5 Comment Prévenir Le Reflux Gastrique... 7 Des Remèdes Simples Pour Traiter Le Reflux Gastrique...

Plus en détail

«seul le prononcé fait foi»

«seul le prononcé fait foi» «seul le prononcé fait foi» Discours à l occasion de la réunion du Pacte de Responsabilité et de Solidarité Lundi 26 mai 2014 Lesparre-Médoc Mesdames et Messieurs les Parlementaires Mesdames et Messieurs

Plus en détail

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à

Plus en détail

Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance

Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance Le présent document précise encore davantage les données et la méthodologie utilisées par le BSIF pour calculer les marges pour

Plus en détail

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? 1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%

Plus en détail

Mission de l information géographique (MIG)

Mission de l information géographique (MIG) Mission de l information géographique (MIG) Ministère de l Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement décembre 2011 La directive Inspire pour les néophytes (3 ème édition) Mission

Plus en détail

RÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE

RÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE S O M M A I R E Préambule Règlement Objectifs Ecole / cantine Quelques chiffres Le prestataire 1 2 Préambule RÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE A N N É E 2 0 1 2 / 2 0 1 3 La municipalité de CHAMPAGNIER

Plus en détail