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Transition Numérique Organisation du programme et proposition de valeur aux partenaires privés DGCIS le 23/3/2012 Compte-rendu des échanges de la réunion des partenaires du 5 mars 2012 à la DGCIS. Liste des participants 1. Contexte Les différentes études sur le sujet de l impact des usages du numérique sur la croissance, malgré des méthodologies et des approches variées, convergent dans un double constat : - la bonne utilisation du numérique est un facteur majeur de la compétitivité de toutes les entreprises (toutes tailles, tous secteurs), et donc un levier efficace pour développer la croissance et l emploi ; - les entreprises françaises, notamment les plus petites, sont en retrait par rapport aux moyennes dans les pays comparables sur les usages du numériques (elles sont par contre globalement bien équipées en matériel et en connexions internet). Ce retrait dans les usages du numérique s explique par différents facteurs, parmi lesquels les aspects culturels et de formation au numérique sont prépondérants pour les plus petites entreprises. Afin de faire prendre conscience aux TPE des gains promis par les outils numériques et pour faciliter la mise en œuvre de ces outils, le Ministère de l Economie, des finances et de l industrie a lancé, en 2006, le programme «Passeport pour l économie numérique». Ce programme alliait : - des actions de communication nationale (notamment radio et TV) ; - des actions de sensibilisation de proximité (cycle de formation) ; - des facilités de financement pour l équipement ; - des offres privilégiées chez des partenaires privés. Le programme, reconduit en 2009, a été confié au CEFAC (centre d études et de formation des assistants techniques du commerce, des services et du tourisme, dépendant de l ACFCI). Une mission d évaluation et de prospective sur le programme a été confiée en 2011 à Jean- Pierre Corniou par Eric Besson, Ministre chargé de l économie numérique. Les principales conclusions de cette mission sont : 1) que l utilité d un programme d accompagnement des TPE vers le numérique restait évidente ; 2) que le «Passeport pour l économie numérique», même si certains de ses volets n avaient pas eu le succès escompté, avait permis de sensibiliser un nombre important d entreprises, et qu il avait permis de constituer des actifs précieux, notamment un réseau de conseillers de proximité capable de dialoguer avec des chefs de petites entreprises sur tout le territoire national ;

3) qu il convenait de prolonger le programme en insistant sur la mobilisation des ressources mises en réseau grâce au «Passeport» et en se concentrant sur la montée en compétence des conseillers et l approfondissement des thèmes abordés avec les chefs d entreprise ; 4) que ce nouveau programme devait s appuyer plus largement sur une gouvernance renforcée responsabilisant l ensemble des acteurs nécessaires à la réussite du nouveau programme : l administration, le réseau des chambres et les centres de ressources numériques et les partenaires privés. Ainsi, le Ministre chargé de l Economie numérique a annoncé, le 6 décembre 2012, le lancement d un nouveau programme «Transition numérique», qui prend le relais du «Passeport pour l économie numérique». La présente note vise à décrire l organisation générale pressentie pour ce programme, à identifier les actions que les acteurs privés partenaires pourraient se voir confier, et à proposer des modes d organisation leur permettant de les réaliser. 2. Missions et organisation du programme Les objectifs du programme tombent dans trois catégories : 1) l accompagnement des chefs d entreprises, notamment de TPE, dans leur découverte et la mise œuvre du numérique, sur les outils qui leur correspondent (gestion administrative, e-commerce, marketing, cloud computing etc.) ; 2) la structuration et la montée en compétence du réseau des «conseillers au numérique», tant publics que privés, sur tout le territoire et au contact direct des chefs d entreprise ; 3) la meilleure visibilité sur les usages numériques dans les plus petites entreprises, des freins à l adoption des outils numériques et de leurs nouveaux besoins. Afin de mener ces missions de manière coordonnée et efficace, le programme regroupe des acteurs divers, organisés dans des comités thématiques : 1) le comité de pilotage, qui définit les grandes orientations du programme ; 2) le comité pédagogique, qui définit la grille des compétences des «conseillers au numériques», et qui valide et oriente les thématiques prioritaires pour les formations des chefs d entreprises à revoir ou à ajouter au corpus ; 3) le comité des centres de ressources, qui réunit les représentants des réseaux publics et para-publics de conseils aux entreprises (CCI, CMA, centres de gestion, CyberMassif, Echangeurs, ENE etc.) afin de diffuser le programme localement et de faire remonter des informations du terrain ; 4) le comité des partenaires, qui réunit les acteurs privés partenaires du programme (éditeurs de logiciels, fédérations représentant les conseils privés etc.) Le rôle attendu du comité des partenaires est décrit dans les suivant.

3. Proposition de valeur pour les partenaires Les partenaires privés du programme trouveront, à travers les différentes actions du programme : 1) un relais de communication vers les PME, et plus particulièrement les TPE, dans un cadre «non commercial» (réunions dans les centres de ressources) plus propice au passage de messages efficaces sur l utilité des solutions numériques ; 2) des leviers pour faire monter en compétence les conseils de proximité aux PME, afin de garantir que les recommandations et préconisations qui sont faites sur le terrain restent en phase avec l état de l art de l offre nationale et que les pratiques commerciales de ces conseils «de terrain» ne nuisent pas à l image de marque des partenaires ou, plus généralement, au développement du marché. Ces deux actions doivent permettre de développer le marché du numérique pour les TPE, à la fois en augmentant la connaissance et l appétence des TPE pour les nouvelles solutions numériques, et en fiabilisant le canal d accompagnement et de prescription. En effet, ces relais viendront utilement compléter les démarches commerciales de chaque partenaire : le passage de messages «neutralisés» (i.e. qui font la promotion d une technologie ou d un usage au lieu de la promotion d un produit ou d une marque) aux TPE par un acteur de confiance (un conseiller en CCI ou d un centre de ressources, par exemple) permet de lever de nombreux a priori que les chefs d entreprises pourraient avoir vis-à-vis d une communication plus traditionnelle. Une fois convaincus de l utilité de s équiper et de mettre en œuvre une technologie, ces derniers seront plus réceptifs aux messages commerciaux (qui ne passeront évidemment pas par le programme). D autre part, la qualification des conseils indépendants de proximité, qui forment un canal de «vente» (ou à tout le moins de prescription) est une condition de la satisfaction des clients des offreurs de solutions au niveau national : il s agit à la fois de s assurer que ces conseils ont les bonnes compétences (sur les technologies et sur leur mise en œuvre, sur le fonctionnement de l entreprise et ses besoins en matière de numérique), et que leurs pratiques commerciales respectent les marques et leurs clients (prestations lisibles, pas de coût cachés, fourniture d une offre adaptée aux besoin etc.). Ces objectifs pourraient être mis en œuvre à travers des auto-évaluations, des formations en ligne et des chartes voire, à plus long terme, par une qualification professionnelle officielle. 4. Répartition des travaux Au-delà de son pilotage, l administration contribuera au programme en : - finançant la mise à disposition des outils (plateforme de e-learning, communication) ; - organisant des réunions en région pour mobiliser les réseaux locaux ; - finançant la constitution d un premier jeu de supports de formation (adaptés du «Passeport pour l économie numérique» ou sur des nouveaux thèmes) ; - finançant des actions de formations pilotes sur le numérique, en lien avec les organismes de formation professionnelle ; - en contribuant à la mise sur pied d un titre «conseiller au numérique» pour qualifier et valoriser les conseillers impliqués sur ce sujets dans les réseaux publics ; - éventuellement, en participant à la mise en œuvre d un annuaire qualifié des prestataires de services pour les TPE.

Ces missions seront effectuées à travers des partenariats avec des acteurs spécialisés. Ainsi, le CEFAC mettra à profit son expérience sur le «Passeport» dans la fourniture d outils, la réalisation de support de formation et la constitution d un diplôme de «conseiller au numérique». Il assurera plus généralement l animation du comité pédagogique. Cependant, l administration n a pas vocation à assumer dans la durée l ensemble des actions d un programme résolument participatif : les partenaires, notamment privés, ont évidemment un rôle crucial dans la définition du programme, dans ses orientations thématiques, et dans sa mise en œuvre opérationnelle. Il semble notamment qu ils pourraient utilement : - orienter les axes de formation, fournir des supports de formation : mise à jour des supports de formation pour rester à l état de l art, et l enrichissement du corpus (nouveaux thèmes, webcasts etc.) ; - contribuer aux actions de communication autour du programme, pour inciter un maximum de chefs d entreprise à y participer ; - participer à la rédaction des chartes ou du «cahier des charges» du label «conseiller au numérique», soutenir les actions de recensement et de qualification des conseillers indépendants ; - participer aux études de «connaissance terrain» sur la pénétration du numérique parmi les TPE ; Afin de mener ces actions, le comité des partenaires participera au pilotage du programme (sièges au comité de pilotage), et sera invité à travailler en étroite coopération avec le comité pédagogique (pour la définition des savoirs des conseillers, et pour les mises à niveau régulières des cycles de formation), et au comité des centres de ressource (pour le recensement des conseillers, voire les études terrain) 5. Organisation du comité des partenaires Contrairement à la pratique qui avait prévalu pour le «Passeport», l administration ne souhaite pas nouer de partenariats bilatéraux avec des acteurs privés : le soupçon d une «préférence» pour tel ou tel éditeur a en effet pu nuire à la crédibilité du dispositif (alors que, évidemment, la réalité des partenariats vidaient ces soupçons de leur substance). Au contraire, l administration souhaite dans le cadre de «Transition numérique» avoir un interlocuteur unique, représentant tous les partenaires individuels, avec des garanties d ouverture (le programme doit être ouvert à tous les candidats sérieux) et de transparence. Par ailleurs, les partenaires privés dans leur ensemble doivent être en mesure d apporter les contributions en nature au programme, selon les lignes esquissées au précédent. Trois options semblent se dégager pour structurer le groupe des partenaires : 1) un «club» informel ; 2) la création d une structure ad hoc (du type associatif) ; 3) l hébergement dans une structure associative existante.

La première solution, le «club» informel, a l avantage de la facilité de mise en œuvre. Cependant, les règles de fonctionnement seraient sans doute difficiles à définir et à appliquer. Par ailleurs, chaque contribution en nature au programme devrait être apportée par un seul des partenaires, ce qui rend difficile la mutualisation et pourrait nuire à la lisibilité du dispositif dans son ensemble. La deuxième solution, la création d une structure ad hoc, a l avantage de la lisibilité, et permet de gérer un budget commun (ce qui n interdit pas les contributions individuelles). Cependant, le montage de la structure serait lourd (rédaction de statuts, de règlement intérieur etc.), et la participation des partenaires à une nième association pourrait s avérer hasardeuse. La troisième solution, l hébergement dans une structure associative existante, cumule les avantages de la facilité de mise en œuvre et de la lisibilité du dispositif. Cependant, il faut identifier une structure dont les missions sont compatibles avec celles de «Transition numérique», et définir le modèle économique qui permettrait à cette structure de couvrir les frais relatifs à l hébergement du comité des partenaires. Sur ce dernier point, on pourrait imaginer que le comité des partenaires amène des adhésions supplémentaires, ou que le comité des partenaires apporte une activité supplémentaire (directe, par son activité propre, ou indirecte par la visibilité que lui donnerait le programme «Transition Numérique»).

Liste des Participants NOM Bruno SABLIERE Christophe LEBLANC Christophe POISSONNIER Philippe CLERC Emmanuel MAKSYMIW Etienne ASTRUC Grégoire LECLERQ Gwénaël FOURRE Marion NEVEU Isabelle FLORY Jacques ESTIENNE Jean-Michel CASTAGNE Mickaël le NEZET Marine de VERDILHAC Maxime BAFFERT Nathalie PERCHARD Xavier LAIR Olivier MIDIERE Patrick SCHMITT Anne-Florence FAGES Christian SAINZ Jacques SETTON Michaël HAYAT Aurélie LELEU Patrick ANGHERT STRUCTURE PagesJaunes CIEL ACFCI ACFCI EBP MICROSOFT INTEL LA POSTE APCMA Banque Populaire Publicis-Webformance OXATIS FCGA ADEN MEDEF CGPME CICF Informatique SYNTEC NUMERIQUE CISCO