DEPRESSION DE LA PERSONNE AGEE COLLOQUE DU 26 MAI 2016 DR DURAND

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PLAN D ACTIONS PSYCHIATRIE & SANTE MENTALE page 1 / 106 PLAN D ACTIONS POUR LE DEVELOPPEMENT DE LA PSYCHIATRIE

Transcription:

DEPRESSION DE LA PERSONNE AGEE COLLOQUE DU 26 MAI 2016 DR DURAND

MESSAGE N 1 LA DEPRESSION DU SUJET AGEE EST DIFFICILE A REPERER CAR ELLE PEUT SE PRESENTER SOUS DES FORMES DIVERSES ET ATYPIQUES

MESSAGE N 1 DEPRESSION «TYPIQUE»: Tristesse Ralentissement psychomoteur Anhédonie Troubles des fonctions instinctuelles: altération du sommeil, de l appétit et de la libido. La mélancolie = forme extrême.

MESSAGE N 1 PAS MOINS DE 6 FORMES PARTICULIERES Forme «masquée» Formes délirante Forme «hostile» Forme anxieuse Forme pseudo-démentielle Forme conative

MESSAGE N 1 LES CONTOURS DE LA DEPRESSION - DEPRESSION «CHRONIQUE» / DYSTHYMIE - TROUBLES DE L ADAPTATION -DEUIL COMPLEXE PERSISTANT -SYNDROME DE «GLISSEMENT»

MESSAGE N 1 LES CAUSES SONT MULTIPLES ET INTRIQUEES ENTRE ELLES ANTHROPOLOGIQUES SOMATIQUES SOCIOLOGIQUES PSYCHOLOGIQUES

MESSAGE N 1 CONSEQUENCES: RISQUE DE «SOUS-TRAITER» OU DE «SUR-TRAITER» L EXPERTISE PSYCHIATRIQUE ET PSYCHOPATHOLOGIQUE EST RAPIDEMENT CONVOQUEE

MESSAGE N 2 LE CORPS OCCUPE UNE PLACE CENTRALE, QUELQUE SOIT LE MODELE THEORIQUE DE REFRENCE: SOURCE DE COMPREHENSION ET DE REPARATION

MESSAGE N 2 INTRIQUATIONS DEPRESSION/ AFFECTIONS SOMATIQUES UNE AFFECTION SOMATIQUE COMME ETIOLOGIE DE LA DEPRESSION: AVC, TROUBLES ENDOCRINO- METABOLIQUES, CANCERS, MALADIES NEURO- PSYCHIATRIQUES LA DEPRESSION PEUT ENTRAÎNER UNE AFFECTION SOMATIQUE: DENUTRITION, AGGRAVATION D UNE AFFECTION SOMATIQUE DEJA PRESENTE

MESSAGE N 2 SOMATISATION ENTITES CLINIQUES PROCESSUS + FREQUENTS AVEC LE VIEILLISSEMENT

MESSAGE N 2 TROUBLES SOMATOFORMES SOMATISATION SOMATOFORME INDIFFERENCIE HYPOCONDRIE TROUBLE DOULOUREUX DYSMORPHIE CORPORELLE CONVERSION

MESSAGE N 2 Les symptômes somatiques inaugurent la dépression dans 2/3 des cas. Le recours au «canal somatique» comme mode d expression du désarroi affectif, dans un processus «d immunisation affective». L alexythymie déplace le vécu de la sphère émotionnelle vers le champ de la perception. Dans tous les cas la plainte a valeur de relation.

MESSAGE N 2 CONSEQUENCES: La psychiatrie doit se réapproprier des domaines somatiques Obligation d une approche globale Le clivage corps/esprit n est plus opérant

MESSAGE N 3 Si la dépression est le principal facteur de risque du suicide, d autres facteurs sont en jeu dans la crise suicidaire. De nombreux passages à l acte suicidaires se font hors dépression. Le risque de suicide est à prendre en compte mais ne doit pas résumer la question de la dépression.

FR PRIMAIRES FR SECONDAIRES FR TERTIAIRES LES PLUS IMPORTANTS ABSENTS EN TEMPS NORMAL VALIDES INDIVIDUELLEMENT INFLUENCES PAR LA PEC FACTEURS de la vie courante Valides statistiquement seulement Peu influencés par la PEC Intérêts associés aux F. primaires Evénements naturels: on n y échappe pas Pas de valeurs prédictives en l absence des Fr primaires et secondaires Tr. Psychiatriques: alcool, dépression, psychoses Communication intention suicidaire ATCD perso et familiaux de conduites suicidaires Propension à l impulsivité, l agressivité ou la violence. Pertes parentales précoces Traumatismes pendant l enfance Isolement social et affectif Problèmes financiers, chômage Evénements de vie négatifs significatifs Sexe masculin Adolescence Sénescence Saison de l été

MESSAGE N 3 La dépression majeure récurrente est le facteur de risque le plus fortement associé au suicide de la personne âgée. On estime à 50% la prévalence de troubles dépressifs après autopsie psychologique des personnes suicidées.

Nombres de décès par suicide en France en 2010 (inserm Cepidc)

MESSAGE N 3 AVEC 18,8% DE LA POPULATION, LES PLUS DE 65 ANS REPRESENTENT PRATIQUEEMENT 1/3 DES PERSONNES QUI SE SUICIDENT. Le taux de suicide est: de 29,7:100 000 hab. chez les 75-84 ans, de 40/ 100 000 hab. chez les 85-94 ans Contre 16,4 en population générale.

MESSAGE N 3 3a : Causes de souffrance évoquées lors des appels abordant le suicide chez les hommes selon l'âge. SOS Amitié. Année 2014 Hommes <15 ans 15-25 ans 25-44 ans 45-65 ans >65ans Nombre avec idées suicidaires (61, 62) n=29 n=224 n=1674 n=1460 n=307 Dépression 10,3% 14,7% 16,0% 18,4% 20,2% Maladie psychique 6,9% 6,3% 10,3% 11,2% 5,9% Addiction 10,3% 4,9% 10,3% 7,7% 3,9% Violences sexuelles ou physiques 17,2% 5,8% 5,4% 3,5% 2,3% Maladie physique 0,0% 2,7% 7,5% 19,4% 43,6% Isolement social/solitude 10,3% 14,3% 19,2% 24,3% 37,8% Difficultés relationnelles 3,4% 6,3% 3,7% 3,6% 2,9% Rupture 3,4% 4,0% 8,3% 5,4% 6,2% Deuil 0,0% 4,0% 4,4% 4,5% 4,2% Souffrance au travail 3,4% 8,5% 4,4% 2,1% 0,7% Chômage 0,0% 1,8% 3,2% 2,8% 0,0% Couple, sentiments, famille 20,7% 15,2% 12,7% 10,0% 8,8% Angoisse 0,0% 7,1% 7,5% 7,7% 5,5%

MESSAGE N 3 3b : Causes de souffrance évoquées lors des appels abordant le suicide chez les femmes selon l'âge. SOS Amitié. Année 2014 Femmes <15 ans 15-25 ans 25-44 ans 45-65 ans >65ans Nombre avec idées suicidaires (61, 62) n=166 n=881 n=2682 n=2999 n=772 Dépression 16,9% 12,3% 19,6% 22,2% 21,4% Maladie psychique 2,4% 1,5% 6,7% 10,0% 5,2% Addiction 7,2% 2,3% 4,7% 3,4% 1,9% Violences sexuelles ou physiques 32,5% 17,9% 15,2% 7,5% 6,6% Maladie physique 1,2% 2,3% 9,1% 14,3% 15,7% Isolement social/solitude 6,0% 8,9% 11,4% 19,3% 28,9% Difficultés relationnelles 3,0% 3,4% 4,4% 6,4% 6,0% Rupture 2,4% 3,5% 3,9% 3,5% 0,9% Deuil 7,2% 10,8% 6,6% 6,4% 4,5% Souffrance au travail 3,0% 2,5% 4,8% 3,2% 1,4% Chômage 0,0% 0,0% 1,6% 1,4% 0,0% Couple, sentiments, famille 17,5% 12,7% 15,2% 18,0% 26,2% Angoisse 0,0% 9,6% 9,5% 9,8% 10,4%

QUESTION N 1 LA DEPRESSION DE NOS AÎNES REVISITE LA NOTION MÊME DE DEPRESSION, ENTITE CLINIQUE LA PLUS VULNERABLE A L EGARD DU CHAMP SOCIAL.

QUESTION N 1 Le passage d une société de l obéissance à une société de la performance modifie les lignes de la souffrance psychique autour d un sentiment d insuffisance. La dépressivité de la personne âgée reflet d une inadaptation et d une dépréciation sociale de la vieillesse: tyrannie du jeunisme, discours publics fondés sur les interdits et les ruptures (retraite et désinvestissement social). L ensemble contribue à des sentiments d insuffisance, de stigmatisation et d inutilité.

QUESTION N 2 DANS UN PAYSAGE COMPLEXE DE SERVICES DEDIES A LA PERSONNE ÂGEE: QUI FAIT QUOI? Où DOIVENT SE FAIRE LES SOINS PSYCHIATRIQUES ET LA PEC DES PERSONNES SOUFFRANT DE DEPRESSION?

QUESTION N 2 LE MEDECIN GENERALISTE: place centrale, notamment pour repérer et pour diagnostiquer les affections somatiques. Cependant limité en disponibilité et formation à la psychogériatrie. Les INFIRMIERS à domicile, privilégiés en terme de proximité relationnelle, mais isolés? Les dispositifs en RESEAUX: gérontologiques, CLICS, MEOTIS, MAIA sont impliqués dans des situations à haut risque de dépression: perte d autonomie, fins de vie, polypathologie Nombreux et risque de la multiplicité des interventions.

QUESTION N 2 La psychiatrie de secteur: une même équipe pluridisciplinaire suit le patient dans son milieu de vie. La psychiatrie de liaison: pratique de la psychogériatrie au sein des établissements et leurs équipes, prenant soins des personnes âgées. Concerne le diagnostic, l orientation, l éthique, la formation et la recherche.

DOMICILE EHPAD GERIATRIE AVANTAGES CONFORT CONTACT FAMILLE CONTACT EQUIPES LIAISON MEDECIN COORDINATEUR PEC GLOBALE SOINS NON STIGMATISANTS LIAISON EQUIPES GERIATRIQUES INCONVENIENTS -MULTIPLICITE INTERVENANTS -RISQUE VITAL -ABSENCE CONSULTATION PSYCHIATRIQUE - LIMITES SI RISQUE SUICIDAIRE - IDEM SI TROUBLES DU COMPORTEMENT RISQUE SUICIDAIRE EPSM -DIAGNOSTIC PSYCHIATRIQUE AFFINE - SURVEILLANCE SI RISQUE SUICIDAIRE - TRAVAIL PSYCHOTHERAPIQUE AVEC LES FAMILLES -STIGMATISATION -MIXITE AVEC POPULATION AGITEE -SOINS SOMATIQUES: ABSENCE DE PLATEAU TECHNIQUE

MERCI DE VOTRE ATTENTION