Réseaux Sociaux et Image d'entreprise
Usage et dangers? des réseaux sociaux en entreprise
Accélération de l'usage des réseaux sociaux Sphères privée et professionnelle se mélangent. Faut-il s'inquièter?
Quelle est la politique de votre société en matière de réseaux sociaux au sein de l'entreprise?
5 bonnes raisons données par le S.I. Pour bannir les Réseaux Sociaux
ETUDE SYMANTEC SOCIAL MEDIA PROTECT 2011 33 pays 1225 entreprises TIC (c) 2011 Symantec
(c) 2011 Symantec
(c) 2011 Symantec
Plus de 90 % des personnes interrogées qui ont été confrontées à un incident associé aux réseaux sociaux ont également souffert de répercussions négatives (c) 2011 Symantec
Exemple d'incident sur le réseau social Facebook
Fréquence et typologie des incidents Selon les études, pour une société donnée, on constate en moyenne 9 incidents sur 12 mois. Les types d'incidents (Harris Interactive Mars 2011) Posts «Revanche...» / critiques / injures / photos... Problèmes internes de la société sont déballés entre «amis» : perte de client par exemple. 15% des salariés seraient prêt à notifier des pratiques jugées «douteuses» de la part de leur employeur Micro-phishing : usurpation d'identité / e-réputation 27% des employés interrogés ne réalisent pas les conséquences éthiques des commentaires qu ils ont mis en ligne, des photos ainsi que vidéos. CEEIdes THEOGONE
Quels coûts pour l'entreprise? (c) 2011 Symantec
Les cas où les réseaux sociaux sont autorisés
Les collaborateurs qui passent au maximum 20% de leur temps sur les réseaux sociaux ont une productivité accrue de 9% comparé aux autres
7 exemples d utilisation des réseaux sociaux générateurs de productivité commerciale : 1) Préparer efficacement un rendez-vous client en récoltant les dernières infos sur la société que l on visite. 2) Se renseigner précisément sur la personne que l on va rencontrer : expérience, parcours, études, hobbies, 3) Faire passer une image positive de soi en étant visible, en illustrant sa compétence et valorisant son image personnelle, 4) Contacter un interlocuteur important, inconnu inaccessible jusqu à présent, 5) Être au courant des meilleures pratiques des world class du secteur du client pour les partager avec lui, 6) Prospecter avec perspicacité en identifiant les bonnes cibles et en se faisant recommander, 7) Récupérer des informations de travail, des contenus pertinents pour construire ses dossiers ou ses présentations
Le «personal branding»
Définition Le Personal Branding permet à un individu de faire rayonner sa «marque personnelle» (ses talents, son expertise, ses réalisations, ses réussites, ) au sein de son organisation, dans les réseaux sociaux, les communautés, les équipes ou les projets mais aussi bien sûr à l extérieur de l organisation. Faire rayonner son expertise, ce n est pas se vanter ou être prétentieux. Le but du Personal Branding est d offrir au collectif une visibilité sur les talents de chacun de ses membres pour innover et résoudre des problèmes. Les réseaux sociaux apportent une réponse en permettant d'identifier des «experts» qui ne l'étaient pas dans l'entreprise hierarchique
L'individu n'est plus «noyé» dans un collectif mais il est reconnu pour ce qu'il est intrinsèquement. On se rapproche du sommet de la pyramide de Maslow.
Écueils du «Personal branding» - Difficile de dissocier l'individu privé du professionnel. Ex : journalistes - Nouvelle gestion des ressources humaines : Un salarié «visible» pour ses compétences sera-t-il plus facilement débauché? Meilleure identification des «experts» au sein de l'entreprise, - L'individu développant son «personal branding» devient l'ambassadeur de son entreprise, il doit être conscient des propos tenus sur les réseaux sociaux.
La démarche de «personal branding» Le «Personal Branding» est une démarche en 3 parties : Mieux se connaître Connaissance de soi Mieux se faire connaître Être visible Mieux se faire reconnaître Gérer votre réputation professionnelle Pour l'entreprise cela va passer sans doute par une réflexion et une concertation avec ses «experts».
De l'importance d'intégrer les réseaux sociaux à sa stratégie client.
Selon une étude de la société américane Razorfish, plus de 40% des utilisateurs de Facebook et Twitter suivent (ou followent) l activité d une ou plusieurs marques. Et ils sont 43% à le faire en raison des offres exclusives ou des promotions. Mieux, dans 64% des cas, leur premier achat auprès d une marque découle du marketing électronique de celle-ci.
Selon une étude de Convergys Corporation, le moindre commentaire négatif à l endroit d une marque ou d un produit, publié sur les réseaux sociaux que sont Youtube, Facebook ou Twitter, ferait perdre à l entreprise concernée la bagatelle de 30 clients. Selon cet institut, le témoignage d un consommateur serait vu par 45 personnes en moyenne et les deux tiers d entre elles avoueraient dans le cas où l avis est négatif se détourner de la marque concernée. En Angleterre, un tiers des consommateurs témoignent de leurs expériences négatives sur Internet.
Conduire le changement de la relation client Les canaux electroniques que sont les réseaux sociaux imposent que ce soient les pros de la relation client qui les gèrent et non les pros de la communication. A ce jour il semble que 50% des demandes clients envoyées par ces média restent sans réponse car traitées comme de la communication «institutionnelle».
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(c) 2011 Symantec
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