La zone Euro renoue avec la croissance. La télévision conserve sa position dominante



Documents pareils
COMMUNIQUÉ DE PRESSE

4 CHIFFRES À RETENIR

LES CHIFFRES CLÉS DU NUMÉRIQUE ET LES BONNES PRATIQUES DE NUMÉRISATION DES TPE /PME

Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête

Bilan 2014 Projections ème édition Janvier #Obsepub

L affiliation dans Le mix digital

Résultats du 1er Semestre août, 2009

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

à la Consommation dans le monde à fin 2012

Media : moyen de communication

Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue?

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ

LES DÉPENSES DES ANNONCEURS EN 2013 ET LES PRÉVISIONS POUR 2014

La publicité numérique (marchés de consommation et comportement des consommateurs)

PARTS DE MARCHÉ PUBLICITAIRE

Affiliation : Bilan 2010 & Perspectives 2011

LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE. N 3 juillet 2014

Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques

rapport CCE

Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont

Les agences de publicité et de communication et agences média leaders en Suisse font preuve d optimisme dans un avenir exigeant.

[ les éco_fiches ] Situation en France :

C O M M U N I Q U É D E P R E S S E

Bureau de la publicité Interactive

Financement du sport, crise économique et politique sportive

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

Perspective des marchés financiers en 2014

Baromètre Affiliation

France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts

BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014

Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient

TARIFS ET CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE 2015

NetObserver Europe. Parmi les principaux enseignements, nous retiendrons notamment que :

Croissance des ventes en France et amélioration de la génération de free cash flow

AS Equities Opportunity Switzerland (CHF)

Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010

PRESS RELEASE. La première Demand Side Platform française est une DSP mobile netadge, la performance RTB, au service des stratégies media mobile

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013

Flash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. 1 er TRIMESTRE 2015 : LA DYNAMIQUE DE CROISSANCE DES ACTIVITES COMMUNICATION & SHIPPING SOLUTIONS SE POURSUIT

Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes

Investissements et R & D

Consumer. Fiche Synthètique. Journey. Enquête sur les parcours d achat Secteur Fournisseurs d accès à internet (FAI)

Affiliate link:

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Les divergences dominent le marché

Les médias en quelques statistiques

2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?

Des résultats semestriels sous haute surveillance

Marché de la publicité en ligne

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française

Consultations prébudgétaires

PERSPECTIVES ET TENDANCES DES MEDIAS POUR Novembre 2012, Lausanne

LE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?

Communiqué de presse

Marché de la publicité en ligne

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

L économie de la télévision de rattrapage

Mise à jour risque pays

L assurance française : le bilan de l année 2012

Quel que soit votre budget, vous pouvez diffuser vos annonces sur Google et son réseau publicitaire.

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs & 2011

CPA Canada Tendances conjoncturelles (T1 2015)

L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise

Le courrier publicitaire adressé en Belgique Chiffres clés de Janvier à Juin 2010

Contribution des industries créatives

COMMENTAIRE. Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE

Tarifs. Média 2015 Applicables au 1 er Janvier 2015

CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE SUR LES RÉSULTATS RÉSULTATS POUR LE TRIMESTRE CLOS LE 31 MARS mai 2015

Performance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC

Recherches mises en valeur

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada

COMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés

LES CHIFFRES CLÉS DU GROUPE - 1 -

Réunions publiques janvier Présentation du Débat d Orientation Budgétaire

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires

Moniteur des branches Industrie MEM

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI

Next Level 2. avec L OBSERVATOIRE DE REFERENCE DES GAMERS COMPORTEMENTS DE JOUEURS ET D ACHETEURS. 18 Octobre 2012

L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013

NOTE D INFORMATION n 01 Janvier 2014

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!

Un climat des affaires conforté

Centre de formation digital et communication : www. Komelya.fr

MONITORING DE LA COMPÉTITIVITÉ DU TRANSPORT AÉRIEN SUISSE

RAPPORT TECHNIQUE CCE

Cinq ans après le début de la crise financière, l économie

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?

Transcription:

La croissance des investissements publicitaires mondiaux devrait retrouver son niveau d avant-crise Les investissements sont dopés par la reprise économique, l achat programmatique et le mobile ZenithOptimedia publie aujourd hui ses nouveaux Adspend Forecasts, l étude de référence de l évolution des investissements publicitaires à l échelle mondiale. Nous prévoyons que le marché publicitaire se renforcera au fil des trois prochaines années, la croissance des investissements publicitaires mondiaux devant passer de 3,9% en 2013 à 5,5% en 2014. Ce taux devrait ensuite passer à 5,8% en 2015 pour atteindre 6,1% en 2016. Cette croissance est portée par l amélioration de l économie mondiale ainsi que par la montée de l achat programmatique et de la publicité mobile. Selon nos estimations, les investissements publicitaires seront dopés cette année par trois évènements «semi-quadriennaux» qui profiteront plus particulièrement à la télévision : les JO d hiver, le Mondial de football et les élections de mi-mandat aux Etats-Unis. Les annonceurs reprennent aussi confiance à mesure que la croissance redémarre dans la zone Euro, qui semble dorénavant plus stable et moins susceptible d avoir un impact néfaste sur l économie mondiale. «De manière générale, les annonceurs internationaux sont en mesure d investir pour assurer leur expansion : ils disposent d une situation financière bien meilleure et ont renoué avec une forte rentabilité. A la lumière de tout cela, nous nous attendons à ce que la croissance augmente régulièrement dans les 3 années à venir. Ce sont prévisions les plus optimistes depuis 6 ans», analyse Sébastien Danet, Président et Global Managing Partner de ZenithOptimedia. La zone Euro renoue avec la croissance La zone Euro est sortie de la récession l an dernier et son redressement semble s accélérer. Cela a poussé les annonceurs à allouer des budgets plus importants à cette région, qui avait souffert d une chute de 15% des investissements publicitaires depuis le début de la crise financière en 2008. Si les investissements publicitaires dans la zone Euro ont reculé de 3% en 2013, cette baisse s est concentrée sur le début de l année alors qu en fin d exercice, plusieurs médias importants signalaient une reprise de leurs revenus publicitaires. Nous prédisons désormais une croissance des investissements publicitaires de 0,7% pour la zone cette année, ce qui marque la première année de croissance depuis 2010. La Finlande, l Italie et la Grèce sont encore en recul mais devraient se stabiliser l an prochain, ce qui aidera la zone Euro à atteindre jusqu à 1,6% et 1,7% de croissance en 2015 et 2016. La télévision conserve sa position dominante La télévision demeure, de loin, le média dominant et s attribue 40% des investissements publicitaires mondiaux en 2013, soit presque deux fois la part de la publicité sur Internet (21%). Ce média bénéficie encore de sa force de frappe importante qui lui permet de toucher un public large et d établir la notoriété d une marque et ses valeurs d association. Nous prévoyons que les

investissements en publicité télévisée vont croître de 5,2% en 2014, en progression par rapport aux 4,4% de 2013, notamment grâce aux JO d hiver, au Mondial de foot et aux élections de mi-mandat aux Etats-Unis. La montée de l achat programmatique devrait faire passer le display devant le référencement payant d ici 2015 Internet reste sans conteste le média dont la croissance est la plus rapide. Il a progressé de 16,2% en 2013 et nous prédisons une croissance annuelle moyenne de 16% entre 2014 et 2016. La sous-catégorie digitale affichant la plus forte croissance est le display, dont nous pensons qu il progressera de 21% par an jusqu en 2016. Le display classique (bandeaux et autres formats standards) gagne 16% par an, porté par la révolution que constitue l achat programmatique, qui offre aux agences et aux annonceurs plus de contrôle et une meilleure rentabilité sur leur achat d espace. Les réseaux sociaux et la vidéo en ligne, qui devraient atteindre respectivement 29% et 23% de croissance par an d ici 2016, commencent également à bénéficier de l achat programmatique. Nous nous attendons à ce que le display dépasse le référencement payant (qui progresse de 13% par an) pour la première fois en 2015. En 2016, nous prévoyons des investissements publicitaires sur le display en ligne atteignant au total 74,4 milliards de dollars US, tandis que le référencement payant atteindra 71,1 milliards de dollars US. L explosion de la publicité mobile se poursuit Pour Sébastien Danet, «2013 aura été un point d inflexion pour la publicité mobile, qui progresse désormais 6 fois plus vite que la publicité sur l internet fixe». Nous prévoyons en effet une croissance moyenne de la publicité sur l internet mobile de 50% par an entre 2013 et 2016, dopée par l adoption rapide des smartphones et des tablettes. La publicité sur l internet fixe progressera, quant à elle, de 8% par an en moyenne. Nous estimons que les investissements publicitaires mondiaux sur le mobile se sont élevés à 13,4 milliards de dollars US en 2013, soit 12,9% des investissements de publicité en ligne et 2,7% de la publicité tous médias confondus. D ici 2016, nous prédisons que cette somme atteindra 45 milliards de dollars US, soit 28 % des investissements publicitaires en ligne et 7,6% des investissements publicitaires totaux. Cela signifie que le mobile dépassera alors la radio, les magazines et l outdoor pour devenir le quatrième média.

FOCUS FRANCE Evolutions Total Newspapers Magazines Television Radio Cinema Outdoor Internet 2012 vs 2011-2,1% -6,5% -5,5% -4,5% -1,2% 0,4% -2,7% 5,3% 2013 vs 2012-2,5% -5,6% -10,1% -3,5% -0,4% -13,3% -1,7% 3,6% 2014 vs 2013 0,3% -3,5% -4,7% -0,7% 0,5% 5,0% 0,0% 5,0% 2015 vs 2014 0,7% -2,9% -3,7% -0,5% 1,0% 2,0% 1,0% 4,8% 2016 vs 2015 1,3% -2,4% -2,7% 0,0% 1,5% 2,0% 1,5% 5,1% NB : Presse hors petites annonces ; Périmètre Internet : display, search, affiliation et mobile Le marché français est finalement en baisse de -2.5% sur l année 2013. C est la résultante d une année en dents de scie avec un 1 er trimestre très mauvais (-7%), un T2 encourageant (-1%) puis de nouveau un mauvais T3 (-4.1%) et enfin un T4 avec une légère reprise (+0.1%). Ce résultat est en phase avec nos prévisions qui depuis début 2013 tournaient autour de -2.5%. Nous anticipions en effet une baisse limitée après une année 2012 déjà en baisse alors que le reste du marché était beaucoup plus pessimiste. Une légère progression des investissements en 2014, qui s accélère en 2015 et 2016 Sur 2014, nous prévoyons toujours une très légère reprise du marché publicitaire et nos prévisions restent inchangées à +0.3%. Nous pensons en effet que la France devrait profiter de la reprise économique au niveau mondial et sur la zone Euro mais de façon modérée (PIB à +0.8% vs +0.3% en 2013) car le déficit de confiance devrait pénaliser la consommation des ménages et l investissement des entreprises. Nous prévoyons ensuite une légère croissance pour 2015 (+0.7%) et 2016 (+1.3%) car l activité économique devrait être plus soutenue mais la donne actuelle du marché français (impact de la digitalisation des médias, déséquilibre croissant entre l offre et la demande) ne devrait pas permettre de forts taux de croissance. Internet poursuit sa progression mais reste sous-investi La période de crise actuelle profite aux médias à R.O.I. rapide comme la Radio (quasi stable en 2013, en légère hausse en 2014), la Publicité extérieure (-1.7% en 2013, stable en 2014) ou le Search (+4.7% en 2013 et +5.2% en 2014). Internet continue de progresser mais de façon plus ralentie en 2013 (+3.6%, à comparer avec les +5,3% et +16% respectifs de nos voisins Allemands et Anglais). «Le Digital demeure sous-investi en France, mais nous prévoyons une reprise en 2014 (+5%) tirée par la vidéo (+35% grâce notamment à des transferts de la TV), les réseaux sociaux et le mobile (+42%)» analyse Sébastien Danet. Le display sur PC devrait pour sa part continuer à baisser (-8%). La TV devrait de nouveau baisser en 2014 (-0.7%) mais de façon beaucoup moins prononcée qu en 2013 (-3.5%). Même si le média continue de bien se porter en termes de consommation et de R.O.I., il est handicapé par une perte de valeur tendancielle due à un déséquilibre entre l offre et la

demande. Il est à noter cependant que le cumul TV + Vidéo on line serait en progression de +0.8% en 2014. La Presse a baissé au global de -8.2% en 2013 (avec une baisse plus marquée sur les magazines et la PQN) et nous prévoyons une nouvelle baisse de -4.2% en 2014, toujours un peu plus marquée sur les magazines (-4.7%) que sur les quotidiens (-3.7%), le media souffrant notamment de la concurrence des lectures numériques non prises en compte dans notre périmètre. Enfin, le cinéma, après une mauvaise année 2013 (-13%), devrait repartir à la hausse en 2014 (+5%). Internet pourrait devenir le premier média dès 2017 Parts de voix Newspapers Magazines Television Radio Cinema Outdoor Internet Total Press 2012 9,7% 13,6% 32,1% 7,2% 1,0% 11,4% 24,9% 23,3% 2013 9,4% 12,5% 31,8% 7,4% 0,9% 11,5% 26,5% 21,9% 2014 9,0% 11,9% 31,5% 7,4% 1,0% 11,5% 27,7% 20,9% 2015 8,7% 11,4% 31,1% 7,4% 1,0% 11,5% 28,9% 20,1% 2016 8,4% 10,9% 30,7% 7,4% 1,0% 11,6% 30,0% 19,3% En termes de parts de marché, Internet est désormais devant la Presse depuis 2012 car l institut de référence (le SRI, adossé désormais au cabinet PWC) a modifié sa méthodologie cette année et intègre désormais notamment le search local, ce qui gonfle sensiblement sa PDM (26.5% vs 22.4% précédemment pour 2013). Le média vise désormais la place de 1 er média qu il devrait atteindre en 2017, année où il dépassera la TV classique. La radio, média de crise, et la publicité extérieure, grâce à l affichage digital, parviennent à stabiliser leur PDM (respectivement 7.4% et 11.5%). La TV voit sa part de marché s éroder au fil des ans (30.7% en 2016 vs 32.1% en 2012) sous le double effet de la perte de valeur du marché TV et de la concurrence de la Vidéo on line. La Presse continue à souffrir et voit sa part de marché passer de 23.3% en 2012 à 19.3% en 2016. Il convient toutefois de noter que la partie Presse numérique, qui résiste davantage, est comptabilisée dans les investissements Internet. «Les annonceurs reprennent confiance à mesure que l économie mondiale recouvre une croissance stable, y compris dans la zone Euro. A ce titre, le marché français montre des signes encourageants. Les marques saisissent de nombreuses opportunités de ROI en misant sur le digital mais ne doivent pas oublier que les médias traditionnels se transforment à grande vitesse et n ont rien perdu de leur capacité à atteindre un public large et impliqué» déclare Sébastien Danet.

À propos des Adspend Forecasts de ZenithOptimedia Les rapports Advertising Expenditure Forecasts de ZenithOptimedia regroupent des prévisions sur les investissements publicitaires par média pour 80 pays. Ils sont publiés régulièrement depuis 1987. Les agences, supports, banques, analystes, consultants universitaires et gouvernements du monde entier s'y référent. ***** A propos de ZenithOptimedia ZenithOptimedia constitue le second plus vaste réseau d'agences médias dans le monde avec 250 bureaux dans 74 pays. Le Groupe ZenithOptimedia France est présidé par Sébastien Danet et dirigé par Gautier Picquet. Il gère le conseil et l achat d espace pour des clients tels que : L Oréal, Nestlé, Sanofi, Richemont, Toyota, PMU, BPCE, Kering, Disneyland Paris, Lactalis, GDF SUEZ Avec ses agences, Zenith, Optimedia, Moxie, Performics et Territoires, le groupe ZenithOptimedia «The ROI agency» s'engage à générer le meilleur retour sur investissements publicitaires. Contact: Charlotte Millet Directrice de la Communication du groupe ZenithOptimedia T : 01 58 74 89 06 charlotte.millet@vivaki.com