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1 toit en batière CONSTRUCTION VOCABULAIRE Toit formé par 2 versants se rejoignant au faîtage toit à double batière Toit en batière à croupettes toit en pavillon 2 étaux toit à 3 pentes toit en pavillon toit à pignons toit à la Mansard auvent toit à pupitre appentis accolé toit à 4 pignons formé par l intersection de deux toits à batière formant 4 noues toit formé par deux longs pans et deux petites croupes toit formé par 2 longs pans et 2 croupes toit composé de 2 longs pans et une croupe toit sur base carrée formé de quatre triangles se rejoignant en leurs sommets toit à 2 versants dont les extrémités sont en butée contre la maçonnerie débordante des pignons toiture dont les versants, de la gouttière au faitage, forment 2 surfaces planes dont le plan supérieur est moins raide que le plan inférieur toit en saillie au-dessus d une porte, d une fenêtre ou d un quai pour s abriter de la pluie toit à une seule pente et couvrant un bâtiment toiture à une seule pente dont le faite est accolé à un mur et dont la partie inférieure est soutenue par des poteaux toit à versants brisés toit dont le bas des p versants est brisé (queue de vache, ) noue panne faitière panne de versant panne sablière arbalétrier poincon contrefiche entrait = tirant triangulation correcte entrepanne queue de vache faux entrait blochet jambe de force aisselier empanon arrête rentrante à la rencontre des versants de 2 toits pièce de charpente soutenant le faîte de la toiture (les chevrons) pièce de charpente soutenant les chevrons panne permettant une mise à niveau + aisée des chevrons pièce de charpente soutenant les pannes pièce de charpente soutenant l entrait pièce de charpente soutenant les arbalétriers pièce de charpente soutenant les murs gouttereaux 12 noeuds et 21 barres, principe d indéformabilité du triangle espace situé entre 2 pannes débordement de la toiture au niveau du mur gouttereau pièce de charpente horizontale reliant 2 pannes et soutenant le poinçon + haut pièce de charpente reliant la panne sablière à la jambe de force pièce de charpente présente en cas d entrait retroussé. relie la jambe de force à l entrait retroussé. Présent si l arbalétrier est interrompu chevron situé dans la zone de noue ou d arêtier 1 sur 15

2 arêtier chevron de noue chevron d arêtier contreventement queue de vache coyau réveillonnage avancé arrête sortante à la rencontre des versants de 2 toits chevron situé dans la noue chevron situé sur l arêtier pièce de charpente stabilisant l assemblage d un poteau et d une poutre prolongement de du bas de versant sans cassure du pan cassure du bas de versant cassure du bas de versant permettant d éloigner les eaux de pluie zone située sous la queue de vache chantignolle croupe droite pièce de charpente trapézoïdale soutenant les pannes croupe biaise ferme de noue demi ferme de noue surcroît tire fond gousset Philibert de l Orme vis à tête de boulon pour grosses pièces de bois quand la vis ne traverse pas la pièce de bois entièrement plaque métallique ou en multiplex prenant en sandwich un assemblage de bois charpente équivalente à celle des bateaux portique ouvrage de franchissement consistant en l assemblage d une poutre sur 2 poteaux fermette en E fermette en W fermette en M goudron bitume sarking provient du pétrole provient du charbon méthode de pose d isolation, idéal pour la rénovation, l isolation et le lattage sont posés par dessus les pannes 2 sur 15

3 enture à joint biais compression de 2 pièces de bois alignées enture à joint à clé compression de 2 pièces de bois alignées enture à clamaux compression/traction de 2 pièces de bois alignées enture à mis bois compression de 2 pièces de bois alignées enture à sifflet compression de 2 pièces de bois alignées enture à trait de jupiter traction/compression de 2 pièces de bois alignées enture à sifflet droit compression de 2 pièces de bois alignées enture à trait de jupiter avec clé compression/traction de 2 pièces de bois alignées enture à mis-bois à fausse coupe renversée assemblage à endent assemblage à mis bois en queue d aronde goujon phénomène de consolidation carottier à piston stationnaire scissomètre tige métallique servant à lier 2 pièces dont les extrémités sont filetées le sol se tasse, l air et l eau sont évacués du sol. Le sol devient + résistant permet d obtenir une carotte, un échantillon du sol moulinet entrainé en rotation fournissant la mesure de cohérence géoptosimètre essais de sols pénétromètre à cone mobile pénétromètre dynamique pressiomètre ménard remblais et gel maison carrée, conseil 2 essais diamétralement opposés maison en L, conseil 3 essais aux angles opposés terrain en pente, conseil 3 essais mesure l effort total, puis l effort de pointe. mesure donc le frottement latéral puis la résistance du terrain. en fonction du nombre de coups donnés pour un enfoncement de 10cm on peut connaitre la résistance du terrain permet de déterminer les déformations croissantes du sol. gel = gonflement, dégel = tassement Si le bâtiment ne comporte pas de sous-sol, les semelles des murs et poteaux doivent reposer sur le bon sol à une profondeur suffisante pour éviter les désordres dus au gel du terrain environnant = 90cm de profondeur min. 3 sur 15

4 sol argileux radier + gel hausse d humidité = gonflement, baisse d humidité = tassement Il faut descendre les fondations à au moins 1m de profondeur, où la variation de volume de la terre du à l apport extérieur d eau sera moindre. un radier ne doit pas forcément être fondé à un niveau hors gel, sauf son pourtour qui doit être protégé par des remblais. 1. joints de rupture si un bâtiment est composé de 2 ensembles de masse différente, de profondeur différente, de fondation différente, on désolidarise ces 2 ensembles par un joint de rupture. 2. joint de tassement Employé lors d une nouvelle construction contiguë. Chaque ouvrage doit pouvoir travailler librement sur ses propres fondations. 3. joint de retrait permet le retrait du béton tout les 8m2 de manière contrôlée 4. joint de dilatation dans le cas de piliers ou de murs doubles situés de part et d autre d un joie de dilatation, la semelle est commune aux deux constructions, ceci à l inverse d un joint de tassement. 5. joint de reprise rôle principalement esthétique dans la reprise d un coffrage béton bulbe de pression semelles filantes béton de propreté semelle en bascule mise à la terre chainage harpement arrachement harpe déharpement à redan parpaing boutisse (2 significations) carreau chantignolle plaquette mulot briqueton tracé obetnu grâce aux équations de Boussinesq montrant la pression exercée par les semelles filantes dans le sol fondation superficielle béton placé sous la semelle filante afin de protéger le béton armé (et surtout éviter la corrosion de l armature) cas d une construction à réaliser en rive de bâtiment ancien avec une semelle existante débordante. précaution indispensable pour protéger l utilisateur lorsqu un appareil présente un défaut. A prévoir donc dans les fondations des murs extérieurs. pièces de charpentes mises en place pour éviter le gondolement des chevrons porteurs de largeur moindre. permet l extension du mur permet et prévoit l insertion d un mur perpendiculairement à l axe du 1er permet de construire un mur de soutient ou déplacer un échafaudage permet de poursuivre le mur ultérieurement élément de construction qui traverse tout l épaisseur d un mur élément de construction dont la plus grande dimension est placée dans l épaisseur du mur et qui présente UNE de ses extrémités en parement ATTENTION également face courte et étroite de la brique élément de construction dont la plus grande dimension est placée dans la longueur du mur et qui présente UNE de ses extrémités en parement brique coupée en 2, fait 2 fois l épaisseur d une plaquette brique coupée en 4, fais la moitié d une chantignolle demi brique coupée dans le sens de la longueur demi brique coupée dans le sens de la largeur 4 sur 15

5 panneresse assise de panneresse assise de boutisse assise sur chant mesure d assise mur d une demi brique mur d une brique mur d une brique et demie mur de deux briques face longue et étroite de la brique l assise de panneresses rends visible les panneresses des briques rend visible la boutisse des briques briques posées verticalement rendant visible la panneresse joint + épaisseur de la brique 9 cm d épaisseur = 19 cm d épaisseur = 29 cm d épaisseur = 39 cm d épaisseur appareil en demi brique appareil en boutisses appareil flamand appareil en chaine appareil hollandais appareil vertical angle droit demi brique croisement demi brique jonction oblique demi brique 5 sur 15

6 jonction droite demi brique mur d une brique appareil flamand angle droit d une brique flamand disposition en besace disposition à redans claustra harpage de refend en jambe étrière mur de refend harpe en besace pilier colonne besace: rencontre de deux pans de maçonnerie dont les éléments sont liés d une assise à l autre redan: saille en gradin ensemble de blocs ajoutés gros mur porteur formant une division intérieure et servant à réduire les portées des poutres ou à adosser les conduits de fumée. structure portante de profil carré dont l axe est différent de la résultante structure portante de profil rond dont l axe est confondu avec la résultante poteau pervibration pervibrateur rapport massique eau/ciment technique utilisée pour tasser le béton et permettre un enrobage parfait des armatures et d augmenter la compacité et la densité. emploi de pervibrateurs. l aiguille du pervibrateur doit être introduite verticalement dans la masse fraichement bétonnée, à intervalles réguliers (50cm) et pénétrer quelque peu dans la couche précédente afin d assurer une liaison. L aiguille doit être retirée lentement pour que le vide se referme. Il est faux de promener l aiguille dans le béton frais car cela conduit à une ségrégation du béton. Il est faux de répartir le béton à l aide de l aiguille car cette méthode conduit également à la ségrégation du béton. Pour obtenir un rapport E/C bas, il faut choisir un granulat du plus gros calibre possible pour réduite la quantité de mortier de liaison. gros calibre = peu de mortier petit calibre = mortier abondant 6 sur 15

7 construction en adobe construction en torchis construction en pisé béton banché béton précontraint principe de construction où de grosses briques en terre sont moulées sur le sol matériau de construction composé de terre grasse et de paille hachée, utilisé comme remplissage matériau rudimentaire composé de terre argileuse moulé pendant la construction à l aide de banches coffrage du béton progressif par déplacement des panneaux (banches) au fur et à mesure technique de construction permettant un renfort considérable des poutres béton il existe le post-tensioning et le pré-tensioning pré-tensioning 1. mise en tension de l armature 2. bétonnage de l élément autour des câbles tendus 3. couper les câbles, ce qui entraine une compression du béton post-tensioning 1. béton coulé contenant des gaines 2. tendre les cables dans la gaine 3. ancrage des cables 4. injection d un lait de ciment (évite l oxydation) poutres préfléchies l acier est précontraint en plus du béton? mur de refend mur gouttereau mur d allège trumeau mur de clôture mur rampant mur de soutènement pilastre ante contrefort mur mitoyen pignon mur d aplomb mur à fruit mur à contre-fruit fruit du mur hors-plomb du mur 7 sur 15

8 causes de destruction 1. renversement = stabilité 2. écrasement = résistance 3. dislocation = cohésion 1. adhérence 2. imbrication 3. armature 4. assemblage 4. désagrégation = durabilité antes liants («classement») ciment HSR ciment LA ciment LH R colle => mortier-colle => mortier => micro-béton => béton ciment à haute résistance aux sulfates (High Sulfat Resisting) employé en milieu humide (eau de mer) ciment à teneur limité en alcalins (Low Alkali) employé avec des granulats sensibles aux alcalis ciment blanc (Low Heat) = ciment à faible chaleur d hydratation employé pour les ouvrages volumineux résistance élevée au jeune âge 32,5 ou 42,5(R) classe de résistance joint creux joint plat en retrait joint en talus gabion maconnerie agglomérée maconnerie stratifiées maconnerie d assemblage couvre mur contrevent persienne embrasement extérieur (à redans) ou intérieur jour extérieur/extérieur armature externe (blocs de pierres avec treillis métallique autour) béton (granulats + mortier) moellons => briques => blocs perforés => blocs creux => pierre de taille pierre de taille en béton, pierre de taille, terre-cuite, PVC, zinc ou fibre ciment - importance d un casse goutte - pente de 5% min. nécessaire - utilisation de rigole ou gargouille souhaitée volet volet dépliant (comme chez papa) partie du mur verticale à gauche et à droite du châssis espace total que prend le châssis dans le mur 8 sur 15

9 tableau int./ext. feuillure int./ext. batée soffite int./ext. appui tablette oreille = attente rejingot larmier = casse goutte différent de l embrasement? espace verticaux situés à gauche et à droite du châssis. espace «creusé» formant la batée ressaut du mur permettant la pose aisée du châssis et une meilleure isolation surface horizontale située au dessus du châssis et au delà du larmier de l appui situé à l extérieur située à l intérieur petite remontée de l appui à ses extrémités petite remontée de l appui dans sa longueur casse goutte situé dans la longueur de l appui talon? attente parabout oreille comme l oreille, mais situé à la jonction de deux appuis membrane d étanchéité oriel logia cornière plancher / parquet dépouille trémie solive = gîte chevêtre enchevêtrure chassis qui dépasse de la facade = porte à faux renfoncement de la facade à l emplacement du chassis sorte de linteau métallique reprenant le poids des briques de parement situées au dessus du châssis. plancher = structurel parquet = finition, niveau fini épaisseur totale de l espace compris entre le niveau fini et le gros oeuvre espace réservé dans un plancher pour placer une cheminée, laisser passage à un conduit de fumée, à un escalier, solives à ne pas confondre avec voliges. pièce de bois horizontale assemblée entre deux solives pour ménager une trémie assemblage de pièces de charpente formant un cadre autour de la trémie solive boiteuse lambourde entretoise pièce de bois supportant l extrémité des solives comparable au chaînage des charpentes, stabilise les solives dans le plan transversal panière sablière corbeaux voligeage pièce de bois posée sur la maçonnerie afin de poser les solives remplit la même fonction que la sablière ou la lambourde support ponctuel en pierre dure incrusté dans le mur pose des planches = aire de foulée 9 sur 15

10 voligeage à rainure et languette voligeage à joint simple et double biais voligeage à feuillures à mis-bois plancher stalton coeur excentré (bois) poutrains en terre cuite + béton précontraint et entre-vous en terre cuite blessure gélivures lunure ou double aubier cadranure ou coeur étoilé roulures fil tors (en spirale) bois rebours gercures contrefil (bois exotique) chancre bois mou et spongieux broussin fente de bout cintrage à la vapeur fente apparaissant aux éternités de la planche lors du séchage du bois traiter la pièce à la vapeur jusqu a obtention de la souplesse, puis ôter la pièce du caisson et la placer immédiatement, par le milieu, au centre de la matrice courbe. Cintrer ensuite la pièce et laisser sécher. 10 sur 15

11 enture par collage déroulage de la grume tranchage de la grume panneau multiplex le couteau reste en place, la grume tourne le couteau avance, la grume reste en place minimum 3 feuilles de placage (triplex) panneaux agglomérés 1. monocouche: on trouve des particules grosses et des particules fines en proportion égale dans tout l épaisseur du panneau 2. trois-couches: les particules les + grosses se trouvent dans la couche médiane tandis que des particules fines forment les 2 couches externes du panneau 3. mulitcouches: les dimensions des particules varient de façon continue depuis les + grosses dans la couche médiane jusqu aux + fines aux faces du panneau OSB MDF HDF poutre Pratt Oriented Strand Boards Medium Density Fiberboard High Density Fiberboard poutre Howe poutre Warren et poutre Warren avec barre supplémentaire treillis double poutre haubanée poutre sous-tendue poutre Wellsteg triangle de décharge clef de voute claveau extrados partie triangulaire (équilatéral) située au dessus d un encorbellement, poids qui est à soutenir claveau central, situé au sommet de l arc pièce en pierre de taille formant l arc partie externe du claveau 11 sur 15

12 intrados lit en coupe tête du claveau reins contre clef piédroit imposte archivolte face interne du claveau face du claveau en contact avec le claveau précédent face du claveau visible (devant) claveaux situés à moins de 30, partie des claveaux qui sont poussés latéralement claveaux situés à gauche et à droite de la clé de voute pilier soutenant l arc ressaut du mur à la base de l arc, en dessous de la naissance de l arc élément décoratif en forme de boudin trompe en éventail trompe en cul de four trompe en panache voute rampante voute en canonnière voute conoïde cintre 1. élément de coffrage permettant la réalisation d un arc 2. forme de l arc dit «en plein cintre» arc outrepassé arc sassanide arc en cil arc brisé arc elliptique arc à clé pendante 12 sur 15

13 arc à clé passante et voussoirs passants arc en tas de charge arc à crossettes plate bande en batière plate bande à extrados en escalier plate bande à crossettes voûte en arc de cloître voûtes d arêtes en retraite en surplomb en renfoncement en avancée engagé adossé accoté isolé élément de mur en retrait horizontalement par rapport au nu du mur élément de mur en surplomb horizontalement par rapport au nu du mur élément de mur en renfoncement verticalement par rapport au nu du mur élément de mur en avancée verticalement par rapport au nu du mur élément circulaire à moitié dans le mur élément accolé via son plus grand coté élément accolé via son petit coté élément de construction secondaire ne touchant pas le bâtiment principal feuillure angle rentrant, le plus souvent d équerre, le long d un élément de construction afin d y poser une menuiserie fixe (châssis) refouillement saignée rainure largeur < hauteur entaille longue et étroite dans une pièce de bois entaille droite entaille en sifflet 13 sur 15

14 entaille en queue d aronde entaille d onglet (45 ) entaille borgne entaille à paume SI système de mesure international rapport phi appelé section d or ou nombre d or: phi = 1,618 il engendre une suite dont chaque terme est égal à la somme des 2 précédents et à la multiplication du terme précédent par phi. nombre d or le modulor le module 3M format DIN désigne la proportion harmonique continue résultant de l égalité de 2 rapports, soit respectivement rapport de 2 segments de droite et rapport du plus grand segment relativement à la somme des 2 segments. m = mineur soit le petit segment M = majeur soit le grand segment formule: m/m = M/(m+M) régulateur de proportions qui a pour but de définir les dimensions et de proportionner harmoniquement un objet à configurer. Le modulor est une mesure organisée sur la mathématique et l échelle humaine. Une double série la constitue, la série bleue et la série rouge. Son unité de mesure est le nombre 113, hauteur du plexus solaire d un homme de 6 pieds. 3M = 30 cm ce module est utilisé dans la conception, la standardisation et la prefabrication des éléments de mobilier et des dimensions de pièces. les formats de papier DIN correspondent aux dimensions fixées par la commission allemande de normalisation pour le papier à lettre et autres documents. Ce sont des formats rectangulaires basés sur un rapport constant de leur cotés de 1 : racine carrée de 2 Construction graphique d un rectangle DIN en partant d un carré et de sa diagonale maconnerie à construire maconnerie existante maconnerie à démolir pierres naturelles béton à réaliser béton préfabriqué béton existant 14 sur 15

15 béton à démolir mortier bois scié bois raboté panneau multiplex panneau aggloméré isolant rigide isolant souple isolant non spécifié plancher portant sur 1,2,3 ou 4 cotés 4 systèmes principaux 1. système spatial fonctionnel 2. système structural (fondations, murs portants) 3. système d enveloppes (parois) 4. système d équipements (sanitaires, chauffage) 4 paramètres 1. Les valeurs 2. Les exigences (générales et spécifiques) 3. Les contraintes (obligations externes au projet) 4. Les moyens (budget) 4 subdivisions Matière => matériau => élément => composant => ensemble => bâtiment 6 exigences de la DPC 1. résistance mécanique et stabilité 2. sécurité en cas d incendie 3. hygiène, santé en environnement 4. sécurité d utilisation 5. isolation phonique 6. isolation thermique 4 phases d élaboration 1. conception 2. exécution 3. exploitation 4. démolition 4 systèmes structurels 1. système continu 2. système discontinu 3. système mixte 4. système surfacique dimension nominale dimension spécifiée c est la dimension correspondant à un module (brique + joint) c est la dimension théorique du produit (brique = 19cm) 15 sur 15

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